Monday, December 28, 2020

Chapitre IX. L'espionnage privé. La téléportation. Partie I.

           Albert et Tolik ne se sont appréciés pas l'un l'autre depuis la première rencontre, mais tous les deux ne l'ont pas montré. Il ne s'agit pas qu'ils pussent devenir des rivals à cause de Sveta d'un jour à l'autre.  Seul Albert le savait, néanmoins était-il irrité grâce à la raison complètement différente. La nature de Tolik, était-elle complètement étrangère à l'égard de lui. S'ils étaient dans la même école ou dans l'auberge étudiante, c'est assez probable qu'ils puissent devenir des ennemis irréconciliables, parce que Tolik était un homme typique de troupeau, c'est-à-dire, un homme typique du monde soviétique qui n'aimerait pas l'individualisme et son isolement. En esprit, il le considérerait comme un "intelligent" et tout le monde sait que ce mot est presque un juron dans la Russie. Quoiqu'il ne fût pas un débile d'esprit, néanmoins, son esprit assez primitif n'était pas capable de voir qu'Albert peut être beaucoup plus raide qu'il, mais seulement dans les cas quand il faut, pas pour vernis primitif. En étant semblable à un homme qui se noie attrape une paille, il attrapait n'importe quelle possibilité de désamorcer la situation, en centre de laquelle sentait-il soi-même de la manière exagérée, mais en fait, c'étaient les gens de sa "toit", c'est-à-dire, les racketteurs par consentement mutuel qui se trouvaient au milieu épouvantable des circonstances. Il se consolait par une idée comme si ce nerd ne serait qu'un intermédiaire qui transférerait les informations à quelqu'un ami raide ou à des amis raides et il serait assez déçu s'il voyait le vieillard Paul. Le jeudi, cette information était déjà dans la poche du vieillard. Mais avant de la mettre dans la poche, Paul la examinait longtemps et avec attention, d'abord en conseillant à l'Albert d'utiliser le temps pour observer la nature et essayer de se sentir comme une partie d'elle. Enfin il dit:

          -Même, si je ne réussis à faire tout dans ce court laps de temps, laisse Anatoly payer les deux aux uns et aux autres, je donnerai l'argent pour ça.

          Ce jour, il expliquait à l'Albert la technique de concentration, y compris, la valeur de la capacité de garder une pensée sur un objet.

          -Crée mentalement un monde imaginé et fais là-bas tout que tu veux. Essaye de le faire plus clair, plus exact, laisse les événements passer tour à tour, non de la façon confuse, comme en rêve. Apprends aussi à entrer et séjourner consciemment au rêve. Entraîne cela chaque fois, quand tu te couches, sans omettre. Que ce ne soit pas un rêve qui te serait arrivé, mais que tu contrôles les rêves, que tu sois un maître d'ils, mais pas un morceau de bois qui suivent le courant de la rivière. Et aucun transport, ni trains locals, ni l'autobus. Il ne faut aller nulle part, car tout est proche et accessible.

          Déjà après midi avant que dire au revoir, Albert questionna:

          -Si ce n'est pas un secret, as-tu déjà décidé que faire?

          -Non, c'est mon ami cadet qui occupe avec ça.

          -Quoi?

          -Mon subconscient.

          Après a serré la main, le vieillard a disparu, en faisant un pas à la direction qu'il a choisie. Pendant plusieurs secondes tenait Albert le vide avec sa main par inertie, puis il s'est dirigé vers la plate-forme dans ses pensées.

          Comme est-il connu, chaque "toit" a son chef. Il dirige les actions des gens subordonnés, mais il ne décide pas, où faut-il se diriger et de qui faut-il demander de l'argent. Ce sont les supérieurs plus haut que décident cela.

          Dans ce monde de la mafia, il y a un pouvoir au-dessus de chaque individu. Le pouvoir est cruel et loin d'être toujours juste. Si quelqu'un peut prendre l'initiative, il ne le peut que dans le cadre très limité. Le vieillard déjà savait le nom du coupable de la situation formée. L'éclaircissement du prénom et patronyme n'était pas grand travail. Il ne faisait qu'a téléphoné à plusieurs endroits sous prétexte qu'il serait impoli à s'adresser à la personne comme ça seulement par nom de famille et c'est pourquoi voudrait-il savoir son prénom et patronyme. Il ne travaillait actuellement ni dans le ministère de l'Intérieur ni dans les autres services specials, c'est pourquoi dans le bureau de renseignements a-t-on donné l'adresse sans entrave, dont avait-il grand besoin. Le renseignement donné au guichet du bureau menait à la ville qui avait été nommée d'après le célèbre concepteur de vaisseaux spatiaux, mais la station du chemin de fer, où il fallait descendre du train à visiter cette ville, avait réussi à garder le nom historique "Podlipki".

          De nombreux coins et recoins de cette ville avaient été déjà familiers au vieillard, et il est téléporté à l'un d'eux. L'immeuble était trouvé bientôt, mais l'entrée s'est avérée codée. Paul n'était pas particulièrement embarrassé par ceci: il a attendu lorsqu'on s'en est sorti, c'était une femme avec enfant, et il est entré à la porte ouverte qui s'est fermée lentement après il. Son âge avancé aida d'être passé à l'intérieur d'immeuble sans provoquer les soupçons des passants. Il allait à pénétrer dans l'appartement de la façon déjà bien connue: sonner à la porte et quand le maître ouvre la porte, inspirer lui à l'aide de l'hypnosis, comme s'il n'y aurait eu personne et au même instant se glisser dans l'appartement. Il ne pouvait pas téléporter dans l'appartement, dont il n'avait vu encore ni décor ni meubles. Mais il ne s'est approché pas encore la porte, un fort aboiement du chien en colère a retenti au derrière elle. D'après la voix grave, le chien était assez grand.

          -C'est naturel, - Paul pensa. On ne peut pas être chanceux tout le temps. Maintenant, il faut bifurquer vers la surveillance extérieure qui est longue et ennuyeuse.

          Avec cette pensée a-t-il monté les escaliers et après avoir atteint le palier du grenier, il se concentra, en absorbant tous les détails de ce coin tranquille pour pouvoir l'imaginer exactement et quand il a besoin d'apparaître ici, sans passer l'entrée devant les coups d'oeil indiscrets. L'expérience pluriannuelle a le fait capable d'absorber vite l'intérieur nécessaire pour le souvenir. Après une courte méditation, Paul s'est avéré immédiatement dans un recoin abandonné et revenait à pied, puis il a trouvé un point discret de surveillance.

          Dans trois heures de la même entrée s'est sorti un homme qui déjà était en train du commencement à devenir chauve, mais ne vieux pas encore. Il était avec un rottweiler en laisse. Le chien s'est mis en ses occupations de chien, en flairant le sol et parfois en regardant autour d'il. Mais l'homme essayait de toute son apparence de montrer son importance. Il n'y avait personne autour de lui et apparemment que c'était l'habitude qui avait lieu. La vanité comme ça ferait rire un Américain, mais entre les Slaves pourrait-ce causer en partie l'obéissance, en partie l'admiration obséquieuse. Le vieillard Paul bien savait que dans l'États-Unis peut-on voir rarement les grimaces comme ça et si on les voit malgré tout, alors il s'avère souvent que leurs porteurs sont arrivés du monde soviétique qui était maltraité de façon permanente par les propriétaires d'esclaves des siècles passés et par les communists dans le siècle actuel. Quand les gens pareils marchent dans la rue, ils sont comme un trou noir, en capturant les âmes des passants sous leur influence, en ajoutant la confusion dans leurs esprits, c'est-à-dire, ils les embarrassent et étouffent leur volonté, en devenant rechargés par leur énergie psychique. Les victimes sont en partie aussi coupables, puisqu'ils sont mêmes croyants en importance des "as arrogants" comme ça. En Angleterre considérerait-on les comme des rustres et péquenauds insolents, même sans les regarder. Sa voiture Mercedes et sa l'aisance financière qui n'était pas grande trop de la mesure occidentale, ces choses n'impressionneraient personne.

          Malgré le risque d'aggraver la situation, le vieillard immédiatement a téléporté a la palier du grenier et descendu à l'étage nécessaire et il a sonné à la porte. Il n'y a retenti aucun aboiement du chien. Après long silence enfin cliqua le verrou et ouvrit la porte une femme avec un air rustique, c'était possible qu'elle fût une ménagère. En haussant les épaules, toute perplexe, car il lui sembla qu'il n'y eut personne, elle ferma la porte, mais le vieillard eut réussi en cet instant à se glisser dans l'appartement. Elle alla à la cuisine et le vieillard alla aux toilettes, parce que c'est juste ici il serait mieux d'apparaître soudain. Maintenant il fixait la vue à l'intérieur des toilettes, en prenant en compte qu'il devra monter à travers l'espace exactement ici et il est assez probable qu'à plusieurs reprises. Puis il est sorti sans bruit au couloir, puis il a grimpé le placard, où le vêtement était suspendu, de la même manière sans bruit. Il ne devait pas attendre longtemps. Paul a entendu, comme on ouvrait la porte de l'appartement.

          -Zina, commençons les préparatifs d'un petit voyage, nous allons à la datcha vers ma femme et à la fois j'ai besoin de rencontrer les copains, mais ce ne sera pas long.

          -Je dois avertir ma famille que je pars.

          -Quel est le problème? Voilà le téléphone. Appelle-les.

          -Combien de temps devrais-j'y séjourner?

          -Non moins que deux jours. Tu nous aideras avec les travaux ménagers, comme d'habitude. Qu'est-ce qui ne va pas? Est-ce que je te paye pas assez?

          -Il ne s'agit pas de ça. Quelqu'un a sonné. J'ai ouvert. Rien, personne.

          -Ce n'est pas grave. J'étais dans la cour avec chien. Ils ne sont passés dans l'entrée que les gens ordinaires qui revenaient chez soi après le travail. Je suis sûr que c'étaient les enfants qui faisaient la bêtise.

          -Mais si?..

          -Un tueur? - Le maître a ri aux éclats. - Personne n'oserait. Et il me déjà fusillerait dans les escaliers. Ou je lui...

          Soudain, le fort aboiement de chien a retenti et on n'entendait plus qu'il.

          Le vieillard était prêt pour ça et téléporta immédiatement au recoin préparé, alla à pied vers la station du chemin de fer, attrapa une bouchée, en achetant un hot-dog et un verre de café. Il faisait un soir doux et agréable, comme il y a beaucoup d'années. La terre continuait encore de vivre, fleurir. Les saisons changeaient encore de la même façon. Comme dans la jeunesse, il voudrait voyager loin. Néanmoins, tout était proche. Soit New York où maintenant faisait-il midi, soit Krasnoïarsk où le minuit est déjà venue, soit les forêts autour de Moscou qu'il était passé en long et en large depuis longtemps et tous les coins sont devenus connus.

