Saturday, May 12, 2012

Chapitre III. L'enleveur énigmatique

      En passant pour verges, un sujet séduisant sur l'évasion vint chez elle à la pensée, néanmoins elle ne savait point s'orienter, et son geôlier avait assez de temps pour éclaircir cela. Le lendemain après le rapt il l'avait fessée doucement parce qu'il lui avait ordonné à cueillir des branches sèches pour faire un feu cent mètres à l'ouest, mais elle s'en était allé à l'orient au grand soleil à midi. Au jour gris elle pouvait à faire un cercle et arriver à la même place et au soleil, si prendre une seule direction, on ne sait pas quelle distance aurait-il fallu à marcher, il était possible à rester sans l'eau longtemps pendant il faisait chaud. Marcher le long de la rivière il n'était possible qu'en aval, et il l'aurait rattrapée vite, et en amont il y avait un marais spacieux où il ne pouvait pas se perdre mais perdre la chaussure à la fondrière et s'éterniser.
      Inga ne savait pas où ils se trouvaient. Elle avait été en visite chez une amie qui s'appelle Tania au village laquelle cette amie habitait pour l'été à se reposer. Dans ce village-là tous les habitants connaissent l'un l'autre, la campagne est relativement perdue et on n'a peur personne d'un intrus de loin. Alors, en se trouvant au bout du village opposé de la maison habitée par Tania et ses parents soudain elle avait eu besoin de pisser. Elle était entrée aux arbrisseaux, avait achevée l'affaire et... tout à coup quelqu'un l'avait jetée la jarretière sur cou. Une voix enrouée avait prononcé:
     -Va où je te dirai! Sinon tu n'arriveras héler, tout d'un coup la corde se serrera et je t'entraînerai sans connaissance! La résistance est inutile malgré tout! Tu seras donc plus mal!
      Ils étaient allés à peu près cinq minutes. Elle avait été toute pâle, avec la corde au cou. Puis il la avait débarrassée de la corde. Inga s'était retournée et avait vu devant elle un type inconnu, pas armoire à glace mais endurant, aspect soigné, l'âge indéterminable, quoique bien plus aîné qu'elle-même. Ses yeux expressifs avaient rayonné de joie à cause de la proie capturée avec succès.
     -Maintenant, écoute, grue!
     -Je ne suis pas ta grue!
     -Il s'agit de l'autre. Je te sais. Je sais quelle rue habites-tu à Moscou. Il y a trois fenêtres dans votre appartement, - il avait prononçée son adresse personnelle, où travaillent ses parents, quand et qui se trouvent chez soi. Il avait raconté beaucoup des autres détails, même ce que la mère l'avait fouettée à l'âge de quatorze ans en dernière fois.
     -Et quoi désires-tu de moi?! - Inga avait essayé de passer à l'offensive.
     -Il y a une bonne nouvelle et une mauvaise celle-ci. Bonne: je ne vais pas te tuer ou violer.
     -Merci, quand même, pour ça.
     -Et voici la nouvelle mauvaise: je t'enlève! Désormais, tu es sous mon pouvoir, tu es sous les ordres de moi au total. Je voudrais de te forcerai à ramper à quatre pattes, toute nue, dix kilomètres, et tu  exécuteras ça.
     -Plus souvent! Est-ce que tu veux de pine?
      La main d'inconnu dangereux avait fait un mouvement rapide comme l'éclaire. Il y avait eu un coup de sifflet. Inga avait tressailli et était arrivée à penser: "Ah, quelle sotte suis-je que je viens de mettre lui hors de soi! Il est donc un psychopathe, il va me tuer!" Quelque chose avait ceint la cuisse gauche, en sifflant, et l'avait piquée au travers fuseau. La douleur était devenue de plus en plus fort et tout de suite il y avait eu encore une claque. Inga s'était cramponnée par main le point sensible et l'avait frotté en sifflant de douleur. Elle eut appris tout de suite que cela était la fessée, pas un attentat à la vie d'elle. Il l'avait cinglée encore quand elle avait commencé à s'accroupir: une fois sur fesses, une fois sur dos. Inga avait hurlé et sauté, les yeux grands ouverts. L'inconnu l'avait empoignée ferme par la main, en disant:
     -Maintenant, je ne t'ordonne pas à ramper à quatre pattes; nous allons à pied car tu est devenu sédentaire, bedonneras et perdras la beauté, et tu est belle grue, quoique de canaille comme toutes les autres; mais chez moi tu sera comme un agneau. Toute de suite je vais enlèver ton fuseau, je viens déjà de te donne cinq coups de fouet, le reste est quatre-vingt quinze, hein?
