Monday, April 23, 2012

Chapitre I. L'enleveur énigmatique.

       Ses yeux viennent de s'ouvrir, on dirait, d'eux-mêmes, en brisant le cours des pensées vides, qui sont mâchées au léger sommeil matinal. Les pensées qui n'avaient guère d'importance en soi, ce sont elles qui l'ont forcée pour un certain temps à oublier la réalité dont on se rappelle avec peine d'habitude, tout juste en réveillant. Le premier instant de l'arrêt de ces pensées et de l'indifférence; cet instant a succédé en étonnement: à l'un clin d'œil Inga vient pas d'apprendre mais de sentir que la réalité va être beaucoup plus qu'étrange. Dans l'étrange intérieur étroit, à travers les murs rayés semblables en gros toile, il pénétrait le jet de lumière du soleil matinal.      
       Inga s'est remuée instinctivement. La faible douleur cuisante qui a signalé de son dos, c'est elle qui l'a aidé à se rappeler tout. Le destin donnait une inverse course inhabituelle. Il la lançait pas d'un rêve cauchemardesque à la réalité insouciante, mais au contraire. Cela qui paraît comme un rêve, il manifestait de soi en prétendant à la plus réelle existence. Cela, en quoi personne n'aurait ajouté foi, si raconter, était tout à fait palpable.
       Et il paraît que la nature n'a voulu point à reconnaître l'effroi de la situation. La forêt verte grouillant des vies différentes était retentie par joyeux gazouillement des oiseaux. Comme si tout cela dehors aurait voulu contre bon sens à exprimer le salut et les félicitations pour elle et pour fait qu'elle s'est trouvée en captivité. Quelque part dans la profondeur secrète de sa conscience elle a dévoilée une pensée traîtresse: " À  quoi bon tu perds la tête, à ce qu'il dit? Regarde un peu, comme il est admirablement tout autour! Il n'y a rien d'effroi. Est-ce qu'il faille des petits ennuis à..." Une autre pensée a jugée la première mais sans mots. Tout à coup il l'a semblés les parents, il l'a semblés les anciens condisciples, toutes les connaissances du grande quartier moscovite, de plus petits aux plus grands... S'ils tous apprendront?!.. Tous les détails?!.. Si ils apprendront qu'elle toute de suite vient de fermer les yeux sur "cela"?! Mais bon sens toute de suite a coupée cette pensée, puisque ce serait trop fort. Donc ils n'atteindront jamais jusqu'à ses méditations clandestines. Est-ce qu'ils soient comme Messing? (Messing - un Juif polonais qui s'évada en URSS au temps de la deuxième guerre mondiale et devint un célèbre clairvoyant - la note de l'auteur).
       Pourtant, il n'y avait rien de terrible pour le moment. Si ce monstre voudrait la tuer, il avait eue grande multitude d'instants bien convenables pour cela, et il aurait profité de la situation depuis longtemps pour réalisation n'importe quelles fantaisies qui peuvent venir à l'esprit coupable de maniaque. Mais il ne l'a violée même pas jusqu'à présent. Et quoique dans ce temps de Brejnev personne de ses connus n'oserait pas tenir cet homme comme un homme normal, mais comme exactement il a calculé tout! Elle eut joué en esprit les évènements des deux semaines dernières: son enleveur n'avait pas l'air de faire des erreurs. Soit il un toqué - malgré tout il est le toqué intelligent, malin et prudent et c'est douteux qu'il puisse à perdre la tête pour son détriment ou au détriment de l'affaire de laquelle il avait l'intention.
       Inga s'est surpris qu'elle pense; elle pense indépendamment et en ordre logique qui fut inaccoutumé. Jusqu'ici il lui ne fallait jamais à fonctionner en esprit comme ça. On pensait, on dirait, tout ensemble: elle et les autres qui étaient côte à côte. Et il n'y avait point de crainte à se perdre: on l'aurait rajustée tout de suite. Il semblait que tout le monde sache "le chemin" et sache, si peut-on énoncer comme ça - "un horaire" où il est indiqué, dans lequel âge quoi faut-il faire et quoi il ne faut pas, "l'horaire" selon lequel tous les gens normaux agissent. Mais ce qui est arrivé à elle en ces derniers jours, cela n'est pas fourni par "l'horaire". Maintenant elle est jetée soit au temps fort ancien, soit sur une autre planète, peut-être est-ce à l'autre monde, et enfin, si on comparait tout cela à la vie réelle, c'était quelque chose le plus ressemblant à l'arrestation brusque et l'emprisonnement pour ceux qui dans ses pensées n'ont tenu jamais quelque chose comme ça.