          Le vieillard grimpé sous la plate-forme pour personne ne verrait et a téléporté à une des forêts préférables. Il a sorti les allumettes. Le feu de joie s’alluma vite. Les étoiles premières ont apparu dans le ciel. La vie continuait toujours de réjouir. En quatre-vingt-dix cinquième fois voyait-il, comme la nature du climat tempéré a changé la blanche colère d'hiver en blue verte bienveillance et caresse.

          Il était le temps à revenir. Paul étouffa le feu soigneusement, en portant plusieurs fois dans les paumes l'eau du ruisseau proche. Est-ce qu'il souvient l'intérieur des toilettes bien? Il se précipita là-bas. Il a réussi, mais maintenant se trouvait-il dans les ténèbres. Il aboya comme chien plusieurs fois au cas où. Ne suivit aucune réponse. Il sortit et regarda à la chambre. La vue depuis la fenêtre a dissipé tous les doutes. C'était le même appartement. Il possédait beaucoup du temps, néanmoins, il fallait agir soigneusement, en remettant toutes les choses après les avoir examinés, aux mêmes endroits, où elles ont été avant. Le maître ne devrait rien soupçonner. Quant au chien, en tout cas ne racontera-t-il, pourquoi avait apparu ce grand désir d'aboyer among la paix commune et le silence général.

          La disposition des objets dont le vieillard pourrait oublier plus tard, il l'écrivait sur une feuille séparée en chiffre que personne ne comprendrait, sauf il même. Il serait une tâche impossible de parcourir toute cette documentation ici et maintenant. Un gros boulot avec l'information l'attendait. Heureusement, il déjà n'était pas un débutant dans cette affaire. Il fallait photocopier tout, après remettre à sa place et plus tard examiner les photocopies. Les fenêtres donnaient au Nord à cette heure-ci, c'est pourquoi faisait-il un peu plus clair et cela donnait l'occasion de se guider dans l'appartement sans allumer la lumière.

          Petit à petit fouilla-t-il tous les meubles dans les trois pièces, y compris fouilla-t-il à la cuisine et à la salle de bain. Il ne s'intéressait que l'information. Il fallait renseigner sur cet homme autant que possible, car il paraît qu'il ne fût que sa propre initiative de faire tout ça. Le vieillard s'est levé même sur le rebord de fenêtre et a dévissé avec un tournevis les bouts de la barre des rideaux. Le rideau était attaché à la barre par anneaux et ouvert. Le maître avait oublié ou ne voulait pas le fermer. Paul éclaira avec lanterne au-dedans de la barre canalisable. Rien. Parmi les livres y avait-il une cachette dans l'un d'eux. Une pile épaisse de billets de cent dollars était cachée là-bas. Il l'a mis à place, elle ne disparaîtra nulle part. Cela n'est pas encore tout. Il a aussi la datcha.

          Il paraît que le travail fût exécuté. Il n'y avait que le placard en reste. En palpant les vêtements, il sentit quelque chose de dur. C'est bizarrement. Une robe de chambre qui comme si ne serait pas neuve, il y avait une poche au niveau de poitrine et il y avait quelque chose de rectangle dans la poche, soit un livre, soit une vidéocassette. Néanmoins, il y avait beaucoup de cassettes dans l'appartement, en général les films policiers et d'horreur. Elles gisaient toutes dans des boîtes avec gros titres. Mais celui-là était mis pour certaines raisons à l'endroit inhabitude. Paul a décidé de la voir, s'il aurait besoin, la réécrire et mettre retour. Il fallait aussi tous les papiers photocopier et mettre retour. Le plus vite sera le mieux.

          Il faisait la nuit. Comme tout le monde sait, en nuit sont tous les services de photocopie fermés. Paul s'est concentré et trouvé dans l'intérieur de la vieille maison en bois. Olesya qui avait quinze ans, était en train de dormir profondément, comme on dort d'habitude dans la jeunesse. Le vieillard mis la cassette sur la table, se concentra de nouveau et apparut à Petropavlovsk-Kamtchatski. Dans ce coin perdu, deux clochards l'accompagnèrent des regards de surprise. Il déjà faisait pleinement jour ici. C'était l'heure de pointe de matin. Le vieillard trouva la photocopie vite, mais elle devait s'ouvrir dans quinze minutes. Il fallait attendre. Dans une heure tout fut fait. Le premier client s'est avéré profitable. Après avoir reçu les copies des papiers, le vieillard revint chez soi à la Région de Krasnoïarsk, mis toutes les photocopies parmi les livres et téléporta dans le même appartement plus encore. Il faisait sombre, mais il paraît comme s'il serait plus sombre après le matin ensoleillé au Kamtchatka. Le vieillard décida de se reposer sur la chaise et dormit à peu près d'une heure. Il dormait légèrement et s'il y avait quelque chose d'imprévu, il se réveillerait et réussirait à disparaître à temps. Il était vu qu'il y a l'alarme non seulement à la porte, mais aussi aux fenêtres. Néanmoins, cette alarme ne marchait que contre les intrus qui pénétreraient à travers les fenêtres ou la porte. Telle merveilleuse voie d'intrusion comme la téléportation n'était pas prévue.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/10/the-teleportation-part-1chapter-9.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/10/679

Wednesday, December 23, 2020

Chapitre VIII. La technique de sécurité. La téléportation. Partie I.

           Après avoir pensé un peu, le vieillard Paul continuait:

          -Donc, écoute- moi. Je vais à commencer par les choses secondaires. En possédant une capacité comme ça, il est nécessaire d'éviter de se saouler ou se droguer de n'importe quelle autre manière. C'est ce qui m'est arrivé une fois récemment. Tout s'est bien terminé, sinon je ne serais assis maintenant devant toi.

          Il m'est arrivé de visiter le Kamtchatka dans la jeunesse. J'ai visité plusieurs volcans dans l'époque-là, y compris l'Avachinsky qui est situé relativement près de la ville Petropavlovsk-kamchatsky. Certains d'entre eux étaient en condition active mais pas fortement. Je me le rappelle comme maintenant, un mur vertical m'a fait une impression indélébile. J'étais debout en haut. Il faisait le crépuscule du soir, contre lequel avait la lave qui bouillonnait en bas, l'air relativement brillant, et une forte chaleur venait de là. C'était terrifiant et amusant à la fois. La beauté d'enfer. Un genre de la sensation sublime qu'il est difficile de l'expliquer. Et il m'est arrivé de me saouler il y a deux ans en été. J'ai senti que j'ai pris trop, néanmoins je ne suis pas déjà un garçon; le cœur peut marcher d'une façon incorrecte ou quelque chose encore qui est important pour la vie. Je me suis le rendu compte de ça à travers l'enivrement, mais c'était bien qu'il faisait temps d'été. J'ai décidé d'aller à la taïga à passer la nuit en plein air. C'est moins nocif que dormir soûl dans la chambre, même si elle est bien ventilée. J'ai pris avec moi la boussole, les allumettes au cas où, même je n'ai pas oublié le remède contre les mosquitos. Après être passé plus profondément dans la forêt à peu près deux kilomètres, je m'ai tartiné avec le remède et me suis allongé sous le sapin. Et je me rappelais dans le même temps la jeunesse, les voyages. "Maintenant je vais à dormir un peu, - je pensais, - puis voyagerai n'importe où. Il faut plus souvent utiliser les cadeaux que Dieu a donnés". Je me suis réveillé. La nuit. Je suis soûl encore. Et cela s'est produit soudain instantanément, automatiquement, sans concentration ni méditation. Il y avait un casual mouvement et soudain il avait fait la journée ensoleillée et la chaleur comme au sauna. Je suis debout sur la corniche étroite du même mur vertical, il y a l'abîme sous moi, la lave en bas et les fumées sulfureuses m'atteignent. Il faudrait me concentrer et retourner. Mais au lieu de ça, après avoir vu qu'il y avait beaucoup de rebords à s'agripper ou mettre le pied, j'ai commencé à escalader le mur, quoique je ne sois jamais un alpiniste. Le plus loin, c'était le plus difficile à monter, il était déjà impossible de descender et jusqu'à haut il y avait comme jusqu'à cinquième étage, à peu près vingt mètres. Et il y avait les premiers signes de la gueule de bois, les mains tremblaient et le cerveau ne marchait pas comme d'habitude, c'était probable à cause des fumées sulfureuses. Il ne fallait pas me dépêcher, car on pouvait tomber à bas. Mais il ne fallait pas m'arrêter aussi, puisqu'on pouvait être gazé. C'est pourquoi il fallait escalader plus vite. "Soi tranquille, - j'ai dit à moi-même, - s'il y a tel mur en endroit sans danger et pas en hauteur, pourrais-je l'escalader? Bien sûr, malgré toutes les difficultés. Je me dépêchais, je m'en consolant toujours et continuais d'escalader. J'ai marché sur une pierre qui dépassait du mur, mais elle a tombé du mur et j'ai commencé à tomber aussi directement au lac de feu. Je ne peux pas me rappeler de quoi j'ai réussi alors à réfléchir. Une sorte d'énergie est entrée en moi. Je ne suis pas tombé encore jusqu'à bout, mais j'ai senti la brûlure. Est-ce la fin? Je me suis secoué et soudain je me suis avéré dans un office. À table, un homme d'âge moyen était assis dans un costume avec une cravate et écrit quelque chose. Il y avait des tableaux, des livres aux titres latins devant il sur la table. C'est naturel que cet employé ait fixé les yeux à moi, la bouche ouverte, et les yeux étaient en condition de sortir de leur orbite. Je le comprends. J'avais l'air effrayé, tout pâle, et les jeans fumaient dans certains endroits. C'est probable qu'il m'a considéré comme un démon de l'enfer. Il n'y avait rien plus encore pour avoir peur. Je me suis mis en rire de bon cœur, m'a concentré et suis revenu à l'endroit, où j'étais allé à passer la nuit. Il n'est que commencé à faire de la lumière de l'aube là-bas et, malgré les nuits froides de Sibérie, je n'ai pas immédiatement ressenti la fraîcheur. C'était une drôle aventure, mais malheureusement, les aventures comme ça ne se terminent pas toujours bien. C'est pourquoi, si nous possédons une capacité inhabitude, nous ne devons pas même toucher quelque chose de stupéfiant.

          -Attends un peu, je vais à revenir tout de suite, - Albert dit et sortit vite puis revint à la cuisine avec un stylo et papier. Il s'assit et dessina deux rectangles, prit une pièce et la mit sur un des rectangles.

          -Regarde là, supposons que ces rectangles soient des chambres, des cellules ou coffre-fort, c'est-à-dire n'importe quoi. Supposons que ce papier soit habité par des êtres à deux dimensions et il n'y a que les deux dimensions de ce plan leur sont disponibles. Les côtés des rectangles soient un obstacle insurmontable pour eux, comme sont les murs pour nous. Maintenant, la monnaie est là-bas. Les êtres supposés la considèrent comme une balle à deux dimensions qui est le cercle pour nous.

          Albert prit la pièce et l'apporta dans l'autre rectangle fermé, en expliquant: 

          -Maintenant, ils considéreraient cela comme la disparition de la "balle", et les habitants de l'autre rectangle comme l'apparition d'une manière inconnue et supernaturelle pour eux.

          -C'est exactement ce qui se passe.