     -Ne fais pas comme ça! C'est donc mal. S-s-s,- avait sifflé la jeune fille, en étant prête à se soumettre et en frottant le dos par la main libre.
      Il lui avait mis un bandeau noir sur les yeux, pour elle n'aura pas vu où on va et il l'avait menée longtemps, en la prévenant avec soin des mottes, des petites fosses, des branches se dirigeant en face. Ils étaient allés à pied pendant deux heures, puis le bandeau était enlevé. Le ciel était devenu couvert mais sans pluie. L'enleveur vérifiait souvent la direction à la boussole en ordonnant lui de tourner le dos chaque fois. Ils allaient très longtemps et étaient arrivés à la destination le troisième jour. Deux nuits ils couchaient à la belle étoile. Plusieurs fois encore il lui mettait le bandeau sur les yeux et il semblait trois fois d'eux traversaient-ils des certaines routes. Bien sûr ils s'étaient allés à peu près cinquante kilomètres et assez possible que maintenant il eût fallu revenir à Moscou par un autre chemin de fer, pas par celui-ci. On peut autant qu'il est possible à ratisser la forêt alentour - tout serait en vain. Et quand on s'apercevrait de l'absence d'elle et apprendrait qu'il n'y a qu'un enlèvement a lieu - ce serait très tard: il n'y a pas de chien qui serait capable de suivre les traces. -"Quel fouinard! - pensa la jeune fille. - Comme il m'a pris à l'improviste!"
      Dans le village où les bruits répandent instantanément partout, personne n'avait aperçu d'homme suspect qui la guettait sans faute plusieurs jours, peut-être plusieurs semaines. Pour le moment Inga commençait à comprendre du bout de la conscience que le proverbe "la connaissance est la force" n'est pas un son creux. En étant au territoire de l'État puissant qui avec cela aime s'ingérer dans toutes les affaires jusqu'à l'adultère et l'éducation des enfants en esprit du marxisme-léninisme, maintenant elle se trouve à l'un autre "état" complètement, où il n'est que deux personnes: il - le maître, et elle - l'esclave, laquelle qui est une fille adulte, il la fouette toujours et il l'a fait se soumettre comme une petite fillette. C'est bien qu'il n'a... Mais qu'est-il arrivé à elle? Un vague agréable fit un tour à bas au bas-ventre. Inga serpenta par les hanches et tout à coup se ressaisit. En revenant et en tendant les verges à son bourreau, elle prononça en première fois de tout son cœur sincèrement:
     -Fouette-moi sévèrement. En fait il me faut fesser vertement, - et elle ajouta à soi-même mentalement: "pour je ne voudrais pas à baiser avec ce fou!" En se tenant droit elle mit les mains au-delà de la tête et ferma les yeux. Le sifflement retentit et la verge en frappant par milieu sur cuisse droite, s'enfonça à celle-ci gauche. Les claques suivirent l'un après l'autre. Inga ouvrit les yeux qui bientôt, on dirait, virent des étoiles en plein midi, puis elle commença à bondir comme un jouet mécanique. Quand la fessée finit, elle se pencha, en frottant les éraillures, se serrant, gémissant. Il n'y eut pas de larmes. Puis elle revint à soi, se mit à genoux et dit comme d'habitude:
     -Merci pour la leçon, mon maître! Il caressa ces cheveux, joua un peu avec les oreilles.
     -Est-ce que tu as oublié qu'il y a une leçon encore aujourd'hui, c'est l'autoflagellation.
      Ah, comme elle détestait ces leçons! Il l'accoutumait à se fouetter comme une religieuse médiévale. Il exigeait trois claques du fouet en tout mais il exigeait ceux sans aucun bousillage. Il était d'usage de dix claques pour un pas assez rude celle-ci et encore il pouvait à fouetter plus douloureusement que la mère avec sa corde à sauter.
