Friday, July 20, 2012

Chapitre VIII. L'enleveur énigmatique.


      Il passait l'année 1985. Cette année l'été s'est produit doux, sec et pas très chaud. Dans tous les aspects de la vie les changements se posaient, de l'existence lesquels la plupart du peuple ne suspectait pas quoiqu'elle en avait soif. Même dans la nature il n'était pas tout tranquille. Il était clair que le changement climatique futur ne peut être évité, les chercheurs ne discutaient que selon lequel scénario cela passera, et le trou d'ozone se manifestait sur l'Antarctide en menaçant.
      Cette année a posé le commencement de la fin de la plus inhumaine idéologie qui n'a porté ni à l'un seul pays les promis bonheur et prospérité, mais au lieu d'eux la faim, la guerre, le sang, la lâcheté et la trahison. Et tout cela est fabriqué avec l'aide de la substitution des sentiments religieuses naturels, propres à chacune âme humaine, par certaines adorations aveugles et forcées, formelles et sèches adorations devant les idols fausses. Il est possible qu'on ne sait pas d'où de l'espace cosmique et il est plus probable que des autres dimensions inconnues, un virus mortel s'est enfoncé au corps de la bête écarlate du totalitarisme, la bête encore est forte et ne suspectant rien, la bête qui est bien amusée au festin sanglant du vingtième siècle, la bête qui a détruit dans certains pays plusieurs dizaines de pour cent de la population en transformant le reste des peoples en zombis marchants sous la houlette diabolique. Il mûrissait le commencement de la fin de la forme de son existence, la forme qui est la plus hypocrite et la plus viable, c'est le communisme qui a réussi la concurrence sans merci contre fascisme qui est un phénomène moins viable néanmoins se produisant sous le drapeau rouge aussi. Les deux idéologies ont bien avéré par ses drapeaux la prédiction du Saint Apôtre Jean sur la bête écarlate.
      Durant tout le siècle les sorts humains se mélangeaient et se battaient comme les cartes en jeu. Ainsi que sur la surface de l'océan fantastique Solaris, les perturbations étranges, les courants mystérieux se formaient dans la société, en préparant la grande onde des changements. En ressentant sa fin, la bête blessée résistait en détruisant les vies humaines et en remportant des victoires temporaires mais en général la mort ne pouvait vaincre la vie de même comme l'obscurité ne peut pas vaincre la lumière. Au total ce n'est pas la mort mais la vie qui remportait et remportera la victoire toujours. Précisément l'une de telles victoires bien passait dans cette forêt perdue, en arrachant une âme à jamais des pattes osseuses de la société morte, la société qui ne savait l'amour, ne savait le printemps, la société dans laquelle même "il n'y avait pas de sexe", une âme humaine sans prix en est libérée. Son précepteur comprenait que c'est plus important que planter un arbre, c'est plus important que bâtir une maison, même c'est plus important que mettre au monde un garçon, en cas que le sort veut qu'il ne devienne pas une Personnalité en restant un misérable incapable de raisonner indépendamment jusqu'au bout de la vie. Cette saison estivale est passée comme une jolie perle placée à l'ornement de son destin agité et plein de lutte. Pour ce grand auquel il a contribué à s'accomplir, il recevait la récompense ici et maintenant. Inga est devenue sa maîtresse, une disciple douée, une esclave soumise et fidèle.
      Il continuait la fouetter régulièrement pour le moins échec à n'importe quel objet de ceux auxquels il la renseignait néanmoins elle a appris à recevoir les punitions avec résignation, courage et joie, sans broncher, sans gémir. Et ce n'est que le peuple bien la connaissait, selon des changements subtils de la couleur ou l'expression de son visage, s'il a vu, aurait pu deviner quel genre de douleur elle éprouvait à l'instant même.
      Les punitions étaient sévères comme toujours, et la jeune fille un peu craignait devant eux au fond d'elle-même, bien qu'elle n'en rien laissait voir. Cela et y compris sa méditation libérée des préjugés de foule, tout ça contribuait au forcement puissant du processus de son apprentissage. Et il l'enseignait aux arts martiaux d'Orient et à la science médiévale du Japon à se glisser et pénétrer, cependant il l'accoutumait à travailler au point de vue intellectuel. Avec lui, elle a conçu beaucoup de la science des plaisirs sexuels. Avec peine, mais il a réussi à laisser lui la possibilité d'estimer la préférence du sexe tantrique, mais après cela il l'a prévenue:
     -Si tu remarques chez toi les capacités quelconques inhabituelles, n'en raconte jamais à personne, même à moi ou à la plus proche personne dans le monde là-bas. 
     -Afin de ne pas perdre ces capacités? - Elle jeta un coup d'œil sur le précepteur en face et apprit qu'elle ne s'eut pas trompée. Il se taisait longtemps et enfin proféra:
     -Tu es en progrès!
