Friday, December 24, 2021

Chapitre II. Dans le rôle d'un spectre nocturne. La téléportation. Partie II.

           Albert est émergé à un quartier de Moscou qui est situé proche de sa maison et au-delà immédiatement de contournement qui divise conditionnellement l'énorme métropole en région et le centre régional. Il n'y avait personne parmi ses amis ni amies dans ce quartier et ils peuvent le suivre partout mais pas dans ce quartier. Il se mit en marche à pied. Le vent du jour s'est calmé, mais on sentait la fraîcheur après New York, néanmoins, ce n'oppressait pas mais n'était qu'excitante. D'ailleurs, la délocalisation instantanée du midi clair à l'obscurité d'automne toujours sans neige de la ville nocturne, tout ça ajoutait une sorte du fabulosité à tout l'environnement. Il était en train de regarder au monde ordinaire et bien connu par une sorte des yeux neufs. Tout avait l'air en partie su et tout était en partie vu comme en première fois. Dans les instants pareils, des idées sont générées et des plans sont faits facilement qui sont réalisés après non si facilement. La chose principale maintenant est à l'atteindre la maison et s'il est suivi, il les faut laisser voir qu'il est arrivé à pied on ne sait pas d'où, du plus proche quartier de Moscou. Donc il les faut laisser résoudre un casse-tête qui habite le quartier près de la station de chemin de fer "Los'', si c'est une amante ou des amis, ou des parents éloignés qui jusqu'à présent toujours ne sont pas comptabilisés par l'institution secrète. Et après arriver chez soi, on peut voyager encore, car il ne voulait dormir du tout, et les heures du jour étaient sombres mais n'étaient pas encore tardives.

          Après avoir arrivé chez soi, il fourra toute de suite les papiers qu'il a reçus du vieillard dans un tas de linges sales qu'étaient prêts à la lessive. Il n'alluma pas la lumière prudemment. Tandis qu'il absentait, l'appartement pouvait être équipé de caméras cachées. Sans déshabiller, il se dirigea aux toilettes, enferma. Un instant passa, et il vient d'apparaître aux toilettes de l'appartement de Sveta. Des voix calmes d'hommes qui venaient de la chambre firent clairement comprendre qu'il ne faut pas sortir, mais écouter.

          -...réellement... sans problème... Que pourra-t-elle faire? Les filles plus cools qu'elle, étaient faites. Même elle n'aurait besoin d'être faite.

          -Garçons, frappe-moi, j'ai oublié, comment s'appelle-t-elle?

          -Est-ce que tu as la sclérose? Elle est Sveta. Izmailova. Bois la bière! Chacun de nous a déjà bu, mais tu es assis toujours et n'as qu'une gorgée. La bulle est presque pleine. Pas vessie mais la bouteille. Tu mouilleras le cerveau et il commencera à travailler. Et étant sèche, ma balle, c'est-a-dire tête, coincera aussi. Donc... je parle... la fille est la nôtre. Mityay, si elle ne va pas à ton goût, le reste pour moi et Lekha sera plus grand, ne nous blâme pas. L'appartement est le nôtre aussi. Non. Je ne parle pas comme si je vais le prendre. Nous trouverons l'argent après. Nous avons appris à faire quelque chose de Colonel. Il s'agit du fait que nous pouvons toujours venir ici et nous réchauffer dans n'importe quel sens. Et simplement être assis et se cacher quand il faut. Il n'interfère qu'une chose.

          -J'en sais. L'objet que les agents de KGB ont mis en œuvre. Apparemment ce nerd ici séjourne souvent, mais il ne faut pas toucher. Partons. Comme un acteur défunt dit: nous irons tous (à la prison).

          -Donc, pensez, frérots, que faut-il faire pour qu'il ne traîne pas ici? Nous le ne pouvons pas toucher. Il ne reste que faire telle manière qu'elle-même le refuse. Le premier, nous la pouvons intimider, mais c'est une mauvaise méthode.

          -Pourquoi?

          -Si ce subject-objet voudrait montrer ses manières chevaleresques, alors que faire? Après tout, nous ne pouvons pas l'attaquer.

          -Es-tu sûre? Après tout, il est un nerd, un étudiant...

          -Souviens-toi de ce que Colonel disait. Aussi on parle: il faut se méfier de l'eau qui dort. Le KGB est engagé avec lui, est-ce que pour les beaux yeux? "Notre objet. Nous travaillons avec lui". Est-ce que tu as écouté cela?

          -Cette phrase se dresse dans mes oreilles jusqu'à présent.

          -Personnellement, j'ai quelque chose qui se dresse à cause de Sveta. Mais assez plaisanter. Pourquoi il vient toujours ici? Est-ce qu'ils jouent aux échecs? Néanmoins, il est marié. Voilà le chemin deuxième: à informer sa femme.

          -Donc s'approcher de lui de nouveau, malgré l'interdiction?

          -Pas nous. Faire pour que vieilles femmes, ces potinières raconteraient à elle que son mari traîne chez Sveta Izmailova. Tout ça est une question de temps et de technique. Colonel, que parlait-il à faire dans les cas pareils? Trouver un garçon local, à montrer lui que nous, en étant des bandits, nous le respectons. Il fera tout possible pour que les vieilles femmes le potin répandent. Sinon, ces retraitées s'ennuient. Avant tout le monde avait peur d'eux au temps du pouvoir soviétique, mais maintenant on les ignore et bannit, en jurant. Et soudaine, une opportunité apparaît à faire du mal, à commencer une intrigue: ouvrir les yeux à la femme au comportement immoral de son mari. En dernier recours peut-on soudoyer une commère qui est plus active.

          -Tu es tant besoin de cet appartement?

          -Qui a dit que c'est si coûteux? Tous ils sont indigents. Ils sont prêts à danser pour n'importe qui pour dix dollars. Néanmoins, bois la bière. Oh, tu as déjà bue toute une bouteille! Laissons ouvrir des bouteilles encore. En tout cas, nous ne ferons des bêtises après la bière.

          -Ouvrons, ouvrons! - les voix d'approbation retentirent.

          Puis un bavardage ordinaire continuait, qui ressemblait à des potins quotidiens des simples gens. Les mains d'Albert démangeaient à prendre sa revanche. Il était prêt à l'apparaître et fusiller tous les bandits avec "Walter" qu'il sentait dans sa poche avec un sentiment joyeux, mais on ne pouvait maintenant ce faire qu'à cause de manque d'intelligence. Il n'avait pas ce manque d'intelligence, malgré la négligence des derniers mois. Dans ce temps-là, il simplement avait désactivé sa vigilance et discrétion. Néanmoins, les datas qu'il avait reçu de son vieil ami à New York, les le forçaient de tenir ces qualités à fleur de peau.

          Une comparaison intéressante est venu à l'esprit. Des alpinistes dans les montagnes peuvent se soulever à l'aide de mains ou pieds. Néanmoins, si quelqu'un se soulève à l'aide de mains, il se fatiguerait vite après avoir perdu les forces. Aussi lutter seul contre tout le monde peut on comme un soldat, chevalier, c'est-à dire, un samouraï. Mais on peut agir comme un espion, c'est-à dire, un ninja. Lutter contre le monde de la façon de samouraï est un suicide. La majorité des gens sont guidés par l'opinion de la foule, en disant: "on ne peut rien faire contre eux, car ils disposent du pouvoir. Mais en outre, à cause de leur simple esprit qui n'a pas reçu un développement comme il faut à cause de telle éducation que nous pouvons observer, ils ne devinent pas que sauf le style de samouraï, il y a encore le style de ninja, lorsque même un seul peut être un combattant. Cette circonstance réfute catégoriquement le cri du poète Maïakovski: "un solitaire est nul". Non. Un solitaire qui est capable de penser peut avoir des forces épouvantables, même s'il ne possède pas la capacité de téléportation.

          Sa réflexion était interrompue par le verrou qui a cliqué et la porte d'entrée qui a ouvert. Deux hommes en uniforme de camouflage entrèrent à la chambre sans se cacher, sans l'intention d'être inaperçus. Ils allumèrent la lumière sans ménagement et entrèrent à la chambre. Les copains un peu soûls s'apaisèrent effrayés.

          -Il semble, on vous a prévenu que vous n'approximiez pas à notre objet. À quoi bon êtes-vous entré à l'appartement qui n'est pas le vôtre?

          -Ce n'est pas lui. Il n'habite pas ici. Une nana habite cet endroit et elle nous plaît. Nous n'avons rien volé, vérifiez nos poches, s'il nous plaît.

          -Nous savons sans cela que vous avez les pistolets TT dans les poches que vous ne voliez pas, mais les portez sans autorisation. À brièvement dire, cet appartement, ne le visitez pas non plus. Vous savez que l'objet le visite parfois, mais vous êtes venus malgré ça. Vous n'osez point d'être proche de n'importe qui des connus de lui! Maintenant, mettez tout de l'ordre, comme si vous n'étiez jamais et sortez.

          Une pensée impulsive était née dans l'esprit d'Albert. Il ne réfléchit que quelques secondes. Le scénario avait l'aire immaculée. Il avait déjà marre de ces trois types. Le matin pouvaient-ils tirer lui, tirer sa Nadia, effrayer et insulter Svetlana si douce et inoffensive, comme un enfant. Et quoi de ceux deux tachetés diables? Comme y a-t-il beaucoup d'eux maintenant! De toutes sortes, de toutes les couleurs. Combien fois les types pareils lui a extorqué de l'argent, quand il vendait les journaux. Il ne s'agit pas de petite monnaie, ils ont besoin de laisser quelque chose de dégoûtant dans l'âme. Les salops pareils sont capables de fusiller des femmes et des enfants dans un point chaud quelque part, puis revenir et faire semblant comme des heroes. Maintenant, il va faire deux coups d'une pierre, il fusillera ceux tachetés et aura piégé les bandits à la fois.

          Albert retira le "Walter" de la sécurité et sortit des toilettes. Deux coups de feu de tonnerre forcèrent deux autorités d'abord de se tordre, puis de tomber. Les bandits épouvantés regardaient à l'Albert et immédiatement des coups ont retenti qui secouaient la porte et des exigences menaçantes de la ouvrir.

          -N'ayez pas peur et ne m'empêche, - Albert avait le temps de dire, mais ses mots ont été etouffés par les sons des coups forts à la porte et cris:

          -Ouvrez-le maintenant! Nous avons des fusils d'assaut! Ouvriez et à terre!

