Sunday, January 30, 2022

Chapitre VII. Olesya. La téléportation. Partie II.

           Le lendemain, le jour de quatre-vingt-quinzième anniversaire de l'ami de tel grand âge, tout le monde était en train de se reposer, de boire du thé et de la bière, d'écouter la music, de regarder des films de videocassettes. Albert réussit à "voler" aller et retour en New York la nuit à l'acheter la fraise. Olesya mangeait la fraise et était surprise: où a-t-il trouvé la fraise au coin perdu de la région de Krasnoïarsk en novembre? Elle déjà croyait sérieusement que son vieil amant était un magicien. Elle se souvint sans savoir pourquoi, qu'un jour Jésus-Christ avait nourri d'une manière merveilleuse cinq mille personnes. Le vieillard racontait déjà sincèrement et sans timide à Nadejda et il avait dit à l'Albert plusieurs jours avant qu'il fouettait son Olesya presque chaque jour. Outre d'un certain divertissement, cela favorisait à l'apprentissage réussi de la jeune fille.

          Le vieillard avait fait la connaissance avec elle dans la rue en été de l'année dernière. Il faisait froid et elle avait été assise triste dans une cour d'une petite ville située à l'Abakan branche du chemin de fer.

          -Alors, malicieuse fille, veux-tu recevoir d'une fessée avec ceinture? - il avait plaisanté de la façon, comme d'habitude plaisantait-il avec des filles rencontrées par chance. À la fois, il examinait toujours leur réaction à ses mots. Cette fois, cela avait l'air comme s'il avait fait mouche.

          -Si tu me nourris, tu peux me fouetter autant que tu veux et il n'y a qu'une seule condition: je dois être attachée. N'est-ce pas que tu vois qu'il fait froid et je suis fatiguée? 

          -À recevoir cela, tu devras aller par train longtemps et après secouer en bus pendant six heures.

          -Peu importe où aller. Emmène-moi loin d'ici.

          Comme d'habitude, il était étrangement habillé. Voyager avec jeune fille, en avant une apparence pareille, cela pouvait éveiller les soupçons.

          -Dans ce cas, attends près de cette entrée, mais n'entre pas au-dedans.Je me changerai, sortirai et nous nous mettrons en chemin. Dans une heure et demie, un train local ira à Krasnoïarsk.

          -Pourquoi ne peux-je pas entrer, même sur l'escalier? J'ai très froid.

          -Sois patiente encore cinq minutes. C'est nécessaire. Et l'appartement ne m'appartient pas. Comme peut-ce être? Tu n'as pas peur de ceinture, mais tu as peur de froid.

          -La fessée et le froid, c'est des choses assez différentes. Il serait mieux que je sois fouettée trois fois par jour, pourvu que ces gredins ne soient pas près de moi.  

          -Pourtant, je supposais que tu t'es enfuie de chez toi, car on t'a fouetté.

          -Je n'ai pas des parents. Je suis d'un orphelinat.

          -Attends. Je reviendrai tout de suite? Tu pourras raconter sur ça après. Paul entra dans l'entrée en courant, après abandonner la fille seule dans la rue froide, téléporta vite chez lui, se changea et retourna aux étages supérieurs du même escalier. Son amie neuve sanglotait cachant son visage au radiateur du chauffage qui ne fonctionnait pas en été froid.

          -Eh bien, qu'es-tu? Tu pensais que j'aie trompé?

          Elle se tourna à lui, sourit à lui à travers ses larmes, prit lui dans ses bras et commença à l'embrasser et sanglota de nouveau. Fais-moi tout que tu veux, pourvu qu'emmène-moi de ce lieu. As-tu vu? - elle soudain cessa de pleurer. Je te n'ai pas obéi et suis entrée à l'immeuble contre ton ordre. Fouetteras-tu moi pour ça?

          -Oui, si tu le veux.

          -Je veux que tu m'emmènes et caches.

          -Dans ce cas, allons à la gare.

          Il faisait du matin. Il n'arriva avec son amie neuve qu'en pleine nuit.  En étant faim comme un loup, elle dévorait des spécialités américaines avec passion et s'endormit directement à table. 

          Le lendemain, pour des raisons de sécurité, il ne la emmena pas au bain, mais après avoir chauffé de l'eau à l'aide d'elle directement dans la maison, il la baigna.

          -Maintenant, habille-toi. Sois un peu comme ça, un peu après, je te donnerai des fringues neuves.

          -Après tout, tu as promis.

          -Quoi?

          -De fouetter-moi.

          Paul n'avait jamais supposé qu'après la téléportation, le destin puisse le gratifier si largement en deuxième fois. Enfin, il réussit à se rendre compte que la fille ne plaisante pas, quoiqu'elle essaye de représenter tout ça dans la forme badine.

          -Alors attends-moi un peu. Je viendrai tout de suite.

          Après être sorti au-delà de la porte, il téléporta immédiatement au centre local et y acheta la corde à sauter. Il revint si vite que la fille toujours ne mit pas les culottes après bain. 

          -Oh, tu as la corde à sauter! Dans l'orphelinat on nous emmenait pour les fautes différentes à la salle des professeurs et fouettait par la corde à sauter pareille.

          -Et tu as fui à cause de ça, n'est-ce pas?

          -J'ai fui... je te raconterai après.

          -N'as-tu pas peur?

          -Un peu.

          -Allonge-toi sur le lit. Pour que tu saches mieux que peut-on demander et qu'on ne peut pas.

          Olesya baissa la tête et s'approcha lentement du lit, se laissa lier avec obéissance. Le vieillard la fouettait longtemps, mais pas très fort. Quand elle commençait à crier fort, il s'arrêtait et exigeait pour prendre l'oreiller dans la bouche. Puis il enleva tout son vêtement et la posséda sans la libérer des cordes. Le vieillard en âge presque un siècle, tomba amoureux d'une fille de quinze ans comme un garçon. Qu'est-ce qu'est le plus précieux qu'il pourrait perdre dans cette vie? Il n'y a que cette maison. Car si elle court maintenant à l'appeler les voisins, la Milice, il devrait parcourir le monde et ne revenir jamais dans cette région. Il planifiait auparavant de trouver un asile quelque part dans un pays chaud où il n'y a jamais d'hiver et passer là-bas le reste de la vie. Il ne perdra rien. Mais il a commis un péché, voilà ce qu'est le pire. Ce problème est bien plus difficile à la résoudre.

          Mais dès qu'il l'a délié, elle commença à lui avouer son amour si expressivement et pathétiquement que tous les doutes disparurent. Il n'y a l'aucun péché. Cela n'avait été que l'amour. L'amour réel! Le cadeau de Dieu et ce serait le péché de le refuser. Olesya était  très heureuse, surtout lorsqu'elle apprit que maintenant pouvait-elle habiter la maison de son amant neuf et réel, longtemps sans limite. Elle essayera d'étudier bien. Elle la punira souvent et douloureusement. Elle sera sa maîtresse en même temps. Avant, elle ne pouvait que rêver d'une vie comme ça.

          Quant à ses parents, elle ne les se souvenait que vaguement. Une sorte de chambre. Une balançoire avait été pendue sur le pas de la porte entre deux chambres. Une fois petite Olesya tomba d'elle, avait pleuré et eu peur et solitaire. Et toute de suite, une femme gentile était venue en courant, Olesya la nommait "maman". Elle la prit, caressa, consola et tout devint si bien et heureusement! Cette vie-là devint comme un vague rêve qu'elle avait vu depuis longtemps. Elle ne vit plus les gens gentils comme ça. Il n'y avait plus rien de gentil et agréable que le soleil au printemps, l'herbe verte en été et les arbres au parc où elle venait d'habitude à pleurer comme devant un ami. Elle croyait qu'il y a une sorte de grand Ami au-delà de tout ça, un seul Ami qui l'entend et comprend. Il est gentil et bon comme la maman du "rêve" enfantin et maintenant loin. Il est désolé quand elle fait quelque chose d'incorrect et tôt ou tard aidera-t-il à quitter la maison sans bonnes personnes où il n'y a que des ennemis et sots. Bien sûr, c'est impossible de voir cet Ami, mais Olesya ne doutait pas qu'il existe.

          Personne ne disait à elle sur ses parents. Seulement ces derniers temps, des rumeurs ressemblées à la vérité commencèrent à l'atteindre. Comme si son père fut emprisonné pour "viol l'ordre social". Ces temps-là beaucoup de monde furent emprisonnés pour le "viol l'ordre social" et très souvent injustement. Sa mère bientôt s'est jetée dans la rivière dans un accès de désespoir. Personne ne réussit à la sauver. Aussi elle entendit, comme si son père commis des délits terribles après être sorti de la prison, comme si plusieurs meurtres avec démembrement de cadavres pour venger, néanmoins, peut-être tout ça n'est qu'une exagération.

          Olesya était une élève diligente et douée, mais en étant, y compris, une "malicieuse fille", elle réussissait à mériter parfois une fessée dans la salle de professeurs. D'abord comme tous les enfants, elle avait peur et évitait de cela. Néanmoins, assez vite commença-t-elle à trouver dans châtiments pareils soit quelque chose d'agréable, soit quelque chose de sublime et d'inexplicable. Même une personne adulte ne pourrait pas donner à ce phénomène une explication claire. Elle ne partageait ses idées avec personne et ces idées ne la chargeaient point. En journée, c'était oublié entre les jeux et leçons. Ce n'était que le soir se souvenir agréable, comme elle avait été fouettée il y a un mois, comme elle hurlait de la douleur et demandait pardon. Elle voudrait y compris que le professeur de chant la fouette, mais il n'était jamais chargé avec travail pareil. C'était une femme de ménage, toujours mécontente, à qui donnait-on les ordres de fouetter les enfants délinquants en présence du chef enseignant, c'était une maigre femme à lunettes qui avait autour de 40 ans. Fantasmant le soir au lit sur les sujets pareils, Olesya planifiait, comment mériter une punition neuve.

          Ainsi, elle reprenait souvent la culpabilité des autres, de ses amies et même des garçons. Aussi elle-même violait souvent l'ordre sévère. Il paraît, après avoir acquis une réputation d'une sorte de fille malicieuse, en reprenant la culpabilité des pairs, elle doive être aimée par tout le monde, au moins dans cette classe. Mais il fallait croire que non. Elle a osé différer. Elle a osé fantasmer sur des choses, sur lesquelles le reste ne fantasmait pas. Ce n'étant pas une question de sexe de tout. Elle ne partageait avec personne ses inclinations sexuelles. Elle-même ne pouvait pas comprendre, pourquoi tout le monde la commença à détester depuis l'âge de neuf ans.