       Aujourd'hui sa tête vit clairement et exactement et elle devina de quoi. Avant-hier son tourmenteur l'avait faite boire un certain philtre, c'est possible, il avait ajouté quelque chose dans le thé avec confiture, dans le même thé qui était préparé à la gamelle et versé en chopes. En apparence il même était allé vers une certaine ville, car il en était revenu avec deux grands sacs à dos avec denrées alimentaires et toutes sortes de bagatelles nécessaires dans la forêt. Et hier elle s'était réveillée bien après midi, quelques minutes avant son retour et il ne s'agit point de l'évasion mais à cause de l'effet un certain stupéfiant ou somnifère donc elle n'avait pas envie même de remuer les doigts. Malgré tout elle aurait eu le temps à s'éloigner quelque cent mètres, cela était passé une fois et elle savait qu'il serait pour elle de cause de cela. Elle n'eut point envie de répéter comme ça.

       Pourtant, il n'y a été rien de particulièrement heureux. Ce matin, comme celui l'autre, elle eut attendus la honte, le froid et la douleur.
     -Es-tu réveillée, grue?! - Il était une voix grosse et rauque de l'extérieur. (Malheureusement, ce n'était pas Vysotsky, bien que sa voix et ressemble à lui).
     -Quoi? Est-il temps?
     -Dix heures et demie. Tu peux à somnoler demi-heure encore. -Il serait mieux d'attendre jusqu'au temps.
      -La loi est de ton côté, ma belle,- son tourmenteur sourit malicieusement.
      Cependant, dans dix minutes elle en eut assez cette attente fatigante et elle décida de précipiter ce rituel désagréable du matin: plutôt le début - plutôt la fin. Et pour comble, en dormant bien comme jamais auparavant, elle ne voulut plus rester inactive. Conformément aux ordres de ce rite de folie elle se débarrassa du pull à col roulé, du soutien-gorge, du fuseau et même du slip et quitta la tente toute nue de même qu'on se jette au tournant.
     -C'est ça. On n'a pas envie après tel repos d'être couché encore. Alons, tourne le dos!
       Inga obéit. Tout le dos fut couvert de couleurs fraîches des traces a cause des rites de folie et de petites fautes imprudentes d'hier, d'avant-hier et un peu plus tôt. Plus bas se distinguent les traces considérablement pâles d'une flagellation cruelle et mémorable pour l'échec de l'évasion et la résistance. L'autre fois, il l'avait rejointe et saisi son oreille, avait la penchée vers le sol. Elle l'avait essayé à frapper avec pied sur la place déterminée mais avait manqué le but. Puis il l'avait menée tranquillement et calmement. "C'est possible qu'autrefois on eût menée Jeanne d'Arc à la même manière selon le chemin dernier", - cela elle se souvint d'une leçon d'histoire. Puis Inga avait eu peur et elle a essayé de cacher cette peur en questionnant naïvement:
     -Tu ne me gronde pas donc. Pourquoi est-ce?
     -Maintenant mon fouet va te gronder.
      En chemin vers exécution du châtiment, involontairement elle avait souvenu l'enfance. Parfois le père l'avait fessée avec ceinture, mais la mère la défendait toujours en nommant lui "un toqué" ou "un perverti". Cela lui jetait au rouge de la honte, et puis il tolérait longtemps les fautes d'Inga.
      Cependant la même mère en l'occasion d'une faute grave elle la punissait très rare mais cruellement. À la fois dernière Inga avait reçu un grave savon à l'âge de quatorze ans, quand les nombreuses falsifications de signatures par des parents sous un nombre augmentant obstinément des mauvaises notes au livret scolaire étaient découvertes. Brusquement elle était s'enhardie en raisonnant en esprit: "ce n'est terrible que pour les petits enfants. Jusqu'à quel âge j'aurai peur de la fessée? On parle, maman me botterait le cul et quoi?"
      Alors elle était obéie à la mère en mettant à nu son cul qui à ce temps déjà était beau et bombé et en donnant à serrer sa tête entre deux jambes. Elle avait supportés silencieusement les premiers sept ou huit claques de la corde à sauter. La fessée était devenue insupportable et Inga enfin avait donné sa voix en ayant l'intention malgré tout à cacher la douleur augmentante:
     -Maman... mais ce fait mal...- cela était résonné avec une intonation bien dédaigneuse qu'on avait pu traduire en langue habituelle de cette façon: "Maman, quoique cela donne un peu mal, mais tu fais des bêtises".