          -Néanmoins, de cette manière peux-tu t'évader de n'importe quelle prison ou entrer au coffre-fort de n'importe quelle banque... - Albert regarda au vieillard d'un air interrogateur.

          -Bien sûr. Et quoi? Après avoir appris à faire ce que je fais, est-ce qu'immédiatement attaqueras-tu la plus grande et riche banque? Après tout, je ne vous blâmerai pas. Il ne serait aucun péché à cambrioler l'État qui est comme ça pour plusieurs milliards dollars. En tout cas serait utilisé cet argent à nourrir toute une armée des gros lards, chacun d'eux occupe un poste élevé, mais à la fois est-il en dessous de nous dans la capacité intellectuelle en 99 cas sur 100. Et nous ne pouvons que joindre les deux bouts. En ayant une formation universitaire et érudition admirable, tu dois vendre les journaux. Mais ils n'ont terminé qu'IVVS: Institut de la Vilenie de la Vie Soviétique. De quelle façon encore peut cet argent être utilisé? À brouiller les radiodiffusions des pays libres? À étirer mille kilomètres encore du fil barbelé? Oui, maintenant il y a la démocratie, mais est-elle pour long temps? Le peuple est esclave, le peuple est un bête, le peuple est une racaille, car il se rebelle contre la liberté. Il veut retour à l'esclavage. À faire la queue pour acheter la saucisse pourrie pour 2.20 et à glorifier Lenin. De la même façon comme il y avait les rébellions contre annulation du servage au siècle dernier, maintenant se rassemblent des nuages ​​orageux à l'horizon. Le bétail veut le retour à la stalle. Alors vas-tu à cambrioler les banques?

          -Cela a l'air comme si tu me donnes une tâche délicate, avec une astuce.

          -C'est déjà plus proche. Allons, réfléchis. Tu es un homme intelligent.

          -Cela provoquera la panique. Des indignations indésirables dans certains cercles.

          -Plus proche encore. Bravo!

          -Tout le KGB s'inquiétera ... comme il s'appel maintenant? Quoique ce ne soit pas une chose importée, quel est nom.

          -Non seulement KGB. Tous les intelligents services du monde s'inquiéteront et non seulement ils. Tous les clans mafieux, les barons de la drogue, y compris les chercheurs solitaires des aventures et d'argent facile, des kamikazes, fanatiques. Il y aura entre eux les types, avec lesquels lutter serait-il très difficile, même malgré les super pouvoirs. Ce n'est pas quelque chose comme l'hypnose ou télépathie. Ces choses peut-on voir souvent. C'est assez à avoir une voix puissante et un regard sûr et sans aucun clignoter, peut-être un peu de l'imagination et de la fantasie encore. Aussi après avoir vécu plus longtemps pourras-tu tout de suite sentir, comme te considère l'une ou l'autre personne. Même s'il parle un autre lange, tu pourrais résumer bien en tes propres termes en russe, comment te traite-t-il, pas littéralement, mais assez correctement. Mais c'est quelque chose de l'autre. Ce n'est ni hypnosis ni télépathie, dont n'avais-je peur de parler en présence de ta femme. C'est la TÉLÉPORTATION! As-tu remarqué que j'utilise ce mot en première fois? Et soi sûr qu'à la dernière. Et je ne te conseille pas non plus. Est-ce que tu crois, comme si j'habitais très longtemps le coin perdu de la Sibérie et comme si ce serait pourquoi je parle le mot "monter" au lieu de... - le vieillard s'est mis à chuchoter, - "téléporter"?

          -Néanmoins, qui croirait en cela? La majorité des gens le considèrent comme les délires d'un fou.

          -Pas dépêche mais réfléchis. Je sais, tu te rendras compte, mais si je dis, ce sera plus vite. Il y a des départements dans les services spéciaux ou certains gens qui s'intéressent tout, jusqu'à quoi la science n'a pas encore atteint. Et ils bien savent qu'entre millions délires et superstition un jour peut-on telle grande chose trouver! C'est comme une chasse de trésor. Et ils devinent qu'une découverte occasional peut avoir lieu qui n'a besoin des grands laboratoires et un cher équipement. Et malgré ça, telle découverte est capable de renverser le monde. Ou même, il est un seul chercheur des trésors et des aventures et il a un dispositif acoustique directionnel dans sa poche. Tu sais, dans notre temps il n'y a aucune nécessité de laisser un microphone dans l'appartement de quelqu'un pour espionner. Un type comme ça promène les rues et pointe son dispositif vers les fenêtres des appartements, s'en amusant et écoutant, où qui de quoi parle. Une fois quelque part et quelque chose de délicat peut-il entendre. L'un d'eux peut l'utiliser pour le chantage ultérieur, l'autre il même prit plaisir de ça et à la fois fait-il une tâche ou veut-il se faire bien voir ou gagner d'argent. Et çà et là y a-t-il un bavardage ennuyeux d'habitude. Puis là-bas y a-t-il quelque chose plus intéressante: le mari est à la mission du travail et un voisin a visité. Dans l'autre appartement peut-on écouter, comme un chef de département de l'usine secrète laisse échapper un peu d'information secrète, en buvant avec quelqu'un une bouteille de cognac. Il faut faire une note sur ça. Un jour, si ce type entend, comme deux amis bavardent sur les anomalies ou l'OVNI, ne doute pas qu'il revienne vers cette fenêtre plus encore à vérifier, si c'est un délire. Oui, c'est la plus probable que c'est un délire, mais quoi s'il y a soudain un grand profit de ça? Et si le grand profit a lieu, celui qui est stupide, il se dépêchera de rapporter. Ces gens-là feraient semblant de l'ignorer, mais en effet connecteraient des gens très dangereux aux affaires qui sont nettement plus cool que les racketteurs ou ceux qui ont un plan à l'égard de la coopérative d'ami de Sveta. Quant à celui-ci qui a rapporté, s'il fait quelque chose contre eux, ils ne le tueront même pas. Ils trouveront un article pour il dans le Code Pénal et l'emmèneront à l'asile de fous. Et ils essayeront que tout ça aurait l'air très naturel. Celui-là qui est plus sage, il sait déjà à qui et de quelle manière faut-il rapporter, mais malgré cela ce serait un risque. S'il est chanceux, il se pourvoira pour la vie et vers la vieillesse deviendra-t-il fat, en scintillant avec les épaulettes du général... Mais l'affaire continuera à marcher. Dans le renseignement, ce n'est pas important, s'il est interne ou externe, il y a toujours une fuite d'informations. C'est pour les gens ordinaires comme quelque chose que n'existe pas en effet, comme une anecdote, mais un homme qui peut quelque chose réfléchir, il est capable de se rendre compte que ce sont les organisations réelles et elles existent non seulement à frotter les pantalons sur les chaises. Parfois telles passions y sont déchaînées qui ne viendraient ni à l'esprit ni en rêve. Les intérêts de tous les puissants de ce monde y se croisent dans les combinaisons les plus bizarres et les plus inattendues. Il y a un duel de machines infernales, qui briseraient un destin humain comme un tank à une tortue. Il y a des gens là-bas qui ne reculeront devant rien. Le destin ou la douleur de quelqu'un d'autre n'a aucune signification pour eux, tandis que dans l'intérêt de la cause, certains d'eux sont capables de jeter soi-même sous un tank ou dans cette lave à Kamtchatka, Dieu merci, où je n'étais pas tombé.

          Si tu réfléchis, tu verras tu même qu'il y a ces choses, pour lesquelles on peut se sacrifier, non comme un soldat qui serait soûlé par vodka, mais en étant sobre et s'en rendant compte, pesant tout, additionnant tous les avantages et inconvénients. Pourquoi millions des gens sont passés à travers enfer qui faisait rage pendant tout le vingtième siècle? Car il n'y avait pas un héros qui posséderait l'information nécessaire et aurait mordu dans l'œuf la propagation de la contagion rouge-marron. Et s'il y avait un homme qui posséderait de l'information, comment étrangler dans l'œuf le totalitarisme rampant et qui se rendrait compte de la signification et l'échelle à laquelle cela se produit et à la fois la possibilité de changer tout ça, il y a assez de chance qu'il aurait fait n'importe quoi, jusqu'à sacrifice de soi.

          Le danger principal n'est pas pour nous deux. Nous pouvons nous protéger avec les capacités pareilles, car je suis sûr que tu pourras bientôt "monter" de la même façon. Avant tout, se serait inacceptablement si quelqu'un à part nous peut le faire, tu sais de quoi je parle. Si la liberté et dignité sont les choses principales pout toi, si tu n'es pas un esclave de l'état, c'est bien, néanmoins tu peux être tenté et donner cette grande découverte à l'Ouest. Néanmoins, il ne faut pas le faire aussi et je crois que tu peux comprendre pourquoi. Allons nous nous souvenir la première prolifération nucléaire. En 1945, les États Unis ont utilisé l'arme nucléaire, mais déjà en 1949 jouaient avec ce "joujou" Beria et Kourtchatov. Il n'y a ni service de renseignements ni cellule de prison qui pourrait être assuré contre gonfleurs. Malgré le danger mortel, mais le jeu vaut la chandelle et il y a des gens qui acceptent de jouer à ces jeux potentiellement mortels. Notre avantage principal est ce que nous sommes deux. La deuce est le groupe le plus fiable et le plus stable. Savais-tu qu'entre les tueurs sont les groupes à deux hommes les plus répandus?

          -J'en entends en première fois.

          -Tu peux voir que le proverbe "un esprit est bien, mais deux sont meilleurs" est vrai. Tu m'enseignes quelque chose et je t'enseigne aussi. Je t'instruirai en mesure complète de mes connaissances. Beaucoup de choses que je parle, déjà sont connues à toi, mais je crois que ce soit plus préférable parler de tout, au lieu de parler en arrachant les parties qui tu sais de ma connaissance. Même si tu entends de moi quelque chose de connue, ce n'est qu'utile. Ne néglige jamais de la répétition.

          Ainsi, le groupe à dix hommes serait peu fiable, lourd et avec les fuites d'information. Mais la deuce est forte, mobile et cachée. Comme tu déjà as compris, il faut mettre toutes nos ressources ne pas cambrioler les banques, mais à garder le sécrète. Il ne faut pas laisser quelqu'un nous suivre. S'ils suivent, il faut être capables de les faire tomber, mais il serait meilleur éviter la situation pareille. Notre invention s'apparente à l'invention des armes nucléaires. Rends-toi compte quelles opportunités peuvent être découvertes par cette invention! Et c'est dangereux. C'est dangereux pour toute l'humanité. Certains essayeront d'obtenir la domination du monde. Les autres se défendront. Les "défenseurs" auront un prétexte d'avoir le pouvoir illimité et on ne sait pas qui d'eux sera le pire. Ce n'est pas tout encore. Que dirais-tu à l'égard de l'accès au bouton nucléaire? Ce serait beaucoup pire qu'un coffre-fort avec argent. Et qu'est-ce qui se passerait si les forces de l'États-Unis et de Saddam Hussein deviennent égales? Tout cela n'est qu'à première vue.