          Albert ouvrit la porte du balcon. Il pouvait téléporter tout de suite, mais il ne devait pas montrer sa capacité devant des témoins probables. Après avoir vu un tuyau de descente, il vint prudemment vers lui deux pas sur une corniche et commença à descendre le long de lui.

          -Ne tirez pas! Nous n'avons fait rien! C'est lui... l'objet...

          -Salauds! Tout le monde à terre! - Il semblait que ces cris effrayants déjà sonnaient dans l'appartement.

          Albert continuait à descendre, mais le son de verre cassé avec les fûts d'armes retentit dans quelques secondes et les gens avec fusils d'assaut sont apparus sur le balcon. Il n'y était reste à faire que téléporter à une forêt, se calmer et réfléchir.

          Un craquement retentit dans la forêt, mais Albert se rendit compte après un instant que par son émergence soudaine effraya-t-il une grande bête, soit un sanglier, soit un orignal. Le craquement s'éloignait et bientôt le silence nocturne de la forêt régna qui ajouta à son humeur une sorte d'une nuance romantique comme jamais auparavant.

          Donc, c'est fait. À juger par les balles extraites des chairs des agents juniors du FSB, soit blessés, soit tués, même un enfant comprendrait que les coups de feu ne sont pas faits de pistolets TT qui appartiennent aux bandits. Kashin maintenant doit inévitablement rapporter que c'est un objet suivi qui avait tiré, aussi rapporte la raison, à cause de laquelle on est en train de le suivre. Se signifierait de donner l'objet précieux qui peut téléporter aux mains de quelqu'un d'autre. Ce serait la même chose comme si donner un trésor qu'il vient de trouver lui-même aux mains de quelqu'un premier qu'il a vu dans la rue. Pourquoi agir comme ça? Il continuerait toujours à le suivre, en espérant à tout prix à prendre possession de compétence de la téléportation à son propre avantage, c'est sûre que ce but bien n'est pas inoffensif. Quant aux coups de feu, c'est les bandits qui seront accusés. Les balls de "Walter" seront "perdus", les bandits seront donnés aux flics et emprisonnés. Peu importe qu'ils raconteront sur le FSB aux camps de prison, c'est la mode et personne ne sera surpris. Les criminals, en riant dans la profondeur de l'âme, après les avoir écoutés, croiront que c'est un bavardage ordinaire. La prison est un lieu approprié à mentir, car on ne peut pas vérifier.

          Bien sûr, un part des agents seront mis en très grande colère à cause de ses collègues fusillés, mais qui laissera à eux faire quelque chose? Ils auront une conversation explicative. Les convaincre que toucher l'objet est interdit est une tâche plus facile que convaincre les flics, car la formation et préparation sont différentes. Il n'y a qu'un problème qui est aggravé. Il faut évacuer sa femme instamment.

          Albert téléporta à l'appartement de Lena et écouta. La lumière était éteinte. Il sortit des toilettes prudemment et s'assit par terre dans le couloir près de la porte ouverte de chambre. Deux amies allongeaient au lit large. Il aimerait bien s'allonger au milieu d'eux, caresser les deux, raconter de ses adventures, montrer le pistolet qui avait expulsé récemment son contenu mortel. Mais comme d'habitude, on ne peut pas dans la vie aller directement. Chaque but est réalisable en accord de ses règles. Il n'y a que ces règles à l'aller vers lui. Ici comme dans les montagnes: ceux qui sont séduits aller le long de la ligne droit, se retrouvent souvent sur le fond d'abîme. Albert a décidé d'être assis pendent à peu près dix minutes et partir s'il n'entend rien d'intéressant. Cependant, trois minutes de plus ne se sont pas écoulées, quand sa patience a été récompensée.

          -Nadya, est-ce vraiment que tu as pensé que je sois une lesbienne?

          -Je ne le cacherais de toi. Simplement, j'ai voulu vérifier toi.

          -Je ne cacherais aussi. C'est probable que je suis la première qui te tripoterait, mais ce n'a lieu.

          -Tu pouvais ne pas ce savoir. Est-ce que tu te connais assez bien? Tes inclinations, tes désirs? Tu peux faire sans ouvrir ça devant moi. Ouvre-lui au moins devant soi-même.

          -Et toi, sais-tu toi-même?

          -Avant ne savais-je pas, mais je sais maintenant et suis désolé pour tout le monde, car la grande majorité des gens ne savent à la matière du sex ce qu'ils veulent, car ils ont refoulé et banni ses désirs secrets depuis l'enfance.

          -Et comment as-tu renseigné de toi-même?

          -J'ai lu dans un journal de tout ça, je ne me souviens pas le nom de journal. Il y avait des recommandations très utiles, je n'ai vu plus des choses pareilles ni avant, ni après. On y conseille de jouer en esprit toutes les méthodes de copulation avec des partenaires de toutes sortes du sex et de l'âge, aussi s'imaginer soi-même essayant sur la pratique toutes les perversions qui sont possibles. Et quand tu trouves la tienne, tu le sentiras immédiatement, parce que c'est impossible de rater la chose pareille.

          -L'idée est intéressante. Peut-être, je prendrais un peu du plaisir si tu me baises, mais ce n'est pas de ce que j'ai besoin, ce n'est que substitut.

          -Bien sûr, je vois maintenant que ce n'est pas le tien, sinon, si c'est ton désir secret, tu ne pourrais le cacher de moi, je le verrais. Néanmoins, je conseille à toi simplement: examine ton essence. Personne ne contrôle tes pensées, et avec soi-même peut-on toujours faire paisiblement. Dans tes fantaisies, tu peux toujours tromper ton mari, copuler avec plusieurs hommes et en général, faire absolument tout.

          -Pourquoi tu si t’inquiètes de mes inclinations, comme si sont cachées?

          -Parce que j'ai commencé à faire ces exercices, j'ai appris de moi-même si beaucoup de nouveautés... non... ce n'était pas un choc mais le grand surpris. Et tout ça malgré le fait que mes inclinations ne vont pas au-delà des choses conventionnelles. Par exemple, j'ai appris que j'aime moi-même harceler les hommes, être la première qui les embrasse, touche, ce m'excite trop. C'est pourquoi j'ai exécuté avec plaisir une tâche... 

          Lena s'arrêta soudainement, s'en rendant compte qu'elle vient de dire trop. Mais dans quelques seconds, elle a trouvé un sujet qui convient.

          -Bien sûr que oui, la tâche. Quand en huitième année d'études, j'étais fait changer le siège situé près de mon amie à un beau garçon, j'avais été la première qui commença le toucher sous la table ...

          "Tu ne pourrais cacher de moi, de quelle tâche s'agit-il. Tu exécutais la mission de Kashin, mais moi, un crétin, croyais comme si c'était l'amour. Pourquoi, garce, j'étais tellement bien avec toi? Mieux que toutes les autres. Et comment faut-il te punir pour ça? - Albert se désolait mentalement. Tu chemines déjà au bord d’un gouffre. Pousser?"

          Mais Albert sentit de cette idée que même si personne n'apprit jamais de ça, il jugera lui-même pendant tous le reste de la vie. Cependant, elle-même, apparemment, n'a pas pleinement compris, en quel danger a-t-elle mis elle-même, s'en séduisant de travailler pour ce département diabolique de Kashin. La conversation de deux amies qui continuait, c'est elle qui a interrompu ses pensées.

          -Tu dis qu'il ne t'est jamais venu à l'esprit de tromper Albert? N'est-il pas venu à ton esprit qu'il lui-même te pouvait tromper et plusieurs fois?

          -Avec qui? Dans la rue, il ne sait pas familiariser. Les garces fuient des intellectuels plus que des clochards. C'est lieu de travail; où on familiarise avec les gens de sa sorte. Mais il ne travaille pas au sens classique, c'est-à-dire au sens soviétique de ce mot. Ce n'est possible que pour l'argent, mais ce n'est pas une tromperie réelle, à nommer. Et il y aurait le vin, toute la situation, je la sentirais.

          -Il ne peut pas. Lis-tu des journaux, sur les phénomènes anormaux? Je ne te croirais, si tu dis que tu n'ais entendu rien de la téléportation. C'est disparition d'une place et apparition à l'autre. Crois-tu que c'est une chose possible?

          -Je ne sais pas... - Nadejda réfléchit. La durée de pause déjà exprimait en minutes. Enfin, elle commença à dire.

          -Quelque part des grands trésors sont enterrés d'une forte somme d'argent. Peut-ce signifier qu'un d'eux est enterré à une profondeur d'un mètre dans la cour de ta maison à neuf étages? Allons creuser?

          -C'est quoi ce délire que tu dis?

          -Et quel délire tu dis? C'est la même chose. Сe n'est pas tout. Si on accuse l'épouse en tromperie, et à la fois allèguent des phénomènes anormaux rares qui soit existent, soit n'existent pas, c'est un signe clair qu'on a perdu les pédales. Peut-être, tu veux que je me querelle avec Albert? Tu pourrais inventer quelque chose de plus judicieuse. Sinon, tu obtiendras que je me querelle avec toi. D'ailleurs, la corde à sauter, est-ce qu'elle est conservée chez toi dès enfance?

          -Oui, elle est posée quelque part, et quoi?

          -J'espère que les cordes à linge y ait-il aussi?

          -Et quoi? Quel rapport avec ce que nous venons de parler?

          Un peu plus et Lena devinerait de quoi il va s'agiter, mais Nadia l'a dépassé:

          -Et donc. Allons, je te bien attache, puis je te fesserai avec la corde à sauter comme une chèvre, ainsi que demain fera-t-il mal à t'asseoir. Les inclinations masochistes qui sont cachées dans ta subconscience, et quoi si elles se découvriront en toi?

          -Elles ne se découvriront pas. J'en ai fait déja tout ça en esprit. Cette passion n'est pas la mienne.

          -Il est bon que ce ne soit pas la tienne. C'est ainsi que je traiterais une amie qu'ose séduire à mon mari. À cause de sa tromperie aurais-je enduré une douleur sur le plan moral, alors, il la faut laisser endurer la douleur sur le plan physique. Je serais désolé de tuer ou mutiler mon amie en griffant les yeux, mais je causerais à elle une douleur insupportable sans ce qu'est mauvais pour la santé.

          -Tu m'effrayes? Mais je suis courageuse! Fais ça, sinon je t'empêcherai de dormir.

          -Es-tu sérieuse?

          Au lieu de réponse, Lena alluma. Albert a failli d'être remarque, en changeant le lieu à se cacher. À peu près cinq minutes, elle a trouvé les cordes de linge et à sauter. 

