Friday, February 11, 2022

Chapitre IX. Baptême du feu. La téléportation. Partie II.

           Albert il y a longtemps se rendait compte avec qui avait-il affaire. Il se rendait compte dès l'instante, quand le pistolet donné à lui comme un cadeau avait tiré en première fois. Dans la fleur de l’âge, il était capable de réfléchir non pire que Paul qui malgré son âge bien savait comme calculer la situation, mais il pensait lentement et ne faisait pas confiance aux propres décisions si elles si ces décisions étaient prises rapidement. Aussi Albert se rendait compte que Kashin et ses copains furent déjà partis, et il savait à juger du temps, où leur voiture approximativement se trouva maintenant. Ils n'ont pas raison d'y tenir une sécurité très puissante et il pourrait seul les vaincre en disparaissant et apparaissant, à tirer pour tuer et disparaître encore. Néanmoins, les actions doivent être harmonisées pour meilleur effet. Cette pensée dernière l'eut fait téléporter à la région de Krasnoïarsk.

          Comme d'habitude, Olesya se fut allée faire du ski, cette fois avec Nadia. Le vieillard devait toute de suite venir chez lui. Dans cinq minutes il fut "apparu" en fait. Albert rapporta la situation.

          -Il faut agir à deux dans le cas donné. Tes parents, je connais leurs noms. Je dois maintenant frapper à la porte et demander comment vont-ils. Quant à toi, ce maton t'a déjà vu.

          -Mais comment trouveras-tu l'endroit? As-tu oublié comment avons-nous fait connaissance? Comme j'ai téléphoné à toi? Comme j'espionnais tous les points de ton apparition possible?

          -Donc, allons discuter, comment faut-il agir.

          Dans dix minutes tout fut décidé et Albert ajoutait les cartouches qu'il manquait dans son arme. Bientôt, les deux furent apparus près de la maison. Le vieillard s'approcha du portail et sans trouver une sonnette frappa. Albert observait de l'abri ce que passerait.

          -Qu'est-ce que tu veux?! Un coup à la tête avec le fût de l'arme?

          -Pardon. Je suis venu à la maison de vacance récemment et je voudrais voir les voisins. Je les connais. Ils habitent cette maison.

          Le portail s'ouvrit. Le maton mit son certificat directement près du nez de vieillard. 

          -Combien fois dois-je le répéter à tout le monde? Ne le vois-tu pas? Le service fédéral de sécurité. As-tu compris? Sécurité! Soit dois-je te piquer ton nez comme un chat?

          -Pardon, s'il vous plaît, mais je suppose que vous devez nettoyer votre cul avec ce certificat faux.

          -Quoi?!

          Un coup de feu retentit des sapins et le cri d'indignation du maton se transforma au hurlement de souffrance. Albert fut surpris, comment le vieillard réussit à saisir le fusil d'assaut si vite qu'il immédiatement jeta vers lui. Albert saisit l'arme.

          -Jete plus prudent. Dernier dont nous avons besoin, ce serait un accident. T'allonge!!!

          Le vieillard a compris le commandement à temps et tomba sur la neige comme poussé. Ils se sentirent terriblement à cause de grêle de balles qui retentit très fortement. Plusieurs balles sifflèrent près d'eux. La porte de la cave se ferma de la même manière inattendue comme il vint de s'ouvrir.

          Albert avec le fusil d'assaut téléporta tout de suite à la cave, il abattit avec courte grêle de balles à dos le type qui vient de tirer et se tourna en arrière immédiatement. Les yeux ne virent rien dans le premier instant après la lumière du jour, mais il reconnaît la voix de Sveta.

          -Alik. Sauve-nous! Garde-toi! 

          Il vit comme deux femmes en criant se pendirent sur le bras d'un maton, en essayant de priver son fusil d'assaut. Le maton les jeta brutalement, elles tombèrent, mais le fusil d'assaut glissa des mains. Lena s'approcha de lui à temps et fit une tentative de le frapper l’aine. Il paraissait que la tentative ne réussit que partiellement, néanmoins, un peu du temps fut gagné. Le maton ne pouvait pas atteindre son fusil d'assaut, parce qu'Albert était en train de pointer son arme sur lui.