          Albert réfléchit profondément. D'abord, il était choqué heureusement de telle nouveauté, mais maintenant a-t-il vu la face arrière d'elle. Le vieillard a raison. Ce miracle n'est pas du tout mieux que l'arme nucléaire.

          -Et maintenant tu es allé à l'autre extrême. Je vois que tu es en condition de me conseiller d'emporter cette découverte dans ma tombe. N'est-ce pas?

          -Je suis désolé pour ça, vraiment désolé! Néanmoins, peut-être serait-il meilleur comme ça?

          -Tu es en train d'essayer encore de trouver la réponse de la tâche sans la résoudre. Tu es intelligent. Tu la résoudras et trouveras la réponse correcte. Mais pourquoi attendre longtemps? Surtout pourquoi attendre lorsque je déjà ai la réponse. Je suis capable de gérer ce phénomène dès l'an 1957. Quel an est maintenant?

          -Quatre-vingt-dix troisième. Est-ce qu'ont emmené mes capacités au désastre mondial?

          -Je n'observe rien comme ça.

          -Tu n'es donc pas sûr de toi-même?

          -Au contraire. Peut-être que je suis sûr trop de moi-même. Sais-tu, pourquoi je n'aime pas aller par avion? Parce que si je même le pilote, je me sentirais bien meilleur.

          -Tu ne t'inquiéteras pas non plus pour moi, car j'ai passé la période probatoire de trente-six ans. On n'aurait pas raison de me douter après cela. Il ne reste que tu seul, mais tu es sûr de toi. Je ne t'ai pas décrit l'horreur du devenir de cette invention hors de contrôle pour que tu la refuserais avec grand regret. Alors ce serait plus correct de ma part à cacher ça de toi. Simplement, je voulais exposer à toi, dans quel degré est la technique de sécurité importante et considérable. Tout dépendra de toi. Garde à l'esprit un point important encore. Si quelqu'un des gens très cool veut faire révéler l'information de mes et plus tard de tes "voyages" des personnes proches de vous, avant que les torturer, ils seraient capables de reconnaître par leur apparence, s'ils savent quelque chose ou non. Voilà pourquoi sont ces informations dangereuses pour tes proches gens, et il serait meilleur s'ils ne savent rien. Les espions ne sont pas des sadiques et les tortures inutiles seraient pour eux, comme vendre les journaux sans profit pour toi.

          -Néanmoins, comment je m'entraînerai? Je dois travailler, vendre. Sinon j'échouerai.

          -Tu prendras avec toi le sac à dos et un sac, comme d'habitude. Mais au lieu de visiter Moscou, tu visiteras les autres endroits. Tu t'entraîneras de telle manière avec moi. Tu reviendras chez toi au temps, en apportant l'argent que je te donnerai.

          -Mais je ne veux pas avoir de dettes envers personne. Est-ce possible avoir des dettes envers celui qui t'a donné une tasse d'eau? Pour moi, gagner cet argent n'est pas plus difficile. Quant à moi, à gagner cent dollars, un travail comme ça n'est pas plus difficile que tu ferais le thé.

          -Tu viens de me donner une bonne idée, - avec ces mots, Albert a versé l'eau dans la théière et déversé le contenu dans la cuvette. Ensuite il a allumé un brûleur sur la cuisinière et a mis une bouilloire dessus, y ajoutant de l'eau. Le vieillard a sorti de la poche une pile de billets de cent dollars.

          -Je pourrais donner tout ça à toi, mais les gens autour comprendraient apparence à cause de ton apparence que se passe quelque chose d'inhabitude avec toi. Tu ne pourras cacher cela. Il faut payer pour tout et je crois que s'abstenir de recevoir tout l'argent à la fois, cette paie n'est pas très grande pour les perspectives qui s'ouvrent devant toi.

          -Bien sur non.

          -Néanmoins, en présence de ta femme et ses amies et tes parents serait-il mieux, si tu caches le fait que ton humeur a changé. Lorsque la joie des changements heureux t'envahit, essaye de penser sur les côtés négatifs d'eux. Et au contraire aussi. Rappelle-toi leurs avantages si tu t'inquiètes à cause d'eux d'un cauchemar que tu as dessiné dans ton imagination. Maintenant essaye de réfléchir à ce que la marche, la course, le transport - tout ça est une stupidité. Ne serait-il pas stupidité à atteindre cette cuisinière à gaz par un chemin à cinquante kilomètres? Ou de Mytichtchi à Moscou aller à travers le pôle Nord, l'hémisphère occidental, l'Antarctique, Crimée, Kharkiv et enfin Serpoukhov et Podolsk? Néanmoins, tout le monde fait comme ça dans la vie quotidienne. Souviens-toi et n'oublie pas comment au temps Médiéval utilisait-on des copeaux, des bougies, même des torches, mais il n'y avait ni lamps ni lanternes électriques. Ce n'était pas à cause des difficultés technologiques, mais à cause de l'ignorance. Mais maintenant tu sais et tu l'as vu. Il faut le voir beaucoup de fois encore.

          Au milieu du thé, la cloche sonna.

          -Je t'ai tout dit et je vais à être assis une demi-heure encore, c'est pour l'apparence. Puis je m'irai comme d'habitude,  sans trucs, - le vieillard a dit après Albert qui s'était levé à ouvrir la porte.

          Nadia entra seule, sans Sveta.

          -Bien, je vois que vous deux vous êtes faits des amis complètement, - c'était la première chose qu'elle dit.

          Puis une conversation de la manière décontractée avait lieu dans la cuisine. Il était vu que Nadia essayait de rapprocher la conversation au thème de l'hypnosis, télépathie et en général des phénomènes inhabitudes. Au milieu de la conversation a-t-elle questionné comme si accidentellement:

          -Est-ce en effet que vous pouvez régler cette question là-bas... dans la coopérative?

          -Cela se réglera de la manière indépendante. Moins soucies-tu de ça, c'est mieux. Si chaque cas pareil se termine par un dénouement sanglant, les cadavres seraient allongés partout et ce serait la guerre de tous contre tous. Il y a quatre-vingt-dix pourcents que tout se réglera même si n'intervient personne.

          -Est-ce que vous allez à les hypnotiser en effet? Pardonnez-moi pour la question sans tact.

          -Je suis spécialiste dans mon domaine, - le vieillard a répondu strictement et clairement.

          Nadia a compris que d'autres questions auront non seulement l'air sans tact, mais aussi seront inutiles. Le visiteur, comme il avait promis, il s'est assis une demi-heure encore et a commencé à se mettre en route, disant au revoir à ses nouveaux amis. Albert s'est levé à l'accompagner jusqu'à la porte.

          -Jeudi, plate-forme Kalistovo, neuf heures du matin; jeudi, plate-forme Kalistovo, neuf heures du matin, - le vieillard a répété deux fois à son oreille, en chuchotant. - J'ai besoin de toute une information sur les types qui veulent posséder la coopérative sans suivre les règles. Même un petit détail peut s'avérer précieux. À cause de cela, laisse-le m'apporter toutes choses qu'est-il possible, jusqu'à petits détails, plus à renseigner sur eux. Surtout sur leurs chefs, car les brutes ne font rien sans ordres venus d'en haut. À bientôt.

          -Au bientôt.

          -Es-tu sûr qu'il ne participe pas en affaires obscures? - Nadia questionna, quand Albert fut revenu à la cuisine.

          -Il faut apprendre l'arbre par son fruit. Quant à moi, j'ai besoin de voir le copain de Sveta dans le futur proche. Au fait, comment s'appelle-t-il?

          -Il semble qu'Anatoly. 

          Soit il me donne tout qu'il sait sur la "toit" sans invitation, tout jusqu'à petits détails. C'est très important. Il faut que je le voie dans une place ouverte. Laisse lui m'écrire toutes les informations nécessaires, pour n'oublier rien. Je le réécrirai de ma propre main. Après cela on pourra détruire ses notes.

          -Si je ne te savais, je croirais que tu as peur. Néanmoins, je vois que tu simplement veux jouer aux espions.

          -Si quelqu'un n'aime pas la manière de mes actions, je peux refuser, mais si je fais quelque chose, je ne la ferai que de la manière préférable de seulement mon point de vue, - Albert a répondu durable. - Et j'ai besoin de le voir dans les deux prochains jours.

          Nadezhda voulait disputer contre lui, mais elle s'est abstenue cette fois de cela.


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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/10/679

Saturday, December 19, 2020

Chapitre VII. L'arme secrète en action. La téléportation. Partie I.

           Près de l'an 1960 se réunirent-ils autour un physiquement fort voyou surnommé Balda qui était vingt cinq ans. Grâce à mes évasions à la taïga, l'habitude de me persécuter ne se forma pas encore par les gredins locals. Ils me considéraient, en riant, comme un être curiosité et excentrique. Néanmoins, ce type accorda une attention particulière à moi. Est-ce que le diable lui-même le pointa en silence vers moi, mais je crois qu'il même n'aurait pas pu expliquer ses actions de manière cohérente, même sous la torture, pourquoi avait-il tel grand besoin de me détruire.

          Il avait des connexions avec les matons des camps voisins de prisonniers, où les habitants plus buveurs et agressifs du village étaient emprisonnés de temps en temps. Il avait des connexions aussi avec les flics locals. Bien qu'il eût non seulement l'air de sot, mais il était débile d'esprit en fait, cela ne l'empêchait pas de plaire à ceux, dont lesquels il avait besoin et dominer et subjuguer le reste.

          Balda avait un copain surnommé Noir. Les gens l'avaient surnommé comme ça à cause de la couleur de cheveux. Balda était un blond. Balda était un surnom de village, néanmoins "Noir" était un surnom de prison. Il avait dix ans de plus que Balda et plusieurs fois avait été déjà au camp de prisonniers. Il était un inférieur à Balda dans la capacité de se battre, mais cela était compensé par son autorité de prison, bien qu'il était considéré comme un moujik qui ne méritait pas encore d'être un "voleur dans la loi". Ce fait avait lieu plus probablement à cause de qu'il avait été une fois suspecté d'être un rat, c'est-à-dire, celui qui vole des copains. Noir méprisait les flics contrairement à Balda. Il faisait semblant dans le meilleur des cas, comme s'il ne les remarquait pas. La différence entre eux en grande partie ne les pouvait pas transformer d'abord des amis en rivals, puis en ennemis cachés et enfin en ennemis ouverts. On pourrait comparer la "lutte pour le pouvoir" entre eux aux tragédies de Shakespeare à condition si soustraire d'eux tous le reste de la dignité. Les habitants locals souffraient de leur deux et souffraient-ils non seulement de leurs poings. C'est une longue histoire, néanmoins, plusieurs hommes avaient été mutilés, plusieurs d'eux encore ont ruiné leurs vies des autres manières, en général à cause de la prison. Il y avait des cas des divorces et de la déception dans la vie, y compris avait eu lieu même un suicide.