          -Tout prêt, mon amie. Fais ça! Sinon je serai en train de te déranger et te ne laisserai pas dormir.

          -Eh bien, tiens bon ! Et ne sois pas offensé.

          -J'en ai voulu moi-même, - Lena a répondu d'une manière incertaine.

          Albert ne voyait pas, mais entendait ce qui passait assez bien. La préparation durait pendant trois minutes encore. Enfin il entendit la voix de sa femme:

          -N'as pas tu changé d'avis?

          -Je ne fais rien sans penser. Souviens-toi de ça!

          -Bien. Tiens bon alors. 

          Le premier sifflement et une tape au corps nu ont retenti. Puis les tapes suivaient un après autre. À juger de sifflement aigu qui sonnait parmi le silence, Nadia n'avait pas eu pitié de son amie du tout, mais l'amie faisait preuve de la patience spartiate.

          Aussitôt qu'Albert était prêt à évaluer mentalement cette patience, le premier hurlement sonna. Lena qui avait trente ans, elle hurlait et glapissait comme une étudiante d'école sous coups de canne.

         -Assez pour toi. Après tout, tu n'aimes pas cela. Pourquoi as-tu le demandé?

          Lena se tut immédiatement, elle respira profondément plusieurs fois et essuya les larmes. Dès que Nadia l'a détachée, elle commença à examiner attentivement son amie.

          -Quelle agressive es-tu, Nadia! Agressive, mais tu n'es pas une sadique. Simplement, je t'ai mis en colère.

          -Pardon-moi. Qu'est-ce que nous faisons, nous les deux!

          -Assez. Tu as servi moi en accord de ma demande. Il y a une autre raison qui m'inquiète. La punition est d'enfance, mais quel mal avais-je. Et quoi si on moi torture réellement? Je n'aurais enduré. Comme est-il épouvantable à vivre... Si épouvantable!

          -Écoute, tu as besoin de voir un psychiatrist. De quoi as-tu peur? Qui te torturera? Qui a besoin de ça?

          -Est-ce que tu ne vois rien, toi-même? Est-ce que c'est moi-même qui aie inventé l'assassinat du copain de Sveta? De qui est tu en train de te cacher chez moi? 

          -De quelle façon cela te regard?

          -Si tu es menacée, pourquoi je ne pas pourrais tomber en danger? Tu crois en pressentiments toi-même, n'est-ce pas?

          -Tout est bien si tout avec modération, mais tu exagères tout. Qu'est-ce qui se passe avec toi, pendant demi-année déjà? D'une fille timide, tu as transformé en psychopathe. À voir de l'autre côté, c'est l'intelligence, l'érudition qui sautent aux yeux. Avant, grâce à la timidité et modestie, à dire directement, tu étais comme une fille paysanne. Maintenant bientôt pourra-t-on te comparer avec mon Albert. Ce serait bien, mais c'est le mal, la cruauté et la peur qui sont ajoutés. Je les sens en toi. Qu'est-ce qui t'arrive?

          -Tu me demandes comme en interrogatoire, me je moi-même toujours ne peut pas me comprendre.

          -En tant qu'amie, je te conseille de contrôler ta psyché. Je ne peux pas te conseiller d'une manière sérieuse de voir un psychiatre. Ils sont des cordonniers de la pouvoir soviétique. Ils ont brisé tant destinés! Néanmoins, fais quelque chose toi-même. Prends des médicaments contre l'anxiété. Viens à nous voir plus souvent.

          Lena savait que ce n'est aucune maladie mentale qui est en train de la menacer, mais c'est la peur assez réelle qui est provoquée par assez réelle raison. Elle déjà commença à deviner qu'elle "sait trop". Trois hommes encore le savent, c'est Kashin, Skolopendrin et Batogov, néanmoins, ils l'ont appris d'elle. Elle a trahi Albert qu'elle aimait avant. Elle l'a trahi une fois plus, quand elle a lancé ses voisins contre lui. Maintenant elle est en train de trahir toutes les amies, en rapportant tous les tenants et aboutissants à leur sujet, toutes leurs inclinations et pensées secrètes. Elle fera tout qu'elle peut, elle sera bientôt épuisée complètement et ils n'auront plus besoin d'elle. Et ils la tueront. De quelle façon? Si la punition pour enfants l'a forcé pour crier de douleur, comment affrontera-t-elle la mort?

          Au prix de la douleur de la fessée avec corde à sauter, Lena tentait d'être sûre si son amie possède une inclination sadique. L'amie va bien. Mais quant à elle?.. Elle avait été surprise, comme peut-on trouver un plaisir en çà? Quoique ces derniers temps ait-elle commencé à se rendre compte de la nature, sa grande diversité et les exigences mutuellement exclusives des sortes différentes des êtres vivants: ce qu'est bien pour un, peut s'avérer la mort pour un autre. La peur et pressentiment de la mort n'ont qu'augmenté à cause de la fessée avec corde à sauter. La perte d'une petite quantité des cellules et des signaux de panique à ce sujet au cerveau, les signaux qui s'interprètent comme une douleur, cela lui a rappelé lui d'assez probable mort bientôt de tout le corps, il est possible, y compris, de l'âme. Elle a mérité tout ça. Comme Judas, elle a  trahi les amies et l'homme aimé, elle lui-même les a condamné on ne sait pas à quoi. Seigneur a vu tout et le châtiment n'est pas loin. Mais Il est miséricordieux. Elle entendait cela. Il peut pardonner.

          L'abcès de l'âme qui était en train de déborder, il s'est crevé enfin. Lena sauta du lit, tomba sue les genoux, en hurlant et répétant de la manière hystérique:

          -Mon Dieu! Pardonne-moi! Pardonne-moi qui ne mérite pas de ça. Mon Dieu. Fais quelque chose. Dis-moi que faire. Montre me le chemin correct. Enseigne-moi, comment vivre.

          Nadejda sauta en la suivant à la calmer. Les épaules de Lena frémissaient en sanglots. Elle ne faisait pas attention à l'amie, mais se lamentait fortement et essayait maladroitement de prier. Elle avait un désir de confesser aux amies et Albert de tout, mais ce n'était pas un tour d'ivrognerie. Son esprit était clair et elle savait que leur conversation est entendue avec grande probabilité et elle bien se rendait compte si les amies savent trop, ces types peuvent les tuer aussi. Quand elle se calma, mais toujours était aux genoux, la voix de Nadejda d'abord l'effraya puis faillit faire rire elle et Albert qui toujours se cachait et entendait tout.

          -J'ai compris de quoi s'agit-il. Tu as connecté avec dealers de drogue. Et tu non seulement vendais, mais tu as essayé quelque chose des drogues à cause de la curiosité. Maintenant tu es en train de souffrir de manque, c'est-à-dire, les symptômes d'abstinence. Qu'est-ce que tu manques? D'ailleurs, c'est probable qu'il est interdit d'en dire.

          -C'est cocaïne que je manque.

          -C'est mieux que l'héroïne ou la morphine. J'ai entendu quelque part comme si laisser tomber les dérivés de l'opium c'est une chose presque impossible.

          -No t'inquiète pas de moi. Seigneur m'aidera. Même si je ne sais pas de quelle façon agira-t-il, mais je dois croire.

         -Je m'inquiète d'Albert et je suppose qu'il fasse de même. La quantité d'argent est en train d'augmenter toujours et il ne prend avec lui le sac à dos qu'en voyage loin, en général aux villes. 

          -Quelles?

          -Différentes. Il dit qu'il a visité beaucoup de villes en parte européen de la Russie. Je ne vois pas de différence, s'il part à Voronej, soit à l'Arkhangelsk. Et je suppose que tu ne vois la différence d'autant plus.

          -Bien sûr, il a des amis neufs. A-t-il jamais emmené quelqu'un chez soi?

          Il y a deux minutes avant, Albert avait senti qu'il est probable qu'il bientôt devra interrompre cette conversation de toute urgence. Plusieurs fois il changeait le lieu de la cachette et maintenant dans la cuisine s'est-il caché. il y avait une pince à épier sur la petite table avec un miroir ancien. Cette pince à épier rappela lui un événement de son enfance lointaine. Une prise électrique qui était située près, elle s'est avérée très utile.

          -Cela dépend de ceux qui sont appelés des amis. Ceux qui vendaient des journaux avec lui ensemble, ils ne sont pas venus ni une fois. Quant à des anciens amis, il les ignore maintenant, car il est déçu ...

          Un craquement fort retentit à cet instant et beaucoup d'étincelles jaillirent dans l'appartement. Les amies se turent, mais dans une minute, la voix de Lena expliqua: 

          -Nadia, n'aie pas peur. C'est un court-circuit. Je changerai les plombs du câblage demain. Si on court-circuite de nouveau, j'appellerai un électricien. Dormons maintenant.

          -Je veux dormir aussi. Bonne nuit.

          -Bonne nuit.

          Dans quelques minutes, après s'assurer que les amies fatiguées viennent de s'endormir, Albert de nouveau téléporta à l'appartement de Sveta. C'était une surprise, mais tout était en place, à l'exception des verres cassés de la fenêtre du balcon. Pas des signes de lutte. La porte d'entrée n'était pas cassée aussi. Donc les bandits ont ouvert la porte et laissé entrer les tireurs de bon gré. Il voudrait voir la porte de l'autre côté, si elle est cassée, mais en regardant à travers le judas, il a vu deux agents en civil avec les écouteurs et antennes.

          Bien sûr, ce qu'ils écoutent, n'était pas le heavy métal ni quelque chose de pareil. Albert a décidé de partir et la raison principale de ça, pour ne pas donner trop d'informations à l'ennemie.

          Dans l'appartement de Valia, la maîtresse et son amie invitée, les deux dormaient pudiquement aux lits différents. L'alarme des documents quittés le saisit, mais après apparaître dans la salle de bain chez lui, il s'assura que tout est en place. Il n'y avait aucun agent ni dans l'appartement, ni dehors de lui. Ce n'est que maintenant qu'il se sentait, comme forte est son envie de dormir. Après avoir mis les documents aux poches de nouveau, Albert s'allongea sur le canapé directement en imperméable et il n'a enlevé que les chaussures. Il s'endormit bientôt. En rêve tua-t-il des ennemies, sauva des gens innocents et atteignait une victoire après l'autre.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2018/01/chapter-2-in-role-as-night-ghost-part-2.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/01/524

Le chapitre suivant:  https://la-flagellation.blogspot.com/2022/01/chapitre-iii-une-course-dobstacles-la.html


Saturday, December 18, 2021

Chapitre I. Des nouvelles inquiétantes. La téléportation. Partie II.

