Saturday, March 27, 2021

Chapitre XIX. Le double imaginaire. La téléportation. Partie I.

           Valia devina mettre les clés dans sa poche et verrouiller la porte de l'appartement. Elle atteignit le troisième étage, puis jusqu'au palier du grenier. Le grenier fut fermé. "Comme a-t-il réussi à s'éclipser sans bruit comme ça?" Elle ouvrit la porte de propre appartement avec les clés, examina tous les coins et après cela se dirigea au téléphone. Après plusieurs tentatives infructueuses et irritantes, elle réussit pourtant à composer le numéro nécessaire de Moscou.

          -Bonjour, Nadia, c'est toi?

          -Oui, je suis ici.

          -Tu sais quoi? Un mec qui est ressemblé beaucoup à ton Albert, il a passé sous ma fenêtre. Je voulais l'appeler, mais je me suis sentie timide.

          -Mais il est en train de sortir maintenant de la salle de bain. Il y s'allongeait en méditant. Même j'avais peur un peu, comme s'il ne respirait pas, mais j'ai décidé de ne pas le déranger. Oui, voici est-il. Je te passe lui.

          -Bonjour, Valia. C'est moi, Albert.

          Valia a failli laisser tomber le combiné téléphonique. Mais elle se ressaisit rapidement et réussit à prononcer avec une voix sûre:

          -Très bien. Je vois que c'est toi. Pourtant, un type est passé devant ma fenêtre et je viens de croire, si tu avec Nadia, vous vous êtes venu chez moi à deux.

          -Ça arrive parfois, des personnes très semblables l'un l'autre, même des sosies. 

          -Quant à toi. Y a-t-il parmi ceux qui connais-tu, quelqu'un comme ça?

          -Je ne tels me souviens pas, je ne sais pas pourquoi. D'ailleurs, pourquoi ça te trouble?

          -Parce qu'il est ressemblé à toi et il n'était pas seul à la fois, mais avec las salauds locaux. Je les connais tous. Deux d'eux sont libérés de prison récemment. Ils peuvent commettre quelque chose de mal et tu deviendrais un des coupables, - Valia mentit.

          -Maintenant, tu peux être sûre. J'ai un alibi, - Albert éclata de rire, en méditant en esprit: "Comme elle ment! Quelle tâche ai-je donné à elle! comme une équation avec plusieurs variables". 

          -Ne t'inquiète pas. Je vais bien. Je suis chez moi. Je te passe à Nadia. Conversez.

          Valia changea la conversation de l'autre sujet et les amies conversaient pendant dix minutes encore. Une d'eux sentit une horreur plus en plus.

          Elle ne croyait pas en merveilles. Donc ... Oh mon Dieu! Elle ne sait pas à qui s'est-elle donnée! Ce n'était pas Albert! Bien, s'il a été un coquin ordinaire. Néanmoins, ce type faisait semblant d'être Albert si habilement, même il admettait d'être imposteur et cela n'a fait qu'augmenter sa confiance en énorme mensonge. Après tout, qui était-ce?

          Des superstitieuses pensées furent ajoutées à sa peur qu'il faillit être le diable soi-même qui eut visité. Les pensées pareilles envahissaient malgré la logique et accroissaient sa crainte.

          "Mon Dieu. Qui était-ce?" Valia se souvint avec peur que cet "Albert le Deuxième" bien connaît Albert réel, il connaît aussi sa femme, sait qu'ils sont chez soi maintenant et même il sait qu'Albert est en train d'être à la salle de bain maintenant. C'est donc qu'Albert doit le connaître. Il cache quelque chose. Il y a un secret dans tout cela. Peut-être, les deux épouses savent ce secret, peut-être, il est seul. Mais ils ne diront rien. Sveta, cette rêveuse qui ne pense que sur elle-même, son amant et son amour, elle ne verrait rien qui se passe sous son nez. Soudain, sa peur superstitieuse commença à transformer en curiosité du plus haut degré. C'était juste une obsession. Il fallait faire un coup de fil à Moscou de nouveau, rien à faire.

          Elle composait avec irritation le numéro à travers "8" de nouveau, après quoi il y avait toujours "occupé". Enfin, les sons prolongés retentirent et on répondit à l'autre bout de fil.

          -Valia, est-ce toi? - la voix endormie de Lena dit.

          -Lena, comment as-tu deviné?

          -Le son est comme d'interurbain. Il n'y a personne avec la connexion pareille, sauf toi.

          -Lena, quant à l'Albert, a-t-il un frère jumeau très ressemble à lui? 

          Il y avait du long silence à l'autre bout de fil.

          -Lena, es-tu en train de m'entendre?

          -Pardon. Une voisine m'a distrait. Elle a sonné à la porte. Ils viennent toujours avec toutes sortes de bêtises. Alors, qu'est-ce que tu questionnes?

          -Je parle d'Albert, a-t-il un double qui très ressemble à lui? Peut-être, c'est un frère jumeau? Même la voix coïncide.

          -Je ne sais rien de pareil. Si je sais, je le dirais à toi. Et alors?