          Elle ne remarqua que deux choses. La première: il n'était intéressant du tout à communiquer ni avec garçons, ni avec filles. La deuxième: elle était reprochée constamment qu'elle "ne sait pas vivre en collectivité". Ce qu'ils voulaient d'elle, personne n'expliquait distinctement et clairement jamais. Pourtant, la solution était très simplement: à expliquait cet état de fait distinctement et clairement, personne n'aura le courage de le dire. Si quelqu'un ose, bientôt il s'avérerait en situation non mieux qu'elle était. Tous ils pouvaient sans doute le sous-entendre, mais ils ne le pouvaient pas prononcer à haute voix. Cela sonnerait  ainsi:

          "Dans notre état, tous les gens sont ordonnés d'être identiques. Personne n'ose différer, mais tu as osé. Tu as l'air comme si tu es plus intelligente que les autres, mais tu dois être comme tout le monde. Même si tu es en train de garder le silence, malgré cela peut-on voir que tu diffères d'eux avec quelque chose. Tu dois faire n'importe quoi, pour devenir comme tout le monde, non seulement de dehors, mais aussi au-dedans, car le monde intérieur d'être humain est aussi vu, quoique non toujours puisse-t-il être interprété à l'aide de mots. Comment le faire, c'est ton problème. Si tu le peux, tu vivras comme tous les gens normals. Si tu ne le peux pas, tu périras. Non tout de suite, mais graduellement. D'abord, sans moyens de subsistance et avec mauvaise réputation. Puis parcourras des prisons ou des asiles de fous. Et notre glorieuse collectivité y contribuera."

          Elle retournait tout le temps aux pensées de soi-même, en cherchant avec diligence que fait-elle de mauvais. Elle cherchait, cherchait ce mal au-dedans d'elle et ne trouvait rien. Il n'y avait que celui-là Ami invisible à qui pouvait-elle se plaindre du destin et demander son conseil. Il n'y avait que Lui avec qui pouvait-elle être sincère, même malgré le fait qu'il ne répondait pas à elle, quoique peut-être il répondît à elle en langue inconnue des symboles et destins. Elle toujours n'apprit pas cette langue. Puis elle commença à deviner que cet Ami soit le même Seigneur. Elle priait à Lui. Un jour elle visita l'église, mais fut déçue. Dieu qu'elle s'imaginait était différent du tout contrairement à l'image créée par vieilles femmes locales. Seulement après, dans quelques années, après avoir lu dans l'Évangile de Jean:  "Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître" (Jean 15: 15) - elle sanglota et se repentit. Jésus-Christ, Il fut le même Ami. Elle reconnaît en Lui cet Ami, avec Qui elle essayait de communiquer mentalement. Tout le monde détestait Lui de la même façon. Un des meilleurs amis le trahit pour être crucifié. Et il expliqua à elle quel est son problème, il y a deux mille ans: "Si vous apparteniez au monde, le monde aimerait ce qui est à lui. Mais vous n’appartenez pas au monde, puisque je vous ai choisis en vous prenant dans le monde ; voilà pourquoi le monde a de la haine contre vous". (Jean 15: 19)

          Elle commença à chercher dans l'Évangile la raison de sa passion inhabitude et ne trouva rien. Elle décida qu'elle n'écoutera plus des gens. Néanmoins, elle était intéressée,  son nouvel ami humain, c'est-à-dire, le vieillard Paul, comment répondrait-il sa question?

          -Tu sais quoi, mon amour que Christ a ces paroles : "J'ai beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pourrez pas les contenir." Si tu ne réussis pas à trouver la réponse à une question, n'oublie pas que Christ a une réponse universelle à toutes les questions: "c’est à son fruit qu’on reconnaît l’arbre" (Matthieu 12: 33)

          Alors à la maison d'enfants, Olesya, méprisée et persécutée par tout le monde, sauf la communication mentale avec l'Ami, elle commença à chercher l'amour, dont tant sont dites en poésie et chantés en chansons. Quand sa situation déjà paraissait sans issue, elle commençait à son tour soudain à se rendre compte qu'il n'y a plus que peut-on perdre et maintenant peut-elle faire tout. En quoi consiste l'amour, à l'égard ce sujet, les filles de classe pouffaient et les garçons chuchotaient aux toilettes, en inhalant la fumée des cigarettes bon marché. Il n'y avait aucune possibilité de comprendre quelque chose. On parlait du même sujet comme du plus grand bien et à la fois, comme de la plus grande abomination avec condamnation et gros mots.

          En voilà un jour, l'une des soirées pareilles du sentiment comme s'il n'y a plus que pourrait-on perdre et d'une certaine "omnipotence" à cause de ça, et comme si maintenant peut-on faire tout, elle se donna à un mec de dix-sept ans qui habitait à côté. À ce moment-là, elle n'eut que treize. Cette chaude soirée, à l'accompagnement des moustiques bourdonnants dans le même parc, elle laissa d'abord la caresser et l'embrasser, puis la déshabiller et déflorer. Elle était bien mais elle manquait quelque chose. "Est-ce l'amour?" - questionnait-elle soi-même et répondait: "S'il n'est pas, alors quoi?"

          Après avoir obtenu ce que voulait, son "amoureux" rapporta vite de la nouvelle "victoire" aux canailles connus. Ils se furent moqués de lui: "Tu as contacté avec une folle. Après tout, elle est loufoque!" Néanmoins, il eut de la rancoeur non envers eux, mais envers elle, et un jour de rendez-vous vint-il soûl et emmena des soûls amis avec lui. Lorsqu'elle se rendit compte de tout, il déjà fut tard. Il déjà fut impossible s'enfuir. Ils la violèrent, chacun à son tour, mais quand ils commencèrent à mettre la bouteille au-dedans d'elle, elle-même ne se souvient de quelle façon réussit-elle à casser la bouteille et couper la gorge d'une des canailles. Il faillit mourir à cause de saignement abondant, l'ambulance vint à temps.

          Les relations anciennes aidèrent au fils d'un ancien boucher du magasin d'alimentaires à n'être pas emprisonné. Aussi Olesya ne fut pas accusée pour la tentative du meurtre, sinon ils seraient forcés montrer cette affaire devant tout le centre régional Abakan. L'affaire fut simplement étouffée. La tentative d'envoyer Olesya à l'hôpital psychiatrique aussi ne fut pas réussie. Il y avait des rumeurs comme si à l'égard de tout qui fut arrivé, un bien connu local défenseur des droits de l'homme a dit quelque chose publiquement à cause de quoi le local psychiatre fut au courant, s'il déclare cette fille schizophrène, il pourrait avoir l'aire ridicule et il décida de ne pas risquer. Elle n'était plus punie à la salle de professeurs. Les adultes arrêtèrent de faire attention à elle du tout. Les filles plusieurs fois l'attrapèrent et battirent, mais pas fortement, seulement pour l'insulter. Les adultes ne voulurent rien même entendre sur elle.

          Avant même de faire connaissance avec celui-là canaille, Olesya économisa un peu d'argent de poche et acheta la corde à sauter. Rarement réussissait-elle à se cacher et s'amuser avec corde, en se fessant. Un jour apprit-elle sur François d’Assise qui avait fouetté soi-même jusqu'à sang, puis mélangeait le sang avec la neige, sculptait des bonshommes rouges de neige et disait: "voilà mes enfants".

          "Cest probable qu'il fut comme moi", la jeune fille pensait. Après ce cas-là, quand les gredins la souillèrent, elle décida qu'elle ne sera contente d'amour que comme ça: fouetter soi-même en souffrant et jouissant à la fois.

          Un jour, une éducatrice l'attrapa par surprise en train de faire ça et à sa grande surprise, elle non seulement la resta sans punition, mais même resta cette affaire sans rendre public devant les pairs. Bien sûr, l'administration, les autres éducateurs et professeurs étaient informés. Ils chuchotaient entre eux d'habitude, à l'instant de l'apparition d'elle, ils se tournaient à elle, en regardant fixement et ostensiblement avec les yeux écarquillés, comme s'ils regardaient à une bête sauvage, puis chuchotaient de nouveau. Quel répugnant air avaient-ils, s'en comportant de manière comme ça! Ils ressemblaient aux pires protagonistes et personnages qu'ils jugeaient mêmes, en regardant les séries des soaps à la télé, ils ne le réfléchissaient jamais. S'ils se rendent compte complètement de leur essence sale, peut-être quelqu'un d'eux se pendrait à cause de répugnance à l'égard de soi-même.

          Un jour les mots de chef enseignant atteignirent ses oreilles: "ce serait si bon si elle se va de nous plus vit! Comme à l'époque de Staline: "il n'y a d'homme - il n'y a pas de problème". Elle serait à l'endroit approprié, au camp de prisonniers. À l'époque de Brejnev - à l'asile de fous. Mais maintenant devons-nous travailler!

          Elle commença à commettre évasions. Elle vaguait et cueillait des bouteilles à recevoir un peu d'argent de poche. Un jour, près de la gare, elle fit connaissance avec un homme d'affaires de passage et se donna à lui pour cinquante dollars. Mais après cela, des locales prostituées de la gare chassaient à elle le long de toute la ville et elle réussit à fuir de persécution avec peine. Ce jour-là elle s'alla à Novossibirsk, mais elle manqua d'argent pendant longtemps. Après avoir acheté le remède contre les mosquitos, elle habitait en pleine nature et était heureuse, en essayant des branches flexibles des arbres différents et l'ortie à se fouetter dans la nuit. Puis la fin de l'argent est arrivée et elle devait revenir.

          L'évasion suivante et enfin trouva-t-elle l'ami entre des êtres humains, un étranger du siècle dernier qui possédait des capabilités magiques, inconnues pour elle. Mais la chose principale, il était de son genre, il possédait la même passion étrange, il était le premier ami réel entre les gens et il ouvrit devant elle tant des choses nouvelles, si comparer, avant, elle ne savait pas une dixième partie de ce qu'elle savait maintenant. Si elle reste seule, avec la connaissance pareille toutes les chances a-t-elle de survivre même à la Russie. Quant à survie aux États-Unis ou dans les autres pays libres, on peut n'inquiéter pas du tout: elle est garantie. Néanmoins, à cet instant inquiétait-elle non de soi mais de son amant de l'âge presque de siècle. Même les épouses jeunes n'inquiètent pas de ses maris jusqu'à tel degré comme elle. Elle était prête de se consoler avec main beaucoup de fois et ne se donner à lui que rarement, pourvu que ne pas nuire à la santé précieuse de lui. Et il connaissait bien le prix des cadeaux pareils de destin. Presque personne n'eut autant de chance parmi tous ceux qu'il connaissait. Même dans l'âge de quarante ans déjà n'avait personne autant de chance. Et en plus avait lieu telle combinaison harmonieuse de leur fantasie! Et il aussi savait que malgré le fait qu'il est un vieillard, il est un cadeau précieux pour elle. Les gens simples après les avoir vus comme un couple amoureux, personne d'eux ne croirait en désintérêt matériel de l'amour d'Olesya. S'il croit, il collerait mentalement sur elle tout de suite une étiquette de folle personne. Seulement Albert admirait et était capable les de comprendre. Même Nadia déjà commençait à comprendre quelque chose et regardait à eux de plus tolérable manière qu'hier. Elle ne pourrait pas expliquer, pourquoi comprenait-elle ça, mais elle savait qu'Olesya préférait en effet le vieil Paul à jeune Albert. Si elle séduit à nouveau son mari, alors seulement pour qu'elle soit fouettée pendant longtemps et douloureusement.

