Friday, February 18, 2022

Épilogue à la "Téléportation", c'est-à-dire, sur ce qui se passait après.

           Beaucoup de lecteurs probablement ont deviné que le roman n'est pas fini. Oui, les personnages et protagonistes se sont sortis de la situation difficile et dangereuse, les ennemis sont anéantis, mais je serais déçu au lieu d'un lecteur, après le point mis finalement en fin du chapitre IX "baptême du feu", malgré la bonne fin. C'est pourquoi ceux-là qui ont senti que ce n'est pas la fin, ils ne se sont trompés pas. Il était planifié d'écrire trois chapitres encore, probablement longs, ce qu'est approprié à la deuxième partie du roman. Le problème est que l'action des trois chapitres derniers doit passer aux États-Unis. Parfois les protagonistes apparaissent à New York brièvement, y compris, au milieu du roman. Je ne peux pas affirmer sûrement, dans quelle mesure de fiabilité est la description de New York, où je n'étais jamais. Un paysage abandonné avec une décharge industrielle qu'habitent des personnes criminelles, cette image a son origine dans la comédie "Banzaï" plus la propre imagination. Si la description n'est pas assez crédible, la brièveté et superficialité sauvent la situation. C'est possible qu'un anachronisme ait lieu. Le film était en train d'être fait à la fin des années soixante-dix, quand la criminalité à New York toujours était comparativement élevée. On parle, dans notre temps la criminalité a baissé jusqu'à tel degré, même les sociologues se sont intéressés à ce phénomène.

          Néanmoins, les trois derniers chapitres sont une autre chose de tout. Ce n'est pas une brève apparition en Amérique grâce à la téléportation, mais le séjour constant avec description en détails de la géographie locale à grande échelle et des subtilités des relations traditionnelles. Il n'y a pas de désir d'être au lieu d'un écrivain français du passé qui n'avait été jamais en Russie, pourtant après avoir décidé de la décrire, il avait décrit un homme qui était en train d'être assis "sous une canneberge grande et luxuriante".

          Il y a beaucoup de romans inachevés pas dans l'histoire de la littérature, en commençant des œuvres classiques des auteurs célèbres jusqu'à présent. Rien n'est éternel. Un écrivain vit, meurt, en restant les lecteurs contemporains et aussi les lecteurs des générations prochaines dans une réflexion pénible: "que passait ensuite?" On essaye de récupérer la suite de l'intrigue à laide de fragments des notes écrites dans les marges d'un cahier d'auteur. Cette tentative souvent est en vain et a l'air d'une certaine divination. Par exemple: soit Macha s'est séparée de Doubrovsky à jamais, soit il la visiterait en faisant semblent d'être un Anglais et ils seront enfin ensemble? "The Mystery of Edwin Drood" d'après Ch. Dickens est resté un mystère à jamais. Il y a beaucoup de exemples pareils.

          Mais je ne voudrais pas abandonner des lecteurs dans l'ignorance, parce que je ne sais pas qui arrivera avant, si je retrouverai d'inspiration à écrire cet achèvement à la fois avec la possibilité de voyager aux États-Unis et d'examiner et d'apprendre tout qui est nécessaire pour l'intrigue, ou j'irai dans l'au-delà et quoique peut-être puisse-t-on voyager là-bas, il y a peu de chances de réussir à connecter avec vous et partager les impressions. C'est pourquoi je vais raconter brièvement comment l'intrigue se déroule après, sans descriptions des beaux endroits en détails, nos protagonistes choisiront des endroits seulement comme ça, sans descriptions la vie quotidienne aux États-Unis contemporains, et je vais le faire ici et maintenant.

          Nous les avons quittés malgré leurs difficultés dans la situation la plus invulnérable. Ils sont invulnérables à l'égard n'importe quelle mafia, n'importe quelle police, n'importe quels services specials. Ils continueront à se cacher dans la nature avec l'équipement excellent, avec l'argent. Le froid commence dans la Russie, mais leur équipement laisse les survivre. Le problème est autre. Peu probable que les services specials les laisseront tranquilles. C'est trop tentant la capabilité de téléporter. Et c'est trop dangereux pour l'humanité à donner à lui un cadeau pareil.

          Après avoir calculé tout pro et contra, nos protagonistes sont arrivés à la conclusion qu'ils ne peuvent pas s'attarder à l'égard d'évasion du pays, malgré le fait qu'ils ne réussiront pas à émigrer à la fois vite, légalement et secrètement. Ils ne voudraient pas commencer la vie neuve dans le pays neuf par enfreindre la loi, mais par souci de sécurité des cinq représentantes de beau sexe qui ne savaient pas téléporter, ils ne devaient qu'agir de cette façon. D'ailleurs, ils ne vont pas y conduir mal. Et ils ne sont pas déjà en chemin. Il y a un mois ils sont arrivés, ils ont acheté une maison dans un endroit pittoresque et l'habitent avec de faux papiers, se souviennent tous les évènements déjà décrits. Le chapitre X, "un pêcheur" devrait commencer comme ça. 

          Albert et Paul sont arrivés à la conclusion que la sécurité complète est une illusion, même ici. Les services spécials, soit de la Russie, soit les autres, tous ils ont les bras assez longs. C'est pourquoi ils ont trouvé dans l'autre bout du monde un endroit absolument sûr dans la jungle.

          La femme d'Albert se souvient la plaisanterie de Lena sur la téléportation (p.II, ch.II, "dans le rôle d'un spectre nocturne") Elle suspect de plus en plus qu'il la trompait non seulement avec Olesya. En même temps elle ne peut pas ignorer qu'il continue à l'aimer malgré cela. Le dernier temps, Albert s'implique dans la pêche. Un autre pêcheur vient qui tente de se lier d'amitié avec lui. Comme s'il est arrivé temporairement chez ses amis à passer des vacances. Il sait bien la pêche et comme s'il ne voit pas qu'Albert parle l'anglais pas toujours correctement. Mais Albert et Paul sont intelligents et prudents. Ce qu'il ne voit pas non assez correct anglais d'Albert, ce fait semble suspect. Aussi il est sociable trop, si le comparer avec les autres Américains. Après une fois quand partent les femmes à la jungle, elles sont prévenues qu'elles ne peuvent pas retourner.

          Dans le chapitre XI "tribu libre", le "pêcheur" abat ses cartes. Il montre un certificat cette fois des cervices specials des États-Unis. Il suppose que les femmes soient cachées pas loin (elles partent, elles viennent). Il même essaye de faire Albert chantage. Il n'a besoin que d'une seule chose: apprendre à téléporter et après cela, comme il jure, non seulement la police, mais FBI fermerait les yeux sur son émigration illégale et même aiderait à légaliser son statut social.

          Les femmes comprennent bien qu'elles maintenant doivent rester à la jungle à jamais. À devenir quatre épouses d'un mari, c'est quelque chose de plus difficile, mais elles l'acceptent graduellement. Elles l'aimeront, elles feront-lui des enfants, une tribu libre sera formée, mais contrairement aux tribus sauvages, ils seront illettrés, auront de bonnes manières et seront sans préjudices, Ils seront de non arriérée mais d'avancée partie de l'humanité. Si revenir au monde, les trois amies de l'épouse d'Albert déjà savent en quoi peut cela transformer après elles ont enduré la peur en captivité de Kashin. On peut avérer malchanceux en deuxième fois. En voyant comme Albert et le vieillard téléportent, elles se rendent compte que la chasse des services specials à eux n'est pas un jeu.

          Même au début du roman, le vieillard disait à l'Albert qu'il y a une personne planifiée qu'Albert devra enseigner à téléportation après qu'il sera mort de vieillesse. Maintenant le vieillard lui révèle ce que cette personne est Olesya. Maintenant pourrait-on finir comme ça, néanmoins, l'année 1994 va à sa fin et la première guerre contre Itchkérie commence. Albert est furieux. Le dernier de la partie II douzième chapitre "le choix" commence.

          Premièrement, ce serait impensable à croire que la Russie se répare. L'État du Satan a recommencé les mêmes choses: oppresser, réprimer, dominer. Deuxièmement, un peuple va souffrir. Nous savons du chapitre III de la partie II "une course d'obstacles", Albert sympathisait à ce peuple et même nomma soi-même "ami du peuple tchétchène".  Quand tout ça fait, y compris, bombardement de zones résidentielles de la cité Grozny, il n'y a pas de nécessité d'être un génie, pour comprendre qu'est-ce "établissement de l'ordre constitutionnel" rapporté par la propagande officielle et en quoi cet établissement sera-t-il transformé. Albert a soif de vengeance. À la fois avec le vieillard ont-ils pris une décision comment agira-t-il.

          Albert démontre sa capacité de téléporter devant un employé du CIA. Cet employé après avoir compris vite ce qui se passe, il proposa à l'Albert de faire le même devant plusieurs témoins, c'est-à-dire, devant ses collègues. Albert fut d'accord avec plaisir. Ils lui donnent un agent des chefs qui le vérifierait et enseignerait. Albert appelle cet agent "chef" et l'agent n'a rien contre cela. Albert posa une seule condition, à ne jamais le demander, comment réussit-il à téléporter. En processus du travail avec Albert, le chef plus en plus s'assure de la sincérité et de l'honnêteté d'Albert. Albert ne cache plus ce qu'il vint aux États-Unis illégalement, en espérant de sauver certains gens de la persécution dangereuse. Il avoue qu'il a été comme une victime du chantage par autre collègue du service spécial qui d'abord a fait semblant d'être un pêcheur. Sans attendre cela, grâce à son récit, Albert a découvert un agent dormant de l'Intelligent Service de la Russie. Malgré le fait qu'il est un Américain natif, il agissait dans l'intérêt du général Paukov pour de l'argent.

          Quand Albert reçoit l'autorisation officielle à vivre aux États-Unis, il devient presque à la fois un employé du CIA aussi officiellement. Quand le chef le félicite qu'à partir de maintenant travaillera-t-il en faveur des États-Unis, Albert répond qu'il dirait plus correctement "en faveur de la liberté!", car les pays peuvent se changer, mais la liberté est la valeur éternelle. Aussi l'apôtre Paul a dit: "là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté" (2Corinth 3: 17). D'un côté, le chef a pensé: "quel insupportable est ce type avec ses contradictions!" D'un autre côté il fut touché. Après tout cet agent est inestimable et si admirez-le, ce ne serait point contre la réflexion pratique d'un Américain. Et aussi bien sûr, il n'y a pas tant beaucoup de gens honnêtes, qui auraient un désir passionnel de travailler selon ses propres convictions.

          Le chef était né et élevé dans une famille des baptists croyants et maintenant il s'est rendu compte qu'en se mettant au travail au total, il a commencé à oublier Dieu et l'éternité. Le jour de congé il est parti à la nature et priait. Il a compris maintenant que la foi sans obscurantisme et fanatisme n'empêchera jamais au travail d'éclaireur. Elle ne peut qu'aider. Après tout, le grand professeur a dit: "rendez les choses de César à César, mais les choses de Dieu à Dieu". Cet endroit-là le roman est fini.

          Ainsi, Albert a l'apporté un bon fruit encore, il a emmené un être humain à la foi. Tel protagoniste on a réussi à créer. Parfois, il est impudent et impoli jusqu'au cynisme lorsqu'il est confronté le mal, mais dans la profondeur de l'âme il est toujours orienté vers bien. Il aime les quatre femmes mais il ne les considère jamais comme un moyen à utiliser, mais dans chacune d'eux voit-il une belle création et son amour est sincère. Il est sympathique aux relations drôles d'Olesya et Paul. Il devint non seulement un successeur digne du vieillard mais aussi un bon ami. Néanmoins le teste principal, c'est le test de téléportation. Malgré l'acquisition de la force épouvantable, il est resté l'être humain. Il n'a besoin d'être un monstre obsédé par la soif de pouvoir. Quant à sa femme et ses trois amies, Paul et Olesya, en admettons qu'ils ne sont pas sans péché du tout, mais notre environnement gris manque des gens comme ça. Quoiqu'il y ait peu de lecteurs qui le confesseraient.


Friday, February 11, 2022

Chapitre IX. Baptême du feu. La téléportation. Partie II.

           Albert il y a longtemps se rendait compte avec qui avait-il affaire. Il se rendait compte dès l'instante, quand le pistolet donné à lui comme un cadeau avait tiré en première fois. Dans la fleur de l’âge, il était capable de réfléchir non pire que Paul qui malgré son âge bien savait comme calculer la situation, mais il pensait lentement et ne faisait pas confiance aux propres décisions si elles si ces décisions étaient prises rapidement. Aussi Albert se rendait compte que Kashin et ses copains furent déjà partis, et il savait à juger du temps, où leur voiture approximativement se trouva maintenant. Ils n'ont pas raison d'y tenir une sécurité très puissante et il pourrait seul les vaincre en disparaissant et apparaissant, à tirer pour tuer et disparaître encore. Néanmoins, les actions doivent être harmonisées pour meilleur effet. Cette pensée dernière l'eut fait téléporter à la région de Krasnoïarsk.

          Comme d'habitude, Olesya se fut allée faire du ski, cette fois avec Nadia. Le vieillard devait toute de suite venir chez lui. Dans cinq minutes il fut "apparu" en fait. Albert rapporta la situation.

          -Il faut agir à deux dans le cas donné. Tes parents, je connais leurs noms. Je dois maintenant frapper à la porte et demander comment vont-ils. Quant à toi, ce maton t'a déjà vu.

          -Mais comment trouveras-tu l'endroit? As-tu oublié comment avons-nous fait connaissance? Comme j'ai téléphoné à toi? Comme j'espionnais tous les points de ton apparition possible?

          -Donc, allons discuter, comment faut-il agir.

          Dans dix minutes tout fut décidé et Albert ajoutait les cartouches qu'il manquait dans son arme. Bientôt, les deux furent apparus près de la maison. Le vieillard s'approcha du portail et sans trouver une sonnette frappa. Albert observait de l'abri ce que passerait.