          Le père de Balda est de mon âge, en époque de Stalin était-il un dénonciateur de NKVD. Il est probable que le fils s'en sortait souvent, à cause du souvenir de ces connexions du père. Il avait aussi une passion encore: à l’accumulation d’argent. Il y avait tel résultat de ça: Balda ne buvait pas tout ce qu'il gagnait, comme Noir le fait, mais épargnait une partie de l'argent et aimait de s'habiller chèrement. En raison de leur stupidité, Balda et son père n'ouvraient pas de compte d'épargne. La stupidité était une conséquence de leur confiance, comme si n'oserait personne entre les gens locals, même Noir, faire quelque chose contre eux. Noir savait, si quelque chose passe, il serait le premier suspecté, à cause de sa réputation douteuse. C'est pourquoi il essayait de se tenir plus loin de la maison de Balda, même lorsqu'ils étaient amis. Peut-être, en avant peur, caressait-il une pensée séduisante, mais il hésitait. Ce serait une stupidité, car il ne pourrait pas dépenser de l'argent en secret grâce à son caractère, car il ne pourrait trouver autre application à l'argent, sauf l'ivrognerie.

          La relation de Balda et Noir ressemblait à un abcès mûr qui allait à éclater. Non seulement moi, mais beaucoup des gens locals sentaient que bientôt quelque chose allait à passer. J'ai décidé d'accélérer les événements, en montant ceux gredins l'un contre l'autre et profiter de l'occasion à la fois. Je n'avais plus d'argent de la maison vendue et je gagnais maintenant qu'accidentellement. Je ne volais jamais avant, mais ne considérais pas l'action honteuse à voler des gredins. J'avais joué au théâtre Robin Hood depuis longtemps et sympathisais à personnage comme ça.

          En mai 1960, j'ai dépensé derniers pennies à louer une datcha dans la région de Moscou à Kratovo. Bien sûr, tu te rends compte que je n'ai besoin d'aucun transport à se déplacer immédiatement de la taïga de Krasnoïarsk près du village à Moscou ou à la région et à retourner de la même manière. J'ai choisi le jour de paie pour effectuer l'opération. Il y avait deux semaines j'avais montré à tout le monde de la manière démonstrative, comme si je quitterais le village comparativement pour longtemps, c'est-à-dire, pour plusieurs mois.

          Avant cela, j'avais commencé à mettre près de la maison de Balda les bouteilles de vodka. En première fois ils avaient tous les deux peur, si c'était un poison. D'abord ils ont goûté un peu avec précaution, puis allaient au magasin pour acheter la deuxième, puis la troisième, après ça ils ont bu toute une bouteille que j'avais mise jusqu'à bout. Dans plusieurs jours ils ont baissé leur garde après la troisième bouteille que j'eus mise. À rendre ivre Noir au bon moment et au bon endroit, cette tâche était plus légère, car il méprisait une chose telle que la précaution. 

          En ce jour-là j'ai excité tous les deux dès le matin à l'aide de la plantation secrète des bouteilles comme ça. Comme tu sais maintenant, les grandes distances n'existent pas pour moi. À six heures de soir quand il est deux heures de l'après-midi à Moscou étaient les deux, c'est-à-dire, Balda et son père, soûls complètement. Ils n'avaient même pas assez d'esprit de cacher la grosse somme d'argent en plusieurs places. Les billets enveloppés dans du papier journal étaient justes là à la boîte sans verrou, entre les vêtements et les autres choses inutiles. En tout cas je les trouverais aussi. Comme si par accident, j'ai  laissé tomber la carte syndicale de Noir qui était resté du travail, d'où Noir était renvoyé à cause de l'ivrognerie. Il y avait aussi une vieille lettre de la cousine de Noir de Krasnoïarsk.

          -Qui est là, salope, sans demander? - la voix soûle de Balda a retenti. - Tuerai! Sur ces mots, il est sorti dans le couloir, où j'étais debout.

          Je me suis précipité à la très petite chambre, dont la porte donnait dans le même couloir, mais à l'autre côté. Dieu merci, il y avait une barre que j'ai verrouillée immédiatement, mais il a eu assez du temps pour me voir et reconnaître.

          -Pourquoi ne pouvais-tu pas disparaître dès instant qu'il a commencé à bouger dans sa chambre? - Albert questionna.

          -J'ai déjà dit, dans cette époque-là, lorsque la capacité n'était pas encore développée jusqu'à l'automatisme, j'avais besoin de me concentrer et imaginer clairement la place, où je vais à me déplacer. Maintenant imagine-toi, quand soit un non formé mais furieux et grand type court vers toi, comment pourrait-on se concentrer? Néanmoins, j'ai réussi à fixer mon attention et faire un lancer. Est-ce que tu crois qu'à Moscou? Non. Chez Noir.

          Noir dormait sur le plancher. Il y avait une bouteille de gnôle près d'il, et la bouteille n'était pas encore bue jusqu'à bout. J'ai mis une liasse d'énormes billets de cette époque-là avec Lenin au poche de veston, dont il ne se séparait jamais. Après cela j'ai dévissé l'agrafe de crochet qui verrouillait la porte de l'intérieur. Et tout d'un coup je me suis rappelé que parfois j'avais visité le grenier de la maison de Balda. Il ist impossible inventer un endroit mieux pour recueillir des informations. Bien sûr, je pénétrais là-bas toujours de la même façon inhabitude. En imaginant clairement cet endroit, je me suis avéré là-bas.

          - ... Soit je sois une salope, mais je l'ai vu, comme je te vois maintenant. Il est du même côté que Noir! Son surnom est Artiste. Ses copains de prison sont les mêmes voleurs dans la loi. Ils ne volent pas de copains pour ne pas devenir un rat méprisé. Mais nous sommes des "frayers" à l'égard d'eux, c'est-à-dire, les victimes, tu te rends compte? Je vais à casser leurs côtes!

          -Oh, sot! Est-ce que tu crois comme si je ne me sens pas désolé? Je le gagnais toute ma vie. Tu veux simplement montrer ta sottise. Mais j'ai les connexions avec la milice. Ils battront ceux types de telle manière, comme tu ne pourrais pas. Et ils rendront tout. Quant à cet Artiste, il n'est pas du tout notre homme. On l'a vu dans la taïga. Il était assis sur le sol comme un non vivant avec les jamber croisées, comme un Turc. Ils l'emprisonneront et il ne reviendra pas vivant, mais tu veux te salir les mains.

          -Tu vis encore en 1937. Qui l'emprisonnera? Le chauve pédéraste, Khrouchtchev, salaud - il a laissé aller tout le monde à vivre comme ils veulent! Quant à Noir, la prison est une maison natale pour lui. Il ne soucie pas de ça. Mais après moi ne travaillera-t-il qu'acheter des médecines, en crachant de sang! Je le battrai comme une salope à mort! Je le battrai comme une salope à mort! Deux fois est assez pour lui!  Deux fois est assez pour lui! - ces mots étaient criés par il déjà dans la rue.

          -Imbécile! N'y allez pas! - le père a hélé d'une voix rauque, en suppliant. Il n'avait pas apparemment la force non seulement pour arrêter son "enfant" éperdu, lais il ne pouvait pas même sortir du lit.

          Je pouvais à peine retenir un rire. Néanmoins, les circonstances ne me laissaient pas voir ce spectacle jusqu'à bout. Je  me suis concentré et avéré au grenier d'une ancienne maison de cinq étages. Personne ne m'a vu. J'ai descendu l'escalier en silence, suis sorti dans la cour et passé autour l'immeuble. Dans la façade d'immeuble y avait-il une banque d'épargne que j'avais planifiée auparavant. La pause-déjeuner était déjà finie. Après avoir fait la queue pendant une demi-heure, j'ai ouvert un compte, en mettant presque tout l'argent sur le dépôt.

          Maintenant j'avais l'alibi impeccable. Il y avait la date écrite au livret et bien sûr au compte qui prouvait sans doute l'impossibilité de mon apparition à la fois si loin, c'est-à-dire, à la région de Krasnoïarsk. Néanmoins, ça m'a paru pas assez. Balda m'a vu. Mais qui croirait en çà? De quelle façon pourrait quelqu'un s'avérer dans sa maison loin qui à la fois ouvrait un compte dans la banque d'épargne à Moscou? Néanmoins ... 

          Une solution du problème m'est venue à l'esprit immédiatement. J'ai acheté une bouteille de vodka au magasin de la même maison, pour tout aurait l'air naturel. Quinze minutes plus tard, j'étais déjà de très bonne humeur dans une voiture de métro. Toute timidité a déjà disparu, et j'ai chanté une chanson de débauche pour toute la voiture: 

Je suis tombé amoureux de Khrouchtchev,

Et je vais à marier avec lui, 

Mais j'ai peur qu'à lieu de la chose

Il y a un épi de maïs.

          Les gens ont commencé à me tirer sur la manche, en m'appelant à venir à l'ordre, mais en addition ai-je commencé à danser et continuais à chanter des obscénités différentes pour tout le monde. Quelqu'un riait de bon cœur, en regardant à moi, quelqu'un souriait, secouant la tête et retenant à peine un rire.

          -Comme est le vieillard soûlé!

          -Enfin, fermez sa bouche!

          -Est-ce que vous ne voyez rien? L'homme est malade mental.

          Cela a fini de telle manière que plusieurs hommes m'ont pris par les bras et mené à la milice, dont j'avais besoin. Je n'étais laissé aller que quinze jours plus tard. Maintenant rien ne pouvait hésiter mon alibi. J'ai dit à la maitresse de la datcha qu'a reçu un télégramme la poste restante et j'ai voyagé Saint-Pétersbourg à voir ma sœur malade. En général, je faisais lui une bonne impression et si elle voit le "concert" que j'ai mis à exécution au métro, je suppose qu'elle s'évanouisse à cause de surprendre. Je continuais à me reposer à la datcha, comme un vieillard culturel et honnête, j'allais à la forêt cueillir des champignons et à la plage, quand il faisait bon temps. Je suis revenu chez soi en Septembre par train.

          -Quant à bagarre celui-là, comment est-elle terminée? - Albert questionna.

          Les vieilles locales m'ont raconté cela. De la manière comme j'espérais, Balda avait fait une irruption chez Noir et l'a commencé à battre. Noir l'a soudain frappé et sorti le couteau. Balda s'est mis à en courir. Noir avait le temps une fois le frapper avec un couteau, mais en passant, légèrement. Balda attrapa la première chose que soit lui tomber sous la main, c'était une pelle à baïonnette, et il a frappé Noir à la tête. Celui-là est tombé. L'imbécile devait s'aller, mais au lieu de ça a-t-il frappé Noir en deuxième fois, quand il s'était déjà allongé. C'était le même coup qui s'est avéré mortel. Puis il a bu encore de gnôle, et les flics le traînaient dans la voiture déjà ivre-mort.

          -Pour combien d'ans était-il emprisonné?

          -Il insistait si fortement qu'il m'eût vu qu'enfin était-il déclaré fou et irresponsable, après quoi était-il emmené à l'hôpital psychiatrique spécial à Kazan. Sais-tu qu'il y a des asiles de fous avec des gardes armés?

          -Oui, j'en sais.

