Saturday, June 30, 2012

Chapitre VI. "L'enleveur énigmatique".


       Enfin Inga fut déliée entièrement. Elle sentit la chaleur aux fesses. Elle passa la paume le long des places fouettées. La peau-là fut très rugueuse. Elle jeta un coup d'œil à la paume. Un peu traces du sang y restèrent.
     -Est-ce que tu y susses? Tu m'as fouettée jusqu'au sang.
     -Il n'y a rien de terrible. La chair est capable de supporter beaucoup plus que tu as. C'est bien la charge plus nerveuse que celle-là physique. Ton cœur est sain, c'est pourquoi il n'y a rien de danger. Si tu ne viens pas d'avoir une envie d'obéir et se soumettre, on peut répéter le même plus encore. 
     -Vraiment, il n'y en aura pas besoin.
     -Et tu réussis, ma belle. L'autre fois comme tu criais! Et après cela comme tu as pleuré nerveusement! Et comme joliment tu viens de se tenir cette fois! C'est dommage que je n'ai pas une caméra. Tu ne t'es égosillée qu'avant la fin.
     -Puis-je entrais à la tente me reposer?
     -Reposes-toi pendant deux heures. Puis nous préparerons le dîner. Puis il faudra t'étudier. Nous avons peu de temps, mais j'ai envie de te renseigner beaucoup.
      En se couchant à la tente, Inga flatta, palpa les traces des "adventures" d'aujourd'hui. Les attouchements provoquèrent une faible douleur, mais cette douleur la réjouit.
      "On vient de me punir. J'étais une fillette désobéissante et on vient de me fouetter si fortement que j'ai mal à m'asseoir. Si je polissonne, on me fessera encore. Je viens de passer par de rudes épreuves". Inga se sentit heureuse de telles pensées. Il y eut encore quelque chose duquel Inga se sentit heureuse, s'est pourquoi un neuf monde s'ouvrit devant elle, le monde inconnu jadis qui en fait, coexistait avec elle toujours.
     -Ohé, mon maître! Est-ce que je sois une détraquée? Une masochiste?
     -Et quoi? Est-ce que tu as oubliée la leçon? Tu es la plus excellente telle que tu es.
     -Je me souviens. Mais j'en doute un peu.
     -Tu accoutumeras.
     "Soit, soit, - Inga dit à soi-même.- Même si tu m'écorches, je te violerai malgré tout".
      Elle s'endormit avec ces pensées pour quelque temps. Le sommeil de courte durée rétablit ses forces vite. Inga fut heureuse. Elle se souvint avec quels désenchantement et dépit elle s'était éveillée hier le matin. Et alors elle avait regretté qu'elle s'était éveillée. Maintenant elle regardait entièrement à l'autre façon à l'univers qui fut apparu beaucoup plus grand et plus joli. En limitant sa locomotion dans l'espace, le mystérieux inconnu, même le nom de lequel ne lui fut pas connu jusqu'à présent, il lui avait ouverte la liberté plus grande incommensurablement, on dirait, un énorme pays heureux, lequel maintenant elle va apprendre, flâner en jouissant de lui, selon ses excellentes allées de paradis, en se résignant à payer périodiquement pour cela par la douleur, les hurlements et les larmes. Le jeu valait la chandelle.
      Lorsqu'ils eurent allumé le feu et préparèrent le dîner, son enlèveur énigmatique et maintenant désiré, il s'adressa à l'Inga:
     -Je dois te prévenir d'avance. Quand tu reviendras à la cité, tu ne la reconnaîtras pas. Bien sûr, à condition que tu s'avances assez selon la voie de perfection. En revenant au monde auquel tu n'appartiens plus, tu verras que c'est une prison et tu prendras ses habitants et le même en haine. Tu auras envie de faire des extravagances et, si on peut s'exprimer comme ça, tu contreviendras les règles de la sécurité de la guerre contre la société. Alors, la société te brisera et te fera revenir à la stalle ancienne. Dans la première jeunesse je plusieurs fois perdais mes amis de cette façon. En étant enflammés de mon esprit de révolte, ils faisaient des bêtises et s'attiraient des ennuis: certains étaient placés à l'asile d'aliénés par ses parents, les autres étaient emprisonnés. En se remettant des ennuis, pas assez menus, ils me déclaraient que maintenant ils "grandissent", qu' ils devinssent "raisonnables", qu'ils "ne retombent plus en enfance". Ils me prenaient en haine, en estimant que je sois la seule cause de tous les ennuis qui sont tombés sur eux. Ils ne revenaient jamais plus sur la Voie, au moins, dans cette vie. Maintenant ils s'étiolent: les uns de l'eau-de-vie, les autres des maladies; c'est pourquoi il vient jusqu'à certaines parts de leur subconscience, précisément QUOI ils ont perdu. Je ne voudrais point que cela soit arrivé à toi.
      Je te voudrais apprêter justement conformément à cette cause. Toutes les études que nous pratiquions, ce n'est pas une de mes lubies. Tu seras obligée à revenir au monde, auquel tu n'appartiens plus. Tu y séjourneras comme une éclaireuse dans l'arrière d'ennemi. Tu seras obligée à devenir une actrice, c'est-à-dire, à jouer un rôle. Ce n'est pas difficilement, mais c'est plus difficilement avec cela de ne pas oublier que ce n'est qu'un rôle. Ton masque ne doit pas devenir ta face. C'est pourquoi d'abord il faut éviter à séjourner dans la société longtemps, même parmi les amies. Ou bien elles remarqueront quelque chose, ou bien tu commenceras à descendre au niveau ancien. Il n'y a pas de voie en arrière. Tu as reçu les connaissances et elles sont avec toi, tu ne peux plus rendre l'ignorance. Néanmoins sur la voie une halte est possible et telle halte rend une personne malheureuse, cela mène aux maladies graves et aux hasards fatals.
      Il faut t'apprendre à lire dans les pensées des personnes présentes, ce n'est pas si difficilement comme il semble au premier regard. Retiens! Chaque face concorde avec certaines pensées. Le peuple avec riche expérience de la vie, il peut en user. Outre cela, il existe une capabilité mystique à lire dans la pensée, qu'on peut développer par la méditation orientale.
      Il faut te savoir t'adapter au froid. Tu habites le pays froid et en cas du changement à la clandestinité il est préférable de se cacher à la nature, à la belle étoile même en hiver. Chaque personne a le grand pouvoir de la résistance au froid, mais c'est rarement qu'on le développe.
     -À quoi bon le cacher? Je ne commets ni pillages, ni meurtres.
     -Peut-être t'estimes qu'en temps de Staline tous les fusillés et les laissés moisir en prison fussent des pillards et des meurtriers? Il y avait beaucoup de philistins qui traitaient le peuple persécuté par les Soviétiques avec désapprobation, mais dans quelques mois ils mêmes se trouvaient à leur place. Et si à quelqu'un d'entre eux une pensée était venue à l'esprit, sans attendre quand leur jour fatal viendrait, échapper à la nature et y vivre toute l'année - soit leur sort serait dur, toutefois bien mieux que celui-là de prisonniers de Goulag. C'est leur propre l'idiotisme qui les a ruinés; l'idiotisme qui est inhérent à la plupart du peuple. Et si aujourd'hui tu vis en bonne harmonie avec cet État, néanmoins la situation politique peut se changer pendant quelques semaines, quoique pour le moment elle change à mieux. Quand un système totalitaire fonctionne à pleine puissance, seulement ta démarche, ou une expression de ton visage, que n'aimaient pas un voisin soûl et son copain d'ivrognerie qui est un agent de KGB, cela peut causer de ta perte.