          -Si tu tires, tes chiennes seront tirées du ricochet. Beaucoup des balles, la probabilité est grande, - le maton prononça avec une menace dans la voix. En utilisant la confusion courte d'Albert, il soudain sortit une grenade de son sein et cria comme un hystérique:

          -Tout nous nous exploserons! Tout nous mourrons! Va-t-en! Sinon j'exploserai tout le monde et moi-même aussi!

          Il n'y fut pas du temps à réfléchir, néanmoins dans la situation extrême, quelque chose réfléchissait automatiquement, comme si au lieu de lui. Il ne remarqua que la grenade toujours ne fut pas dégoupillée. On réfléchissait non avec les mots, mais si le "traduire", cela sonnerait comme ça:

          -Mon Dieu! Comme prendre garde à ne pas rater! Comme prendre garde à ne pas faire une faute!

          Albert disparut immédiatement et apparut en derrière d'ennemie. À la foit fit-il un coup de feu du pistolet et cela endommagea la main tenant la grenade. La main tomba comme un pendule. Albert tout de suite saisit d'elle la grenade et dirigea aux yeux d'ennemi un jet du vaporisateur au poivre. Mais malgré cela, en hurlant, il se saisit non aux yeux mais à la main blessée. Tout le monde au-dedans commença à tousser, les yeux à devenir plaines de larmes. Au contexte de ce bruit, personne n'entendit un coup de feu sonnant en haut.

          Néanmoins, Albert cria: "Soyez patientes un peu. Ne sortez pas! C'est dangereux!" En étant prévoyant, il téléporta au-delà de la cour, pas loin du portail. Après avoir glissé prudemment vers le portail ouvert, il vit la mère et le père qui viennent de sortir tous pâles sur le porche. Paul fut debout avec pistolet près de maton abattu par lui et interrogeait:

          -Est-ce exact que personne n'est resté dans la maison? Après tout, ils sont capables de tuer Alik, votre fils.

          -Bien sûr, non. Il nous gardait en étant seul. Il est sorti sur le porche après avoir entendu le bruit, et vous avez tiré tout de suite sur lui de l'abri, - le père répondit.

          -Mon Dieu! Nous avons vécu pour voir cette terreur! - la mère désespérait.

          -Paul, c'est moi! - Albert cria. - J'ai neutralisé les deux dans la cave. Nos femmes y sont. Il n'y a pas quelqu'un plus?

          -Non. Est-ce que tu es un meurtrier maintenant? - la mère questionna avec terreur.

          -Est-ce que vous aviez désir qu'ils tuent tout nous? C'est des criminels! Et allons à la maison, plus vite! C'est dangereux à se trouver ici.

          Après avoir vu que tout le monde obéit lui, même le vieillard, Albert se précipita à l'ouvrir la cave de dehors. Il déplaça la barre neuve et inconnue, mais il ne réussit pas à ouvrir la cave. Il devait téléporter au-dedans.

          -J'ai ouvert la barre dehors, mais le verrou est neuf aussi.

          -Prends des clés. J'ai les sorti de sa poche, - répondit une voix de femme en toussant.

          Le gaz auparavant diffusé du cartouche, forçait tousser, les yeux piquaient. Enfin, la porte fut ouverte.

          -Sortez toutes, chacune à son tour, laissez le fusil d'assaut et ne le touchez plus car c'est dangereux. Et entrez immédiatement! Toutes vous à la maison! Ne soyez pas debout ici! 

          Dans plusieurs minutes, après une conversation courte avec les parents, il devint clair finalement qu'il n'y a plus des ennemies capables de se battre. Ni à la maison, ni autour d'elle. Il paraissait que tous ils soient vivants, mais blessés gravement. En étant distraits pour exclamations et sentiments de terreur, les parents racontèrent que les trois chefs se furent allés par une voiture noire "Volga". Quand ils décrivaient ces "chefs", tout mit en place: c'étaient Kashin, Skolopendrin et Batogov. Les parents se sont souvenus même le numéro de la voiture qu'ils en ont eu marre de la voir chaque jour.

          -Oh, je vais pisser dans mes culottes! - Lena exclama inappropriée. - Oh, je pisserai! - et elle tomba sur le divan, s'en esclaffant fort de la manière psychopathique. Les larmes coulaient des yeux, mais elle toujours s'esclaffait de la manière sauvage et roulait le long du divan. Valia s'approcha d'elle et de toutes ses forces donna deux gifles sur chaque joue.

