Wednesday, August 29, 2012

Chapitre IX (le dernier). "L'enleveur énigmatique".


Chapitre IX, (le dernier). 

          Bientôt Inga déboucha au sentier, presque envahi par bois, et se dirigea sur lui au Nord-Est. Elle attendait l'autobus à peu près une heure. Dans l'autobus, plein du peuple, elle fut debout. À Zagorsk à la place près de la gare, deux types stupides indiquèrent elle par doigt en souriant malicieusement. Inga se souvint que maintenant elle se trouve au monde hostile et se mit à multiplier en esprit des nombres de trois chiffres. Cela rendait certaines humeurs imperturbables et aidait à retenir les vibrations d'aura qui ne sont pas propres au milieu environnant social. Pendant qu'elle attendait le train électrique, on questionna quelques fois d'elle "quelle heure est-il?" ou "comment passer?" mais en fait, évidemment, tous ils bien tentaient de la discerner.

          Au train, puis au métro, elle fut assise, en surmontant la douleur suivante après les aventures d'hier. Les parents l'attendaient au jour le jour. Ils bien s'étaient calmés déjà. Inga en savait. Son enleveur, maintenant l'amant, il en avait pris il y a quelques années, en avant prises possessions de plusieurs ses cahiers d'école; cela n'était pas trop difficile pour sa nature constante. Il avait brisé beaucoup de papier avant d'apprendre à contrefaire l'écriture d'Inga et de faire la première lettre consolante pour les parents d'elle, qu'il ne pût discerner cette falsification qu'un expert professionnel. Voici le sens de la lettre dont il s'agissait que maintenant elle est une adulte avec sa propre vie et un de ces jours elle a l'intention à s'esquiver du village en direction inconnue, qu'elle se méfie de l'amie Tania, c'est pourquoi celle-là ne saura rien aussi. En s'assurant de l'enlèvement de jeune fille est bien préparée et en rendant compte que l'interruption de l'opération pratiquement n'est pas probable pendant quelques jours, il même envoya la lettre écrite, soi-disant, par main d'Inga, de la ville Konakovo. Il savait que les lettres vont lentement d'une province d'une autre région et le timbre de Konakovo sur l'enveloppe embrouillerait les traces de la fille perdue. 
          Les lettres suivantes étaient écrites par la fille, en fait. Inga les avait écrites et aurait fait cela bien sans peur de la punition. En cas de disparition et sans nouvelles de la disparue, l'imagination de parents aurait pu dessiner des tableaux bien plus terribles que ce qui passait en réalité. Leur inquiétude aurait été en vain. Il n'aurait pas été possible de la trouver, même si la sécurité du Bureau politique de la Partie Communiste serait-elle dépendue de ça. S'ils ne peuvent pas l'aider, soit quand même ils se calmeraient. 
Il allait à Moscou acheter les provisions de bouche et en envoyait lettres à la fois et pour revenir à temps et la "grue" n'aurait pas réussi à s'évader, en prenant le taxi, il dépensait l'argent comparable au salaire mensuel. Il revenait à temps toujours, avant que la prisonnière, qui était nourrie furtivement par psycholeptiques, revînt à soi entièrement. Dans la dernière lettre la "fille prodigue" promit qu'elle reviendrait à l'un de ces jours et n'indiqua pas auquel celui-ci. Après la troisième lettre, les parents malgré tout se décidèrent à faire savoir la police à tout hasard, en donnant leur toutes les trois lettres. Ils se remirent déjà. 
