Tuesday, February 23, 2021

Chapitre XIII. Meurtre de vendetta. La téléportation. Partie I.

           Colonel n'était pas un clairvoyant, ça c'est sûr. S'il attendait un danger, puis du côté complètement différent. Deux ses complices, Malingre et Donut, ils avaient toujours les pistolets avec eux et ils ne séparaient jamais d'eux. Le chien de garde, fort et enseigné, était toujours avec il aussi, quoiqu'il aboyât souvent dernièrement sans raison.

          Personne ne voyait le fait qu'un travail était en train de devenir plus actif et quelque chose était en train de préparer. Certains gens étaient en train d'être trouvés qui ne provoqueraient pas suspicion. L'information donnée par un visiteur étrange qui disparut de la même inattendue manière comme il apparut, était en train de vérifier et revérifier.

          Quant à visiteur, tout le monde appris sur il à une vitesse étonnante, d'abord les relatifs et les miliciens de Tchichki à Itoume-Kalé. Il y avait des rumeurs différentes, mais voilà ce qui était connu avec certitude: les signes du vieillard étrange et qu'il ne faut pas enquêter sur cette affaire à l'aide du Département de l’Intérieur et il ne faut pas laisser aller lui au-delà de la gorge d'Argun, mais en cas de la capture le retourner à l'endroit et on déciderait que faire à l'égard d'il. Il ne faut pas le tuer sans cas de nécessité absolue, car cet homme a aidé à quelqu'un, néanmoins, il est une personne contradictoire. Soit il est un homme de la mafia moscovite, soit il est un fou qui a évadé de Bragouny, soit même un extraterrestre d'une soucoupe volante. Les habitants locaux étaient postés comme observateurs à tous les points où le visiteur pouvait passer. Ils se rendaient compte que les compatriots ont des problèmes et il faut aider à eux. Ils faisaient semblant d'être chasseurs ou des gens qui promenaient juste près de leur village. Il paraît que tous les sentiers fussent bloqués et il ne peut qu'un alpiniste avancé avec l'équipement approprié glisser inaperçu à travers tous les observateurs. Personne n'était attrapé. Non seulement l'homme qu'ils cherchaient, mais personne des Russes n'était remarquée du tout. Khalid et les relatifs de la victime étaient perplexes à cause de l'apparition d'une note encore. La note était faite par l'imprimante et mise sur la table dans la cave solidement verrouillée, où il n'y avait eu personne.

          "Khalid, si tu peux, pardon moi pour le souci. Tu apprendrais bientôt, tout que j'ai écrit est la vérité et je suis votre ami. Je veux juste que la justice soit faite. Si je n'avais que besoin d'éliminer l'ennemi filmé, je pourrais aussi le faire de l'autre façon. Mais alors, vous n'auriez pas su ce qu'a été passé en fait. C'est prudemment à détruire cette note".

          Il y avait une carte faite maison du lieu de sépulture de la jeune fille héroïquement décédée sous la note avec une référence géodésique aux points de jonction les plus proches des voies ferrées et des autoroutes.

          Au demain ont-ils apparu les espions ressemblant aux Slaves et ne provoquant pas des suspicions. C'était en général des femmes, y compris, même des garçons. Ils ne parlaient pas beaucoup pour cacher leur accent. Le groupe des exécuteurs - on les nommerait à l'Ouest comme ça - était composé de trois hommes d'âge moyen, habillés de la façon identique, de costumes et de chapeaux gris, avec les moustaches et petits barbes. Ses chapeaux cachaient le fait que tous trois avaient la tête rasée à avoir digne des musulmans dévoués qui considèrent que c'est indécent à montrer les cheveux nus sur la tête. En époque de Brejnev ils seraient détenus et fouillés, mais pas maintenant. Dans le contexte des groupes extravagants de la jeunesse, par exemple les hippies, les punks et les autres, ces hommes avoient l'air non trop étrange. Aux États-Unis seraient-ils considérés comme si des trois frères qui sont arrivée de l'Amérique Latine à faire leurs affaires.

          Un jour qui ne distinguait des autres jours, Malingre est venu chez Colonel. Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Seulement dans quelques minutes s'est rendu compte le maître que le chien n'eut aboyé et ni eut couru à la porte, comme il faisait d'habitude. Ils tous deux l'ont trouvé sous le lit dans un état de sommeil profond. Dans la tentative de réveiller lui, le chien ouvrait les yeux, bâillait et immédiatement les fermait de nouveau. Avec les deux complices, Donut allait venir bientôt par sa voiture étrangère, Colonel se sentait en sécurité de la même manière, comme Balda n'avait pas peur de la perte de l'argent déjà depuis longtemps.

          -Appelle un vétérinaire, - ordonna-t-il à Malingre, et Malingre a commencé à appeler, en utilisant son téléphone portable.

          Puis les tous deux discutaient d'un plan d'aujourd'hui. La sonnette à la mode a pépié dans vingt minutes. Colonel alla à ouvrir la porte il même, en frimant son invulnérabilité. Ce serait très vite pour vétérinaire, la plus probable est-ce Donut. Quant au chien, c'est assez passible que quelqu'un des voisins ait joué une blague cruelle. Il a ouvert la porte sans questionner, sans regarder au judas. Donut était debout à l'entrée dans des lunettes noires, comme toujours, mais Colonel qui avait travaillé comme un juge d'instruction dans le passé, il a compris immédiatement que le complice a de gros ennuis. Puis qui est-il qui avait osé déranger la paix du groupe omnipotent et invulnérable? Même les autorités célèbres du monde criminel, bien sûr, ils ne s'inclineraient pas devant lui, mais préféreraient passer poliment devant il sous silence, sans attention grande, et il agirait de la même façon à l'égard d'ils.

          -Qu'est-ce qui ne va pas? Est-ce que tu es drogué? Depuis quand... Il n'a pas fini de dire, quand quelque chose a claqué et la douleur insupportable en genou l'a fait oublier tout. Presque à la fois a retenti le couinement de Donut poignardé par trois couteaux longs.

          Après il vient de ressentir quelque chose de mal, Malingre a saisi son pistolet TT et s'est précipité vers la porte. Il n'est sorti encore de l'appartement, mais tout à coup a étendu sur le sol à cause d'un pied mis habilement. Colonel hurlait et se roulait par terre, en attrapant le genou. Donut était assis dans la flaque de sang, tout pâle, mais vivant encore.

          -Quant à toi, nous n'allons pas toucher toi. Après tout, tu avais dit que ce soit mieux ne pas la tuer, n'est ce pas?

          Malingre leva les yeux. La fille jeune mais déjà formée, habillée en uniforme scolaire et au foulard, elle était en train de regarder directement à lui de la photo noir et blanc. Trois hommes ressemblant l'un l'autre avec petits barbes étaient debout au-dessus de lui armés par pistolets. Un d'eux était en train de tenir la photo directement devant ses yeux. Soudain, il s'est rendu compte tous l'horreur de la situation.

          -Ce n'était pas moi - aaa! - Malingre a hurlé sauvagement. Il sursauta et se précipita n'importe où, plus loin des inconnus terribles, d'abord à la chambre, puis sur le rebord de fenêtre, et avec le bruit de verre cassé a-t-il sauté de la fenêtre, en étant encore en train de crier jusqu'à la rencontre avec asphalte. Colonel habitait le septième étage.

          -Tu, chacal, vas mourir pour notre sœur! - un vengeur prononça tranquillement mais vicieusement, en tournant la photo à Donut qui était assis près du mur.

          Une main forte l'a tailladé sur la gorge par lame de couteau qui était aiguë comme un rasoir. Cela donnait une garantie de mort dans plusieurs minutes. 

          Puis tous trois se tournèrent à Colonel qui était en train de se tordre sur le sol. -

          -Regarde ici, salaud!

          La jeune fille tuée par il regardait maintenant à il de la photo. Il a compris tout et dit, en surmontant la douleur au genou: 

          -Mon désir dernier devant la mort: dites, comment m'avez-vous trouvé? La cassette est ici, personne ne la prenait, il y a des alarmes de porte et de fenêtre.

          -Où est la cassette?

          -Voilà, elle est dans le placard. Il y a un peignoir gris, la cassette est dans la poche du haut.

          -Soi prudemment, une bombe peut être là-bas! - un d'eux a crié en russe et ajouté soudain:

          -Il faut plus vite, je vais moi-même...

          Il se précipita au placard et trouva la cassette vite. Aucune explosion ne suivit. 

          -Nous la prenons avec nous.

          -Néanmoins, dites, s'il vous plaît, comment avez-vous renseigné cela?

          -Un vieillard étrange a apporté la cassette à nous dans l'Itchkérie, c'est probable que c'est une copie. Et il a donné une lettre à nous, de quelle manière peut-on te trouver avec tes chacals. Après ça, il a disparu de la chambre verrouillée. Tu sais mieux, à qui encore as-tu chié jusqu'à tel degré qu'ils voulaient te tuer par nos mains. Peut-être, t'étais-tu querellé avec les soucoupes volantes, car ton ennemi disparaît de la chambre verrouillée sans enfoncer la porte?

          La peur mystique saisit le condamné à mort. Ce qu'aucune pitié ne serait pas à l'égard d'il, il ne doutait pas. Il y a beaucoup de temps depuis, il avait lu Shakespeare avec passion. Dans la société pleine de la cochonnerie et absence de spiritualité avait-il oublié ça complètement. Et on ne sait pas, de lesquels coins perdus de sa conscience troublée viennent d'émerger les lignes: 

                   "Si la terreur de quelque chose après la mort,

                    Contrée inexplorée dont, la borne franchie,

                    Nul voyageur ne revient, ne déroutait la volonté,... "


          Soudain vient-il de prendre conscience le point principal. La vie pouvait être si belle sans ce désir de pouvoir, sans ces gueules stupides et détestées, soit au travaille Département de l’Intérieur à Saransk, soit au gang près de Moscou, soit dans les offices des puissants de ce monde! Il s'est souvenu qu'il sentait et connaissait cette beauté de la vie. Mais il étouffait tous les sentiments beaux à chaque instant de leur apparition dès la jeunesse. Il refoulait toutes les joyeuses expressions de son âme, même il se moquait d'elles mentalement. Il vient de se souvenir: il y avait des moments, d'habitude en été ou au printemps, lorsque la vie de la nature montrait soi-même surtout expressivement, et il avait un désir de remercier quelqu'un, il ne savait pas qui fallait-il remercier pour cette joie procurée, la raison de laquelle n'était pas connue à lui. Et il s'imaginait immédiatement, comme les camarades d'école se moqueraient de lui et de son élan des sentiments, et il avait décidé qu'il faut devenir un "gars normal", comme tout le monde. Non, il faut bannir cette faiblesse (comme il paraît à lui) à une mauvaise mère, bannir à bas cette folie exaltée! Donc il la bannissait et il avait réussi cela. Rien de saint ne resta plus pour il. La seule chose qu'il se permettait de respecter, c'étaient lois non écrites du gang, les "comme il faut" orales de tous les niveaux du peuple stupid, avec lesquels faut-il traiter. Il croyait comme s'il dominait ces bastards, mais comme il vient de se rendre compte maintenant, c'était ils qui programmaient toujours tous son comportement, ce qui devrait-il être et comment devrait-il vivre, de quoi et comment penser, qu'il faut faire et qu'il faut ne pas faire, qui est normal et qui n'est pas normal. Tout le monde était coupable: les parents, les professeurs, les camarades d'école, les collègues, les gens du gang. Il fallait être une autorité et il s'est devenu une autorité, Il fallait être une brute et il s'est devenu une brute, Il fallait être un cool et il s'est devenu un cool. La société tirait ses ficelles toujours et il obéissait, il obéissait avec mention. Et maintenant est-il fort, cool et avec connexions, mais ceux-là qui sont venus à le tuer, ils ne donnent aucune importance à son pouvoir, à ses forces et connexions. Néanmoins tout pouvait passer de l'autre façon. S'il préférait ne pas bannir, mais développer ces sentiments de joie qui le visitaient, tout fût allé de l'heureuse manière. Rien de terrible ne serait arrivé alors. Après tout, il pouvait faire les siennes en silence, sans discuter et sans querelles? Ainsi même s'il devait mourir aujourd'hui, la courte vie serait vécue heureusement. Mais tout était au contraire. Il était très misérable en fait et c'était son propre choix. Il soi-même est ordonné comme ça. Il ne voulait pas, quand il fallait, écouter sa voix intérieure, utiliser sa propre tête, et en voici le résultat! Non. Ce n'est pas la mort qui est si mal, mais la vie misérable et sans sens!