      Mais la corde à sauter avait continué à fesser en sifflant, et maintenant Inga avait perdue la patience et crié ce que d'habitude des filles crient aux occasions pareilles: -Oh, que fais-tu!.. Mais j'ai mal donc! J'ai ma-a-al! Oh, no-o-on! Oh, je ne ferai plus comme ça-a-a!- et enfin elle avait cri: Oh, je n'en puis plus! - après quoi son cri était devenu incohérent, frénétique et confus qui était coupé, toute de suite après la claque dernière et se changea en sifflement et faible gémissement. La mère avait fouettée Inga encore une fois en grondant quelques mots injurieux à l'adresse d'elle, et maintenant une seule claque de la corde avait provoqué fort hurlement de la gosse. Après punition elle avait jeté un regard par la fenêtre et vu de ses yeux rougis par les larmes un gaillard adulte. C'était un géodésien qui était debout avec mire de nivellement au coin de sa maison en prêtant l'oreille. Elle avait eu honte: sûrement il avait entendu comme on lui avait botté le cul toute de suite et c'était bien qu'il n'était pas un connu.
      Mais cette récente fessée pour évasion, c'est elle qui avait surpassé tout qu'Inga avait éprouvé à l'enfance. L'autre fois il avait ordonné à elle embrasser un gros arbre, puis il avait liés les poignets qui n'étaient pas atteints un peu l'un l'autre, sous les aisselles il avait traînée encore une corde en enroulant les épaules et il avait attachés les extrémitées de la corde à une branche, pour la fille n'aurait pas pu à s'accroupir. Puis le malfaiteur avait attaché chaqun pied isolément pour elle n'aurait pas pu à couvrir les fesses par eux. Lentement, il avait tiré de la poche un fil roulé et plié en deux, de cuivre au-dedans et enveloppé d'isolation de chlorvinyl, rond à sa section. Le fil plié en deux était un peu plus long que demi-mètre. Un sifflement mélodieux de la cravache avait retenti. En ceignant la hanche gauche et la fesse gauche, les extrémités flexibles de la cravache s'étaient enfoncées à la fesse droit. Au premier instant Inga n'avait senti rien, mais toute de suite la douleur de laquelle il avait failli couper la respiration, cette douleur était s'enfoncée en elle et ne l'avait point relâchée.
     -O-oh,- la jeune fille avait prononcé d'une voix traînante, tout bas, en inclinant la tête en arrière. Deuxième coup, mélodieux et ceignant, était-il suivi vite, puis troisième et quatrième, et il tous étaient tombés sur la même place. Un hurlement fort avait retenti l'air dans la forêt. La barrière de la patience était ruinée. En montrant les dents et en regardant d'un air suppliant aux yeux du monstre, Inga avait hurlé de toutes ses forces, mais cela lui n'avait point arrêté. En se passionnant, il avait continué à balafrer au même rythme et impitoyablement ses belles fesses, blanches et élastiques, de lesquelles elle avait tournée en bondant, et ce gâteau était bien appétissant même pour ceux qui avait vues toutes les couleurs. Sa chair avait espéré d'instinct à esquiver la douleur, inaccoutumée et cruelle, et elle-même était prête à tout que le maniaque demanderait d'elle, pourvu que cesser la torture.
     -Qu'est-ce que tu veux? J'exécuterai tout! A-a-aah! Que veux-tu? Je ferai tout! - elle avait crié d'une voix enrouée et déchirante en effarouchant les oiseaux et les sangliers des alentours. Et le fouet avait continué à s'enfonсer impitoyablement tantôt à l'un endroit, tantôt à l'autre, plusieurs fois de suite à chacun d'eux, et cela lui avait semblé qu'il fût allé à fouetter elle jusqu'à mort et si on va à telle manière - soit plus vite. Les pensées pareilles en étant accompagnées du cri déchirant n'avaient-elles fui harmonieusement comme d'habitude, mais elles s'étaient enflammées et avaient disparues comme les foudres en nuit. Et voilà, il l'avait caressée déjà le long de cheveux, en tiraillant avec douceur les oreilles. Ainsi de quoi avait-elle continué de crier? Inga s'était tue et avait éclaté en sanglots. La cascade des larmes l'avait débarrassée de tout qui est lourd et pressant sur le coeur; de tout qui s'étaient accumulés dans l'âme pendant ces six années de la vie adulte où on commence à avaler les affronts et les ennuis et en taisant pour feindre l'indifférence hypocritement, de quoi l'âme se durcit, le regard s'éteint, chaque vétille précipite sur les mains en s'accumulant pour vieillesse comme un poids lourd du passé duquel l'être humain se courbe le dos voûté, et les montagnes, des mers et les forêts, les aubes et le soleil couchant - tout cela ne causent plus de la joie à lui.Inga avait sangloté en voix et la douleur se calmant était changée au sentiment agréable du nettoyage. C'est bien cela un forêt se nettoie après averse d'orage qui vient de passer en coup de vent. Elle était devenue une petite fille plus encore qui était prête à exécuter n'importe quel caprice des parents cruels qui viennent de punir elle et elle en étant tombée en extase de l'enfer de douleur cruelle était-elle venue de promettre leur à obéir sous tous les rapports, pas avec feinte mais sincèrement tout à fait.