          Le juge instructeur Pouzyrkov s'engraissant et avec double menton, il est surchargé par deux cambriolages et pour comble un meurtre de couteau un indigène taquin, mufle et ivrogne. Le meurtre fut commis par un homme qui bien n'habitait pas ce quartier. Il réussit avec grande peine à se débarrasser de cette affaire qui fut rejetée sur les mains d'un collègue. De tout ça, il était prêt à s'emporter et injurier les visiteurs car il passait pour un cynique, un grossier personnage et un amateur des anecdotes grivoises parmi ses collègues. Si les gens peu connus devinaient sa profession à n'importe quelle cause et questionnaient lui sur cela sans détours: "Est-ce que vous avez un emploi aux organes?", Pouzyrkov transformait cela en plaisanterie, en répondant: "Je ne travaille bien aux organes que dans ceux-ci, de femmes". Néanmoins, en avisant un couple à l'âge à peu près cinquantaine et tous les deux bien habillés et étaient conformes aux standards soviétiques en temps de Brejnev, il se décida à ne pas se laisser aller et à prêter attention à l'essence de l'affaire. Il n'était pas stupide au point qu'il montre ces visiteurs son mécontentement et de plus en forme habituelle. 
          L'information apportée par eux le réjouit car elle ne le chargea d'aucun devoir. Il y eut bien insuffisamment de motif juridique à intenter un procès criminel selon n'importe quel article. Même mieux que cela. Un son copain du Comité (KGB) Zatsepin, le cabinet de lequel se trouvait au bout du corridor, il lui donnait souvent certains conseils sages, grâce à lesquels ses clients, c'est-à-dire, criminels sont pincés un peu plus heureusement. En réponse à cela, comme il convient, Pouzyrkov devait montrer les signes d'attention réciproquement, en donnant l'information qui peut par hasard se trouver utile. L'essentiel est de faire semblant qu'il tâche lui d'aider. C'est le plus probable que tout cela est une bêtise, mais parfois il y a des cas où la "bêtise" peut bien aider. Il savait qu'au présent le Comité est rendu perplexe par la recherche d'un certain écrivailleur insaisissable enrichissant la littérature dissidente et de plus répandant les tracts avec instructions de désobéissance au pouvoir soviétique et de la lutte contre lui. Un jour Zatsepin lui avait raconté que cet écrivassier recherché est enclin à l'enlever les jeunes filles. Depuis longtemps, il y a plus que dix ans, il était convaincu de la préparation pour enlèvement une amoureuse au quartier Kountsevo, où il importunait à parents d'elle au point qu'on lui avait emprisonné pour quelque temps, en accusant lui de voyoutisme. Il était impossible à prouver le fait de la préparation pour enlèvement et la découverte d'intention n'est pas une chose punissable, comme on sait. L'article deux cent six est une baguette magique pour ceux qui veut se débarrasser de quelqu'un mais et il n'y a pas de prétexte. 
          "Si c'est lui-même? Il ne faut jurer de rien. Il est plus probable que ce ne soit pas lui et qu'il n'y eût aucun enlèvement, néanmoins, il ne faut pas manquer l'occasion à manifester pour Zatsepin que toutefois je fais quelque chose pour lui. Si ça va - il se réjouira, espérera que maintenant peut-être il aille pincer ce graphomane et que ses chefs lui aille aille ajouter plus une bagatelle sur pattes d'épaule, - ainsi Pouzyrkov calcula en esprit. 
          -Bien sûr, je sais - dit-il à haute voix -. Vous sentez inconfortable, mais ne vous inquiétez pas. Vous voyez la jeunesse contemporaine, quelle elle est. Votre cas est mieux que ceux-ci pareils chez les autres. La vie la renseignera, elle deviendra plus sage. Il n'y a rien de terrible. Nous avions beaucoup d'occasions pareilles: les filles disparaissaient, même elles n'écrivaient aucune lettre, alors, en effet, nous dévions s'occuper de l'affaire avec peine. Puis elles s'étaient trouvée, comme d'habitude, après une querelle avec l'amant. Même décentes, aussi dans les bonnes familles. Mais ici, malgré tout, elle ne vous oublie pas et envoie les lettres à vous. À propos, en cas, est-ce que vous puissiez laisser ces lettres chez nous? 