          -Qu'est-ce que tu veux?! Un coup à la tête avec le fût de l'arme?

          -Pardon. Je suis venu à la maison de vacance récemment et je voudrais voir les voisins. Je les connais. Ils habitent cette maison.

          Le portail s'ouvrit. Le maton mit son certificat directement près du nez de vieillard. 

          -Combien fois dois-je le répéter à tout le monde? Ne le vois-tu pas? Le service fédéral de sécurité. As-tu compris? Sécurité! Soit dois-je te piquer ton nez comme un chat?

          -Pardon, s'il vous plaît, mais je suppose que vous devez nettoyer votre cul avec ce certificat faux.

          -Quoi?!

          Un coup de feu retentit des sapins et le cri d'indignation du maton se transforma au hurlement de souffrance. Albert fut surpris, comment le vieillard réussit à saisir le fusil d'assaut si vite qu'il immédiatement jeta vers lui. Albert saisit l'arme.

          -Jete plus prudent. Dernier dont nous avons besoin, ce serait un accident. T'allonge!!!

          Le vieillard a compris le commandement à temps et tomba sur la neige comme poussé. Ils se sentirent terriblement à cause de grêle de balles qui retentit très fortement. Plusieurs balles sifflèrent près d'eux. La porte de la cave se ferma de la même manière inattendue comme il vint de s'ouvrir.

          Albert avec le fusil d'assaut téléporta tout de suite à la cave, il abattit avec courte grêle de balles à dos le type qui vient de tirer et se tourna en arrière immédiatement. Les yeux ne virent rien dans le premier instant après la lumière du jour, mais il reconnaît la voix de Sveta.

          -Alik. Sauve-nous! Garde-toi! 

          Il vit comme deux femmes en criant se pendirent sur le bras d'un maton, en essayant de priver son fusil d'assaut. Le maton les jeta brutalement, elles tombèrent, mais le fusil d'assaut glissa des mains. Lena s'approcha de lui à temps et fit une tentative de le frapper l’aine. Il paraissait que la tentative ne réussit que partiellement, néanmoins, un peu du temps fut gagné. Le maton ne pouvait pas atteindre son fusil d'assaut, parce qu'Albert était en train de pointer son arme sur lui.

          -Si tu tires, tes chiennes seront tirées du ricochet. Beaucoup des balles, la probabilité est grande, - le maton prononça avec une menace dans la voix. En utilisant la confusion courte d'Albert, il soudain sortit une grenade de son sein et cria comme un hystérique:

          -Tout nous nous exploserons! Tout nous mourrons! Va-t-en! Sinon j'exploserai tout le monde et moi-même aussi!

          Il n'y fut pas du temps à réfléchir, néanmoins dans la situation extrême, quelque chose réfléchissait automatiquement, comme si au lieu de lui. Il ne remarqua que la grenade toujours ne fut pas dégoupillée. On réfléchissait non avec les mots, mais si le "traduire", cela sonnerait comme ça:

          -Mon Dieu! Comme prendre garde à ne pas rater! Comme prendre garde à ne pas faire une faute!

          Albert disparut immédiatement et apparut en derrière d'ennemie. À la foit fit-il un coup de feu du pistolet et cela endommagea la main tenant la grenade. La main tomba comme un pendule. Albert tout de suite saisit d'elle la grenade et dirigea aux yeux d'ennemi un jet du vaporisateur au poivre. Mais malgré cela, en hurlant, il se saisit non aux yeux mais à la main blessée. Tout le monde au-dedans commença à tousser, les yeux à devenir plaines de larmes. Au contexte de ce bruit, personne n'entendit un coup de feu sonnant en haut.

          Néanmoins, Albert cria: "Soyez patientes un peu. Ne sortez pas! C'est dangereux!" En étant prévoyant, il téléporta au-delà de la cour, pas loin du portail. Après avoir glissé prudemment vers le portail ouvert, il vit la mère et le père qui viennent de sortir tous pâles sur le porche. Paul fut debout avec pistolet près de maton abattu par lui et interrogeait:

          -Est-ce exact que personne n'est resté dans la maison? Après tout, ils sont capables de tuer Alik, votre fils.

          -Bien sûr, non. Il nous gardait en étant seul. Il est sorti sur le porche après avoir entendu le bruit, et vous avez tiré tout de suite sur lui de l'abri, - le père répondit.

          -Mon Dieu! Nous avons vécu pour voir cette terreur! - la mère désespérait.

          -Paul, c'est moi! - Albert cria. - J'ai neutralisé les deux dans la cave. Nos femmes y sont. Il n'y a pas quelqu'un plus?

          -Non. Est-ce que tu es un meurtrier maintenant? - la mère questionna avec terreur.

          -Est-ce que vous aviez désir qu'ils tuent tout nous? C'est des criminels! Et allons à la maison, plus vite! C'est dangereux à se trouver ici.

          Après avoir vu que tout le monde obéit lui, même le vieillard, Albert se précipita à l'ouvrir la cave de dehors. Il déplaça la barre neuve et inconnue, mais il ne réussit pas à ouvrir la cave. Il devait téléporter au-dedans.

          -J'ai ouvert la barre dehors, mais le verrou est neuf aussi.

          -Prends des clés. J'ai les sorti de sa poche, - répondit une voix de femme en toussant.

          Le gaz auparavant diffusé du cartouche, forçait tousser, les yeux piquaient. Enfin, la porte fut ouverte.

          -Sortez toutes, chacune à son tour, laissez le fusil d'assaut et ne le touchez plus car c'est dangereux. Et entrez immédiatement! Toutes vous à la maison! Ne soyez pas debout ici! 

          Dans plusieurs minutes, après une conversation courte avec les parents, il devint clair finalement qu'il n'y a plus des ennemies capables de se battre. Ni à la maison, ni autour d'elle. Il paraissait que tous ils soient vivants, mais blessés gravement. En étant distraits pour exclamations et sentiments de terreur, les parents racontèrent que les trois chefs se furent allés par une voiture noire "Volga". Quand ils décrivaient ces "chefs", tout mit en place: c'étaient Kashin, Skolopendrin et Batogov. Les parents se sont souvenus même le numéro de la voiture qu'ils en ont eu marre de la voir chaque jour.

          -Oh, je vais pisser dans mes culottes! - Lena exclama inappropriée. - Oh, je pisserai! - et elle tomba sur le divan, s'en esclaffant fort de la manière psychopathique. Les larmes coulaient des yeux, mais elle toujours s'esclaffait de la manière sauvage et roulait le long du divan. Valia s'approcha d'elle et de toutes ses forces donna deux gifles sur chaque joue.

          -Lena! Reviens à toi! Elle cessa de rire et regarda maintenant à l'amie la frappant avec les yeux grands ouverts, comme si serait surprise. - Nous sommes sauvées. Soit Albert, soit Renald avec son ami, ils nous ont sauvés!

          -Valia! Il n'y a aucun Renald! Il est seul! Il n'y a aucun frère jumeau! Il n'existe qu'un seul, Albert! - Soudain elle fut envahie avec une envie de rire encore plus fou que celle précédente.

          -Hey, filles! - Albert exclama. - J'ai des morceaux de fil dans cette maison. Allons les prenons, chacun prend un, l'allongeons sur lo divan et la fouettons jusqu'au sang, tant qu'elle ne puisse s'asseoir! - en le disant, il faisait clin d'œil avec l'œil droit. 

          -C'est juste, - les deux amies affirmèrent.

          -Attachons-la à la table soit y a-t-il un banc? - Valia demanda. 

          -Il faut la fouetter en fait. Allons! - Sveta l'approuva joyeusement. Albert vit clairement que ses yeux brillaient de joie. Il sourit quand se souvint que bientôt il la présentera à Olesya qui est envahie de la même passion.

          -Filles. Ne le faites. Je suis déjà en train de me calmer.

          -Savez-vous tous que ces salauds nous ont promis? Qu'aujourd'hui après retour, ils la torturont pendant quelques heures jusqu'à mort devant nous et si nous ne disons où est notre amie Nadia avec Albert, la même chose ils feront à nous. Ce que pouvons-nous voir maintenant, c'est sa réaction hystérique à la libération de terreur, - Valia expliqua avec sa voix alarmée.

          -Ainsi, s'ils sont des criminels ou FSB? - le père d'Albert questionna.

          -À point de vue de la loi, ils sont des membres du FSB qui ont violé leurs propres règlements. Ils ont créé un département illégal sans en informer les autorités, - Albert expliqua. - Néanmoins grâce aux informations précieuses qu'ils ont obtenues, il faut s'attendre à ce que leurs chefs tant que possible essayeront d'étouffer leurs affaires criminelles. Si même serait-il impossible d'aller sans les emprisonner, les chefs utiliseront les informations obtenues par eux et laveront les mains, comme si l'institution n'a rien à voir avec ça.

          -Quelle sorte de délits ont-ils commis?

          -Regardez aux amies de Nadia qui sont sur les nerfs et toutes pâles. Ils les ont emprisonné dans la cave sans chauffage et elles devaient dormir sur le sol en terre. Et on toujours ne sait pas si leur santé endommagée soit ils iront sans conséquence. Et vous deux avec mère, ils n'avaient aucun droit de vous assigner à résidence et de changer la clôture autour de la maison. Néanmoins, si vous considérez tout ça comme des futilités, aujourd'hui, ils allaient de la torturer et tuer devant toutes les deux amies, et personne que Dieu ne sait, comment cela finirait si nous n'interférons pas. 

          -Néanmoins, avec rien que ses propres forces, vous ne deviez faire la guerre contre l'institution d'État. Vous deviez complaindre à leurs autorités.

          -Ils se sont allés, parce qu'un grand chef les a l'appelé, c'est-à-dire, leur major-général. Je possède des informations exactes qu'il est en courant sur les femmes emprisonnées illégalement et séjournantes au danger mortel. Mais il ne voulait rien faire à libérer eux. Son flatteur le questionna: "au cas échéant, nous laverons les mains?" Et il a répondu: "tu es perspicace".

          -D'où as-tu pris ces informations?

          -D'une margot, qui a l'apporté sur sa queue. Ne prenez pas soin de moi. Je peux garantir ma sécurité. Prenez soin de vous! Ve vais à emmener une voiture et payer le chemin. Allez à Moscou toute de suite. Voilà quelques numéros à téléphoner. Il est nécessaire d'obtenir la protection des organisations de défense des droits de l'homme. - Albert sortit un bloc-note, arracha plusieurs feuilles et il écrit vite quelque chose. - Voici les adresses auxquelles vous devez vous adresser et dire tout, comme il est arrivé. Il est nécessaire à visiter tout eux, ce serait plus fiable. Cela vous sauvera. Quoiqu'ils n'aient besoin de vous. Ils ont besoin de moi. Nous avons encore de la chance. Dans le temps du pouvoir soviétique, ils vous accuseraient de banditisme, c'est-à-dire, d'une attaque armée contre des employés du KGB. Mais maintenant, ils n'ont pas besoin de vous. De toute façon, ils ne voudraient ni publicité ni tension de la situation.

          -Mon Dieu! Quelle vie a commencé! - la mère ne pouvait se calmer.

          -Tu t'es souvenue Seigneur à temps. Convertis-toi et crois à l’Évangile.   

          Malheureusement, ces mots ne consolèrent point la mère du tout.

          -Je vais emmener la voiture bientôt. Attendez.

          Albert remarqua que le vieillard s'est debout tourné à côté.

          -Allons Paul. Nous devons faire à deux.

          Ils viennent d'entrer dans la forêt et Albert expliqua:

          -La voiture première emmènerai-je pour les parents. Tu embaucheras la deuxième, pour les filles. Grimpons au commencement de la route à cette direction. 

          Les deux disparurent et apparurent sept kilomètres d'ici à la route principale qui mène à Ouglitch.

          -Sais-tu, tes parents, ils devront aider à l'investigation à créer un portrait-robot de moi? C'est pourquoi j'ai tourné le dos. Pour rester dans leur mémoire plus vaguement. Je les comprends. Ils ont raison dans leur niveau de développement et il est impossible de changer cela.

          -Je sais. Aussi il est impossible les appeler aux États-Unis à vivre. Néanmoins, je réussirai à les diriger aux adresses. Sinon, il serait dangereux pour eux. Quant à ceux-là trois, je les exploserai. Cette grenade est venue à propos. Je dis de celle-là que j'ai pris de l'ennemi dans la cave.

          -Nous avons eu un tort dans quelque chose, - le vieillard répondit. - Nous avons risqué comme à la guerre malgré le fait que nous pouvions avoir fait tout sans cela. Tout est bien que fini bien et vainqueurs ne sont pas jugés, néanmoins, ce ne signifie point que nous aurons tant de chance chaque fois encore. Souviens-toi la deuxième tentation du Christ: à sauter de la muraille du temple. On peut considérer que nous l'ayons fait. Nous avons visité la guerre et avons reçu le baptême du feu.

          -Je les exploserai sans une sorte de risque pour moi-même. Je dois devenir un meurtrier.

          -Dieu te pardonne, mais ne donne plus leur de chance. Près de portail, celui-là type nous a failli tuer avec par grêle de balles. Dieu merci! Il nous a sauvés. Je ne disais pas à la présence des parents: ce type est mort. Nous devons évacuer du pays toutes nôtres. 

          -Nous le ferons.

          Albert bientôt trouva une voiture. Le chauffeur après avoir reçu cent dollars comme l'avance, il se mit à conduire vers le village nécessaire avec plaisir. Les parents furent prêts à partir en étant mécontents non seulement à cause de ça qui fut arrivé, mais aussi parce qu'Albert refusa à rouler ensemble. Dès qu'ils ont quittèrent le village, ils virent une voiture en direction opposée. Il parut que le même vieillard qui aidait à leur fils faire guerre contre l'institution d'État, comme si maintenant était-il assis près du chauffeur de cette voiture opposée. Aussi, peut-être que ce n'est pas lui. Ils doutaient. Ils ne suspectaient pas que les captives libérées maintenant roulent derrière eux le long de la route Ouglitch-Moscou.