     -Oh, c'est ça! Tu m'as enlevée à sauver de différentes répressions du totalitarisme. Et quoi si je me trouve une écolière incapable? Si je quitterai la Voie et vivrai comme tous les gens normaux?  -Ce ne serait pis que pour toi, et je garderai les mémoires agréables de toi. Je veux à faire coïncider l'agrément et l'utilité à la fois. Bien, l'utilité disparaîtra mais l'agrément restera malgré tout. Le Maure vient d'exécuter son affaire, et alors Dieu sait. 
     -Est-ce que tu es un croyant? 
     -Je ne crois pas. Je SAIS que Dieu existe. Une fortuite réaction chimique n'a pas pu engendrer la vie, bien à former le code génétique. La vie est créée de la Vie supérieure Qui n'a aucune cause.
     -Est-ce que tu visites une église? Te confesses les singularités sexuelles?
     -Tout d'abord, il n'est pas établi à se confesser à chaque église. Deuxièmement, la foule qui va à l'église, c'est la même foule qui a crucifié le Christ. Tous le texte de l'Évangile est mis contre la société, néanmoins c'est la société qui a mis tout sens dessus dessous. Les premiers siècles le Christianism avait été persécuté. Et tout à coup il est convenu pour tous le monde. Ce n'est pas un hasard. On avait besoin de siècles que la foi véritable soit transformée en son antipode. L'inquisition - c'est un germe du totalitarisme. Et il n'y a qu'un seul opposé du totalitarisme, c'est le Christianism véritable.
     -Le Christianism, est-ce qu'il permette le sexe, d'autant plus, celui-ci qui n'est pas traditionnel?
     -Nous sommes encore des enfants, voilà nous jouons aux jeux infantiles. Quoique j'aie les connaissances beaucoup plus que tu as, mais pour le moment j'ai ne suis pas devenu un bouddha, c'est-à-dire, un Illuminé. Quand nous atteignons ce stade-là, nous n'aurons plus besoin de ces jeux. C'est un enfant qui peut s'intéresser au jeu au morpion, mais pas un adulte. Il s'agit voilà où gît le lièvre! Dans le sexe une énorme énergie est concentrée. En quels cas il est plus probable qu'un chien se détache d'une chaîne? Un étranger qui a pénétré à son territoir - c'est en deuxième tour, et c'est donc une autre chienne qui provoquerait cela en premier tour. Un homme si son orientation sexuelle n'est pas destructive pour lui-même ou pour les autres, s'il désavoue de ses inclinations pour n'importe quels biens à l'avenir, et spécialement pourvu que le monde ne lui blâme pas, tel homme n'est pas moins piteux et moins nul qu'un pleutre qui s'est échappé où on attaquait sa partenaire. Au cas dernier il a le droit moral à tuer les attaquants, s'il ne les peut pas forcer se refuser à l'agression à l'autre façon. La société en transformant un homme en nullité à la façon de mettre des obstacles dans la plus chargée d'énergie partie de la vie, après cela elle peut manipuler de lui, en utilisant lui aux guerres criminelles et les autres buts ignobles.
     -Tu n'as pas peur de faire des erreurs et de se trouver en enfer?
     -Le paradis et l'enfer sont les états de l'âme, pas les espaces géographiques. Même si le sort mène à l'erreur, il serait mieux expier mes fautes que celles des autres. Si deux maux inévitables sont devant toi, il faut choisir un d'eux. Je ferai mieux, si nous traversons une ville, un troupeau des idiots nous attaque et je commets un meurtre, que je commette celui-ci dans la guerre douteuse qui est déchaînée par criminels haut placé.
      Je te répète: il faut apprendre beaucoup de choses: faire semblant d'être une autre, en restant soi-même; lire dans la pensée d'autrui, en cachant propres celles; se cacher dans l'environnement froid, savoir les manières de la neutralisation d'ennemis forts en n'importe quel sens, spécialement savoir trouver leurs points faibles. Parfois certaines choses assez innocentes au premier regard, ils peuvent servir comme une arme terrible aux mains d'un homme instruit.
      Que-ce que ferait un homme ordinaire, si quelqu'un essaye de fouler ses intérêts? S'il fait les tentatives de résistance, il agit inhabilement, perd et capitule avec déshonneur. La faute principale: il tente d'organiser un groupe s'opposant, en exprimant à l'autre manière, créer une société, mais la société est une hydre polytête et lourdaude. Il ne peut vaincre que sous un commandant génial en cas de la soumission à celui-ci sans murmure, mais dans telles occasions il y a beaucoup de délateurs et aucune organisation. Un saboteur bien enseigné, il peut faire plus qu'un troupeau à cent hommes. 
     -Alors pourquoi tels individus tout-puissants ne sont pas utilisés à la guerre?
     -D'où peut on les se procurer? Quel sera le coût pour les enseigner? Et surtout: et s'il apprendra tout ça et se tournera contre ceux qui l'enseignèrent?
     -Et quoi si j'en apprenant tout  je me tournerai contre toi?
     -D'abord tu as déjà connu le goût de la vraie liberté, et à te tourner contre moi, ce serait de même que te retourner contre toi-même. Quoiqu'il y ait une tradition dans nos parages à se nuire à tout alentour, y compris à soi-même. Il existe donc un proverbe: "Soit ma vache va crever, pourvu que celle-là de mon voisin ne vêlera point" -Néanmoins tout ça est une bêtise. Je te répète encore: je serai consolé des choses agréables que j'ai reçues de toi. Il ne tombera que les choses utiles, les choses agréables resteraient. Et alors, comme on chante dans une chanson connue: "Je ne t'oublierai jamais, je ne te verrai jamais" (Я тебя никогда не забуду, я тебя никогда не увижу). Deuxièmement: à propos de me nuire, d'abord trouve-moi! Supposes-tu que j'aie l'intention de séjourner ici dix ans avec toi?
     -Et quoi si la police te trouvera?
     -Ils ont des chances de me trouver un peu plus que tu les as, et si tu seras une bonne écolière, ils les ont moins. D'accord, ils trouveraient la place de mon enregistrement du passeport, mais qui leur répondra, où SUIS-JE? Ça y est, ma belle, - et il lui donna en jouant une claque de paume sonore et forte sur place où la cravache s'est promené récemment. Inga grimaça de douleur. D'ailleurs, je ne te conseille pas de polissonner aujourd'hui car à l'occasion de quelque chose je te punirai sur les fesses de nouveau. Alors tu auras plus mal. Cela pas malsain, pas dangereusement, néanmoins tu ne pourras nullement t'asseoir pendant deux jours. Inga s'imagina cette perspective avec horreur et sérieusement décida en esprit de ne taquiner plus son précepteur sévère.