          Elle essaya de s'imaginer comme si Albert a couché avec toutes ses amies, s'il déjà grimpait sur la jeune fille de quinze ans, pourquoi sera-t-il timide à séduire les femmes adultes. Elle essaya de s'imaginer comme si Albert l'abandonne après être tombé amoureux d'une des rivales potentielles. Elle n'a pas réussi à s'imaginer une chose pareille. Ce ne serait pas lui.

          Et le télépathe vieil, tout de suite dit-il sur le sujet des idées d'elle.

          -Nadia, calme-toi. Il ne t'a trahi pas. Ce n'a été aucun adultère. Il n'est pas adultère mais un essayeur. Il a besoin de palper tout, de goûter tout. Souviens-toi comme à l'enfance avait-il mis une pince à épiler en prise électrique.

          Tous sourirent.

          La fête d'anniversaire s'approchait à sa fin. Il restait un travail pour demain: à vérifier comme vont les autres amies et l'espionner les "espions".


Tuesday, January 25, 2022

Chapitre VI. Relations étranges. La téléportation. Partie II.

           Novembre reprenait ses droits de plus en plus. Il n'était toujours que le commencement de mois, mais la région de Moscou déja était toute en neige, comme d'habitude. Albert voyait cela, quand avait-il besoin d'y "grimper" pour quelque chose. Néanmoins, il était ici silence et le gel jusqu'à 10-15 degrés au-dessous de zéro le matin et Paul disait que l'opportunité de cette région toujours n'est pas entière. Il peut être beaucoup plus froid dans cette heure de l'année et quant au temps qui est maintenant, il peut faire le temps pareil, y compris, à Moscou.

          Les nuages gris vinrent que le ciel se couvrit, la neige commença à tomber, mais cela ne chauffa point du tout. Le vent froid pénétrait à travers toutes les fissures comme prés de Moscou au février et quand le silence tomba de nouveau, le thermomètre descendit plus.       

          -Il serait bien à faire du ski maintenant, - Nadia dit une fois, en prenant du thé. La Sibérie, qu'est-ce qu'elle signifie pour nous, tandis qu'il fait presque le même temps à Moscou? 

          -Tu ne dirais comme ça, quand il faisait la température près de moins cinquante degrés.

          -Il faisait une fois moins 54 dans la ville Naro-Fominsk, c'est soixante-dix kilomètres de Moscou.

          -Cela peut avoir lieu là-bas une fois pendant un siècle, il fait comme ça ici beaucoup plus souvent.

          -Je voudrais promener aussi, mais j'ai peur du fait que je ne sais pas, comment faut-il prendre les skis avec soi, - Albert entra en conversation.

          -Les choses longues qu'on peut serrer fermement contre et le long de soi-même, on les peut prendre et c'est simplement,- le vieillard expliqua.

          -Alors, pourquoi étais-tu toujours en train de garder le silence sur ça?

          -Personne de vous ne parlait du ski jusqu'à présent. C'est pourquoi je supposais que ce divertissement est écarté de vous.

          -Non, au contraire. Je et Alik, nous adorons faire du ski. Aussi, il faut acheter des skis aussi pour Olesya. Je le sais, néanmoins, je les préférerais prendre de chez nous, car nous sommes habitués à eux.

          -Fais gaffe à ton dos! C'est probable, il y a des pièges. Ils avaient assez du temps à faire du mal. Si quelque chose ne va pas, retourne immédiatement, - Paul a prévenu. 

          Albert oublia et commença ça à "grimper" dans leur appartement à Perlovka devant Nadia lentement. Une vue terrible l'apparût. En voyant les intestins du mari, comme s'il soit coupé en deux, elle cria fortement. Néanmoins, Albert n'est que penché un peu et recula tout de suite de cette fenêtre d'Univers, c'est-à-dire, de cette partie des surfaces planes que sont cachées partout.

          -Nadia, n'aie pas peur, - il la consolait et à la fois il toussait fortement. - C'est un effet optique. Lorsque nous passons à travers une dimension différente, on peut voir non seulement ce que nous avons dehors, mais aussi ce qu'est au-dedans de nous. Quand je le faisais vite, tu ne pouvais rien réussir à remarquer. Mais maintenant, je l'ai fait lentement et c'était juste. L'appartement est plein du gaz. Maintenant j'y vais marcher là-bas et casser des verres des fenêtres de notre appartement. C'est leur bêtise, apparemment, ils ne savent pas comment me capturer et essayent tous les moyens.

          -Attends-moi un peu seulement. Je vais revenir tout de suite. C'est très important, - le vieillard dit et sortit puis il revint rapidement avec "Walter" de son successeur, le lui remettant en disant:

          -Suis plus prudent, quoique je sois sûr que ses pièges ne sont pas mortels. Quelle est l'odeur de ce gaz?

          -Il ressemble au gaz par lequel les cartouches de gaz sont gonflées, quelque chose de sorte de"Merisier".

          -Ils sont des sots, malgré le fait qu'ils sont du FSB. Néanmoins, je les comprends. Ils t'ont raté. Et si quelqu'un noyant s'accroche à la paille, on ne le considère comme une bêtise.

          -Ah, comme je m’inquiète pour lui! - Nadia s'écria.

          -Ne t'inquiète pas, - et il ajouta en tournant à l'Albert: - Et tu prends soin de toi-même. Ne vois-tu pas, quelle beauté s'inquiète pour toi? Elle n'est pas seule qui a besoin de toi. On devra sauver toute votre compagnie. En agissant seul, je peux  rater le succès.

          -N'inquiétez pas, vous. Tout dépend de moi en effet. C'est pourquoi je serai prudent. Néanmoins, j'entrerai de la rue maintenant. Donc, je vais m'habiller. Il y fait du froid et d'hiver aussi.

          Après avoir habillé la veste et avoir distribué les armes dans les poches, c'est-à-dire, "Walter" les cartouches de gaz et la hache dans son sein, Albert disparût et apparût dans la région de Moscou devant sa maison. En trouvant les pierres, il les jetait dans les verres des fenêtres de l'appartement et après les avoir cassés, il entra et monta les escaliers et ouvrit la porte de son appartement complètement. Encore une fois, une odeur piquante est venue de là et les yeux le brûlèrent. Sans trouver quelque chose à tenir la porte, il mit la hache sous elle. Le courant d'air maintenant devait accomplir son travail. Albert revint à son abri sibérien. Tout le monde eut un instant de répit.

          -Et comme ça va là-bas? Ce gaz ressemble le CS en effet. J'apporterai les skis après avoir ventilé. Et je vais acheter des skis pour Olesya. Je connais un bon magasin d'articles de sport aux faubourgs de Saint-Pétersbourg sans désordre et des queues à cause de la cochonnerie soviétique. Et le choix est assez acceptable.

          Quand Albert revint dans l'appartement ventilé, un bruit de réprimande venu de l'escalier le fit écouter avec attention.

          -C'est un fou qui habite cet appartement. Il fait des expériences, il a lâché un gaz toxique jusqu'à tel degré que nous devons ouvrir les fenêtres en hiver. Maintenant, il est en train de casser des verres de fenêtres. C'est bien que seulement dans son propre appartement. Dans l'époque du pouvoir soviétique ils l'auraient corrigé. C'est maintenant qu'ils sont libérés! Tout ça est à cause de Yeltsin avec sa démocratie.

          Ce fut drôle à écouter mais pas intéressant. Albert apporta ses skis et ceux de Nadia, chacune paire à son tour. Pour les skis d'Olesya, il les livra après qu'il fut allé et retour  à Saint-Pétersbourg, "en volant à travers des dimensions inconnues". Les skis étaient bien portables à téléporter si les tenir le long de l'axe central, en les serrant contre soi-même. Albert se souvint avec regret qu'il avait une possibilité d'emporter avec lui de la même manière le fusil qu'il avait pris de sniper ennemi qu'il avait assommé sur le toit.  

          Ce fut naturel qu'Olesya ne fût pas chez elle. Elle était en train de se promener à la taïga, pas loin de la maison. Ces derniers temps, elle aimait beaucoup se promener dans la forêt. Quant à raison de ça, il était simple l'expliquer par la réclusion forcée. Dès l'instant de l'apparition des "locataires", son séjour dans la maison de Paul ne pouvait plus provoquer les soupçons. Avant, elle se rendait compte clairement qu'elle devait se cacher pour son propre bien. Maintenant, elle possédait la liberté complète de mouvement et jouissait par cela. Elle vint bientôt de la forêt froide avec visage frais et rose, et toute contente.

          -Ils sont fatigués, les deux. Laissons les être à la maison, tandis que nous marchons à faire une piste de ski. J'ai les skis de chasse dans la grange, je vais les apporter tout de suite. 

          Après ce dire, Paul sortit et revint bientôt avec skis. Nadejda ne voudrait pas aller à forêt avec Paul. Quant à lui-même, elle n'attendait aucune surprise de lui, bien savant, que seulement Olesya le fatigue les nuits. Néanmoins, elle ne pouvait pas être sûre à l'égard de deux restants, et elle avait raison en cela. Mais elle se sentit timide à refuser sans dire la raison, surtout dire de ses soupçons en présence des amis bienveillants. Elle n'a dit que:

          -Il déjà va l'assombrir. Laissons la promenade ne soit pas pendant longtemps. Alik, il même fera la piste pour distance plus lange après. Il est jeune, fort.

          -Nous n'allons pas à le faire longtemps. Deux kilomètres pour aller, deux à retourner. Dans une heure nous sommes chez nous.

          Bientôt, ils sortirent. D'abord, Olesya prit un premier livre tombé dans les mains et fait semblant qu'elle soit en train de le lire. Néanmoins, elle bientôt le remit, en expliquant:

          -Alik, tu sais? Je ne sais pas pourquoi, mais je ne veux plus lire. As-tu offensé que je t'ai nommé Alik, pas Albert?

          -Il n'y a pas de grande différence. Tout ça est des préjudices, mais nous sommes des amis.

          -Je vais être sincère avec toi. Comme avec un ami. Tu entends, je et Paul, comme nous faisons du tapage avec Paul dans la nuit sur le lit? Je sais que tu entends. Il est de mon genre, mais je le manque et je ne le veux pas forcer, je m'inquiète pour sa santé. Parce que s'il est mort, je mourrai aussi. Albert bien savait de l'inclination des très jeunes filles à dire des bêtises de sa propre mort pour attirer l'attention. Il savait, comme cette conversation finira et c'était ce qui augmenta son excitation. Dans cet instant Olesya occupa tout son monde intérieur. Toutes ses pensées et rêves n'étaient concentrés que sur elle maintenant. Il essayait de cacher cela.

