Friday, February 4, 2022

Chapitre VIII. Pêcher en eau trouble. La téléportation. Partie II.

           Le lendemain, Albert visita les appartements de toutes les trois amies de Nadia et ne trouva personne dans tous les trois. En propre appartement faisait-il du vent et la température était près de nulle. Dans l'appartement de Sveta faisait-il froid aussi. Personne n'avait raccommodé les fenêtres brisées avec les crosses d'armes.

          -Il n'y a personne chez soi, toutes les trois. Peu probable que ce soit une coïncidence. Il y a quelque chose qui cloche, - Albert fit conclusion après être revenu du voyage court. - Spécialement si garder à l'esprit qu'est-il le matin tôt à Moscou maintenant.

          -Et je ne doute pas en cela, - le vieillard répondit. Comme un connaisseur, comme un analyste, essaye de calculer, chacune des parties comment agira-t-elle? Puis j'ajouterai mes propres observations si elles diffèrent. Si je tirais ce crétin Tolik d'un pétrin qui est rentré là-bas de nouveau et a péri, grâce à sa bêtise, repose en paix, quant à ces femmes, c'est mon devoir de sauver toutes eux.

          À ce moment-là, Olesya promenait avec ses skis neufs. Tout le reste essayait de ne se souvenir pas les évènements moscovites en présence d'elle, pour ne pas trop en dire accidentellement sur la téléportation.

          En cours de l'évacuation de Nadejda, Paul dit auparavant à la caissière à la gare Novossibirsk, où il avec Olesya, tous deux planifiaient de retourner à Krasnoïarsk. Il avait payé à elle bien et immédiatement avait téléporté chez soi, s'est mis au chemin avec Olesya, en l'emmenant de la maison, sans que les voisins les vissent. Au bus, où les habitant locaux pouvaient être, ils avaient décidé de faire semblant comme s'ils ne se connaissaient l'un l'autre. Seulement, après prendre le train Krasnoïarsk-Tachkent ils avaient cessé de cacher le fait de l'environnement qu'ils voyageaient ensemble. Leur visionnage de celle-là vidéocassette funeste, aussi leur voyage à Novossibirsk, c'étaient des exceptions. En reste des cas, Paul essayait de ne la pas initier à ses affaires, parce qu'il avait peur pour elle.

          Nadia ne pleurait pas, mais fut dérangée malgré cela à cause de la disparition des toutes trois, surtout de Lena. La dernière travaillait pour le département formé illégalement, les organisateurs de laquelle étaient en courant de toutes conversations d'elle après les avoir enregistrés de la façon secrète. Et ils bien savaient qu'il serait impossible d'apprendre d'elle quelque chose de plus et bientôt ils cesseraient d'avoir besoin d'elle. Elle ne travaillait pas à la cantine depuis longtemps, mais elle faisait semblant devant les amies comme si elle continuait à travailler là-bas. Quand elle disait à elles qu'elle était au travail, c'était la vérité. Le mensonge était le fait dans quel travail était-elle.

          Deux heures se sont écoulées.

          -Et quoi? - le vieillard questionna.

          -Beaucoup de versions. Il y a l'embarras du choix. Dans quelques heures peut-être que puisse-je les transformer en forme commode à comprendre, néanmoins, cela aura l'air d'une équation à beaucoup d'inconnues. Il serait bien à obtenir une information de plus. Je dois y aller de nouveau

          -Il faudrait examiner, y compris, les boîtes aux lettres de toutes les trois.

          -C'est vrai, - approuva-t-Albert. - Et il ne serait pas quelque chose de superflu si je suis assis dans chacun appartement, y compris le mien, à peu près dix minutes. Peut-être un téléphone sonnera ou quelqu'un visitera, les voisins demanderont quelque chose - n'importe quelle chose pareille donnerait une sorte d'information. Il serait mieux le faire à deux. Tu prends deux appartements et moi les deux autres. Pour plus rapidement.