          -Lena! Reviens à toi! Elle cessa de rire et regarda maintenant à l'amie la frappant avec les yeux grands ouverts, comme si serait surprise. - Nous sommes sauvées. Soit Albert, soit Renald avec son ami, ils nous ont sauvés!

          -Valia! Il n'y a aucun Renald! Il est seul! Il n'y a aucun frère jumeau! Il n'existe qu'un seul, Albert! - Soudain elle fut envahie avec une envie de rire encore plus fou que celle précédente.

          -Hey, filles! - Albert exclama. - J'ai des morceaux de fil dans cette maison. Allons les prenons, chacun prend un, l'allongeons sur lo divan et la fouettons jusqu'au sang, tant qu'elle ne puisse s'asseoir! - en le disant, il faisait clin d'œil avec l'œil droit. 

          -C'est juste, - les deux amies affirmèrent.

          -Attachons-la à la table soit y a-t-il un banc? - Valia demanda. 

          -Il faut la fouetter en fait. Allons! - Sveta l'approuva joyeusement. Albert vit clairement que ses yeux brillaient de joie. Il sourit quand se souvint que bientôt il la présentera à Olesya qui est envahie de la même passion.

          -Filles. Ne le faites. Je suis déjà en train de me calmer.

          -Savez-vous tous que ces salauds nous ont promis? Qu'aujourd'hui après retour, ils la torturont pendant quelques heures jusqu'à mort devant nous et si nous ne disons où est notre amie Nadia avec Albert, la même chose ils feront à nous. Ce que pouvons-nous voir maintenant, c'est sa réaction hystérique à la libération de terreur, - Valia expliqua avec sa voix alarmée.

          -Ainsi, s'ils sont des criminels ou FSB? - le père d'Albert questionna.

          -À point de vue de la loi, ils sont des membres du FSB qui ont violé leurs propres règlements. Ils ont créé un département illégal sans en informer les autorités, - Albert expliqua. - Néanmoins grâce aux informations précieuses qu'ils ont obtenues, il faut s'attendre à ce que leurs chefs tant que possible essayeront d'étouffer leurs affaires criminelles. Si même serait-il impossible d'aller sans les emprisonner, les chefs utiliseront les informations obtenues par eux et laveront les mains, comme si l'institution n'a rien à voir avec ça.

          -Quelle sorte de délits ont-ils commis?

          -Regardez aux amies de Nadia qui sont sur les nerfs et toutes pâles. Ils les ont emprisonné dans la cave sans chauffage et elles devaient dormir sur le sol en terre. Et on toujours ne sait pas si leur santé endommagée soit ils iront sans conséquence. Et vous deux avec mère, ils n'avaient aucun droit de vous assigner à résidence et de changer la clôture autour de la maison. Néanmoins, si vous considérez tout ça comme des futilités, aujourd'hui, ils allaient de la torturer et tuer devant toutes les deux amies, et personne que Dieu ne sait, comment cela finirait si nous n'interférons pas. 

          -Néanmoins, avec rien que ses propres forces, vous ne deviez faire la guerre contre l'institution d'État. Vous deviez complaindre à leurs autorités.

          -Ils se sont allés, parce qu'un grand chef les a l'appelé, c'est-à-dire, leur major-général. Je possède des informations exactes qu'il est en courant sur les femmes emprisonnées illégalement et séjournantes au danger mortel. Mais il ne voulait rien faire à libérer eux. Son flatteur le questionna: "au cas échéant, nous laverons les mains?" Et il a répondu: "tu es perspicace".

          -D'où as-tu pris ces informations?