          -J'ai entendu un jour, tu avec Paul, vous deux discutiez sur la liberté morale. Et je vais à vérifier tout de suite, si es-tu libre en effet ou tu n'es qu'en paroles.

          Après avoir ce dire, elle commença à se libérer graduellement de vêtement. Albert regardait à elle avec attention sans timide, sans détourner le regard.

          -Et quoi? Suis-je belle? - elle questionna après avoir enlevé son maillot vert et moulant de bain.

          -Est-ce que tu en doutes?

          -Attends un, peu, - elle mit le maillot de bain de nouveau, - il me va bien?

          -Dans ton âge, n'importe quel vêtement te va bien.

          Le maillot de bain fut enlevé et mis de côté plus une fois encore.

          -Qu'est-ce que tu penses si je, dans cet état comme ça, je serai en train de regarder à toi dans les yeux? Crois-tu que je suis capable?

          -Regarde.

          Elle le regardait fixement comme un boa constricteur. Cela serait drôlement, néanmoins, on voulait quelque chose d'autre au lieu de rire. Il commença à regarder au racine du nez d'elle.

          -En regardant dans mes yeux, dis: si tu m'aimes?

          -J'aime toutes vous, parce que chacune de vous reflète de l'inimitable manière la beauté de l'Univers, la gloire de création et la gloire de Créateur..

          -Maintenant, je vais le faire de courte distance, - après le dire, elle s'approcha de lui, assit sans ménagement sur ses genoux, directement sur les pantalons. Sa forme était comme celle-là de Sveta, seulement, les seins un peu moins, et il pourrait les prendre l'une pour l'autre dans les ténèbres. Néanmoins, leurs visages et les couleurs des cheveux différaient beaucoup. Cette fille était blonde, aux lèvres charnues et ses gris-blues yeux étaient expressifs.

          -Sais-tu que tu m'as excité beaucoup?

          -Je le sens.

          -Est-ce que tu fais comme ça avec tous les hommes?

          -Non. Seulement avec ceux-là qui sont libres des préjudices. Le reste ne mérite pas de voir mes charmes. Il les faut laisser recevoir selon ceux-là règles, selon lesquelles vivent-ils. S'ils affirment, comme s'ils "n'ont pas du sexe", laissons les vivre sans lui. Ils peuvent même croire comme si je suis une fille modeste. Je me fiche d'eux ou de ce qu'ils pensent. Et quant à toi: soit je dois te violer, soit tu me te donneras toi-même? Qui est l'homme entre nous, toi ou moi?

          -Je supposais que tu n'as besoin que de bavarder. Si ce n'est pas comme ça, donc prends garde.

          -J'en prends.

          Une minute à peine s’était écoulée quand Albert retira tout vêtement. En l'examinant, la jeune fille s'exclama avec admiration:

          -Ça c'est de la chose!

          -Bonne chose, donc viens ici.

          -L'avoine ne vient pas au cheval.

          Albert fit un mouvement à la direction d'elle, mais elle commença à courir de lui dans toute la maison, en riant joyeusement.

          -Et qu'est-ce qui se passerait si Paul revient plus tôt?

          -Il ne te fera rien.

          -Néanmoins, quoi quant à toi?

          -Tu le verras.

          -As-tu peur?

          -J'en ai et n'ai pas à la fois. Enfin, il l'attrapa et serra dans les bras. Ils s'embrassaient sur les lèvres avec passion. Il la serrait, comme s'il essayait de la mettre vers son intérieur, et bientôt retentit déjà connu ''Aie!" Toute légère, elle était en train de se donner à lui suspendue et serrée par les mains fortes comme par un anaconda. Très bientôt  cet "Aie!" achevant l'action retentit.

          Après avoir dépensé les forces, les deux s'assirent sur le lit, où prévoyante Olesya déjà auparavant mis un drap plié en quatre. Pendant à peu près cinq minutes étaient-ils en train d'être assis relaxés. Olesya fut la première qui rompit le silence.

          -Vous me plaisez aussi, chacun de vous à sa propre manière, pourtant le vieillard plaît plus. Je suis d'accord que chacun de vous aussi reflète de l'inimitable manière la beauté de l'Univers et la gloire de Créateur, néanmoins, non seulement ceux qui sont observés possèdent une beauté différente, mais aussi les observateurs ont les yeux différents. Chacun ne voit qu'une partie étroite du spectre. Il n'y a pas sauf Dieu des observateurs qui pourraient embrasser tous le spectre complètement. Seulement son étroite partie. Tes yeux ne voient pas la beauté des gens vieux, surtout ceux-là qui sont bien conservés et il y a quelque chose d'autre qu'ils ne voient pas. Mais mes yeux ne voient ce que tu vois. Nos parties du spectre qui se croisent des côtés différents, ils forment une bande étroite et nous ne pouvons trouver quelque chose en commun qu'au-dedans de cette bande. Néanmoins, ce qu'il y a à l'extérieur, il est compréhensible et acceptable pour l'un et ne peut pas être compréhensible et acceptable pour l'autre. Je crois que tu sois beau, mais mes yeux presque ne te voient pas. Ils verront ta beauté complètement, lorsque tu griseras et seras couvert par les rides. Dont ceux-là qui ne préfèrent qu'un seul partenaire, ils ne sont pas nécessairement des monogames.

          -Tu es une fille intelligente. Malgré le fait que cette théorie n'est pas la tienne, je sais d'où est elle venue, mais c'est une leçon que tu l'as appris bien, si bien appris qu'il faudrait mettre "cinq" pour elle.

          -Néanmoins, je lui mettrais "un" pour le comportement d'elle! - sonna la voix agacée de la femme d'Albert. - Je vais te traîner par les cheveux tout de suite.

          -Nadia. Reste ça à moi, - Paul l'accompagnant intervint. - Je la vais punir sévèrement. Tu es en colère comme s'il fait mal pour elle à cause de ça, mais tu bientôt auras pitié d'elle et essayeras de m'arrêter. Ce n'est pas seulement toi qui as perdu à cause de ça que tu nommes trahison. Moi aussi. Hé! Salut beauté, ne cache-toi pas! Reste comme tu es et vins ici pour le châtiment. Sans couvrir tes charmes!

          Olesya trembla et rougit, baissa la tête. Ainsi, elle vint en revue de tout le monde, sans monter les yeux.

          -Tu avoues être coupable?

          -Oui.

          -Tu sais ce qui est prescrit pour ça?

          -Oui. Ainsi, va et apporte toutes les choses qui sont nécessaires dans le cas pareil.

          Olesya est sortie, toute nue directement à la véranda froide. En première fois elle apporta un banc long. En processus de la deuxième sortie, la porte du porche s'ouvrit et il fut entendu un bruit de l'eau déversée. Après cela, Olesya apporta une auge couverte avec une feuille de contreplaqué. Nadia déjà commença à deviner ce qui va se passer maintenant. Olesya sortit plus une fois et apporta plusieurs morceaux de corde un peu plus épaisse qu'une corde à linge. La tête d'Olesya était toujours abaissée, la rougeur toujours ne disparaissait pas du visage, mais Albert bien informé, en regardant attentivement, il remarqua qu'elle cachait un sourire sournois et heureux sur le visage. Le vieillard enleva la feuille de contreplaqué. Nadia ne fut pas surprise, parce qu'elle vit dans l'auge ce qu'elle eut attendu à voir. Il y avait des tiges bien mouillés de bouleau à fouetter. Olesya s'allongea sur le banc avec soumission et s'est laissé lier les mains et les pieds. Il était vu que les mains d'elle un peu tremblaient.

          -Tu as réussi ma belle, n'est-ce pas? - le vieillard dit. -Allons, Nadia. Donne-lui vingt coups de tige et elle recevra de moi le reste.

          Nadia prit une tige longue et sans réfléchir trop elle donna un coup sifflant à la rivale prise dans le péché. Olesya serra les lèvres et un peu frisonna, mais fut silencieuse.

          -Ce n'est que commencement, - l'épouse offensée grinça entre ses dents. - Tu bientôt chanteras pour moi, - et une tige flexible immédiatement fendit l'air trois fois. Après le quatrième coup un "Aie!" long enfin rompit le silence de la même manière comme pendant les plaisirs d'amour. Olesya tournait la tête à droite et à gauche, c'est probable que son corps cherchait sans compréhensible la sortie d'un piège cruel et inconnu. Après avoir rencontré avec regard de la rivale, le regard brûlant et plein de colère, elle posa le visage sur le banc de nouveau.

          -Et quoi? Est-ce dur? Maintenant, tu vas devenir rayée comme une zébra. Reçois de plus.

          Après ces mots, la tige était en train de siffler dans un contexte du silence total, en notant ses visites avec les rayures lumineuses de son dos au niveau de ceinture jusqu'aux jambes sveltes au niveau de genoux. Le long cri "Aie!" avec expiration répétait maintenant après chacun coup, et à l'inspiration fut ajouté un son neuf, aussi ressemblant un cri. Le corps beau d'Olesya, en étant empêtré dans des cordes, sursautait de plus en plus fort, mais en vain. Elle était attachée honnêtement. Le vieillard fit un signe avec main après le vingtième coup à l'arrêter.

          -Ce n'a été que les accords d’introduction, ma belle, et maintenant, c'est moi qui vais s'occuper de toi.

          Olesya respira profondément et jeta son coup d'œil plein d'amour à son exécuteur neuf.

          -Je sais que tu es belle, et il faut fouetter les jeunes filles pareilles plus souvent, pour qu'elles deviennent plus belles encore.

          Le vieillard monta la main, et Olesya s'enfonça le visage dans le banc plus encore et toute tassée. Elle se rendait compte que maintenant c'est un expert qui prit les tiges aux mains. Il donna plusieurs fouets à elle, et au lieu de cri érotique "Aie!", un gémissement de souffrance sonnait chaque fois, malgré le fait que les coups n'étaient pas plus forts. 

          -Regarde, Nadia. Tu as été pleine de colère, tu montais la main haut, néanmoins, il ne faut que savoir quelques secrets simples. Tes tiges tombaient parallèlement à la surface du corps. Mais les extrémités de mes tiges comme s'ils "tournent le coin". Je suis debout de ce côté et toi, contourne à regarder de position de l'autre côté.

          Nadejda contourna à l'autre côté et vit la différence immédiatement.. Les cicatrices créées par elle étaient rouges régulièrement, du commencement au bout, mais les cicatrices créées par vieillard n'étaient pas longues, même au commencement plus pâles, mais à la direction plus proche au bout, elles devenaient plus épaisses, plus rouges et finissaient avec des points rouges, presque sanglants. Malgré le dialogue qui eut interrompu la punition, Olesya tournoyait, gémissait et serrait les dents.