      En fait, Inga réussissait en tout y compris à l'autoflagellation. Maintenant, elle pouvait se fouetter sur les plus sensibles places jusqu'à vingt claques sans arrêt, et la main droite et celle-ci gauche, toutes les deux l'obéissaient. En étant zébrée mais heureuse, elle apparaissaît brièvement dans la forêt, l'esclave dévouée envers lui et la fière princesse pour tout le reste du monde. Parfois, lorsque le précepteur, en la regardant, se rendait compte de ce qui elle était et de ce qui elle vient de devenir, les larmes de joie montaient de l'intérieur. Ce qu'il a fait d'elle? Elle fut ou bien une amazone, ou bien une espionne, et il est probable qu'elle put rivaliser avec la même Mata Hari. Elle est devenue telle qu'elle peut pénétrer là-bas où, il paraît, il est impossible de pénétrer; que peut faire son affaire laquelle, il paraît, il est incroyable à l'exécuter; et elle peut disparaître à la même façon, furtivement, en laissant l'adversaire à toute l'ignorance ou en rendant lui en horreur superstitieuse, cela dépend du but de la mission.
     -À propos, est-ce que tu me prépares au pillage d'une banque, peut-être?
     -Pendant toute ma vie la plus grande chose que j'ai volée, c'était deux kilogrammes du saucisson cuit au libre-service. Je n'avais pas faim et j'avais assez d'argent, mais j'étais juste en colère contre ces "magasineurs" arrogants pour le fait qu'ils ont organisé une queue brutale où il fallait être debout pendant deux heures dont on bien pouvait se passer, et je suspecte que c'était avec une mauvaise intention. Ces débiles de l'époque de Brejnev aiment à manifester à telle manière sa supériorité illusoire. Et je n'avais juste que besoin de me décharger psychologiquement. Quant à l'avenir, il pourra arriver n'importe quoi, mais en tout cas, je ne voudrais point à jouer un mauvais tour à toi. Le fait est que je t'ai aidé à devenir heureuse et libre et ta liberté doit être bien protégée. Est-ce que tu souviens comme tu avais peur d'aller étant une seule contre tout le monde? Maintenant tu n'as rien à craindre, parce que tu SAIS comment le faire. Ne prends jamais un parti inconsidéré! N'oublie pas: chacun peut tomber dans l'erreur. En étant ici avec toi, j'ai fait une erreur.
      -Tu as imité le Vysotsky, en chantant.
      -Tu y es! C'est la divination géniale! Et tiens compte: en tout cas, il ne faut jamais imiter n'importe qui, cela il ne faut qu'à l'occasion de la nécessité absolue, mais même en ce cas t'efforce de ne rendre point cette situation longtemps retardée. Ai-je commis des fautes encore?
      -Non.
      -Mais déjà il est un mois que tu possèdes de telles capacités qu'un sanglier peut te flaire pas toujours, pas seulement moi. Tu te serais évadée et si je t'ai rattrapée, maintenant on ne sait pas qui aurait vaincu.
      -Tu savais que deux mois entiers je t'aime toujours. Il est plus probable qu'une chienne de berger s'évade de son maître.
      -Et maintenant retiens: Tu ne reviendras jamais à ce monde-là, lequel tu habitais auparavant.
      -Cette fois Inga ne devina pas:
      -Les nuits sont plus longues, les feuilles jaunissent et les oiseaux s'envolaient au Sud?
      -Non. Tu reviendras à Moscou, mais ne la reconnaîtras. Maintenant, c'est tout à fait une autre ville, entièrement un autre peuple.
      -Tu écoutes récepteur donc. C'est toi qui as dit que les changements ne se produiront que dans cinq ans, non plus tôt, - Inga ne devina pas de nouveau.
      -Ce n'est pas Moscou qui est changée; c'est toi.
      -Et quant à toi?
      -Je ne peux pas y aller. Et ce n'est pas Sud où je vais partir. Si je ne fais pas cela maintenant, ensuite l'occasion peut ne se présenter jamais. Prie pour moi! Il sera plus difficile qu'enlever des grues.
      -Tu vas à la Carélie.
       Maintenant il fut son tour à ouvrir bouche d'étonnement. Il se retint, mais dans la profondeur de son âme un effet fut provoqué comme une explosion.
      -Je crois en toi! Tel comme tu es, tu réussiras. Néanmoins, apprends à tout hasard: à l'étranger je n'ai personne et mes parents n'ont personne aussi. Lorsque tu te dégrossiras là-bas, si tu m'envoies l'invitation, je saurai que ce sera de toi, je viendrai à toi. Est-ce que bientôt on rendra la liberté de partir?
       Il ne répondit pas longtemps parce qu'il ne put pas se remettre du choc toute de suite. Maintenant donc elle savait lire dans la pensée de lui. Enfin, il affirma:
      -Tout y va, comme ça.
      -Et quand nous partirons d'ici?
      -Demain, le matin.
      -Donc tout s'achève?
      -Tu te souviens? Je t'ai renseigné: tout change et on ne peut pas l'éviter. Où que vous alliez, quoi que vous créez - tout va changer.
      Brusquement, Inga tomba à genoux et sanglota en embrassant ses jambes:
      -J'en ne veux pas, je ne veux pas d'être séparée de toi! Jamais plus! Je ne trouverai jamais plus tel comme toi! C'est rare, cela ne peut pas répéter!
      -Inga, domine-toi! Tu fais preuve de faiblesse. Un ennemi intelligent ne manquerait jamais de profiter de l'instant.
      -Il n'y a personne que nous.
      -Tiens compte de ça pour l'avenir! Et maintenant dis-toi: "Par-dessus tout, je suis une Ninja!" Cela bien encourage.