     -Aujourd'hui tu te fustigeras sur la cuisse droite. Voilà, tiens!- Il tendit à la jeune fille le même fouet de fil électrique. Inga prit l'outil de la torture à la main droite et écarta les jambes largement. Le maudit vague agréable passa à travers d'elle de nouveau. "Non! Pour cela non!" Elle se cingla à tour de bras que le milieu du fil effleura par-devant et le bout, en ayant ceint la hanche, s'enfonça derrière. Toute de suite elle se cingla à tour de bras en deuxième fois et elle laissa échapper un long "Aah" presque tout bas. Elle a eu le courage de se frapper en troisième fois. Après cela la face de la jeune fille rougit de douleur et les larmes suintèrent des yeux.
     -Tu es une gaillarde courageuse, grue! Tiens compte que ce n'est que la chair qui sent de la douleur! Cela ne te regarde point à toi-même. C'est difficilement à t'expliquer par les paroles, tu en apprendras par l'expérience. Seulement un exemple. La douleur t'écrase comme une charge lourde et tu la tâches de vaincre par ses propres forces, néanmoins tu n'a pas assez d'eux. On ne joue pas avec douleur le jeu "qui l'emportera par le poids". On en se va. Voilà les questions clefs qu'il faut se demander: 1. Qu'est-ce que c'est la douleur? 2. Comment elle me regarde?
     -Comment tu m'as fouettée pour l'évasion - toute la théorie aurait été inutilisable au total.
     -Tu l'as bien voulu, gosse polissonne! J'ai un pressentiment que nous jouerons encore aux "glapissements et sautillements", - prononça-t-il et ne put pas à cacher son transport.- Tu as de l'envie à vaincre toutes les difficultés à la fois. J'ai introduit les leçons de l'autoflagellation justement pour tu commencerais de simples choses. On n'apprend pas livres de dixième classe en premier an de l'étude. Mais parfois on peut à transformer la douleur à la joie. Bien sûr, cela dépend de l'individualité. La douleur peut avoir certaines multitudes des nuances aussi ainsi que les couleurs, les sons, les odeurs ont ceux-ci. Est-ce que tu as remarqué que la douleur est différente, par exemple, celle-ci de la verge et celle-ci de la corde à sauter?
     -En fait, la douleur est différente de la corde à sauter de maman, du ceinturon de papa, néanmoins on me fessait rarement. Cela n'y avait lieu qu'en cas hors ligne.
     -Cela n'était pas mal qu'on te fessait rarement. Mais le mal est qu'on te cessait à fesser tôt. Quoique, qui sache? Peut-être ça va pour le mieux. On ne doit punir que celui-là qui peut enseigner à quelque chose. Néanmoins je ne viens pas d'achever sur la réaction différente envers la douleur, jusqu'à la joie. Est-ce que tu sais que les flagellants espagnols se balafraient par fouets jusqu'au sang en passant dans la rue et lorsque des jeunes filles passaient au-devant d'eux, ils tâchaient que de plusieurs gouttes du sang tombassent sur les filles? Et les spartiates filles, on les fessait non seulement pour punition, mais de plus développer la sensualité aussi et parfois pendant la fessée elles avaient plusieurs orgasmes. Inga écarquillait les yeux de plus en plus d'étonnement, en regardant au narrateur bizarre.
     -Encore j'ai entendu, je ne sais pas, est-ce la vérité ou non, qu'anciennement certaines gens eussent fait cela pour réussir dans n'importe quelle affaire, elles avaient embouché un maître expérimenté à la fustigation, c'est-à-dire, un maître de cette affaire; puis elles s'étaient données déshabillée complètement et à lier et avaient crié de la douleur comme tu as crié l'autre fois et après cela elles avaient remercié et même payé l'argent. Néanmoins je ne sais pas de quoi était plus dans cette chose: de la superstition ou en fait, d'une vérité mystique. Bien sûr, tu estimes que je sois un psychopathe polard de la flagellation. Néanmoins, on ne sait pas de quoi tu seras polarde lorsque tu deviendras soi-même.
     -Je veux être comme tout le monde normal.
     -Mais alors tu serais malheureuse. La société humaine réelle n'est pas compatible avec bonheur. Jean Jacques Rousseau était juste que l'homme est malheureux dans la société. "Je me hâte de gagner à grands pas la campagne; sitôt que je vois la verdure, je commence à respirer. Faut-il s'étonner que j'aime la solitude! Je ne vois qu'animosité sur les visages des hommes, et la nature me rit toujours". Cela il avait écrit dans son livre dernier "Les rêveries du promeneur solitaire". Et ce grand homme avait eu une envie d'édifier une société heureuse sur la Terre - voilà, de quoi est sa faute tragique. En fait on trouve que les mêmes notions "le bonheur" et "la société" sont incompatibles.