          -Bien sûr, prenez, s'il le faut. 
          -J'en vous rendrai après. Et encore une demande, s'il vou plaît, apportez quelque chose écrit par sa main, un ancien cahier d'école, par exemple, ou... 
          -À votre service, nous en apporterons tout juste aujourd'hui, là-bas, quelque chose est sauvé. 
          -Donc, ne vous inquiétez pas! Elle n'est nulle part à jamais mêlée dans une certaine histoire négative. Seulement, à vrai dire, s'il y a l'exigence de l'argent dans les lettres, la situation aurait été assez dangereuse. 
          -À Dieu ne plaise! Vous-même voyez, elle ne demande pas de l'argent, elle ne nous que tranquillise et maintenant elle a "la vie privée" comme si la serait naturelle. 
          -Et quoi vous vous inquiétez? Elle musarde pendant l'été et reviendra, peut-être, en devenant plus sage. Si elle envoie les lettres plus encore, s'il vous plaît, apportez-les chez nous. Non. Tout est bien avec elle. C'est naturellement, quoique nous ne puissions accuser de rien ce type, donc la fille est adulte, néanmoins, il le faut faire venir à conversation, pour il ne se cacherait plus et ne ferait plus s'inquiéter le peuple. Quoique une fois il ait pu venir, se montrer à vous. 
          Les parents apportèrent les anciens cahiers d'Inga le même jour. Pouzyrkov demanda un autre copain qui était un professionnel de l'expertise d'écriture, à faire lui l'amitié, en passant sur canaux officiels, de vérifier la main dont les lettres étaient écrites. C'était une affaire de rien du tout pour expert, mais... il devait à vérifier quelques fois, n'est-ce pas une faute. Il s'est trouvé qu'il y a quelque chose d'impur. En fait, deux lettres étaient écrites par la même main que les cahiers d'école étaient écrits, néanmoins la première lettre fut un faux fait avec zèle. 
          Pouzyrkov galopa chez Zatsepin avec cette nouvelle réjouissante. D'abord Zatsepin fut envahi de la passion de chasse, mais lorsqu'il pesa le pour et le contre, il apprit qu'il ne réussira jusqu'à l'instant où la jeune fille perdue reviendra. 
          -Toute de suite, dès l'instant qu'elle reviendra, envoie-lui la citation à comparaître à la police, - Zatsepin recommanda à Pouzyrkov, - et moi, je converserai avec elle. 
Enfin, lorsque l'automne bien arriva, au milieu de l'été de la Saint Martin, deux délateurs de Pouzyrkov qui étaient retraités tous les deux et assis sur le banc près de l'entrée toujours, c'est ils qui dénoncèrent qu'Inga faillissant être perdue, elle apparut vers le soir au vêtement sportif en mauvais état, en chassures sportives bien usées et deux sacs pleins des champignons et des noix avec elle. 
          La grande ville ne fit pas une impression repoussante toute de suite. Malgré tout c'était une certaine nouveauté. Pendant quelques mois la forêt lui a réussi à ennuyer, mais cette place lui ennuierait pendant quelques jours. Néanmoins, pour le moment, avec curiosité regarda-t-elle à larges rues grondantes par ses autos qui encore n'importunèrent pas et l'asphalte plan, sans pentes et sans montées, sur lequel on marcha si légèrement, donnait lui le sentiment de l'aisance et de l'insouciance. Les parents la rencontrèrent amicalement comme une égale. En réponse elle leur inventa aussi amicablement qu'elle eût habitée une datcha avec un amant en contrée de Konakovo et l'amant racontait peu de sa personnalité car il est employé à l'institution de police. Puis il lui avait importuné et ils s'étaient querellés et il avait dit si elle ou quelqu'un d'autre essaierait de le compromettre, en réponse ce sont les ennuis qui suivraient. Finalement ils s'étaient séparés comme les gens nobles, à tasse de thé, il lui avait donné les champignons et les noix et elle était démarrée. 
