Friday, February 18, 2022

Épilogue à la "Téléportation", c'est-à-dire, sur ce qui se passait après.

           Beaucoup de lecteurs probablement ont deviné que le roman n'est pas fini. Oui, les personnages et protagonistes se sont sortis de la situation difficile et dangereuse, les ennemis sont anéantis, mais je serais déçu au lieu d'un lecteur, après le point mis finalement en fin du chapitre IX "baptême du feu", malgré la bonne fin. C'est pourquoi ceux-là qui ont senti que ce n'est pas la fin, ils ne se sont trompés pas. Il était planifié d'écrire trois chapitres encore, probablement longs, ce qu'est approprié à la deuxième partie du roman. Le problème est que l'action des trois chapitres derniers doit passer aux États-Unis. Parfois les protagonistes apparaissent à New York brièvement, y compris, au milieu du roman. Je ne peux pas affirmer sûrement, dans quelle mesure de fiabilité est la description de New York, où je n'étais jamais. Un paysage abandonné avec une décharge industrielle qu'habitent des personnes criminelles, cette image a son origine dans la comédie "Banzaï" plus la propre imagination. Si la description n'est pas assez crédible, la brièveté et superficialité sauvent la situation. C'est possible qu'un anachronisme ait lieu. Le film était en train d'être fait à la fin des années soixante-dix, quand la criminalité à New York toujours était comparativement élevée. On parle, dans notre temps la criminalité a baissé jusqu'à tel degré, même les sociologues se sont intéressés à ce phénomène.

          Néanmoins, les trois derniers chapitres sont une autre chose de tout. Ce n'est pas une brève apparition en Amérique grâce à la téléportation, mais le séjour constant avec description en détails de la géographie locale à grande échelle et des subtilités des relations traditionnelles. Il n'y a pas de désir d'être au lieu d'un écrivain français du passé qui n'avait été jamais en Russie, pourtant après avoir décidé de la décrire, il avait décrit un homme qui était en train d'être assis "sous une canneberge grande et luxuriante".

          Il y a beaucoup de romans inachevés pas dans l'histoire de la littérature, en commençant des œuvres classiques des auteurs célèbres jusqu'à présent. Rien n'est éternel. Un écrivain vit, meurt, en restant les lecteurs contemporains et aussi les lecteurs des générations prochaines dans une réflexion pénible: "que passait ensuite?" On essaye de récupérer la suite de l'intrigue à laide de fragments des notes écrites dans les marges d'un cahier d'auteur. Cette tentative souvent est en vain et a l'air d'une certaine divination. Par exemple: soit Macha s'est séparée de Doubrovsky à jamais, soit il la visiterait en faisant semblent d'être un Anglais et ils seront enfin ensemble? "The Mystery of Edwin Drood" d'après Ch. Dickens est resté un mystère à jamais. Il y a beaucoup de exemples pareils.

          Mais je ne voudrais pas abandonner des lecteurs dans l'ignorance, parce que je ne sais pas qui arrivera avant, si je retrouverai d'inspiration à écrire cet achèvement à la fois avec la possibilité de voyager aux États-Unis et d'examiner et d'apprendre tout qui est nécessaire pour l'intrigue, ou j'irai dans l'au-delà et quoique peut-être puisse-t-on voyager là-bas, il y a peu de chances de réussir à connecter avec vous et partager les impressions. C'est pourquoi je vais raconter brièvement comment l'intrigue se déroule après, sans descriptions des beaux endroits en détails, nos protagonistes choisiront des endroits seulement comme ça, sans descriptions la vie quotidienne aux États-Unis contemporains, et je vais le faire ici et maintenant.

          Nous les avons quittés malgré leurs difficultés dans la situation la plus invulnérable. Ils sont invulnérables à l'égard n'importe quelle mafia, n'importe quelle police, n'importe quels services specials. Ils continueront à se cacher dans la nature avec l'équipement excellent, avec l'argent. Le froid commence dans la Russie, mais leur équipement laisse les survivre. Le problème est autre. Peu probable que les services specials les laisseront tranquilles. C'est trop tentant la capabilité de téléporter. Et c'est trop dangereux pour l'humanité à donner à lui un cadeau pareil.