          -Cinq ans plus tard était-il laissé aller. Et bientôt son père est mort. S'il est mort un peu avant, Balda resterait dans le lit éternel. Après la mort du père, il était au bord du suicide. Puis les baptistes l'ont trouvé, et dès lors il est devenu méconnaissable. Il est devenu un croyant, d’autant plus très actif. Il tentait même de convertir moi. Il s'est marié enfin une baptiste. Maintenant cet homme est complètement différent. Néanmoins, ce cas était unique, lorsqu'un ennemi a cessé d'être l'ennemi. Lorsqu'un homme corrompu a changé. Le seul cas!

          -N'avais-tu eu pas tort que ne l'as pas suivi?

          -Cela s'est avéré pour lui une promotion vers l'avant, c'est à- dire, vers la perfection en fait. Mais pour moi serait-ce un recul.

          -Pourquoi?

          -Parce que je suis au courant de la situation réelle dans une plus grande mesure. Je crois en Dieu. Mais je n'ai confiance ni en églises, ni en n'importe quelles autres foules humaines et j'ai des raisons pour ça. Je ne peux pas devenir un croyant d'église. Je ne peux que faire semblant d'être lui, mais ça veut dire une hypocrisie, une tromperie. Ce serait un péché plus grand encore. La Vérité est beaucoup plus belle que les foules stupides l'imaginent.

          -Néanmoins, n'est-ce pas que tu pèches plus? Et quoi si on considérerait l'église comme quelque chose qui retient des péchés?

          -Bien sûr, je suis loin d'être un ange. Peut-être, je suis plus péché que tous ces baptists. Mais il y a quelque chose que je sais exactement.

          -Et qu'est-ce que c'est?

          -Je ne serais jamais du côté de la foule qui crucifiait Christ.

          Il y avait une longue pause. Enfin le vieillard l'a interrompue:

          -Je me suis éloigné de notre sujet principal, néanmoins, nous ne pourrions point faire sans ce que j'ai raconté. Je me rappelle que tu as très bien compris la théorie, mais quelque chose n'ai-je pas dit jusqu'à bout.

          Ils ont tous deux réfléchis profondément, et bientôt Albert se souvint:

          -Tu n'as pas encore parlé sur la technique de sécurité.

          -Exactement!


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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/10/679

Wednesday, December 16, 2020

Chapitre VI. La Sibérie soviétique. La téléportation. Partie I.

           Albert réfléchit, comme s'il serait souvenu quelque chose, puis demanda:

          -Paul, est-ce que tu as appris à le faire longtemps?

          -J'étais libéré du camp de prisonniers à la suite de l'amnistie générale en 1953. J'avais aimé un endroit à proximité. J'avais appris qu'il y avait une maison qu'était à vendre pas cher au bord du village. Une idée m'était venue à l'esprit de vendre la maison in Tobolsk et déménager dans ce coin perdu à vivre ici jusqu'au bout. Je savais que cette maison est beaucoup moins chère que la maison in Tobolsk et j'avais grand besoin de l'argent. Si je raconte avec toutes les détailles ce que j'ai enduré, on pourrait écrire le deuxième livre "L’archipel du Goulag". L'être humain n'est pas parfait et j'avais un désir de venger. En endurant des épreuves comme ça et sans espoir de rester en vie, tout depuis le début étais-je innocent complètement. On m'a chopé en charge absurde d'espionnage de la même façon que beaucoup d'autres gens. Je n'ai pas de chance, car on m'a attrapé au moment quand la terreur sanglante n'avait pas encore eu le temps de prendre un tel élan et j'étais l'un des rares qui avaient mérité cette "honneur". Néanmoins, comme il s'est avéré après, j'avais eu beaucoup chance en fait. Car si la détention avait lieu trois-quatre ans plus tard, je serais exécuté contre un mur. Mais, comme la veuve de Mandelstam a exprimé l'idée une fois que "l'époque était encore végétarienne". Ils n'avaient pas encore tué Kirov à justifier leur repressions devant le peuple. Ils m'ont condamné à dix ans d’emprisonnement en camp et puis ils m'ont ajouté plusieurs ans encore déjà au camp. Je devais survivre et je me suis fait des amis avec les "voleurs dans la loi". Je ne peux pas me rendre compte jusqu'à présent, pourquoi compatissaient-ils avec moi et il est possible que je ne l'apprenne jamais. Je suppose que la même chose eut eu lieu comme d'habitude dans toute une société soviétique. Quelqu'un a réussi à joindre à la collectivité sans efforts, mais l'autre est plus intelligent, est plus fort, fait de son mieux, imite l'environnement social en tout, mais malgré tout, les gens autour parlent: "cet homme n'est pas le nôtre". Ce n'est que dans la vieillesse ai-je compris, pourquoi cela se produit. En utilisant les traditions du troupeau, l'État monstrueux surveille chaque personne du peuple à l'aide du peuple lui-même. Il n'y aurait assez de police ni secrète ni ouverte à contrôler tout le monde. Il n'y aurait pas assez d'argent pour ça. Néanmoins, il n'y a point besoin de cela. Le peuple est un troupeau qui paît soi-même, en persécutant tous ceux qui ont osé de se distinguer de quelqu'une manière. 

          Il est juste arrivé que ma manière de me comporter, les manifestations personnelles comme par exemple, la démarche, expression de la face  n'a pas dépassé leurs normes. Il est arrivé que les gens que je considérais comme les plus dangereux, ils sont devenus mes protecteurs, quoique c'était un cas rare qu'ils ont favorisé quelqu'un qui n'appartenait pas à leur caste, et je n'attendais rien de bon d'eux auparavant. 

          Mais l'État a ensuite décidé de faire des ajustements à son système d'esclavage. As-tu entendu parler de la "guerre des salopes"?

          -Presque tout le monde a l'entendu de cela dans notre temps.

          -La malnutrition constante, travail acharné, le froid, les intrigues dangereuses, nostalgie de la volonté - tout cela durait des années. Cela a affecté la psyché de chacun de tout le monde, à chaque personne de sa propre manière selon l'hérédité. J'ai commencé à remarquer des changements en moi aussi. C'était les rêves vifs, pressentiments qui se réalisaient souvent, la capabilité de lire les pensées des autres, la réaction interne inadéquate aux événements, le sentiment de la force et pouvoir qu'il me semblait, comme si je les n'aurais jamais, mais je sentais que je possède un trésor, je ne savais pas juste, où il se trouvait.

          L'automne de l'année 1949. Ce jour devait devenir le dernier jour de ma vie. En nuit, les matons ont donné le feu vert aux "salopes" pour tuer tout le monde dans notre baraque qui appartenait aux "voleurs dans la loi". La pression barométrique a fortement chuté ce jour-là, je l'ai appris du bien-être qui s'améliorait, comme si des certains canaux se sont ouverts dans mon corps et les sèves vitals qui avaient été enfermé auparavant, maintenant ils se sont précipités à résoudre des problèmes inconnus dans le corps. D'habitude évitais-je de confier aux gens l'information sur mon bien-être et la condition de l'âme, mais maintenant comme si j'aurais craqué et j'ai annoncé que quelque chose de terrible doit se passer aujourd'hui et je suis seul qui sera en sécurité, mais tous les autres doivent s'armer et ne pas dormir. "Qu'est-ce que tu, Artiste, est-ce que tu as perdu la tête?" - quelque chose de pareil sonnait en réponse. "Artiste" - c'était mon surnom du camp. Je me suis soudainement souvenu que je me trouve dans l'endroit où il serait mieux ne pas être franc et j'ai changé le sujet de la conversation. "Peut-être le temps se changera aujourd'hui". "Cette idée-ci déjà ressemble moins à des conneries. Je sens qu'il aille à pleuvoir" dit l'un d'eux qui savait les dictions météorologiques. Le soir, tout le ciel était assombri. j'ai prié, puis j'ai prié en autres langues, comme un pentecôtiste m'a appris qui était déjà libéré. J'ai fini tout ça par la prière "Notre Père".

          Après le dîner a une idée apparue et je ne sais pas dire d'où est venue cette idée: "ton salut est près du lavabo, ton salut est près du lavabo ..."

          Les "salopes" avec les couteaux longues ont fait irruption à environ une heure du matin. Ils avaient l'avantage numérique et l'avantage en armement. La soudaineté a également joué un rôle énorme. Tout se passait comme dans un film ou dans un rêve: les visages brutaux des tueurs, les piétinements, les jurons, les cris, le sang, les coups, la scintillation des lames. Quelqu'un qui préférait de "cracher au visage de la mort en instant lorsqu'elle regard dans les yeux, il a tué une "salope" avec une hache. Je ne sais pas de quelle façon, mais il était tué après, parce que je sais exact que personne n'a survécu dans cette baraque, sauf moi. Il est possible que je fusse resté immobile. J'étais venu à mes sens à cause de la voix: "regardez à l'Artiste. Il se repose comme au cinéma. Descendez-le!" "Il n'est pas voleur. Il n'est que leur nettoyeur", - quelqu'un a répondu. "Il est avec eux malgré tout. Et maintenant peut-il répandre l'information sur nous entre les camps. Tue ce salaud!"

          J'ai sursauté, comme si je serais un être électrique et on m'a branché. J'ai senti la force et légèreté et me suis précipité vers lavabo. Je ne sais pas jusqu'à présent, si une imagination avait lieu, ou j'ai vu exactement ce coin-là qui est situé à deux cents mètres de notre baraque près des bâtiments de production où nous buvions d'habitude le thé fort souvent. Et j'ai vu cet endroit bien appris, où j'étais chaque jour, comme s'il serait dans un rectangle verdâtre de taille humaine et un peu brillait une faible lueur. En courant, j'ai sauté dans ce rectangle et ... je suis miraculeusement et soudainement apparu dans cet endroit-là.

          Une averse est tombée sur moi d'en haut. Un orage furieux tonnait, mais on pouvait entendre les jurons, les cris de mort et le bruit de verre cassé malgré tout. Il n'y avait pas une place à m'abriter de la pluie. La température était d'environ dix degrés au-dessus de zéro. Quand je courais vers lavabo, quelqu'un a réussi à me piquer avec un couteau une fois, mais légèrement, et maintenant sentais-je que la blessure, à vrai dire, l'égratignure, saignait-elle pas beaucoup, mais de la manière persistante. Puis saignait-elle deux heures encore après que la pluie est finie, en donnant à mes vêtements un air ensanglanté et effrayant à cause de cela. En tremblant de froid, j'étais allongé sur le sol pendant plusieurs heures. Quoiqu'il il ne plût plus que pendant d'une heure, je suis trempé jusqu'à la peau. Je ne pouvais pas revenir dans la baraque. N'importe qui me pouvait tues et comment passer le reste de la nuit en compagnie des trente cadavres qui sont mort d'une mort violente! Je me suis endormi avant l'aube.