          Il s'est souvenu de Raskolnikov, le protagoniste du roman d'après Dostioevsky. Non. Il n'avait pas besoin maintenant du meurtre de vieille usurière à éclaircir s'il est Napoléon ou un pou. Il avait été libre à choisir comment être, complètement libre, et il a choisi: devenir un pou grand, dégoûtant et malodorant. Toute sa vie est une faute. Tragique faute!

          La crainte s'est allé et il était même joyeusement, car tout ça était en train de finir et car il est en train de payer ses dettes complètement. Après être violé par l'éducation athée, il ne comprenait pas maintenant qu'il est en train de passer à travers LE VÉRITABLE REPENTIR. 

          Dans les premières secondes n'a-t-il senti pas comme on eut poignardé le couteau aiguisé dans l'abdomen. Néanmoins, le vengeur après avoir poignardé le couteau, il a commencé à le tourner dans le sens antihoraire. La douleur insupportable a fait lui déjà à la deuxième fois oublier tout, et quand cette terrible douleur a pris sa retraite et tout est devenu facile et très facile, la dernière chose de laquelle il a réussi à réfléchir dans ce monde, c'était la libération de la terrible dette, et il ne savait pas d'où est venue certitude à l'il a reçu une leçon précieuse et qu'il a appris quelque chose de très importante. Un jour il reviendra sur la Terre avec cette connaissance nouvelle, avec les yeux ouverts à tout, mais il est temps maintenant d'aller chez Professeur qui a donné cette leçon.

          Les vengeurs ont achevé leur travail, en exécutant la partie détestable et lourde: ils ont coupé la tête de l'ennemi tué et l'ont mis à l'évier dans la cuisine. Ils étaient dégoûtés jusqu'à la nausée, mais des principes inconnus l'exigeaient. Ils n'ont pas remarqué comme dans la porte qui était imprudemment laissée ouverte, le vétérinaire vient d'entrer qui était appelé chez le chien, et il est en train de les observer avec horreur. Ils n'ont pas remarqué aussi, comme il vient de sortir, en tremblant à la cause de la crainte. Mais quand est-il descendu et sorti et s'est dirigé au téléphone, une femme qui allait devant il comme si accidentellement, soudain a-t-elle fixé à lui. "C'est probable que j'ai l'air étrange après ce que j'ai vu", le vétérinaire a pensé. Maintenant, la passante s'est arrêtée et était en train de le fixer, sans cacher ça du tout. Quelque chose d'attractive était en elle, quelque chose d'inconnue qui n'est pas local. Il est devenu embarrassé, sans savoir que dire et soudain le jet du poivron rouge a frappé les yeux.

          -Pendant un heur ne peux-tu pas appeler nulle part ni parler à personne de rien, sinon tu seras mort. Il est exécuté le châtiment juste et tu ne dois pas interférer, - la voix de l'inconnue rusée avec accent qui n'est pas d'ici a expliqué à lui.

          Pendant ce temps, les trois vengeurs se trouvaient encore dans l'appartement. Ils ont examiné toutes les chambres. Il y a eu un grand silence, dans le contexte de lequel pouvait-on entendre un ronflement de quelqu'un.

          Souleymanov, le frère de la fille tuée, entra dans la chambre où on peut entendre la respiration, et regarda sous le lit. Le rottweiler était en train de dormir, sans réveiller. D'abord par la main sanglante toucha-t-il la patte de chien, puis caressa la tête, en disant en russe approximatif avec l'accent:

          -Pauvre bon chien, il a pris de sodium barbiturique et dort. Il se réveillera et hurlera, car il n'y a pas le maître. Les chiens servent aux gens et ne peuvent comprendre que le maître peut s'avérer un salaud. Il ne sentait pas avoir assez des putains moscovites et déshonora et tua ma sœur, - après le dire, Souleymanov horrifié sentit que les larmes vont à monter aux yeux. Après tout, le montagnard courageux ne doit pas pleurer. Il a pris une profonde inspiration et étouffa ce désir. Deux autres vengeurs exigeaient en tchétchène, durement et de la manière imposante, mais sans insult, à être prêt à partir plus vite, sinon non seulement il même, mais tous le groupe peut s'avérer exposé.

          Tous leurs costumes étaient tachés du sang, néanmoins c'était prévu auparavant. Ils sortent un grand sac plastique d'une valise apportée du palier et les costumes neufs, cette fois les costumes de sport. Il n'y a eu pas encore cinq minutes, ils ont se sont changés pour les vêtements neufs et ont lavé toutes les armes blanches et les costumes sanglants étaient mis dans le même sac et couverts par un journal lu. En fait fallait-il se dépêcher. Heureusement pour eux, fenêtre de laquelle Malingre s'est sauté ne donnait pas au sud à la cour, où il y a des entrées dans l'immeuble, mais au nord, comme nous déjà savons, où la cour était séparée par une clôture, et les clochards visitaient souvent cet endroit à pisser. Après s'être écrasé gravement de la chute du septième étage, Malingre est mort dans l'hôpital dans plusieurs heures, sans reprendre conscience.

          Trois vengeurs ont claqué la porte et ont descendu les escaliers, en courant. La dette était remplie, justice a été rendue. Néanmoins, Suleimanov commençait à se sentir déçu. Ils se sont avérés capables de tuer les ennemis forts et vils. Mais ils ne pourront jamais faire ça qu'il puisse voir sa sœur cadette de nouveau dans cette vie, pour il parlerait avec elle, jouerait avec elle. C'est impossible pour n'importe quel argent. Aucune force ni aucune arme n'aiderait à faire comme ça. Mais il croyait qu'elle est vivante. Simplement, elle est parti au pays très éloigné et elle attendra là-bas lui et les parents, et les autres frères et sœur. Et s'il ne provoque la colère d'Allah, un jour, il soi-même partira dans ce pays et là verra tous les gens qu'il a perdus dans ce monde.

          Beaucoup de voisins se rendaient compte qu'il a passé quelque chose de terrible. Tout le monde savait que dans cet appartement rassemblent les mafieux, mais jusqu'à aujourd'hui il était tranquillement. Et voilà enfin, c'en est fini mal. Les certains des voisins ont regardé à travers le judas après entendre la course dans les escaliers. Trois hommes avec petits barbes et vêtus identiquement ont été entrevu vite, soit Caucasiens, soit Ukrainiens. Équipe d'enquête n'a pas réussi à créer un portrait-robot. Les vengeurs sont montés sans obstacles dans un taxi qui les attendait près de l'entrée. Une femme était assis sur le siège arrière, c'était comme si une passagère passante. Ils n'avaient rien contre le fait que le chauffeur l'avait laissé entrer quand elle debout faisait du stop sur l'autoroute d'Iaroslavl, et elle aussi n'avaient rien contre le fait que ces trois passants d'affaires iraient chez leurs pendant vingt minutes à changer le vêtement.

          Le chauffeur ne savait pas que cette "provinciale" a un pistolet Walther dans sa poche, plusieurs pulvérisations de gaz et téléphone mobile. Il ne devinait pas aussi que tous les quatre sont une seule équipe. Tous ils conduisaient la voiture en silence. Les trois, soit des amis soit des frères, ils voulaient arriver à Bolchevo, la femme allait le long du même chemin mais un peu plus loin: à Voronok. Quand les trois hommes sont descendus et le chauffeur a roulé demi-kilomètre encore, elle a sorti le téléphone du sac à main et composé un numéro nécessaire et a prononcé:

          -Quel bon temps fait-il aujourd'hui! - c'était un sign.

          -Oui, c'est temps le plus convenable à aller à la plage, mais on doit travailler, - répondit le chauffeur du taxi qui ne soupçonna rien.

          Ainsi, il n'a appris rien. La passagère est descendu à Voronok, en payant d'argent, comme convenu, et dit presque dans un murmure "merci".

          Et au moment quand elle a fait un coup de fil et a dit du bon temps, une voiture "Lada" de neuvième modèle est arrivé vers les arbustes à Bolchevo. Les trois hommes sont sortis des arbustes et montés dans la voiture. Il y avait déjà leur homme infiltré au volant. Ils se sont débarrassés des preuves incriminantes sur le chemin, en jetant le sac avec les vêtements sanglants à une poubelle dans une cour parmi bâtiments à plusieurs étages quelque part à Pouchkino. Puis ils roulaient le long de la route de contournement d'abord à Morozki, puis à Povarovo. Là-bas ont-ils dit au revoir à leur chauffeur. Maintenant, jusqu'au soir fallait-il atteindre par trains locaux jusqu'à la ville Vyshny Volochek, où des parents éloignés les déjà attendaient.

          L'équipe d'enquête avec les témoins officiels, ils ne sont arrivés que dans plusieurs heurs dans l'appartement. D'abord, ils allaient à questionner les habitants de l'appartement à cause du jeune homme qui s'est jeté par la fenêtre, mais personne n'ouvrait la porte.