          Après avoir calculé tout pro et contra, nos protagonistes sont arrivés à la conclusion qu'ils ne peuvent pas s'attarder à l'égard d'évasion du pays, malgré le fait qu'ils ne réussiront pas à émigrer à la fois vite, légalement et secrètement. Ils ne voudraient pas commencer la vie neuve dans le pays neuf par enfreindre la loi, mais par souci de sécurité des cinq représentantes de beau sexe qui ne savaient pas téléporter, ils ne devaient qu'agir de cette façon. D'ailleurs, ils ne vont pas y conduir mal. Et ils ne sont pas déjà en chemin. Il y a un mois ils sont arrivés, ils ont acheté une maison dans un endroit pittoresque et l'habitent avec de faux papiers, se souviennent tous les évènements déjà décrits. Le chapitre X, "un pêcheur" devrait commencer comme ça. 

          Albert et Paul sont arrivés à la conclusion que la sécurité complète est une illusion, même ici. Les services spécials, soit de la Russie, soit les autres, tous ils ont les bras assez longs. C'est pourquoi ils ont trouvé dans l'autre bout du monde un endroit absolument sûr dans la jungle.

          La femme d'Albert se souvient la plaisanterie de Lena sur la téléportation (p.II, ch.II, "dans le rôle d'un spectre nocturne") Elle suspect de plus en plus qu'il la trompait non seulement avec Olesya. En même temps elle ne peut pas ignorer qu'il continue à l'aimer malgré cela. Le dernier temps, Albert s'implique dans la pêche. Un autre pêcheur vient qui tente de se lier d'amitié avec lui. Comme s'il est arrivé temporairement chez ses amis à passer des vacances. Il sait bien la pêche et comme s'il ne voit pas qu'Albert parle l'anglais pas toujours correctement. Mais Albert et Paul sont intelligents et prudents. Ce qu'il ne voit pas non assez correct anglais d'Albert, ce fait semble suspect. Aussi il est sociable trop, si le comparer avec les autres Américains. Après une fois quand partent les femmes à la jungle, elles sont prévenues qu'elles ne peuvent pas retourner.

          Dans le chapitre XI "tribu libre", le "pêcheur" abat ses cartes. Il montre un certificat cette fois des cervices specials des États-Unis. Il suppose que les femmes soient cachées pas loin (elles partent, elles viennent). Il même essaye de faire Albert chantage. Il n'a besoin que d'une seule chose: apprendre à téléporter et après cela, comme il jure, non seulement la police, mais FBI fermerait les yeux sur son émigration illégale et même aiderait à légaliser son statut social.

          Les femmes comprennent bien qu'elles maintenant doivent rester à la jungle à jamais. À devenir quatre épouses d'un mari, c'est quelque chose de plus difficile, mais elles l'acceptent graduellement. Elles l'aimeront, elles feront-lui des enfants, une tribu libre sera formée, mais contrairement aux tribus sauvages, ils seront illettrés, auront de bonnes manières et seront sans préjudices, Ils seront de non arriérée mais d'avancée partie de l'humanité. Si revenir au monde, les trois amies de l'épouse d'Albert déjà savent en quoi peut cela transformer après elles ont enduré la peur en captivité de Kashin. On peut avérer malchanceux en deuxième fois. En voyant comme Albert et le vieillard téléportent, elles se rendent compte que la chasse des services specials à eux n'est pas un jeu.

          Même au début du roman, le vieillard disait à l'Albert qu'il y a une personne planifiée qu'Albert devra enseigner à téléportation après qu'il sera mort de vieillesse. Maintenant le vieillard lui révèle ce que cette personne est Olesya. Maintenant pourrait-on finir comme ça, néanmoins, l'année 1994 va à sa fin et la première guerre contre Itchkérie commence. Albert est furieux. Le dernier de la partie II douzième chapitre "le choix" commence.