          À calculation d'Albert, les trois ennemis principals étaient en train de s'approcher du village Veriguino. Il ne fit pas une faute, quand il a choisi un endroit qui est plusieurs kilomètres plus près de Moscou que Veriguino est situé. Dans cet endroit, la route serpentait beaucoup dans la forêt. Il déjà réussit à "grimper" à son appartement avec des fenêtres cassées, à prendre la jumelle. Il les vit, il n'y avait pas des doutes. Il entra en courant à la forêt et téléporta cinq cents mètres encore à la direction de Moscou, au Sud. La tension fut en train d'augmenter. Il sentait maintenant l'épouvantant pouvoir de la téléportation. Ceux-là qui chassaient à lui avant, maintenant transformèrent-ils en gibier sans défense. Dès que la voiture est devenue vue derrière un virage dans la forêt, la grenade dégoupillée immédiatement vola vers elle.  Ils ne réussirent rien à faire. Albert décida de ne pas s'allonger sur le sol, mais au lieu de ça il téléporta en retour cinq cents mètres au Nord et commença à s'approcher à pied. Le virage s'approchait inexorablement, et la scène épouvantable de l'auto brûlant s'ouvrit au-delà de lui. Albert se força venir plus proche non sans peine. Les silhouettes noires de ceux-là qui viennent d'être des passagers il y a quelques minites, ils ne montrèrent plus des signes de la vie. Il ne doutait plus: s'y eut-il une sorte des documents avec informations, tout fut entièrement consumé dans ces flammes? Il sentit un sentiment effrayant, néanmoins, il y avait un prétexte pour distraire. 

          Albert visita trois magasins connus de sport à Moscou, à Saint-Pétersbourg et à Kiev. Enfin à Kiev, il trouva la plus convenable tente à quatre personnes. Après avoir calculé le temps, il occupa un point d'observation. La voiture déjà connue passa bientôt devant lui. Il réussit à lire le numéro de voiture, celle-là est avec les parents. Ils continuaient leur chemin à Moscou. Bientôt, la voiture avec les femmes apparut et s'arrêta. Elles sortirent d'elle après avoir payé. Le chauffeur retourna et s'éloigna. Les amies commencèrent à regarder autour d'eux, soudain remarquèrent-elles Albert avec grand sac à dos. Il tenait aux mains trois autres petits sacs à dos. Il les donna aux trois amies. Ils commencèrent à chercher des voitures à l'ouest direction. Dans demi-heure, ils ont attrapé une. Quand ont-ils atteint l'endroit et ils mettaient la tente sur la neige, il faisait déjà sombre.

          Il devait encore avoir "volé" à plusieurs endroits pour acheter des sacs de couchage. Albert atteignit d'un magasin à Piter jusqu'au plus proche entrée et essaya de là de "grimper" à la forêt avec ce sac, mais il ne réussit pas. Il devait "entrer" dans chacun sac et ainsi il pouvait le prendre avec lui. Lorsque Albert se mit au quatrième sac, un mec qui allait chez lui, entra dans l'immeuble. Après avoir vu comme un homme vêtu complètement et même en chaussures, est debout dans le sac à coucher comme un culbuto, après avoir passé devant lui, il regardait longtemps en arrière, en étant surpris, puis marcha vite chez soi à partager de la nouvelle. Mais Albert n'a honoré personne avec un spectacle comme ça et téléporta à l'instant, quand la porte d'appartement a fermé derrière l'inconnu.

          -Endurerons-nous? - Valia questionna. - J'ai entendu à la radio de nos matons, on a promis jusqu'à vingt degrés au-dessous de zéro dans la nuit.

          -Il sera un peu froid, mais mieux que dans la cave. L'équipement, en particulier les sacs à coucher duveteux sont convenables au gel.

          Valia fut déjà informée qu'Albert est seul et aucun frère jumeaux n'existe. Les remords la tracassaient de nouveau. Aussi Lena était occupée avec les pensées sur sa trahison récemment, de quoi voulait-elle repentir maintenant. Elle voulait demander pardon devant tout le monde, mais elle était timide et ne savait pas comment le commencer. Chacune d'eux comportait de telle manière comme s'il n'est arrivé rien. Mais la plus grande chose de laquelle toutes les trois étaient étonnées, c'était les tours d'Albert de disparition et d'apparition qu'il devait montrer aujourd'hui plusieurs fois.

          -Comment tu le fais? - c'était Sveta la première que demanda.

          -Si tu sais de ça, le désastre mondial s'approchera. L'aventure te manque? Après tout, le but de nos ennemis était d'apprendre, comment je le fais.

          -Ils voulaient apprendre aussi, avec qui es-tu connecté et pourront-ils découvrir des laboratoires secrets s'ils te suivent. Un flic recruté témoignait dans un de leurs appartements secrets, comme si un vieillard détenu dans autres villes disparaissait plusieurs fois des cellules, mais les portes et fenêtres restaient sans être endommagées. Aussi au lieu de son devoir dans la station de métro "Komsomolskaya" à Moscou, plusieurs passants avaient été assurés qu'ils avaient vu un semblable vieillard savant comment être invisible et une sorte des cas étranges connectés avec lui avait lieu.

          -Je te félicite, fille courage, coquine et disponible! Maintenant es-tu notre agent. Et tu n'as plus raison de retourner aux ennemis.

           Deux autres amies furent surprises après avoir entendu l'étrange appel comme ça. 

          -Pardonnez-moi pour tout, - Lena enfin pouvait prononcer.

          -Punirons, puis pardonnerons, - Paul vint et dit en souriant. - C'est ça, les filles. Pendant quelques jours devez-vous habiter la forêt. Quand tout sera un peu plus calme, je vous maquillerai de telle façon vos mères ne pourraient vour reconnaître. Après tout, j'étais un acteur et je sais le faire. Et vous roulerez par train dans un endroit sûr dans un seul compartiment. L'appartement est déjà prêt pour vous.

          -Est-ce que maintenant dois-je me cacher pendant toute la vie? - Valia demanda.

          -Est-ce que vous voulez être emprisonnées? Ils peuvent vous forcer travailler pour eux au lieu de prison. Et quand ils cessent d'avoir besoin de vous, ils vous ne tueront pas de la manière ouverte, comme Kashin voulait, mais ils peuvent sans bruit soit simuler un accident, soit fabriquer une affaire criminelle. Est-ce meilleur de votre point de vue? Ne soyez tristes, mes belles. J'essayerai que vous ne deveniez pas des réfugiées éternelles. Aussi son Nadia est chez moi, - il pointa à l'Albert. - Il y a une amie encore. Tu seras d'accord avec elle, c'est exact, - il cela dit en souriant et en tournant à Sveta. - Alik, soit cela serait une surprise pour elle.

          -J'ai compris, - Albert dit et sourit.

          Tout le monde commençait à cueillir des broussailles et alluma un feu de camp assez vite.

          -Alors, maintenant il sera plus amusant, - Valia dit et dès qu'elle pensa proposer de chanter, la voix de Sveta interrompit tout eux:

                    Une étoile inconnue brille.

                    De nouveau c'est loin de domicile.

                    Malgré ça j'essaye d'être tranquille.

                    Encore entre nous beaucoup de villes.


          Et tout le monde rejoignit à chanter toute de suite. Au bout de la chanson, un sentiment de joie envahit chacun d'eux. Albert appela le vieillard à s'écarter et partagea une pensée:

          -J'ai tué les quatre aujourd'hui, j'ai explosé les trois par grenade avec leur voiture et l'un d'eux à l'aide du fusil d'assaut dans le dos, et je suis une surprise pour moi-même: je chante des chansons avec les filles, comme si de rien n'était.

          -Tu n'es pas un criminel, mais un guerrier. Et nous avons vaincu aujourd'hui. Tu as reçu ton premier baptême du feu. Donc tout est naturel.

          Ce temps à Moscou Paukov, déjà fut-il en courant de la mort de Kashin et de deux participants de son aventure. Kovalev était assis dans son bureau et tremblait comme une feuille de tremble. Le général était en train de marcher aller et retour et d'exclamer: 

          -Imbéciles! Ils les ont explosé comme des cons et toutes les informations ont-ils mené dans le néant avec eux! À quoi bon avaient-ils  besoin d'agacer celui-ci qui possède grandes forces?! Est-ce qu'ils ne pouvaient pas se faufiler d'une manière silente? Il pouvait exploser demi-Moscou à cause de ses putains! Et je vois que tu veux ça! Tu es un con, car tu as proposé de répandre les photos d'elles comme des criminelles dangereuses!

          -J'avoue ma culpabilité, oncle Kecha.

          -Je ne suis aucun oncle mais le camarade major-général!

          -Oh!.. Qu'est-ce que c'est... sous la table!

          -MERDE DE CHIEN!!!

          Le vieillard Paul après avoir apparu de rien sans témoin, en chancelant de rire était-il en train de s'approcher de sa maison de Sibérie.


Friday, February 4, 2022

Chapitre VIII. Pêcher en eau trouble. La téléportation. Partie II.

           Le lendemain, Albert visita les appartements de toutes les trois amies de Nadia et ne trouva personne dans tous les trois. En propre appartement faisait-il du vent et la température était près de nulle. Dans l'appartement de Sveta faisait-il froid aussi. Personne n'avait raccommodé les fenêtres brisées avec les crosses d'armes.

          -Il n'y a personne chez soi, toutes les trois. Peu probable que ce soit une coïncidence. Il y a quelque chose qui cloche, - Albert fit conclusion après être revenu du voyage court. - Spécialement si garder à l'esprit qu'est-il le matin tôt à Moscou maintenant.

          -Et je ne doute pas en cela, - le vieillard répondit. Comme un connaisseur, comme un analyste, essaye de calculer, chacune des parties comment agira-t-elle? Puis j'ajouterai mes propres observations si elles diffèrent. Si je tirais ce crétin Tolik d'un pétrin qui est rentré là-bas de nouveau et a péri, grâce à sa bêtise, repose en paix, quant à ces femmes, c'est mon devoir de sauver toutes eux.

          À ce moment-là, Olesya promenait avec ses skis neufs. Tout le reste essayait de ne se souvenir pas les évènements moscovites en présence d'elle, pour ne pas trop en dire accidentellement sur la téléportation.

          En cours de l'évacuation de Nadejda, Paul dit auparavant à la caissière à la gare Novossibirsk, où il avec Olesya, tous deux planifiaient de retourner à Krasnoïarsk. Il avait payé à elle bien et immédiatement avait téléporté chez soi, s'est mis au chemin avec Olesya, en l'emmenant de la maison, sans que les voisins les vissent. Au bus, où les habitant locaux pouvaient être, ils avaient décidé de faire semblant comme s'ils ne se connaissaient l'un l'autre. Seulement, après prendre le train Krasnoïarsk-Tachkent ils avaient cessé de cacher le fait de l'environnement qu'ils voyageaient ensemble. Leur visionnage de celle-là vidéocassette funeste, aussi leur voyage à Novossibirsk, c'étaient des exceptions. En reste des cas, Paul essayait de ne la pas initier à ses affaires, parce qu'il avait peur pour elle.

          Nadia ne pleurait pas, mais fut dérangée malgré cela à cause de la disparition des toutes trois, surtout de Lena. La dernière travaillait pour le département formé illégalement, les organisateurs de laquelle étaient en courant de toutes conversations d'elle après les avoir enregistrés de la façon secrète. Et ils bien savaient qu'il serait impossible d'apprendre d'elle quelque chose de plus et bientôt ils cesseraient d'avoir besoin d'elle. Elle ne travaillait pas à la cantine depuis longtemps, mais elle faisait semblant devant les amies comme si elle continuait à travailler là-bas. Quand elle disait à elles qu'elle était au travail, c'était la vérité. Le mensonge était le fait dans quel travail était-elle.

          Deux heures se sont écoulées.

          -Et quoi? - le vieillard questionna.

          -Beaucoup de versions. Il y a l'embarras du choix. Dans quelques heures peut-être que puisse-je les transformer en forme commode à comprendre, néanmoins, cela aura l'air d'une équation à beaucoup d'inconnues. Il serait bien à obtenir une information de plus. Je dois y aller de nouveau

          -Il faudrait examiner, y compris, les boîtes aux lettres de toutes les trois.

          -C'est vrai, - approuva-t-Albert. - Et il ne serait pas quelque chose de superflu si je suis assis dans chacun appartement, y compris le mien, à peu près dix minutes. Peut-être un téléphone sonnera ou quelqu'un visitera, les voisins demanderont quelque chose - n'importe quelle chose pareille donnerait une sorte d'information. Il serait mieux le faire à deux. Tu prends deux appartements et moi les deux autres. Pour plus rapidement.

          -Visite les appartements par seul - le vieillard répondit. - Car dans ce temps, je peux "grimper" aux institutions, où tu ne peux pas entrer. Bureau de Paukov, par exemple.

          -Après tout, c'est vrai!

          Albert fut assis en vain dans chacun appartement dix minutes, exactement jusqu'à seconde. Il n'y avait rien aux boîtes aux lettres aussi. Le sien appartement froid il examina en dernier tour. Mais il y avait une sorte de note dans la boîte aux lettres. C'était un télégramme de trois mots: "sauve toutes disponible". C'est déjà quelque chose.