          -D'une margot, qui a l'apporté sur sa queue. Ne prenez pas soin de moi. Je peux garantir ma sécurité. Prenez soin de vous! Ve vais à emmener une voiture et payer le chemin. Allez à Moscou toute de suite. Voilà quelques numéros à téléphoner. Il est nécessaire d'obtenir la protection des organisations de défense des droits de l'homme. - Albert sortit un bloc-note, arracha plusieurs feuilles et il écrit vite quelque chose. - Voici les adresses auxquelles vous devez vous adresser et dire tout, comme il est arrivé. Il est nécessaire à visiter tout eux, ce serait plus fiable. Cela vous sauvera. Quoiqu'ils n'aient besoin de vous. Ils ont besoin de moi. Nous avons encore de la chance. Dans le temps du pouvoir soviétique, ils vous accuseraient de banditisme, c'est-à-dire, d'une attaque armée contre des employés du KGB. Mais maintenant, ils n'ont pas besoin de vous. De toute façon, ils ne voudraient ni publicité ni tension de la situation.

          -Mon Dieu! Quelle vie a commencé! - la mère ne pouvait se calmer.

          -Tu t'es souvenue Seigneur à temps. Convertis-toi et crois à l’Évangile.   

          Malheureusement, ces mots ne consolèrent point la mère du tout.

          -Je vais emmener la voiture bientôt. Attendez.

          Albert remarqua que le vieillard s'est debout tourné à côté.

          -Allons Paul. Nous devons faire à deux.

          Ils viennent d'entrer dans la forêt et Albert expliqua:

          -La voiture première emmènerai-je pour les parents. Tu embaucheras la deuxième, pour les filles. Grimpons au commencement de la route à cette direction. 

          Les deux disparurent et apparurent sept kilomètres d'ici à la route principale qui mène à Ouglitch.

          -Sais-tu, tes parents, ils devront aider à l'investigation à créer un portrait-robot de moi? C'est pourquoi j'ai tourné le dos. Pour rester dans leur mémoire plus vaguement. Je les comprends. Ils ont raison dans leur niveau de développement et il est impossible de changer cela.

          -Je sais. Aussi il est impossible les appeler aux États-Unis à vivre. Néanmoins, je réussirai à les diriger aux adresses. Sinon, il serait dangereux pour eux. Quant à ceux-là trois, je les exploserai. Cette grenade est venue à propos. Je dis de celle-là que j'ai pris de l'ennemi dans la cave.

          -Nous avons eu un tort dans quelque chose, - le vieillard répondit. - Nous avons risqué comme à la guerre malgré le fait que nous pouvions avoir fait tout sans cela. Tout est bien que fini bien et vainqueurs ne sont pas jugés, néanmoins, ce ne signifie point que nous aurons tant de chance chaque fois encore. Souviens-toi la deuxième tentation du Christ: à sauter de la muraille du temple. On peut considérer que nous l'ayons fait. Nous avons visité la guerre et avons reçu le baptême du feu.

          -Je les exploserai sans une sorte de risque pour moi-même. Je dois devenir un meurtrier.

          -Dieu te pardonne, mais ne donne plus leur de chance. Près de portail, celui-là type nous a failli tuer avec par grêle de balles. Dieu merci! Il nous a sauvés. Je ne disais pas à la présence des parents: ce type est mort. Nous devons évacuer du pays toutes nôtres. 

          -Nous le ferons.

          Albert bientôt trouva une voiture. Le chauffeur après avoir reçu cent dollars comme l'avance, il se mit à conduire vers le village nécessaire avec plaisir. Les parents furent prêts à partir en étant mécontents non seulement à cause de ça qui fut arrivé, mais aussi parce qu'Albert refusa à rouler ensemble. Dès qu'ils ont quittèrent le village, ils virent une voiture en direction opposée. Il parut que le même vieillard qui aidait à leur fils faire guerre contre l'institution d'État, comme si maintenant était-il assis près du chauffeur de cette voiture opposée. Aussi, peut-être que ce n'est pas lui. Ils doutaient. Ils ne suspectaient pas que les captives libérées maintenant roulent derrière eux le long de la route Ouglitch-Moscou.