          -Simplement, un mec est passé sous ma fenêtre qui ressemble beaucoup à lui. 

          -Mec? Il est passé sous ta fenêtre? Il ressemble beaucoup à l'Alik de Nadia? C'est très intéressant. Écoute, on m'a donné récemment une bouteille du vin cher et bon. Je ne le veux pas boire seule, mais si nous buvons à quatre, ce ne serait pas assez. Viens demain. Tu me n'as pas visité longtemps. Nous serons assis, bavarderons ensemble. J'ai un jour de congé demain. C'est égal pour toi où voyager. Tu déjà as oublié, comment est-on en train de travailler.

          -Je travaille mentalement.

          -Je sais, je sais, comment mentalement. Il sera meilleur à parler de choses pareilles tête à tête, pas par téléphone. Tu n'es pas offensée?

          -Non, tu sais. Même, je suis heureuse un peu. Au moins, je peux l'admettre. Et toi, peux-toi admettre le même?

          On se tut de nouveau à l'autre bout de fil. Les larmes coulaient des yeux de Lena, dans la gorge le sanglot qui était prêt à éclater, l'empêchait de parler. Mais on ne le pouvait pas voir à travers le téléphone.

          -Tu sais? - elle répondit, en faisant semblant de réfléchir profondément, - ce ne me venait pas à l'esprit en avant. Et maintenant, je viens de jeter un coup d'œil en moi, et j'y ai trouvé soit une peur, soit un mauvais pressentiment.

          -Moins reste seule chez toi aux jours de congé. Bien. Je viendrai demain.

          -Viens. Je t'attendrai. Ne mens pas.

          -Est-ce que je te mentais jamais?

          -Non. Mais ton dernier mec peut venir chez toi.

          -Il ne viendra pas. Il est parti hier vers la Turquie pour les marchandises. On ne peut pas achever les choses pareilles pendant un jour.

          -Alors, je suis contente que tu viennes. Au revoir.

          -Au revoir.

          Dans trois jours le soir, l'imaginaire "double d'Albert" apparut de nouveau dans l'appartement de Valia. Elle l'a remarqué, quand elle s'est passée de la cuisine à la chambre. Il était debout, en souriant.

          -Oh, tu m'as effrayé! Comment es-tu entré? Quel diable es-tu en fait?

          -Ce que je ne suis pas Albert, je t'ai avoué la dernière fois. Si tu suspectes une magique démoniaque en moi, tu peux pratiquer n'importe quel rite chrétien dans ma présence. Je ne ferai que l'accueillir et même j'y suis prêt à participer. Tu peux me faire le signe de croix, tu peux me donner à boire l'eau bénite, mettre des icônes autour de moi...

          -Tu es un trompeur, voici qui es-tu. Pourquoi ne veux-tu pas parler sincèrement que signifie tout ça? Es-tu son frère? Êtes-vous des jumeaux?

          -Laisse-l'être de telle façon.

          -Pourquoi laisser l'être? Je dois connaître la vérité! Tu m'as utilisé, mais quel droit avais-tu?

          -J'avais parfaitement le droit. Je le vois maintenant. Parce que tu as senti bien avec moi. Bien jusqu'à tel degré que tu étais prête à le faire malgré l'amie. Et maintenant il faut réjouir. Tu peux être heureuse, sans provoquer une jalousie de n'importe qui.

          -Il m'a rendu heureuse! Quel bienfaiteur! Et si j'appelle à l'aide? Est-ce que tu veux me violer? Tu m'as utilisé une fois, quoique tu n'eusses aucun droit pour ça. Et tu le veux de nouveau.

          -Appelle-les. Je m'irai sans laisser de trace, et tu auras l'air de sotte. Ce serait la même bêtise, comme si crier "au feu!" tandis qu'il n'y a aucun feu. Pourquoi se comporter de la manière stupide? Tu n'es pas une de ceux, des habitantes de Zavety Ilyitcha. Tu dois me soumettre.

          Après avoir dit cela, il a saisi le poignet d'elle par deux mains et a ramené sa main derrière son dos. Elle se pencha en avant. Il commença à soulever l'ourlet de sa robe et à l'enlever la culotte. Valia essaya de résister, mais il prononça de la manière menaçante:

          -Sinon tu rongeras le sol maintenant, il ramena la main d'elle plus haut et elle faillit pousser un cri.

          -Laisse-moi aller, je suis d'accord.

          -Néanmoins, sans bêtises, sinon regretteras.

          Elle commença à déshabiller complètement, en disant:

          -Qu'est-ce que je pourrais faire contre toi, chaud lapin. Est-ce possible de te vaincre?

          -Être un chaud lapin vaut mieux qu'un impuissant ou ivrogne. À genoux, ma beauté! Quelle es-tu belle! Tu es juste mon rêve.

          En entrant en elle de derrière, il la tenait par tresse longue et était en train de la tirer vers soi, malgré le fait qu'elle soi-même toute se tortillait, en respirant péniblement à cause de la passion, sans être capable de cacher cette circonstance-là, comme bien sentait-elle avec lui.