      -Mais je ne suis pas une Ninja et ne suis pas née au Japon. Je m'entraîne pas dès la naissance, mais dès l'âge de vingt ans. Quoique je réussis, néanmoins c'est loin jusqu'eux.
      -À certains égards, non, mais en quelque chose de plus qu'un ninja. Ils étaient des exécuteurs aveugles, ils avaient un devoir. Ils servaient quelqu'un, mais tu es libre de tout le monde. Tu es une forte personnalité indépendante. Avec moi tu ne fais que tes études, mais c'est toi-même qui feras le combat, selon ta propre initiative. C'est toi-même qui considéreras et prendras un parti.  Je suis ton précepteur, professeur, mais pas un commandant à la guerre.
       Inga se mit à tranquilliser un peu.
     -Je ne veux pas à séparer de toi aussi. Lève-toi, - il se mit à l'embrasser et caresser. - Saisis donc! Si nous nous séparons demain, il y a trop beaucoup des chances que dans quelques années nous nous réunissions de nouveau et dans les conditions plus sûres. À la frontière de Carélie-Finlande je connais déjà tous les tenants et les aboutissants. Mais si nous continuons, alors, il est possible que nous ne nous voyions jamais plus. Ici, sous mes pieds la terre brûle. Tu en renseigneras... à Moscou.
     -Il est déjà longtemps que tu n'as me fouettée pas cruellement, comme une fois-là pour l'évasion ou une autre fois-là où je me suis te donnée en première fois. Attache-moi! Arrange me une brûlée cruelle en guise d'adieu! Parce que demain il n'y aura pas du temps. Soit pendant trois journées j'ai mal m'asseoir, pourvu que pendant ces trois journées je me souvienne plus clairement de toi et de tout ça, - et elle fit un mouvement circulaire par main. 
     -Ma chère amie forestière! Je t'aime et vais satisfaire ta demande. Prends les cordes et allons!
      Enfin elle sourit.
     -Sais-tu? Elle jeta les yeux avec espièglerie sur lui et prononça sa phrase devenant préférée en cas pareils:
     -Oh quel savon va m'arriver!
     -Tu es une fillette brave! Telle que tu te tiennes, tu me plais plus, et même on ne voudrait pas à te donner la fessée. Mais notre amour, bien que cruel, mais excellent, parce que l'amour est excellent dans toutes ses manifestations. Et nous gardons ses règles, soit!
     -Quelle pose faut-il prendre?
     -Cette fois, en guise d'adieu, c'est toi-même qui choisit.
       Inga y réfléchit. D'abord, comme d'habitude, elle voulut à se mettre à quatre pattes, mais, en se souvenant ses imaginations sur la peine corporelle dans la place publique, au lieu d'exécution, et la cravache est à la main du bourreau habillé au chaperon rouge couvrant la face et avec fentes pour voir, enfin elle se décida:
     -Allons! En étant debout comme une fois-là, près de l'arbre. Près de cet arbre, - elle passa la main en direction d'un sapin séculaire.
     -Laisse ça aller à ta guise. - Inga apporta les cordes et il se mit à l'attacher. - C'est probable que je m'en occupe en vain. Avec moi tu es devenu comme de l'acier.
     -Néanmoins, d'être attachée est plus intéressant. Les préparations finirent. Inga se disposa déjà à l'éprouver, serra les lèvres et fixa les yeux sur le sol. Voilà la procédure commença, mais la jeune fille fut debout comme de l'acier en fait. Elle supportait à la spartiate cette douleur qui semblerait insupportable pour beaucoup des gens. Les premières cicatrices éclatantes, avec gouttes du sang au bout d'eux, au fond desquelles les anciennes celles pâlirent, ornèrent déjà les rondeurs lascives, mais le visage ne changea pas, ne fut que rougi un peu, et la quantité des traces du jeu cruel s'augmentait et s'augmentait toujours. Cela dura longtemps. Ensuite, quand la derrière devint bien fouettée, quelque chose toutefois changea au visage, et il fut difficile à expliquer en mots et plus difficile à discerner qu'est-ce que se passa avec elle tout de même. Elle... finissait mais s'efforça de ne sourciller ni douleur, ni passion. Le fouet continua à siffler et elle a réussi à finir deux fois plus encore. Quand tout s'acheva et il s'approcha d'elle pour la délier, elle dit d'une certaine voix changée:
     -Attends! Maintenant frotte de sel! - l'intonation fut étrange. Il n'entendait jamais celle-ci auparavant d'elle.
     -N'est-ce pas trop pour toi?
     -Je viens de dire donc, frotte! - le ton fut bien impérieux. - Les derniers mots furent dits avec une certaine joie fanatique.
      Il s'éloigna et bientôt revint avec une poignée du sel mouillé, toute de suite en se mettant la frotter. Une larme roula des yeux de cette jeune fille, maintenant telle audacieuse, et elle sourit. Il fut impossible de comprendre de quoi il y eut plus: de souffrance ou de félicité.
     -Maintenant, je t'aimerai plus fortement. Et toujours, si on me fait tristement, je me rappellerai ça qui vient d'être toute de suite. Cette douleur féroce sera ma consolation pour longtemps. Et à présent j'ai envie de me donner toute attachée à toi.