          Albert comprit tout de suite qui est l'auteur du télégramme: "une fille courage, coquine et disponible". Et ce télégramme ne pouvait être un piège, parce que n'invitait personne nulle part et ne donnait aucune information sauf la principale: la pire version fut confirmée. Il était vu que Lena avait décidé qu'une action de la manière comme ça serait moins dangereux et fut attrapée. Kashin et la compagnie, ils ont compris qu'elle se tourna contre eux et la fermèrent quelque part. Ils la pouvaient déja éliminer, mais personne ne voulait penser comme ça. Si elle est vivante, donc soit l'élimination d'elle avait été difficile de la façon technique, soit ils planifiaient de l'utiliser comme un otage et appât. C'était la raison pour laquelle ils n'avaient pas intercepté le télégramme envoyé avant-hier de Moscou. Cela signifiait que Lena n'est capturée quelque part chez eux que deux journées et quant à Valia et Sveta, elles furent capturées plus tôt. Lorsque Albert revint et partagea des informations maigres, le vieillard affirma ses suppositions mais il était déçu, parce qu'il n'avait réussi à l'apprendre quelque chose ni dans le bureau de Paukov, ni aux endroits de l'apparition probable de Kovalev, où Paul, avait-il préparé les "points d'apparition" sous des tables, ni dans les appartements de tous trois chefs d'organisation criminelle situés près de métro "Studentcheskaya", ni même dans les appartements secrets.

          -Ce n'est pas une surprise que nous n'avons pas réussi à l'apprendre quelque chose d'important pendant une si courte période, - Albert a fait la conclusion. - Tout le monde a beaucoup d'autres affaires et ils peuvent simplement être assis dans ses bureaux et garder le silence pendant beaucoup d'heures. J'ai une idée! Il faut les provoquer à bavarder et il paraît, je sais comme le faire.

          Le vieillard n'avait rien contre le plan inventé par Albert. Ils tous deux rirent lorsque Albert le rapporta à voix haute. Il seulement conseilla à l'Albert de réfléchir tout plus soigneusement, c'est-à-dire, "mesurer" plus fois avant que "couper". Après tout, quant aux adversaires, il est possible application des réactifs chimiques à marquer un objet voulu, même les flics ont des choses pareilles. Il est probable aussi l'application des petits émetteurs qui émettent un certain signal à être au courant de localisation de l'objet, pour découvrir tous les endroits de son apparition probable et enfin, il est possible l'application des substances radioactives. L'opportunité dernière est assez dangereuse pour la santé, c'est pourquoi peu probable, mais il ne faut pas l'exclure complètement. Ils peuvent être prêts en cas de l'apparition de l'objet voulu vite et il est possible une application des mécanismes spécifiques à l'attacher soit au corps soit au vêtement d'une sorte de vilenie. Ce que peut avoir lieu, y compris, mais c'est extrêmement improbable, ce serait une embuscade militante avec armes à feu et les crans de sûreté ne seraient pas enclenchés et ils auraient un ordre de tirer pour tuer en cas des tours et merveilles. Néanmoins, il faut prévoir tout qu'est possible.

          Albert décida de commencer à l'agir dans le magasin de l'alimentation qui est nommé Gastronome #40 et il est situé dans une construction des immeubles tristement célèbres à Loubyanka. Pour agir sans attirer l'attention avant, d'abord décida-t-il de ne mettre aucun masque, mais il acheta auparavant une veste ordinaire, mais relativement bon marché et chaude et un pull-over bon marché, en prenant exemple sur les meurtriers de Tolik.

          Dans le "gastronome #40", une caissière du rayon de vin fut en train de converser avec enthousiasme et douceur avec un client habillé cher mais sans goût. La caissière rallongeait le processus du service pernicieusement, elle comptait le changement lentement. Il paraît que ce ne fût pas un flirt, simplement une bonne personne est venue. Il y avait déjà une queue formée de trois personnes derrière lui, qui furent en train d'attendre de la manière obéissante, en gardant le silence, mais avec irritation cachée.

          Soudain, un d'eux sortit le col de pull-over sous la veste et couvrit la partie du visage avec lui jusqu'au nez. Puis il s'approcha de la caissière sans ménagement, fit à elle un bisou court sur les lèvres à travers le pull-over, il l'entoura par le bras droit et à la fois il saisit une liasse d'argent par le bras gauche. La somme d'argent équivalut d'environ bons salaires pour cinq months. La caissière cria fort, tout le monde stupéfia, mais Albert cria plus fort: "au feu!" et commença à grimper en haut sur la crémaillère, en cassant une partie de bouteilles du vin qu'il y avait. Tous tournèrent les têtes au côté du "spectacle", mais le fauteur de troubles soudain disparut devant tout le monde.

          Néanmoins, l'argent perdu et les bouteilles cassées étaient assez réels, et il serait impossible de poursuivre des spectres en justice pour indemnisation des dommages d'eux. La foule rassembla. Une équipe opérationnelle est arrivée, les membres de laquelle étaient tous en civil, mais tous les témoins au total disaient une sorte des conneries. Au cas où, ils demandèrent les signes du perturbateur et commencèrent à vérifier des documents prés des portes des entrées. Bien sûr, tout ça fut en vain.

          Les entrées toujours étaient bloquées, mais le cri et bruit retentirent de nouveau dans la salle. Encore quelqu'un d'invisible sauta du "non-existence", ce fut un homme avec le visage couvert par le col du pull-over, enleva une liasse d'argent et comme si... a dissous en air. Le chef de l'équipe opérationnelle déjà consultait par radio avec ses supérieurs qu'une sorte de diablerie se passe et ne cesse pas dans le magasin d'alimentaire, malgré le fait que toutes les entrées sont bloquées. À cause de ça, il n'est pas assez de personnels, car il a grand besoin d'eux non seulement dehors, mais au-dedans aussi. Il a besoin des spécialistes, parce que tous les témoins sont des gens civils et en étant sans connaissances spéciales ils donnent des preuves stupides. Hauts gradés de la milice commençaient à se rendre compte que ce qui se passe, cela va au-delà de leur compétence, et ils peuvent maintenant en toute bonne conscience charger le FSB avec ce mal de tête.

          Les agents de l'équipe et beaucoup des personnes curieuses erraient le long du magasin, tous animés, ils échangeaient des impressions sans compter la dimension troisième, c'est-à-dire, l'altitude. Soudain ils entendirent un cri de hauteur:

          -Tous vous! Regardez ici. Regardez ici, - un psychopathe cria de haut, on ne sait comment et quand il a réussi à grimper au lustre. - Écartez-vous tous! Il va être une explosion et feu tout de suite!

          Une bouteille de champagne tomba de haut, a été cassée avec un son fort et immédiatement il y eut une odeur d'essence. Un faisceau brûlant jeté de haut enflamma la mare. Tout le monde réussit à sauter à la distance de sécurité de cet endroit. Les coups de feu vers la haut retentirent, mais le "héros du jour" déjà n'y fut pas depuis longtemps. Certains visiteurs eurent peur et se précipitèrent à la sortie. Mais la quantité des clients pareils ne fut pas grande et les bousculades que furent formées aux portes grâce à eux ne furent pas dangereuses. Certains d'entre eux étaient ravis, mais ils eurent honte de ça et cachèrent cette émotion comme ça. Leur joie était naturelle: où et quand pourrait voir un spectacle pareil gratuit, tels "feux d'artifice"? Il n'eut pas de victimes. Le feu fut étouffé vite avec extincteurs. Les flammes se propagèrent nulle part. Il ne fut brûlé rien que petite quantité d'essence sur le plancher en pierre, moins qu'un litre. Malgré cela il y eut beaucoup de fumée, mais beaucoup de monde ne voulait pas quitter le magasin, en ayant un désir d'observer ce qui arrivera après.

          Dans une laiterie de la rue Sretenka à cet instant, un homme dans la veste de cuir demanda une vendeuse, comment s'adresser à la gérante par prénom-patronyme. Parce qu'il va montrer et probable vender un tapis en peluche qu'il apporta de Bacou. Après cela, il passa aux locaux sans obstacles, mais il se dirigea pas à la gérante mais s'approcha au groupe des chargeurs qui furent assis dans leur salle du personnel. Ils bavardaient et racontaient anecdotes l'un à l'autre.

          -Hey, mec. Remets à sa place mon peignoir. D'où es-tu arrivé, tel impudent? Si tu es un débutant?

          Après cette réplique, tous se tournèrent au moujik qui mit la tenue de travail qui ne lui appartenait pas, mais il disparut devant tout le monde, après quoi une scène longue et muette fut formée.

          Dans quelques minutes à l'autre endroit, encore près de Loubyanka, quelqu'un fut en train d'entrer en librairie, à juger de vêtement, ce fut un travailleur. Il portait en mains un grand tas d'une sorte des déchets, où il y avait le carton, le papier, les planches. Il monta à deuxième étage. Personne ne l'arrêta. Même dans l'entrée quelqu'un aida à lui un peu à tenir la porte. On ne savait pas quelle tâche pouvait être donnée soit à un chargeur, soit à un balayeur. Seulement lorsque à deuxième étage jeta-t-il le tas sur plancher, la vendeuse lui cria dessus:

          -Qui vous a donné la permission d'y jeter des déchets? Qu'est que faites-vous? 

          -Je fais un feu de camp? N'est-ce pas possible?

          Elle seulement alla crier: "Milice! Un fou dans le magasin!" Mais elle stupéfia épouvantée en voyant le "Walter" dirigé à elle.

          -Pas peur. Vous ne serez pas brulées. Même vous avez un peu de temps à l'admirer ces feux d'artifice. C'est si beau! - Albert prononça à voix bas, en souriant et en versant une mixture inflammable sur le tas. Il mouilla un petit bâton de bois, l'enflamma et jeta au tas. Après cela, il se jeta dans le centre des flammes ragées et disparut en lui.

          -Au feu! Feu à l'étage! Le tumulte qui commença en haut, comme s'il affirma cette nouvelle de panique, néanmoins, une continuation étrange suivit:

          -Qui va arriver tout de suite! Tous regardez ici! Vous! La foule mesquine! Les cadavres! Le bétail! Y a-t-il au moins seul être vivant et humain entre vous? Ou tous vous êtes des zombis soviétiques?

          Dans quelques minutes, tout le monde regardait à l'Albert de la manière indignée, presque tous qui se trouvaient dans cette salle et peuvent voir sans obstacles.

          -Connard! - la mauvaise voix de quelqu'un sonna. Mais le perturbateur disparut devant tout le monde de nouveau.

          Bientôt les vendeuses et les clients sont sortis en courant dehors. À cause de la foule accumulante dans la rue, un embouteillage commença à se former, mais non pour longtemps. L'immeuble fut sauvé, pourtant, le service d'incendie devait beaucoup travailler.

          Dans demi-heure de plus, toutes les informations de ce que se passait  aux magasins voisins atteignirent Paukov. Juste au cas où, il contacta Kovalev.

          -Gricha, s'occupait quelqu'un avec les phénomènes paranormaux ce dernier temps? Sauf Kashin?

          -Moi, oncle Kecha, je n'ai l'entendu pas même vaguement, peu probable.

          -Si tu parles, donc assez probable qu'il ne va que comme ça, pourtant...

          Maintenant, le téléphone voisin sonna sur la table. Paukov décrocha avec irritation. 

          -Attention! L'argent volé par moi en "gastronome #40" et en "Monde de livres" brûlant est dans l'appartement de Kashin. Je répète: l'argent volé par moi en "gastronome #40" et en "Monde de livres" brûlant est dans l'appartement de Kashin. Je répète...

          -Imbécile! Il a joué un jeu avec sa diablerie! - cette phrase fut laissé courir de général de FSB. - Gricha, attends un peu, j'ai des messages de toutes parts. N'interromps pas la connexion.

          Il raccrocha le téléphone qui répétait toujours comme un disque rayé. Puis il sortit le radio de la table, déplia l'antenne. Quand il se fut penché, il parut qu'une sorte d'ombre apparut et disparut sous la table massive de chêne qui le forsa jeter un coup d'œil de nouveau pour être sûr qu'il n'y a personne.

          Il ne pouvait toujours obtenir la réponse de l'éther, mais enfin, l'insistance vainquit. Après avoir entendu l'indicatif de Kashin prononcé avec la voix inquiète, Paukov l'interrompit tout de suite:

          -Camarade Kashin, quelle est votre tâche dernière?

          -Ce type, le contrebandier de la Suède, c'est-à-dire, le Roi Noir.

          -Avez-vous réussi à obtenir quelque chose?

          -Les collègues sont en train de travailler. Si vous avez besoin du rapport exact, je peux maintenant demander de l'éther et les plus fraîches informations donner à vous.

          -Je vous crois. Vous travaillez bien, je voudrais dire même bien trop. On parle: "on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs". Pourtant nous avons non seulement œufs cassés, mais la poêle et la cuisinière sont cassées aussi.

          -Vous dites de quoi, Innocente Nikolaïevitch?

          Paukov continuait sans faire attention à sa prétention:

          -Les choses pareilles ne faut-il faire qu'avec nous. Vous avez toujours l'opportunité d’améliorer la situation. Nous pouvons même aider, donner un statut officiel à votre activité. D'ailleurs, votre objet maintenant, nous savons qu'il s'appele Albert, il est devenu incontrôlable. En utilisant ses capacités, il pille et met le feu aux magasins au centre de Moscou, effraye les gens. Je vous appelle vers moi de toute urgence. Ce problème n'est pas pour l'Éther. Vers trois heures pouvez-vous venir?

          Après le silence court il y eut la réponse:

          -J'essayerai. À vrai dire, j'arriverai exactement!

          -J'attends. Et prenez en compte: si vous avez commis en processus de votre activité des actions qui peuvent dénigrer notre service, révolter des gens, s'il vous plaît, faites amende honorable. J'espère que vous n'ayez pas commis de bêtises avec conséquences irréversibles?

          -C'est exact!

          -Très bien alors. D'ailleurs, je vous attends.

          Après avoir le dire, le général éteignit le radio et le mit sur la table sans oublier à cacher l'antenne. Soudain Kovalev entra.

          -Pardon, oncle Kecha. Il y a d'informations intéressantes. La position de Kashin est repérée. Il se trouve deux cents kilomètres au Nord de Moscou.

          -Peut-on plus exactement?

          Kovalev s'approcha de la carte pendue sur un mur et passa un cercle avec le doigt. Le général s'approcha de la carte aussi.

          -Oh. Décevant. Radius à peu près vingt kilomètres. Et je ne crois pas que dans une ville. Il n'y a pas de nos branches subordonnées à Kashin. Nous devons être en courant, quelle sorte de bordel il a organisé là-bas.