          Après qu'ils ont fini et revenu à la raison, soudain elle le prit dans ses bras et prononça avec les larmes aux yeux:

          -Ne fais jamais mal à moi, tu promets? Je n'aime pas ça et ça me blesse.

          -Et tu m'aimeras?

          -Ne vois pas tu?

          -Fera tu bêtises?

          -J'en ne ferai pas. Ce n'est pas bêtises. Je ne sais pas, qui es-tu. Même je ne sais pas, comment t'appelles-tu. D'où es-tu venu? D'où connais-tu ton double Albert?

          -Le nom ne change presque rien, ce n'est qu'une étiquette. Tu peux n'importe quelle étiquette sur la bouteille, mais le contenu ne changera jamais à cause de cela. Si tu fais toujours la tentative de découvrir un secret, un jour tu finiras par trouver certaines choses, à cause de quelles fera-t-il mal pour tout le monde, en premier lieu pour toi. Découvrir le secret n'est pas dangereux pour moi, mais c'est dangereux pour toi et dans une certaine mesure, pour toutes tes amies. Veux-tu apporter un désastre pour toi et pour toutes?

          -Peut-être, j'avais tort. J'essayerai, comme tu dis, de ne pas faire bêtises. J'en promesse.

          -Puis je ne te ferai jamais mal aussi. Une seule chose, si tu es en train d'aimer, n'aie jamais honte, mais sois fière de ça.

-Je t'aime.

          Après l'avoir prononcé, elle le regarda dans les yeux et il lit dans ses yeux le désir et prière.

          -Dis que tu as le désir de te donner à moi.

          -J'ai le désir de me donner à toi.

          -Alors libérons-nous du vêtement?

          -De quelle façon ferons-nous le faire?

          -Nous allons à inventer.

          Ce jour-là, ils se sont séparés heureux. Albert fit semblant de dépêcher vers le train local qui en fait devait s'arrêter bientôt à la station. Néanmoins il n'atteignit pas le train. En prétendant comme s'il va pisser, il traversa les deux voies du chemin de fer et se cacha dans les arbustes. Après avoir été sûr que personne ne le voyait, il téléporta immédiatement chez soi au bain.

          L'amour aux trois beautés ne l'épuisa pas. Aussi il ne les visitait pas très souvent, en tout cas non chaque jour. Cela ne faisait qu'aidait à lui à devenir plus actif et tout son activité était visée aux voyages qui se sont devenu si disponibles maintenant. Il bien connaissait déjà  une partie de New York et était en train d'apprendre les autres villes des États Unis.

          Le monde entier était ouvert devant lui, tandis que les soucis quotidiens le dérangeaient de moins en moins. Même dans Amérique, les personnes inconnues le considéraient comme un étranger heureux qui est arrivé on ne sait pas d'où et qui a eu bonne chance de recevoir un gros héritage.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/12/the-teleportation-part-1-chapter-19.html?zx=5912f1134ecbb480

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/26/1192

Wednesday, March 24, 2021

Chapitre XVIII. À trente kilomètres du Kremlin. La téléportation. Partie I.

           Albert en étant principalement flegmatique par tempérament, n'aimait pas changer ses plans. À son tour, c'était Valia qui devait être la suivante. Dans environ une semaine après le putsch raté, il a choisi un jour convenable de son point de vue, et de nouveau de la même façon téléporta-t-il de la salle de bain à l'escalier de l'immeuble bas qu'elle habitait.

          Valia habitait un village urbain avec un nom conservé comme un monument à la dégradation bolchevique, c'est-à-dire, Zavety Ilyitcha. Cette colonisation ne fut pas située si loin, comme le logement de Lena, néanmoins, il ne fut pas si proche comme le logement de Sveta, et représentait moitié un règlement des datchas, moitié un typique vidage social de Moscou. Telles colonisations dans l'Union Soviétique qui n'existait plus, étaient pires que les villes, parce que tout le monde connaissait l'un l'autre et ils avaient l'opportunité d'interférer à la vie privée et comploter l'un contre l'autre. Mais elles étaient aussi pires que les villages ou petites villes dans les coins perdus, parce que la simplicité et la chaleur des relations à la campagne entre les gens étaient complètement absentes ici. Beaucoup des excès négatifs de la civilisation pénétraient ici sans la civilisation elle-même. Assez récemment, chaque salaud ou ivrogne pouvait sans peine et pour rien emprisonner son voisin, même s'il est sobre. Emprisonner à cause de fait qu'il est meilleur que lui, plus intelligent que lui et n'a pas désir de dégrader avec ces barbares ensemble, mais il ose mener une vie incompréhensible ou indépendante. Et chaque personne tant soit peu intelligente qui n'avait pas su ou n'avait pas voulu contenter cette populace, il n'avait pas d'opportunité réelle de se protéger d'eux. Pourtant, à vrai dire jusqu'à bout, on ne pouvait se protéger que prendre une arme aux mains.