          L'enquêteur principal doutait d'abord de l'exactitude de sa version et faisait des coups de fil à plusieurs collègues à s'assurer. Il n'a pas eu tort. C'était la vendetta. Ça voulait dire que c'était inutile à chercher. Les auteurs de l'infraction sont partis on ne sait pas à quelle république ensoleillée, et ils y seront perdus. Même s'ils seront trouvés, tout aura l'air comme si de rien n'était, car les preuves seront disparus ce temps-là. D’ailleurs, leurs amis et relatifs les cacheront, et tout le monde local ne permettra pas à un enquêteur en visite d'agir trop activement, en enfreignant la loi. Les temps ont changé. L'enquêteur se rendait compte que c'est une affaire bien insoluble. La seule chose qui le consolait, c'était que les chefs étaient bien informés des situations pareilles, c'est pourquoi ne chicaneront-ils là-dessus pas trop. Plus tard, un expert qui avait l'expérience y compris avec les affaires de la vendetta, il a suggéré comme si la probability de ce que les auteurs de l'infraction fussent des habitants de la Tchétchène-Ingouchie au Caucase, est près de 70%. Il n'a pas expliqué, d'où il a pris ce chiffre. L'utilité du message comme ça, était pratiquement nulle. Il y avait aussi une étrangeté dans cette affaire. Rien de choses n'est disparu que l'argent dans la cachette d'un livre épais. Les Tchétchènes et Ingouches ne volent rien, lorsqu'ils sont en train de venger, et généralement, avec mépris du vol, ils préfèrent piller à la manière ouverte, c'est-à-dire, "pour ne pas être lâche". Enfin, le maître assassiné de l'appartement, il pouvait soi-même sortir son propre argent de la cachette.

          Deux journées avant de la date désignée, Albert a donné à Sveta le nécessaire montant d'argent en dollars, afin que Tolik peut payer au "toit" de gang neuf et autoproclamé.

          Tolik attendait penant tous un jour, mais personne n'est venue. Au demain, Sveta retourna l'argent à l'Albert, en lui disant à retenir temporairement l'argent au cas où.

          Après la mort de Colonel, il y avait beaucoup de fusillades de rue et des meurtres sans arme à feu aussi. Seulement pendant quelques jours, la moyenne annuelle "norme" statistique fut dépassée. Le gang autoproclamé fut dispersé violemment. Seul Albert savait qui a "aidé" à cela que s'est produit. Il expliquait à tout le reste comme si tout ça s'est produit d'une manière spontanée.

          The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/11/the-teleportation-part-1-chapter-13-act.html

          Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/21/1277

Tuesday, February 16, 2021

Chapitre XII. Itchkérie. La téléportation. Partie I.

           Le vieillard Paul n'était jamais dans la Tchétchénie montagnarde, mais il était à Grozny plus d'une fois. Directement de la taïga a-t-il téléporté à une des ruelles sombres de cette ville. Cet endroit était proche de la gare routière. Il y a quelques jours, il déjà a été ici pour apprendre l'horaire. Il était encore tôt le matin. Le seul autobus vers Shatoy devait se mettre en marche dans démi-heure. Paul a acheté un billet de bus et essayait de rester plus imperceptible. Il ne prenait jamais le passeport avec il, ce n'était que des exceptions rares, sinon Albert juste ne croirait pas quel âge a-t-il et il passerait devant l'ami neuf pour un menteur et par conséquent comme un homme pas assez intelligent. Même maintenant dans l'époque démocratique pouvaient-ils le détenir à milice sans raison, juste par vieille habitude, notamment sans passeport. Néanmoins, il serait pire avec passeport, parce que là-bas il est écrit, qui est cet homme et d'où est arrivé celui-ci qui est capable de disparaître de la cellule de telle façon merveilleuse. Ils emporteraient les preuves qui sont recueillies contre gang de Colonel, y compris la cassette, et il devrait travailler de nouveau et puis aller à travers ce point plus encore. En addition, sa personne intéresserait les autorités compétentes plus que tous les crimes de la "fosse aux serpents" ensemble.

          Tout a passé bien et dans demi-heure était-il assis sur le siège arrière de l'autobus près de la fenêtre. La ville bientôt était quittée en arrière et l'autobus roulait maintenant à travers la steppe un peu vallonnée et monotone et la petite diversité était ajoutée par les villages avec petites maisons blanches en briques de l’adobe.

          La vue de fenêtre a changé immédiatement dans le grand settlement Tchichki. Encore en avant d'arriver à ce village, des pentes herbues de petites montagnes ont paru au-devant qui étaient couvertes par endroits par les arbres, peu ressemblaient et ces collines peu ressemblaient aux collines de la Sibérie orientale. À Tchichki déjà étaient debout les montagnes de tous côtés. Beaucoup de monde sont descendus de l'autobus, autres gens sont entrés. Ils parlaient beaucoup entre eux en langue qui la prononciation de laquelle semblait dure mais belle, avec les inhabitudes intonation et rythme. Il semblait que personne ne faisait attention au vieillard, mais ce n'était pas en fait comme ça.

          Sur le chemin plus loin, la gorge a commencé à se rétrécir vite. Au lieu des pentes avec l'herbe verte claire les murs sévères de pierre étaient debout maintenant, parfois presque verticals, parfois plus hauts que l'Empire State Building à New York. La route bien serpentait au bord de l'abîme et on pouvait entendre comme la rivière Argun rugissait en profondeur près de soixante-dix mètres malgré le bruit de moteur. Çà et là pouvait-on voir les pierres des tombes avec inscriptions en arabe. Parfois pouvait-on voir plusieurs tombes ensemble. C'était donc que plusieurs victimes d'accident de voiture ont trouvé sa fin ici. Le vieillard regrettait qu'il n'eût été ici avant. Teberda où il avait voyagé est une chose et ceci en est une autre. Chaque région est belle de sa propre manière. Toute la Terre est belle et variée. Il avait eu tort quand depuis longtemps après avoir visité Teberda, il avait cru, comme s'il connaît bien maintenant tout le Caucase.

          Néanmoins, il fallait réfléchir sur l'affaire aussi. Il savait depuis longtemps que le peuple vit ici de l'amiable manière et ne laisserait  pas offenser à ses voisins du village, mais malgré cela ne voulait-il pas que quiconque sauf les plus proches relatifs de fille périe voie les documents qu'il transportait avec lui. C'est pourquoi quand il est descendu de l'autobus, il essayait de ne parle avec personne et de ne questionner, comment se rendre jusqu'au village, dont il avait besoin. Il savait approximativement le chemin sans questions, car le village souhaité se trouvait sur la carte.

          Il déjà a passé Chatoy. La route se sépara de la gorge et maintenant passait à travers du terrain accidenté. Les pentes herbues approchaient de la route parfois s'en rompant abruptement, parfois doucement et devenaient la pelouse plate, comme près de Moscou. Les arbustes se tenaient parfois sur les côtés, et il serait difficile à les traverser. La forêt parfois aussi pouvait-on voir sur les montagnes, mais loin. Après avoir marché près de six kilomètres, Paul est entré de nouveau au grand village.

          Les passants que le voyaient au village, le regardaient avec curiosité. Après avoir passé le centre du village, il s'arrêta, en essayant d'incarner l'endroit dans la mémoire au cas où, à téléporter ici immédiatement, sans faire un détour long à travers Grozny. Trois garçons qui avaient environ dix ans coururent devant il et ils questionnèrent non assez correctement en russe:

          -Tu vas sur montagne?

          -Oui, - Paul répondit seulement, car il ne savait parler tchétchène.

          Il alla plus loin et passants le suivaient par des regards surpris. Il comprenait, s'il parfois avait provoqué l'étonnement des gens à Moscou, dans cet endroit avait-il l'air notamment comme un corbeau blanc et la milice peuvent s'intéresser à lui. Il alla plus vite et quand sortit du village, il s'arrêta. Il était en train d'être debout pendant environ cinq minutes en apprenant le paysage pour téléportation de nouveau.

          En risquant de répéter tous le voyage long, il téléporta à un endroit de nocturne New York qu'il connaissait bien. Il ne pouvait s'habituer tout de suite à ténèbre et marchait presque aveuglément et bientôt sortit à Broadway et il y avait eu autour de lui des tours, des grands immeubles, des magasins, des boutiques, des offices fermés et des paroles anglais malgré l'heure tardive. Le bruit l'inattendu de beaucoup de voitures frappa les oreilles. Tout ça l'excita un peu et quand il téléporta en retour, en couvrant les yeux par les mains, afin de ne pas réduire la vue à cause de la lumière soudaine du jour, il fut heureux, parce qu'il a réussi à revenir à l'endroit nécessaire, en dépit du fait que les paysages inhabituels étaient plus difficiles à mémoriser. Il faillit continuer de marcher avec sourire contente, mais il se rappela qu'il ne pouvait pas avoir l'air heureux, en portant le message tel terrible. Il s'arrêta, pria et continua son chemin.

          Il restait trois kilomètres à marcher, de plus en plus près. Au bord du village où il vint, il y avait quatre hommes qui avaient environ de trente à quarante ans. Ils étaient debout et parlaient en leur langue. Le vieillard Paul s'approcha d'eux et prononça lentement et clairement:

          -J'ai besoin des proches de la jeune fille Souleymanova.

          Tous ils se figèrent comme sur commande et le regardèrent comme si en questionnant. 

          -J'ai besoin des très proches relatifs de Souleymanova, - le vieillard répéta lentement et clairement, - de la même fille qui s'est allée à Moscou et n'est revenue pas.

          Maintenant ils parlaient vite, comme si s'interrompant l'un l'autre. Enfin ce qui était le plus âgé, il cria brusquement quelque chose puis il prononça un monologue incompréhensible. Après cela se tourna-t-il au vieillard par dire:

          -Tu dois aller avec nous ensemble.

          Tous ils l'ont entouré et se sont dirigés, d'abord au centre du village. Le vieillard ne parlait rien contre cela.

          -Est-elle vivante? - questionna un d'eux.

          -Non. Néanmoins, je sais qui a commis cela. J'ai toute l'information avec moi. Je suis venu pour raconter et montrer. Mais d'abord est-ce les plus proches relatifs qui devaient être informés plus tôt que les autres.

          -Nous sommes tous proches relatifs d'elle et tu vas avec nous, où il faut.

          Tous ils ont froncé les sourcils et ont parlé tchétchène de nouveau. Il y avait le seul homme qui eut parlé avec Paul, ça voulait dire qu'il parlait russe mieux que les autres. Maintenant autre d'eux prononçait une longue tirade, comme s'il serait en train de jurer de quelque chose et à la fois regardait-il à Paul comme à un cafard. Il paraissait que les autres le maintenaient dans le calme.

          -Je te questionnai: "Est-elle vivante?" Tu répondis: "Non", mais tu sais qui le fit. Ça veut dire, tu arrivas non demander d'argent, mais tu veux dénoncer à nous ceux qui le firent. Sont-ils tes ennemis? Est-ce que tu étais la mafia, puis as-tu une querelle avec eux? Tu voulus que nous vengions?

          -Il n'y a rien de mauvais que je vais raconter et montrer la vérité à vous. Mais d'abord, c'est les plus proches relatifs d'elle qui doivent être conscients de ça. Ils peuvent ne pas avoir désir de le montrer aux autres habitants du village. Elle est périe. Ils ont mal. Et tous le village le verrait.