     -Puis-je m'asseoir sur la souche car je suis fatiguée.
     -Assieds-toi, ma belle, j'en te permets. Seul maintenant il remarqua qu'elle bien passionna de la conversation avec lui que non seulement elle oublia à vêtir le maillot de bain, mais encore elle continua à tenir le fil électrique dans la main. Elle s'assit par fesses vraiment nues sur la souche rugueuse. On piqua dans certaines places après la fessée d'aujourd'hui. (Après cette terrible fessée-là pour l'évasion Inga n'avait pu s'asseoir ni au même jour, ni le lendemain).
     -De quoi viens-je de parler toute de suite? Inga tâcha de se rappeler en ayant peur. -Donne-moi la cravache! Inga obéit et se rappela toute de suite.
     -Tu viens de parler que le bonheur et la société sont incompatibles. Son tourmenteur enroula le fil électrique et l'accrocha vers cache-sexe par une borne speciale.
     -Je ne te fais croire pas par la force en cela. Ne fais que retenir: il existe telle opinion aussi. Je suis d'accord avec cette opinion et toi, tu pourras se persuader par ta propre expérience de suis-je juste ou non. Mais je ne te conseille pas de traîner en longueur avec l'expérimentation: alors ta vie pourrait se trouver passée en vain.
     -Mais comment peut-il être le bonheur dans la solitude? Ce n'est pas possible.
     -Le pouvoir soviétique a intimidé tout vous soi-disant un seul homme n'est que rien. Il faut être atteint de beaucoup des vérités et on peut les prouver en paroles pas toujours. Mais il arrive... que les partisans des mêmes idées trouvent l'un l'autre, où beaucoup des choses coïncident dans leurs points de vue, dans leurs penchants autant que c'est possible. L'histoire de l'humanité connaît telles grandes unions. Puis il apparaît une envie d'élargir le cercle. D'abord ils reçoivent les novices avec précaution, c'est-à-dire, en outrant son jeu; puis au contraire, en jouant son rôle non jusqu'au bout, en recevant à la communauté n'importe qui, et on va, on roule: les délateurs, les lèche-bottes, etc. Et enfin la grande union se transforme à la société banale; et la société n'est que le troupeau humain comme Rousseau avait écrit une fois. S'efforcer de créer la société heureuse, c'est la même chose que s'efforcer d'échauffer dehors en hiver, quand en fait, il faut échauffer la maison et fermer les portes solidement. D'ailleurs, tu viens d'être fatiguée, c'est trop à la fois. Autrement l'information viendrait à travers une oreille et disparaîtrait à travers l'autre,- en disant il encore tapota les oreilles d'elle.- À propos, ma belle, il sera mercrédi demain et je te fouetterai par le fil électrique, conformément au "Code de la conduite pour captive". Bon courage, grue! - le tourmenteur sourit gaiement.
      Et Inga s'excita assise sur la souche. Elle ne put pas se délivrer des sentiments agréables qui eurent inspirés par toutes les choses autour d'elle: et la souche rugueuse, et le grand air de la forêt, rafraîchissant sa chair de la fraîcheur plaisante car le soleil vient de se cacher tout de suite au-delà d'un nuage, et la voix de cet inconnu original qui en première fois eut parlé avec elle si longtemps, et la part de sa chair, bien excitée sur le slip. Soudain, elle eut envie de se donner à lui, d'être à califourchon, empalée. Et advienne que pourra! Ou s'agenouiller et se donner à lui de même comme elle s'était donnée à ses verges aujourd'hui, en s'appuyant avec la tête sur l'herbe et crier du bonheur de même comme elle eut crié de la douleur. Est-ce que le bonheur existe dans la vie terrestre? Mais qu'est-ce que dira le monde?! Mon Dieu! Elle est changée à un tel point qu'elle est assise sur la souche, toute nue, même a oublié à mettre le maillot de bain et elle est assise devant le moujik bien excité qui n'est habillé qu'en cache-sexe!
      Inga sauta debout et commença à mettre le maillot de bain. L'enleveur l'observa. Elle s'assit sur la souche de nouveau. L'envie s'en allait. Si quelqu'un vient de voir cela! Tous les deux faudrait-il enfermer à la maison de dingues - et on agirait comme ça. Mais ce que c'était si bien!