          C'était un people craché et oppressé, le people, dont l'eau peut être coupée à chaque moment ou laisser mettre de l'eau rouillée et imbuvable dans la conduite. Ceux qui avaient un besoin particulier de logement, pouvaient être mis à la queue d'appartement, mais les fonctionnaires locaux pouvaient changer l'ordre des lieux dans la queue et voler l'espace de vie, comme ils voulaient. C'était les gens élevés dans l'ignorance et l'hypocrisie, les gens qui ont absorbé le folklore criminel avec le lait maternel, ils étaient en train de dégénérer sous l'influence de la propagande pareille et à cause de la peur de n'être pas comme les autres. Parfois, ils dégénéraient jusqu'à tel degré qu'ils commettaient des crimes sans sens, même sans recevoir quelque chose d'utile pour soi-même, puis ils étaient emprisonnés dans les camps et prisons, puis étaient libérés, se soûlaient et à la fois avec tout ça coexistaient-ils bien avec ses "oppresseurs", c'est-à-dire, avec les flics et les petits rois locaux. Personne ne ferait attention dans l'Europe occidentale à ces "rois" mais quant à ce village urbain, malgré leur absence de spiritualité et leur cochonnerie, malgré leur cervelle de moineau, ils pouvaient ici se sentir comme rois en fait. Ce n'était pas une confrontation de quelque deux forces, mais une assez viable coexistence des parties d'un seul organisme mais malade qui est touché par une tumeur cancéreuse du système totalitaire.

          Ce règlement désordonné qui n'était situé que trente kilomètres du Kremlin et dans lequel les trains locaux ne s'arrêtaient qu'une fois par heure il ne se représentait pas quelque chose de particulière, mais au contraire: un assez typique phénomène dans toute la Russie. Et il n'y avait qu'une seule façon de lutter contre ce phénomène: en séjournant physiquement sur le territoire du village, en esprit être hors de lui, c'est-à-dire, ne participer dans la vie du village ni au-dessous ni au-dessus mais rester à l'écart. Maintenant cela n'était pas dangereux. Maintenant on ne pouvait pas emprisonner pour ça, en fabriquant une affaire de hooliganisme d'une manière ignoble, à l'aide des faux témoins qui feraient tout par entente préalable. Maintenant, on pouvait dire aux salauds pareils tout qu'on était en train de penser d'eux. C'était la même raison, dont la populace soviétique avait commencé à détester Eltsine, parce qu'il avait privé partiellement de gredins la posibilité d'emprisonner les gens sans culpabilité réelle après avoir installé des ordres démocratiques. La pauvreté dans la Russie est un phénomène typique qui est formé historiquement et assez stable. On a habitué pendant plusieurs siècles à la faim, au froid, aux grandes queues à acheter quelque chose et aux travaux mal rémunérés. Donc ce n'était pas l'appauvrissement du peuple mais la liberté était la même raison, dont les méchants blâmaient la démocratie. Le bétail soviétique voulait se revenir à l'esclavage. Mais l'esclavage n'existait plus. Il y avait beaucoup de gredins influents qui ne se représentaient qu'une nullité et qui n'occupaient aucun poste prestigieux même sous la pouvoir soviétique. Néanmoins, ils avaient l'autorité et l'influence dans ce village urbain, parce qu'ils savaient s'intégrer au troupeau de porcs et grogner habilement, parce qu'ils étaient capables de démarrer le mécanisme diabolique de l'État criminel et à l'aide de lui de jeter une personne qu'ils n'ont pas aimée, à la boucherie du Gulag qui a été créé par les fascistes rouges. Maintenant pitoyables et insignifiants sont devenus ces gens-là. Ils ne pouvaient que répéter des bêtises antisémitiques et pseudo-patriotiques, mais ce n'était plus qu'une sorte d'onanisme politique.

          Les parents de Valia sont arrivés ici dans l'époque du dégel de Khrouchtchev, à la fin des années 1950, après avoir réussi à s'échapper de l'esclavage kolkhozien d'un coin perdu de l'Ukraine. Valya elle-même était née et ne s'était souvenue d'elle-même qu'ici, pas loin de Moscou. En souvenir du passé, ses parents avaient peur de se séparer de la collectivité, ils se soûlaient souvent avec les habitants du règlement et même réussissaient à gagner le respect devant eux. Mais cela n'a pas aidé. Cela avait lieu déjà dans l'époque de Brejnev. Une fois, le père d'elle quand il était soûl, il a engueulé les flics locaux qui se comportaient sans respect à l'égard des gens et dès lors commença à visiter les prisons et camps, en étant laissé aller pour plusieurs mois, puis en étant emprisonné de nouveau pour plusieurs années. Il revenait aux endroits qui se sont devenu pour lui comme une maison natale. La mère qui a vécu la moitié de sa vie dans l'État, où "il n'y avait du sexe", elle n'a pas osé se comporter plus libre. Parfois, l'angoisse impitoyable la saisissait comme par étau de fer, en la forçant de chercher une sortie. Malheureusement, la plus rapide et simple sortie fut trouvée dans le vin. Quand elle a remarqué comme c'est coûteux, elle se mit en préparation des boissons alcoolisées d'une manière primitive, même sans distillerie et elle buvait peu à peu toujours. Non. On ne l'a pas vu soûle dans la rue. Juste elle suçait sa boisson qui était faite sans savoir, et parfois elle se réveilla dans la nuit pour prendre une dose. Et puis la dépression, à cause de laquelle on ne voulait plus vivre, affaiblissait son emprise de fer, et maintenant après un verre pouvait-on agiter son doigt sous le nez des ennemies invisibles sous la forme de mauvaises pensées qui imaginaient son existence comme problématique et sans espoir, c'est-à-dire, d'une manière exagérée. Maintenant on pouvait se moquer sur les pensées pareilles. Elle a choisi un ersatz de la liberté au lieu de la liberté réelle. Ce choix incorrect la mena bientôt à une mort prématurée à cause de la cirrhose du foie.