       Cette journée ils étudiaient beaucoup, il l'enseignait à marcher par forêt sans bruit, en indiquant ses fautes.
     - Tu n'as que commence tout juste à marcher comme ça, - parla son enleveur.- Et pour le moment ces jours je n'ai qu'indiqué tes fautes, mais dans quelques jours je te punirai pour celles-là. Retiens: dans la vie réelle telle faute peut être pareille à mort.     
       Toutefois, il la cinglait par branche sur les cuisses quelques fois où elle ne devinait pas ses intentions; ce fut une étude de lire dans la pensée d'autrui. Le même jour il la commença à l'éclairer, comme il même dirait, dans la plus applicable en vie partie des mathématiques, c'est le calcul des probabilités. Devant le coucher du soleil elle lui avoua:
     -Je ne peux rien à me faire, j'ai envie de toi. Mais tu m'as défendu cela. Tu parles que l'abstinence provisoire soit mieux pour tous les deux.
     -C'est vrai en fait. Si tu ne crois pas - on peut ne pas croire, néanmoins tu dois m'obéir et il sera mieux que tu n'essaies pas à résister à moi. Tu n'en supporterais malgré tout.
     -Mais je ne pourrai pas m'endormir.
     -Frotte-toi par crème contre les moustiques comme on y fait à l'approche de la nuit, assois-toi sur les talons à la position Vadjrasana! Tâche de méditer de rien pendant trois minutes! 
       D'abord Inga se mit à genoux, puis écarta les talons et s'assit sur eux. Plusieurs fois son enleveur siffla par cravache en air pour faire peur, en disant:
     -J'ai dit: aucune penser!
      Trois minutes passèrent.
     -Change de position en Virasana.
      Inga écarta les pieds sans écarter les genoux et s'assit sur le sol. Cela elle bien savait. Encore trois minutes passèrent.
     -Et maintenant couche-toi sur le dos. Tu en as presque obtenu ces jours. Excellemment! Voilà enfin! Maintenant oublie tout! Concentre-toi au plexus solaire! C'est-à-dire à chakra Manipoura.
      D'abord les sensations en jambes et en pieds n'étaient pas agréables, mais dans deux minutes elles disparurent. Il a bien fallu se souvenir qu'elle est fouettée fortement aujourd'hui. Derechef il devina trois fois qu'elle oubliait la concentration et siffla par cravache en air d'un air menaçant.
     -Lève-toi! Maintenant tâche t'asseoir en position Siddhasana!
      Elle en obtint. Aujourd'hui, il était bien bonne journée, à l'exception de l'épreuve difficile, laquelle la coquine avait provoquée le matin. Elle eut un peu mal en étant assise. Dans cinq minutes elle changea les jambes au commandement.
     -Maintenant va pour le petit besoin, habille-toi et endors-toi en position de cadavre, c'est Chavasana.
      Ainsi Inga fit tout: elle se coucha sur le dos, se détendit, s'en imaginant qu'elle entrât toute nue dans un lac pur qui est entouré par les alentours pittoresques et toutes les parties de sa chair qui se trouvent sous l'eau, elles faiblissaient et dissolvaient. Bientôt elle s'endormit. Elle vit en rêve une altitude effrayante d'où on avait des chances de tomber. En étant debout là, elle devait lancer en bas des pierres assez grosses mais, sans manquer à mettre eux en branle aux mains avant de lancer. Cela la égayait trop. La gaieté confondait avec frayeur de l'abîme tellement proche et de beaucoup des chances de tomber du bord tellement étroit. Il ne fut plus possible un sommeil avec telles émotions orageuses, et Inga se réveilla.
      Il n'eut personne près d'elle. Inga devina que son précepteur soit assis près du feu dehors. Il était très sensible au réveil d'elle et conformément au "code de captive" la nuit, pour éviter une punition dure, elle lui devait rapporter qu'elle vient de se réveiller. Elle rapporta et demanda la permission de sortir de la tente. Il l'en permit. 
      Les couleurs incomparables, les sentiments incomparables de la nuit s'achevant de juin, tout cela s'ouvrirent devant elle. La douce fraîcheur caressante avec le silence de la forêt qui n'eut pas encore réveillée, tout cela intensifièrent l'impression. On en voulait quelque chose de plus.
     -Je n'entendais jamais, comment tu chantes.
     -Je n'en réussirai pas.
     -Pour savoir nager, - il parlait lentement et presque tout bas, - il faut entrer dans l'eau. Apprendre théoriquement à nager - c'est impossible. À chanter - aussi. Je vais t'aider. Je vais commencer et tu vas se joindre à chanter graduellement.
      Oh! Се n'est pas en vain qu'Inga lui comparait à Vysotsky! "Когда вода всемирного потопа..." (de russe: "Lorsque l'eau du déluge universe...") - commença le précepteur, en imitant assez heureusement le génie de chant qui s'était allé à jamais, il y eut non si longtemps. Ce chant rendit Inga définitivement à certaines barrières de la félicité, en traversant lesquelles, on peut éclater en sanglots de bonheur. Quand on vint jusqu'au refrain, elle, en contenant à peine les larmes de joie, se mit à chanter, et il semblait, elle chanta en ajoutant toute sa propre essence à cette chanson:
     -Я поля-а влюбленным постелю-у. Пусть поют во сне и наяву-у..." (J'étendrai les champs pour les amoureux. Soit ils chantent en rêve et en réalité...)
      Elle chanta le refrain jusqu'à bout et ne reconnut pas sa propre voix. Cette belle voix, grêle et d'autre part forte voix de jeune fille, même un peu couvrant son partenaire du duo surgi spontanément, cette voix exprima tous les sentiments: et ceux qui sont contenus au sens des mots chantés, et ceux que les mots ne peuvent pas exprimer, et ceux que le génial auteur ressentit, et ceux qui du féerique paysage nocturne entrèrent dans l'âme grand ouverte à travers une porte interdite et autrefois fermée mais maintenant la porte grand ouverte en faisant enrager la société, et ces sentiments furent entrés non comme des trouble-paix, mais comme ses amis bienvenus de lesquels sa jolie âme si s'ennuyait; l'âme qui si longtemps languissait enfermée! Inga en chantant avec telle grande ferveur, elle bien ne pouvait fausser ni une seule note et avec souffler, car elle ne savait pas tous les mots, elle chanta cette chanson admirable jusqu'à bout.
     -Es-tu heureuse?- Il savait que la question est superflue, tout était vu sans demander. Les larmes de joie roulaient en bas selon joues de la fille.
     -Oui! - répondit Inga tout bas, avec passion.