      Une sentiment agréable de l'âme et de la chair tremblants en sanglots, c'est il qui s'était changé graduellement en dépit de sa faiblesse de l'âme en comparaison au regard de premières martyres du christianisme, de partisanes légendaires de la Résistance et de victimes de l'inquisition. "Elles ne se furent pas soumises, mais je viens de me rendre de la fessée ordinaire. Maintenant, il est probable qu'il me mettra ou m'obligera au sex oral. Soit! Je n'ai que ce que je mérite. Soit s'enflammera tout!" Une pensée hésitante passant comme un éclair: "il semble qu'il soit un mec vieux, mais il n'est pas mal", - cette pensée était étouffée toute de suite par les images de physionomies ululantes de toutes les collectivités qui étaient dessinées dans son esprit et lesquelles était-elle obligée à fréquenter ces derniers temps.
      -Tu as envie de supporter la douleur, mais tu uses un procédé incorrect. J'y t'apprendrai, grue, mais en son temps. Tu es morte... Et tu es morte pas ici, pas aujourd'hui; mais longtemps avant que je t'ai enlevée. Maintenant tu es morte et j'ai une envie de te faire vivante et j'arriverai à mes fins si Seigneur n'a pas rien contre cela. Il avait regardé à elle avec douceur et exaltation et il avait continué:
     -Désormais, tu es une grue de forêt, mon amie de forêt. Tu m'obéiras sous tous les rapports. Je te forcerai à obéir! Envers moi tu dois être plus sincère, plus franche que tu sois avec soi-même, car tu ne connais pas ton être. Tu ne sais que ton image fausse. Tu as fait entrer tous ton être au subconscient et tu as cru que tu sois comme tout le monde est. Mais Dieu n'avait point créé les gens identiques. Sur la Terre tu ne trouveras jamais un couple des gens identiques et de même tu ne trouveras pas deux empreintes digitales identiques. Il n'y a pas des mouches identiques, il n'y a rien à dire sur les gens. Donc donne-toi la peine d'apprendre QUI ES-TU!
     -Je m'appelle Inga. Ainsi maman m'a nommée en l'honneur une gymnaste ou patineuse, j'en ne sais pas exactement.
     -On t'a pu nommer Marie, ou Valentine, ou Svetlane et en prison même Nicolas, il y a telles choses dans la vie, je te raconterai plus tard. Donc donne-toi la peine d'apprendre ta propre essence! Pas l'étiquette qu'on a collée à toi. Une scène muette fut venue de suivre après ces mots. Il avait regardé à elle en face; elle s'était perdue un peu, en tâchant de saisir le sens d'entendu.
     -Je suis ton monsieur, le maître. Je suis ton professeur. Tu es sous mon pouvoir. Est-ce que tu as une envie que je te fesse de même comme je viens de te fesser il y a quinze minutes?
      Inga s'était alarmée, ses lèvres s'étaient mises à trembler; ses yeux s'étaient mis à fureter, et elle était tombée à genoux.
     -Tu es mon professeur! Tu es mon maître! Je suis ton amie! Je suis ta grue de forêt! Je ferai pour toi tout. Fais envers moi tout que tu voudrais! Mais j'implore la grâce: pas avec tel mal, non ainsi cruellement! - elle avait blêmi et les larmes s'étaient montées sur les yeux.
     -Cela ne dépend que de toi. Malgré tout, je te fesserai chaque matin, mais doucement; pour la forme, pour tu n'oublieras pas ta place. Et tu même devras à demander ça de moi. Maintenant, descends le ravin vers ruisseau, te lave, puis tu apprendras le code de la conduite pour captive. Tu es donc ma captive à présent, il avait médité.- Et peut-être un jour tu serais reconnaissante à moi de tout ton coeur.
      Cette journée elle avait appris le code de captive qui eut été tapé à la machine et son tourmenteur ne l'avait pas touchée plus ce jour. Et voilà, maintenant, elle fut debout devant lui, toute nue, en tournant son dos fouetté, et il comme un peintre examina le dessin zébré sur sa belle chair, svelte et jeune.
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Le texte russe original: https://www.proza.ru/2009/12/20/1217