          Valia avait dix-huit ans dans ce temps. Elle déjà essaya "l'amour" avec les types locaux. Mais la déception bientôt est venu au lieu de la joie. Ceux qui d'abord semblaient si gentils et doux, ils répandaient maintenant des potins sales derrière son dos. Et elle a compris que toute la tendresse apparente n'était qu'un lèche-bottes des profiteurs qui voulaient obtenir sa "victoire". Ils ne savaient aucun amour. Ils ne savaient aimer ni à l'égard d'elle, ni à l'égard de quelqu'une autres, même s'ils le voudraient. Ils ont éclaboussé l'étincelle de vie qui est dans chaque être vivant, avec la boue de l'adoration les fausses idoles. Leurs idols sont les chiffons de mode et le respect dans le troupeau. Leur avenir est une table étant pissée dessus et un verre obscur.

          Valia a eu beaucoup de chance, c'est possible que cela eût lieu de l'expérience amère et des échecs dans les précédentes vies. Elle était compréhensive. Elle avait compris que son environnement social est hostile, néanmoins, il ne faut pas parler de cela à voix haute, mais il faut faire son affaire en silence. Elle était en train de se séparer plus en plus des amis et amies anciennes avec le désir de brûler beaucoup de ponts plus vite. Elle trouvait des amants riches qui la dotaient généreusement et lorsque cela était en train de passer, elle disparaissait pour plusieurs mois du village urbain en direction inconnue. Peut-être, elle ne rencontrera jamais l'amour véritable dans la vie, mais au moins, elle ne deviendra jamais une esclave de l'État, et cela est déjà un grand bénéfice de la vie.

          Elle entendait des rumeurs qu'un certain cercle des gens avait l'intention de l'emprisonner pour l'oisiveté. Elle connaissait qui entre les amies anciennes mouchardait sur elle. Elle commença à détester le village et tous ses habitants. Elle est devenue attirée par la chimie, en faisant des poisons à domicile qui étaient technologiquement disponibles, mais mortels malgré ça. Les malveillants ne devinaient pas qu'ils vont vers leur mort. Et elle savait le faire de telle manière que personne ne devinerait. C'est la plus probable que le cas soit considéré comme une maladie inguérissable. Mais rien ne s'est passé. La perestroïka commença, et les ennemis perdirent leurs forces. Néanmoins, un ennemi faible n'est plus un ennemi, mais un bouffon. Valia était prête à prendre un péché sur l'âme seulement par nécessité. Maintenant, la nécessité pareille n'était plus.

          Les années passèrent, pendant lesquelles elle apprit beaucoup d'ordonnances d'alcôve, en profitant de la vie à mesure que ce fût possible. Elle ne gardait qu'en profondeur de l'âme des rêves et l'espoir de bonheur de plus haut degré, d'un bonheur presque inconnu à elle. Il y avait une année et demie, elle avait fait connaissance dans le train local avec rousse Lena qui était en train de revenir de la datcha d'un amant. Valia entra vite au cercle d'Albert, de Nadia et ses amies. Même elle ne pouvait pas se rendre compte, pourquoi était ce cercle attractif pour elle comme ça. Attractif jusqu'à tel degré qu'elle préférerait être assise simplement dans le cercle des amis neufs au lieu de se mettre en marche aux expérimentes et aventures sexuelles. "N'est cela pas seulement parce qu'ils ne complotent rien l'un contre l'autre?" - elle questionnait soi-même. Elle ne voulait pas aussi ruiner la paix formée entre eux, c'est pourquoi refusait-elle même rêver sur la séduction d'Albert.

          Mais voilà vint-il lui-même. Elle n'attendait pas cela. Si elle pouvait le prévoir, elle aurait calculé auparavant de quelle façon elle résistera. Ne pas résister contre-lui, mais contre propre désir.

          Il avait l'air assez étrange, en pyjama, les cheveux ne sont pas desséchés encore, tandis qu'il fait le froid pénétrant d'automne dehors. Néanmoins, c'était Albert et elle a compris ce qu'il veut, déjà à l'instant, quand il vient d'entrer à l'appartement. Elle un peu murmura quelque chose de contre, un peu résista, mais elle fut vaincue vite par l'ouragan des sentiments propres. Elle se donna à lui en position qu'il voulait. Elle perdit presque complètement le contrôle de soi, se tortillait et hurlait de plaisir. Il ne fut que dix minutes après ce, quand le plus voluptueux moment brilla comme le court-circuit, où s'alla complètement l'énergie de deux, elle acquit la capacité de réfléchir de la manière sobre.