     -Néanmoins remarque! Toi et moi, nous n'avons rien fait. N'avons que chanté. Maintenant compare: le bonheur de l'abnégation, le bonheur d'une certaine douleur, le bonheur de la volupté sexuelle, le bonheur d'une jolie chanson ou d'une poésie - tout cela comme les tableaux: un celui-ci d'une certaine couleur, un autre celui-là - d'une autre. Et c'est une bêtise à discuter, quelle couleur est mieux, quoique la foule stupide essaye de diviser le bonheur en pur et impur. Cette idée n'est pas une neuve. Cette division en pure et impure était réfutée par Tantra il y a cinq mille ans. Le Nouveau Testament a réfutée la même division aussi. Quand on a envie de pleurer de bonheur - cela est l'état d'amour. Ce n'est pas d'une grande importance de quoi cet état est provoqué. À l'instant pareil nous nous approchons vers Divinité et nous devenons dûment heureux.
      Néanmoins d'abord nous avons besoin d'une porte pour entrer en état de l'amour. La porte peut être toi. La porte peut être une chanson. La porte peut être cette nuit féerique. Nous attribuons notre bonheur aux objets, comme si tout dépendrait des circonstances extérieures qui nous fournissent ces objets. Nous préférons les objets humains et soit ils nous payeraient de retour. C'est notre enfance spirituelle. Quand nous croîtrons jusqu'à la maturité spirituelle, nous sentirons, et en théorie j'y bien sais au présent, que nous puissions être heureux, que nous puissions être en état d'amour, que nous puissions s'approcher de la Divinité - et tout cela est possible sans aucune sorte d'objets - il suffit assez un seul propre"moi".
      Tu es heureuse si tu te trouves en l'état d'amour, ça ne fait rien, est-ce qu'on te paye de retour ou non. Tu es malheureuse-là où cet état disparaît, même si tu serais debout ce temps-là sur la scène et les admirateurs fanatiques te couvriraient de fleurs. Alexandre de Macédoine et Napoléon conquéraient le monde. On avait peur d'eux, on les saluait, on les applaudissait. Mais ils mêmes s'estimaient malchanceux. Remarque! Ceux qui conquéraient le monde, ils s'estimaient malchanceux. Et tout cela parce qu'ils ne savaient pas aimer. Ils ne savaient que faire la guerre.
     " Потому что если не любил - 
      Значит ты не жил и не дышал".
     (Parce que si tu n'aimais pas - ce donc que tu ne vivais pas et ne respirais pas), - son précepteur chanta expressivement la dernière ligne de la chanson qu'ils eurent chantée récemment, puis il proposa:
     -Chantons encore!
     -D'accord! de quoi allons-nous chanter?
      Le précepteur entonna une chanson qui était exécutée depuis longtemps par Mark Bernes "Si tu cesses d'aimer". Inga de même avec zèle de tout son cœur chanta en se joignant à lui. Après avoirachevée la chanson, il la regarda bien en face et expliqua expressivement:
     -Dans ces deux chansons que nous avons chantées aujourd'hui, il se trouve des réponses si pas à toutes les questions mais à très nombreuse quantité d'elles. Bien sûr, as-tu les entendues auparavant?
     -Oui.
     -Est-ce que tu n'as pas remarqué rien? Je le sais. Et le Tchatsky n'a pas remarqué une ligne à l'Évangile et s'est rendu à jeter ses perles devant les pourceaux. Ça y est, ma belle. Apprends des erreurs! S'il n'aurait pas besoin de te punir pour leçons oubliées de derniers jours, est-ce que tu sais que cela signifiera? Cela signifiera que pendant ces derniers jours tu aies reçu tant de connaissances, combien d'autres personnes ne reçoivent pas pendant toute leur vie. Maintenant tu sais ce que la plupart des gens n'apprennent pas jusqu'à neuvième dizaine de leurs vies.
     -Peut-être, mais pour le moment ça ne me regarde pas car j'ai envie de toi, - en ce disant, elle serra son précepteur dans ses bras et embrassa lui sur la bouche. Il répondit au baiser et la serra dans ses bras aussi.
     -J'ai envie de toi pas moins.
      Inga vit et sentit au travers vêtement qu'il ne ment pas.
     -En outre, soit cela passe en ville, toute de suite je profiterais de l'accessibilité pour notre lien ne se brise pas, mais dans le cas présent j'ai le temps.
     -Aujourd'hui tu as admiré de moi que j'ai reçu les tourmentes à l'intention de l'Amour et avec cela tu m'as fouetté que j'ai mal s'asseoir. Je devine que tu as besoin de ma douleur, de mes souffrances.
     -J'ai besoin que l'état d'amour s'augmente en toi jusqu'à certaines limites et que dans tel état tu te me donne. Plus amour est en toi, plus de la douleur supportes-tu. Ta bonne volonté des épreuves indique la sincérité et la force des sentiments. Aujourd'hui où tu t'es résignée à soixante-quinze claques, j'ai appris que la graine de ton amour a donné un fruit fort et viable. Il ne faut que donner à lui la possibilité d'être mûr.
     -Pourquoi de ne pas montrer la force de ton amour aussi? Souffrons avec moi ensemble!
     -Malheureusement, ce qui est une torture pour toi, la même est une bagatelle pour moi. Pour produire de même effet à moi que la fustigation-là pour l'évasion a produit à toi, il faudrait m'infliger au supplice douloureux. Nos forces sont inégales. As-tu envie d'essayer? Récemment il a été la nouvelle lune. Jusqu'aux huitièmes journées de lune il est utile de cautériser un point sur la jambe. je ne sais pas en détail, comment on fait cela selon toutes les règles et parfois je cautérise ce point sans me gêner par simple cigarette.
      Il ôta son pantalon et s'assit sur le tronc d'un bois mort où ils conversaient et dînaient souvent en étant assis. Puis il sortit un stylo à bille, couvrit son genou par paume, traça sur la jambe une ligne horizontale de bout du doigt du cœur, puis celle verticale selon continuation d'auriculaire. Après cela il alluma la cigarette par un bâtonnet mince du feu, et quand la cigarette se fut allumée, il l'approcha graduellement et puis il la serra tout contre le point d'intersection des lignes. Inga un peu sentit l'odeur de brulé, mais son interlocuteur bizarre même ne remua pas.
     -Eh bien, essaye-le. Soit il sera encore une épreuve de mon amour.
     -Je sens la paresse de t'attacher.
     -Allons, je me couche sur le sol, sur le dos, je mets les mains en arrière et les unis. Puis je jette les jambes sur la bille. Tu t'assois sur mes hanches et une ta main retient ma jambe, l'autre celle-ci me cautérise.
     -Eh bien, c'est une idée. Mets la paume sur le genou! Il l'aida de mettre la main correctement et de même dessina une croisette indiquant le point nécessaire.
     -Couche-toi, grue!
     -Oh, comme je le crains, - Inga se lamenta en couchant.- Je même en ai demandé.
      Elle continua de se lamenter quelque chose tout bas, tandis qu'il lui s'assit sur la hanche et alluma la cigarette. Tout à coup le cri aigu coupa ces lamentations. Au loin les buissons secouèrent. Quelque chose gros s'éloignait avec craquement comme s'il cassait tout en forêt.
     -Pauvre sanglier! Comme tu le viens de l'effrayer!
      Inga sourit en réponse.
     -Oui, je suppose qu'il est le plus malheureux de nous trois, quoiqu'on le n'ait pas cautérisé.
     -Quelles impressions sont-ils?