      Tous les deux finirent à la fois et vite et comme si se transporteraient à l'un certain monde fantastique. Désormais cette journée dernière luira toujours comme un projecteur éclatant à l'avenir lointain. Chacun d'eux pourra affirmer avec assurance et sans douter que le bonheur existe dans la vie. Il ne faut que le tirer de la profondeur de propre "Moi". Dans cette forêt ils concevaient le bonheur sans l'observer d'un côté mais en éprouvant sur ils-mêmes, en voyant la grande quantité de ses pans bizarres, en apercevant la grande quantité de ses possibilités, vaste et intarissable.
      Et les arbres se taisaient. Les arbres non seulement se taisaient. En se taisant, ils racontaient de quelque chose qui n'est pas traduisible en langue humaine. Et les arbres taisent, comme jadis quelqu'un inconnu avait dit, sur le paradis perdu, lequel Adam et Éva habitaient. Les confessions différentes interprétaient aux manières différentes qu'est-ce qui gît au fond de la chute et toutes elles ont manqué l'essentiel. Pourquoi ils, ceux qui parlent si beaucoup de l'amour envers notre Seigneur Jésus-Christ, n'ont pas profité-ils de Sa doctrine: à reconnaître les arbres à leurs fruits? Et quel était le premier fruit qui est apparu toute de suite après la chute? Eh bien, tel qu'Adam et Éva étaient devenus confus et s'étaient mits en pagnes. L'opinion publique était apparue: "qu'est-ce que les gens diraient?!" Ou: "Qu'est-ce que dira la princesse Marie Aleksevna?" (la citation de Griboédov-note d'auteur) Il n'est pas possible qu'ils eussent honte pour nudité devant Dieu Qui les a créés comme tels comme ils sont, le mâle et la femelle, comme ils sont. Ils étaient devenus confus devant l'opinion publique, laquelle ils avaient mise au lieu de Dieu. Ils étaient devenus confus devant ce monde, le prince duquel est le même Satan. Et ce n'est pas si important, deux d'entre eux étaient là-bas, ou deux mille. Ils avaient créé leur propre monde, lequel ils avaient appelé "civilisé", mais il n'avait pas fallu entrer dans ce monde avec l'INSTINCT CONFORMISTE qui sauvait l'homme primitif là-bas des désastres, néanmoins ici, il se trouve un côté le plus vulnérable pour intrigues de diable.
      Néanmoins, l'humanité reviendra en paradis perdu. Toute l'histoire se développait selon le meilleur scénario de ceux éventuels, indépendamment, jusqu'à quel degré certains instants nous semblent terribles ou inesthétiques ceux-ci. Les noms des pionniers revenus sont écrits dans l'histoire par lettres d'or: Jésus-Christ, Siddhartha Gautama, Mohammed, Krishna, et dans notre siècle de contrastes - Osho shri Rajneesh. Après eux, certains autres tendent déjà, en reconquérant de l'obscurité avec des efforts titanesques sentimètre après sentimètre.
      Les gens avaient perdus les jardins d'Eden parce qu'elles ne pouvaient pas les apprécier à leur juste valeur. Personne sauf ceux qui a connu la prison, il sait la valeur de la liberté. Personne sauf ceux qui a traversées les ténèbres et franchies les plus difficiles barrières, pour se sauver d'eux, c'est ils qui sont capables d'avoir aimée la Lumière Éternelle avec toute la sincérité. Voilà, pourquoi il avait été besoin de ces ténèbres, de ces souffrances. Tout ça a servi pour le bien. Afin que l'humanité revienne au monde perdu en plus, mais en condition mûre, avec les neuves connaissances, qui ne peuvent pas être reçues en théorie, ne peuvent pas être reçues qu'en endurant par sa propre expérience de chaque individu, qu'en franchissant toutes les obstacles, qu'en passant toute la voie jusqu'au bout.
      Maintenant, nos héros allaient selon cette voie tous les deux. L'enleveur mystérieux, par les caprices du destin, s'est mis en route le premier. Il a attrapée grossièrement une amie de laquelle il  s'était épris et laquelle dormait à la décharge de l'histoire humaine. Il l'a réveillée grossièrement et ouverts ses yeux. Maintenant elle est capable d'aller sur la voie toute seule et elle ne reviendra jamais plus à cette décharge.
     -De quelle manière ferons-nous nos adieux? - Inga questionna le matin.
     -Ici, dans la rivière il y a une place peu profonde, je t'aiderai à passer à gué. Nous parlerons et reculerons en arrière jusqu'à l'instant où nous cesserons d'entendre l'un l'autre. Alors, chacun ira son propre chemin. Comment à passer, je t'ai dessiné, au nord-est, mais ce serait mieux si tu trouves un sentier. Là-bas, il est sept kilomètres jusqu'à l'arrêt d'autobus. L'autobus passe quelques fois en jour jusqu'à ville qui s'appellera bientôt Sergiev Posade.
     -Et au présent?
     -Zagorsk.
     -Oh voilà! Où nous nous sommes rappliqués de Rogatchevo! Et où avons-nous traversé le canal?
     -Est-ce que tu souviens, tu t'étonnais que la nuit je t'aie menée, les yeux bandés, sur une certaine route asphaltée? Alors, c'était que nous avons traversé le pont près du village Morozki.
     -Et toi, vers Dmitrov?