          Je me suis réveillé à cause des dents-de-chien et des cris des matons, mais en remarquant que mon vêtement était ensanglanté, ils se rendirent compte que j'étais blessé et ils me menèrent au lazaret du camp qui était situé au même territoire. Beaucoup du monde se cachait ici du travail, car le travail était un acte répréhensible de point de vue des "voleurs dans la loi", les gens se cachaient ici aussi des locals intrigues et affrontements qui pouvaient finir par la mort avec grande probabilité. On venait ici après avoir mangé des ongles, après avoir ouvert ses propres veines ou à l'aide de nombreuses autres façons. Les conditions extrêmes stimulaient l'ingéniosité des gens.

          Quoique la perte de sang était sensible, la blessure guérissait rapidement et tout le monde croyait que je sors bientôt à travailler. Néanmoins, quand je me suis remis de la secousse nerveuse après long sommeil, la blessure a commencé à s'envenimer. La suppuration n'était pas dangereuse, mais la température s'est augmenté jusqu'à quarante degrés et le danger est venu d'une direction complètement différente: c'était la pneumonie.

          Pour plusieurs mois étais-je entre la vie et mort. La maladie se retirait quelquefois et me menait quelquefois proche à cette ligne, si on la traverse, on ne reviendra jamais à ce monde. Ils m'allaient à sortir de l'hôpital, mais une prochaine vague de maladie me frappait. La maladie ne me laissait pas jusqu'au printemps. On m'a sorti à la fin d'Avril. Je ne sais pas pourquoi, je croyais que tout finirait bien, et cette foi m'a aidé à endurer et même à me rendre plus fort.

          Je tentais longtemps d'interpréter les événements, mais il n'y avait personne à me le suggérer. Je me suis rendu compte immédiatement que de cette façon pusse-je evader le camp. Néanmoins, peut-on "sauter" comme ça une grande distance? À l'étranger, par exemple? Peut-être est-ce arrivé par accident? Est-ce que ce n'arrive qu'en conditions extrêmes et la probabilité est un millionième? Ne répétera jamais?

          En pensant pendant beaucoup d'années, en me souvenant, en analysant et comparant, en recueillant petit à petit information d'occultisme qui on ne publiait jamais dans cette époque, y compris les rumeurs et cancans, en utilisant la méthode d'essai et d'erreur, une théorie harmonieuse était créé graduellement de cette façon. Je ne comprenais rien telles sciences comme la physique et mathématiques. Néanmoins, maintenant avais-je besoin de les apprendre et connecter à l'affaire aussi. Je ne me violais pas. L'acquisition de connaissances, la recherche de vérité, cela m'est devenu comme un jeu qui est le plus intéressant. Et quelle joie m'est arrivée! Comme si je me trouve entre quatre murs toute la vie, sans savoir que quelque chose existe dehors. Et voilà je me suis sorti enfin. Et je suis maintenant sur un terrain merveilleux et vaste et de plus en plus d'horizons s'ouvrent devant moi.

          Après la libération devais-je faire attention aux problèmes quotidiens. Comme je le voulais, j'ai vendu la maison que j'avais habitée et l'ai acheté ici, soixante-dix kilomètres de l'endroit, où j'étais emprisonné. 

          Je n'ai dit jusqu'à bout. Je voulais venger, mais je me suis rendu compte après l'expérience exotique et terrible que la mieux vengeance est à observer de côte, comme les ennemies détruisent l'un l'autre. Ce que j'ai préféré la maison en bordure du village, n'est pas accidentel. J'ai décidé de ne l'utiliser que temporairement. Je m'habituais de plus en plus à la vie dans la taïga. Je m'allais du village à la forêt plus en plus souvent et et retournais plus rarement, en éloignant plus en plus dans la taïga.

          Néanmoins, il ne savait personne, où je m'allais et pourquoi. Bien sûr c'est métaphoriquement, on mange souvent une personne dans les villages comme ça, c'est-à-dire, on le supplante. Peu importe, comment je me tordrais devant eux ou les adorerais, tôt ou tard ça finirait mal, ce ne pourrait que ralentir une catastrophe imminente. Mais j'ai fait comprendre à eux immédiatement que ce n'est pas leurs affaires, comment je vis, comment je respire, avec qui je me couche et sur quoi je pense.

          Bien sur, je pourrais devenir leur premier objet des harcèlements. Il y avait beaucoup de voyous, de flics, de fils des matons des camps de prisonniers et de chicaneurs soviétiques, il y avait une sorte des gens comme ça aussi. Cette soi-disant "élite" était diluée par philistins petits qui se balançaient avec la queue entre les jambes et tenaient le nez en sol. On peut comprendre ceux les derniers. Il ne fallait que de telle manière se comporter pour survivre. Il était impossible de découvrir, qui est ami à qui ou qui est ennemi à qui. En étant soûl, il pouvait prêter serment de l'amitié éternelle devant vous, mais après une demi-heure pouvait-il raconter à l'autre copain de boisson, quel bouc vous êtes. Ils pouvaient casser la côte ou mâchoire l'un l'autre dans l'autre altercation, mais lendemain pouvaient-ils boire la vodka ensemble. Il y avait aussi de telles histoires à plusieurs reprises. Un voisin a emprisonné autre. Après avoir passé plusieurs années derrière les barreaux, il était libéré et ils saluaient gentiment l'un l'autre chaque jour, malgré que la chose pareille pût avoir lieu une fois de plus. Pour les fêtes avait-y-il soûleries et bagarres avec les villages voisins tout le temps. En mieux finissait-ce à l'hôpital et au pire à la prison. Si j'y habite constamment, ils me déchiraient avec plaisir, mais chaque fois en essayant de m'attraper, ils attrapaient l'air. Je m'échappais. Je ne restais jamais là-bas pour les fêtes. J'ai mis l'argent que j'avais obtenu de la vente de la maison sur un compte d'épargne à Krasnoïarsk même. Je l'avais d'argent assez pour voyager Krim plusieurs fois et recouvrer la santé après les camps de prisonniers. C'est possible, tu veux questionner, pourquoi n'ai-je pas utilisé ma capabilité à évader des prisons. En deuxième fois je n'en ai réussi qu'en 1955, lorsque je pouvais gérer le processus consciemment. Dès le printemps de l'an 1957 fais-je cela constamment et la connaissance pratique marche infaillible, plus fiable qu'une voiture. 

          -As-tu essayé de compter, - Albert a questionné, - combien fois en jour "escalades"-tu à travers l'espace comme à travers une clôture? En moyenne?

          -Je viens de comprendre de quoi tu parles. Je peux dire que ce numéro est à deux chiffres et il est plus proche à dix qu'à quatre-vingt-dix-neuf. Je ne peux pas dire plus exact. Je n'ai pas pensé à garder des registres dès le début.

          -Est-ce que ça veut dire que tu as escaladé au moins 130.000 fois.

          -Et rien de mal ne m'est arrivé. Est-ce que tu veux questionner sur cela? Nous ne sommes pas encore venus à l'ingénierie de sécurité, mais je la vais à discuter aussi. Et il est plus commode dans la conversation si nous n'escaladons pas comme à travers l'espace, mais nous irions successivement et en permanence. Si j'ai commencé à parler sur la Sibérie, je vais à parler sans détails des choses principales jusqu'à bout.

          Ainsi, la situation dans le village se réchauffait. Dans l'époque du dégel de Khrouchtchev, les bagarreurs ont laissé aller leurs instincts. Les bagarres entre les habitants du village sont devenues plus violentes. Beaucoup d'eux s'est allé aux villes: à Krasnoïarsk, Atchinsk, Abakan. Entre des moujiks restés dans les querelles de plus en plus étaient utilisés les couteaux, les haches, même les fusils de chasse. Quand ils étaient sobres, ils étaient lâches comme les lièvres. Dans les vieux jours, on engageait des procédures pénales à cause du trouble à l'ordre public, mais maintenant on les engageait de plus en plus souvent à cause des lésions corporelles graves ou les meurtres. Le rassemblement principal des voyous de plus en plus se dissipait graduellement.


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Le texte russe original: https://proza.ru/2010/01/08/48

Saturday, December 12, 2020

Chapitre V. Une lecture. La téléportation. Partie I.

           Albert était bouleversé et ravi. Évidemment! C'était beaucoup plus que voir la foudre en boule. Malgré toute sa connaissance, il ne pouvait pas "calculer" vite, de quelle façon a lieu "une telle chose". C'était une merveille, mais aucun rêve. Il savait un moyen simple de définir, est-ce un rêve ou il n'est pas, et ce moyen est plus efficace que pincer soi-même. les deux premiers nombres à trois chiffres qui lui viennent à l'esprit. Il a multiplié mentalement les deux premiers nombres à trois chiffres qui lui viennent à l'esprit, puis il les a mis au carré, les a passés dans le calculateur. Il le serait impossible de faire en rêve, mais même s'il réussissait, on se réveillerait à cause de la charge mentale qui serait très grande, bien sûr, s'on n'est ni somnambule ni drogué. Il n'était point ni l'un ni l'autre. Ça veut dire que ce n'est pas un rêve. On pouvait comparer son sentiment avec sentiment d'un enfant, les parents pauvres de lequel ont donné lui soudain un jeu d'ordinateur qui serait le plus intéressant, avec possibilités presque illimitées. Même dans le cas qu'il même ne peut jamais faire "comme ça", il considérerait comme un grand cadeau l'opportunité d'observer et apprendre ce phénomène ou au moins à lire sur ça. Quand il s'est remis, c'était sa première question:

          -Peux-tu t'aller loin comme ça?

          -Maintenant tu comprends pourquoi il ne m'intéresse point, s'il est le temps favorable d'aller par avion ou n'est-il pas, quand je monte ou, si tu veux, quand je me déplace du territoire de Krasnoïarsk ici et retour?

          -Néanmoins, ainsi peux-tu aller à l'Amérique de cette façon, n'est-ce pas?

          -Pourquoi pas? J'y vais souvent, surtout à New York, à Philadelphie, Los Angeles, San Francisco. Si je le veux, soit je peux me promener dans l'Europe, soit me monter à la nature sois près de Yenisei, soit près d'Amazone.

          -Dans l'espace aussi?

          -Tu viens de poser question bien sans pensée. Il y a un vacuum. L'enveloppe d'air qui t'entoure et se déplace avec toi, elle disparaîtrait immédiatement et la pression te déchirera comme un flet, qui du fond à la surface est monté immédiatement. C'est la mort. Deuxièmement, la place où tu montes, dois-tu imaginer clairement. Troisièmement, quant à l'espace cosmique, en possédant l'opportunité comme ça, il me ne serait pas très difficile de voler un scaphandre, néanmoins, je ne peux pas garantir sa solidité.

          -Mais le corps ne s'écroule pas donc.