          -Voilà comment c'est. L'homme apprend toute la vie. Je ne le voulais pas, mais quelle trahison viens-je de commettre contre mon amie! Tu, chaud lapin, a su m'attraper.

          -Cette trahison n'est qu'imaginaire. Si vous deux reconnaissez un autre moral, puis il s'avérerait qu'il n'est produit rien de mal. Au contraire ...

          -C'est le confort pour toi de penser comme ça, - elle l'interrompit. - Pendant toute l'histoire, l'adultère était considéré comme la honte et crime. On non seulement se battait à cause de ça, mais aussi tuait. C'est la violation du saint commandement du Christ.

          -Pendant toute l'histoire, les gens menaient des guerres, en tuant ses semblables pour de piller la richesse sous prétexte des saints noms. Puis ils sont arrivés à un point où ils ont commencé à brûler ses semblables sue le bûcher seulement pour ses convictions, puis pour ce qu'ils ont osé lire la Parole de Dieu sans intermédiaires. Et comment tout cela s'est terminé? Ils sont arrivés à une conclusion fausse, comme si Dieu n'existerait pas et comme si Christ n'aurait jamais existé et ils ont commencé à tuer des millions de personnes et à construire les camps de mort pour ça, comme des usines de mort. Mais malgré toute cette impiété, les persécutions de l'amour libre ne furent pas cessées. Parce que pour réussir en suppression et soumission d'une personne, il faut réprimer et soumettre la matière sexuelle de cette personne.

          -Néanmoins, qu'en est-il de dix Commandements?

          -Il est ouvert dans l'Évangile que les dix Commandements n'ont but qu'accomplir deux commandements principals: aimer Dieu et aimer l'un l'autre. Moïse a commandé ne pas s'intéresser les femmes des autres, parce que parmi les sauvages inévitablement mènerait cela aux querelles avec les effusions de sang. Le péché aurait lieu en cas, si nous ne garderons pas la paix entre nous après cela. Après tout, un arbre est connu par ses fruits. Si j'ai plusieurs femmes et je prête attention pour l'une plus que pour l'autre, c'est moi qui serais coupable du péché à cause des conséquences de ça. Néanmoins, si l'une d'eux commence à détester l'autre malgré mon attention identique à l'égard d'elles, puis c'est elle qui serait coupable du péché. Si tout nous aimons l'un l'autre à trois, même à dix et réussirons à garder la paix entre nous, il n'y aura aucun péché.

          -Mais cela ne sera pas normal.

          -Le pouvoir soviétique, est-ce normal? Les guerres, les bûchers d'inquisition, est-ce normal? NKVD, Gestapo - est-ce normal? Toute la chose est dans l'habitude. Tu t'es habituée à réfléchir de la manière traditionnelle. Tu  ne t'es pas habituée à réfléchir librement. Je te dois donner un bon point que malgré tout tu es plus libre que les habitants de ce village. Mais je vais te faciliter ta tâche. Je ne suis pas Albert. Car Albert est maintenant en train de se laver au bain chez soi. Si je lui ressemble, tu peux m'appeler Albert Deuxième.

          -Assez rigoler. Pourtant, même Nadia ne me cognera malgré le fait qu'il faudrait. Je l'appellerai en parlerai de tout. Laisse-la me gronder, laisse-la me considérer comme une chienne dernière. Je ne me disculperai, quoique je sache que l'autre aurait fait le même. Après tout, je suis vivante, je ne suis pas de fer.

          -Si tu l'appelles, elle ne sentira à l'égard de toi ni jalousie, ni colère mais la compassion comme à l'égard de l'amie qui s'est devenu folle dans la fleur de l'âge. Son mari maintenant est en train de se laver chez soi dans la salle de bain, - après avoir dit cela, Albert a sauté de la chaise, ouvert la porte d'appartement et ajouta:

          -Good-bye, my love! Maintenant fais un coup de fil et demande Albert, - enfin il ferma la porte, après quoi pouvait-on entendre aux escaliers le bruit des pas éloignant, mais ce bruit fut vite interrompu.

          Valia ouvrit la porte. Il y avait tel silence aux escaliers, comme s'il n'y avait personne. Elle descendit l'escalier et ouvrit la porte de l'entrée. Deux vieilles femmes furent debout près de l'entrée, comme si déjà longtemps, et elles conversaient de quelque chose de leurs. Elles la regardèrent immédiatement.

          -Pardon. Un homme en l'âge environ trente ans, est-il sorti de la porte?

          -Non, - répondit une interlocutrice, en souriant un peu. - Nous déjà sommes debout ici une heure et demie.

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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/26/738

Friday, March 19, 2021

Chapitre XVII. L'amour et la guerre. La téléportation. Partie I.