          -Visite les appartements par seul - le vieillard répondit. - Car dans ce temps, je peux "grimper" aux institutions, où tu ne peux pas entrer. Bureau de Paukov, par exemple.

          -Après tout, c'est vrai!

          Albert fut assis en vain dans chacun appartement dix minutes, exactement jusqu'à seconde. Il n'y avait rien aux boîtes aux lettres aussi. Le sien appartement froid il examina en dernier tour. Mais il y avait une sorte de note dans la boîte aux lettres. C'était un télégramme de trois mots: "sauve toutes disponible". C'est déjà quelque chose.

          Albert comprit tout de suite qui est l'auteur du télégramme: "une fille courage, coquine et disponible". Et ce télégramme ne pouvait être un piège, parce que n'invitait personne nulle part et ne donnait aucune information sauf la principale: la pire version fut confirmée. Il était vu que Lena avait décidé qu'une action de la manière comme ça serait moins dangereux et fut attrapée. Kashin et la compagnie, ils ont compris qu'elle se tourna contre eux et la fermèrent quelque part. Ils la pouvaient déja éliminer, mais personne ne voulait penser comme ça. Si elle est vivante, donc soit l'élimination d'elle avait été difficile de la façon technique, soit ils planifiaient de l'utiliser comme un otage et appât. C'était la raison pour laquelle ils n'avaient pas intercepté le télégramme envoyé avant-hier de Moscou. Cela signifiait que Lena n'est capturée quelque part chez eux que deux journées et quant à Valia et Sveta, elles furent capturées plus tôt. Lorsque Albert revint et partagea des informations maigres, le vieillard affirma ses suppositions mais il était déçu, parce qu'il n'avait réussi à l'apprendre quelque chose ni dans le bureau de Paukov, ni aux endroits de l'apparition probable de Kovalev, où Paul, avait-il préparé les "points d'apparition" sous des tables, ni dans les appartements de tous trois chefs d'organisation criminelle situés près de métro "Studentcheskaya", ni même dans les appartements secrets.

          -Ce n'est pas une surprise que nous n'avons pas réussi à l'apprendre quelque chose d'important pendant une si courte période, - Albert a fait la conclusion. - Tout le monde a beaucoup d'autres affaires et ils peuvent simplement être assis dans ses bureaux et garder le silence pendant beaucoup d'heures. J'ai une idée! Il faut les provoquer à bavarder et il paraît, je sais comme le faire.

          Le vieillard n'avait rien contre le plan inventé par Albert. Ils tous deux rirent lorsque Albert le rapporta à voix haute. Il seulement conseilla à l'Albert de réfléchir tout plus soigneusement, c'est-à-dire, "mesurer" plus fois avant que "couper". Après tout, quant aux adversaires, il est possible application des réactifs chimiques à marquer un objet voulu, même les flics ont des choses pareilles. Il est probable aussi l'application des petits émetteurs qui émettent un certain signal à être au courant de localisation de l'objet, pour découvrir tous les endroits de son apparition probable et enfin, il est possible l'application des substances radioactives. L'opportunité dernière est assez dangereuse pour la santé, c'est pourquoi peu probable, mais il ne faut pas l'exclure complètement. Ils peuvent être prêts en cas de l'apparition de l'objet voulu vite et il est possible une application des mécanismes spécifiques à l'attacher soit au corps soit au vêtement d'une sorte de vilenie. Ce que peut avoir lieu, y compris, mais c'est extrêmement improbable, ce serait une embuscade militante avec armes à feu et les crans de sûreté ne seraient pas enclenchés et ils auraient un ordre de tirer pour tuer en cas des tours et merveilles. Néanmoins, il faut prévoir tout qu'est possible.