     -Tu as deviné. Là-bas le plus lent train passe jusqu'à Piter (en langage populaire, alors Leningrad, maintenant Saint-Pétersbourg - note d'auteur), mais je contournerai Piter, en descendant à la station Mga.
      Il fit les bagages, donna lui deux sacs. Dans celui l'un il versa de noix, dans celui l'autre - d'armillaires de miel qu'ils avaient cueillis, donna lui l'argent pour voyage, transporta la sur les épaules à la berge orientale de la rivière et revint à son côté.
      Tout à coup Inga se ressaisit.
     -Attends un peu! Ne va-toi pas! Je n'ai pas questionné l'essentiel: comment as-tu appris de moi, ce que j'existe dans le monde? 
     -Il y a six ans, je travaillais au domaine des travaux géodésiques. Une mission à cité Voljsky, située près de Volgograde, était révoquée. Nous chômions et notre équipe était mise pour une commande d'un jour à Moscou dans ta ruelle au cartier Sokol. Tandis que mon coéquipier prenait d'un croquis, j'étais debout avec mire au coin de ta maison et tout d'un coup j'ai entendu comme on te fessait. Alors j'ai pris tel bon buzz! J'ai décidé même à distance regarder cette fille, toi. Cela n'était pas difficile. Je t'ai trouvée répondante à mon goût. Il ne suffit pas de dire comme ça. Je t'ai trouvée le meilleur mon rêve! Néanmoins tu étais très jeune, quoique déjà formée comme jeune fille. "Grandis plus vite, ma belle, et je t'enlèverai" - c'était ma propre décision. J'avais beaucoup d'affaires, mais le temps de bien planifier et préparer l'opération de t'enlever, j'y avais plus que suffisant.
     -Donc ce mauvais jour-là, où j'étais bien fouettée, se trouve le plus heureux? Quel miracle! Voilà, comme il arrive parfois! Mais il semble que tu fusses plus jeune; est-ce que je t'ai vu par la fenêtre?
     -Tu n'as pas discerné. J'ai rabattu le chapeau tricoté sur les yeux, en cachant les rides sur mon front, il les y avait déjà alors. Quant à la constitution, j'en ai svelte toujours. Même maintenant, parfois on me crie: "Holà, garçon!", mais si je me retourne, on me présente ses excuses.
      Inga fut heureuse. Cette information respira une nouvelle vague en prise de conscience de son propre bonheur. Ils se mirent à s'aller lentement en se reculant et continuant la causerie.
     -Je bien comprends CE que tu as fait pour moi! Si sans toi, j'aurais vécu jusqu'à très âgée, les yeux fermés. Comment à remercier toi?
     -LUI remercie! - Il leva son index en haut. - Et n'oublie pas à prier Dieu, pour ne se trouver à l'autre côté de barbelés ni toi, ni moi. Tu ne me dois rien. Tu es libre, tu es libre absolument.
     -Même d'être infidèle à toi?
     -Tu ne peux point être infidèle à moi. Tu ne peux pas être infidèle à l'Homme, en couchant avec un chien. Avec ceux-là que tu rencontres, même si leur orientation sexuelle coïncide la tienne, tu n'aurais pas en commun outre le sexe. Essaye d'ouvrir leurs yeux, mais n'oublie pas les perles et les pourceaux. En effet, ce sont jaloux-là qui avaient peur de se trouver pis que les autres. Mais je n'en pas peur, en tout cas, je connais ma valeur.
     -En disant adieux même, dis-moi, comment tu t'appelles!
     -Je suis un homme de la planète Terre. Mon nom symbolise la vieillesse, et peut-être la sagesse, quoiqu'il n'y a rien de quoi pourrait-on apprendre de nos aînés; ils sont stupides comme une oie, ce sont les suites des Soviétiques. Mon prénom vient du mot «vie» et le nom patronymique - du mot «homme». Cela tu apprendras à Moscou.
     -Quoi?!
     -Tu apprendras à Moscou-u! - maintenant il cria, en montant déjà la haute berge de la rivière.
     -De quelle manière?!
      Ils reculaient avec précaution en arrière et maintenant cessaient d'entendre l'un l'autre. Et alors, son amoureux, en ressemblant toutes ses forces, cria:
     -Adieu, Inga! Je t'aime!!!
     -Adieu, mon amoureux! Prenez soin de toi! J'ai besoin de toi!
     -Nous nous réunissons à nouveau! Nous devons rencontrer! - Les échoes retentissaient dans toute la forêt.

Le texte russe original: https://www.proza.ru/2009/12/20/1217

Monday, July 9, 2012

Chapitre VII. L'enleveur énigmatique.


      Le jour suivant passa comme d'habitude, c'est-à-dire, avec rite matinal, avec études, le thé et les conversations longues près du feu. Le sommeil nocturne n'est pas interrompu aussi. Néanmoins vendredi Inga est fouettée cruellement comme jamais auparavant. De même qu'il y a trois jours, la jeune fille obstinée par la passion à son instituteur sévère, à dessein elle provoqua telle assez dure épreuve pour elle. Voilà comment cela passait:
      Pendant la fessée rituelle de matin Inga sépara les doigts à dessein et se jeta sur le bourreau avec embrassades et déclarations d'amour. Il s'embrassa avec elle mais n'approuva pas les prétentions. Maintenant les trente claques menacèrent au lieu de quinze. Lorsqu'il demanda à cesser de polissonner et de prendre la position exigée, elle n'obéit pas en première fois mais courut de lui à travers la forêt en riant. Il l'a fallu bien courir avant qu'il ait réussi à l'attraper. La fille attrapée le gifla, éclata de rire et tenta de se jeter à courir de nouveau. Alors il la saisit par la main, mit la main jusqu'à la nuque si haut qu'elle fit entendre un piaulement de douleur. Cela la dégrisa pour ainsi dire.