          -Oncle Kecha, vous n'avez rien dit à lui sur les femmes. Ils sont sur le point d'éliminer celle, la rousse.

          Le général jeta un coup d'œil à Kovalev, soit interrogatif, soit condescendant et après une pause qui rendit le collège subordonné en confusion, il prononça:

          -Mon cher Gricha, nous avons besoin des informations. Quant au moyen avec lequel sont ces informations obtenues... en tout... tu m'as compris. Si Kashin crée des problèmes, il les devra résoudre. Nous n'avons aucune culpabilité et nous pouvons avec pure conscience... - le général comme si cherchait un idiome approprié.

          -Nous nous en lavons les mains, est-ce correctement oncle Kecha?

          -C'est bon que tu sois tel compréhensif.

          -Soudain Kovalev se précipita vers la table et se pencha.

          -Qu'est-ce qui ne va pas?

          -Il me vient de paraître que quelqu'un soit assis là-bas.

          -Tu as besoin du repos, Gricha. Tu es fatigué de travail. Et encore... - Paukov se souvint soudain qu'il lui-même remarqua récemment une sorte de silhouette sous la table. - Qu'est-ce que tu viens d'y voir?

          -Voilà....D'abord un paquet ressemblant une sorte d'un vêtement, je n'ai fait grande attention. Néanmoins, après avoir jeté un coup d'œil plus attentif, comme si un homme, mais il a été dans une position inimaginable. Il ne peut qu'un Yogi de niveau avancé pourrait être assis comme ça.

          -C'est la dernière chose dont nous avions besoin. Ne sois pas trop sincère avec les collègues à l'égard de cette chose. Cela peut endommager ta réputation. Il faut réfléchir. Il n'existe pas tel poison, contre lequel il n'y serait aucun antidote.

          À cette heure-là, dans la taïga de Sibérie loin et toute en neige, un homme apparut "de rien" au bord d'un village et se précipita au village presque en courant, entra à la maison.

          -Et quoi, - Albert questionna avec impatience.

          -Kashin se trouve deux cents kilomètres au Nord de Moscou. Le rayon de la plus probable localisation est à peu près vingt kilomètres. Paukov est en courant de tout, même sur Lena, - le vieillard rapporta avec essoufflement. Puis il dirait en detail tout ce qu'il avait entendu et finit avec les mots: Tu vois? Nous sommes en train de réussir bien: Tu as troublé l'eau. J'ai attrapé le poisson.

          -Attends, attends, - dit anxieusement Albert en appuyant sa main droite sur son front. N'est pas leur "localisation probable" dans la maison de vacances de mes parents?

          -Sois prudent! As-tu des points, où tu pourrais "émerger" à la distance non grande de cette maison?

          -Oui.

          -En aucun cas, n'apparais pas au-dedans immédiatement. C'est non seulement dangereux, mais aussi cela peut compromettre l'opération.

          -Je me rends compte.

          -Eh bien, avec Dieu!

          Albert "émergea" cinq cents mètres de la maison de vacances et se met en marche vers elle. Au lieu de clôture habituelle, la maison était entourée avec clôture neuf, aussi de bois, mais haut et aveugle. Il sursauta brusquement. À deuxième fois, il a réussi à saisir la partie haute de la clôture, il remonta. En collant par les pieds à la clôture il remonta plus haut encore et enfin il appuyait les deux mains à la clôture sur le dessus. Il n'y avait changé rien au-dedans. Seulement un agent de sécurité avec fusil d’assaut marchait le long de cour aller et retour en tenue de camouflage. Il remarqua Albert tout de suite et cria de la façon menaçante:

          -Où grimpes-tu, bouc?

          -Cette maison n'est pas la vôtre. C'est des vieils gens qui l'habitent.

          -Et je garde cette maison des types pareils comme toi. Y a-t-il des questions?  

          Au lieu de réponse, Albert sauta retour, dans la neige.

Sunday, January 30, 2022

Chapitre VII. Olesya. La téléportation. Partie II.

           Le lendemain, le jour de quatre-vingt-quinzième anniversaire de l'ami de tel grand âge, tout le monde était en train de se reposer, de boire du thé et de la bière, d'écouter la music, de regarder des films de videocassettes. Albert réussit à "voler" aller et retour en New York la nuit à l'acheter la fraise. Olesya mangeait la fraise et était surprise: où a-t-il trouvé la fraise au coin perdu de la région de Krasnoïarsk en novembre? Elle déjà croyait sérieusement que son vieil amant était un magicien. Elle se souvint sans savoir pourquoi, qu'un jour Jésus-Christ avait nourri d'une manière merveilleuse cinq mille personnes. Le vieillard racontait déjà sincèrement et sans timide à Nadejda et il avait dit à l'Albert plusieurs jours avant qu'il fouettait son Olesya presque chaque jour. Outre d'un certain divertissement, cela favorisait à l'apprentissage réussi de la jeune fille.

          Le vieillard avait fait la connaissance avec elle dans la rue en été de l'année dernière. Il faisait froid et elle avait été assise triste dans une cour d'une petite ville située à l'Abakan branche du chemin de fer.

          -Alors, malicieuse fille, veux-tu recevoir d'une fessée avec ceinture? - il avait plaisanté de la façon, comme d'habitude plaisantait-il avec des filles rencontrées par chance. À la fois, il examinait toujours leur réaction à ses mots. Cette fois, cela avait l'air comme s'il avait fait mouche.

          -Si tu me nourris, tu peux me fouetter autant que tu veux et il n'y a qu'une seule condition: je dois être attachée. N'est-ce pas que tu vois qu'il fait froid et je suis fatiguée? 

          -À recevoir cela, tu devras aller par train longtemps et après secouer en bus pendant six heures.

          -Peu importe où aller. Emmène-moi loin d'ici.

          Comme d'habitude, il était étrangement habillé. Voyager avec jeune fille, en avant une apparence pareille, cela pouvait éveiller les soupçons.

          -Dans ce cas, attends près de cette entrée, mais n'entre pas au-dedans.Je me changerai, sortirai et nous nous mettrons en chemin. Dans une heure et demie, un train local ira à Krasnoïarsk.

          -Pourquoi ne peux-je pas entrer, même sur l'escalier? J'ai très froid.

          -Sois patiente encore cinq minutes. C'est nécessaire. Et l'appartement ne m'appartient pas. Comme peut-ce être? Tu n'as pas peur de ceinture, mais tu as peur de froid.

          -La fessée et le froid, c'est des choses assez différentes. Il serait mieux que je sois fouettée trois fois par jour, pourvu que ces gredins ne soient pas près de moi.  

          -Pourtant, je supposais que tu t'es enfuie de chez toi, car on t'a fouetté.

          -Je n'ai pas des parents. Je suis d'un orphelinat.

          -Attends. Je reviendrai tout de suite? Tu pourras raconter sur ça après. Paul entra dans l'entrée en courant, après abandonner la fille seule dans la rue froide, téléporta vite chez lui, se changea et retourna aux étages supérieurs du même escalier. Son amie neuve sanglotait cachant son visage au radiateur du chauffage qui ne fonctionnait pas en été froid.

          -Eh bien, qu'es-tu? Tu pensais que j'aie trompé?

          Elle se tourna à lui, sourit à lui à travers ses larmes, prit lui dans ses bras et commença à l'embrasser et sanglota de nouveau. Fais-moi tout que tu veux, pourvu qu'emmène-moi de ce lieu. As-tu vu? - elle soudain cessa de pleurer. Je te n'ai pas obéi et suis entrée à l'immeuble contre ton ordre. Fouetteras-tu moi pour ça?

          -Oui, si tu le veux.

          -Je veux que tu m'emmènes et caches.

          -Dans ce cas, allons à la gare.

          Il faisait du matin. Il n'arriva avec son amie neuve qu'en pleine nuit.  En étant faim comme un loup, elle dévorait des spécialités américaines avec passion et s'endormit directement à table. 

          Le lendemain, pour des raisons de sécurité, il ne la emmena pas au bain, mais après avoir chauffé de l'eau à l'aide d'elle directement dans la maison, il la baigna.

          -Maintenant, habille-toi. Sois un peu comme ça, un peu après, je te donnerai des fringues neuves.

          -Après tout, tu as promis.

          -Quoi?

          -De fouetter-moi.

          Paul n'avait jamais supposé qu'après la téléportation, le destin puisse le gratifier si largement en deuxième fois. Enfin, il réussit à se rendre compte que la fille ne plaisante pas, quoiqu'elle essaye de représenter tout ça dans la forme badine.

          -Alors attends-moi un peu. Je viendrai tout de suite.

          Après être sorti au-delà de la porte, il téléporta immédiatement au centre local et y acheta la corde à sauter. Il revint si vite que la fille toujours ne mit pas les culottes après bain. 

          -Oh, tu as la corde à sauter! Dans l'orphelinat on nous emmenait pour les fautes différentes à la salle des professeurs et fouettait par la corde à sauter pareille.

          -Et tu as fui à cause de ça, n'est-ce pas?

          -J'ai fui... je te raconterai après.

          -N'as-tu pas peur?

          -Un peu.

          -Allonge-toi sur le lit. Pour que tu saches mieux que peut-on demander et qu'on ne peut pas.

          Olesya baissa la tête et s'approcha lentement du lit, se laissa lier avec obéissance. Le vieillard la fouettait longtemps, mais pas très fort. Quand elle commençait à crier fort, il s'arrêtait et exigeait pour prendre l'oreiller dans la bouche. Puis il enleva tout son vêtement et la posséda sans la libérer des cordes. Le vieillard en âge presque un siècle, tomba amoureux d'une fille de quinze ans comme un garçon. Qu'est-ce qu'est le plus précieux qu'il pourrait perdre dans cette vie? Il n'y a que cette maison. Car si elle court maintenant à l'appeler les voisins, la Milice, il devrait parcourir le monde et ne revenir jamais dans cette région. Il planifiait auparavant de trouver un asile quelque part dans un pays chaud où il n'y a jamais d'hiver et passer là-bas le reste de la vie. Il ne perdra rien. Mais il a commis un péché, voilà ce qu'est le pire. Ce problème est bien plus difficile à la résoudre.

          Mais dès qu'il l'a délié, elle commença à lui avouer son amour si expressivement et pathétiquement que tous les doutes disparurent. Il n'y a l'aucun péché. Cela n'avait été que l'amour. L'amour réel! Le cadeau de Dieu et ce serait le péché de le refuser. Olesya était  très heureuse, surtout lorsqu'elle apprit que maintenant pouvait-elle habiter la maison de son amant neuf et réel, longtemps sans limite. Elle essayera d'étudier bien. Elle la punira souvent et douloureusement. Elle sera sa maîtresse en même temps. Avant, elle ne pouvait que rêver d'une vie comme ça.

          Quant à ses parents, elle ne les se souvenait que vaguement. Une sorte de chambre. Une balançoire avait été pendue sur le pas de la porte entre deux chambres. Une fois petite Olesya tomba d'elle, avait pleuré et eu peur et solitaire. Et toute de suite, une femme gentile était venue en courant, Olesya la nommait "maman". Elle la prit, caressa, consola et tout devint si bien et heureusement! Cette vie-là devint comme un vague rêve qu'elle avait vu depuis longtemps. Elle ne vit plus les gens gentils comme ça. Il n'y avait plus rien de gentil et agréable que le soleil au printemps, l'herbe verte en été et les arbres au parc où elle venait d'habitude à pleurer comme devant un ami. Elle croyait qu'il y a une sorte de grand Ami au-delà de tout ça, un seul Ami qui l'entend et comprend. Il est gentil et bon comme la maman du "rêve" enfantin et maintenant loin. Il est désolé quand elle fait quelque chose d'incorrect et tôt ou tard aidera-t-il à quitter la maison sans bonnes personnes où il n'y a que des ennemis et sots. Bien sûr, c'est impossible de voir cet Ami, mais Olesya ne doutait pas qu'il existe.

          Personne ne disait à elle sur ses parents. Seulement ces derniers temps, des rumeurs ressemblées à la vérité commencèrent à l'atteindre. Comme si son père fut emprisonné pour "viol l'ordre social". Ces temps-là beaucoup de monde furent emprisonnés pour le "viol l'ordre social" et très souvent injustement. Sa mère bientôt s'est jetée dans la rivière dans un accès de désespoir. Personne ne réussit à la sauver. Aussi elle entendit, comme si son père commis des délits terribles après être sorti de la prison, comme si plusieurs meurtres avec démembrement de cadavres pour venger, néanmoins, peut-être tout ça n'est qu'une exagération.

          Olesya était une élève diligente et douée, mais en étant, y compris, une "malicieuse fille", elle réussissait à mériter parfois une fessée dans la salle de professeurs. D'abord comme tous les enfants, elle avait peur et évitait de cela. Néanmoins, assez vite commença-t-elle à trouver dans châtiments pareils soit quelque chose d'agréable, soit quelque chose de sublime et d'inexplicable. Même une personne adulte ne pourrait pas donner à ce phénomène une explication claire. Elle ne partageait ses idées avec personne et ces idées ne la chargeaient point. En journée, c'était oublié entre les jeux et leçons. Ce n'était que le soir se souvenir agréable, comme elle avait été fouettée il y a un mois, comme elle hurlait de la douleur et demandait pardon. Elle voudrait y compris que le professeur de chant la fouette, mais il n'était jamais chargé avec travail pareil. C'était une femme de ménage, toujours mécontente, à qui donnait-on les ordres de fouetter les enfants délinquants en présence du chef enseignant, c'était une maigre femme à lunettes qui avait autour de 40 ans. Fantasmant le soir au lit sur les sujets pareils, Olesya planifiait, comment mériter une punition neuve.