          Albert décida de commencer à l'agir dans le magasin de l'alimentation qui est nommé Gastronome #40 et il est situé dans une construction des immeubles tristement célèbres à Loubyanka. Pour agir sans attirer l'attention avant, d'abord décida-t-il de ne mettre aucun masque, mais il acheta auparavant une veste ordinaire, mais relativement bon marché et chaude et un pull-over bon marché, en prenant exemple sur les meurtriers de Tolik.

          Dans le "gastronome #40", une caissière du rayon de vin fut en train de converser avec enthousiasme et douceur avec un client habillé cher mais sans goût. La caissière rallongeait le processus du service pernicieusement, elle comptait le changement lentement. Il paraît que ce ne fût pas un flirt, simplement une bonne personne est venue. Il y avait déjà une queue formée de trois personnes derrière lui, qui furent en train d'attendre de la manière obéissante, en gardant le silence, mais avec irritation cachée.

          Soudain, un d'eux sortit le col de pull-over sous la veste et couvrit la partie du visage avec lui jusqu'au nez. Puis il s'approcha de la caissière sans ménagement, fit à elle un bisou court sur les lèvres à travers le pull-over, il l'entoura par le bras droit et à la fois il saisit une liasse d'argent par le bras gauche. La somme d'argent équivalut d'environ bons salaires pour cinq months. La caissière cria fort, tout le monde stupéfia, mais Albert cria plus fort: "au feu!" et commença à grimper en haut sur la crémaillère, en cassant une partie de bouteilles du vin qu'il y avait. Tous tournèrent les têtes au côté du "spectacle", mais le fauteur de troubles soudain disparut devant tout le monde.

          Néanmoins, l'argent perdu et les bouteilles cassées étaient assez réels, et il serait impossible de poursuivre des spectres en justice pour indemnisation des dommages d'eux. La foule rassembla. Une équipe opérationnelle est arrivée, les membres de laquelle étaient tous en civil, mais tous les témoins au total disaient une sorte des conneries. Au cas où, ils demandèrent les signes du perturbateur et commencèrent à vérifier des documents prés des portes des entrées. Bien sûr, tout ça fut en vain.

          Les entrées toujours étaient bloquées, mais le cri et bruit retentirent de nouveau dans la salle. Encore quelqu'un d'invisible sauta du "non-existence", ce fut un homme avec le visage couvert par le col du pull-over, enleva une liasse d'argent et comme si... a dissous en air. Le chef de l'équipe opérationnelle déjà consultait par radio avec ses supérieurs qu'une sorte de diablerie se passe et ne cesse pas dans le magasin d'alimentaire, malgré le fait que toutes les entrées sont bloquées. À cause de ça, il n'est pas assez de personnels, car il a grand besoin d'eux non seulement dehors, mais au-dedans aussi. Il a besoin des spécialistes, parce que tous les témoins sont des gens civils et en étant sans connaissances spéciales ils donnent des preuves stupides. Hauts gradés de la milice commençaient à se rendre compte que ce qui se passe, cela va au-delà de leur compétence, et ils peuvent maintenant en toute bonne conscience charger le FSB avec ce mal de tête.

          Les agents de l'équipe et beaucoup des personnes curieuses erraient le long du magasin, tous animés, ils échangeaient des impressions sans compter la dimension troisième, c'est-à-dire, l'altitude. Soudain ils entendirent un cri de hauteur:

          -Tous vous! Regardez ici. Regardez ici, - un psychopathe cria de haut, on ne sait comment et quand il a réussi à grimper au lustre. - Écartez-vous tous! Il va être une explosion et feu tout de suite!