           Albert a décidé de se reposer seul dans l'appartement, d'être assis, d'être rêvant. D'abord il avait pensé comment s'habillerait-il pour qu'apparaisse sur Broadway. Mais toute de suite il s'est souvenu que à tout moment à l'outre povait-il s'envoler chez soi à se changer. Maintenant, soit-ce New York ou le Kamtchatka, tout ça est plus proche d'il que la cuisine, à condition qu'il se rende jusqu'à la cuisine à pied, mais pas à l'aide de cette manière merveilleuse. Il semblait qu'il longtemps fût en train d'être assis sur le divan, une pensée changeait l'autre. Le ciel qui était couvert d'un voile le matin, se devenait de plus en plus sombre, mais malgré cela, il se sentait le cœur léger. La probabilité que Nadia est en sécurité, est plus que 99%. L'ami qui était comme si péri, il est trouvé maintenant, et aujourd'hui, sans quitter cet endroit, il se dirigera chez il, à grande cité qu'il déjà a aimée et de laquelle il rêvait dès l'enfance, dès l'âge de onze ans. En accumulant l'expérience de la vie, Albert plus ça va, plus détestait-il les cités millionièmes et si quelqu'un lui a dit-il y a un an qu'il aspirerait à visiter une ville pareille comme un garçon voudrait arriver au parc avec les meilleurs manèges, il n'aurait cru point. C'est pourquoi le ciel sombre et gris avec les nuages lourds d'hiver qui flottaient dans il ne pouvait pas assombrir son bon état de son âme. Il en a eu marre d'être assis dans la même place. Il jeta in coup d'œil à la montre. Il ne passa qu'une heure.

          Albert canalisa ses pensées, fit un mouvement presque imperceptible et sorti comme si à travers une porte invisible à l'appartement de Valia. L'appartement était vide. Il n'y avait personne que Sveta à visiter. Il téléporta à l'escalier et sonna à sa porte. Elle ouvrit la porte, tout en larmes.

          -Comme c'est bonne que tu es arrivé! Je suis si triste!

          -Je te comprends. Bien sûr, c'est pitoyable. Ce maudit pays. Un être humain entre dans les affaires russes comme un papillon de nuit dans le feu.

          -Je n'irai pas à l'enterrement. Ses parents regardent à moi de haut et avec méprise. Il sera mieux si nous irons après sur sa tombe avec les amies ensemble ou avec toi à deux. Dur de croire. Je n'ai personne, de nouveau.

          -Il y a moi que tu as. Simplement, nous ne le devons pas maintenant. Ce serait le péché. Il faut attendre au moins quarante journées.

          -Tu es marié. Tu avec Nadia, vous querellerez à cause de moi.

          -Est-ce toi qui raconteras à elle? Non. Si on peut garder le secret pendant un jour, on le peut garder cent ans. Toutes vous ne pouvez pas comprendre qu'on peut vivre dans l'amour et l'harmonie non seulement par les deux personnes. C'est la raison à cause de laquelle doit-on faire de cachotteries.

          -À quoi bon cela? Si tu es mon mari qui s'est allé à l'autre femme, je te perdrais.

          -Presque tout le monde refuse de comprendre. À quoi bon le dilemme comme ça "avec ceci ou avec cela"? C'est l'ordre de qui? Qui a osé interdire de vivre à trois, à quatre? Les gens sont des imbéciles et c'est leurs préjudices. Je pourrais aussi te questionner: "à quoi bon cela qu'on te pince, on te cautérise?" Néanmoins, je te comprends.

          -Cela n'est pas si visible. C'est plus légèrement à cacher.

          -Quelle est leur affaire, de ces mesquines gens avec l'intellect de singe, qui à qui va? Qui a quelle porte sonne? Ne sois pas sincère avec personne et arrête d'avoir peur d'eux. - Albert allait à dire quelque chose encore, mais la cloche sonna.

          -Ne va pas. C'est moi qui ouvrirai.

          Albert, après retourner de Moscou, il toujours n'enleva pas l'imperméable où il avait les couteaux et les cartouches à gas dans les poches. En prévoyant la possibilité d'une attaque avec pistolets, il était armé complètement. Sans prendre le risque pour les yeux, il ferma le trou de judas par un doigt de la main gauche. Aucun coup de feu n'a pas suivi. Il a ouvert la porte brusquement et soudainement. Un mec était debout à l'entrée en blouson de cuir, sa coupe de cheveux était comme celle de bandit, mais on ne pouvait sentir aucune agression de lui. Il semblait qu'il ait timide ou a peur de quelque chose.

          -Ah, c'est encore vous, - il dit et baissa les yeux dans la confusion.

          -Que signifie "encore moi"? Chez qui viens-tu de t'arriver?

          -Chez Sveta... une affaire... Néanmoins, si vous êtes en train de séjourner ici, je reviendrai une autrefois.

          Albert voulait dire: "maintenant je séjournerai ici pour toujours", mais il s'arrêta à temps, après comprendre qu'il peut attirer très mauvais visiteurs par cela à l'appartement d'elle.

          -Sveta, c'est un visiteur à toi.

          Elle a regardé dehors. En voyant son regard, il a compris que ce mec n'est pas familier à elle. Albert regardait les mains du mec pour l'arrêter à temps, mais il n'y avait aucune attaque.

          -Je viens du travail de Tolik. Sveta, irez-vous à l'enterrement?

          -Pardon, mais il y a une raison, à cause de laquelle, personne ne doit savoir qui, quand et où ira. Premièrement, sa mort a été violente. Deuxièmement, OMON a attaché des trois types près de ma maison aujourd'hui, dans les vestes pareilles et avec les coiffures de la même manière. Les flics ont beaucoup de travail et ils sont prêts à accuser des crimes n'importe qui. Donc abstenez-vous de visiter cet appartement et dites à tous les autres de ne pas déranger. Si elle a besoin, elle-même appellera ou viendra à votre travail. 

          -Alors, je me vais. Pardon de vous déranger. Soyez heureux de rester. 

          Et après entendre en réponse: "Bon voyage", le visiteur suspect commença à descendre les escaliers. Albert ferma la porte.

          -Fais du thé tandis que je me vais aux toilettes.

          Sveta prit la théière et Albert téléporta à l'appartement de Valia. Cette fois elle était chez soi.

          -Oh! Tu me viens d'effrayer. Est-ce que tu as un passe-partout? - cria la maitresse de l'appartement en sortant de la chambre après entendre un bruissement dans le couloir. 

          -Je me suis entraîné d'être un ninja. C'est une science pour savoir agir furtivement. J'ai été ici il y a une demi-heure et il n'y avait personne. Il ne s'agit pas de l'amour: Sveta est en danger. Va vers elle et amène-la ici. Ils chassent pas elle mais Albert. Il est venu chez elle à la consoler, néanmoins, il a beaucoup de l'autre affaire. Et tu mieux réussiras en cela.

          -Est-ce que je t'appellerai toujours Albert Deuxième?

          -Appelle-moi Rénald.

          -Mon Dieu. Partout étrangers. J'espère que ce soit le nom réal, n'est-ce pas?

          -Quelle est différence? Quand se va le train local.

          -En 14.23. Prendre en 13.50 est impossible déjà.

          -Va plus vite. Et je dois courir aussi. Je l'expliquerai après. Appelle-la et dis que tu arriveras.

          -Alors allons-y ensemble.

          -Je ne peux pas, je dois courir, désolé. Au revoir, mon amour!

          -Néanmoins, tu es un aliéné en effet.

          -Qu'il en soit ainsi. Au revoir.

          -Au revoir.

          Albert descendit les escaliers en courant, de la même manière, comme dernière fois et après devenir sure que personne ne le voit, il téléporta aux toilettes. On frappait fortement à la porte.

          -Est-ce que tu es y pendu? - Sveta criait déjà agacée.

          -Désolé, je me suis endormi.

          -Bonne nuit!

          -Je vais à sortir maintenant.

          Il froufrouta avec papier, tira la chasse d'eau et sortit après une minute. Le téléphone sonna. Sveta décrocha. C'était Valia. Elle dit qu'elle arrivera dans une heure. Questionna, si Sveta est seule. Albert était ici en effet.

          Valentina est arrivée à trois heures et demie. Albert dit à elles agir plus vite. Les amies étaient perplexes et s'il n'y avait pas du fait de la mort d'Anatoly, il est possible qu'elles ne lui aient pas obéi. Chacune d'elles était en train de garder le secret de son amour soit avec lui, soit avec le double de lui. Chacune d'elles soupçonnait que cet homme soit au courant de certains évènements secrets et pour être hors du danger, ce sera mieux ne pas contredire les conseils de lui.

          Ils sont arrivés au settlement déjà familier tous trois, allaient jusqu'au lieu à pied. Albert dit au revoir à elles près de l'entrée de l'appartement de Valia. Elle était sûre qu'il a certaines affaires secrètes avec son double Renald, comme si c'est son frère jumeau, et c'est possible que cette affaire soit associée à la substitution des doubles l'un pour l'autre.

          "Ne sont-ils pas substitués l'un pour l'autre quand Renald me fait l'amour? - Valia "comprit" vaguement soudainement. - Il faudra un jour marquer ce Rénald". 

          Quand Albert s'est séparé des amies, il était déjà cinq heures et la sixième a commencé. Si quelqu'un le poursuivit, il faut amener les espions plus loin d'ici. Il faut les laisser perdre sa trace plus proche de Moscou. Il a déjà "calculé" le lieu à Broadway. Il a réussi à l'atteindre jusqu'à la station "Losinoostrovskaya". Il entra à la première entrée en courant, en contrôlant son esprit de l'invisible manière et il est apparu sur le Broadway proche du lieu. Après Moscou où déjà il y avait des ténèbres, la brillante lumière de matin frappa les yeux. Il est déjà arrivé au lieu, néanmoins, il était forcé toujours de couvrir le visage par les mains.

          -Are you all right, sir? - Il entendit une voix familière.

          -Hello, my dear friend! I'm very glad to see you alive.

          -Hello, Аlik! N'ai pas peur de parler russe. Il y a beaucoup d'étrangers ici.

          -Eh bien tu sais. Je voudrais être un 100% Américain.

          -Nous pouvons jouer aux Américains après. Il y a beaucoup d'informations. Ta situation est grave mais nous les battrons.

          -Qui allons-nous à battre?