          Inga fut pleine de compréhension et de pitié à l'égard des parents, lesquels elle avait dépassés bien loin en développement. Ces propres gens pour trente ans plus aînées qu'elle fut, malheureusement, ils n'auraient pu l'enseigner de rien. Si elle essaya de faire part de ses connaissances à leur, ils s'auraient bouchées les oreilles, et même si ils entendirent et discutèrent, malgré tout ils n'auraient compris rien. Elle eut mal en étant assise à table, mais elle n'en rien laissait voir et même cela l'excitait à l'une certaine manière. Mais alors il fut ajoutée la colère à l'état qui avait transformés ses proches en "zombies" avec perception du monde des Soviétiques, et il y eut quelques mois elle avait été de même et avait eu beaucoup de chances d'être laissée comme ça pour tous le reste de la vie, et toutes les amies restèrent comme ça, et maintenant il était peu probable qu'il fût intéressant à fréquenter d'eux. Et le seul homme avec lequel elle eut de quoi parler, avec lequel elle aurait pu parler avec sincérité passant toutes les bornes, toute la journée, maintenant il s'éloignait par train avec grande vitesse à nord-ouest. 
          Le jour prochain elle passa chez soi, en se reposant, en s'habituant à l'intérieur domestique, en dressant un plan pour les journées prochaines. Enfin le jour passa, le soir est venu. Un peu elle regarda le téléviseur qui bientôt l'ennuierait aussi. Et le matin elle a reçu la convocation de police. 
          -Va, ma fille, sinon il est inconvenant à se cacher. Pouzyrkov est un bon homme, il nous plaignait. Il s'intéresse à ton copain, néanmoins, il semble que les loups ne se dévorent pas entre eux. 
          La mère lui conseilla de s'habiller mieux. Inga obéit mais en cachette maintenant elle préférait de ne pas porter le linge de corps sous-vêtement. Elle sortit dehors. Il ne sait pas pourquoi elle se rappela comme son amant, en paraphrasant l'Évangile, lui avait dit soit pour rire soit pour de bon, il y eut quelques jour avant séparation: "Encore un peu de temps, et tu ne me verras plus; et puis encore un peu de temps, et tu me verras". 
Et elle le vit... Il regardait à lui du stand sous inscription "Ils sont recherchés de la police." 
                    
                    LA POLICE EST A LA RECHERCHE D'UN 
                    DELINQUANT DANGEREUX, NAISSANCE 1940 
                    SEDYKH VITALY ADAMOVICH... 
                    LA POLICE EN SERAIT RECONNAISSANTE... 

          Inga parcourut le texte jusqu'au bout. Là-bas il n'y eut plus même un seul mot de quoi ce "délinquant", pour lequel il est faite telle grande attention, a commis. 

Ce fut son "homme de la planète Terre", le nom de Sibérie, le prénom russe de l'origine latine et le nom patronymique polonais. Si vieux selon calendrier et si jeune dans la vie en tous les sens. 
          Inga bien intriguée, mais ne manifestante aucune émotion, elle entra dans le poste de police et salua poliment l'agent de service. 
L'ÉPILOGUE. 
          On la reconduisit vite de Pouzyrkov au cabinet de Zatsepin; en passant, elle réussit à voir une part d'inscription sur la porte "...affaires de la sûreté d'État". 
          Après avoir produit de l'impression décente sur tous les agents au cabinet de Pouzyrkov et au corridor, au cabinet de Zatsepin Inga fit lui les yeux doux en l'appelant "le chevalier de cape et d'épée". Il tâcha de parler sévèrement avec elle comme il fut possible, sortit la photo de son amant forestier, en nommant lui un "traître à la mère-Patrie", mais elle réussit de ne manifester aucune émotion à propos de tout ça et déclara qu'elle ne connaît pas cet homme et son amant réel, lui-même travaille à la police et sa place d'employer bien n'est pas dernière là-bas. 