          Une bouteille de champagne tomba de haut, a été cassée avec un son fort et immédiatement il y eut une odeur d'essence. Un faisceau brûlant jeté de haut enflamma la mare. Tout le monde réussit à sauter à la distance de sécurité de cet endroit. Les coups de feu vers la haut retentirent, mais le "héros du jour" déjà n'y fut pas depuis longtemps. Certains visiteurs eurent peur et se précipitèrent à la sortie. Mais la quantité des clients pareils ne fut pas grande et les bousculades que furent formées aux portes grâce à eux ne furent pas dangereuses. Certains d'entre eux étaient ravis, mais ils eurent honte de ça et cachèrent cette émotion comme ça. Leur joie était naturelle: où et quand pourrait voir un spectacle pareil gratuit, tels "feux d'artifice"? Il n'eut pas de victimes. Le feu fut étouffé vite avec extincteurs. Les flammes se propagèrent nulle part. Il ne fut brûlé rien que petite quantité d'essence sur le plancher en pierre, moins qu'un litre. Malgré cela il y eut beaucoup de fumée, mais beaucoup de monde ne voulait pas quitter le magasin, en ayant un désir d'observer ce qui arrivera après.

          Dans une laiterie de la rue Sretenka à cet instant, un homme dans la veste de cuir demanda une vendeuse, comment s'adresser à la gérante par prénom-patronyme. Parce qu'il va montrer et probable vender un tapis en peluche qu'il apporta de Bacou. Après cela, il passa aux locaux sans obstacles, mais il se dirigea pas à la gérante mais s'approcha au groupe des chargeurs qui furent assis dans leur salle du personnel. Ils bavardaient et racontaient anecdotes l'un à l'autre.

          -Hey, mec. Remets à sa place mon peignoir. D'où es-tu arrivé, tel impudent? Si tu es un débutant?

          Après cette réplique, tous se tournèrent au moujik qui mit la tenue de travail qui ne lui appartenait pas, mais il disparut devant tout le monde, après quoi une scène longue et muette fut formée.

          Dans quelques minutes à l'autre endroit, encore près de Loubyanka, quelqu'un fut en train d'entrer en librairie, à juger de vêtement, ce fut un travailleur. Il portait en mains un grand tas d'une sorte des déchets, où il y avait le carton, le papier, les planches. Il monta à deuxième étage. Personne ne l'arrêta. Même dans l'entrée quelqu'un aida à lui un peu à tenir la porte. On ne savait pas quelle tâche pouvait être donnée soit à un chargeur, soit à un balayeur. Seulement lorsque à deuxième étage jeta-t-il le tas sur plancher, la vendeuse lui cria dessus:

          -Qui vous a donné la permission d'y jeter des déchets? Qu'est que faites-vous? 

          -Je fais un feu de camp? N'est-ce pas possible?

          Elle seulement alla crier: "Milice! Un fou dans le magasin!" Mais elle stupéfia épouvantée en voyant le "Walter" dirigé à elle.

          -Pas peur. Vous ne serez pas brulées. Même vous avez un peu de temps à l'admirer ces feux d'artifice. C'est si beau! - Albert prononça à voix bas, en souriant et en versant une mixture inflammable sur le tas. Il mouilla un petit bâton de bois, l'enflamma et jeta au tas. Après cela, il se jeta dans le centre des flammes ragées et disparut en lui.

          -Au feu! Feu à l'étage! Le tumulte qui commença en haut, comme s'il affirma cette nouvelle de panique, néanmoins, une continuation étrange suivit:

          -Qui va arriver tout de suite! Tous regardez ici! Vous! La foule mesquine! Les cadavres! Le bétail! Y a-t-il au moins seul être vivant et humain entre vous? Ou tous vous êtes des zombis soviétiques?

          Dans quelques minutes, tout le monde regardait à l'Albert de la manière indignée, presque tous qui se trouvaient dans cette salle et peuvent voir sans obstacles.

          -Connard! - la mauvaise voix de quelqu'un sonna. Mais le perturbateur disparut devant tout le monde de nouveau.

          Bientôt les vendeuses et les clients sont sortis en courant dehors. À cause de la foule accumulante dans la rue, un embouteillage commença à se former, mais non pour longtemps. L'immeuble fut sauvé, pourtant, le service d'incendie devait beaucoup travailler.

          Dans demi-heure de plus, toutes les informations de ce que se passait  aux magasins voisins atteignirent Paukov. Juste au cas où, il contacta Kovalev.