     -La douleur de cravache est longue, accablante et celle de cigarette est aiguë, explosive. Toutefois telle brûlure est mieux qu'une longue fustigation soit.
     -Il ne faut pas souvent ce faire. Sinon le corps va être marqué.
     -Je t'aime malgré tout, - en disant cela, la jeune fille lui serra dans ses bras.
     -Je t'aime aussi.
     -Si je n'ai pas envie de dormir, je t'importunerais et s'attirais des cent claques de cravache.
      Toute de suite il sentit l'envie de dormir aussi. L'aube s'approchait. Dans la tente il pansa la brûlure d'Inga, puis son propre celle-ci. Bientôt ils s'endormirent.

Au chapitre suivant: http://la-flagellation.blogspot.ru/2012/07/chapitre-7-lenleveur-enigmatique.html

Le texte russe original: https://www.proza.ru/2009/12/20/1217

Thursday, June 21, 2012

Chapitre V. "L'enleveur énigmatique".


    -Ce n'est pas moi qui ai inventé cela, - l'étrange professeur poursuivait. - Deux sciences anciennes sont connues pendant plusieurs millénaires, c'est elles qui confirment que la CONNAISSANCE DE TOUT ce cache à l'intérieur de notre substance. C'est la Divinité qui est cachée à l'intérieur de chacun de nous. Il ne faut que se souvenir d'Elle, ôter tous les obstacles, se préparer accueillir la Réalité en face et être capable y supporter. Et c'est la société qui est le premier obstacle entravant la route. Tu es capable déjà de faire quelque chose juste maintenant, - il ralentit le rythme de conversation. - Si tu ne ruses pas avec soi-même, tu distinguerais toujours et sans faute où tu es heureuse d'où tu n'en es pas.
     -Et si ce bonheur n'est pas normal, eh bien? Je parle franchement. Dans ta captivité quelques fois je me sentais heureuse aux situations dans lesquelles un homme normal ne peut-il pas éprouver un bonheur. Je me trouve sous ta domination, tu as la force, mais tu me demandais d'être franche envers toi. Tu m'as asservi et j'en peux devenir folle. Chaque jour je me sens telles choses qui ne pouvaient venir à l'esprit autrefois. Si je raconterais cela a quelqu'un... En gros, je ne sais pas de quoi, ou bien de ce que tu fesse-moi chaque jour, ou bien de ce que tu m'influences à l'une autre façon, toutefois je sens que bientôt en étant avec toi je deviendrai folle. Est-ce que ton but est de me faire folle? Pour je deviendrai folle, finie?
     -Je parierais ma propre vie que tu n'es pas menacée d'une folie réelle. Ce que tu commences à découvrir à l'intérieur de l'âme, cela y séjournait toujours. Tu n'en pourras jamais débarrasser, par ailleurs tu ne pourras jamais acquérir ce que tu n'avais pas. Tu vivais dans l'obscurité et pratiquement ne te connaissais point. Il était interdit pour toi d'user de la lumière de ta propre connaissance, de la lumière de ta propre observation, de la lumière de ta propre compréhension. Et voilà: mon choix est tombé sur toi, et avec l'aide de moi tu viens de se trouver loin des gardiens de ton ignorance. En scrutant avec précaution, tout de même tu as osé éclairer craintivement avec l'aide de cette lumière sa propre essence et maintenant tu sais un peu plus de toi. Si tu éclaires plus fortement, tu apprendras de toi plus encore.
     -Et quoi si j'apprends ce qu'il serait mieux de ne savoir point? Si dans la profondeur de ma propre essence un désir s'ouvrira de tuer moi-même ou l'autres? Qu'est-ce que t'en me parles?
     -J'en ai quelque chose à parler et j'attendais longtemps cette question. Ces occasions ont lieu très rare, mais il ne faut pas, il ne les faut point à retrancher du compte. Tu dois t'assimiler tout que je vais dire. Je même ne te donnerais si beaucoup de l'alimentation pour méditation à la fois. Néanmoins, je vois que ton intérêt vient de s'échauffer ainsi que tu n'a pas peur d'être fessée si tu oublierais quelque chose que je dise. Et s'il y a l'intérêt vif à certains sujets, alors ce sujet serait mieux assimilé. Ainsi, écoutes-moi avec attention!
      Il y a deux voies vers Dieu, c'est deux sciences anciennes: le Yoga et le Tantra. Ce n'est pas des religions. Ce sont les sciences. Ce sont des théories qui fonctionnent bien. Un yogi peut être soit un hindou, soit un chrétien, soit un musulman. On peut dire de même sur Tantra. Le but principal de chaque être humain est l'éclaircissement. Les Hindous cela nomment le Samadhi et Jésus cela nommait la Naissance de nouveau. Jusqu'à ce que tu l'obtiennes, que n'importe quel bonheur soit arrivé chez toi, malgré tout tu manquerais on ne sait pas quoi. Tu auras envie de quelque chose plus et attendras demain avec impatience. Si tu atteints le Samadhi, tu serais heureuse dans n'importe quelles circonstances, même dans la solitude absolue, même dans l'enfer, à vrai dire nulle part et rien ne soit un enfer envers à toi.
      La plupart d'ayant atteint s'avançaient selon la voie du Tantra. Le Tantra prédomine dans la doctrine du Christ, quoiqu'il y ait un peu du Yoga aussi. Le Tantra renseigne d'accepter le monde tel qu'il est, y compris soi-même; il part de l'état dans lequel la personne est. Ainsi le Tantra part du commencement, et le Yoga part de la fin, c'est-à-dire, de l'état dans lequel la personne séjournerait où le voile d'un dernier obstacle serait tombé. Ceux qui sont enclins à tuer soi-même ou l'autres et non étant à la station de guerre avec ces autres à la fois, ils doivent suivre selon la voie du Yoga. Si ce fait est publié, beaucoup de vies seraient sauvées. Les maniaques tuant ne doivent pas suivre selon la voie du Tantra en recevant soi-même tel qu'il est. En suivant selon leurs penchants, ils produiraient des problèmes plus que résolvent, et avec cela pour eux-mêmes en premier tour. Néanmoins, il serait mieux à suivre selon la voie du Tantra pour tous les autres. Il mènera au but plus vite, quoique le Yoga soit attrayant pour la majorité du peuple qui sont enclins à satisfaire leurs egos, mais cela est en dehors de notre sujet d'aujourd'hui.
      Sache donc assimiler l'essentiel! Jusqu'à ce que tu ne sois pas encline à ruiner sans cause toi-même ou l'autres, tu es parfaite telle que tu es. Si tu suis avec plus grande concordance avec ta propre essence, alors tu serais plus parfaite et plus belle. Et l'opinion du monde ne doit pas t'intéresser plus que l'opinion des singes au parc zoologique. Hier tu as reconnu avec tristesse que le bonheur et la société ne sont pas compatibles. En quoi est le problème donc? Jette dehors la société comme on jette une petite pierre empêchant à marcher de la bottine!
     -Est-ce que tu proposes que je sois seule contre tout le monde? De même comme Tchatskiy? Est-ce que tu estimes que finalement je serais une triomphatrice?