     -Voyez-vous quelle vilaine fillette! Maintenant tu vas ronger le sol! - prononça le tourmenteur sévèrement mais en souriant.
      De douleur au bras la jeune fille devint toute rouge et ne rit plus. Donc, il l'emmena, en l'obligeant à se plier jusqu'à tel point que la tête est située plus bas que les fesses nues, décorées par cicatrices de la fessée récente. En la ramenant vers un arbre tombé près de la tente, il la tira les cheveux, les oreilles, douloureusement mais bien pas de toutes ses forces, en craignant de causer un dommage.
     -Ce n'est qu'un avant-goût mais maintenant...
      Inga rougie était debout devant lui, et les larmes roulaient selon deux joues.
     -Je t'aime malgré tout. Je suis prête à passer les épreuves lesquelles tu m'as préparées. Fouette-moi, sans plaindre!
     -C'est maintenant que tu parles comme ça. Et de quoi chanteras-tu où je te fouetterai?
     -Ne fais pas l'attention pour ça qu'on parle sous torture! Il est mieux d'écouter ce que je parle maintenant et parlerai après. Quand en première fois j'ai reçu un savon de toi, très fortement, j'en ai appelé à de la pitié, à de la compassion, j'étais prête à tout pour toi, pourvu qu'éviter la douleur. Maintenant ne me plains pas! Je veux de ton cruel amour. Je glapirai, je demanderai grâce à toi, mais tu ne me plains pas! Sois un bourreau! Jouis des hurlements et des gêmissements, des larmes! Je crierai, mais tu fouette-moi malgré tout, douloureusement, jusqu'au sang! Je t'aimerai plus en plus.
      La jeune fille se jeta à genoux et se mit à embrasser lui sur les jambes poilues.
     -Lève-toi, Inga, - en première fois il s'adressa à lui par son nom. - Elle remarqua qu'il est touché, même les yeux s'humectèrent un peu. - Mais en effet tu es mon rêve! Ton amour est excellent! Et tu es devenue excellente! Tu n'es morte plus! Tu viens de réveiller! Tu viens de réveiller du sommeil profond, le sommeil mortel dont toutes tes connues dorment à Moscou. Ma jolie amie, jolie amie de forêt, de même jolie comme toute la nature, jolie comme la même vie, comme l'amour! Es-tu prête à l'épreuve? Je satisferai ta demande, ma sœurette d'esprit! Apporte les cordes! Je vais t'attacher à cet arbre. Il indiqua à l'un arbre mot, couché sur le sol. - Je vais te conduire aux hauteurs du paradis à travers les profondeurs de l'enfer! - le bourreau devenu désiré maintenant, il acheva la tirade.
      Inga apporta les cordes et lui tendit.
     -Couche-toi, fillette audacieuse, c'est toi!
      Inga se coucha comme si se jetterait à l'abîme. L'horreur se confondait avec extase à la fois. Avec un sourire polisson elle prononça d'une voix traînante comme si elle chanterait:
     -Oh quel savon va m'arriver!
     -Attends un peu! Il va arriver toute de suite.
      Il la lia longuement et avec zèle. La cravache de fil électrique se mit à siffler brusquement et sans pitié, sans arrêter. La jeune fille déjà gémissait et pleurnichait plaintivement.
     -Voilà quinzaine. Il aurait été la fin, mais maintenant ce n'est que commencement.
      Vers claque cinquante elle cria déjà des lamentations comme alors à l'enfance, sous la corde à sauter de mère. Les hurlements augmentaient toujours. Elle sentit que ses fesses, il ne la fouettait que sur eux, on dirait, s'engourdirent et la douleur n'est plus telle poignante. Sur l'herbe plusieurs petites gouttes du sang scintillaient déjà. En glapissant plaintivement et en sanglotant, Inga sentit une onde agréable et douce se répandait en chair. Le mot "euphorie" aurait été le plus convenable à cet état d'âme. Elle finissait. Puis il y fut la douleur insupportable plus encore. Et encore les hurlements s'augmentant et l'euphorie de nouveau - Inga finissait en deuxième fois. Encore quelques sifflements et claques déchirant la chair.
     -Maintenant, tu es vraiment fouettée comme une chèvre. Es-tu contente?
     -Oui, - Inga tenta de sourire mais toute tressaillait. - Combien tu m'a donné?
     -Cent cinquante, néanmoins ce n'est pas tout.
     -Mais je ne pourrai pas me mouvoir!
     -Qui dit que j'aille te fouetter.
     -Et qu'est que tu vas faire, brûler?
     -Non, grue polissonne. À saler, - il sourit.
      Tout à coup le sens des mots atteignit elle. Inga effraya pas en vain. Son bourreau puisa une poignée du sel et le mouilla un peu avec l'eau de la gourde, puis il y frotta les places fouettées pas fortement mais soigneusement.