          Celui-ci qui était au lieu de traducteur, il se tourna à celui-là qui était le plus agressif. Le regard méprisant, bien qu'il était encore sombre, mais maintenant, il vient de devenir interrogatif. Le traducteur se tourna au vieillard de nouveau:

          -Pourquoi dis-tu "montrer"? Pourquoi "tous le village verra"? Tu as une cassette vidéo? Donne-la à nous, n'aie pas peur. Je ne plaisante pas et ne te triche pas. Cet homme, - il toucha par palme l'homme qui était en train de regarder à Paul, - il est le frère d'elle. De quel relatif proche encore peux-tu avoir besoin?

          Paul s'est rendu compte que même les Russes dans cet état de choses, c'est la plus probable qu'ils s'abstiennent de tricher et de canular. Il a tendu au frère de la victime la cassette et plusieurs feuilles de papier reliés par trombone. Il y avait toute l'information qui aiderait à pénétrer "au-delà des lignes ennemies". Les habitudes et inclinations des complices probables étaient ici décrites. Y comprises, tous les détails, même les codes des entrées des immeubles nécessaires, les schémas des appartements, les numéros de téléphone et adresses, les plus probables endroits des séjours de chaque complice certains jours de la semaine.

          -Ici, tout est filmé qui s'était passé vraiment. Et ici, j'ai réussi à rassembler toute l'information pour les trouver et les attraper.

          -Es-tu sûr que nous vengerons?

          -S'elle était ma fille ou ma petite-fille, je même vengerais pour elle. Vous verrez que j'appris tout sur eux et c'est la tâche plus difficile que les tuer. Je-même pourrais le faire, mais d'abord faut-il apprendre la vérité.

          Il était visiblement qu'ils ont aimé ce que le vieillard a dit. Celui-ci qui était au lieu de traducteur, il a dit leur quelque chose, c'est probable qu'il ait traduit les mots de Paul. Ils parlaient longtemps et le traducteur enfin se tourna au vieillard.

          -Je m'appelle Sultan. Je suis désolé, néanmoins tu nous as dit telles choses, nous devons vérifier et apprendre tout mieux, c'est pourquoi nous te ne pouvons laisser aller. Jusqu'à l'instant quand nous saurons tous les faits, tu dois séjourner chez nous. Nous n'allons pas rapporter de toi à milice, mais tu n'essaye pas de t'évader. Celui-là que te gardera, il s'appelle Khalid. Si tu tentes de courir, il tira. Si tu es un homme honnête, nous te laisserons aller après tout. Si ce que tu as écrit ici et as dit soit la vérité, nous pouvons même aider à toi. La milice te cherche?

          -Non. Mais cet homme qui a commis cela, il a les connexions avec hauts patrons dans la milice. Ici, il est écrit tout, - le vieillard pointa aux papiers pliés en deux que le frère de la fille tuée tenait dans la main gauche.

          -Nous avons nos propres connexions. Ses connexions n'aideront pas à lui.

          -Tu évadais de la clinique psychiatrique qui est située dans la ville Bragouny? - le frère de la victime a posé la question de la manière inattendue. Il était vu qu'il ne blague pas, mais se raccroche à n'importe quelle version, comme ceux que se noient, ils se raccrochent à une petite herbe. Parce que si tout cela est délire d'un fou, puis sa sœur peut être vivante.

          Ils ont quitté la route il y avait longtemps et ils marchaient maintenant le long du sentier qui sinuait d'une façon compliquée parmi les arbustes. Ils ont atteint le haut, mais il vient de devenir clair que ce n'est pas un point haut, mais une diminution de la déclivité. La montée toujours continuait et est devenue bientôt escarpée plus que qu'elle était avant. Ils continuaient à monter le sentier jusqu'à ce qu'ils se sont tournés à gauche et leur chemin est devenu comparativement horizontal.

          Après avoir entendu leur conversation, un homme à la barbe noire sortit à la rencontre. Il était habillé en camouflage et portait le papakha malgré l'été.

          -As-salaam alaikum.

          -Wa alaikum as-salaam.

          La conversation continua de courte durée. L'homme barbu se tourna au vieillard: 

          -Maintenant, tu vis chez moi. Je m'appelle Khalid. Ici, tu t'alimenteras normalement. Tu visiteras aussi la toilette comme d'habitude. Mais n'ose pas fuir, - et il pointa à l'étui latéral, puis à l'escalier, lequel le vieillard devait descendre.

          Il le descendit. La porte était ouverte. Avant être entré, il se tourna à Khalid et dit: 

          -Tu n'auras pas à tirer, parce que je te le jure que je n'évaderai pas à travers la porte. J'évaderai à travers le mur.

          -Il y a dix mètres de la roche de pierre. Tu la rongeras par dents ou gratteras par ongles? Après l'avoir dit, Khalid éclata de rire d'une voix tonitruante, mais s'arrêta soudain. Tous les quatre hommes qui l'accompagnaient, ils le regardaient et il a compris qu'on ne peut pas rire maintenant. Seulement, ils n'ont pas encore dit à lui qui s'est passé à Moscou.

          -Ne laissez qu'un stylo et une feuille de papier à moi, - le vieillard demanda, quand ils le fouillaient.

          -Tu veux écrire des mémoires? - Khalid questionna. - Même tu n'as pas l'arme? 

          -Je suis arrivé non faire la guerre, mais à raconter la vérité, c'est-à-dire ce qui s'est passé.

          Après avoir fouillé Paul, Khalid parla en tchétchène de nouveau avec les accompagnateurs. Après avoir parlé un peu, il se tourna au vieillard, en disant:

          -Il y a le repas dans la table de nuit. Voici la couchette. Il y a une toilette au-delà de cette porte. S'il est nécessaire nous appeler, appui sur ce bouton. Voilà un interrupteur à s'allumer la lampe. Ne casse rien. Sinon tu devras travailler à compenser le dommage. Nous allons te traiter bien, car nous croyons que tu es innocent. Néanmoins, pas de mauvais tours.

          Khalid parlait russe avec grand accent, mais plus correctement que Sultan.

          -Néanmoins, je m'irai à travers le mur, parce que je ne suis pas un être complètement humain. Un homme ordinaire ne pourrait pas voler cette cassette de la mafia.

          -Ce serait bien si tu es un fou que se soit évadé de Bragouny. Puis pourrait-on espérer que sa sœur soit vivante, - Sultan dit de la manière triste, en pointant Souleymanov.

          Tous ils sont sortis de la cave à l'escalier et seulement maintenant remarqua-t-il que ce que se fermant derrière lui est la porte lourde avec un judas comme en prison. 

          Il fut assis à table, sortit le stylo et un morseau de papier qu'ils laissèrent à lui. Il essayait d'écrire en lettres d’imprimerie le long des lineas. Le feuill était arraché du cahier quadrillé.

          "Chers amis. Je ne voulais qu'aider à vous. Quand vous le vérifiez, vous verrez que tout ça est la vérité. Puis vous comprendrez que je suis votre ami. Ne reprochez pas à Khalid, car même un régiment de soldats ne me pourrait pas garder, parse que je suis un extraterrestre. Allah suit avec vous! Pardon et au revoir à jamais!"

          Un seul mouvement et il est dans la taïga. La nuit est comparativement lumineuse.

          -Hey! Olesya! Olesya! - Il cria de toutes ses forces.

          La voix répondit faiblement. Olesya était à portée de voix, mais assez loin. Il se mit en marche à la direction de la voix et bientôt ils réunirent.

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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/17/1172

Friday, February 12, 2021

Chapitre XI. Le linge sale. La téléportation. Partie I.

           Les cataclysmes sanglants des années trente et quarante qui frappaient presque tout le monde comme les épidémies de peste au moyen Âge, maintenant ils sont devenus silencieux, en partant, ont-ils clignoté comme deux soleils mortels au-dessus du Japon. La glace froide sans vie a gelé le soi-disant le camp socialiste. À première vue parfois pouvait-on voir des gens dans la rue qui souriaient, même riaient et parlaient vif. Néanmoins, c'était des zombies. Ils réfléchissaient d'identique manière, ils étaient habillés de la même manière, ils aimaient (comme si) les chansons et films identiques, même des partenaires sexuels choisissaient-ils aux critères identiques. Quant à ceux qui ne pouvaient pas ou ne voulaient pas d'être identiques, on les anéantissait, mais maintenant on le faisait de l'autre façon et discrètement.

          Le harcèlement à l'école, le harcèlement à l'armée, la perte d'emploi, le lancement eux jusqu'aux échelons les plus bas de l'échelle sociale, les conflits accidentels et fatals, les maisons de fous, les concentrations camps qui distribuaient l'homosexualité avec l'hostilité; la mentalité et l'opinion publique qui prônait en fait l'impiété, l'ivrognerie, l'agression et le suicide en cas de certaines sortes des échecs dans la vie. Tout cela fonctionnait comme les pièges bien mises pour ceux qui ont osé exprimer une dissension. Après avoir mis les pièges, le chasseur peut mettre son fusil de côté et se reposer.

          Comme un faisceau de petite lanterne dans l'obscurité totale, il ne fait que souligne cette obscurité, de la même manière le dégel de Khrouchtchev, a-t-il servi comme le même contraste, en soulignant la fermeté et inviolabilité de l'ordre public corrompu et glacial. Le mal apocalyptique a fait l'échange. En faisant certaines concessions, il a reçu en retour "la paix et l'ordre". Beaucoup de gens dupés croyaient comme si cet ordre serait à jamais. Beaucoup d'entre eux aussi croyaient comme si les gens vivent de cette façon partout et les pays ne sont que rivals qui reprochent l'un l'autre en détails, en étant identiques en fait. En réalité, cet équilibre ampoulé était comme une souche pourrie. Et voilà enfin, grace à les presque imperceptibles mouvements de la vie qui ne peut pas s'arrêter, cette "souche" a commencé à se ruiner. 

          La respiration fraîche de la vie se précipitait dehors et était-elle en train de casser les obstacles anciens comme l'herbe de printemps casse l'asphalte. C'était la fin de désespoir et de désolation! Enfin, on peut vivre comme on lui plaire; on peut aimer comme il est propre à la nature personnelle d'individu; acheter et vendre librement; faire affaire librement, ouvrir une entreprise propre et n'être pas considéré à cause de cela, comme un criminel. Assez beaucoup de gens exprimaient les plus brillants espoirs et c'est naturel. De la même façon au printemps, lorsque la température atteigne 5 dégres au-dessus de zéro, il paraît que l'été est en train de commencer. De la même façon quelqu'un qui a reçu un bon prix, il se sent comme s'il deviendrait Rothschild.