          -Assez faire semblant d'être une actrice plus tôt que ça commence. Nous allons avoir tout de suite l'amusement admirable. Après avoir le dire, le vieillard diligemment et vite a donné lui cinq coups de tige, presque au même endroit. Olesya hurla. Après avoir attendu un peu, il a choisi comme but autre endroit, et bientôt cinq zébrures furent marquées là-bas qui faillirent être fusionnées et un peu saignaient aux bouts. Après deux quintuples de plus comme ça, Olesya hurlait comme une fille d'école qui a onze ans. Le vieillard la fessait, en changeant les tiges souvent sans faire attention aux hurlements d'elle. Puis soudain s'arrêta-t-il.

          -Voilà. Tu as reçu une vingtaine coups de Nadia, puis quarante coups de moi. Maintenant va te reposer. Et je te donnerai puis la deuxième partie, quarante coups encore.

          Olesya arrêta de hurler tout de suite, mais la partie du banc contre son visage déjà était mouillée à cause de les larmes.

          -Écoute-moi, vieux diable. Peut-être assez tourmenter la fille? - Nadia se révolta.

          -Ne mêle pas. C'est leur amour qui est cruel comme ça, - Albert dit en faveur du vieillard.

          -Bon sang! Appeler cela comme l'amour?

          -L'amour toujours a raison! L'amour toujours est beau! Juste nos yeux ne sont pas assez perfects, afin que nous reconnaissions cet aspect de l'amour.

          -Est-ce possible un amour comme ça?

          -Oui. Jusqu'à ce qu'on commence à ruiner l'un l'autre, tout ça est l'amour. As tu lu quelque chose sur Héloïse et Abélard?

          -Non.

          -C'est un fait historique, - le vieillard prit part à la conversation. - Onzième siècle.

          -Allons à la chambre à nous reposer un peu.

          Tout le monde alla à la chambre et s'assit sur les chaises. Olesya était en train d'allonger sur le banc silencieusement. À peu près dix minutes tous les amis vinrent vers elle.

          -Et quoi, mon amour. Es-tu tourmentée?

          -Tu sais? - la victime répondit de la manière inattendue à l'égard des amies. - Il me faut fouetter et le faire plus souvent.

          -Alors, allons continuer.

          Et les tiges flexibles chantaient de nouveau, s'enfonçant savoureusement dans le corps d'Olesya, jeune et élastique. Et le cri de fille de nouveau résonnait les murs de vieille maison. Lorsque tout eut été fini, le vieillard la libéra des cordes vite, Olesya se comporta de la manière inattendue encore. Elle bondit à la vitesse de l'éclair, se jeta au cou de son tourmenteur, en s'exclamant:

          -Merci pour la leçon, mon magicien, mon bien-aimé! Je t'aime, je t'aime!

          Ils s'étaient embrassés avec passion, comme des amants ordinaires, il dans son vêtement, elle toute nue et fouettée était prête à pendre à lui. Ils étaient des amants en effet.

          -Tu te souviens, ma chérie Olesya, demain j'aurai quatre-vingt-quinze ans?

          -Oh, j'ai oublié du tout et je ne t'ai préparé rien pour offrir.

          -Le mieux cadeau à moi n'est que toi, - le vieillard ne dit pas mais chanta en imitant un acteur célèbre d'un dessin animé..

          -Non, il ne faut pas le laisser comme ça, - Nadia dit sûrement qui il y a quinze minutes était prête à battre avec héros de la fête.

          -J'ai assez d'argent. Je moi-même peux donne à moi n'importe quoi.

          -Ce n'est pas une question d'argent. Au moins, il faut remettre quelque chose comme symbole. Je vais grimper à Moscou et retour tout de suite, - Albert dit.

          Olesya était toujours debout toute nue sans timide de tout et essayait de regarder derrière elle le plus loin possible pour examiner des marques des tiges. Enfin, elle s'habilla. Albert s'habilla pour sortir dans la rue froide pour qu'Olesya ne voie pas comme il disparut. Dans demi-heure il retourna avec le sac rempli et il remit au vieillard la videocassette "l'histoire d'O" avec des mots de félicitations. Puis, il sortit du sac trois petites tortes, le saucisson, le fromage et le thé de Ceylan de la plus haute qualité.

          Et dans demi-heure de plus, tout le monde était assis à table, prenait de thé et regardait le film. Le monde inventé par Pauline Réage ne pouvait pas être considéré comme si sans problème, mais en comparaison avec la vie réelle, les problèmes étaient assez simples, et cela ne qu'embellissait l'intrigue romantique. L'accompagnement musical bien composé montrait plus une fois que l'amour est beau, même celui-là qui n'est pas compréhensible à tout le monde.

          Il était clair que le film plut à vieillard. À juger de son apparence, tandis qu'il le regardait, il était claire qu'Albert eut atteint le cible à l'égard du cadeau. Dans une mesure encore plus grande plut le film à Olesya et cela était remarquable aussi. Tout immobile et partie complètement en sujet, il paraissait que ce soit elle qui fouette son amie Ivonn avec passion perfide et que se soit elle qui tout heureuse se promène en bateau avec sir Stefan et se soit elle qui apprête autre amie Jacqueline à l'emmener à Roissy.

          Il n'y eut rien qui pourrait être un surpris pour Albert. Quoiqu'il ne connût pas les inclinations sadomasochistes, il comprenait les personnages du film "en théorie". Il les non seulement tolérait, mais aussi les approuvait et accueillait en esprit, il les considérait plus haut que les autres, pour ce qu'ils suivaient sincèrement leur nature.

          La music plaisait à Nadejda. Elle regardait le film comme un conte, sans oublier que le sujet est inventé et c'est des acteurs jouent des rôles. Néanmoins, après la fin du film, une pensée est venue à l'esprit d'elle que tout le monde qui se trouvait dans cette chambre avec elle, personne entre eux n'est acteur. Ils sont des gens réels de la vie réelle. Pourtant, qu'est-ce qu'ils faisaient récemment? Comme si elle était en train de voir un rêve assez étrange, dont elle ne pouvait pas apprendre l'intrigue de la façon cohérente.

          Ils sont des réfugiés en fait, mais ils vivent mieux que le reste, et le reste les envierait. Si gentil vieillard Paul, gentil et sage, il croit en Dieu, il a passé telle école de la vie... et soudain il avère un méchant qui couche avec et torture la fille qui a l'âge d'être son arrière-petite-fille. Mais tout à coup il s'avère que cette fille elle-même soit prête à tuer chacun qui oserait toucher son tourmenteur, sans qui elle ne peut pas s'imaginer la vie. Si simple et conviviale, soudain elle essaye de séduire son mari et réussit en cela, il n'était assez que sortir pendant une heure. Ce qu'il paraît impossible de connecter l'un avec l'autre, soudain s'avère connecté, liés ensemble. Il se produit ce qui ne doit pas être produit selon les lois connues à elle. Même les inébranlables lois de la physique ont l'air d'être violées. Comme si elle est jetée à l'univers dans laquelle elle toujours ne peut pas s'orienter.

          Albert l'aime et la sauve des ennemies et le même Albert commet l'adultère. Les gens normals dans les cas pareils se révoltent, refroidissent, séparent, parfois commettent un délit. Néanmoins, Albert est devenu plus proche, plus cher après cela. El sent qu'elle l'aime plus fort maintenant. Elle a blâmé Olesya, lorsqu'elle est entrée et a vu l'adultère, mais elle se rend compte que cela n'était que faire semblant. Elle indignait, parce qu'il est accoutumé d'indigner aux cas pareils. En effet, elle se rendait compte qu'Olesya toujours continue d'être son amie avec qui elle peut sympathiser et elle était prête à la défendre du châtiment. Il n'y a aucun désir de faire du mal à elle, même ni s'offenser ni faire la moue. Maintenant, il se rendait compte qu'elle ne peut pas comprendre non seulement les circonstances extérieures. Elle ne pouvait pas comprendre même soi-même.

          -Je sais tes difficultés, - le vieillard dit soudain en se tournant à elle. - Comme à tout lo monde, on t'imposait dès la jeunesse la conception comment le monde est organisé. Tout ça s'est avéré un mythe. Et ce que tu considères comme un mythe, c'est la vie réelle en effet. La vie réelle sans masques, sans hypocrisie, sans exagération.

          -Justement à cause de cette dernière circonstance, notre association de nous quatre ici et aussi le reste de trois à Moscou est unique. Simplement, tu t'es habituée au monde des hypocrites morts. Maintenant, ta tâche est à t'habituer au monde des vivants. Accepte lui, habite lui, apprends-lui et tu verras à quel point est-il mieux. Et il ne peut séjourner sans être mieux. Parce que celui-là monde a été un monde des morts. Et maintenant, le monde de vivants est en train de s'ouvrir devant toi, - Albert fit la conclusion.


The texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/13/1234

Saturday, January 15, 2022

Chapitre V. Sauveur et trompeur à la fois. La téléportation. Partie II.

           Nadejda toujours n'était pas habituée au lieu neuf. S'ils sont invités simplement, peut-être elle ne le sentirait. Néanmoins, l'information de ce qu'ils avaient quitté la place de laquelle s'était-elle habituée et ils sont devenus maintenant des migrants forcés à la Sibérie, tout ça la dérangeait. Dans une semaine, elle remarquait qu'une sorte de partie d'elle est en train d'accepter ce qui est arrivé et que les conditions de la vie et lieus différents ressemblent aux décors dans un théâtre qui toujours changent, mais l'observateur reste le même. Est-ce que l'être humain s'habitue à toutes les choses de telle manière? Elle ne savait pas.

          Malgré le fait qu'ils habitaient tel coin perdu où les gens soviétiques étaient privés presque de tout, Albert et le vieillard possédaient d'argent. Dans le grand village qui était en train de mourir, il n'y en avait pas de kiosque alimentaire privé même au milieu de la libéralisation de l’économie. Les kiosques alimentaires comme ça n'étaient que sept kilomètres d'ici, c'est-à-dire, dans ce village-là où ils étaient arrivés en premier en bus. Et le choix de marchandises y était bien plus maigre que près de Moscou. Lorsque Nadejda a lit des inscriptions sur les paquets avec attention, il est avéré que presque toutes ces gourmandises étaient faites aux États-Unis. 

          Olesya pouvait cesser de se cacher maintenant. Quoique le vieillard ne fût pas communicatif avec voisins, pourtant, il raconta à eux comme si en passant qu'il ait des locataires maintenant: une femme, le mari et sa nièce et qu'ils tous soient de Krasnoïarsk, néanmoins, ils sont originaires de l'Ouest. On nomme comme l'Ouest en Sibérie, quand on parle de la partie européenne de l'Union Soviétique.