     -La société et le bonheur sont incompatibles, - Inga laissa échapper tristement d'un air pensif et une larme roula des yeux en bas qu'elle essuya vite par paume et s'accusa en esprit pour sentimentalité qu'elle n'avait pas jadis.
     -Il est possible que tu commences à comprendre quelque chose, - il se détourna en frottant le slip par-devant. Sa prisonnière remarqua cela et la vague de la volupté fit un tour à travers son corps, surtout à la part basse de la colonne vertébrale de nouveau. Soudain, il se tourna brusquement vers elle en regardant fixement en face, le transport dans les yeux.
     -Tu es déjà prête, et demain, après le rite du matin je te découvrirai la grande Vérité qui est d'actualité de tous les temps, chez tous les peuples.

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Saturday, May 5, 2012

Chapitre II. L'enleveur énigmatique.

     -Quelle tu es belle donc! Soit ton dos prend un peu de repos, mais quant à cette espiègle, évidemment elle vient de s'ennuyer sans quelque chose et il faut un peu jouer avec elle, - dit-il, en pinçant Inga doucement par beau milieu de la fesse droite.
     -Eh bien! Maintenant va sur le rondin! C'était leur chalet de nécessité. L'enleveur prépara de papier hygiénique. Chier dut-elle sous les yeux de lui, en regardant en face, sans droit de détacher ces yeux. Ainsi il formait en elle la sincérité, la franchise passant toutes les bornes. Elle dut à découvrir toutes les parties de la chair, toutes les profondeurs de l'âme qu'il est possible à découvrir.
      Les moustiques se réunirent peu à peu, en sentant la prise gratuite. Deux déjà la piquèrent par ses trompes à la hanche, plusieurs au dos, un en fesse, encore un à la plus intime place en provoquant le prurit insupportable. Inga fit un effort et se vida définitivement.
     -Je l'ai achevé.
      Son geôlier, comme d'habitude, ne fit fi de rien, s'approcha d'elle avec papier et l'essuya soigneusement. Inga n'eut point d'envie à s'habituer à cela et rougit de honte. Il jeta le papier sur charbonnière et alluma lui. En obéissant à la coutume de folie, Inga alla vers la rivière par sentier pratiqué où n'allait personne sauf les deux. Le malfaiteur suivit les traces d'elle.
      La rivière ruissela parallèlement d'un ruisseau se jetant dans elle avec l'eau glaciale de source. Ce ruisseau coula par fond d'un ravin profond et là-haut se trouva leur tente. Même dans la rivière l'eau fut plus froide que dans les autres rivières des alentours, car autour il y a beaucoup tels ruisseaux froids et les tous se jetent dans la même rivière. En ayant descendu la haute berge couverte par bois, Inga entra à l'eau un peu plus que jusqu'aux genoux. L'enleveur qui d'habitude n'est habillé toujours que slip de bain pendant telles actions, il entra derrière, prit du savon, en ayant quittée la boîte à savon à la berge. En ayant lavé un peu déchet de celui-ci qu'il avait failli à essuyer avec papier, ill enfonça son médius savonné à l'anus d'Inga. Elle se tordit involontairement. Il est probable que cela a été bien agréable pour elle, si la pensée des autres gens ne la jeta au rouge de la honte. Il y eut dix journées elle par son intelligence n'avait appris que telle action puisse-t-il bien à l'enflammer la volupté. Maintenant elle découvrit que son tourmenteur, on dirait, était à cran dans tels instants, mais cela on pouvait à expliquer que la fessée s'approcha et elle avait appris dès premiers jours, avec laquelle passion il la fouette. Il serait curieux de savoir pour elle, est-ce que c'est le même sadisme duquel elle n'avait entendu que d'une oreille auparavant? Ou le sadisme est quelque chose l'autre?