          Premièrement, ce serait impensable à croire que la Russie se répare. L'État du Satan a recommencé les mêmes choses: oppresser, réprimer, dominer. Deuxièmement, un peuple va souffrir. Nous savons du chapitre III de la partie II "une course d'obstacles", Albert sympathisait à ce peuple et même nomma soi-même "ami du peuple tchétchène".  Quand tout ça fait, y compris, bombardement de zones résidentielles de la cité Grozny, il n'y a pas de nécessité d'être un génie, pour comprendre qu'est-ce "établissement de l'ordre constitutionnel" rapporté par la propagande officielle et en quoi cet établissement sera-t-il transformé. Albert a soif de vengeance. À la fois avec le vieillard ont-ils pris une décision comment agira-t-il.

          Albert démontre sa capacité de téléporter devant un employé du CIA. Cet employé après avoir compris vite ce qui se passe, il proposa à l'Albert de faire le même devant plusieurs témoins, c'est-à-dire, devant ses collègues. Albert fut d'accord avec plaisir. Ils lui donnent un agent des chefs qui le vérifierait et enseignerait. Albert appelle cet agent "chef" et l'agent n'a rien contre cela. Albert posa une seule condition, à ne jamais le demander, comment réussit-il à téléporter. En processus du travail avec Albert, le chef plus en plus s'assure de la sincérité et de l'honnêteté d'Albert. Albert ne cache plus ce qu'il vint aux États-Unis illégalement, en espérant de sauver certains gens de la persécution dangereuse. Il avoue qu'il a été comme une victime du chantage par autre collègue du service spécial qui d'abord a fait semblant d'être un pêcheur. Sans attendre cela, grâce à son récit, Albert a découvert un agent dormant de l'Intelligent Service de la Russie. Malgré le fait qu'il est un Américain natif, il agissait dans l'intérêt du général Paukov pour de l'argent.

          Quand Albert reçoit l'autorisation officielle à vivre aux États-Unis, il devient presque à la fois un employé du CIA aussi officiellement. Quand le chef le félicite qu'à partir de maintenant travaillera-t-il en faveur des États-Unis, Albert répond qu'il dirait plus correctement "en faveur de la liberté!", car les pays peuvent se changer, mais la liberté est la valeur éternelle. Aussi l'apôtre Paul a dit: "là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté" (2Corinth 3: 17). D'un côté, le chef a pensé: "quel insupportable est ce type avec ses contradictions!" D'un autre côté il fut touché. Après tout cet agent est inestimable et si admirez-le, ce ne serait point contre la réflexion pratique d'un Américain. Et aussi bien sûr, il n'y a pas tant beaucoup de gens honnêtes, qui auraient un désir passionnel de travailler selon ses propres convictions.

          Le chef était né et élevé dans une famille des baptists croyants et maintenant il s'est rendu compte qu'en se mettant au travail au total, il a commencé à oublier Dieu et l'éternité. Le jour de congé il est parti à la nature et priait. Il a compris maintenant que la foi sans obscurantisme et fanatisme n'empêchera jamais au travail d'éclaireur. Elle ne peut qu'aider. Après tout, le grand professeur a dit: "rendez les choses de César à César, mais les choses de Dieu à Dieu". Cet endroit-là le roman est fini.

          Ainsi, Albert a l'apporté un bon fruit encore, il a emmené un être humain à la foi. Tel protagoniste on a réussi à créer. Parfois, il est impudent et impoli jusqu'au cynisme lorsqu'il est confronté le mal, mais dans la profondeur de l'âme il est toujours orienté vers bien. Il aime les quatre femmes mais il ne les considère jamais comme un moyen à utiliser, mais dans chacune d'eux voit-il une belle création et son amour est sincère. Il est sympathique aux relations drôles d'Olesya et Paul. Il devint non seulement un successeur digne du vieillard mais aussi un bon ami. Néanmoins le teste principal, c'est le test de téléportation. Malgré l'acquisition de la force épouvantable, il est resté l'être humain. Il n'a besoin d'être un monstre obsédé par la soif de pouvoir. Quant à sa femme et ses trois amies, Paul et Olesya, en admettons qu'ils ne sont pas sans péché du tout, mais notre environnement gris manque des gens comme ça. Quoiqu'il y ait peu de lecteurs qui le confesseraient.


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