          -Gricha, s'occupait quelqu'un avec les phénomènes paranormaux ce dernier temps? Sauf Kashin?

          -Moi, oncle Kecha, je n'ai l'entendu pas même vaguement, peu probable.

          -Si tu parles, donc assez probable qu'il ne va que comme ça, pourtant...

          Maintenant, le téléphone voisin sonna sur la table. Paukov décrocha avec irritation. 

          -Attention! L'argent volé par moi en "gastronome #40" et en "Monde de livres" brûlant est dans l'appartement de Kashin. Je répète: l'argent volé par moi en "gastronome #40" et en "Monde de livres" brûlant est dans l'appartement de Kashin. Je répète...

          -Imbécile! Il a joué un jeu avec sa diablerie! - cette phrase fut laissé courir de général de FSB. - Gricha, attends un peu, j'ai des messages de toutes parts. N'interromps pas la connexion.

          Il raccrocha le téléphone qui répétait toujours comme un disque rayé. Puis il sortit le radio de la table, déplia l'antenne. Quand il se fut penché, il parut qu'une sorte d'ombre apparut et disparut sous la table massive de chêne qui le forsa jeter un coup d'œil de nouveau pour être sûr qu'il n'y a personne.

          Il ne pouvait toujours obtenir la réponse de l'éther, mais enfin, l'insistance vainquit. Après avoir entendu l'indicatif de Kashin prononcé avec la voix inquiète, Paukov l'interrompit tout de suite:

          -Camarade Kashin, quelle est votre tâche dernière?

          -Ce type, le contrebandier de la Suède, c'est-à-dire, le Roi Noir.

          -Avez-vous réussi à obtenir quelque chose?

          -Les collègues sont en train de travailler. Si vous avez besoin du rapport exact, je peux maintenant demander de l'éther et les plus fraîches informations donner à vous.

          -Je vous crois. Vous travaillez bien, je voudrais dire même bien trop. On parle: "on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs". Pourtant nous avons non seulement œufs cassés, mais la poêle et la cuisinière sont cassées aussi.

          -Vous dites de quoi, Innocente Nikolaïevitch?

          Paukov continuait sans faire attention à sa prétention:

          -Les choses pareilles ne faut-il faire qu'avec nous. Vous avez toujours l'opportunité d’améliorer la situation. Nous pouvons même aider, donner un statut officiel à votre activité. D'ailleurs, votre objet maintenant, nous savons qu'il s'appele Albert, il est devenu incontrôlable. En utilisant ses capacités, il pille et met le feu aux magasins au centre de Moscou, effraye les gens. Je vous appelle vers moi de toute urgence. Ce problème n'est pas pour l'Éther. Vers trois heures pouvez-vous venir?

          Après le silence court il y eut la réponse:

          -J'essayerai. À vrai dire, j'arriverai exactement!

          -J'attends. Et prenez en compte: si vous avez commis en processus de votre activité des actions qui peuvent dénigrer notre service, révolter des gens, s'il vous plaît, faites amende honorable. J'espère que vous n'ayez pas commis de bêtises avec conséquences irréversibles?

          -C'est exact!

          -Très bien alors. D'ailleurs, je vous attends.

          Après avoir le dire, le général éteignit le radio et le mit sur la table sans oublier à cacher l'antenne. Soudain Kovalev entra.

          -Pardon, oncle Kecha. Il y a d'informations intéressantes. La position de Kashin est repérée. Il se trouve deux cents kilomètres au Nord de Moscou.

          -Peut-on plus exactement?

          Kovalev s'approcha de la carte pendue sur un mur et passa un cercle avec le doigt. Le général s'approcha de la carte aussi.

          -Oh. Décevant. Radius à peu près vingt kilomètres. Et je ne crois pas que dans une ville. Il n'y a pas de nos branches subordonnées à Kashin. Nous devons être en courant, quelle sorte de bordel il a organisé là-bas.