          -Et ne grimacez pas, s'il vous plaît. Je ne sais rien et je suis sûre que vous ne me crèverez pas les yeux ou ne m'enculerez pas par soudoir brûlant, ou ne me ficherez pas les clous sous ongles! 
          -Néanmoins, je vais vraiment te fesser. Je peux te retrousser la jupe et fesser par ceinture! Alors tu chanteras à certaine autre façon! 
          -On vous a déjà dépassé, - à ces mots Inga se leva, en souriant, tourna le dos retroussa la jupe sous laquelle il n'y avait aucun vêtement. Les traces de la cruelle fessée récente ne restaient aucun prétexte pour doute. - Vous pouvez apporter votre obole. Pourtant je vais ménager votre réputation, ne pas crier. Fermons la porte!? 
          -Assois-toi! Sotte! 
          Toute de suite il comprit que ce n'étaient pas les parents qui avait fait cela. Il les avait vus, ce n'était pas leur travail. Alors... il est clair du tout. Elle est une masochiste et son amant est un sadique. Zatsepin travaillait à l'organisation où tout le monde bien savait ces choses-là. Néanmoins, il n'y avait rien de tel au dossier de son "client". Si c'est-il lui, alors la capabilité de jouer double jeu dans la vie privée l'honore. Mais ... bonne salope!.. Le dialogue entre eux changea au sujet plus abstrait, celui-ci de vie car l'opposition suivante pouvait abîmer sa réputation en fait. Ce n'était point une certaine Machka-Obligation, une mauvaise personne retenue à la gare de Kazan, mais la jeune fille audacieuse, brave et rusée, calculatrice, réservée où il faut et tout ça à la fois. La jeune fille qui eut réussi à se faire une bonne réputation devant les autres agents de police au-dedans de ces mûrs. 
          Ils tous les deux profiteraient du rapprochement pour tirer l'un de l'autre l'information sur le même homme. Quant à elle, à renseigner de quoi il avait commis et qu'est-ce que lui menaçait; quant à lui, à s'assurer de ce qu'il n'était pas le même "client" qu'il fallût saisir et emprisonner, mais un autre toqué qui aimait à fesser les jeunes filles et qui n'avait aucun rapport à la dissidence. La conversation finit que Zatsepin lui laissa le numéro de téléphone, puis ils se rencontrèrent et devinrent les amants pour un temps. 
Même deux fois il a bien fessé Inga avec ceinture selon sa demande. Plusieurs fois ils ont visité un restaurant. Son milieu soviétique était bien dégoûtant pour elle, c'est-à-dire, tous ces gens d'affaires maussades, ennuyeux et regardant de travers elle avec hauteur, les gens qui fait sa carrière à l'aide du chagrin et malheur des autres qui ne serait jamais estimé comme un criminel dans n'importe quel pays libre. Il était vu qu'ils n'approuvaient pas le choix de Zatsepin aussi, et avec cela ils savaient qu'il le faisait pour réussir dans l'affaire. Zatsepin a réussi à renseigner de tout cela qu'il était indépendamment de fait, ou bien son amant cruel était le même dont il avait besoin ou bien ne pas était celui-ci, il est peu probable qu'elle-même sût où il se trouvait au présent. Elle a réussi à renseigner à son tour qu'on le recherche ne se fondant que du motif politique, et on a envie de l'emprisonner pour longtemps, en l'accusant de propagande antisoviétique et autant que possible l'ajouter l'article 64 "Haute trahison". Quant à son crimes les plus "graves" ceux, il n'y savait personne sauf elle-même, c'est l'enseignement de Yoga et de karaté qui était défendu par Code criminel de la Russie. Quant à l'enlèvement, elle-même n'avait pas envie de se séparer de lui. En fait, depuis longtemps il avait blessé quelqu'un, mais c'était fini pour victime par l'hôpital pour quelque temps et pour l'enleveur par petits déboires , néanmoins d'un point de vue moral il était un acte plus héroïque que d'un crime. Avec Zatsepin, elle avait peu de commun, sauf sexe. Maintenant, il fallait penser, a quelle façon se débarrasser de lui. 