     -Conformément à la conception de Griboiédov, Tchatskiy a dix-huit ans. N'avant pas de l'expérience de la vie, n'apprenant pas au total qu'il a l'affaire, on dirait, avec robots programmés à certains comportements; il espère aussitôt qu'il leur donne une simple formule de la vérité, ils le écouteraient toute de suite, et le monde se renverserait en bon sens; que de tout soit mis chacun à sa place. Mais rien ne vient d'arriver et il est déçu. Il bien ne sait pas que cette tentative est condamnée à l'échec par avance. Il est écrit donc à l'Évangile: "ne jetez pas vos perles devant les pourceaux", mais il n'en vient pas de tenir compte. Faire changer d'avis de ce peuple est de même qu'on renseigne un chien à parler langue humaine. Il vient de tenter, on dirait, de réparer une machine détraquée désespérément et le mécanisme de laquelle n'est pas su. Non, cela n'est pas à quoi je te renseigne. Je te renseigne que tu fasses ton affaire silencieusement et n'admettes pas des étrangers au "sanctuaire" de la vie privée. Malheureusement, dans cette société gâteuse c'est l'usage parfois, quoique au figuré, à faire irruption à l'un chez soi et fouiller au linge ou demander un rapport de la vie privée. La retenue est une sédition. En ce cas il faut être prête à résistance qualifiée et je t'en renseignerai.
      Tu as peur d'agir seule contre tout le monde? Il n'en pas besoin. Néanmoins, en cas de la persécution collective, il faut donc, avoir un contrepoison. Et retiens: la force humaine se trouve dans l'intellect. La plus grande chose qu'une forte main puisse faire, c'est à casser un mur de brique. Pendant quelques minutes un fort esprit peut détruire une ville d'ennemi. Une vieille bossue avec bâton, si elle est douée de l'intelligence et si elle a une aiguë envie de vaincre, elle pourrait détruire plusieurs dizaines des moujiks robustes, dont la fantaisie ne traverse pas certaines limites comme, par exemple, casser la gueule à quelqu'un, venir avec racailles ou dénoncer aux flics, mais en fait il y a mille moyens de la lutte. Toute de suite je ne vais pas raconter en détail, nous apprendrons cela plus tard. Retiens le premier: si quelqu'un t'ourdit des intrigues - recueille l'information de lui! Accroche-toi à n'importe quelles nouvelles car la plus innocente information tout à coup peut devenir très utile! Et certes, recherche les faibles lieux à lui! Tu as donc un exemple dans la vie, ton deuxième mec-là: tu as recueillie l'information de lui et tu es devenue plus forte. Si ça va à l'autre façon, peut-être tous le quartier aurait appris quelle tu es en faisant d'amour, comment tu fais ça et en outre avec tous les détails.
      Tout à coup Inga se rappela qu'elle eut oublié de mettre le maillot de bain encore comme hier. Le premier élan fut à se lever brusquement et en se couvrant courir jusqu'à la tente étant tout près et s'habiller là-bas, mais elle comprit à temps que se soit stupidement maintenant et ce serait mieux qu'il admire l'elle. Elle se leva lentement en rapportant doucement: "je vais m'habiller", se tourna harmonieusement, en brillant des traces de la fessée et arriva à la tente, mit le maillot de bain et apparut de nouveau.
     -Maintenant, ma belle, nous allons prendre du thé, et tu me vas raconter tout que tu viens d'assimiler. Je viens de te donner la matière pour l'étude plus qu'il soit assez.- Ils commencèrent à préparer du thé, ouvrirent le poisson en tomate de conserve et sortirent le pain. Le lait condensé qui était eu en réserve déja d'avant d'enlèvement d'Inga, il prenait fin car il était un déficit.
     -Tu peux commencer tout de suite.
     Inga répétait brièvement que la plupart gens du peuple sont stupides selon leur propre choix, que chacun peut être un grand homme à condition qu'il trouve son "riche filon" ou en disant figurément à l'autre façon, à condition qu'il se règle à certaines ondes, qu'en URSS on tente de pousser violemment les gens vers la collectivité pour les détourner de la recherche soi-même; elle se rappela donc encore que "si quelqu'un commence à penser par sa propre tête, il tout d'un coup devient surpassant le monde environnant d'une tête", elle compara les pays anglophones et ceux-ci slaves. Puis elle versa le thé fort en chopes et continuait de répondre la leçon. Elle répéta qu'il soit mieux de ne pas consulter avec n'importe qui, puisque chacun peut trouver la "connaissance de tout" à l'intérieur de son âme. En découvrant soi-même, une personne peut découvrir ce qu'elle ne savait pas de soi d'avant, mais elle en avait chez soi toujours, et si certaines tendances dangereuses pour soi-même ou pour l'autres sont découvertes, alors il serait nécessaire d'aller selon la voie du Yoga, et il est mieux d'aller selon la voie du Tantra en toutes les autres occasions pour accepter et aimer soi-même qu'elle est, accepter le monde tel qu'il est. Et on ne satisfait pas pendant on n'a pas passée la voue jusqu'au bout où on atteindra la condition de Samadhi, c'est-à-dire, de l'éclaircissement ou de la Naissance de nouveau. Et enfin, il faut jeter dehors la société pour être heureuse, non s'armer contre lui, mais faire son affaire silencieusement. Ne permettre à personne de fourrer son nez dans la vie privée, et si on va t'attaquer, il faut préparer la guerre: recueillir toute l'information qui tombe de l'adversaire, en accentuant sur la chose principale, c'est-à-dire, sur ces faibles, néanmoins être forte, au premier tour au détriment de son intelligence.
     -Tu as oubliée une chose: vous n'êtes pas libre...
     -Si vous n'êtes pas libre sexuellement- Inga répondit en précipitant les mots.
     -Parfait! Si après telle réponse il y a envie de te fesser, on ne trouverait pas de quoi.
     -Pourquoi pas au lieu de moi tu enlèverais un gaillard? C'est intéressant qui de vous deux serait fessé?
      Inga pensa que toute de suite c'est les menaces qui suivraient, mais son geôlier répondit en souriant:
     -Si j'ai envie de gaillards, je ferais donc comme ça, mais d'abord je me mettrais en forme sportive bien convenable, néanmoins heureusement pour toi ou, si tu veux, malheureusement, j'ai envie de filles?
     -Et spécialement à faire leur mal.
     -Tu es juste et ce n'est pas tout. Mes fantaisies sont bien plus diverses, que tu sais.
     -Oui, spécialement le matin. Est-ce que tu es réfléchi que par hasard les touristes ou les chasseurs aient pu passer? Et que j'aie pu être telle mauvaise fille qui montrerait les traces de ta lubie sur la chair et demanderait leur aide?