          À cause de leur pauvreté, les voisins aussi voulaient mettre des locataires aussi, mais ils doutaient que quelqu'un veuille s'installer à la sauvage région comme ça. C'est pourquoi ils demandaient le vieillard de trouver ceux qui sont prêts s'installer ici. Une fois le vieillard passait le village avec Albert et ils virent un autre vieillard qui était debout près du portillon. Il était tout chauve et souriait sans raison vue. Il ressemblait à un acteur fameux Leonov mais plus grand. Ils dirent bonjour, parlèrent un peu et le vieillard lui promet de trouver une seule jeune femme locataire ou deux amies.

          -Comment est-il pour toi? - le vieillard demanda l'Albert lorsqu'ils s'éloignèrent.

          -Quoiqu'il soit un peu dupe, mais il est religieux et il a bon cœur et c'est le point principal. 

          -C'est Balda. Tu peux voir sa foi, à quel bon point ça a fonctionné pour lui.

          -Dieu merci.

          -Quand je me suis rendu compte que sa foi est sérieuse, le premier enfant était né dans leur famille. C'était un garçon. D'ailleurs, il a vingt cinq ans maintenant. Il s'est marié, et maintenant travaille-t-il et habite Krasnoïarsk. Alors, j'ai mis un mot lui "ton bonheur est entre trois arbres". J'ai dessiné un schème et j'ai écrit les distances jusqu'à ces arbres et j'ai écrit, où sont ces arbres situés. Il n'a compris rien, mais sa femme est avérée plus intelligente et elle a tiré au claire tout ça, donc je ne devais pas mettre le mot en deuxième fois. Malgré les difficultés, elle a trouvé et déterré le "trésor" que j'y ai mis secrètement. L'argent y était dans une boîte en fer-blanc.  La somme était à peu près la même celle-là que j'avais volée d'eux depuis longtemps.

          -Bien sûr, c'est tout à ton honneur, - Albert dit, - il n'était pas donné à tout le monde à rendre volontairement ce qu'il a volé.

          -Ne me loue pas prématurément. Et quoi si tu décevras après? Mais en fait commence-je à croire que tu ne seras pas déçu de moi. Parce que je suis sûr que tu défends la liberté des mœurs non pas en paroles mais dans les faits. Olesya est crevée d'un désir d'une certaine chose...

          -Pourtant, tu disais qu'elle ne plaît pas des jeunes hommes.

          -Je vais à te raconter ce qu'elle plaît.

          Le vieillard emmena son héritier au-delà de bord du village, où la forêt commençait et énonça à lui son plan drôle.

          Après la nouvelle d'impossibilité du retour, Nadejda était en train de revenir à elle graduellement. Peut-être, il ne vaut pas se désespérer? Peut-être la vie neuve deviendra mieux que celle d'avant? Ils sont en Sibérie, mais leur alimentation n'est pas pire qu'à Moscou. Il n'y a pas des difficultés et soucis quotidiens.

          Après avoir consulté entre eux, Paul et Albert ont décidé de mettre Nadejda dans le secret de leur capacité de téléporter. Parce que les conséquences a cause de la dissimulation de ce secret peuvent devenir pire que de la découverture. Sans savoir, jusqu'à quel degré est-ce sérieux, elle pourrait avoir fait des bêtises et tomber dans les griffes des prédateurs qui se cachent sous les cartes de FSB.

          Après avoir discuté et envoyé Olesya dehors pour une promenade, Albert et le vieillard ont raconté à elle de ce qu'ils sont capables de faire. Elle les écoutait et ne savait pas si croire à ses oreilles. Mais elle le devait.

          -Est-ce que te souviens comme étais-tu indignée quand as-tu oublié ta trousse de maquillage chez nous à Perlovka? Celle auquel tu es si habituée et ne voulais rien au lieu d'elle? Dis où est-elle, et je grimperai à l'apporter.

          -Elle est dans mon sac à main. Le sac à main est soit dans le tiroir du bas de la commode, soit dans le placard.

          Albert disparut tout de suite devant elle. Nadia pâlit. Habitue-toi, - le vieillard dit.

          Elle n'est pas encore remise du choc, lorsque Albert de nouveau apparut de rien, en apportant de là non seulement la trousse, mais aussi tous un sac à main.

          -Tu peux voir quel poisson rouge que Kashin voulait posséder. Et "qu'un poisson d'or lui serve...". Presque comme d'après Pouchkine. Ils te prendraient en otage et me forceraient braquer une banque, partout où ils voudraient. Soit à Moscou, soit en Suisse. Si je n'obéis pas, Dieu nous garde, ils couperaient ton oreille à me montrer. C'est-à-dire, "essaye d'oser n'obéir pas plus encore, en nous ferons pire à elle".

          -Mon Dieu, on ne peut pas croire! Je pensais: "quel jeu stupide des espions?" Même maintenant, il paraît que je suis en train de dormir et que je vois une sorte du rêve étrange.

          -Tu as fouetté ton amie rousse, est-ce qu'aussi en rêve?

          Nadia ouvrit les yeux de surprise jusqu'à limite de capacité. Mon Dieu!

          -Je vais devenir folle maintenant.

          -J'y ai été. À l'instant quand tu pouvais dire trop de lui, - Albert indiqua à Paul, - je vous ai distrait à l'aide du court-circuit.

          -Et quoi, est-ce que tu sautes aux banques de telle façon, au lieu de ces espions du FSB? 

          -Je te disais, si on va comme ça, je posséderais des milliards maintenant.

          -Alors, d'où prends-tu d'argent? Bien sûr, ce n'est pas des milliards, même pas millions, néanmoins, si on va toujours comme ça, nous n'aurons plus de problème d'argent.

          -Imagine-toi l'entreprise de navette, imagine-toi des trains pleins de marchandises qui viennent, par exemple, d'Asie Centrale. Combien d'argent est dépensé pour chemin, pour tribut aux racketteurs, en pots-de-vin aux flics, douaniers, conducteurs, contrôleurs? Et maintenant, imagine-toi: il n'y a aucun chemin. Tout est près. Les distances sont nulles. En effet, il y a des petites distances voila pourquoi: as-tu vu comme ai-je disparu à nulle part et ai-je apparu de rien aujourd'hui? Je ne peux pas faire comme ça chaque fois devant les gens. Certainement, on croirait d'abord que tout ça est tromperie, des contes, un délire. Puis, non seulement Kashin avec Skolopendrin, mes deux chasseront, mais tout le monde aurait envie de saisir et utiliser tel miracle. Pas si mal si Kashin seulement braque une banque. Et qu'est-ce qui se passerait s'il laisserait voler des missiles à ogives nucléaires? C'est pourquoi je dois apparaître et disparaître dans les friches, les greniers et dans toutes sortes de recoins sombres, puis marcher de là un peu à pied. Parfois, on peut plaisanter et montrer aux gens des surprises pareilles. Mais si le faire souvent, tu te rends compte maintenant, quelles conséquences peuvent être provoquées. Te souviens-tu comment m'a-t-on donné un coup sous l'oeil? Sais-tu, où s'est-il passé? À New York!

          Albert se sentait soulagé, en racontant ses secrets qu'il n'avait plus besoin de cacher de sa femme.

          -Ainsi, tu pouvais légèrement fuir d'eux. Même après être capturé par Kashin et ses salauds, tu pouvais disparaître et apparaître déjà ici ou à New York. Tu essayais de me sauver, tu essayais POUR MOI. Quelle sotte suis-je, parce que je te grondais en esprit, quand étions-nous en train de courir à travers la forêt. Donc... après tout, tu m'aimes. - En ce disant, Nadejda s'approcha d'Albert à embrasser après avoir essuyé les yeux qui commencèrent à se mouiller. 

          -En remerciement, je ne te demande qu'une grâce, - disait Albert, en l'embrassant et caressant en réponse. - N'essaye pas de revenir chez soi. Ne fais pas de bêtises, malgré n'importe quoi. Ce serait équivalu à un suicide. Notre tâche principale maintenant, c'est aller à l'étranger. Pourtant, Olesya et toutes tes amies doivent partir avec nous. S'ils ne me capturent, ils ne laisseront personne en paix.

          -Lena aussi? Après tout, elle nous a trahi.

          -Elle a fait une erreur et maintenant elle est en train de repentir, d'ailleurs, assez sincèrement, tu l'as entendu, moi aussi. Tu sais maintenant de laquelle cocaïne s'agissait-il. Elle était informée de la téléportation, donc elle sera éliminée, quand ils n'auront plus besoin d'elle. D'abord elle considérait l'espionnage comme quelque chose de romantique, aussi l'argent, et en plus ce sexe instructeur Kashin. Elle a une chance de devenir notre amie de nouveau. Elle toujours n'est pas allée trop loin. Tu essayes de la juger, mais on ne sait pas quelle sorte des tournants peut avoir lieu dans la vie. S'en agaçant, on peut avoir fait un tort, et si quelqu'un est en train de commettre des vilenies, il peut devenir tel gredin que rien que la mort le peut rééduquer, mais même cela n'a pas lieu toujours.

          -Que veux-tu dire? Si un gredin a choisi son chemin il même, pourquoi corrigera-t-il quelque chose?

          -Tous les gens ont des amis et amies, même des épouses. Mais en fait ce n'est pas qu'une apparence. Ils sont aliens l'un à l'autre et dans leur société l'un domine l'autre toujours. Ils peuvent partager un déjeuner entre eux pour l'apparence. Néanmoins, si on donne un morceau de l'argent métallique, ils ne le partageront pas équitablement. Quant à l'or, on peut comprendre sans parler, il les transformera en ennemies. L'or ne fera le bonheur à personne dans la société comme ça. Je n'ai besoin de cette apparence trompeuse, c'est pourquoi j'ai refusé tous soi-disant amis. Néanmoins, ton cas est unique. À première vue, rien de spécial. Mais en fait, il a lieu très rarement comme ça. Personne ne domine personne. Vous êtes indépendants l'un de l'autre et à la fois n'avez-vous pas peur d'être sincères entre vous. Ces mots qui sonnent de la façon ordinaire, ils réfléchissent des faits qui sont discrets par eux-mêmes, mais ils brillent comme une lumière brillante dans le contexte de l'obscurité, dans laquelle est mise la société. 

          Albert remarqua que l'épouse ne l'entend plus, parce qu'il paraît qu'elle est tournée vers elle-même involontairement et profondément. Néanmoins, que c'était ce qui était en train d'arriver dans l'âme d'elle? D'abord, elle fut émue aux larmes à cause de son mari qui montra le soin à la sauver, cela attisa ses sentiments. Mais elle se souvint soudain comme Lena parlait de l'opportunité d'adultère d'Albert avec les amies d'elle, et comme si cette opportunité apparaîtrait grâce à la téléportation. Cette idée a eu un effet sur elle comme un seau de l'eau froide versée sur la tête. Elle ne prêtait pas attention avant, mais maintenant vient-elle de se souvenir que son mari regard à l'Olesya parfois, quand elle se balade en jupe courte dans la maison.