          -Je vais l'expliquer à toi. J'ai déjà les jetons. Nous devons passer quelques stations par l'underground, le métro local. Puis nous sortirons dehors et il y a un banc et on peut bien voir autour. La chose principale, les compatriotes ne devraient pas entendre notre conversation. Tu comprends, le sujet est délicat.

          -Allons.

          Le métro était à proximité et dans quinze minutes ils déjà marchaient au banc.

          -Quel genre d'affaire mortelle as-tu commise?

          -Je n'ai commis rien. Désolé pour la blague cruelle que j'ai jouée à l'égard de toi, mais je sais maintenant que j'ai été raison. Oh, quelle droite raison ai-je eu! Néanmoins, j'ai commis quelque chose en effet. Avant le putsch, des armes étaient distribuées. Je crois, tu lis les journaux. Cela a commencé par le fait que j'ai fait semblant un salaud bolchevique et après recevoir l'arme j'ai grimpé à travers l'étendue. Après cela, il y avait un arrangement assez compliqué, J'ai failli devenir une victime de tromperie, mais du fait de ces efforts j'en ai eu deux pistolets "Walter", un de lesquels toute de suite vais-je à donner en cadeau à toi. Le mécanisme est fiable, crois-moi, et confortable à porter dans la poche.

          -Je rêvais d'arme depuis longtemps. Merci d'avance!

          -Il ne s'agit pas des rêves, ni de chevalerie, ni de bravade. La situation est grave en effet et si être en train d'un gobe-mouche, elle deviendra assez  dangereuse, comme aujourd'hui.

          -Et quoi s'est produit aujourd'hui?

          -Qu'en penses-tu même? Y avait-il quelque chose d'inhabitude autour de toi? 

          -Seulement, OMON a capturé de certains types dans notre cour, et quand je et ma femme nous avons été en train de sortir de l'entrée, des flics en civil ont vérifié nos documents.

          -Comment étaient habillés ceux qui ont été détenus?

          -En vestes de cuir, coupes de cheveux courtes, cols de pulls relevés.

          -C'était ceux qui sont arrivés afin que te tuer, - le vieillard Paul dit sévèrement. 

          -Sont-ils ceux qui m'avaient suivi?

          -Ceux qui t'avaient suivi, ils ont te sauvé d'attentat.

          -Pourquoi y a-t-il telle grande attention à moi? Je ne sais pas un cas que les flics eussent travaillé si bien.

          -Ils ne sont pas des flics, mais les types d'un département parallèle.

          -Je viens de comprendre... Néanmoins, comment ils ont su?

          -As-tu une idée de la valeur qu'ils t'accordent?

          -Je comprends. Je vois maintenant, ils ne pouvaient pas les laisser tirer à moi. Tu "grimpais" cent fois plus que moi. Où ai-je gaffé jusqu'à tel degré?

          -Tu as gaffé dans la position de la vie. Tu vivais heureusement, tu t'amusais de la vie et ignorais le fait que notre monde est à la condition de guerre. La guerre n'a pas commencé ni fini. Elle continue toujours. Et lorsque nous parlons sur le commencement d'une certaine guerre, ce n'est qu'un passage de la forme cachée à l'explicite. Il y a des lignes intéressantes dans le folklore tchétchène. Ils disent dans une de leurs légendes qu'ils ont crû sur les pierres, c'est-à-dire, dans les conditions sévères, et ils ne pourront pas semer les champs et faire paître des moutons, mais au lieu de ça seront-ils forcés de se battre. Et cette permanente préparation à la guerre donnait victoires à eux plusieurs fois. Tu as oublié où tu es. Je respecte ta liberté, tu avais raison quand tu t'amusais et connaissais le bonheur avec les belles amies de ta femme, néanmoins, tu devais n'oublier pas de vérifier à l’arrière-garde.

          J'agissais comme un parent prudent qui a laissé aller son petit enfant de la maison pour arriver au magasin et faire des achats à travers les rues d'une ville assez dangereuse. L'enfant croyait comme s'il était seul, mais le parent le suivait pour le défendre et soutenir. Et voilà un instant, quand le kid, en étant debout, calculait des corneilles, dire au sens figuré, une voiture est apparu du coin, et ce parent a réussi à l'arracher son enfant devant du malheur imminent.

          Quant à la raison de laquelle tu as fait l'erreur, c'est arrivé, car en possédant un trésor inestimable, tu sais de quoi s'agit-il, tu parcourais ce monde et calculais des corneilles. Si tu étais un soldat, pour négligence pareille aurais-tu pu affronter une cour martiale. Mais tu n'es pas un soldat et je ne suis pas un commandant méchant. Tu es mon successeur et mon devoir de prendre soin de ta sécurité. Tu étais en train de calculer des corneilles et c'est raté soudainement: une des amies, je suppose, tu l'as plu plus que les autres, elle s'est avérée très étrange dans ses actions, mais tu as ignoré cela.

          -Rousse Lena?

          -Elle-même. Il y a quelques mois, elle était recrutée dans un département illégal de renseignement qui recueille des informations sur les phénomènes paranormals. Ce département était créé par un aventurier qui travaille au FSB et profite des opportunités de son poste officiel.

          -D'où as-tu su tout ça?

          -Il est encore plus surprenant que tu n'as le su pas jusqu'à présent. Rappelle-toi comment ai-je trouvé un objet dangereux, c'est Colonel, et je l'ai éliminé par les mains des autres. J'agissais dans ce cas de la même façon, mais tu ne faisais rien. Le fait que tu courais les filles, n'est pas ta faute. Je ne peux que l'approuver. Il faut connaître le bonheur de la vie. Quant aux malheurs, ils nous trouveront eux-mêmes. Tu pouvais être en train de t'amuser, mais à la fois observer, quoi se produisait autour de toi. Néanmoins, tu continuais à jouer toujours comme un petit enfant, en calculant des corneilles. Si je réussissais à l'avoir su tout ça de quoi je te parle maintenant, donc tu pourrais avoir su tout ça aussi. On peut jouer, même il faut jouer, mais il faut vérifier pendant le jeu, si quelqu'un est en train de te cibler d'un coin? Tu veux devenir un bon amant, sois alors un bon agent de contre-espionnage à la fois. Ça n'interfère pas.

          -Oui... La psyché humaine est paradoxale. Je suis sûr que je ne suis pas un imbécile, et tu es sûr de ça aussi. Néanmoins, comme on parle, je n'ai pas aperçu un éléphant.

          -Cela aurait pu arriver à un génie aussi. Je crois en cela, tu diffères de l'imbécile, parce que tu es capable d'apprendre de tes erreurs. Comme tu penses? Que faut-il faire maintenant?

          -Sont-ils sûrs fermement que je possède la capacité pareille?

          -Maintenant, écoute. Quand Hélène t'a invité en première fois et tu es arrivé ponctuellement, comme un Allemand, pas à l'appartement mais sur l'escalier, leurs observateurs étaient debout un étage au-dessus et avaient vu de leurs propres yeux, comme tu as apparu de rien. Cette data est d'une conversation que j'ai surprise. Je pénètre chez leurs établissements parfois de la manière secrète et ma mémoire tient quelques dizaines très délicates intérieures. Lena était devenue recrutée il y a une demi-année avant que tu as fait irruption chez elle en première fois. Kashin, c'est lo nom aventurier principal, il est le chef du département illégal. Il est venu à elle d'abord comme un amant et il est un maître de grande classe au lit. L'argent était ajouté, c'est une séduction en outre. Les cadeaux, puis les frais des services secrets avaient lieu. Puis elle a vu un certificat du FSB, néanmoins, ce ne l'a arrêté, mais au contraire. En comprenant des conversations que j'ai réussies à surprendre, elle a commencé à se rendre compte qu'elle avait fait une connerie. Mais ce temps-là avant, avait-elle besoin du vendeur de journaux Albert, tandis qu'elle s'imaginait une étoile de l'espionnage?

          -Mais elle continuait toujours à être amie avec tout nous.

          -À quoi bon elle se querellerait avec vous? Elle recueillait des informations partout où cela est possible. Les phénomènes paranormaux sont des phénomènes extremely rares, et il faut sonder des millions de personnes avant que quelque chose serait trouvé. Si nous ne sommes que deux sur Terre, donc la probabilité de notre capacité pareille est une chance sur trois milliards. Une seule personne ne peut pas sonder une quantité suffisante des gens, même s'il a une centaine de conversations en jour qu'est impossible. On besoin de beaucoup d'agents qui ne sont pas informés, mais simplement assignés la tâche de recueillir des n'importe quelles informations sans expliquer pourquoi. Maintenant, peux-tu t'imaginer, quel trésor Kashin a-t-il trouvé en toi, après Lena lui avait rapporté le fait, comme tu avais disparu dans les toilettes chez elle? Il était au courant ce que passait dans ton quartier, par cette partie de la mafia qui finance le département illégal. Anatoly ivre bavardait qu'il avait transmis des informations à toi, et tu es un chaînon dernier que le FSB sait. Et voilà ces informations est transmis au chaînon suivant et Colonel est tué, soit par des Tchétchènes, soit par des Ingouches. Le chaînon suivant, c'est-a-dire moi, et que représente-t-il, ils ne peuvent que deviner. Peut-être, il y a tout un foyer de super-capacités, qui sait? Néanmoins, même si le chaînon suivant est inatteignable, ils déjà ont un moineau à la main, c'est toi. Et maintenant apprennent-ils que quelqu'un va à tuer Tolik, puis à toi. Ils les laissent faire la première chose et les garçons sont tenus après ça. Mais les laisser tuer toi? Ce serait comme jeter des diamants du pont à la rivière. C'est pourquoi ils les ont détenus dans ta cour.

          Quant à fait, si sont-ils fermement surs, juge toi-même. Tu as apparu chez Lena en première fois, quand elle t'a rejeté, c'est-à-dire, le témoin est leur agent ordinaire. Kashin a deux assistants fidèles, Skolopendrin et Batogov, qu'il mit au courant, y compris de tes capacités. Tous les autres dans l'état et hors de l'état, ils ne sont qu'exécutants aveugles qui ne savent rien. Et donc, en deuxième fois, deux hommes t'ont vu. Kashin lui-même et Skolopendrin qui est sa main droite. Et Valia a été chez Lena et a raconté à elle comme si tu as un frère jumeau que tu caches. Bien sûr, Lena a compris quelque chose, mais ses chefs ont compris mieux encore.

          -Je l'ai nommé Renald.

          Le vieillard rit.