          Ainsi, elle reprenait souvent la culpabilité des autres, de ses amies et même des garçons. Aussi elle-même violait souvent l'ordre sévère. Il paraît, après avoir acquis une réputation d'une sorte de fille malicieuse, en reprenant la culpabilité des pairs, elle doive être aimée par tout le monde, au moins dans cette classe. Mais il fallait croire que non. Elle a osé différer. Elle a osé fantasmer sur des choses, sur lesquelles le reste ne fantasmait pas. Ce n'étant pas une question de sexe de tout. Elle ne partageait avec personne ses inclinations sexuelles. Elle-même ne pouvait pas comprendre, pourquoi tout le monde la commença à détester depuis l'âge de neuf ans.

          Elle ne remarqua que deux choses. La première: il n'était intéressant du tout à communiquer ni avec garçons, ni avec filles. La deuxième: elle était reprochée constamment qu'elle "ne sait pas vivre en collectivité". Ce qu'ils voulaient d'elle, personne n'expliquait distinctement et clairement jamais. Pourtant, la solution était très simplement: à expliquait cet état de fait distinctement et clairement, personne n'aura le courage de le dire. Si quelqu'un ose, bientôt il s'avérerait en situation non mieux qu'elle était. Tous ils pouvaient sans doute le sous-entendre, mais ils ne le pouvaient pas prononcer à haute voix. Cela sonnerait  ainsi:

          "Dans notre état, tous les gens sont ordonnés d'être identiques. Personne n'ose différer, mais tu as osé. Tu as l'air comme si tu es plus intelligente que les autres, mais tu dois être comme tout le monde. Même si tu es en train de garder le silence, malgré cela peut-on voir que tu diffères d'eux avec quelque chose. Tu dois faire n'importe quoi, pour devenir comme tout le monde, non seulement de dehors, mais aussi au-dedans, car le monde intérieur d'être humain est aussi vu, quoique non toujours puisse-t-il être interprété à l'aide de mots. Comment le faire, c'est ton problème. Si tu le peux, tu vivras comme tous les gens normals. Si tu ne le peux pas, tu périras. Non tout de suite, mais graduellement. D'abord, sans moyens de subsistance et avec mauvaise réputation. Puis parcourras des prisons ou des asiles de fous. Et notre glorieuse collectivité y contribuera."

          Elle retournait tout le temps aux pensées de soi-même, en cherchant avec diligence que fait-elle de mauvais. Elle cherchait, cherchait ce mal au-dedans d'elle et ne trouvait rien. Il n'y avait que celui-là Ami invisible à qui pouvait-elle se plaindre du destin et demander son conseil. Il n'y avait que Lui avec qui pouvait-elle être sincère, même malgré le fait qu'il ne répondait pas à elle, quoique peut-être il répondît à elle en langue inconnue des symboles et destins. Elle toujours n'apprit pas cette langue. Puis elle commença à deviner que cet Ami soit le même Seigneur. Elle priait à Lui. Un jour elle visita l'église, mais fut déçue. Dieu qu'elle s'imaginait était différent du tout contrairement à l'image créée par vieilles femmes locales. Seulement après, dans quelques années, après avoir lu dans l'Évangile de Jean:  "Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître" (Jean 15: 15) - elle sanglota et se repentit. Jésus-Christ, Il fut le même Ami. Elle reconnaît en Lui cet Ami, avec Qui elle essayait de communiquer mentalement. Tout le monde détestait Lui de la même façon. Un des meilleurs amis le trahit pour être crucifié. Et il expliqua à elle quel est son problème, il y a deux mille ans: "Si vous apparteniez au monde, le monde aimerait ce qui est à lui. Mais vous n’appartenez pas au monde, puisque je vous ai choisis en vous prenant dans le monde ; voilà pourquoi le monde a de la haine contre vous". (Jean 15: 19)

          Elle commença à chercher dans l'Évangile la raison de sa passion inhabitude et ne trouva rien. Elle décida qu'elle n'écoutera plus des gens. Néanmoins, elle était intéressée,  son nouvel ami humain, c'est-à-dire, le vieillard Paul, comment répondrait-il sa question?

          -Tu sais quoi, mon amour que Christ a ces paroles : "J'ai beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pourrez pas les contenir." Si tu ne réussis pas à trouver la réponse à une question, n'oublie pas que Christ a une réponse universelle à toutes les questions: "c’est à son fruit qu’on reconnaît l’arbre" (Matthieu 12: 33)

          Alors à la maison d'enfants, Olesya, méprisée et persécutée par tout le monde, sauf la communication mentale avec l'Ami, elle commença à chercher l'amour, dont tant sont dites en poésie et chantés en chansons. Quand sa situation déjà paraissait sans issue, elle commençait à son tour soudain à se rendre compte qu'il n'y a plus que peut-on perdre et maintenant peut-elle faire tout. En quoi consiste l'amour, à l'égard ce sujet, les filles de classe pouffaient et les garçons chuchotaient aux toilettes, en inhalant la fumée des cigarettes bon marché. Il n'y avait aucune possibilité de comprendre quelque chose. On parlait du même sujet comme du plus grand bien et à la fois, comme de la plus grande abomination avec condamnation et gros mots.

          En voilà un jour, l'une des soirées pareilles du sentiment comme s'il n'y a plus que pourrait-on perdre et d'une certaine "omnipotence" à cause de ça, et comme si maintenant peut-on faire tout, elle se donna à un mec de dix-sept ans qui habitait à côté. À ce moment-là, elle n'eut que treize. Cette chaude soirée, à l'accompagnement des moustiques bourdonnants dans le même parc, elle laissa d'abord la caresser et l'embrasser, puis la déshabiller et déflorer. Elle était bien mais elle manquait quelque chose. "Est-ce l'amour?" - questionnait-elle soi-même et répondait: "S'il n'est pas, alors quoi?"

          Après avoir obtenu ce que voulait, son "amoureux" rapporta vite de la nouvelle "victoire" aux canailles connus. Ils se furent moqués de lui: "Tu as contacté avec une folle. Après tout, elle est loufoque!" Néanmoins, il eut de la rancoeur non envers eux, mais envers elle, et un jour de rendez-vous vint-il soûl et emmena des soûls amis avec lui. Lorsqu'elle se rendit compte de tout, il déjà fut tard. Il déjà fut impossible s'enfuir. Ils la violèrent, chacun à son tour, mais quand ils commencèrent à mettre la bouteille au-dedans d'elle, elle-même ne se souvient de quelle façon réussit-elle à casser la bouteille et couper la gorge d'une des canailles. Il faillit mourir à cause de saignement abondant, l'ambulance vint à temps.

          Les relations anciennes aidèrent au fils d'un ancien boucher du magasin d'alimentaires à n'être pas emprisonné. Aussi Olesya ne fut pas accusée pour la tentative du meurtre, sinon ils seraient forcés montrer cette affaire devant tout le centre régional Abakan. L'affaire fut simplement étouffée. La tentative d'envoyer Olesya à l'hôpital psychiatrique aussi ne fut pas réussie. Il y avait des rumeurs comme si à l'égard de tout qui fut arrivé, un bien connu local défenseur des droits de l'homme a dit quelque chose publiquement à cause de quoi le local psychiatre fut au courant, s'il déclare cette fille schizophrène, il pourrait avoir l'aire ridicule et il décida de ne pas risquer. Elle n'était plus punie à la salle de professeurs. Les adultes arrêtèrent de faire attention à elle du tout. Les filles plusieurs fois l'attrapèrent et battirent, mais pas fortement, seulement pour l'insulter. Les adultes ne voulurent rien même entendre sur elle.

          Avant même de faire connaissance avec celui-là canaille, Olesya économisa un peu d'argent de poche et acheta la corde à sauter. Rarement réussissait-elle à se cacher et s'amuser avec corde, en se fessant. Un jour apprit-elle sur François d’Assise qui avait fouetté soi-même jusqu'à sang, puis mélangeait le sang avec la neige, sculptait des bonshommes rouges de neige et disait: "voilà mes enfants".

          "Cest probable qu'il fut comme moi", la jeune fille pensait. Après ce cas-là, quand les gredins la souillèrent, elle décida qu'elle ne sera contente d'amour que comme ça: fouetter soi-même en souffrant et jouissant à la fois.

          Un jour, une éducatrice l'attrapa par surprise en train de faire ça et à sa grande surprise, elle non seulement la resta sans punition, mais même resta cette affaire sans rendre public devant les pairs. Bien sûr, l'administration, les autres éducateurs et professeurs étaient informés. Ils chuchotaient entre eux d'habitude, à l'instant de l'apparition d'elle, ils se tournaient à elle, en regardant fixement et ostensiblement avec les yeux écarquillés, comme s'ils regardaient à une bête sauvage, puis chuchotaient de nouveau. Quel répugnant air avaient-ils, s'en comportant de manière comme ça! Ils ressemblaient aux pires protagonistes et personnages qu'ils jugeaient mêmes, en regardant les séries des soaps à la télé, ils ne le réfléchissaient jamais. S'ils se rendent compte complètement de leur essence sale, peut-être quelqu'un d'eux se pendrait à cause de répugnance à l'égard de soi-même.

          Un jour les mots de chef enseignant atteignirent ses oreilles: "ce serait si bon si elle se va de nous plus vit! Comme à l'époque de Staline: "il n'y a d'homme - il n'y a pas de problème". Elle serait à l'endroit approprié, au camp de prisonniers. À l'époque de Brejnev - à l'asile de fous. Mais maintenant devons-nous travailler!

          Elle commença à commettre évasions. Elle vaguait et cueillait des bouteilles à recevoir un peu d'argent de poche. Un jour, près de la gare, elle fit connaissance avec un homme d'affaires de passage et se donna à lui pour cinquante dollars. Mais après cela, des locales prostituées de la gare chassaient à elle le long de toute la ville et elle réussit à fuir de persécution avec peine. Ce jour-là elle s'alla à Novossibirsk, mais elle manqua d'argent pendant longtemps. Après avoir acheté le remède contre les mosquitos, elle habitait en pleine nature et était heureuse, en essayant des branches flexibles des arbres différents et l'ortie à se fouetter dans la nuit. Puis la fin de l'argent est arrivée et elle devait revenir.

          L'évasion suivante et enfin trouva-t-elle l'ami entre des êtres humains, un étranger du siècle dernier qui possédait des capabilités magiques, inconnues pour elle. Mais la chose principale, il était de son genre, il possédait la même passion étrange, il était le premier ami réel entre les gens et il ouvrit devant elle tant des choses nouvelles, si comparer, avant, elle ne savait pas une dixième partie de ce qu'elle savait maintenant. Si elle reste seule, avec la connaissance pareille toutes les chances a-t-elle de survivre même à la Russie. Quant à survie aux États-Unis ou dans les autres pays libres, on peut n'inquiéter pas du tout: elle est garantie. Néanmoins, à cet instant inquiétait-elle non de soi mais de son amant de l'âge presque de siècle. Même les épouses jeunes n'inquiètent pas de ses maris jusqu'à tel degré comme elle. Elle était prête de se consoler avec main beaucoup de fois et ne se donner à lui que rarement, pourvu que ne pas nuire à la santé précieuse de lui. Et il connaissait bien le prix des cadeaux pareils de destin. Presque personne n'eut autant de chance parmi tous ceux qu'il connaissait. Même dans l'âge de quarante ans déjà n'avait personne autant de chance. Et en plus avait lieu telle combinaison harmonieuse de leur fantasie! Et il aussi savait que malgré le fait qu'il est un vieillard, il est un cadeau précieux pour elle. Les gens simples après les avoir vus comme un couple amoureux, personne d'eux ne croirait en désintérêt matériel de l'amour d'Olesya. S'il croit, il collerait mentalement sur elle tout de suite une étiquette de folle personne. Seulement Albert admirait et était capable les de comprendre. Même Nadia déjà commençait à comprendre quelque chose et regardait à eux de plus tolérable manière qu'hier. Elle ne pourrait pas expliquer, pourquoi comprenait-elle ça, mais elle savait qu'Olesya préférait en effet le vieil Paul à jeune Albert. Si elle séduit à nouveau son mari, alors seulement pour qu'elle soit fouettée pendant longtemps et douloureusement.

          Elle essaya de s'imaginer comme si Albert a couché avec toutes ses amies, s'il déjà grimpait sur la jeune fille de quinze ans, pourquoi sera-t-il timide à séduire les femmes adultes. Elle essaya de s'imaginer comme si Albert l'abandonne après être tombé amoureux d'une des rivales potentielles. Elle n'a pas réussi à s'imaginer une chose pareille. Ce ne serait pas lui.

          Et le télépathe vieil, tout de suite dit-il sur le sujet des idées d'elle.

          -Nadia, calme-toi. Il ne t'a trahi pas. Ce n'a été aucun adultère. Il n'est pas adultère mais un essayeur. Il a besoin de palper tout, de goûter tout. Souviens-toi comme à l'enfance avait-il mis une pince à épiler en prise électrique.

          Tous sourirent.

          La fête d'anniversaire s'approchait à sa fin. Il restait un travail pour demain: à vérifier comme vont les autres amies et l'espionner les "espions".


Tuesday, January 25, 2022

Chapitre VI. Relations étranges. La téléportation. Partie II.

           Novembre reprenait ses droits de plus en plus. Il n'était toujours que le commencement de mois, mais la région de Moscou déja était toute en neige, comme d'habitude. Albert voyait cela, quand avait-il besoin d'y "grimper" pour quelque chose. Néanmoins, il était ici silence et le gel jusqu'à 10-15 degrés au-dessous de zéro le matin et Paul disait que l'opportunité de cette région toujours n'est pas entière. Il peut être beaucoup plus froid dans cette heure de l'année et quant au temps qui est maintenant, il peut faire le temps pareil, y compris, à Moscou.

          Les nuages gris vinrent que le ciel se couvrit, la neige commença à tomber, mais cela ne chauffa point du tout. Le vent froid pénétrait à travers toutes les fissures comme prés de Moscou au février et quand le silence tomba de nouveau, le thermomètre descendit plus.       

          -Il serait bien à faire du ski maintenant, - Nadia dit une fois, en prenant du thé. La Sibérie, qu'est-ce qu'elle signifie pour nous, tandis qu'il fait presque le même temps à Moscou? 