          -De quoi es-tu attristée, ma beauté? - il parlait à ce moment-là. - Je vais apporter une surprise pour toi tout de suite.

          Après avoir dit ça, il disparut directement devant elle, à cause de quoi elle fut distraite des réflexions. À quoi d'autre pensait-il? Il paraît à elle comme si elle devait attendre longtemps, mais en fait il ne passa que quinze minutes.

          -N'est-ce pas dangereux? - elle questionna Paul.

          -Ne pas plus que passer d'une pièce à l'autre. La chose principale est de laquelle pièce s'agit-il. Même dans ce cas il n'y a pas de grand danger, car il a assez du temps à retourner presque toujours.

          Albert apparut de la même manière étrange comme il fut disparu. Cette fois, il fut tout trempé, et avec une expression faciale d'un vainqueur, il remit à Nadia bouquet de fleurs qui étaient en valeur sur le marché et ne furent pas locaux.

          -D'où es-tu arrivé cette fois? Tout trempé.

          -De Yalta. Il y a l'averse maintenant et à peu près dix degrés au-dessus de zéro. J'ai couru jusqu'au quai de la mer et encore deux cents mètres le long du quai jusqu'au fleuriste. Mais pour que retourner, j'ai disparu insolemment devant la vendeuse des fleurs. Je crois qu'elle ne veut pas être tenue pour une folle et sera silencieuse, mais elle aura maintenant la matière à réflexion assez pour longtemps.

          -Est-ce que tu as raconté à elle de ton premier voyage à New York? - le vieillard entra en conversation.

          -Je n'ai réussi à l'apprendre qu'il a reçu là-bas un coup sous l'œil. Raconte à elle, Alik, cela n'aura point l'aire ennuyante.

          Albert vient de raconter à elle de sa première téléportation à l'Amérique, à la plus grande cité. Cette histoire avec tous les détails l'a distrait tout de suite des pensées négatives.

          Les premiers jours, Nadejda était gêné de faire l'amour avec son mari et elle était surprise que Paul ose le faire avec son Olesya de telle manière que malgré le fait qu'elle ne voit rien, quand la lumière est éteinte, mais on peut entendre tout. Elle d'habitude entendait que chaque fois que la fille elle-même prend l’initiative première, elle grimpe pour embrasser, chuchote à Paul quelque chose à l'oreille, en général, elle l'excite par tous les moyens, obtient toujours ce, dont elle a besoin, et ils après respirent tous les deux passionnément pendant à peu près dix minutes et le lit ancien les accompagne rythmiquement avec grincement. En les observant, Nadia devenait graduellement plus libre st aussi se donna volontiers à son Albert, de moins en moins avant peur des bruits d'accompagnement et bientôt elle cessa de faire attention à eux. Et les mots dits hier par Olesya après avoir éteint la lumière ont éveillé sa curiosité:

          -Quand aurons-nous cela?

          -Quoi, tu as hâte de faire ça? Et qui va hurler?

          -Mais ne l'entends pas. Sois plus sévère avec moi. Après tout, tu sais que j'aime ça. 

          -Les amis sont chez nous, c'est embarrassant.

          -Néanmoins, ils y habitent pour longtemps. Est-ce que nous allons à continuer à scier comme ça? C'est insipide...

          -Si nous montrons tout d'un seul coup, ils seront choqués. Il faut graduellement... s'accoutumer... - puis inaudible.

          -Quelles belles en faire? Je suis en train de deviner.

          -Dans tel cas, j'augmenterai la quantité et qualité.

          -Je ne serai pas effrayée.

          -Tu ne le parle que maintenant... Alors, ne me blâme pas après...

          -À blâmer toi? Aie! - Olesya commença à gémir. Leur acte de la connexion d'amour toujours commencé par cet "Aie!" À la fin, cet "Aie!" répétait mais déjà plusieurs fois et plus fort.

          Le matin d'habitude, cette paire étrange s'asseyait pour étudier. En général, le vieillard l'enseignait les maths et l'anglais. Un jour pendant le cours, Paul était agacé avec fait qu'Olesya ne comprend pas jusqu'à maintenant le point d'une matière nouveau. 

          -Néanmoins, je penserai de quel moyen peux-je t'affecter.

          -Peu importe combien tu penses, tu ne peux penser à rien de mieux qu'on déjà avait inventé dans le début de l’histoire humaine.

          Cette conversation avait lieu il y a plusieurs jours. Et hier, après le dialogue dernier, Nadia commença à deviner de quoi s'agit-il, et elle était intéressée à savoir, si cette supposition confirmerait. Bientôt, sa curiosité était destinée à être satisfaite.


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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/06/764

Monday, January 10, 2022

Chapitre IV. Évacuation à jamais. La téléportation. Partie II.

           Le "quai 41 kilomètre", précédemment la "voie d'évitement 41 km" quand la direction à Kourovskaya était toujours à voie unique, il est situé cinq kilomètres d'un peuplement des maisons de vacances Kratovo sur la direction parallèle menant à Riazan. 

          Toujours dans l'enfance, pendant tout un hiver rêvait Albert d'un petit lac avec la plage sableuse, ce lac est entouré  par des maisons de vacances cachées sous les pins hauts. Le lac est situé à droite du chemin de fer avec une circulation inhabituelle à gauche à quatre voies et la plupart du peuplement est à gauche. Les maisons forment un réseau de rues et ruelles qui furent bien apprises par lui et s'éteignent sur deux, à certains endroits sur trois kilomètres. Une forêt de pins a immédiatement commencé derrière eux qui rappelait à l'Albert son enfance jusqu'à présent et émanait quelque chose de drôle, léger, insouciant, contrairement aux forêts sombres avec fougère haute des directions à Savelovo et Yaroslavl, les forêts sévères mais belles de leur manière.

          Quant à Kratovo, a la lisière de forêt pouvait-on entendre de chacun arbuste les voix des cueilleurs de champignons, à la fois des locaux et des vacanciers. Néanmoins, il était assez de s'éloigner un peu et les voix n'étaient entendues plus, ne restant qu'en mémoire, et maintenant "la voix du Silence" devenait entendue, s'affirmant de son propre calme, criant par son propre silence. Ici aussi parfois peut-on entendre un train, mais le chemin est complètement différent, ne ressemblant point à celui-ci, à la direction de Riazan. Il n'y a ni grandes villes, ni grands peuplements de vacanciers. Il avait l'air alors, comme si Albert était en train de découvrir un monde neuf et mystérieux. Et il croyait qu'au-delà de cette ligne à voie unique peut-on sentir une présence de quelque chose de belle et d'inconnu, plus il ira, plus sentira.

          Alors, il découvrait la nature pour la première fois, la nature libre du bruit artificiel, libre de la société qui opprime, de la société qui impose son idéologie non naturelle, la société qui demande un rapport de la propre vie private pour la juger par tout le monde, la société qui menace et interdit vivre à n'importe quelle private manière. Néanmoins, ici dans la nature était cette société impuissante complètement. La nature vivait selon ses propres lois, et en restant seul dans la nature, il était impossible d'expliquer à l'aide de mots, à travers de lesquelles voies et à travers de lesquels organes des sens cette présence de Dieu, pénétrait-elle dans l'esprit. Quant à sa signification, on ne peut dire d'elle que cette signification  est très belle. Quant à sa signification, on peut dire d'elle seulement qu'elle est excellente.

          Pendant toute l'enfance rêvait Albert de passer dans les bois de l'embranchement Kourovskaia au Nord, jusqu'au chemin de fer de la direction de Nijegorod, néanmoins il ne réussirait à revenir à temps, et les parents s'inquiéteraient. Le rêve de marcher cette route n'était réalisé qu'en période adulte, mais la réalisation de ce rêve n'a donné qu'une petite déception. La forêt fut ici dans certains lieux pires, quelque part représentait-elle des marais taris et couverts d'arbres bas. Quant aux beaux fourrés en direction orientale, il y avait un objet gardé, c'est-à-dire, des maisons de vacances qui appartenaient aux fonctionnaires soviétiques ou après soviétiques. Un peu à l'Ouest, on pouvait voir grand champ ouvert le long de lesquels y avait-il une route goudronnée et sinueuse locale. L'autoroute tournait juste au nord et tout de suite, un grand village Aksenovo commençait. Et au-delà du village, on pouvait déjà voir comme une pieuvre à béton armé d'une ville nommée avec nom fou Électrocharbons était en train de s'enfoncer dans le corps vert de la nature. Et le plein centre de la grâce forestière commençait juste là-bas où se taisaient toutes les voix de Kratovo, et s'étendait jusqu'à l'embranchement de Kourovskaia et bientôt se finissait au-delà du chemin de fer.

          Le peu peuplé chemin de fer le rendait heureux et à la fois provoquait une tristesse nostalgique pour les mieux moments de la lointaine enfance. Et quand Albert a l'appris à téléporter, il n'y avait aucun obstacle de visiter ces lieux, explorer les détails de chacune station du chemin de fer qui avait été un ancien chemin à voie unique, afin qu'il puisse "apparaître" immédiatement à chacune d'eux de Korenevo à Gjel. Voilà pourquoi a-t-il décidé d'aider sa femme à fuir exactement le long de ce chemin. Il avait exposé ce plan au vieillard déjà hier à New York, quand le soir est venu à Moscou.

          Comme nous savons maintenant, New York pour Albert était à proximité, comme tout le reste. Néanmoins il fallait montrer à Paul cette place où la forêt est finie, les champs s'ouvrent et la route vient qui mène à l'Électrocharbons. C'était ce qu'il était occupé, tandis que Nadejda l'attendait à Taganka. Même s'ils le poursuivent, tout ce tintamarre serait concentré le long de la direction à Kourovskaya. Et lorsque les gens poursuivants lui se rendent compte qu'il utiliserait cette partie de la forêt pour qu'il puisse interrompre finalement leur surveillance, ils manqueraient le temps à l'atteindre à l'aide d'un détour. C'est parce qu'il n'y a pas de routes droites de "41 km" à l'Électrocharbons. Quant à la route creusée, ici et là marécageuse et avec des souches saillantes, il ne peut qu'un tank passer. Ils n'étaient pas prêts pour évasion de leurs poursuivis "objets", sinon ils pourraient mettre un hélicoptère sur cette affaire auparavant. Néanmoins, ce serait une affaire risquée à utiliser un transport comme ça, car l'exploitation d'hélicoptère serait difficile à cacher des chefs.

          Albert téléporta loin du train local et apparaissait maintenant à chacune station sauf "Ovrajki" de laquelle il ne se souvenait pas assez correctement. Comme convenu, Nadejda a descendu à la station "41 kilomètre", quand les portes étaient en train de se fermer, et elle courut en avant, le long de la direction du train.