     -Je ne t'ai pas prévenu à l'une cause. Je sais ces lieus très bien et je sais que maintenant ici ne va personne. Mais admettons l'incroyable que le miracle se serait donc produit et ils ont apparu. S'ils ne sont pas des bêtes, leur réaction serait comme ça: "Copains, vous-mêmes résolvez vos problèmes et ne nous mêlez pas!" C'est dans les villes où ils sont tels braves. La plupart parmi ceux, lesquels tu estimes pareils aux chevaliers, en fait ils ne sont que capables à quatre ou à cinq battre quelqu'un à seul à terre et non loin de flics. Et si la victime sort une arme, même une arme blanche, alors les "héros" préfèreraient de chercher le soutien chez flics et chez peuple, et encore en prouvant, l'écume à la bouche, qu'ils concordent au total avec standards soviétiques. Mais si tes "sauveurs" passants étaient des bêtes, les remords de conscience t'obséderaient jusqu'à la fin de siècle: je les tuerais, je sais comment faire cela, c'est un secret. Eh grue, il te faudrait m'aider les à enterrer.
     -Mais tu suis tes penchants car tu n'as pas envie de tuer, n'est-ce pas? Est-ce maintenant il est temps à se changer à l'yogi?
     -Ne mêle pas les inclinations d'amour avec guerre. Un certain sage à l'Est avait dit depuis longtemps que la guerre est une voie de la tromperie. Mais les meurtres sont justifiés à la guerre aussi. En présence des ennemies, chez moi l'envie sexuelle disparaîtrait au total, et les jeux connectés avec elle aussi. Si tu ne tues pas, quelqu'un d'autre te tuera. Dans cette soi-disant "terre Sainte" reposent dizaines millions cadavres de personnes tuées par les Soviétiques. Parmi eux auraient pu se trouver moi, auraient pu te trouver toi, tes proches; personne n'est assuré. Ton deuxième mec a failli se trouver parmi eux puisqu'il est arriéré. Être un intelligent était défendu pour lui, sinon ses amis lui ne respecteraient plus; on lui a inspiré que ce soit très terrible être en solitude et se promener à sa guise comme un seul chat. Il est devenu comme tout le monde, peut-être du manque de courage, mais plus probablement de la surabondance de bêtise, est-ce que cela lui a sauvé? Il est, on dirait, "un héros". Il est capable de casser la gueule d'un passant inconnu pour tenir compagnie, de détrousser un magasin sans nécessité absolue, de violer quelqu'un son pareil qui est arrivé d'un quartier éloigné et enfin on lui a traité de même. Cette société lui a déformé moralement, la société qui est intéressée qu'il soit plus de brutes, qu'il soit plus des salauds soûls, puisqu'il est plus légèrement à gouverner les brutes et les salauds. Si la société se compose de peuple libre avec respect de soi, alors tous ces lénines, stalines, molotovs et kaganovitches seraient pitoyables et risibles. Maintenant ils ne tuent pas carrément, quoiqu'il ait lieu comme ça, mais rare. Ton connu qui a failli se pendre, il est un exemple parfait. Soit on te dit comme un avertissement: tu as peur de s'opposer contre tout le monde, mais il a vécu comme tout le monde et aurait péri. C'est un cas heureux que la cousine lui a sauvé. Conclusion? Vivre comme tout le monde, ce n'est pas moins dangereux. Il faut vivre comme il te plaira et savoir se défendre et dans ce cas ne combattre que selon ses propres règles.
     -Tu as les réponses à toutes les questions. Tu me renseignes, fouettes, enseignes les leçons d'autoflagellation, comme tu parles. Pourquoi ne pas si toi comme un professeur à moi comme à l'une écolière, tu me montrerais un exemple sur toi-même. Je m'intéresse à ta propre capabilité à supporter la douleur.
     -No problem! Il y a longtemps que j'avais l'intention de te mettre cela en évidence et maintenant c'est à propos comme jamais d'avance.
      Ce fut en première fois: il enleva le slip en présence d'elle, en décrochant du slip la cravache de fil électrique. Inga vit de ses propres yeux comme il fut excité. Elle examina la chair de l'inconnu avec un sourire de joie. Elle vit y compris ce qu'elle n'avait pas vu auparavant. La passion l'arrêta la respiration. Il sembla que l'air de l'outil de torture à la main augmenta cette passion.
     -Tu peux courir autour, regarder bien en face, bien au profil. Mais tiens-toi de la sécurité car si tu t'attires sous la claque - ne fâche-toi pas contre moi, - tout cela il prononça à voix basse comme un conspirateur. Ce fut possible que la passion l'étouffât aussi.
      Le premier sifflement retentit. Inga regarda charmée et ne crut pas ses yeux. Après sixième son excitation fut neutralisée de douleur, néanmoins il continua de se flageller comme si de rien n'était, même en comptant les claques à mi-voix. Inga courut en arrière de lui. Les cicatrices fraîches devinrent vermeilles sur les fesses musculeuses et ces raies furent terminées par gouttes du sang. Puis les égratignures neuves apparurent sur les cuisses et sur le dos. L'objet de l'attention fixe d'Inga acheva le compte jusqu'à trentaine.
     -Et puis la main commence à bousiller. C'est possible que le corps rapporte lui une protestation, on ne sait pas à quelle façon, et la main obéit. Je te donne la cravache. Fouette-moi trente fois plus encore, et soit aucune claque fausse! Je vais vérifier.
      Ce drôle homme donna lui l'outil de torture et tourna le dos de nouveau.
     -Et comment tu vas établir la différence entre mes et tes traces?
     -Fouette-moi sur le dos plus haut que cette ligne soit, - il passa la main une ligne imaginaire, après quoi s'accrocha à l'une branche de bouleau, debout en face de lui.
      Aux premiers instants Inga tâchait de ne pas gâcher son travail, puis ça la excita, néanmoins elle avait peur de surpasser la mesure.
     -Et comment apprendre, qu'une claque n'est pas démesurée?
     -Il ne faut pas que le sang soit étendu le long de toute une cicatrice, mais n'être vu qu'au bout d'elle.- répondit enleveur, en respirant péniblement. 
      Sa voix coptant les claques un peu changea, mais il même supporta la fessée jusqu'au bout tranquillement, seulement en se tordant un peu.
     -Est-ce que tu ne m'ailles pas venger? Je ne suis pas une coupable. C'est toi-même qui m'as ordonné cela. Désobéir à toi, c'est quelque chose de coûteux. 
      Elle s'approcha de lui par-devant, en lui tendant la cravache, mais il debout, détournant du monde, l'expression de la joie aux yeux, et il fut vu que son excitation sexuelle augmenta vite. 
     -Venger? À toi? Je suis donc heureux que telle beauté m'ait fessé! Voilà nous venons de faire la connaissance encore plus intime.
      Inga sentit que détourner le regard ce soit au-dessus de ses forces. Elle sourit avec joie.
     -Il s'est trouvé, tu te plais qu'on te donne le fouet. 
     -Tu aimes ça aussi. J'y ai remarqué plus tôt que toi. Pour le moment tu ne t'es pas orientée en soi-même, néanmoins je m'oriente bien aux choses pareilles. Est-ce que tu m'oses à mentir que deux journées dernières tu prends la pose de punition avec grand plaisir? La douleur diminue ta passion qui après revient plus forte. Donc, il devrait l'être! J'ai de la chance! Dieu merci!- J'ai de la chance! Tu es telle que je suis, et ce n'est pas par hasard qu'il m'attire à toi. 