          -Tu ne dirais comme ça, quand il faisait la température près de moins cinquante degrés.

          -Il faisait une fois moins 54 dans la ville Naro-Fominsk, c'est soixante-dix kilomètres de Moscou.

          -Cela peut avoir lieu là-bas une fois pendant un siècle, il fait comme ça ici beaucoup plus souvent.

          -Je voudrais promener aussi, mais j'ai peur du fait que je ne sais pas, comment faut-il prendre les skis avec soi, - Albert entra en conversation.

          -Les choses longues qu'on peut serrer fermement contre et le long de soi-même, on les peut prendre et c'est simplement,- le vieillard expliqua.

          -Alors, pourquoi étais-tu toujours en train de garder le silence sur ça?

          -Personne de vous ne parlait du ski jusqu'à présent. C'est pourquoi je supposais que ce divertissement est écarté de vous.

          -Non, au contraire. Je et Alik, nous adorons faire du ski. Aussi, il faut acheter des skis aussi pour Olesya. Je le sais, néanmoins, je les préférerais prendre de chez nous, car nous sommes habitués à eux.

          -Fais gaffe à ton dos! C'est probable, il y a des pièges. Ils avaient assez du temps à faire du mal. Si quelque chose ne va pas, retourne immédiatement, - Paul a prévenu. 

          Albert oublia et commença ça à "grimper" dans leur appartement à Perlovka devant Nadia lentement. Une vue terrible l'apparût. En voyant les intestins du mari, comme s'il soit coupé en deux, elle cria fortement. Néanmoins, Albert n'est que penché un peu et recula tout de suite de cette fenêtre d'Univers, c'est-à-dire, de cette partie des surfaces planes que sont cachées partout.

          -Nadia, n'aie pas peur, - il la consolait et à la fois il toussait fortement. - C'est un effet optique. Lorsque nous passons à travers une dimension différente, on peut voir non seulement ce que nous avons dehors, mais aussi ce qu'est au-dedans de nous. Quand je le faisais vite, tu ne pouvais rien réussir à remarquer. Mais maintenant, je l'ai fait lentement et c'était juste. L'appartement est plein du gaz. Maintenant j'y vais marcher là-bas et casser des verres des fenêtres de notre appartement. C'est leur bêtise, apparemment, ils ne savent pas comment me capturer et essayent tous les moyens.

          -Attends-moi un peu seulement. Je vais revenir tout de suite. C'est très important, - le vieillard dit et sortit puis il revint rapidement avec "Walter" de son successeur, le lui remettant en disant:

          -Suis plus prudent, quoique je sois sûr que ses pièges ne sont pas mortels. Quelle est l'odeur de ce gaz?

          -Il ressemble au gaz par lequel les cartouches de gaz sont gonflées, quelque chose de sorte de"Merisier".

          -Ils sont des sots, malgré le fait qu'ils sont du FSB. Néanmoins, je les comprends. Ils t'ont raté. Et si quelqu'un noyant s'accroche à la paille, on ne le considère comme une bêtise.

          -Ah, comme je m’inquiète pour lui! - Nadia s'écria.

          -Ne t'inquiète pas, - et il ajouta en tournant à l'Albert: - Et tu prends soin de toi-même. Ne vois-tu pas, quelle beauté s'inquiète pour toi? Elle n'est pas seule qui a besoin de toi. On devra sauver toute votre compagnie. En agissant seul, je peux  rater le succès.

          -N'inquiétez pas, vous. Tout dépend de moi en effet. C'est pourquoi je serai prudent. Néanmoins, j'entrerai de la rue maintenant. Donc, je vais m'habiller. Il y fait du froid et d'hiver aussi.

          Après avoir habillé la veste et avoir distribué les armes dans les poches, c'est-à-dire, "Walter" les cartouches de gaz et la hache dans son sein, Albert disparût et apparût dans la région de Moscou devant sa maison. En trouvant les pierres, il les jetait dans les verres des fenêtres de l'appartement et après les avoir cassés, il entra et monta les escaliers et ouvrit la porte de son appartement complètement. Encore une fois, une odeur piquante est venue de là et les yeux le brûlèrent. Sans trouver quelque chose à tenir la porte, il mit la hache sous elle. Le courant d'air maintenant devait accomplir son travail. Albert revint à son abri sibérien. Tout le monde eut un instant de répit.

          -Et comme ça va là-bas? Ce gaz ressemble le CS en effet. J'apporterai les skis après avoir ventilé. Et je vais acheter des skis pour Olesya. Je connais un bon magasin d'articles de sport aux faubourgs de Saint-Pétersbourg sans désordre et des queues à cause de la cochonnerie soviétique. Et le choix est assez acceptable.

          Quand Albert revint dans l'appartement ventilé, un bruit de réprimande venu de l'escalier le fit écouter avec attention.

          -C'est un fou qui habite cet appartement. Il fait des expériences, il a lâché un gaz toxique jusqu'à tel degré que nous devons ouvrir les fenêtres en hiver. Maintenant, il est en train de casser des verres de fenêtres. C'est bien que seulement dans son propre appartement. Dans l'époque du pouvoir soviétique ils l'auraient corrigé. C'est maintenant qu'ils sont libérés! Tout ça est à cause de Yeltsin avec sa démocratie.

          Ce fut drôle à écouter mais pas intéressant. Albert apporta ses skis et ceux de Nadia, chacune paire à son tour. Pour les skis d'Olesya, il les livra après qu'il fut allé et retour  à Saint-Pétersbourg, "en volant à travers des dimensions inconnues". Les skis étaient bien portables à téléporter si les tenir le long de l'axe central, en les serrant contre soi-même. Albert se souvint avec regret qu'il avait une possibilité d'emporter avec lui de la même manière le fusil qu'il avait pris de sniper ennemi qu'il avait assommé sur le toit.  

          Ce fut naturel qu'Olesya ne fût pas chez elle. Elle était en train de se promener à la taïga, pas loin de la maison. Ces derniers temps, elle aimait beaucoup se promener dans la forêt. Quant à raison de ça, il était simple l'expliquer par la réclusion forcée. Dès l'instant de l'apparition des "locataires", son séjour dans la maison de Paul ne pouvait plus provoquer les soupçons. Avant, elle se rendait compte clairement qu'elle devait se cacher pour son propre bien. Maintenant, elle possédait la liberté complète de mouvement et jouissait par cela. Elle vint bientôt de la forêt froide avec visage frais et rose, et toute contente.

          -Ils sont fatigués, les deux. Laissons les être à la maison, tandis que nous marchons à faire une piste de ski. J'ai les skis de chasse dans la grange, je vais les apporter tout de suite. 

          Après ce dire, Paul sortit et revint bientôt avec skis. Nadejda ne voudrait pas aller à forêt avec Paul. Quant à lui-même, elle n'attendait aucune surprise de lui, bien savant, que seulement Olesya le fatigue les nuits. Néanmoins, elle ne pouvait pas être sûre à l'égard de deux restants, et elle avait raison en cela. Mais elle se sentit timide à refuser sans dire la raison, surtout dire de ses soupçons en présence des amis bienveillants. Elle n'a dit que:

          -Il déjà va l'assombrir. Laissons la promenade ne soit pas pendant longtemps. Alik, il même fera la piste pour distance plus lange après. Il est jeune, fort.

          -Nous n'allons pas à le faire longtemps. Deux kilomètres pour aller, deux à retourner. Dans une heure nous sommes chez nous.

          Bientôt, ils sortirent. D'abord, Olesya prit un premier livre tombé dans les mains et fait semblant qu'elle soit en train de le lire. Néanmoins, elle bientôt le remit, en expliquant:

          -Alik, tu sais? Je ne sais pas pourquoi, mais je ne veux plus lire. As-tu offensé que je t'ai nommé Alik, pas Albert?

          -Il n'y a pas de grande différence. Tout ça est des préjudices, mais nous sommes des amis.

          -Je vais être sincère avec toi. Comme avec un ami. Tu entends, je et Paul, comme nous faisons du tapage avec Paul dans la nuit sur le lit? Je sais que tu entends. Il est de mon genre, mais je le manque et je ne le veux pas forcer, je m'inquiète pour sa santé. Parce que s'il est mort, je mourrai aussi. Albert bien savait de l'inclination des très jeunes filles à dire des bêtises de sa propre mort pour attirer l'attention. Il savait, comme cette conversation finira et c'était ce qui augmenta son excitation. Dans cet instant Olesya occupa tout son monde intérieur. Toutes ses pensées et rêves n'étaient concentrés que sur elle maintenant. Il essayait de cacher cela.

          -J'ai entendu un jour, tu avec Paul, vous deux discutiez sur la liberté morale. Et je vais à vérifier tout de suite, si es-tu libre en effet ou tu n'es qu'en paroles.

          Après avoir ce dire, elle commença à se libérer graduellement de vêtement. Albert regardait à elle avec attention sans timide, sans détourner le regard.

          -Et quoi? Suis-je belle? - elle questionna après avoir enlevé son maillot vert et moulant de bain.

          -Est-ce que tu en doutes?

          -Attends un, peu, - elle mit le maillot de bain de nouveau, - il me va bien?

          -Dans ton âge, n'importe quel vêtement te va bien.

          Le maillot de bain fut enlevé et mis de côté plus une fois encore.

          -Qu'est-ce que tu penses si je, dans cet état comme ça, je serai en train de regarder à toi dans les yeux? Crois-tu que je suis capable?

          -Regarde.

          Elle le regardait fixement comme un boa constricteur. Cela serait drôlement, néanmoins, on voulait quelque chose d'autre au lieu de rire. Il commença à regarder au racine du nez d'elle.

          -En regardant dans mes yeux, dis: si tu m'aimes?

          -J'aime toutes vous, parce que chacune de vous reflète de l'inimitable manière la beauté de l'Univers, la gloire de création et la gloire de Créateur..

          -Maintenant, je vais le faire de courte distance, - après le dire, elle s'approcha de lui, assit sans ménagement sur ses genoux, directement sur les pantalons. Sa forme était comme celle-là de Sveta, seulement, les seins un peu moins, et il pourrait les prendre l'une pour l'autre dans les ténèbres. Néanmoins, leurs visages et les couleurs des cheveux différaient beaucoup. Cette fille était blonde, aux lèvres charnues et ses gris-blues yeux étaient expressifs.

          -Sais-tu que tu m'as excité beaucoup?

          -Je le sens.

          -Est-ce que tu fais comme ça avec tous les hommes?

          -Non. Seulement avec ceux-là qui sont libres des préjudices. Le reste ne mérite pas de voir mes charmes. Il les faut laisser recevoir selon ceux-là règles, selon lesquelles vivent-ils. S'ils affirment, comme s'ils "n'ont pas du sexe", laissons les vivre sans lui. Ils peuvent même croire comme si je suis une fille modeste. Je me fiche d'eux ou de ce qu'ils pensent. Et quant à toi: soit je dois te violer, soit tu me te donneras toi-même? Qui est l'homme entre nous, toi ou moi?

          -Je supposais que tu n'as besoin que de bavarder. Si ce n'est pas comme ça, donc prends garde.

          -J'en prends.

          Une minute à peine s’était écoulée quand Albert retira tout vêtement. En l'examinant, la jeune fille s'exclama avec admiration:

          -Ça c'est de la chose!

          -Bonne chose, donc viens ici.

          -L'avoine ne vient pas au cheval.

          Albert fit un mouvement à la direction d'elle, mais elle commença à courir de lui dans toute la maison, en riant joyeusement.

          -Et qu'est-ce qui se passerait si Paul revient plus tôt?

          -Il ne te fera rien.

          -Néanmoins, quoi quant à toi?

          -Tu le verras.

          -As-tu peur?

          -J'en ai et n'ai pas à la fois. Enfin, il l'attrapa et serra dans les bras. Ils s'embrassaient sur les lèvres avec passion. Il la serrait, comme s'il essayait de la mettre vers son intérieur, et bientôt retentit déjà connu ''Aie!" Toute légère, elle était en train de se donner à lui suspendue et serrée par les mains fortes comme par un anaconda. Très bientôt  cet "Aie!" achevant l'action retentit.

          Après avoir dépensé les forces, les deux s'assirent sur le lit, où prévoyante Olesya déjà auparavant mis un drap plié en quatre. Pendant à peu près cinq minutes étaient-ils en train d'être assis relaxés. Olesya fut la première qui rompit le silence.

          -Vous me plaisez aussi, chacun de vous à sa propre manière, pourtant le vieillard plaît plus. Je suis d'accord que chacun de vous aussi reflète de l'inimitable manière la beauté de l'Univers et la gloire de Créateur, néanmoins, non seulement ceux qui sont observés possèdent une beauté différente, mais aussi les observateurs ont les yeux différents. Chacun ne voit qu'une partie étroite du spectre. Il n'y a pas sauf Dieu des observateurs qui pourraient embrasser tous le spectre complètement. Seulement son étroite partie. Tes yeux ne voient pas la beauté des gens vieux, surtout ceux-là qui sont bien conservés et il y a quelque chose d'autre qu'ils ne voient pas. Mais mes yeux ne voient ce que tu vois. Nos parties du spectre qui se croisent des côtés différents, ils forment une bande étroite et nous ne pouvons trouver quelque chose en commun qu'au-dedans de cette bande. Néanmoins, ce qu'il y a à l'extérieur, il est compréhensible et acceptable pour l'un et ne peut pas être compréhensible et acceptable pour l'autre. Je crois que tu sois beau, mais mes yeux presque ne te voient pas. Ils verront ta beauté complètement, lorsque tu griseras et seras couvert par les rides. Dont ceux-là qui ne préfèrent qu'un seul partenaire, ils ne sont pas nécessairement des monogames.

          -Tu es une fille intelligente. Malgré le fait que cette théorie n'est pas la tienne, je sais d'où est elle venue, mais c'est une leçon que tu l'as appris bien, si bien appris qu'il faudrait mettre "cinq" pour elle.