      Inga s'estimait comme une jeune fille qui est compétente d'une famille honnête. Elle est circonspecte, elle ne se mettrait pas au pilori et ne mettrait des bêtises. Bien sur, déjà elle n'était pas une vierge, mais elle ne manquait pas de l'intelligence et de la malice à ne pas faire une telle gaffe que quelqu'un après "cela", en indiquant à elle d'un air moqueur par doigt, raconterait à ses copains soûls comment il aurait été avec elle, de quoi il aurait fait avec elle et ainsi de suite. Comme tout le monde autour d'elle, elle était élevée sans Dieu, mais au lieu de Dieu elle avait l'opinion publique pour laquelle elle aurait pu à sacrifier tout n'importe quoi, sans hésiter. Et si un culte d'un service à l'opinion publique existerait-il (que Dieu pardonne-moi comme l'auteur), nous aurions la Sainte-Inga parmi les autres Saints. Mais dans cette forêt avec cette bête sa propre opinion d'elle-même eut été brisée à plate couture et le modèle nécessaire, tel à qui elle aurait dû être conforme, ce modèle pour le moment n'était pas déterminé. L'inquiétude relâchant de sa vie, la peur de la douleur - maintenant elles se changèrent au sentiment de sa propre infamie et de misère, qui, il est possible, surgissent chez "tantes" violés récemment à la prison. Pourtant, à la différente d'eux, elle avait la possibilité à cacher beaucoup de choses ou orner eux, alors l'opinion publique sur elle qui était pu chanceler après l'enlèvement d'elle, maintenant cette opinion pourrait revenir en équilibre de nouveau. Cela elle ne consola qu'en partie, puisque maintenant elle dut à jouer double jeu. Ce fut désagréable, car ce fut inaccoutumé et d'une manière blâmable aussi.
     -Est-ce que tu viens d'oublier?! Sept fois te plonger! Au Jéricho les murs étaient tombés de nombre "7",- répéta-t-il sa phrase habituelle.
      Inga obéit, elle se plongea sept fois à l'eau froide jusqu'au cou. Ces sept "coups" du froid la mettaient hors de soi comme sept coups de fouet mais d'une autre façon. Sur Jéricho elle n'avait entendu qu'il y avait eu un certain "tuyau de Jéricho", et elle ne savait rien encore sur ces évènements éloignés en temps. Elle se jugeait développée. Encore elle habite Moscou, presque le centre, mais chaque jour cette bête de forêt la surprenait avec son érudition par comparaison de laquelle Inga se sentait comme une sauvagesse illettrée et il n'y avait qu'une seule consolation qu'elle-même n'est pas pire que tout de monde autour d'elle. Après le bain elle se dirigea en haut.
       En arrivant à la place convenue, elle s'arrêta, se tourna vers lui et dit à voix tremblante:
     -Monsieur professeur, il me faut fesser plus souvent, en me faisant mal, pour je serais une fille obéissante. Fessez-moi s'il vous plaît, - les mots derniers-là Inga prononça presque à voix bas en ayant peur qu'il la punisse plus fort pour ça.
     -Je vais satisfaire ta prière, grue de forêt, tu vas recevoir quinze verges.
    -Quelle position faut-il prendre?
    -À genoux, à quatre pattes, la tête s'appuyer sur le sol, les mains tressées en arrière, pas séparer! Ne mets-toi pas sur le flanc - autrement je recommencerai le compte.
      Le malfaiteur sortit les verges trempées dans une flaque de forêt en agitant à l'air par eux. (Le mercredi et le vendredi une cravache de fil agitait). Inga fut déjà prête et pensa en se taisant: -Il serait mieux, qu'il me mette, le toqué misérable! Il caressa doucement le périnée avec bout de la verge, traça entre les fesses jusqu'au dos et ne traîna plus. La verge fendit l'air, une claque savoureuse... le silence... Deuxième... Troisième... -Aïe!- Inga poussa un cri perçant après celle quatrième. Maintenant ces "Aïe!" alternèrent-ils avec sanglots réservés et devinrent plus longs vers bout de la fessée. Au même bout de celle-ci elle se redressa sous l'ordre, en continuant être debout à genoux, puis elle remercia à travers les larmes pour utilité reçue. Puis elle se leva et poussa un soupir de soulagement avec joie - la souffrance eut pris fin.
      Ils se dirigèrent vers tente à deux. Inga aida à son maître d'allumer le feu, préparer le dîner, le thé. Le rite matinal de chaque jour fut fini. Maintenant on pourra se frotter par remède contre moustiques et se sentir sans souci. Quoiqu'il ait pu la fesser de nouveau pour n'importe quelle faute fortuite, ces petites punitions, quoique donc eux-mêmes elle ne puisse guère à supporter sans hurlements et larmes, mais elles ne provoquaient pas telle peur panique. Inga ne fit que maintenant attention à la beauté sombre et sévère de la forêt de sapins et de bouleaux, de la forêt qui est accidentée par ravins, pentes et côtés, la place de sorte nontypical pour région de Moscou, et le ciel à grand part couvert par couronnes des arbres, c'est lui qui était imprégné de l'azur riche, comme lavé, à la différence de celui-ci près de grandes cités.