     -Je vais te dire franchement, tu aimes donc la franchise. Dans cette position j'avais une envie de me donner à toi hier et aujourd'hui. Néanmoins cela ne signifie point que je sois de même détraquée comme tu es.
     -Si tu n'aimes pas qu'on te donne le fouet, à ce moment-là tu n'aurais pas rêvé du sexe. Est-ce que tu croies que les masochistes ne crient pas de la douleur? En fait, la passion peut neutraliser au total la douleur, mais elle le ne peut qu'à l'instant de l'orgasme. Vérifions! Enlève ton maillot de bain, et je te donne une seule claque de fouet assez forte. Tu même vas voir, quoique tu viennes de s'exciter, mais alors tu vas exciter plus fortement.
      Inga enleva le maillot de bain et le jeta sur l'herbe, mais dans l'esprit elle eut les intentions entièrement autres. Elle écarta les rondeurs ornées des cicatrices.
     -Tiens! Fouette! Pas la première fois.
      Il lui donna une claque avec plaisir. Le sifflement connu, et puis la douleur augmentant directement en milieu, près de la fente séparant les fesses. Inga sans gêne saisit la main sur la zone touchée, en frottant.
     -Eh bien! Observe-toi! Est-ce que ta passion est renforcée, fillette?
     -Alors, plus vite! Fais ça! Ne te gêne pas!
     -Je ne me gêne pas. Je veux ce qu'il soit de mieux.
     -Ne tortures pas toi et moi!
      Inga se tourna à son amant prochain et vit à ses propres yeux que l'excitation atteignit le maximum. Elle saisit la main sur le point crucial de la passion de lui et sentit qu'elle-même finissait.
     -Voilà, joue avec! Il serait mieux que tu te calmes.
     -J'ai déjà fini, néanmoins ce n'est pas assez.
      La jeune fille tourna le dos à lui et se pencha, en essayant d'introduire le pénis à ses entrailles brûlant d'impatience. Le drôle homme lui donna un coup de fouet sur les reins.
     -Ne polissonne pas, grue! Sinon tu seras fessée cruellement.- Le pénis fut pris de convulsions. Inga possédée par la passion ne sentit guère le coup de fouet, et son partenaire finissait en respirant péniblement, en se tordant.
     -Alors, pourquoi tu m'as enlevée? Pour torturer et bourrer le crâne par la philosophie délirante?
     -Bien sûr, tu ne sais pas qu'on puisse recevoir de cette affaire le délice à dizaines fois plus grand. Si je te raconte tous les détails à la fois, ce ne serait pas intéressant. Sache! Le grand amour existe! Et le grand bonheur existe dont tu n'as point rêvé. Pas seulement un court-circuit et la délivrance de l'énergie superflue. Bientôt tu t'en aurais assez de tout cela; bientôt ce sera ennuyeux. Ceux deux types avec lesquels tu étais, ils ne pouvaient rien. Et tu ne savais pas donc soi-même jusqu'à la rencontre avec moi. Même maintenant tu ne se connais pas jusqu'àu bout. Attends un peu à cueillir le fruit pendant il est vert! Soit il mûrit. Alors nous arrangerons la grande fête sexuelle!
     -Je veux avec toi toute de suite. Il y a deux journées je méditais que je n'aurais jamais le courage de le dire comme ça, et maintenant si quelqu'un entend cela, on me mettrait à l'asile d'aliénés avec toi ensemble. Je le sais, néanmoins je me laisse prendre à n'importe quoi. Allons, je vais te fesser par osier, et alors t'en pourras encore: tu aimes donc cela. Ou tu fesse-moi! Par osier et non fortement. Cela va t'exciter, et à quoi bon dissimuler: moi aussi. Ce n'est pas que tu ça demandes de la "grue de forêt" mais elle en demande de toi.
     -Mon apprentie me doit comprendre à demi-mot, mais nous répétons la même chose, et je sens qu'il faille t'expliquer le même jusqu'à l'infini. Ce n'est pas toi qui peux ressembler à l'une chipie! Ou bien, soumets-toi! Ou bien je vais te fouetter plus fortement qu'il a été le matin!
     -Fouette-moi!
     -Apporte les cordes! Je vais t'attacher à l'arbre.
      Il vit à sa grande surprise qu'Inga alla dans la tente humblement, sans dire. Les contradictions internes la divisaient. En étant troublée de la discussion, jusqu'à présent elle ne se rendit compte, quelles épreuves elle a attirées sur soi-même. Y compris Inga sentit qu'elle a certaines envies d'être une victime, éprouver les souffrances, la douleur jusqu'aux larmes, elle en commença à trouver quelque chose de sublime, inexplicable. Elle sut que bientôt regretterait cela, néanmoins elle laissa aller devenir liée, en sentant la joie.
     -Combien de claques vas-tu donner à moi?
     -Soixante-quinze claques te feraient contente, ma belle?
     -Alors, pour l'évasion, combien tu m'as données.
     -Il y avait une centaine.
     -En ce cas les soixante-quinze ne sont qu'un rien.
     -On va voir.
      Le sifflement connu. La douleur connue.
     -Maintenant je vais souffrir, - prononça la jeune fille tout bas, en devenant s'enhardir.  .
       Elle s'imagina soi-même à temps du moyen Âge à la place publique. La foule pousse des ho et des ha, certains plaignent, les autres se réjouissent de son malheur, et un bourreau impitoyable au chaperon rouge, il la fouette selon toutes les règles. Elle gémit doucement de douleur, se tord joliment, en augmentant certains nombres des admirateurs, des sympathisants, des gens extasiés, ceux qui sont séduits, ceux qui sont bouleversés.
     -Ouille... ouille... ouille, - Inga gémit déjà en réalité qu'on entend à peine.
      Le sexe s'alla, l'obsession s'allait, la douleur resta. Cela n'est pas dangereux, cela même n'est pas offensant, cela est pénible, il faut tolérer. La jeune fille en s'efforça, se tordit, la face rougit. La douleur devenait pénétrante, impitoyable, insupportable. Le visage devenait baigné de larmes.
     - Aïe! Aïe! Aïe! Ne fais plus ça! - elle cria à tue-tête.
      "Oh, comme il est difficile de souffrir dûment", - la pensée traversa l'esprit.
     -Est-ce que tu vas obéir, grue?!
     -J'ai mal donc! Assez! Aïe!- Tout en larmes. - Aïe! Que fais-tu! Je n'en peux plus! J'ai ma-al! 
     "Il ne passe pas fièrement et joliment, - fusa une pensée encore. - Je manque à tolérer".
     -A-a-a-a!
      Il n'y a plus de sifflement. Est-il possible que ses souffrances ont pris fin?
     -A-aïe, - les cris et les hurlements changent à gémissement ressemblant à celui-ci pendant l'orgasme. Inga se tord de nouveau.
     -Quoique, délie les mains, toi! - elle parla à voix suppliante. Voilà les mains furent déliées. Il la regarda avec enthousiasme et douceur. Il la embrassa sur les yeux pleins de larmes, en disant:

-Je te félicite! Tu as reçu ces tourmentes à l'intention de l'Amour!