          À calculation d'Albert, les trois ennemis principals étaient en train de s'approcher du village Veriguino. Il ne fit pas une faute, quand il a choisi un endroit qui est plusieurs kilomètres plus près de Moscou que Veriguino est situé. Dans cet endroit, la route serpentait beaucoup dans la forêt. Il déjà réussit à "grimper" à son appartement avec des fenêtres cassées, à prendre la jumelle. Il les vit, il n'y avait pas des doutes. Il entra en courant à la forêt et téléporta cinq cents mètres encore à la direction de Moscou, au Sud. La tension fut en train d'augmenter. Il sentait maintenant l'épouvantant pouvoir de la téléportation. Ceux-là qui chassaient à lui avant, maintenant transformèrent-ils en gibier sans défense. Dès que la voiture est devenue vue derrière un virage dans la forêt, la grenade dégoupillée immédiatement vola vers elle.  Ils ne réussirent rien à faire. Albert décida de ne pas s'allonger sur le sol, mais au lieu de ça il téléporta en retour cinq cents mètres au Nord et commença à s'approcher à pied. Le virage s'approchait inexorablement, et la scène épouvantable de l'auto brûlant s'ouvrit au-delà de lui. Albert se força venir plus proche non sans peine. Les silhouettes noires de ceux-là qui viennent d'être des passagers il y a quelques minites, ils ne montrèrent plus des signes de la vie. Il ne doutait plus: s'y eut-il une sorte des documents avec informations, tout fut entièrement consumé dans ces flammes? Il sentit un sentiment effrayant, néanmoins, il y avait un prétexte pour distraire. 

          Albert visita trois magasins connus de sport à Moscou, à Saint-Pétersbourg et à Kiev. Enfin à Kiev, il trouva la plus convenable tente à quatre personnes. Après avoir calculé le temps, il occupa un point d'observation. La voiture déjà connue passa bientôt devant lui. Il réussit à lire le numéro de voiture, celle-là est avec les parents. Ils continuaient leur chemin à Moscou. Bientôt, la voiture avec les femmes apparut et s'arrêta. Elles sortirent d'elle après avoir payé. Le chauffeur retourna et s'éloigna. Les amies commencèrent à regarder autour d'eux, soudain remarquèrent-elles Albert avec grand sac à dos. Il tenait aux mains trois autres petits sacs à dos. Il les donna aux trois amies. Ils commencèrent à chercher des voitures à l'ouest direction. Dans demi-heure, ils ont attrapé une. Quand ont-ils atteint l'endroit et ils mettaient la tente sur la neige, il faisait déjà sombre.

          Il devait encore avoir "volé" à plusieurs endroits pour acheter des sacs de couchage. Albert atteignit d'un magasin à Piter jusqu'au plus proche entrée et essaya de là de "grimper" à la forêt avec ce sac, mais il ne réussit pas. Il devait "entrer" dans chacun sac et ainsi il pouvait le prendre avec lui. Lorsque Albert se mit au quatrième sac, un mec qui allait chez lui, entra dans l'immeuble. Après avoir vu comme un homme vêtu complètement et même en chaussures, est debout dans le sac à coucher comme un culbuto, après avoir passé devant lui, il regardait longtemps en arrière, en étant surpris, puis marcha vite chez soi à partager de la nouvelle. Mais Albert n'a honoré personne avec un spectacle comme ça et téléporta à l'instant, quand la porte d'appartement a fermé derrière l'inconnu.

          -Endurerons-nous? - Valia questionna. - J'ai entendu à la radio de nos matons, on a promis jusqu'à vingt degrés au-dessous de zéro dans la nuit.

          -Il sera un peu froid, mais mieux que dans la cave. L'équipement, en particulier les sacs à coucher duveteux sont convenables au gel.

          Valia fut déjà informée qu'Albert est seul et aucun frère jumeaux n'existe. Les remords la tracassaient de nouveau. Aussi Lena était occupée avec les pensées sur sa trahison récemment, de quoi voulait-elle repentir maintenant. Elle voulait demander pardon devant tout le monde, mais elle était timide et ne savait pas comment le commencer. Chacune d'eux comportait de telle manière comme s'il n'est arrivé rien. Mais la plus grande chose de laquelle toutes les trois étaient étonnées, c'était les tours d'Albert de disparition et d'apparition qu'il devait montrer aujourd'hui plusieurs fois.

          -Comment tu le fais? - c'était Sveta la première que demanda.

          -Si tu sais de ça, le désastre mondial s'approchera. L'aventure te manque? Après tout, le but de nos ennemis était d'apprendre, comment je le fais.