          -Et donc, je suppose, - Albert continuait, - avant que se mettre à la besogne à pleine puissance, ils voudraient vérifier plus une fois définitivement, pour dissiper tous les doutes sur moi. Ils auraient besoin de me capturer, n'importe comment, sous quel prétexte et de quelle manière. Ils peuvent faire semblant d'être n'importe qui: soit flics, soit voyous, soit bandits. En captivité, ils essayeront de créer des conditions insupportables, à me forcer appliquer mes capacités inhabitudes directement devant eux.

          -Et quoi diras-tu? Après tout, tu es capable de te débarrasser de n'importe quel piège.

          -Dans ce cas, ils agiront de telle façon que je moi-même désirais de retourner vers eux. Ils n'ont pas opportunités sauf prendre ma femme en otage. Voilà mon point faible! Il faut l'évacuer instamment.

          -Tu as raison. Et il faut faire ça, avant qu'ils s'assureront complètement de tes capacités. Maintenant dis-moi, tu avec ta femme, où vous dirigiez vous, quand le groupe de capture travaillait dans votre cour et ils ont vérifié vos documents?

          Albert considérait superflu à le questionner, d'où le vieillard a-t-il le sait. Il raconta, comment passa-t-il aujourd'hui, avec tous les détails. Il raconta d'hier aussi. 

          -Pourquoi n'as-tu suspecté rien, lorsqu'elle a grimpé sur toi littéralement après qu'elle t'avait rejeté de telle infâme manière?

          -Le comportement irrational des femmes peut-on observer plus souvent que des hommes.

          -On pouvait penser comme ça quand tu n'avais rien sauf diplômé de l'Université d'État de Moscou. Si une femme te rejette d'abord, puis se jette au cou après, ce serait une folie la suspecter, comme si elle est une figure active dans les passions d'espionnage autour de votre personne. Ce serait une folie à cette époque-là, mais pas maintenant. Ils la enseignaient à l'agir contre un homme qui pense de la manière ordinaire et qui ne serait pas expérimenté dans l'affaire de renseignement. Si elle jouait de telle façon avec quelqu'un qui a fait son apprentissage dans une école de l'espionnage, les siens la disqualifieraient au mieux, et les ennemies, soit l'élimineraient après torturer à l'apprendre le but de la mission, soit ils ne la demanderaient rien, mais mettraient en scène un accident tranquillement et soigneusement.

          Quant à l'évacuation de ta Nadia, je suis d'accord complètement. Je t'ai rencontré pour suggérer exactement cela, mais tu l'as deviné toi-même. Néanmoins, vous tous ne devez point parler à voix haute. Ton appartement et tous les appartements de tes amies seraient pleins de mouchards je serais très surpris si ce n'a pas lieu. Il serait mieux si vous délibérez au milieu de la nature, dans un champ par exemple, dans lequel tout est clairement visible, où aucun diable ne pourrait grimper à un arbre et se cacher entre les branches, pour vous cibler par quelque chose de vous écouter ou regarder. Puisqu'il y a des cas, ils embauchent des sourds-muets qui sont capables comprendre une conversation à l'aide de voir le mouvement des lèvres.

          Ce n'est pas en vain on parle: "tous les nuages sont bordés d’argent". Ce que tu te tenais légèrement ces derniers temps, cela a un certain grand avantage. Comment penses-tu, pourquoi ça?

          -Ce peut rendre leur vigilance baissée. Ils agiront comme si contre un gogo qui serait simple d'esprit.

          -Et comment penses-tu, qui est venu à Sveta aujourd'hui?

          -Je suppose, c'était un de ces trois qui avaient tué Tolik. Comme on parle: "on peut prendre au moins un morceau de laine de la brebis galeuse". Si l'affaire de me tuer est interdite, on peut au moins à baiser Sveta. D'abord un d'eux est venu à renseigner, si peut-on s'amuser avec elle de la manière paisible pour après ça la donner aux autres.

          -Certes. Et c'est ce qu'il faut que tu aies l'emmenée à Zavety. Ils ne viendront jamais à la région des autres. Aucun grand malheur ne serait s'ils utilisent une de tes femmes une fois seulement. Mais on ne sait pas de quelle manière peut-ce finir. N'oublie pas ce que c'est une partie du gang inachevé de Colonel, des gredins qui sont capables de faire n'importe quelle vilenie. Quant à Kashin et la compagnie, nous sommes plus forts qu'eux. Seulement, il ne faut plus faire grosses fautes et calculations mals. Et alors, après essayer de t'avaler, ils avaleront un crochet pointu, avec lequel ils s'étoufferont.

          Et maintenant, c'est au cas où, si la police nous dérange, grimpons à deux au vide appartement de Sveta.

          Albert a été surpris de ces mots, mais n'a demandé rien. Le vieillard, en regardant autour, plongea la main dans la poche. Le plus imperceptiblement possible, il donna à l'Albert d'abord le pistolet, puis deux sachets cellophanes pleins des papiers. 

          -Le pistolet est chargé, mais la sécurité est activée. Appuie cette chose, puis on peut tirer. Le mécanisme est bon et compact. Fait en Allemagne. Presque sans raté. Quant aux sachets, ils contiennent le dossier de nos "pêcheurs", je les nommerai comme ça. Il s'agit de Kashin, Skolopendrin, Batogov et certains d'autres encore. Tout est écrit d'eux ici. Élimine mes commentaires après mémoriser. Le reste, cache-le de mieux façon. As-tu déjà décidé, comment évacuer Nadejda?

          Albert exposa son plan. Le plan a plu au vieillard.

          -Une chose la plus difficile, c'est la persuader. Elle ne croira pas et pensera, soit je sois devenu fou, soit je la dupe, en faisant semblant.

          -Montre à elle tout l'argent que tu as gagné, puis le pistolet. Laisse à elle se rendre compte de l'ampleur de ton activité. Si ce n'aide pas, tu devras démontrer à elle ta capacité de "grimper".

         La conversation continuait. Les amis ont discuté de l'heure et du lieu de la réunion pour l'évacuation de Nadejda. D'accord avec le plan d'Albert, ils ont discuté des détails.

          -Comment tu penses? - demanda Paul. - Vont-ils à laisser en paix le reste des amies si vous deux disparaissez? Et s'ils ne les laissent pas en paix, à qui menace danger le plus grand?

          -À Lena.

          -Tu penses correctement. Essaye agir de la même manière. Nous devons voir l'un l'autre chaque jour, à correcter le plan si nous avons un besoin comme ça. On ne sait pas quelle surprise peut-elle avoir lieu.

          Ils ont accordé le lieu et temps des réunions à venir et ont numéroté les points qui tous étaient en USA, puis, après se cacher des passants, ont disparu, chacun d'eux à sa direction.



Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/01/379

Wednesday, April 28, 2021

Chapitre XXI. Tu es suivi. La téléportation. Partie I.

           -Mon amour, tu es venu! J'étais en train de t'attendre. Que ce soir soit le nôtre. Combien de temps peux-tu être chez moi?

          -Deux heures, en dernier recours trois.

          -C'est insuffisamment, mais peu importe. Car nous ne rencontrons pas en dernière fois. Tu peux voir que je n'ai pas te dupé. Pas de voisins, pas de bagarres. Je ne suis plus une prude stupide. Veux-tu que je sois à l'égard de tu une fille courage, coquine et disponible?

          Les mots derniers qui furent prononcés dans le contexte d'excitation augmentante, ils viennent d'amener son obsession passionnée jusqu'à limite possible. Il ne sauta sur Lena comme un tigre sur sa proie qu'en raison de prolonger le plaisir. Il s'assit sur le divan et ordonna:

          -Viens vers moi, fille.

          Lena vint de la manière obéissante. Il mit la main sous la jupe et commença à tripoter les plus intimes parties. Lena commença à respirer avec force, ferma fort les yeux. Il n'y avait ni culottes ni maillot sous la jupe. On pouvait voir qu'elle s'est préparé pour la rencontre. Elle le laissa en fait faire tout, en appuyant ses paroles de sa disponibilité de par des actes.

          Soudain, elle sourit et le pointa du doigt de la manière badine et dit:

          -Quelle personne espiègle tu es! Tu es venu dans le même pyjama et à la fois es-tu en train de nier que se soit tu qui était venu chez moi la dernière fois. Tu fais semblant de ne savoir ce, dont je parle. C'était toi. Personne que toi. J'en ne doutais pas.

          -Même si comme ça, quel est problème? - Albert prononça pas en disant mais en chantant ces mots d'Herman de la septième scène de "La dame de pique".

          -Tu sais qu'on peut recevoir le plaisir de cette affaire dix fois plus que d'habitude? Mais la plupart des gens ne le savent pas. Leur fantasme est mal développé. Si quelque chose de pareil est venu en leur esprit, cela ne resterait rien de plus qu'un fantasme. Tu peux faire avec moi tout que te plaît. Après tout, je suis ta débitrice, c'est pourquoi je te permets tout et je tolérerai tout sans offense.

          Elle commença à déshabiller avec ces mots et dans une minute, elle était en train d'être debout devait lui toute nue.

          Albert se souvint Sveta. Il sortit une cigarette de la poche et l'alluma. Sans interrompre le regard fixé sur la jeune fille rousse et nue qui était debout devant lui, il prononça:

          -Je veux éteindre la cigarette à l'aide de tes fesses.

          Lena pâlit mais dit:

          -Je ne dois pas refuser tes désirs, - après avoir le dit, elle ouvrit la petite porte de l'armoire et sortit un tissu blanc et pur. - Fais un bâillon le mets me dans la bouche, car je peux crier si ne je ne le supporte pas.

          La main tendue avec le tissu tremblait violemment. Albert comprit qu'elle n'est pas une masochiste, mais essaye d'être à son goût.

          -J'ai changé d'avis. Je n'aime pas causer une douleur aux filles.

          -Tu me testes?

          -Masturbe-toi devant moi jusqu'au premier orgasme.

          Lena jeta à côté le tissu commença à travailler par doigts dans l'entrejambe. Elle gémit voluptueusement bientôt, s'en tortillant et en mettant la tête en arrière.

          -Dis-moi, comment tu voudrais? - elle dit enfin. - Je veux que tu sentes bien avec moi et je suis prête d'accepter tout, tu le sais.

          Soudain, Albert se revint les mots qui l'ont excité et il les répéta à elle:

          -Je veux que tu sois avec moi une fille courage, coquine et disponible.

          Sans être timide, elle vint, saisit l'objet de la passion de lui, s'assit sur lui et commença à rebondir.

          -Est-ce que je ne suis pas courage? Est-ce que je ne suis pas une coquine? Est-ce que je ne suis pas disponible? - elle répétait à travers de la dyspnée. - Ah!