           Pendant à peu près de semaine était Albert en train de se sentir déprimé, et cela le faisait ne ressemblant pas à soi-même. C'est pourquoi, quand Lena, est elle venue ches eux, elle est devenu plus doutant qu'Albert qui l'avait attaqué chez elle, fût Albert réel. Elle a essayé prudemment de renseigner de Nadia, où ils ont été le soir-là, et Nadia, sans suspecter de rien, a raconté à elle qu'elle a regardé cette série à la télé aussi, le mari alla à l'être dans le bain pendant deux heures, mais il en est sorti dans une heure et vingt minutes. Un aller simple jusqu'à Lena occuperait une heure et demie. Tout était favorable à la version d'un sosie.

          Albert était en fait attristé par le décès probable de son ami âgé, avec lequel ils avaient compris parfaitement l'un l'autre, malgré le fait que l'ami était assez âgé pour être son arrière-grand-père. Nadia se rendait compte de cela et elle ne pouvait pas deviner que vers la perte principale était ajoutée une tristesse à cause d'échec à l'égard de la tromper avec cette amie timide et taciturne. Albert répondait à la présence d'elle de la même manière comme auparavant, en rassemblant toutes ses forces pour que personne ne devine sur des changements dans les relations. Néanmoins, quand était-il sûr que personne ne le voit, il examinait par-derrière du corps d'elle par regard d'un prédateur affamé et en colère, il était en train de la déshabiller et la violer en esprit de la manière malveillante. S'elle se tournait, il baissait les yeux immédiatement et appelait aider des premiers chiffres qui étaient venus en esprit, il les multipliait ou élevait au carré, ou effectuait des autres opérations arithmétiques. Cela lui donnait un air calme et réfléchi. À cacher la condition de son âme quand il faut, il était sans égal dans cette capacité.

          La propriété de l'être humain et c'est probable aussi de n'importe quel être vivant, c'est chérir dans l'imagination un fruit interdit, se sentir nostalgique à cause de quelque chose qu'on ne peut pas prendre et utiliser directement ici et tout de suite. Cette propriété ne faisait aucune exception dans le cas donné aussi. Lena paraît à lui maintenant encore plus attractive. En abordant le problème avec le bon sens, il se rendait compte que ce problème n'a aucune valeur en comparaison avec la perte de tel homme, comme le vieillard Paul. Néanmoins, la partie inférieure de la conscience rebellait, en le déclarant un malchanceux, comme une hallucination nierait à l'aide de sa propre présence tous les raisonnements de bon sens. La subconscience essayait maintenant d'imposer une idée contre le bon sens, comme s'il serait devenu maintenant moins attractif pour toutes les femmes, comme si toutes elles seraient devenues moins disponibles et c'est elles maintenant qui ont commencé à paraître à lui plus attractives. Cela ajoutait à sa fantasie une partie de l'agression et de l'irrespect à l'égard d'elles. Néanmoins, dans une semaine, le bon sens commença à vaincre et il s'est fortifié de nouveau. Mais deux amies restées continuaient à paraître plus souhaitables qu'auparavant, cela a inspiré sa décision et c'est probable qu'a joué un rôle positif dans les évènements suivants. C'était Sveta qui devait devenir la "victime" suivante. La réussite avec elle était plus probable. Quant à Valia, on ne savait pas que peut-on attendre d'elle, et il ne voudrait vraiment pas échouer en deuxième fois.

          Cela peut sembler paradoxal, néanmoins, l'existence de Tolik n'empêchait pas l'affaire, mais au contraire. Il y a assez grande partie des femmes pour lesquelles la présence du mari ou de l'amant ne fait que provoquer le désir les à tromper, le désir des scènes de lit et cela les fait plus disponibles qu'auparavant, lorsqu'elles étaient seules. Comme d'habitude, elles sont candides avec cela, elles ne sont pas assez prudentes, parlent de superflu souvent et endurent les coups et déshonneur des jaloux hommes enragés. On les abandonne; rarement, mais on les tue parfois, malgré le fait qu'elles sont inoffensives, presque comme les enfants, et elles méritent de la compassion et de la compréhension, contrairement aux complaisantes viles qui méritent une punition en fait et appartient à une catégorie de personnes complètement différente qui n'ont rien à voir avec ces agneaux qui quoique soient lascives, mais innocentes.

          Sveta Izmailova appartenait précisément à cette catégorie. Ce qu'elle faisait des allusions prudentes, en jetant des coups d'œil à lui, n'était pas par hasard. Elle devenait toujours plus libérée non seulement grâce à Tolik, mais aussi à cause d'intérêt de lui pour le passe-temps en buvant d'alcool avec les personnes du même toit de gang, dont la place avaient essayé d'occuper les salauds sous la direction de Colonel. Il considérait comme un honneur à partager la même table avec soi-disant bandits, et ceux-ci dans le contexte de ceux-là de Colonel, lui semblaient presque des anges. Il oubliait la prudence et bavardait avec ils de tout. Il n'y avait rien d'insultant à l'égard des bandits dans ce bavardage, c'est pourquoi rien de terrible n'arrivait pour le moment. Néanmoins, il y avait quelqu'un, pour qui l'information parlée par Tolik soûl, s'est avérée assez précieuse. Cet homme après avoir s'est mêlé dans le cercle, il faisait tout pour que les buveries pareilles soient favorisées.