          Un jour Inga présenta Zatsepin à Milka qui était une de ses amies et estimée, pas assez juste, la première beauté dans la classe d'ecole. Elle le présenta comme s'il était le même amant, avec lequel elle avait été perdue tous l'été à la datcha de Konakovo. Cette ex-amie-là fut faite mourir d'envie jusqu'aux brûlures d'estomac, et Inga joia un peu la jalousie, mais sans surjouer, laissa enlever graduellement ce "bonheur". Zatsepin qui avait trente-cinq ans, il fut déjà importuné de la vie de célibataire et demanda Milka en mariage, puis ils se marièrent en février 1986. Son milieu trouva Milka plus préférable. 
          En 1991 après le putsch, l'administration cinquième de KGB, où Zatsepin travaillait, fut dissous, et il se trouva sans travail. En intentant à rattraper la perte, il se mit en aller et retourner en Turquie pour trafiquer et dans deux ans un jour, en se brouillant de quelque chose avec maffia, fut tué en escarmouche. Milka devint une ivrogne invétérée et est tombée bien bas jusqu'aux trois gares à Moscou, en s'égarant au milieu des clochardes et des putains bon marchées de là-bas. 
          En outre, en 1991 Inga prit connaissance d'un citoyen d'Argentine de la classe moyenne, partit à son pays et ils conclurent un mariage officiel. Ne soyez pas chagrinés chers lecteurs et lectrices, je viens de préparer une surprise pour vous: Antonio Pereiro et Vitaly Adamovich est la même seule personne. Ils ont créée une communauté pas nombreuse, c'est pourquoi peu connue celle-ci, qui continue l'œuvre d'Osho Rajneesh qui a quitté ce monde récemment, mais ils agissent conformément à sa propre filière. Qu'est-ce que peut-on dire sur les relations au sein du groupe? Le peuple est assez cachottier là-bas, et il est difficile à deviner le côté sexuel de leur vie, néanmoins au climat relativement torride tout le monde est habillé légèrement et temps à temps on peut voir les traces ou bien de verge ou bien de cravache sur les parties ouvertes des corps. Tous ils ont l'air content et heureux. Il n'est pas entendu dire d'un certain conflit grave au sein du groupe. Il n'y a plus les Slaves sauf Inga et son Vitaly qui maintenant s'appelle Antonio. Il a très peu gens du pays aussi, principalement la communauté consiste en gens de l'États-Unis ou de l'Europe. Dans les conversations entre l'un et l'autre, nos héros sont de plus en plus de passer à l'anglais ou l'espagnol. La communauté ne brille pas par une richesse extraordinaire, mais toutes les apparences qu'ils ont assez pour vivre très bien. 
          Presque chaque année nos héros visitent la Russie. Les amis de la communauté les accompagnent. Ils prennent les sacs à dos et vont faire du camping. D'habitude, leur parcours commence à partir du village près de Rogatchevo et prend fin à la même place où l'âme, vouée à une existence misérable dans l'ennui et l'ignorance jusqu'à la fin, a acquis les connaissances, la liberté et la voie vers perfection. 
          Il est remarqué, quand nos héros avec ses frères et sœurs d'esprit séjournent à la Russie, dans le triangle Moscou-Taldom-Alexandrov il ne pleut pas toujours. Peut-être, c'est une coïncidence fortuite... 
F I N 

Au commencement de la nouvelle: http://la-flagellation.blogspot.ru/2012/04/lenleveur-enigmatique-chapitre-1_23.html

écrit en russe 5-30 août, 1999. 
Traduit en français dès avril 23 jusqu'à l'août 8, 2012.