          Les deux sont gelés dans une position et il leur paraît aux deux qu'ils s'avérèrent dans autre dimension. Le monde terrestre est devenu le paradis.

          Albert a été chez elle moins que trois heures, mais il a réussi à connecter avec elle trois fois pendant ce temps. Lena était belle et exceptionnelle à sa propre manière.

          -Je te voudrais demander d'une faveur, - il dit à elle un peu avant de s'en aller. Il a déjà réussi à "rentrer" chez lui cinq fois de la manière imperceptible et secrète. - Laisse Nadia habiter chez toi plusieurs jours. Cela me serait plus calme. Un jour je te raconterai, pourquoi j'ai besoin de ça.

          Il fut assez surpris, en voyant qu'elle est contente de la proposition pareille.

          -Vous pouvez arriver même demain. Bien.

          -Elle viendra demain. Je ne viendrai qu'à l'accompagner.

          Cette nuit, son épouse constata en esprit de nouveau qu'elle fut sentie avec le mari plus agréable que d'habitude. Et aussi il lui-même fut plus heureux et plus joyeux que toujours. Et elle était beaucoup surprise, quand Albert donna la nouvelle à elle que le meurtre de Tolik, dont elle avait appris de Lena, peut leur regarder jusqu'à tel degré que continuer à vivre chez soi peut être dangereux même pour elle.

          -Laissera Lena m'y habiter? Je ne la demandais jamais. Ça ne m'est pas venu à l'esprit que ce cas peut nous concerner de quelqu'une manière.

          Au lieu de répondre, Albert se leva et composa le numéro. Il était près de trois heures du matin, c'est pourquoi une dizaine de longs bips furent sonnés avant que Lena vint au téléphone.

          -Pardon me que la nuit. Ici Alik. Te souviens-tu hier quand je suis allé à la boutique et je t'ai rencontré quand tu étais en train de revenir de nous? Je t'ai dit que ce soit bien si on habite plusieurs jours chez toi et tu étais d'accord. Confirme-le à elle, car elle doute. Je te la passe, - après avoir le dit, Albert a passé sa femme. Les amies ont bavardé un peu.  

          -Bien, Lena. D'accord. Nous arriverons demain à onze heures. Au revoir.

          Albert avait peur un peu que Lena parle quelque chose de la date d'aujourd'hui ou fasse une allusion, mais Nadezhda ne montrait des signes ni de jalousie ni de méfiance après cette conversation. Au lieu de cela, il y avait un sentiment d'alarme à cause d'Albert qui resterait chez soi et il ne pouvait pas en aucune façon expliquer à elle que c'est au moins cent fois plus sûr pour lui que pour elle. Parler de la téléportation serait simplement inadmissible.

          Ils réglèrent le réveil à huit heures, se réveillèrent à temps et prirent un petit déjeuner. Albert décida à l'accompagner jusqu'à l'appartement de Lena pour être calme après. À neuf heures du matin, ils se mirent en marche, mais quand ils vinrent de sortir de l'entrée d'immeuble, deux hommes en civil ont bloqué leur chemin. Et quelque chose de police pouvait-on sentir de toute une apparence d'eux. Albert était en train de marcher en premier pour de ne pas exposer l'épouse sous un tir probable. Et sauf ces deux qui demandèrent à montrer les papiers d'une manière polie mais fortement, plus loin pouvait-on voir une dizaine des hommes dans l'uniforme de camouflage tacheté et  les masques noirs. Trois types dans les vestes de cuir étaient allongés sur l'asphalte, les mains derrière les dos, et les hommes étaient en train de menotter ces types à cet instant. Les armes automatiques étaient pointées du haut dans leur direction pour l'assurance. Un peu plus loin y avait-il un "Corbeau noir" (On nomme comme ça dans la Russie les autos dans lesquels on transporte des détenus). Albert, en étant sûr que ce soit l'OMON, il ne fit aucune attention à ce que fût écrit sur les certificats des personnes en civil. Ils comprirent cela. Observant ce qu'avait lieu dans la cour, Albert ne remarqua qu'après avoir ouvert seulement la première page du passeport, l'agent jeta à lui un regard fixé, en examinant lui avec une grande curiosité, comme à un objet très intéressant pour leur service qui soudain est tombé sous les yeux, et il avait dans ce regard quelque chose de prédateur et méprisant à la fois. Aussi Albert ne vit pas que le deuxième agent poussa légèrement le premier dans le dos et seulement après cela le deuxième agent tourna son regard au passeport de nouveau, le ferma, dit sèchement: ""Pardon" et rendit le passeport à son possesseur. Quoique Albert ne fût pas très étourdi, mais maintenant il constata avec grand surpris ce qu'il resta sans attention dans le premier instant. C'était une inscription "pain" sur l'auto qu'il fut considéré comme le "corbeau noir". Et cet étrange moyen de transport différait assez peu d'un camion de pain ordinaire. Les détenus après les avoir fouillés s'ils auraient des armes, menottés et sous les armes automatiques étaient mis dans ce camion. C'était le matin du dimanche, et il y avait peu de monde dans la rue. Les passants n'étaient pas laissés s'approcher de tout ça.

          -Passez, citoyens. Ce n'est pas un cinéma pour vous! - Albert i Nadezhda, ils entendirent à leur endroit. - C'est la détention ordinaire des criminels. Rien d'intéressant.

          Ils s'allèrent. Le dimanche et une petite quantité du monde dans la rue, tout ça fut favorable à eux. D'abord, ils arrêtèrent une voiture privée, en levant la main, puis ils arrêtèrent un taxi déjà à Moscou. Grâce aux rues désertes, il fut facile de se convaincre qu'il n'y eut aucune surveillance.

          À ce moment-là, le camion "de pain", dont nous connaissons déjà, il fut en train de se précipiter le long de rues de Moscou, s'en approchant du centre. Une demi-heure ne passa pas encore, tandis que la garde menait les types détenus de la voiture jusqu'aux portes massives, ils ont réussi à se rendre compte que c'est la Loubyanka, c'est-à-dire, l'immeuble de KGB, où on les a emmenés.

          Après les avoir amenés à l'immeuble et avoir échangé quelques mots avec la garde locale, on les menait le long de couloirs complexes et enfin on les simplement poussa dans une porte avec une inscription assez étrange pour leur situation, c'est-à-dire, "salle de cinéma". "OMON" resta dans le couloir et deux hommes en civil qui les accompagnaient, sont entrés après eux et ont proposé de s'asseoir sur un banc. 

          -Maintenant garçons, nous allons à montrer vous un film très intéressant, et vous le regarderez. Nous ne vous conseillons pas de faire des bêtises, mais nous le disons au cas où. Nous croyons que vous n'êtes pas stupides jusqu'à tel degré.

          Les détenus virent sur l'écran la rue de la ville Mytichtchi bien connue à eux. Mais aussitôt qu'ils viennent de voir leur victime, cet homme sain et sauf encore qui avait été allé le long de la rue, ils ont pâli immédiatement tous les trois et il y avait la raison de ça.  Quand ils ont vu eux-mêmes approchants de leur victime de trois côtés avec les pistolets aux mains, leurs genoux et mains tremblèrent. Ils essayaient de ne pas montrer leur peur par apparence, néanmoins, un d'eux qui ne pouvait pas cacher son visage dans ses mains à cause des menottes, il se plia le visage contre sol et ferma les yeux.

          Un des gens en civil appuya sur un bouton et une image fut fixée sur l'écran, où leur victime, Tolik déjà est tout ensanglantée s'allongeait sur l'asphalte.

          Les maîtres des destinées de ces assassins ne s'avèrent pas sans humour. 

          -Maintenant, garçons, dites nous, comment peut-on nommer ce que nous venons de voir sur l'écran? - questionna un agent avec accent sur le mot "nommer". Soyez plus courageux! Voilà quels cools êtes-vous sur l'écran, mais maintenant avez caché vos langues dans les culs? Parlez donc, sinon nous nous offenserons, et il est très défavorable dans votre situation, si nous nous offenserons. C'est toi qui as failli ramper sous le banc, comment on nomme ce que nous avons vu dans le film? Réponds me vite, sans tirer le chat par les couilles!

          -On le nomme un meurtre. - le type à qui la question fut posée prononça à peine audible après avoir pris la position ancienne, mais il continuait encore à regarder au sol.

          -Correctement! C'est un meurtre! avec la voix joyeuse confirma l'agent. Du côté, il eut l'air comme un professeur dans l'école qui vient d'expliquer un thème intéressant et après avoir questionné quelqu'un du thème, comme s'il vient de recevoir une réponse correcte. - Et quant au meurtre, chers garçons, on emprisonne pour lui. Et vous ne pourriez jamais vous débarrasser de ça, si c'est nous qui exigeons qu'on vous condamne. Dans quelle année seriez-vous laissés aller, vous-mêmes pouvez le calculer. Mais croyez-moi. Le plus chanceux de vous, il ne sera sorti que dans huit ans. Néanmoins, si l'on considérait ...

          -Pardon, - le type qui était plus courage l'interrompit. Pourquoi c'est KGB qui mène cette affaire au lieu de la police criminelle? Après tout, c'est une affaire criminelle. 

          -Premièrement, ce n'est pas KGB, mais FSB. Deuxièmement, je viens de vouloir le dire, mais vous m'avez interrompu. Allons regarder la suite du film.

          La victime tuée sous la grande quantité des balles fut sur l'écran plusieurs secondes encore et disparut.

          -Maintenant, c'est la deuxième série du film. Nous la venons de recevoir.

          La "deuxième série" était sonore. Les trois détenus sont apparus de nouveau sur l'écran. Ils conspiraient et attribuaient des rôles, discutaient mais pas longtemps, après quoi, la scène de leur détention suivit. La porte de l'entrée de l'immeuble s'ouvrit, un homme est sorti et s'est approché immédiatement, en occupant toute l'image et une belle femme sortait derrière lui. La vérification de document de l'homme suivit, il lève les yeux et il paraît qu'il est en train de regarder directement ici, c'est-à-dire, à la salle de cinéma. La "pause" est appuyée de nouveau. 

          -L'appétit vient en mangeant, n'est-ce pas? Un meurtre n'est pas assez et vous vouliez un de plus? Mais cette fois vous êtes échoués. Voulez-vous sortir libres?

          Silence.

          -Voulez-vous sortir libres? Il semble que se soit vous à qui je demande.

          -Est-ce possible? - un d'eux questionna.