     -Aïe! Aïe! Aïe! Aïe! Que fais-tu?! S-s-s, - elle s'efforce de tolérer, rougit, enfin ne put se retenir et sanglota. Il commença à la délier.
     -Peux-je aller à la rivière? - La jeune fille le demanda, tout en larmes.
     -On peut.
      Inga arriva au rivage, longtemps descendait jusqu'à l'eau, y entra, tenta de passer la main à faire tomber le sel et poussa un cri. Elle eut mal à toucher les fesses. Alors elle était debout en eau à peu près cinq minutes. Le courant de rivière à tout probable dut laver le sel. Elle alla en clopinant en arrière, une fois oublia, s'assit sur la souche et toute de suite bondit avec glapissement. Son bourreau frotta avec précaution les cicatrices par l'onguent qu'il sortit de la trousse de médicaments. Cette fois Inga fut fouettée dans les règles classiques, avoir mal à toucher, jusqu'au sang, avec traitement par sel. On ne pouvait regarder aux fesses qu'avec peine: elles furent enflées, les rouge-violet taches un peu saignèrent çà et là.
     -Habille-toi en fuseau sportif, ne mets pas le maillot de bain car il peut s'enfoncer en cicatrices.
     -Est-ce que je suis fouettée dûment aujourd'hui, comme une chèvre? Vraiment?
     -Oui, ma chevrette désobéissante, qui tu es.
     -Est-ce la dernière épreuve?
     -Il reste une encore. D'abord il faut te reposer quelques jours; soit que les traces se guériraient. Ton cul est en relief, attrayant, sans dire. Néanmoins, si on te fessait à l'enfance plus souvent, c'est précisément que tu sois une reine de beauté. mais n'ennuie-toi pas! Je t'aime malgré tout.
     -Quant à me fustiger, est-ce que tu le feras sur les mêmes points sensibles encore?
     -Non. Beaucoup des claques seront régulièrement sur toute la chair, sauf la face et les seines.
     -Tu as raison. Il faut essayer tout. Et si je ferai polissonner avant la guérison?
      En réponse, il la gifla sur les points déjà sensibles.
     -Aïe! - la jeune fille poussa un cri fort et long, elle renversa sa tête en arrière -. M-mm, aïe, comme ça fait mal! S-s-s.
     -Eh bien, est-ce que tu as envie de faire des bêtises?
     -Non, vraiment.
     -Il la claqua par paume avec la même sonore. La fille poussa des cris perçants, s'inclina, s'accroupit, rougit.
     -Et maintenant je vais te claquer une fois par cravache, veux-tu?
     -Non! J'en peur!
     -Tu te conduiras comme un agneau, grue?
     -Comme un agneau, vraiment! Demain, je t'en prie, ne me fustige plus sur les fesses!
     -Si tu te comportes bien, je fouetterai sur les autres places.
      Inga apprit qu'il soit mieux ne pas faire des bêtises, quoique pendant plusieurs jours.
     -Maintenant va te reposer. Nous supprimons les études pour aujourd'hui.
      Cette journée parfois pendant conversation en plaisantant il la claquait par paume sur le cul et chaque fois cela provoquait les cris d'elle, les cris douloureux et protestants. Tout à fait elle ne pouvait pas s'asseoir. Néanmoins ce jour et demain, chaque rappel qu'elle est bien fouettée procurait à l'Inga le sentiment de la félicité. Elle approuva en esprit qu'elle ne peut être dûment heureuse qu'ici avec cet inconnu énigmatique qui réunissait en soi les attributs, il parait, incompatibles: un moujik grossier vêtu presque en natte, un inquisiteur raffiné, un philosophe et un poète à la fois.
      Dans une semaine Inga plus encore provoqua "les tourmentes pour l'amour", après cela toute la chair est fouettée régulièrement, même les bras. Il n'y eut pas d'orgasmes car c'est les points qui ne sont pas touchés autrefois, ils recevaient les coups de cravache, c'est pourquoi il ne s'engourdissait rien, il ne perdait rien la sensibilité à douleur. La douleur était pénétrante, il y avait assez des hurlements, des larmes et des lamentations. Il y avait des claques de même cent cinquante, mais il ne souffrit rien après cela. Quand elle fut déliée, sa passion enflammée du jeu cruel, comme il l'avait nommé: le jeu en "glapissements et sautillements", cette passion atteignit son apogée. Son partenaire du jeu fut excité pas moins. Inga fut sûre qu'il tient son mot.
      En étant déliée, toute de suite elle prit la pose d'une female désirante. Cette fois il n'y eut pas de besoin de le supplier. Il entra en elle harmonieusement et profondément. Inga hurla du plaisir en mesure de ses secousses. Ce lui semblais que la forêt et la terre chancellent-elles de concert avec eux. Tout changea alentour. N'importe quel détail ne signifiant rien, maintenant il recevait une grande signification, la signification du triomphe de la Vie et de l'Amour. N'importe quelle vétille: soit c'est un feuillet pendu d'érable qui se trouva sous les yeux par hasard, quelque bruit de forêt ou même une odeur - dans l'avenir lointain en étant tirée de la réserve de mémoir cette vétille brillerait tout à coup de la lumière éclatant en éclairant et en ornant la gris quotidienneté de la vie courante et alors chaque d'eux sans preuves mais avec assurance et sans aucun doute pourrait-il répondre à n'importe quel pessimiste ou sceptique à question du sens de la vie que sens de la vie est l'Amour. Et au présent chacune telle vétille fut une note concordante avec les autres celles en harmonie de la grande liesse de la Vie et de l'Amour. Tous les deux, en étant abasourdis par finals accords de cette symphonie, pendant quelques minutes ils ne purent pas reprendre ses sens en se figeant dans la même position dans laquelle ils eurent fini.