          -Ils voulaient apprendre aussi, avec qui es-tu connecté et pourront-ils découvrir des laboratoires secrets s'ils te suivent. Un flic recruté témoignait dans un de leurs appartements secrets, comme si un vieillard détenu dans autres villes disparaissait plusieurs fois des cellules, mais les portes et fenêtres restaient sans être endommagées. Aussi au lieu de son devoir dans la station de métro "Komsomolskaya" à Moscou, plusieurs passants avaient été assurés qu'ils avaient vu un semblable vieillard savant comment être invisible et une sorte des cas étranges connectés avec lui avait lieu.

          -Je te félicite, fille courage, coquine et disponible! Maintenant es-tu notre agent. Et tu n'as plus raison de retourner aux ennemis.

           Deux autres amies furent surprises après avoir entendu l'étrange appel comme ça. 

          -Pardonnez-moi pour tout, - Lena enfin pouvait prononcer.

          -Punirons, puis pardonnerons, - Paul vint et dit en souriant. - C'est ça, les filles. Pendant quelques jours devez-vous habiter la forêt. Quand tout sera un peu plus calme, je vous maquillerai de telle façon vos mères ne pourraient vour reconnaître. Après tout, j'étais un acteur et je sais le faire. Et vous roulerez par train dans un endroit sûr dans un seul compartiment. L'appartement est déjà prêt pour vous.

          -Est-ce que maintenant dois-je me cacher pendant toute la vie? - Valia demanda.

          -Est-ce que vous voulez être emprisonnées? Ils peuvent vous forcer travailler pour eux au lieu de prison. Et quand ils cessent d'avoir besoin de vous, ils vous ne tueront pas de la manière ouverte, comme Kashin voulait, mais ils peuvent sans bruit soit simuler un accident, soit fabriquer une affaire criminelle. Est-ce meilleur de votre point de vue? Ne soyez tristes, mes belles. J'essayerai que vous ne deveniez pas des réfugiées éternelles. Aussi son Nadia est chez moi, - il pointa à l'Albert. - Il y a une amie encore. Tu seras d'accord avec elle, c'est exact, - il cela dit en souriant et en tournant à Sveta. - Alik, soit cela serait une surprise pour elle.

          -J'ai compris, - Albert dit et sourit.

          Tout le monde commençait à cueillir des broussailles et alluma un feu de camp assez vite.

          -Alors, maintenant il sera plus amusant, - Valia dit et dès qu'elle pensa proposer de chanter, la voix de Sveta interrompit tout eux:

                    Une étoile inconnue brille.

                    De nouveau c'est loin de domicile.

                    Malgré ça j'essaye d'être tranquille.

                    Encore entre nous beaucoup de villes.


          Et tout le monde rejoignit à chanter toute de suite. Au bout de la chanson, un sentiment de joie envahit chacun d'eux. Albert appela le vieillard à s'écarter et partagea une pensée:

          -J'ai tué les quatre aujourd'hui, j'ai explosé les trois par grenade avec leur voiture et l'un d'eux à l'aide du fusil d'assaut dans le dos, et je suis une surprise pour moi-même: je chante des chansons avec les filles, comme si de rien n'était.

          -Tu n'es pas un criminel, mais un guerrier. Et nous avons vaincu aujourd'hui. Tu as reçu ton premier baptême du feu. Donc tout est naturel.

          Ce temps à Moscou Paukov, déjà fut-il en courant de la mort de Kashin et de deux participants de son aventure. Kovalev était assis dans son bureau et tremblait comme une feuille de tremble. Le général était en train de marcher aller et retour et d'exclamer: 

          -Imbéciles! Ils les ont explosé comme des cons et toutes les informations ont-ils mené dans le néant avec eux! À quoi bon avaient-ils  besoin d'agacer celui-ci qui possède grandes forces?! Est-ce qu'ils ne pouvaient pas se faufiler d'une manière silente? Il pouvait exploser demi-Moscou à cause de ses putains! Et je vois que tu veux ça! Tu es un con, car tu as proposé de répandre les photos d'elles comme des criminelles dangereuses!

          -J'avoue ma culpabilité, oncle Kecha.

          -Je ne suis aucun oncle mais le camarade major-général!

          -Oh!.. Qu'est-ce que c'est... sous la table!

          -MERDE DE CHIEN!!!

          Le vieillard Paul après avoir apparu de rien sans témoin, en chancelant de rire était-il en train de s'approcher de sa maison de Sibérie.


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