          Le mal ne voulait pas s'aller. Tandis que beaucoup étaient heureux grâce aux changements et commerçaient librement où qu'ils soient, le mal recherchait frénétiquement les moyens nouveaux de séjour dans cette partie de la terre. Il n'y avait pas difficultés avec ça, parce qu'il y avait eu assez des exemples de la prospérité du mal en condition de l'entreprise occidentale libre, y compris, en Sicile et dans les plus arriérés quartiers nationals de New York. Sur le territoire de l'ex-URSS, l'essence humaine en étant bien corrompue par l'esclavage et le rouge fascisme, elle s'est avérée très convenable pour les expériences neuves. Tous d'un pays transformait graduellement en similitude d'un quartier arriéré. Il y était en train d'avoir une division du territoire. Tous ceux qui faisaient des affaires, ils devaient maintenant payer soi-disant "toits de gang", dont représentants étaient en fait les soldats des formations illégales qui exécutaient si nécessaire des fonctions de sécurité et si nécessaire des fonctions punitives. Il y avait au-dessus d'eux des fonctionnaires corrompus locals et des employés anciens des dissous départements du KGB qui ont commencé à servir des admirables instructeurs de la violence et des actions punitives, car ç'avait été leur spécialité.

          L'État s'est lavé les mains. Il pouvait maintenant être considéré comme celui-ci démocratique, considéré comme un pays qui permet d’espérer qu'il s’améliorera devant les pays occidentaux avancés, pour obtenir plus les prêts occidentaux et d'autres avantages des relations internationales qui sont en train de s'améliorer. Et le sale boulot, à cause de lequel le pays ne pourrait pas s'approcher du monde civilisé, maintenant était exécuté par les mêmes "toits de gang". Non seulement l'argent allait aux mains en haut avides grâce à ces groupements. Les gangs aidaient au pouvoir à garder toute l'entreprise sous contrôle. C'est ce qui est très important pour les coutumes de l'esclavage féodal de ce pays, où les gens libres avec le respect de soi étaient toujours détestés et considérés comme effrayants. Ces gens pourraient créer beaucoup de corporations indépendantes, sans saleté traditionnelle de l'entreprise russe qui est un grand obstacle du développement économique. Grâce à l'absent de la saleté réussiraient-ils beaucoup et les idiots arrogants seraient abandonnés sur la touche, comme la risée du monde entier. Mais les gens qui ne sont pas paresseuses qui sont prêtes à travailler bien, ils vivraient sans doute dans le contentement et la prospérité. Ce serait la fin pour les "rois" locaux, c'est pourquoi les idées contre l'Ouest étaient mis en tête aux hommes ordinaires.

          Les initiatives les plus brillantes et les plus avancées de l'Ouest, après avoir atteint les frontières de la Russie, subissaient une transformation monstrueuse, en devenant des caricatures déformées au-delà de la reconnaissance de soi-même. Un exemple avec "Herbalife" est assez. C'est évidemment si comparer combien des gens avaient été qualifiées dans les États Unis, en Allemagne et en Israël et personne en Russie. (Selon les données du revu "Herbalife to-day" en 1995)

          Voilà pourquoi on jouait la carte patriotique si passionnément. Les communists qui ont adoré en premier lieu l'idole de la "Mère-Patrie" et en deuxième lieu l'idole de Lénine, ils non seulement n'ont pas été exposés à la "chasse aux sorcières", mais il n'y avait eu aucun procès à la Nuremberg contre eux, pour mettre au pilori la diabolique science de Marx à jamais, car le fruit de cette science a été devenu le génocide inouï.

          Le mal apocalyptique en l'URSS ancien avait besoin de deux conditions: 1)Que la communauté globale le tolérerait. 2)À garder le plus de ses postes possible. Comme en 1956, de la même manière en 1991 devait ce mal faire des concessions qui n'étaient pas petites. Et la soi-disant démocratie, malgré toutes ses difformités était-elle bien meilleure que l'injustice ancienne du pouvoir soviétique. C'était encore loin de "l'été", néanmoins, "l'hiver" déjà s'est fini. La plus probable que ce fût "le début du printemps".

          La guerre qui n'était pas trop perceptible entre les "toits gang" pour les sphères d'influence, allait terminer. Qui devait être au-dessus de ces "brigades", c'était décidé "en haut". Le groupe qui oserait menacer sans accord "du haut", elle serait anéantie par l'OMON immédiatement. Le destin de chaque son membre ne distinguerait pas du destin d'un petit voleur qui est arrivé à la ville inconnue et a essayé de faire les poches et est attrapé.

          Colonel travaillait à l'époque de Brejnev en Mordovie comme un investigateur, au rang de capitaine de la milice. Sa passion maniacal de devenir un colonel, a été la raison du surnom qui n'est pas si rare. Il avait sur les bras beaucoup de victimes innocentes, beaucoup de personnes qui étaient emprisonnées sans être coupables et beaucoup d'années que ces gens avaient y souffert. Beaucoup de ceux qui ne voulaient pas avouer les crimes qui avaient été commis par les autres, étaient-ils mutilés par il avec ses collègues. Cela aidait à ressentir lui la puissance, à se délecter d'elle. Cela aidait lui aussi à lutter pour plus de puissance. Cette passion étouffait en lui tout le reste d'humain. À cause du mode de vie comme ça ne pouvait-il pas faire sans attaques du mal de quelque chose d'inexplicable. Parfois, il réussissait à neutraliser partiellement ces attaques de la dépression à l'aide de la démonstration du pouvoir sur les prévenus et suspects. Malgré sa vanité et son catissage brillant, il était très malheureux et rendait kes autres malheureux.

          À l'époque de la perestroïka, lorsqu'on a commencé à l'appeler un chat un chat d'abord timidement puis à la manière assurée, il était démasqué soudainement pour lui-même. Pendant le travail en Ministère de l’Intérieur a-t-il réussi à voler beaucoup et encaisser des pots-de-vin et aussi à obtenir des connexions qui se sont avérées maintenant très utiles. Mais la plus importante aide que les protecteurs puissants pouvaient apporter à lui, ce n'était que le débarrasser de l'emprisonnement prolongé aux camps. Il ne se rendait compte qu'après quelque temps que la proposition de partir de son propre fait et de partir de Mordovie à jamais avait été la plus grande aubaine pour lui. Néanmoins il l'a compris comparativement vite. Y compris, un homme de ses amis de haut rang, dont le grand-père a été un bourreau dans la Loubianka aussi, ils étaient à table tous deux avec une bouteille de cognac et cet homme ont expliqué à lui ce qu'il même déjà commençait à comprendre:  le retour ce qu'il a été avant la perestroïka n'est pas possible. Même s'il est possible, il ne sera rien qui ressemblerait au passé. Il faut chercher sa place jusqu'à ce qu'il ne soit pas trop tard, c'est-à-dire, à occuper sa propre niche dans la situation qui s'est changée.

          Après avoir  vendu l'appartement à Saransk, Colonel a acheté une datcha près de Moscou. Il immédiatement était mis comme le brigadier d'un des "toits de gang", bien sûr, une aide "du haut" a eu lieu. Après avoir reçu cette place en fait bien rémunérée, il a fait des économies pour l'appartement à Podlipki et il s'est installé fermement dans la région de Moscou, en enlevant des meilleurs morceaux un par un des autres hommes d'affaires. Les protecteurs l'arrêtaient d'habitude, quand il allait au‐delà des mesures, ils lui faisaient des allusions, où on peut et où on ne peut pas, et il avait appris à comprendre ces allusions bien. À son tour essayait-il d'être utile à ses maîtres, mais l'intuition leur suggérait même sans ce fait qu'il est l'homme qui appartient à leur cercle. Il se rendait compte bien que presque tout est permis à lui. Il n'y avait qu'une line qu'il ne fallait pas traverser; c'était la perturbation de l'opinion publique, mais il n'avait aucun besoin de cela. Quant aux fusillades tandis qu'il y a la division de territoire, tout le monde y est déjà habitué. S'il même ou les gens de son gang "s'amusaient" avec les jeunes filles, les victimes étaient choisies selon certains few signes et le principal d'eux était le fait que la victime elle-même voudrait faire comme s'elle serait invitée à venir et est venue ici grâce à sa propre initiative, parce qu'elle était sans préjugés et choisissait une option raisonnable, après de laquelle le loup est repu et la brebis est indemne, et elle se rendait compte que résister ou plaindre serait impensable et inutilement. À objectivement le regarder, il ne serait pas correctement, si le considérer comme un crime grave, parce que la plupart des victimes ne sentaient qu'un petit malaise moral. Très différent si la victime considérait que sa vie est ruinée après cela. Comme d'habitude c'étaient les filles qui sont venues des campagnes lointains différents. En cas comme ça, ils la faisaient de boire de la vodka ou des drogues bon marché et les poussaient hors de la voiture sur la route loin de leurs repaires. Quand une jeune fille de la nationalité qui est capable de se défendre était attrapée, Colonel a décidé d'agir sans céder. Ce ne l'a que provoqué. À montrer à tout le monde, y compris, en premier tour à soi-même qu'il n'y a rien qui pourrait être exception à l'égard de son pouvoir. Afin de ne pas créer un problème inattendu, il a tué la victime et un concurrent désobéissant avec elle, au cas où.

          En travaillant avec les documents volés, Paul est arrivé à conclusion que l'initiative de capturer des points rentables allait en général de Colonel qui avait le soutien des personnes assez influentes du ministère de l'Intérieur. Bien qu'ils ne se soucient pas de l'ordre dans lequel les dollars ont été mélangés ci-dessous, néanmoins, ils ne voulaient laisser être offensé leur chien fidèle qui les avait bien servis. Si leur enfant emporte des jouets où il ne sera pas des conséquences indésirables, laisse le s'amuser.

          Paul se rendait compte, comme grand chanceux a-t-il été, mais regrettait à cause de très lourd prix que certains gens avaient payé: la vie de la victime innocente est perdue. Il pourrait éliminer cet homme sans cela, monter les salauds l'un contre l'autre, comme avait fait-il dans le passé plusieurs fois. Également regrettait-il, car il comme si tire sa poudre aux moineaux. Seulement, lorsqu'il avait eu soixante-dix, il a compris que la profession d'un éclaireur, c'est-à-dire, de l'agent secret serait pour il plus préférable que celui-là de l'acteur. Il se rendait compte que selon sa vocation serait-il mieux pour il de naître au Japon médiéval, par exemple, en clans Iga ou Koga, où il pourrait devenir un ninja de haut degré. Néanmoins, Seigneur a décidé de l'autre manière et ça signifiait que ce destin est mieux pour il, cette expérience est plus utile pour il que n'importe quelle d'autre qui paraît que plus séductive et à première vue plus convenable. Néanmoins, c'était un peu ennuyeux malgré tout, car où est-ce qu'il pourrait être un professionnel et obtenir un résultat similaire les mains vides, mais au lieu de cela devait-il appliquer un outil si puissant, à l'aide de lequel pourrait-on renverser le monde.