      Enfin Inga sauta sur ses pieds et tourna la face en lui. Ils s'enfoncèrent en lèvres l'un avec l'autre et ne purent se séparer longtemps. Transportés de passion ils pincèrent l'un l'autre jusqu'aux bleus sur les dos et ne remarquèrent cela.
     -Reposons-nous un peu, puis continuons! - ce fut la jeune fille qui  première proposa cela.
      Il accéda à la proposition, et tous les deux allèrent à la tente, puis ils s'habillèrent un peu et étaient couchés pendant une heure.
     -Eh bien, ma belle; qu'est-ce que nous allons faire avec toi? - il fut le premier qui coupa le silence.
     -Bravo! Tu as rétablies tes forces rapidement comme un à l'âge dix-huit ans! Sais-tu? Je suis telle perverse! Je suis telle chienne! J'ai telles envies honteuses!
     -Est-ce que je ne te disais pas auparavant que les envies sexuelles sont sacrées où elles ne sont pas dangereuses? Je te fouetterais car tu oublies les leçons, mais toute juste je suis trop paresseux pour le faire.
     -Je voudrais que tu me viole la deuxième virginité, - tout bas et avec l'air de conspiratrice la fille prononça et les yeux espiègles lancèrent des éclairs de passion. Il comprit mais à tout hasard il questionna:
     -Qu'est-ce que cela signifie?
     -Que tu es peu sagace! Le matin, où tu me touches avec doigt à la rivière? Voilà, tu as eveillées telles envies en moi. Je sais que ça fait mal mais je n'ai pas besoin de m'habituer, - elle passa au chuchotement et ses yeux s'enflammaient passionnément. - J'ai envie d'être empalée. Tu te couches sur le dos et je m'assiérai sur cette chose du haut à la pose d'écuyère et sauterai.
     -Eh bien, ma belle, aujourd'hui il est ta fête. En passant les souffrances tu as le droit au choix. A vrai dire, j'ai envie de même, - il sortit de la trousse de médicaments le même onguent et sortit de la tente. - Faisons cela ici, sur l'herbe!
     -Faisons! - la jeune fille répondit tout bas, avec passion.
      Il enduisit de l'onguent l'objet qui s'augmenta jusqu'à ses limites de nouveau, et se coucha sur le dos. Inga, toute tremblante, enjamba le partenaire couchant ainsi que les deux pieds se trouvèrent de différents côtés de celui-ci, et tourna vers lui, s'accroupit, prit son outil aux mains et commença à s'asseoir sur lui.
     -Aïe!-  En se mordant la lèvre ou bien de la douleur, ou bien de la passion, elle se mit en mouvement, d'abord lentement et doucement, mais peu à peu plus fort et plus rapide et à la fois elle gémissait au même rythme. Avant qu'il finit, elle réussit à finir plusieurs fois et en dernière celle-ci où ils finirent à la fois, les gémissements rythmiques se transformèrent en cris avec lamentations: "Moi, donc moi, la vilaine grue, déchire-moi!.." En entendant de loin et sans voir cela qui passait, on aurait cru qu'elle soit fouettée de nouveau. Au sommet de la volupté elle hurla et rugit comme un être sauvage. Bientôt ils allèrent vers la rivière à se laver.
     -Maintenant sens-tu qu'il y a trois semaines que tu habitais un monde entièrement autre, mort celui-ci? Que pendant ces semaines tu as fait le grand saut du monde mort et gris en celui-ci vivant et pittoresque?
     -Comme si cela aurait un sens de questionner!
     -Eh bien, alors... N'oublie pas cette journée et ne reviens jamais là-bas. Là-bas il y a une obscurité, un enfer. Là-bas sont la mort, le cancer, alcoolisme.
     -Est-ce que tu as envie que je reste avec toi à la forêt à jamais?
     -Malheureusement, ce n'est pas possible et il s'agit de l'autre chose. C'est simplement: en se trouvant physiquement dans leur monde, reste dans ton propre! En faisant semblant d'être de même comme ils sont, reste soi-même. Même pour un instant n'oublie pas qui tu es. Envers eux tu es comme un agent d'ennemi qui ne doit pas se découvrir mais en aucun cas se ranger de leur côté. Sinon, tu trahirais ton essence et il ne serait mal que pour toi, pas pour moi. Quoique envers moi tu est une esclave, une grue de forêt que je fesse et fesserai chaque jour; mais envers tous eux tu es une princesse, et ils sont des plébéiens, nullités qui ont méconnu les talents donnés leur du ciel. N'oublie jamais ni les connaissances-la, ni le bonheur-là que tu as trouvé ici.
      Et le soleil se déplaça au-delà du ravin et s'inclina au coucher, en jetant des longues ombres. Tous les deux s'embrassaient, parlaient et chantaient des chansons près du feu. La nuit approchait, et bientôt elle se donna à lui encore.

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