      Il y eut beaucoup de choses de quoi l'âme se serait réjoui, mais Inga ne pouvait pas se donner la liberté de cela. On ne l'avait apprise personne qu'observer le monde pour être de même comme toutes les gens, tâcher que ne se distinguer pas des autres. Les comptoirs livresques étaient encombrés par bavardage communiste et dithyrambes chantés à l'adresse de la "Mère-patrie", de Lenin et du parti communiste. Il n'était pas possible d'acheter la plus innocence belles-lettres par rapport à la politique, quoique un peu sensée, libre de la propagande officielle. C'était le déficit qui en étant vendu sous le manteau, coûtait dix fois plus cher de son prix réel. Et d'où pouvait cette pauvre jeune fille d'apprendre le conseil précieux de Karnegui: "si la vie a préparé un limon pour toi - fais de limonade de lui!". On n'en voit pas la couleur ni Karnegui, ni l'autres. On n'entend personne de lui. L'enleveur énigmatique surveilla la jeune fille, en faisant semblant de s'occuper d'une affaire.
     -Retiens! - retenti sa voix. Inga jeta un regard.- Retiens! Il n'y a aucun critère objectif de l'attitude juste à l'égard de la vie. Cette attitude, dont n'importe qui se sent heureux - elle est juste. Cette attitude à l'égard de la vie, dont un être humain se sent malheureux - elle n'est pas juste. Retiens cela! Je questionnerai. Tu as le droit de n'être pas d'accord, mais retiens! IL N'EST QUE L'ATTITUDE JUSTE A L'EGARD DE LA VIE TE FERA HEUREUSE.
     -Est-ce que tu crois que je peux être heureuse ici?
     -En réalité tu ne peux être heureuse qu'ici. Est-ce que tu retiens, je t'ai dit que tu étais mort depuis longtemps? Dans la vie que tu as vécue, il n'y a point de bonheur. Telle vie n'est pas mieux que la mort. Regarde aux femmes qui ont quarante ans! Si tu passeras leur chemin, tu arriveras là-bas où elles sont arrivées. En effet, à l'âge de quarante ans on peut aimer et être aimé de même comme à l'âge de vingt. Mais elles se sont enterrées déja. Elles ont renoncé à tout. Ont renoncé à tout en prononçant la phrase banale: "Nous n'avons besoin de rien" et même elles tentent de braver par cela.
     -Tout le monde vit comme ça.
     -Elles ne vivent pas, elles mangent de la poubelle. Il ne faut pas discuter. Il faut essayer un, essayer l'autre. Ainsi tôt ou tard la vérité même se découvrira.
      Son geôlier devenait de plus en plus causeur. Cette fois il se passionna jusqu'à tel degré, si quelqu'un aurait apparu, de loin il aurait cru que ce soient des touristes avec magnétophone qui écoutent les chansons de Vysotsky.
     -Eh bien, ma belle. Nous nous mettons au travail. Quitte le maillot de bain et assieds-toi à talons! Reste immobile pendant dix minutes! Puis les asanas d'étirement auront lieu.
       Inga exécuta les exercices irréprochablement qui fut inattendu même pour lui. Au bout de l'exécution elle se coucha sur le dos, se détendit et dormit pendant deux minutes. Dans demi-heure il l'appela.
     -Holà, fille! Voilà, un problème mathématique pour toi. Prends le stylo, le cahier, néanmoins d'abord écris ce qu'il faut!