          Mais il était consolé à cause des tâches plus difficiles qu'il même a inventées et avait à accomplir. À enseigner Albert non seulement la téléportation qui était comparativement facile, mais aussi faire de lui un agent du monde vif et à infiltrer lui en ce monde des gens stupides et méchants. Aussi quant à Olesya. Même souvenant le nom d'elle, il se sentait plus jeune. Pendant un certain temps, il ne faut pas l'enseigner la téléportation, mais après la mort d'il doit-elle être capable de se défendre. Elle devra réussir à trouver autre amant, soit il sera vieil s'elle aime tels amants, mais soit il ne sera ni idiot ni traitor.  À tout prix, pendant il est vif, il faut faire d'elle une citoyenne des États-Unis. Néanmoins, il n'est capable téléporter que seule. Le vieillard ne savait pas de manière approfondie l'essence du mécanisme de la téléportation qu'il utilisait. C'est probable que l'aura environnante lui emporte avec elle le vêtement qu'il porte et toutes les choses qui sont dans ses poches grandes, y compris même la hache. Mais il ne pouvait pas prendre les autres gens avec il, même en étant câlinés. Il ne pouvait pas prendre avec il une grande valise aussi. En dernier recours pouvait-il par exemple téléporter à New York en restant la main qui est en train de tenir la valise en région de Krasnoïarsk, puis laisser la valise et sortir la main ou revenir entièrement sans lâcher la valise de la main. On ne pouvait pas téléporter avec des personnes et grandes choses.

          Le vieillard réfléchissait de tout ça, en accomplissant un travail monotone. Basé sur les matériaux collectés, il était en train de rédiger un texte qui aiderait aux proches de la tuée fille Tchétchène à exécuter l'acte de juste rétribution. Le texte sur lequel y avait-il beaucoup de ses empreintes digitales, il a photocopié et ne touchait qu'à travers des gantés ou plus souvent à travers d'autres papiers. Il a déjà récrit plusieurs fois cette vidéo sinistre. La cassette originale déjà est remise à sa place depuis longtemps. Quand tous les matériels étaient prêts à transférer, il allait comme d'habitude à dire au revoir à Olesya et auparavant avait dit qu'il parte et reviendrait à minuit. Elle ne savait rien pour la téléportation et croyait que le vieillard va à la taïga personne ne sait pa pourquoi. Elle croyait que toute cette "fosse aux serpents", comme le vieillard l'avait intitulé, se trouve à Krasnoïarsk. Néanmoins, s'il se rendrait à Krasnoïarsk par transports en commun, en étant sorti de la maison tôt le matin, ce serait un problème de réussir à revenir à minuit de la même journée. C'est probable qu'il fait de l'auto-stop pour l'argent. Le cool vieillard-amant d'elle ne cachait pas le fait qu'il a beaucoup de dollars dans les poches. Les paysages du film ne la faisaient pas suspecter comme si Paul parte lointain et rapidement. Les mêmes bandits avaient pu visiter les villes éloignées, en premier lieu à la Capitale, où ils avaient enlevé la jeune fille. À la fin, le vieillard pouvait influencer la situation par l’intermédiaire d’amis qu'elle ne savait pas.

          Elle-même ne pouvait pas s'exposer devant les habitants du village. Ils pouvaient connecter avec la milice et elle pourrait être ramenée de force à l'orphelinat où ceux salauds-là la maltraiteraient de nouveau. Sans désir rester chez soi quand il fait tel bon temps, elle a demandé à se promener dans la taïga. Le vieillard l'a amené à travers le passage secret. La clôture séparait de la forêt la partie arrière de la cour. Il y avait une porte discrète dans la clôture. Elle a vu que les poches de vieillard étaient remplies à la limite. Après être marchés un kilomètre et demi, ils ont dit au revoir et le vieillard a interdit strictement à elle de lui suivre. Il y a cinq minutes, comme il s'est allé et, néanmoins, elle a décidé de le suivre. Elle a couru sans bruit au côté où il pouvait se trouver, mais Paul comme s'il soit tombé dans l'oubli.

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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/17/1172

Sunday, February 7, 2021

Chapitre X. Une fosse aux serpents. La téléportation. Partie I.

           Après être réveillé, le vieillard était assis sans sommeil à peu près d'une heure. Quand il est devenu assez léger dans la chambre, il a commencé à distribuer toutes les choses à leurs appropriées places, un travail qui a pris beaucoup de temps aussi. Enfin, tout était fait et on pouvait s'aller. Immédiatement, le vieillard est revenu à sa propre maison campagne en région de Krasnoïarsk. Sur l'écran du téléviseur avec son gang frimait le maître d'appartement que le vieillard vient de quitter. Olesya ne dormait pas mais était assise toute pâle en regardant la télé. Les larmes roulaient sur les joues.

          -Tu sais? Ils l'ont tuée. Ils l'ont forcée de creuser la tombe pour soi-même puis l'ont tuée par quelque chose de lourd à la tête. Peuvent-ils te tuer? Il n'y a personne avec moi sauf toi. Personne d'autre ne me comprendra. Personne ne me fera ce que tu fais.

          Ça le flattait. Cette fille-là qui était la période de temps fantastique plus jeune qu'il, c'est-à-dire, quatre-vingts ans plus jeune, ne pouvait pas vivre sans lui. C'était la vérité. S'il est mort, elle sera abandonnée toute seule, tête à tête avec ce monde méchant et extérieur. Elle n'est pas prête. Elle peut s'avérer cassée. Il doit prendre soin d'elle. Pourquoi perdait-il cela de vue jusqu'à présent?

          -Est-ce que tu, Olesya, as-tu vu peu du mal dans la vie? - enfin, le vieillard a répondu. Pourquoi es-tu surpris?

          -Oui, j'ai vu beaucoup du mal, mais comme ça... Personne n'a été tué devant moi! Je n'ai vu jamais autant de sang!

          -C'est peut-être un film? Les acteurs jouent? Non. Pas acteurs. C'est vrai. Regarde le toi-même.

          -Alors le regardons et récrivons. Puis faut-il remettre la cassette.

          Le vieillard a rembobiné la bande au début et l'a appuyé sur play. Au début tout avait l'air comme un film érotique. Les hommes de main attiraient de manière drôle des jeunes filles dans la voiture, parfois ils les traînaient par force. Ce qui passait après, peut difficilement être considéré comme un traitement psychologique. Certaines jeunes filles qui étaient capables d'insulter un garçon timid, même de l'emprisonner pour viol qui n'avait eu point lieu en fait (les occasions communes dans ce pays), mais ici comportaient-elles comme si ces types seraient leurs amis vieux. Ou au moins faisaient-elles semblant comme si se serait comme ça. Gentiment, de la même manière comme avec l'amant bien connu, en résistant un peu pour ne pas paraître une putain, chaque fille passait à travers la copulation ordinaire, puis orale et anale. Après cela elle était comme d'habitude assise à table, ils donnaient à manger et prendre du vin à elle, parfois donnaient-ils à elle un peu d'argent de 1000 roubles (en 1993) jusqu'à 10 dollars, chacun d'eux pouvait dans ce cas prendre l'initiative librement. Après tout ça elle fut accompagnée ironiquement, en disant "Bienvenue à rendre visite à nouveau" et elle devait dire devant la caméra quelque chose de "Merci, garçons. C'était drôle avec vous". Un des cons essaya de jouer de la trompette "Adieu d'une Slave" de la façon assez discordante. Ainsi, une scène régulière finissait, autre commençait. 

          L'érotique a laissé la place enfin aux scènes d'affaire, si peut-on les nommer comme ça. Des truands avec ses chefs persécutaient les coopérateurs, les entrepreneurs individuels et en général tous les travailleurs indépendants. Si le film était muet, on pourrait croire que ce fussent les conversations d'affaire. C'était la technique de faire du chantage qui fut élaboré en avance. Cela passait sans crier, même dans les limites de la décence, mais trop monotone, et devenait ennuyeux à regarder. D'abord ils s'insinuaient dans le champ d'attention de la victime, en essayant débarrasser ce champ des objets étrangers pour que rien ne distrait, pour que toutes les choses, si possible, s'aillent aux arrière-plans, et qu'au premier plan ne resterait rien que les maîtres puissants et invincibles. Après cela essayaient-ils de prouver à l'aide de la logique qui paraissait irréprochable à première vue, pourquoi ne faut-il agir que de cette manière et pas d'une autre. Et maintenant l'accent était mis sur la "normalité" du compromis proposé et qu'"on ne fait pas" autrement.

          Pour ne pas aller trop loin et ne pas mener les clients au désespoir, ils faisaient croire comme si la compassion serait une partie de leurs intentions, c'est-à-dire, ils pourraient agir beaucoup plus cruellement et injustement, mais ils sont des "êtres humains" aussi et sont capables de "comprendre tout" et c'est naturel qu'ils exigent de la compréhension mutuelle. Néanmoins, dans le même temps exigeaient-ils de refuser de la manière sévère aux personnes du "toit" de gangster qu'ils paient constamment, ce qui était au-delà de l'acceptable. En même temps ils promettaient d'aider contre eux, en affirmant que les gangsters à qui ils payaient jusqu'à présent ne sont que des pitoyables nullités et candidates mortuaires, où ils, en étant omnipotents, les enverront, s'ils osent bouger ou s'en prendre. Les clients devaient rester moralement battus et dévastés après "conversation" pareille. Soit les maîtres nouveaux sont omnipotents en fait, soit ils les piègent pernicieusement, mais ils n'avaient le choix. La voie proposée était limitée très durement, le long de laquelle il fallait aller, sans dévier d'un petit peu ni à gauche ni à droite, indépendamment de que ça plaisait ou non. L'ancienne vie libre qui n'était limitée que le paiement du tribut, est devenu un rêve chimérique.

          -C'est strange, pourquoi comportent-ils comme il ne faut pas? - le vieillard a pensé à voix haute. - Laissons ça. Démêlerons après.

          Les offices sont remplacés par la ville. Moscou. Centre-ville. Il paraît que c'est près du Goum. Une jeune fille qui est debout aux cheveux sombres mais pas noirs sous le foulard. Elle a l'air que n'est pas locale. Il y a beaucoup de choses près d'elle, les valises, les malles. C'est probable qu'elle est restée sur les à garder un oeil. Des mains fortes l'ont attrapée soudain par-derrière et elle s'est avéré comme prise en étau. Il n'est passé que quelques secondes et deux dos larges aux costumes chers ont bloqué l'image. Il paraît que l'objectif de la caméra était avec distance focale changeable, parce que toute la compagnie s'est déplacée vite, sans secousses, en devenant quatre fois plus loin.

          -Bonjour, Tanika! Tu es incroyable! Nous te cherchons à travers toute Moscou pendant toute la journée. Allons avec nous ensemble. Il te versera un verre en prime...

          À regarder de l'extérieur, cela avait l'air d'une scène des aventures d'une compagnie soûle et gaie, mais on ne sait pas pourquoi, les regards de passants ont tourné à la direction opposée. Quelqu'un qui filmait cette vidéo, maintenant il a tourné l'objectif dans la même direction.

          Soudain, Olesya a appuyé la "pause" et rembobiné un peu la cassette en arrière, puis elle a appuyé "play" et cette fois a-t-elle appuyé la "pause" à temps, quand la fille "provinciale" a apparu sur l'écran de nouveau, après d'être bloquée par les types vêtus en suits. Le vieillard a presque commencé à gronder sa fillette élève aimée, mais il a prononcé au lieu de cela:

          -Quelle réaction! Voilà, c'est la jeunesse. Je l'ai presque perdu de vue.