          L'assistant de Skolopendrin allait à tirer le signal à freiner mais le chef l'arrêta. Premièrement, Nadejda n'était que seule, deuxièmement, il fallait suivre et apprendre la direction. Elle était toujours en train de courir jusqu'à sa disparition du champ de vision des persécuteurs restants dans le train local qui les menait maintenant à Donino.

          -Moins de bruit, c'est mieux. Nous avons retrouvé leur trace de nouveau, - Skolopendrin avec plaisir expliquait à son coureur subordonné. - Et maintenant toute l'opération dépend de toi. Nous sortirons à Donino, cours à sa rencontre. La plus principale chose, ils ne doivent pas te remarquer. Maintenant, elle nous emmènera à son mari et peut-être à toute la tanière. 

          -Peuvent-ils être armés?

          -Peu probable. Ils sont des mystiques, sectaires. Quant au mari d'elle, il n'était jamais convaincu de porter d'armes, - mentit Skolopendrin pour calmer le subordonné. Heureusement, il n'est pas associé au groupe qui effectuait une opération nocturne dans l'appartement d'Izmailova et est essuyé le feu. - D'ailleurs, tu es un sportif et si c'est le cas, tu les vaincras. Néanmoins, ce serait une faute aussi, car tu ne dois pas être vu. Essaye agir sans perturber l'opération, sans les effrayer. Rapporte à nous tout à la radio, mais à voix basse. N'oublie pas : tu es honoré, car tout une issue de l'affaire ne dépend que de toi.

          "S'il est attaqué avec l'arme, - Skolopendrin pensa-t-il en esprit, - il sera coupable lui-même, car laisserait le remarquer. Si nous donnons l'arme à lui, il peut à cause de la peur tuer ce type bizarre qui n'a pas de prix. Laissons le courir, il en est capable".

          Nadia toujours était en train de courir lentement sur les rails. Le train de lequel elle sauta, après être disparu au-delà du virage, Albert vient de sortir de son abri d'arbustes et se mit en cours avec elle. Bientôt, ils couraient ensemble. Nadia était heureuse, en voyant son mari l'égalait et cela donna des forces à elle.

          -Mon amour, tu ne cours pas très vite pour que tu ne te fatigues pas, mais aussi ne cours pas très lentement, pour que nous nous débarrassons d'eux. Et je vais courir plus vite en avant, pour examiner, si tout est assez bien là-bas.

          Albert n'est pas encore venu au lieu où il fallait tourner au Nord, quand il a remarqué quelque chose d'inhabitude en vue de voie ferrée. Il s'allongea immédiatement et se glaça. Et en effet, un homme était en train de courir à la rencontre, il courait habilement comme un sportif. Et quand il s'approxima de lui en courant, sans le voir, Albert reconnut le compagnon de Skolopendrin. Il y avait bien nécessité de neutraliser lui. Albert a tiré sans réflexion lente. Le poursuivant tomba sur la voie avec bruit, cramponna à sa jambe blessée, roula à bas dans un fossé du petit talus. Il gémissait et n'occupait qu'avec soi-même. Il n'y avait aucune nécessité à tirer une fois de plus. Puis Albert se précipita à sa femme courante et l'emmena du chemin de fer à la forêt. Ils marchaient vite selon l'azimut jusqu'au certain sentier. Après être venu au sentier, ils commencèrent à courir de nouveau.

          -Je déjà ne peux plus. Il est difficile à respirer.

          -Aie encore un peu de patience, mon amour. Il paraît, nous avons fui et séparé d'eux, donc tu es sauvée.

          Enfin ils sortirent en courant de la forêt et toute de suite virent une seule voiture au champ ouvert, qui comme si elle s'ennuyait. Prés du chauffeur y avait-il un passager aux cheveux gris. Albert ouvrit la porte arrière sans ménagement, laissa entrer sa femme, puis il grimpa au-dedans lui-même. Néanmoins, Nadejda reconnut le vieillard Paul sain et sauf qui fut habillé en manteau ordinaire de mi-saison, pour être sans attirer attention.

          Dans quelques minutes, ils ont descendu de la voiture au village urbain Khrapounovo. Le vieillard paya au chauffeur, et il aida à sortir un grand sac à dos du coffre. Bientôt, ils entrèrent à portillon d'une maison abandonnée avec les fenêtres barrées. Maintenant c'étaient deux femmes qui sont sorties d'où. Une d'eux était belle, l'autre femme était haute et une sorte d'étrange. Ils ont convenu que la bizarre se tairait. En cas d'urgence, il faudrait chuchoter ou faire semblant d'être une sourde-muette. Si "elle" commence à dire, "elle" serait prise pour un travesti en meilleur cas.

          Le jour tombait. Personne ne marchait à la rencontre. Après avoir passé quatre kilomètres, la paire étrange est venu à une petite station "Lesnaya" qui appartient à la direction d'Iaroslavl de chemin de fer. Ils devaient un peu être nerveux, parce que le train local avait dix minutes de retard. Néanmoins, c'était même pour le mieux: pendant moins de temps "s'exposer" dans la gare. À peu près dans une heure, ils passèrent devant la station "Perlovskaya". Nadejda ne devinait pas qu'elle voyait cette station en dernière fois.

          À la gare Iaroslavsky, deux "amies" changées au-delà de la reconnaissance sont venus vite au quai, de lequel l'express Transbaïkal devait bientôt partir. Les billets déjà étaient dans leurs poches. La contrôleuse qui voyait beaucoup de choses dans la vie, elle ne faisait pas à eux deux grande attention. Dans le compartiment à quatre places, le mari avec sa femme, les deux âgés, ils étaient des voisins. Ils n'étaient pas très communicatifs, néanmoins, quand la femme essaya de parler avec "la compagnon étrange" de Nadia, Nadia chuchota à voisine que c'est la sœur de mari qu'elle vient de ramener d'une clinique psychiatrique et comme si elle souffre de schizophrénie que n'expresse que par taciturnité et sédentarité, c'est-à-dire, sa forme de maladie n'est pas dangereuse pour les autres. Ils devaient tolérer la présence des voisins jusqu'à Novossibirsk.

          Après les voisins se sont allés, la porte du compartiment s'ouvrit et deux entrèrent, "grand-père et petite-fille". Il présenta la fille:

          -Bonjour. Je te présente Olesya.

          Olesya se comportait assez libre. Elle s'asseyait sur les genoux du vieillard à l'embrasser. D'abord il menaçait du doigt puis il répondait à elle réciproquement. Nadejda et Albert déguisé ne pas considéraient cela avec l'indignation, comme les autres gens pourraient voir cette vue, mais au contraire, avec admiration regardaient-ils à la paire étrange: un d'eux est venu du siècle précédent, l'autre déjà regarde au siècle à venir.

          -Soit votre amour atteigne le seuil et entre solennellement au siècle vingt-et-unième! 

          -Merci! - les deux répondaient.

          Nadejda était silencieuse et souriait joyeusement.

          -Il semble, que ta nouvelle tenue te plaît moins que ton costume ancien, n'est-ce pas? - elle questionna Albert une fois dans le train. 

          -J'en éprouve pas une grande joyeuse de ça, mais quant à la tristesse, je peux dire le même. Néanmoins, il y a un côté positif. Il serait bien de se cacher dans le costume comme ça. Il faut le garder à l'esprit pour l'avenir, c'est très pratique. Et comment tu le considéras? - il a dit en tournant à l'Olesya. - Les gens, peuvent-ils découvrir que je suis un mâle déguisé si je suis silencieux?

          -Bien sûr, si tu es rasé, ils te prendront pour une femme drôle: la poitrine plate, haute et l'expression faciale est une sorte d'étrange, - Olesya répondit en riant.

          -Oui, en effet, - le vieillard affirma. - La version d'une parente maladie mentalement, c'est que vous avez inventé admirablement.

          Le reste du temps dans le train était passé d'humeur assez bonne. Psychologiquement, tous les quatre étaient assez compatibles l'un avec l'autre, même Olesya appelait tout le monde "tu", aussi avec leurs noms. Cela n'était pas interdit.

          Dans ce temps-là, au-delà de fenêtre du train, en commençant depuis l'Oural pouvait-on observer la couverture stable de neige. Le long du grand chemin de fer, l'été et l'hiver sibériens sont ressemblés à ceux à Moscou. Seulement, la première neige tombe un peu plus tôt, en été il y a des moustiques un peu plus et les nuits plus froides, et les dégels sont plus rares en hiver. Au reste, le paysage devant la fenêtre est peu différé de cet à Moscou. Certainement,  si chercher parmi l'herbe en été, l'ail sauvage et les autres herbes poussent ici, qui ne poussent pas près de Moscou. Aussi, il y a beaucoup d'herbe près de Moscou qui ne pousse pas en Sibérie. On peut voir un peu plus de mélèze, aussi le cèdre qui est ressemblant au pin, mais en un coup d'œil sans grande attention, il n'y en a pas assez des choses qui changeraient la vue générale du paysage. Seulement en approchant de Krasnoïarsk, le terrain devient plus accidenté, les collines se transforment graduellement en petites montagnes avec pentes douces, on les appelle ici "sopkas". Elles étaient blanches maintenant, couvertes avec la forêt enneigée.

          Albert descendait du train à Krasnoïarsk pour la première fois. Les petites montagnes qui entouraient la cité, elles rappelaient en été à Paul un paysage près de la station de trolleybus à Yalta, mais le climat est assez différent et l'air de la ville industrielle laissait quelque peu à désirer.

          Pendant six heures était l'autobus en train de tourner et secouer sur l'autoroute et la noirceur dehors ne laissait recevoir une idée du terrain. Tous les quatre ne sont arrivés que dans le minuit au village voisin et ils devaient marcher à pied sept kilomètres.

          Tous fatigués, ils arrivèrent enfin à une maison en bois branlante mais grande. Ils allumèrent la lumière et les chauffages électriques.

          Olesya commença à faire du thé et le vieillard est allé à la cave. Il revint dans vingt minutes avec fromage, saucisson et une sorte d'étrange pain. Toutes les étiquettes sur l'emballage étaient en Anglais.

          -Eh bien, mathématicien, quelle heure est-il à New York maintenant?

          -S'il est deux heures du matin dans ce terrain, donc il est deux heures de l'après-midi là-bas, - répondit Albert, en souriant. Il devina, où fut grimpé le vieillard pour l'alimentation.

          -Est-ce que nous sont ici pour longtemps? Quand reviendrons-nous chez nous maintenant? - Nadia questionna.

          -Jamais, - le mari répondit.

          -Soit tu plaisantes?

          -Je ne plaisante pas. Y revenir, ce serait un suicide pour toi, mais je veux que tu vive. Nous n'avons plus de chemin là-bas. C'est pourquoi nous n'y retournerons jamais.


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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/06/764


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