          -Oncle Kecha, vous n'avez rien dit à lui sur les femmes. Ils sont sur le point d'éliminer celle, la rousse.

          Le général jeta un coup d'œil à Kovalev, soit interrogatif, soit condescendant et après une pause qui rendit le collège subordonné en confusion, il prononça:

          -Mon cher Gricha, nous avons besoin des informations. Quant au moyen avec lequel sont ces informations obtenues... en tout... tu m'as compris. Si Kashin crée des problèmes, il les devra résoudre. Nous n'avons aucune culpabilité et nous pouvons avec pure conscience... - le général comme si cherchait un idiome approprié.

          -Nous nous en lavons les mains, est-ce correctement oncle Kecha?

          -C'est bon que tu sois tel compréhensif.

          -Soudain Kovalev se précipita vers la table et se pencha.

          -Qu'est-ce qui ne va pas?

          -Il me vient de paraître que quelqu'un soit assis là-bas.

          -Tu as besoin du repos, Gricha. Tu es fatigué de travail. Et encore... - Paukov se souvint soudain qu'il lui-même remarqua récemment une sorte de silhouette sous la table. - Qu'est-ce que tu viens d'y voir?

          -Voilà....D'abord un paquet ressemblant une sorte d'un vêtement, je n'ai fait grande attention. Néanmoins, après avoir jeté un coup d'œil plus attentif, comme si un homme, mais il a été dans une position inimaginable. Il ne peut qu'un Yogi de niveau avancé pourrait être assis comme ça.

          -C'est la dernière chose dont nous avions besoin. Ne sois pas trop sincère avec les collègues à l'égard de cette chose. Cela peut endommager ta réputation. Il faut réfléchir. Il n'existe pas tel poison, contre lequel il n'y serait aucun antidote.

          À cette heure-là, dans la taïga de Sibérie loin et toute en neige, un homme apparut "de rien" au bord d'un village et se précipita au village presque en courant, entra à la maison.

          -Et quoi, - Albert questionna avec impatience.

          -Kashin se trouve deux cents kilomètres au Nord de Moscou. Le rayon de la plus probable localisation est à peu près vingt kilomètres. Paukov est en courant de tout, même sur Lena, - le vieillard rapporta avec essoufflement. Puis il dirait en detail tout ce qu'il avait entendu et finit avec les mots: Tu vois? Nous sommes en train de réussir bien: Tu as troublé l'eau. J'ai attrapé le poisson.

          -Attends, attends, - dit anxieusement Albert en appuyant sa main droite sur son front. N'est pas leur "localisation probable" dans la maison de vacances de mes parents?

          -Sois prudent! As-tu des points, où tu pourrais "émerger" à la distance non grande de cette maison?

          -Oui.

          -En aucun cas, n'apparais pas au-dedans immédiatement. C'est non seulement dangereux, mais aussi cela peut compromettre l'opération.

          -Je me rends compte.

          -Eh bien, avec Dieu!

          Albert "émergea" cinq cents mètres de la maison de vacances et se met en marche vers elle. Au lieu de clôture habituelle, la maison était entourée avec clôture neuf, aussi de bois, mais haut et aveugle. Il sursauta brusquement. À deuxième fois, il a réussi à saisir la partie haute de la clôture, il remonta. En collant par les pieds à la clôture il remonta plus haut encore et enfin il appuyait les deux mains à la clôture sur le dessus. Il n'y avait changé rien au-dedans. Seulement un agent de sécurité avec fusil d’assaut marchait le long de cour aller et retour en tenue de camouflage. Il remarqua Albert tout de suite et cria de la façon menaçante:

          -Où grimpes-tu, bouc?

          -Cette maison n'est pas la vôtre. C'est des vieils gens qui l'habitent.

          -Et je garde cette maison des types pareils comme toi. Y a-t-il des questions?  

          Au lieu de réponse, Albert sauta retour, dans la neige.

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