          -Elle est  inconsciente ou presque comme ça et ils l'amènent comme une soûle, en badinant gaiement. Quelqu'un des types en suits a étourdi la fille par frapper.

          On pouvait voir clair sur l'instantané que les types ne menaient plus la fille, mais ils la supportaient pour qu'elle ne pas tomberait sur les jambes pliées.

          Olesya laissa aller la cassette de nouveau, et de nouveau ont les passants commencés à se tourner à la direction "incorrecte". Maintenant, on pouvait voir comme deux jeunes types cheveux courts qui combattaient entre eux à l'autre côté de la ruelle. Le combat s'accompagnait d'obscénités, de menaces et d'insultes mutuelles, pour lesquelles pourrait-on être tué au camp de prisonniers. Néanmoins, il y avait dans ce combat quelque chose d'ostentatoire. Malgré le sang du nez qu'un d'eux déjà avait, il y avait beaucoup de sauts complexes et mots forts. 

          -Connard! Assez! les flics viennent!

          Les deux soudain ont cessé de se battre et se sont allés à un rythme rapide et ont disparu dans la foule. Chacun qui a regardé ce film, il comprendrait que ce n'est qu'une distraction ordinaire, mais les passants dans la rue qui sont occupés par ses propres affaires, ils ne pouvaient remarquer que la lutte, à la raison de laquelle ont-ils manqué l'événement principal. Même les flics ne sont pas des surhommes et pourraient manquer l'enlèvement et s'ils auraient remarqué et attraperaient, la compagnie malgré tout avait beaucoup de chance de s'en sortir et de n'avoir que petit chaud aux fesses ou de rembourser.

          Et voilà, il y a la victime enlevée sur l'écran. Elle déjà est expliquée pourquoi est-elle ici. Elle est assise à table. Ses interlocuteurs ne sont pas vus. Elle parle lentement et avec un accent particulier.

          -C'est peut-être comme un jeu pour les filles de votre pays, mais je ne peux pas faire comme ça. Notre coutume l'interdit. Je ne serai pas la même après ça.

          -Est-ce que tu crois que tes sentiments nous inquiètent?

          -Les sentiments ne sont pas seuls. Si vous ne me touchez pas, vous pouvez obtenir dix mille dollars pour moi à condition que je revienne la vierge. Ils n'ont plus d'argent que ça. Si vous avez besoin plus, ma vie est finie. Si vous me touchez, vous n'obtiendrez rien. C'est l'infamie. C'est possible que je meure et personne ne vous donnera de l'argent.

          -Et tu parles sur cela de telle tranquille manière?

          -J'obéis à la volonté d'Allah.

          -En fait. Nous avons quelque chose de réfléchir, - une voix plus sérieuse a déclaré. Nous ne filmons que pour envoyer la cassette à tes proches. Si tu demandes que nous ne te corromprions pas, est-ce que ça veut dire que nous ne t'avons pas touché?

          -C'est vrai comme ça, - la voyageant fille a répondu avec un accent inhabitude sur "a".

          -À quelle adresse faut-il écrire. D'abord, nous avons besoin de connecter avec eux, - le même homme a dit avec pragmatisme dans la voix derrière l'écran.

          -Itchkéria. Il est préférable écrire "la république Tchétchénie", sinon peut-on perdre la lettre... Région de Chatoy...

          -Tu es hors de ton esprit! - la voix d'un voyou retentit de nouveau. Tu sais que... Tais-toi!

          -Oui, je le sais. Et je sais plus que toi, - la voix de "l'homme d'affaires" a prononcé de nouveau. Olesya ne savait pas pourquoi se sentait-elle mal à l'aise à cause de cette voix. -

          -Maintenant, je viens de me rendre compte de ça. Notre Сolonel aime l'exotique.

          -Tu te tairas enfin? - et transforma sa voix immédiatement en gentile et doucereuse: Continuez, s'il vous plaît.

          La jeune fille tentait de se rendre compte de l'idiome russe sur un colonel et l'exotique, mais il paraît qu'en vain. Elle a nommé le village, nom et prénom et dit qu'il faut écrire l'adresse complètement pour que la lettre parvienne. Elle se rendait compte ce que ces gens n'iront pas là-bas à aucun prix, même si leur conscience serait pure devant les proches d'elle. Elle savait leurs habitudes plus qu'ils savaient le caractère de son people.

          -Votre proposition est assez séduisante, et probablement que nous l'accepterons, - enfin a retenti la voix de "l'homme d'affaires". Néanmoins, nous devons vous emmener à l'endroit sûre pour nous.

          Changement de l'image. Apparemment, c'est une datcha.

          -Camarade Colonel. Un trophée précieux est capturé. Une gonzesse. Sais-tu d'où est elle? De la même Tchétchénie! Tu n'as pas eu encore d'expérience avec quelque chose de pareille! - fièrement a rapporté le jeune propriétaire de la voix impertinente. Maintenant, il fut sur l'écran, mince, long, avec petite moustache et presque tous les cheveux sont coupés. Il ne portait aucun uniforme. Son rapport ne vient d'être qu'un bavardage vide.

          -Assez bouffonner, connard! - la voix de "l'homme d'affaires" a retenti. Il-même enfin a apparu au champ de vue. C'était un homme d'âge moyen, dans des lunettes de soleil à la mode et bien nourri comme un chat gros.

          -Colonel. Sans blague. Je prendrais garde au cadeau pareil. Ils sont capables de pourchasser pire que la police criminelle.

          -Il ne possède personne que moi ici la voix décisive, - le Colonel dit et il même enfin est tombé dans l'image.

          -C'est-il lui, - c'était le mot qui du vieillard s'est échappé. Il regardait à l'écran, ayant l'air menaçant, et continuait:

          -Ça veut dire que ton surnom est Colonel? Je crois que tu ne devras pas commander longtemps après ça. Olesya, est cette jeune fille de Tchétchénie qu'ils ont tuée?

          -Oui, Paul. C'est terrible! Quelque temps a passé dès qu'a-t-Olesya appuyé "la pause". Le vieillard n'était pas contre et continuait la conversation:

          -Je sais, tu n'as traité jamais ça. Tchétchènes sont un peuple admirable, bien sûr, si peut-on parler comme ça de n'importe quel peuple de tout. Encore dans l'époque de Staline ont-ils sauvé des vies de beaucoup de dissidents. Ils les cachaient et ainsi de suite. Soljenitsyne a écrit de ça. Ils n'ont pas l'habitude de maltraiter quiconque sans raison. Pour ça ont-ils la coutume de venger. S'ils sont vindicatifs, je suis le même. Je ne peux pas oublier certaines faces du camp de prisonniers. S'il y a un désir, je suis capable de les tuer tout de suite. Es-tu surpris que je dis les choses pareilles, en étant un chrétien.

          -Explique.

          -Le Seigneur pardonne les gens qui viennent de se repentir. Mais ne se repent presque personne. Par exemple, je pardonne à Balda pour tout, car il est mon frère de la foi, malgré le fait qu'il est un baptiste. La chose principale que je sais, sa repentance est sincère. Tu le sais. Il habite ce village.

          Olesya hocha. Elle connaissait tous les habitants du village, laisser les la voir serait un risque. Le village était en voie de disparition, car il y ne reste que les vieillards et vieilles. Les autres se sont allés aux villes. Olesya laissa aller le bouton de "pause" qu'elle avait appuyé en commencement de la conversation avec Paul.

          Colonel regarda à la fille Tchétchène sévèrement et méprisant. Quant à "l'homme d'affaires, son surnom s'avéra "Donut", il ne retira encore ses lunettes jusqu'à présent. Il s'approcha de Colonel, se leva la pointe des pieds et chuchota à lui quelque chose à l'oreille. Le regard de Colonel  devint plus maléfique. Enfin prononça-t-il:

          -Tu entends, bête? Nous n'avons pas besoin de ton argent! Deshabille-toi!

          Il paraît que la fille obéissante commença à déboutonner sa robe en haut. Soudain, elle sortit un grand couteau du sein et frappa Colonel dans l'abdomen, néanmoins l'acier brillante cogna quelque chose de dur. C'était un gilet pare-balles situé sous la veste en jean. Elle a réussi à frapper en deuxième fois, mais elle manqua le but et au lieu du cou frappa le couteau dans un os en haut de la poitrine. Elle n'avait assez de force à percer l'os. En même instant, la fille attaquante fut faite tombée par Donut. Il la frappa à coup de pied dans le plexus solaire presque de toutes ses forces, mais cri aigu de Colonel "Arrête!" le mit dans un état second et le coup s'est avéré doux.

          -Je viens de vouloir de mieux, prononça le type dans lunettes, avec l'air coupable. - Elle te pouvait blesser gravement.

          Colonel déboutonna la chemise en haut. Le sang suintait un peu de la blessure fraiche.

          -C'est vous, deux pigeons qui ont manqué la fouiller. On pouvait voir que Donut était prêt à se mettre à genoux. - Eh bien. Les balafres ornent. Allez, Donut, appelle Malingre, - ordonna le colonel.

          -Malingre! Malingre! - Donut cria de toutes ses forces jusqu'au degré qu'il est rougi.

          Malingre est venu en courant avec grand bruit, à en juger par le son, il vient de monter l'escalier de telle manière, en respirant difficilement.

          -Vous deux, la surveillez. Je me vais à me panser. Vous devrez travailler, comme un châtiment pour ce que vous avez manqué de la fouiller.

          Maintenant, la fille se leva.

          -Allonge-toi! - Colonel et Donut ont crié à la fois.

          -Ne la frappez pas. J'ai besoin d'elle fraîche. Elles sont toutes vierges là-bas, même lorsqu'elles ont 18, si ne sont pas encore mariées. Si elle résiste, mettez ses deux bras derrière dos et jusqu'à la nuque et la laissez m'attendre.

          -Peut-être nous la laissons aller? - Malingre a prononcé de la manière obséquieuse et implorante. - S'ils nous trouveront, qui ira se passer ensuite? Ils sont pire que les flics, vengeront. On désolera pour la jeune fille.

          -Quand as-tu appris à désoler? Peut-être veux-tu te justifier devant la caméra? Fais pas ta fiotte. Malgré le fait que je tiens des cassettes pareilles, il y a l'alarme. Tous les flics sont nôtres. Les voleurs me connaissent et ne risqueront pas. Peut-être les humanoïdes arriveront-ils à voler la cassette puis moucharderont à son aoul montagnard? Je vais à revenir et nous la mènerons en excursion, - Colonel a souri vicieusement et est sorti.

          Il y a eu changement de l'image. C'est comme si un souterrain. C'est probablement dans un une cave équipée de la manière particulière. La jeune fille est encore habillée, même dans le foulard. Il y a une grille très épaisse et un jeune homme au-delà de la grille. C'est terrible à regarder à la face, toute bleue et avec les écoulements du sang desséchés. Un œil est fermé et dépassé comme une boule. Le deuxième est regardant sans aucune émotion.