          -Néanmoins, je lui mettrais "un" pour le comportement d'elle! - sonna la voix agacée de la femme d'Albert. - Je vais te traîner par les cheveux tout de suite.

          -Nadia. Reste ça à moi, - Paul l'accompagnant intervint. - Je la vais punir sévèrement. Tu es en colère comme s'il fait mal pour elle à cause de ça, mais tu bientôt auras pitié d'elle et essayeras de m'arrêter. Ce n'est pas seulement toi qui as perdu à cause de ça que tu nommes trahison. Moi aussi. Hé! Salut beauté, ne cache-toi pas! Reste comme tu es et vins ici pour le châtiment. Sans couvrir tes charmes!

          Olesya trembla et rougit, baissa la tête. Ainsi, elle vint en revue de tout le monde, sans monter les yeux.

          -Tu avoues être coupable?

          -Oui.

          -Tu sais ce qui est prescrit pour ça?

          -Oui. Ainsi, va et apporte toutes les choses qui sont nécessaires dans le cas pareil.

          Olesya est sortie, toute nue directement à la véranda froide. En première fois elle apporta un banc long. En processus de la deuxième sortie, la porte du porche s'ouvrit et il fut entendu un bruit de l'eau déversée. Après cela, Olesya apporta une auge couverte avec une feuille de contreplaqué. Nadia déjà commença à deviner ce qui va se passer maintenant. Olesya sortit plus une fois et apporta plusieurs morceaux de corde un peu plus épaisse qu'une corde à linge. La tête d'Olesya était toujours abaissée, la rougeur toujours ne disparaissait pas du visage, mais Albert bien informé, en regardant attentivement, il remarqua qu'elle cachait un sourire sournois et heureux sur le visage. Le vieillard enleva la feuille de contreplaqué. Nadia ne fut pas surprise, parce qu'elle vit dans l'auge ce qu'elle eut attendu à voir. Il y avait des tiges bien mouillés de bouleau à fouetter. Olesya s'allongea sur le banc avec soumission et s'est laissé lier les mains et les pieds. Il était vu que les mains d'elle un peu tremblaient.

          -Tu as réussi ma belle, n'est-ce pas? - le vieillard dit. -Allons, Nadia. Donne-lui vingt coups de tige et elle recevra de moi le reste.

          Nadia prit une tige longue et sans réfléchir trop elle donna un coup sifflant à la rivale prise dans le péché. Olesya serra les lèvres et un peu frisonna, mais fut silencieuse.

          -Ce n'est que commencement, - l'épouse offensée grinça entre ses dents. - Tu bientôt chanteras pour moi, - et une tige flexible immédiatement fendit l'air trois fois. Après le quatrième coup un "Aie!" long enfin rompit le silence de la même manière comme pendant les plaisirs d'amour. Olesya tournait la tête à droite et à gauche, c'est probable que son corps cherchait sans compréhensible la sortie d'un piège cruel et inconnu. Après avoir rencontré avec regard de la rivale, le regard brûlant et plein de colère, elle posa le visage sur le banc de nouveau.

          -Et quoi? Est-ce dur? Maintenant, tu vas devenir rayée comme une zébra. Reçois de plus.

          Après ces mots, la tige était en train de siffler dans un contexte du silence total, en notant ses visites avec les rayures lumineuses de son dos au niveau de ceinture jusqu'aux jambes sveltes au niveau de genoux. Le long cri "Aie!" avec expiration répétait maintenant après chacun coup, et à l'inspiration fut ajouté un son neuf, aussi ressemblant un cri. Le corps beau d'Olesya, en étant empêtré dans des cordes, sursautait de plus en plus fort, mais en vain. Elle était attachée honnêtement. Le vieillard fit un signe avec main après le vingtième coup à l'arrêter.

          -Ce n'a été que les accords d’introduction, ma belle, et maintenant, c'est moi qui vais s'occuper de toi.

          Olesya respira profondément et jeta son coup d'œil plein d'amour à son exécuteur neuf.

          -Je sais que tu es belle, et il faut fouetter les jeunes filles pareilles plus souvent, pour qu'elles deviennent plus belles encore.

          Le vieillard monta la main, et Olesya s'enfonça le visage dans le banc plus encore et toute tassée. Elle se rendait compte que maintenant c'est un expert qui prit les tiges aux mains. Il donna plusieurs fouets à elle, et au lieu de cri érotique "Aie!", un gémissement de souffrance sonnait chaque fois, malgré le fait que les coups n'étaient pas plus forts. 

          -Regarde, Nadia. Tu as été pleine de colère, tu montais la main haut, néanmoins, il ne faut que savoir quelques secrets simples. Tes tiges tombaient parallèlement à la surface du corps. Mais les extrémités de mes tiges comme s'ils "tournent le coin". Je suis debout de ce côté et toi, contourne à regarder de position de l'autre côté.

          Nadejda contourna à l'autre côté et vit la différence immédiatement.. Les cicatrices créées par elle étaient rouges régulièrement, du commencement au bout, mais les cicatrices créées par vieillard n'étaient pas longues, même au commencement plus pâles, mais à la direction plus proche au bout, elles devenaient plus épaisses, plus rouges et finissaient avec des points rouges, presque sanglants. Malgré le dialogue qui eut interrompu la punition, Olesya tournoyait, gémissait et serrait les dents.

          -Assez faire semblant d'être une actrice plus tôt que ça commence. Nous allons avoir tout de suite l'amusement admirable. Après avoir le dire, le vieillard diligemment et vite a donné lui cinq coups de tige, presque au même endroit. Olesya hurla. Après avoir attendu un peu, il a choisi comme but autre endroit, et bientôt cinq zébrures furent marquées là-bas qui faillirent être fusionnées et un peu saignaient aux bouts. Après deux quintuples de plus comme ça, Olesya hurlait comme une fille d'école qui a onze ans. Le vieillard la fessait, en changeant les tiges souvent sans faire attention aux hurlements d'elle. Puis soudain s'arrêta-t-il.

          -Voilà. Tu as reçu une vingtaine coups de Nadia, puis quarante coups de moi. Maintenant va te reposer. Et je te donnerai puis la deuxième partie, quarante coups encore.

          Olesya arrêta de hurler tout de suite, mais la partie du banc contre son visage déjà était mouillée à cause de les larmes.

          -Écoute-moi, vieux diable. Peut-être assez tourmenter la fille? - Nadia se révolta.

          -Ne mêle pas. C'est leur amour qui est cruel comme ça, - Albert dit en faveur du vieillard.

          -Bon sang! Appeler cela comme l'amour?

          -L'amour toujours a raison! L'amour toujours est beau! Juste nos yeux ne sont pas assez perfects, afin que nous reconnaissions cet aspect de l'amour.

          -Est-ce possible un amour comme ça?

          -Oui. Jusqu'à ce qu'on commence à ruiner l'un l'autre, tout ça est l'amour. As tu lu quelque chose sur Héloïse et Abélard?

          -Non.

          -C'est un fait historique, - le vieillard prit part à la conversation. - Onzième siècle.

          -Allons à la chambre à nous reposer un peu.

          Tout le monde alla à la chambre et s'assit sur les chaises. Olesya était en train d'allonger sur le banc silencieusement. À peu près dix minutes tous les amis vinrent vers elle.

          -Et quoi, mon amour. Es-tu tourmentée?

          -Tu sais? - la victime répondit de la manière inattendue à l'égard des amies. - Il me faut fouetter et le faire plus souvent.

          -Alors, allons continuer.

          Et les tiges flexibles chantaient de nouveau, s'enfonçant savoureusement dans le corps d'Olesya, jeune et élastique. Et le cri de fille de nouveau résonnait les murs de vieille maison. Lorsque tout eut été fini, le vieillard la libéra des cordes vite, Olesya se comporta de la manière inattendue encore. Elle bondit à la vitesse de l'éclair, se jeta au cou de son tourmenteur, en s'exclamant:

          -Merci pour la leçon, mon magicien, mon bien-aimé! Je t'aime, je t'aime!

          Ils s'étaient embrassés avec passion, comme des amants ordinaires, il dans son vêtement, elle toute nue et fouettée était prête à pendre à lui. Ils étaient des amants en effet.

          -Tu te souviens, ma chérie Olesya, demain j'aurai quatre-vingt-quinze ans?

          -Oh, j'ai oublié du tout et je ne t'ai préparé rien pour offrir.

          -Le mieux cadeau à moi n'est que toi, - le vieillard ne dit pas mais chanta en imitant un acteur célèbre d'un dessin animé..

          -Non, il ne faut pas le laisser comme ça, - Nadia dit sûrement qui il y a quinze minutes était prête à battre avec héros de la fête.

          -J'ai assez d'argent. Je moi-même peux donne à moi n'importe quoi.

          -Ce n'est pas une question d'argent. Au moins, il faut remettre quelque chose comme symbole. Je vais grimper à Moscou et retour tout de suite, - Albert dit.

          Olesya était toujours debout toute nue sans timide de tout et essayait de regarder derrière elle le plus loin possible pour examiner des marques des tiges. Enfin, elle s'habilla. Albert s'habilla pour sortir dans la rue froide pour qu'Olesya ne voie pas comme il disparut. Dans demi-heure il retourna avec le sac rempli et il remit au vieillard la videocassette "l'histoire d'O" avec des mots de félicitations. Puis, il sortit du sac trois petites tortes, le saucisson, le fromage et le thé de Ceylan de la plus haute qualité.

          Et dans demi-heure de plus, tout le monde était assis à table, prenait de thé et regardait le film. Le monde inventé par Pauline Réage ne pouvait pas être considéré comme si sans problème, mais en comparaison avec la vie réelle, les problèmes étaient assez simples, et cela ne qu'embellissait l'intrigue romantique. L'accompagnement musical bien composé montrait plus une fois que l'amour est beau, même celui-là qui n'est pas compréhensible à tout le monde.

          Il était clair que le film plut à vieillard. À juger de son apparence, tandis qu'il le regardait, il était claire qu'Albert eut atteint le cible à l'égard du cadeau. Dans une mesure encore plus grande plut le film à Olesya et cela était remarquable aussi. Tout immobile et partie complètement en sujet, il paraissait que ce soit elle qui fouette son amie Ivonn avec passion perfide et que se soit elle qui tout heureuse se promène en bateau avec sir Stefan et se soit elle qui apprête autre amie Jacqueline à l'emmener à Roissy.

          Il n'y eut rien qui pourrait être un surpris pour Albert. Quoiqu'il ne connût pas les inclinations sadomasochistes, il comprenait les personnages du film "en théorie". Il les non seulement tolérait, mais aussi les approuvait et accueillait en esprit, il les considérait plus haut que les autres, pour ce qu'ils suivaient sincèrement leur nature.

          La music plaisait à Nadejda. Elle regardait le film comme un conte, sans oublier que le sujet est inventé et c'est des acteurs jouent des rôles. Néanmoins, après la fin du film, une pensée est venue à l'esprit d'elle que tout le monde qui se trouvait dans cette chambre avec elle, personne entre eux n'est acteur. Ils sont des gens réels de la vie réelle. Pourtant, qu'est-ce qu'ils faisaient récemment? Comme si elle était en train de voir un rêve assez étrange, dont elle ne pouvait pas apprendre l'intrigue de la façon cohérente.

          Ils sont des réfugiés en fait, mais ils vivent mieux que le reste, et le reste les envierait. Si gentil vieillard Paul, gentil et sage, il croit en Dieu, il a passé telle école de la vie... et soudain il avère un méchant qui couche avec et torture la fille qui a l'âge d'être son arrière-petite-fille. Mais tout à coup il s'avère que cette fille elle-même soit prête à tuer chacun qui oserait toucher son tourmenteur, sans qui elle ne peut pas s'imaginer la vie. Si simple et conviviale, soudain elle essaye de séduire son mari et réussit en cela, il n'était assez que sortir pendant une heure. Ce qu'il paraît impossible de connecter l'un avec l'autre, soudain s'avère connecté, liés ensemble. Il se produit ce qui ne doit pas être produit selon les lois connues à elle. Même les inébranlables lois de la physique ont l'air d'être violées. Comme si elle est jetée à l'univers dans laquelle elle toujours ne peut pas s'orienter.

          Albert l'aime et la sauve des ennemies et le même Albert commet l'adultère. Les gens normals dans les cas pareils se révoltent, refroidissent, séparent, parfois commettent un délit. Néanmoins, Albert est devenu plus proche, plus cher après cela. El sent qu'elle l'aime plus fort maintenant. Elle a blâmé Olesya, lorsqu'elle est entrée et a vu l'adultère, mais elle se rend compte que cela n'était que faire semblant. Elle indignait, parce qu'il est accoutumé d'indigner aux cas pareils. En effet, elle se rendait compte qu'Olesya toujours continue d'être son amie avec qui elle peut sympathiser et elle était prête à la défendre du châtiment. Il n'y a aucun désir de faire du mal à elle, même ni s'offenser ni faire la moue. Maintenant, il se rendait compte qu'elle ne peut pas comprendre non seulement les circonstances extérieures. Elle ne pouvait pas comprendre même soi-même.

          -Je sais tes difficultés, - le vieillard dit soudain en se tournant à elle. - Comme à tout lo monde, on t'imposait dès la jeunesse la conception comment le monde est organisé. Tout ça s'est avéré un mythe. Et ce que tu considères comme un mythe, c'est la vie réelle en effet. La vie réelle sans masques, sans hypocrisie, sans exagération.

          -Justement à cause de cette dernière circonstance, notre association de nous quatre ici et aussi le reste de trois à Moscou est unique. Simplement, tu t'es habituée au monde des hypocrites morts. Maintenant, ta tâche est à t'habituer au monde des vivants. Accepte lui, habite lui, apprends-lui et tu verras à quel point est-il mieux. Et il ne peut séjourner sans être mieux. Parce que celui-là monde a été un monde des morts. Et maintenant, le monde de vivants est en train de s'ouvrir devant toi, - Albert fit la conclusion.


The texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/13/1234