       En effet il fallut à écrire sept fois: "Sois studieuse, ô fille, pour on ne te fesserait pas!" Bien sûr, Inga réussissait à l'être assez studieuse non chaque fois. Petites punitions suivantes après ses fautes toute de suite, maintenant elles provoquaient chez elle pas une certaine peur mais de quelque sorte aversion de la même intensité comme n'importe quelles procédures médicales désagréables, quelque chose de pareil à la piqûre douloureuse ou au lavage d'une blessure ou aux autres choses pareilles. Lorsque la phrase rituelle fut achevée, l'enleveur parla tout de suite:
     -Toute attention à moi! Nous avons un segment avec un point au beau milieu. Nommons ce point "un centre". Nommons le segment "une sphère unidimensionnelle". Inga jeta un coup d'œil à lui. -Tu as envie à se convaincre soit je viens de dérailler, soit non? D'abord, écoute jusqu'à bout, puis résoudras, si tu n'a pas d'envie être fessée de nouveau, et seulement après tout cela tu tireras une conclusion. Si j'aurais déraillé, il n'aurait aucune de résolution, mais j'en ai dans la poche, écrit sur papier, achevée, et quant à toi, tu vas faire une découverte de celui qui était découvert depuis longtemps. Ainsi, le volume-1 de la sphère unidimensionnelle est égal 2R. Prenons une sphère en deux dimensions - c'est le cercle. Le volume-2 de la sphère en deux dimensions est égal...- Il regarda à Inga interrogativement...
     -Pi R au carré - c'est le volume-2, c'est-à-dire, l'aire d'un cercle, - Inga répondit volontiers, en s'engageant au jeu et en se rejouant de sa promptitude. Il voulut à répondre avec l'ironie: "Grue, s'est tu qui est perspicace", mais il se reprit à temps, en comprenant tout de suite qu'il ne faudrait pas assombrir son intérêt s'éveillant aux mathématiques.
     -C'est juste! Et le volume-3, c'est-à-dire, le volume de la sphère ordinaire est 4/3 pi R au cube. Voilà, grue, en mathématiques on peut agir ne seulement pas dans trois dimensions, mais dans quatre, cinq et plus celles, jusqu'à l'infini. C'est dans le monde physique où nous ne savons pas les dimensions plus que trois, et nous ne savons que tracer trois directions perpendiculaires réciproquement. En revanche dans les mathématiques on peut vérifier tous les calculs des solides multidimensionnels. Tout coïncide - cela signifie que la théorie est valide. Maintenant, voilà: déduis la formule du volume-4 de la sphère à quatre dimensions! Je te donne une demi-heure pour ça.
      Inga s'inclina au cahier, en tira la feuille ébauchée, tourna la page pour que ne pas voir ces mots: "pour on ne te fesserait pas" - il est assez possible qu'il se passerait comme ça. Elle se plongea au travail. Toute une demi-heure en s'émouvant comme à l'examen, chercha-t-elle une régularité parmi les trois formules connues de l'école, mais ne réussit pas à la trouver. Elle aperçut que cet homme étrange fut debout derrière et regarda au brouillon où le course de ses pensées fut exprimé en processus de la recherche fiévreuse. Inga se retourna. Son tourmenteur debout tint à la main droite un morceau de papier où il était écrit gros et joliment: V4=1/2π2R4.
     -De quoi on t'apprenait à l'institut? Tu as achevé donc un cours. Vous toutes êtes arrivées jusqu'aux équations différentielles qui sont compliquées au bout et cela n'est que l'intégration simple, pas compliquée. Eh bien, regarde: la longueur d'un segment est une somme intégrale des points, l'aire d'un cercle n'est que la somme intégrale des cordes parallèles, y compris le diamètre; le volume d'une sphère c'est la somme intégrale des cercles qui sont formés d'intersection la sphère avec plans parallèles, y compris le grand cercle. Et enfin, ma fille, le volume-4 d'une hypersphere à quatre dimensions n'est que la somme intégrale des sphères. Puis c'est les calculs qui ont lieu. Maintenant tu sais qu'il faut faire, tout de même je vais souffler. Il prit d'Inga le stylo, le cahier, fit tous les calculs nécessaires qui eurent réduit déjà au résultat connu.
     -Qu'est-ce que tu as donc à dire?
     -On me doit fesser, - et ajouta d'une voix basse: Comme il faut.
     -Je vais satisfaire ta prière, grue de forêt.
     -Quelle pose dois-je à prendre?
     -Enlève le maillot de bain! Tu seras debout droite, les mains au-delà de la tête, on peut crier et sauter, il est défendu de s'accroupir et de séparer les mains. Il est défendu de se pencher trop. Apporte les verges. Je te fouetterai sur les hanches, par-devant, dix fois. Inga se mit à nu de nouveau. Elle eut envie de pleurer par dépit de la stupidité au cours de la solution du problème. On ne sait pourquoi elle ne sentit pas de la peur. Au lieu de celle-ci il y avait un sentiment désagréable, le sentiment de quelqu'un qui est le dindon de la farce.

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