         -Bonjour, nullité. Oh non. Votre majesté. Comment avez-vous dormi? Comment les mouches n'ont pas chié sur vous? Je vois que l'œil n'est pas crevé, - Colonel se tourna à Malingre. - le boxeur es-tu médiocre, -   puis au prisonnier de nouveau. - L'œil pourrait guérir, mais tu ne survivras pas jusqu'à ça. J'ai amené la femme à toi. Nous marierons vous deux aujourd'hui, postmortem. Est-ce que tu avais besoin de deux yeux, si tu n'étais pas capable de voir que personne que moi est le pouvoir ici? On t'a prévenu que cet endroit est le mien maintenant, - après dire cela il se tourna à la fille.

          -Colonel, dis à elle plus lentement, elle n'est pas capable de comprendre russe assez bien.

          -Est-ce que tu as un désir de voir telles choses qui ne peuvent d'habitude d'être vues même au cauchemar? Non. Nous ne te toucherons pas mais te mettrons sur une chaise et attacherons. Et tu verras tout, comme au théâtre au premier rang. As-tu vu jadis comme un être humain brûle vif? Ou comme on insère un fer à souder ardent au cul de quelqu'un? Ou par exemple, comme on force à manger propre main coupée avec garniture? - Il disait ces choses terribles de telle façon et intonation, comme si demanderait-il sur les voyages: "Avez-vous été en Floride. Avez-vous été aux Îles Canaries? Est-ce que vous a visité Rio de Janeiro? Puis Colonel continuait:

          -Ici c'est moi qui suis le pouvoir. Et le pouvoir doit être cruel et horrible, sinon ce n'est pas de pouvoir.

          -Mais qu'en est-il du président des États Unis? Il ne tue personne et ne brule, - l'inconnue fille malheureuse commençait à ouvrir les yeux dans la situation extrême.

          -Ca c'est une putain! De quoi dit! Tous vous regardez là-bas. Traitres. C'est juste qu'on vous a expulsé. Mon grand-père au NKVD travaillait. Il cassait les gueules à tels traitres en 1937 et après. Il les accrochait par les cheveux, forçait à être debout pendant deux semaines. Si tu résistes, nous torturons horriblement cette bête qui est au-delà de barreau et ne le laisserons mourir deux heures et tu regarderas à tout ça.

          -Néanmoins, vous nous tuerez malgré tout.

          -Si tu obéis, nous ne vous deux que fusillerons tranquillement et c'est tout.

          Elle enleva son foulard ostensiblement.

          -Préparez la chambre pour nous.

          -Que veux-tu dire?

          -Retirez de vue tous les objets perforants et coupants.

          Il y a le changement de l'image encore. La même scène érotique puis suivait, néanmoins sans le sex oral, parce qu'on pouvait attendre n'importe quoi de cette fille des montagnes.

          -Filmez, filmez-le sans timide, - la victime disait avec un accent particulier et elle comme si regardait directement dans les yeux du vieillard et d'Olesya.

          On ne pouvait pas le nommer un jeu d'amour. Même ce n'était aucune pornographie. C'était un crime qui méritait en fait de la vendetta. En savant ce qu'avait eu avant et ce que va suivre, c'était impossible de se distraire devant ces images.

          Voilà une image neuve. La lisière de la forêt. De gens scintillent dans la forêt, néanmoins, c'est la bande de Colonel. On peut voir assez loin à travers le champ. La fille est habillée de nouveau et creuse la terre avec la pelle. Elle a l'air triste mais sans pleurer. Comme si elle creuse la tombe en fait, mais pas pour soi-même mais pour quelqu'un de proche. Colonel a sifflé. Donut et Malingre sont sortis de la forêt.

          -Est-ce que vous souvenez ma promesse de vous charger par un travail comme un châtiment?

          Les complices viennent de faire attention et de rester immobiles, en attendant un ultimatum sévère.

          -Tout est assez simple. Elle ne peut pas s'enterrer avec ce con ensemble. Vous êtes ceux qui les enterreront.

          Un soupir de soulagement retentit immédiatement. Leurs visages et corps tendus devinrent vifs de nouveau.

          -Est-ce que vous voyez quel gentil suis-je aujourd'hui? Même j'essayerai de causer la mort légère à eux, - Colonel dit pointant à la jeune fille.

          Puis la caméra a pris le même type avec le visage cassé qui a été derrière la grille. Il fut couché dans l'herbe haute partiellement attaché.

          -Je vais aussi à expresser l'humanité à l'égard de ce type. S'il est battu je laisse travailler la fiancée au lieu d'il. On parle de ce que les spectres viennent pendant quarante jours. Tu, ami, viens chez moi à raconter, comme passerait votre nuit de noces chez vous dans l'autre monde. Tu promets?

          Le prisonnier taisait. Colonel cracha à lui avec méprise et s'écarta. Apparemment, la fille creusait longtemps et la caméra ne fixait que petite partie du travail. La fosse assez profonde fut bientôt montrée.

          -Bien joué, fiancée! Avant la mort as-tu travaillé bien. Ce sera estimé dans l'autre monde. Acceptes-tu de donner une interview avant la mort?

          Elle ne s'est pas figée, mais immédiatement en rassemblant son courage, encore avec le même accent, mais clairement a-t-elle exprimé:

          -Je ne sais pas si les gens me jugeront, peut-être, Allah me punira ou pardonnera. Il est miséricordieux. Je peux faire des erreurs, mais je crois que j'ai agi correctement. J'ai commis honte afin que sauver un être humain des terribles tourments.

          Olesya regardant tout cela avec attention, elle a éclaté en sanglots en deuxième fois, elle a tombé la tête sur la table et a bloqué le visage par les mains.

          -Tu es impressionable, c'est bien, reste comme ça, mais essaye d'être aussi robuste. Pas sans cœur, mais sensible et robuste à la fois. La chose comme ça est possible.

          Voilà les prisonniers sont tous les deux à genoux. Colonel est apparu en derrière. Il tient le pistolet Makarov à la main.

          -Je suis votre pouvoir, votre juge et votre bourreau, - Colonel prononça solennellement. Il était bien remarquable qu'à l'égard de mot "pouvoir" n'était-il point indifférent. Ce n'était ni sadisme ni simple mal cruel, mais c'était la soif de pouvoir sans mesure qui l'avait fait comme ça. Ce n'était que cette corde que le diable jouait, en anticipant de recevoir l'âme d'il.

          On leur a montré devant de nouveau. L'homme taisait triste, comme une idole mutilée et dépressive et la jeune fille eut mis les mains en prière et chuchotait quelque chose en langue natale et ses épaules tremblaient.

          Et de nouveau la vue de la derrière. Un coup de feu a sonné. L'homme tomba sur le côté avec un trou dans la nuque.

          -Venir à ton sens! Allah te punira! - la condamnée à mort a crié soudain. Olesya a éclaté en sanglots de nouveau. La fille périssante était du même âge.

          Coup de feu encore. Deuxième, troisième... Le chargeur déjà est vide, mais la fille continuait de prier, en pleurant. En rechargeant le pistolet, Colonel a crié avec frustration: 

          -Quelqu'un de vous! Apporte le pied-de-biche!

          Il a vidé le chargeur encore, mais la fille, en étant aux genoux, priait encore. Il était un bon tireur, mais il paraissait que les balles s'écartassent de la trajectoire prédéterminée. La colère et l'horreur superstitieuse et inconsciente l'ont dominé. Il a arraché le pied-de-biche des mains de Donut qui vient d'arriver, est couri à la victime et l'a frappé sur la tempe du côté droit. Il était entendu clairement comme quelque chose a craqué, un faible cri et le sang, beaucoup de sang...

          Un gros plan du visage affole du coupable principal de la tragédie qui vient d'arriver, est apparu sur l'écran.

          -Chacun et chacune qui est contre nous, ils finiront de la façon pareil, car nous sommes le pouvoir! Le pouvoir! Le pouvoir! il répétait frénétiquement comme un orateur naziste.

          Donut et Malingre, ils jetèrent les cadavres à la tombe qui vient d'être creusée. Ils étaient comme si des maisons avec foyers qui ne se sont refroidis encore, les maîtres de lesquelles viennent de se mettre en voyage inconnu. Un jour reviendront-ils dans ce monde à étudier la science éternelle de la vie, mais dans l'instant donné ont commencé à tomber des mottes de terre sur eux. Deux complices nivelaient soigneusement ce point de terre perturbée à la fin du travail. Ils faisaient le gazon qui ne distinguerait pas de l'environnement et l'ont arrosé. Dans quelques jours, il ne restera aucune piste de la tragédie, mais un simple ramasseur de champignons qui marcherait ici par hasard, il essayera de passer cet endroit plus vite, sans savoir pourquoi.

          Colonel est apparu sur l'écran de nouveau près d'une clôture de pierre au-delà de laquelle les cheminées d'usine fumaient. Il y avait une quinzaine des hommes du gang avec il. C'était une bravade devant la caméra sous la forme du rapport sur les "prouesses" de la bande criminelle. Ils parlaient sur des morceaux friands qu'ils avaient réussi à arracher dans les trois arrondissements. Comme il est apparu, le jeune homme qui est fusillé à l'orée de la forêt, il était un chef d'une "toit" de gang. Il se précipita à monter l'escalier social par la voiture d'enfer comme un papillon de nuit au feu et il était écrasé par cette voiture. Ils gardaient prudemment le silence sur la fille Tchétchène. Un des salauds se sépara du groupe et prononça brusquement, en regardant directement dans les yeux des spectateurs.

          -Nous sommes le pouvoir et ils doivent avoir peur de nous. Nous promettons que la série deuxième sera plus horrible. 

          -Je vais essayer que la série deuxième ne sorte jamais, salauds! - Paul prononça avec la haine dans la voix. En première fois le vit Olesya fâché comme ça. Il se rendait compte que ce serait une bêtise mais il avait désir à jeter quelque chose de lourde à l'écran.

          -Est-ce en fait que tu es capable les vaincre?

          -Je te déjà dis que je suis un magicien et on peut les vaincre facilement si on agit correctement.

          -Et quel magicien es-tu, méchant ou bon? - Olesya questionna de la manière séduisante.

          -Je tellement veux être bon! Mais je ne sais si je pourrais, - le vieillard répondit. - Alors, je vais me reposer, quant à toi, récris la cassette. Les leçons et tout d'autres sont annulés aujourd'hui. Parce que tu as reçu une grande leçon! Elle est plus importante que toutes les autres!

          Après avoir réfléchi un peu encore, Paul a résumé ce qu'il avait vu:

          -Je ne voulais qu'aider les amis de mes amis et j'ai telle fosse aux serpents, J'AI DÉTERRÉ TELLE FOSSE AUX SERPENTS!

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/11/the-teleportation-part-1-chapter-10.html?zx=1215def6e24a8f1e

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/17/1172