          -Lorsque réussiras-tu en première fois, ne perds pas la tête de la joie et ne monte que trois fois en jour, au maximum. Quand j'avais appris à me déplacer de telle façon, à l'instant du déplacement ne sentais-je rien, mais il y avait le sentiment des doleurs des os quelques heures plus tard. Si le faire très souvent, je suppose qu'on puisse tomber malade. Mais dans un mois s'adapte l'organisme. Le fait est qu'il y a une flexion à la direction des dimensions inconnues à nous, quoique l'angle de flexion soit très petit. La microdéformation passe à travers tous d'un organism de la manière ondulante, à travers chaque cellule du corps. C'est indifféremment pour les tissus corporels mous, mais les os doivent s'adapter. Si le faire dans une combinaison spatiale, les pièces métalliques peuvent être incapable de résister. Le métal est plus durable que les os, mais les petites fissures peuvent contribuer à la dépressurisation,  et pour le meilleur ressemblera cela à la maladie de décompression, qui conduira au désordre mental pendant quelque temps, et tu ne seras pas capable de revenir.

          -Est-ce que dépendent ces capabilités de la condition mentale? Après tout, tu n'as eu aucun besoin de l'équipement spécial.

          -Est-ce que Christ avait besoin de l'équipement spécial à marcher sur l'eau? Et le simple pêcheur Peter qui vient de commencer à étudier d'il, il avait pu répéter cette  merveille, mais dès que sa psyché avait commencé à travailler dans une direction indésirable, il avait commencé à couler à fond. Tu ne couleras pas et ne seras pas bloqué dans ce cas. Tu ne pas réussiras pas, soit si tu t'arrêtes un peu, une petite force te poussera là-bas, où tu allais à pénétrer, ou en arrière. L'humanité sait dès le temps ancien que nous sommes capables de gérer non seulement le niveau d'adrénaline, en imaginant quelque chose de terrible et aussi le niveau de noradrénaline, s'en souvenant les ennemies propres. Mon moyen secret de me déplacer n'est pas décrit  dans les manuels, néanmoins, il n'y avait aussi ni la théorie de ton homonyme Einstein jusqu'à récemment, ni la physique quantique.  Au fait, la dernière prétend et tout le monde qui l'apprenait, ils savent qu'un électron, par exemple, en absorbant ou en émettant de l'énergie, passe de l'un niveau à l'autre, en disparaissant d'un endroit et apparaissant dans un autre.

          -Je le sais bien. Je peux aussi raconter sur l'effet-tunnel. Une petite bille que se roule le long de la table, la sauterait sûrement sur la lame de rasoir qui soit 1 mm au-dessus de la table. Néanmoins, si on la rule de cette façon très grande quantité de fois qu'on peut expresser par nombre un avec vingt six zéros, une fois elle peut passer à travers de la lame sans sauter et sans la endommager. 

          -Je ne parle sur la mécanique quantique qu'à montrer le fait, il y a un siècle et demi, si quelqu'un racontait des merveilles de cette mécanique, personne ne croirait, et le monde considérait le fait scientifique comme délires d'un fou. Certainement, dans le macrocosme fonctionnent ses propres lois, et je vais à tenter d'expliquer ce qui passe pendant tel "changement de place", à mesure que mes connaissances amateurs dans la physique me permettront de le faire.

          La bouilloire qu'ils ont oubliée, commença à cracher l'eau bouillante sur la cuisinière et la flamme du brûleur. Le sifflement fort les força à changer l'attention. Albert sauta de la chaise et commença machinalement à faire le thé. Il mit trois cuillères pleines du thé à la théière.

          -Ô bien! Tu as juste compté sur moi! Je me suis habitué à boire du thé fort encor au camp de prisonniers. Après d'être sorti à la liberté buvais-je le thé pendant plus d'un an sans interruption. Puis j'ai remarqué que ce n'est plus mieux que le travail lourd, car il éreinte. J'ai réduit la dose, et tout finissait par se régler. Je suppose qu'il est même un peu bon pour la santé, car il élimine les matières nocives et le sang ne stagne pas.

          -Je ne buvais jamais le thé des prisonniers, mais dès la jeunesse bois-je deux cuillères à café de thé dans la théière, sans diluer. Aujourd'hui à cause de l'occasion comme ça ai-je mis trois cuillères au lieu de deux. La caféine est la seule drogue que je me permets.

          -C'est une raison plus, pourquoi mon choix s'est arrêté sur toi, - le vieillard dit après verser le thé dans la tasse, en le goûtant.

          -Tu as promis de l'expliquer du point de vue de la physique.

          -Tu as raison. Il est mieux de parler chacun à son tour, sans sauter de l'un à l'autre. Ainsi, la cosmologie contemporaine suppose que la création soit une figure géométrique qui est assez complique et a onze dimensions, c'est-à-dire les directions qui sont perpendiculaires réciproquement. Nous ne savons que trois d'eux et les appelons dans la vie quotidienne: la longueur, la largeur et la hauteur. Nous ne savons pas et ne sentions pas les autres dimensions, mais ils se prêtent à des calculs mathématiques. Tu te rends compte, afin que dessiner la dimension troisième dans le plan, il faut sortir au-delà de ce plan. Mais nous ne savons pas, comment sortir au-delà de l'espace, afin que marquer au moins la quatrième dimension. Nous ne savons pas comment peut-on le faire physiquement et est-ce que le faire possible. Même nous ne savons s'imaginer le monde à quatre dimensions, mais c'est surtout à cause de l'absence d'expérience pareille. En outre, comme les savants supposent, cette figure d'univers est très tordue. Imagine-toi un fil qui est enroulé sur le tambour tour à tour proche. Le longue du fil peut la distance égaler plusieurs kilomètres, mais entre des tours elle n'est que millimètres. Maintenant imagine-toi la plus fine bobine où on peut mesurer entre les tours en angströms. Et non seulement le fil est tordu, mais la bobine aussi. Et non seulement la bobine, mais aussi ce qu'est passé après la torsion. Il ne faut pas forcer l'imagination en vain. Il n'y a que deux facteurs qui peuvent transformer loin en proche: la multidimensionnalité et la torsion. Beaucoup de directions permettent de faire proche tout ou presque tout. S'il y a besoin d'aller loin malgré tout à travers l’une des directions, même entre les tours, toujours peut-on trouver un chemin plus proche, grâce à la grande quantité du choix. Ainsi n'importe quelle chose même dans une galaxie qui est éloignée à des centaines de millions années-lumière peut s'avérer proche plus que nous nous trouvons l'un de l'autre maintenant à cette table. La presse populaire déjà écrivait sur ça.

          Ma capacité de "grimper" d'avant en arrière est un grand atout en faveur de cette hypothèse. Il y a tel sentiment, comme si je grimperais à travers un fenestron ou à travers n'importe quel trou. J'ai besoin d'énergie très peu pour ça, indépendamment de la distance. La télékinésie a besoin beaucoup plus d'énergie. Je n'y ai pas réussi à acquérir cette capacité. Je ne peux pas déplacer même la boîte d'allumettes avec mon esprit, je ne peux que déplacer une tête d'allumette, parce que je manque de force pour plus. Mais quant à ce truc, je le fais légèrement. La chose principale est à l'attraper cette condition mentale qui est nécessaire pour ça. Si un boxeur a besoin de travailler son coup, tu as besoin de travailler ta condition mentale.

          -Néanmoins, comment faut-il le faire.

          -Je vais à donner un exemple qui aidera à t'expliquer, même si ce n'est pas tout, mais beaucoup de choses que tu as besoin de savoir. Imagine-toi que tu dors et rêves, comme si tu serais à la gare d'Iaroslavl de Moscou, il faut aller chez toi, et le dernier train local doit se mettre en marche immédiatement. Que feras-tu en rêve?

          -Bien sûr, je courrai à ce train, attends ... Il semble que je commence à deviner, où git le lièvre, - Albert dit, en étant heureux à cause de la supposition inattendue, même il est sauté de la chaise.

          -Il serait mieux, si je même l'explique. Usage rend maître. Si tu penses, comme tu t'as habitué, tu resteras où tu étais toujours. À ta place, j'ignorerais ce train, laisserais le rouler. Mais j'essayerais comme peut-on clairement de m'imaginer l'appartement, la femme, toute une situation, toutes les sortes des sentiments, des émotions et des pensées qui apparaissent d'habitude, lorsque je retourne chez soi en ce temps tard. Je m'imaginerais, comme je grimperais à travers un limit invisible à la cuisine ou à la chambre, ou même à la toilette de mon appartement ... et je serai là-bas immédiatement.

          -Mais c'est en rêve.

          -Oui, la matière astrale est flexible, on peut modeler d'elle n'importe quoi, créer et dissiper des images et tout comme ça. Les images astrales sont vagues et indéfinies. La matière physique est plus dense, plus inerte, surtout le macrocosme, mais tout ça n'est que quantitativement. Le macrocosme est plus exact. C'est le monde des matières lourdes et des hautes énergies. Il nécessite des coûts énergétiques élevés. J'ai déjà dit que ce que m'aide, c'est le fait qu'en fait, presque tout est situé proche. Il n'y a pas distances dans l'univers qui serait commensurable même avec plusieurs mille kilomètres. La résistance de l'environnement que je passe, est mineure aussi. Même telle chose comme d'escalader une clôture, est plus lourde. Nos muscles matériels sont puissants. Nous pouvons aller, courir, traverser les clôtures et soulever des poids, et il n'y a pas de problème énergétique. Le problème est la précision. Il s'agit de la précision de l'imagination. Tu dois apprendre à t'imaginer le processus du déplacement exactement et aussi la place, où tu tentes de "grimper". Afin que "grimper" à travers l'étendue, tu dois "atteindre le cercle des dix points". Si tu rates, il ne serait que les imagines astrales, les rêves, mais physiquement resteras-tu à la même place. Il faut s'entraîner pour ça, n'essayer que de se souvenir vite après un coup d'oeil la forme, la couleur, la quantité et la situation des choses. 

          Néanmoins, ce n'est pas tout encore. Quand tu tires, tu vois la cible et tu sais dans laquelle direction faut-il pointer le fusil. La cible est exacte. On peut négliger les effets quantiques. Mais ici faut-il "tirer" exactement, mais la cible n'est pas visible, j'ai déjà dit sur ça. On peut pointer exactement la distance et la direction du tir. Mais on ne peut pas décrire la condition de l'âme mesurée en mètres et en degrés. Je ne peux donner aussi ni dessin ni photo de mon âme, lorsque je le fais. Tu n'atteindras pas le but que tu ne vois pas qu'après grande quantité des "tirs" et un jour tu atteindras le but. Encore beaucoup de fois rateras-tu et puis atteindras le but en deuxième fois. Puis réussiras-tu toujours plus souvent jusqu'au temps quand tu commenceras à réussir chaque fois sans problème.

          -Comment je me suis rendu compte, il y a trois choses. La première: il faut travailler les habitudes nouvelles qui ont lieu dans le processus de réflexion. La deuxième: travailler mon imagination exactement et la capacité d'expresser ce que je vois plus exact. La troisième: en utilisant la méthode d'essai et d'erreur, travailler la condition mentale qui m'était inconnue, mais elle est nécessaire pour le succès et la corriger. Ai-je raison?

          -Ce serait très bon compliment à l'étudiant, si je dis que le travail est facile avec il. Tu as compris tout bien, mais tu n'as pas pris en compte quelque chose encore.

          -Qu'est-ce que c'est?

          -La technique de sécurité.


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Le texte russe original: https://proza.ru/2010/01/08/48