          -C'est aussi possible que nous vous remettions aux flics maintenant, non dans cette ville, mais à ceux qui sont subordonnés à l'administration régionale. Alors, ils vous mettront dans la cellule de détention provisoire locale et après cela à la prison Butyrskaya de Moscou. D'ailleurs, il y a un petit espoir, mais vous devez être très sincères avec nous. Pourquoi avez-vous tué le premier?

          -À cause de lui, notre protecteur était tué, avec qui notre vie était mieux. Je crois que les détailles ne soient intéressants pour vous.

          -Pourquoi vous alliez à tuer le deuxième?

          -Ils sont deux sont coupables dans cette affaire. Le premier a recueilli le linge sale contre notre chef et il l'a donné au deuxième. Le deuxième l'a donné quelque part ailleurs.

          -Où? - maintenant deux agents déjà s'approchèrent d'eux et regardaient dans les yeux de chaque d'eux. Sans l'habitude, c'était difficile d'endurer les regards comme ça et ils tournaient au côté contre leur volonté. Enfin, un d'eux comprit:

          -Nous découvrirons. Si vous en avez besoin, nous le découvrirons. Après tout, vous n'allez pas nous faire de trahir nos amis, car nos amis ne peuvent pas être vos clients. Ces pigeons ne sont pas les nôtres, c'est pourquoi si on donne l'information sur eux, ça ne serait rien de mauvaise chose. Si vous avez besoin, nous vous aiderons, néanmoins, de quelle manière pourrions-nous le faire en Boutyrka prison?

          -Savez-vous, pourquoi votre victime est morte?

          -L'ambulance est arrivée très tard. Il a perdu beaucoup de sang.

          -Pas exactement.

          -Est-ce parce que nous l'avons tué?

          -Je ne le doute point, mais ce n'est pas principal.

          -Il parlait trop, quand il était en train de soûler avec les types de son toit.

          -Est-ce que vous vous rendez compte quoi peut passer, si nous vous laissons aller et vous parlerez trop? Cette affaire est beaucoup plus sérieuse que vous croyez.

          -Nous vous pouvons aider.

          -Merci. Une fois vous nous avez failli "aider". Vous n'êtes pas des professionnels et avez tort, si croyez comme si nous recrutons de vous des mouchards. Quant aux flics, peut-être pourriez-vous être utiles pour eux. Même vous n'avez pas compris encore, pourquoi êtes-vous ici. Nous connaissons la première votre victime, c'est le premier maillon de chaîne. Ce qu'on peut voir sur l'écran, c'est le deuxième maillon de chaîne. Mais ce qu'il y a ensuite, même nous ne le savons pas encore. Et vous avez failli détruire ce deuxième maillon de chaîne, vous avez failli abîmer tout, dont nous avons besoin. Est-ce que vous croyez, comme si nous avons besoin de travailler avec vous, de vous emprisonner et prendre les problèmes des flics?

          -Ils ont tout compris, - le deuxième agent a interrompu.

          -C'est, - continua le premier, en montrant sue l'écran - notre objet. Nous travaillons avec lui. Et voilà avez-vous interféré à cause de vos chamailleries. Nous n'allons pas à rapporter à vous, pourquoi avons-nous besoin de lui. Et il ne nous faut pas aider, car nous pouvons le gérer nous-mêmes.

          -Nous ne le savions pas. Est-ce que nous oserions interférer?

          -Vous nous empêcheriez beaucoup, même si vous l'observez de loin. N'osez pas même penser sur lui! Vous avez tué l'un d'eux et vous n'êtes pas satisfaits? Néanmoins, dans ce cas vous serez forcés de faire d'exception. Maintenant tous vous êtes en état de dépendance de nous. Si quelque chose ne va pas, nous vous donnerons aux flics, avec l'information sur vous, quels "bons" vous êtes.

          -Est-ce que vous nous laissez aller?

          -Oui. Néanmoins, ce serait très tôt d'être content. Bientôt, vous serez emprisonnés pour longtemps.

          -Pourquoi? Est-ce que vous ne nous laissez aller que temporairement? Parce que si quelqu'un de vous soûle et parle trop, vous tous trois serez emprisonnés.

          -Non. Nous nous tairons comme les poissons. Et laisse mourir celui qui bavarde. Nous-mêmes... - en train de parler, il vient de faillir dire "tuerons", mais s'arrêta à temps. - Et nous ne sommes pas des bavards comme ça. Nous savons qu'en parlant trop, on peut rester sans tête. Ainsi, nous avons certaines habitudes utiles et savons quelque chose.

          -Est-ce possible que quelqu'un sauf vous, sans se rendre compte, il s'approche de notre objet avec un couteau ou avec un pistolet, ou avec quelque chose de pareil? - l'agent qui était plus âgé, a questionné.

          -Non. Ce fil ne mène nulle part sauf nous. Seulement à travers le premier maillon de chaîne.

          -À travers celui que vous avez tué?

          Le bandit hocha la tête au lieu de réponse.

          -Maintenant, vous êtes assignés la responsabilité de la sécurité de l'objet. Nous ne plaisantons pas.

          -Et quoi si quelqu'un d'un maillon supérieur l'attaque, dont personne ne sait pas, ni nous, ni vous?

          -Nous le distinguerons immédiatement. Vous ne répondez pas de celle-là direction. Mais vous êtes responsables de tous ceux, avec qui votre "ami" décédé soûlait et bavardait. Savez-vous tous d'eux?

          -Oui, tous. Et des visiteurs n'ont pas besoin de votre objet.

          -Je ne parle pas des visiteurs. Tu te rends compte assez bien qu'il s'agit des serviles de soi-disant Colonel qui est mort maintenant.

          -Je connais tous d'eux. Personne sauf nous ne le ferait. Vous pouvez voir jusqu'à quel degré sommes-nous sincères avec vous. Si quelqu'un decide d'attaquer ce nerd, nous le saurons tout de suite et nous le réglerons d'une manière ou d'une autre.

          -Nous espérons. Sinon nous vous ne laisserions pas aller. - Après ce dire, l'homme en civil sortit de l'armoire un petit sac noir, puis il s'approcha de la porte et appela deux gardes en camouflage sans insignes.

          -Libérez eux des menottes, et quant à vous, définissez, quelle chose est la vôtre.

          -Ils nous ont retourné même les pistolets, - un d'eux informa ses complices avec joie mais en chuchotant.

          -Nous n'avons enlevé rien de vôtre et ne vous avons pas détenu. Oubliez ça, - dit l'agent qui était plus âgé, en souriant avec dérision. - C'est simplement. Pour de n'être pas emprisonné pendant très longtemps, il faut se comporter très bien, et j'espère que vous sachiez de quelle manière. Si vous ne l'avez pas compris encore, votre carrière sera finie par cela. Accompagnez eux jusqu'à la sortie, sinon ils se perdront, - termina-t-il son discours, en s'adressant aux gardes.

          -Au revoir. Merci à vous.

          -Pas de quoi. Il serait mieux pour vous - adieu pour toujours, - puis il ajouta tranquillement à lui-même après leur départ: pour nous cela sera mieux aussi.

          À ce moment-là, Albert avec sa femme, en traversant la partie de Moscou qui n'était pas encore construite dans la voiture, demanda le chauffeur d'arrêter au terrain dégagé, où la route fut bien visible de loin et les voitures passaient assez rarement. Cette partie de la nature qui n'était pas encore touchée, mais assiégé de tous côtés par l'énorme cité, attendait l'exécution des peines des créateurs urbains: d'être rayée de la carte et asphaltée et pénétrée par les réseaux enterrés, trouée par les fondations des boîtes à plusieurs étages. Tandis qu'elle restait comme une oasis dans le désert, les champs ennuyeux, quoiqu'ils fussent comme ça, mais ils faisaient plaisir aux voir, et dans le contexte d'une fourmilière humaine à plusieurs millions, ces champs laissaient obtenir un peu d'intimité et reposer l'âme.

          Nadia déjà commençait à murmurer à cause d'ils sont en train d'aller toujours et n'arrivent pas encore.

          -Rends-toi compte enfin, je t'ai amené ici pas pour te détendre. Il y a des endroits bien meilleurs à se reposer. Simplement, je veux diminuer la probabilité d'être suivis. À la diminuer jusqu'à la limite possible, peux-tu le comprendre? - Albert se justifiait. Et malgré le mécontentement exprimé par l'épouse, il attendait pendant presque une heure, comme il avait projeté. Après cela, il arrêta une voiture qui allait dans la direction opposée, mais le chauffeur pour un bon prix accepta-t-il de revenir et il les livra directement à l'entrée. Nadezhda était surprise. Quoiqu'il eût peur d'être suivi, et à la fois planifiait-il de rendre visite ici souvent.

          Lena ouvrit la porte pour eux vite. Son comportement à l'égard d'Albert ne distingua en rien de l'habituel. Il a compris qu'elle ne parlerait trop selon toute probabilité et il n'a pas eu tort. Tous trois étaient assis à la table pendant près de quarante minutes. En connaissant les coutumes des invités, Lena fit du thé fort pour eux. Enfin Albert promit d'arriver demain le soir, y compris, il dit qu'il prendrait maintenant le métro et irait à pied jusqu'à la station près de trente minutes à se promener. Après avoir tourné le coin dans l'un des cours, il entra dans la première entrée vue, et après s'assurer que personne n'était autour lui, il téléporta directement chez soi.

          Albert remarqua assez vite que la tasse du thé qui n'était pas bue jusqu'au bout, était sous la table. Il la toucha. Le thé était encore chaud. Un reflet de joie lui vint à l'esprit. Il sortit le troisième volume du "Tantra" presque immédiatement et ouvrit la page 343. Une note était mise là-bas:

          "Tu as fait une erreur et tu es suivi. Il nous faut rencontrer à New York le 2... octobre, 18 heures, heure de Moscou, aussi 10 heures, heure de New York, au coin de Broadway et N avenue. Si tu ne peux pas venir à temps, attends le prochain message. La carte de New York est mis dans le livre "Aérodynamique". Détruis cette note immédiatement. Ton ami qui est sain et sauf. Tu le dois deviner".

          2... octobre était aujourd'hui. C'était midi. Il restait six heures jusqu'à la rencontre. Il n'existe pas avion qui le pourrait rattraper. Albert brûla la note sur la cuisinière à gaz. Le reste carbonisé il frotta au-dessus des toilettes, tira la chasse d'eau et lava les mains. Dans six heures il rencontrera l'ami qu'il considérait comme péri.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/12/the-teleportation-part-1-chapter-21-tail.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/01/330