          Albert a déjà appris la régularité d'absence de Tolik, et ça suffirait aussi de téléporter aux toilettes ou sous le lit dans l'appartement de Sveta, s'il découvre la présence de Tolik, il pourrait téléporter immédiatement en retour sans problème.

          Ce jour est venu en commencement du septembre. Le refroidissement est fini et il faisait bon temps, comme en été, ensoleillé et chaud. Selon les calculs d'Albert, Tolik devait aujourd'hui s'amuser en compagnie des amis imaginés et des verres sonnants. Albert s'est téléporté chez Sveta sous le lit. Elle était ennuyeuse et en train de s'allonger sur ce lit et de tenir aux mains un roman policier contemporain. Albert a disparu sous le lit et apparu en haute d'escaliers, au palier près du grenier. Puis il a descendu prudemment à travers plusieurs étages jusqu'à l'appartement nécessaire et a sonné à la porte connue. Il entendit les pas et Sveta ouvrit.

          -Oh, Alik, c'est toi.

          -Es-tu sûre que je suis Alik?

          -Assez badiner, entre. Et pourquoi es-tu seul? Tout va bien chez vous?

          -Comme si.

          -C'est probable, tu veux prendre du thé?

          Elle portait la robe d'été de couleur verte clair. Les courbes de son corps pouvait-on bien observer à travers le tissu léger.

          -Je veux toi, - Albert répondit et la serra aussitôt dans ses bras contre lui, en pressant d'une main le bas de son épine dorsale. Elle haleta prolongement, mais sans résister.

         -Oh, Alik, que fais-tu! - Sveta lamenta en chuchotant. - Comment pourrai-je après regarder dans les yeux de ta femme?

          -Demande-la le matin, et elle te dira qu'Albert n'est pas sorti de chez soi dans cet instant. Je suis son double.

          -Assez jouer le fou, comme si je ne verrais pas. Laisse-moi aller. - Avec indignation, mais en chuchotant encore prononça telle proche et telle désirable sa maîtresse, de quoi il ne doutait plus. Il enfila insolemment sous sa robe d'été avec sa main et baissa la culotte. Sa constitution fut belle mais subtile et malgré son âge de 29 ans, dans les ténèbres  pouvait-on la considérer comme une fillette qui a quatorze ans.

          -Oh, Albert. Qu'est-ce que tu es en train de me faire ?! Si Nadia l'apprendra. Laisse-moi aller, s'il te plaît. Je te prie.

          -Je ne suis pas Albert. Nomme-moi comme tu voudrais, mais je ne te laisserai pas aller. Je suis prêt à tout faire pour ne pas te laisser. Obéi-moi. C'est le destin. Tu ne peux pas s'aller de lui.

          Elle commença soudain à se débarrasser de tout son vêtement et resta debout devant lui toute nue, avec l'air condamné et exprimant l'accord.

          -Que peux-je faire contre toi? Seulement, ne parle pas à Nadia et à Tolik.

          -Tu toi-même ne le bavarde pas.

          Sveta est devenue toute molle dans ses bras. Ils ne se souviennent pas comment ils se furent avérés sur le lit et lorsqu'il entra en elle, elle enroula ses jambes autour de lui.

          Ils étaient heureux à deux. Personne ne l'apprit bientôt. Si quelqu'un apprit, il serait irrité en vain. Ni Albert, ni Sveta ne voudraient personne ni irriter, ni tromper. Ils ne voudraient qu'éprouver le bonheur et ils étaient en train de le faire.

         -Tu m'aimes?

          -J'aime tout vous et, c'est naturel, toi aussi.

          -Tu n'es pas normal. Ça n'arrive pas.

          -Tu as besoin de l'apprentissage long et l'acquisition une grande expérience de vie pour comprendre que ça n'arrive que comme ça presque toujours. Et s'il est arrivé de telle manière, puis garde silence sans bavarder de cela, et alors ce sera  bien pour tout le monde.

          -Je n'en parlerai à personne.

          -Quant à Valia et Lena, n'en parle pas avec eux aussi.

          -Je le promesse. Sinon Tolik tuera moi et il peut t'attaquer aussi.

          -Est-ce après ce que j'ai fait pour lui? Bien. Ne pense-il pas qu'il peut arriver d'une manière opposée? - Après Albert vient de ce dire, il s'est rendu compte qu'il dit trop. Il avec le vieillard, ils sont deux avaient réussi donc à représenter cette chose devant tout le monde, comme si tout se serait passé spontanément, c'est-à-dire, quelqu'un entre les autres avait tué les chefs du gang hostile. Personne ne savait sauf Tolik, quelle information était possédée par Albert. Mais s'il parle trop de ça, il sera le premier tué pour cela. Consciemment, il ne le fera jamais même s'il découvre la tromperie de Sveta, parce que cela serait sa fin.

          -Alik, et quoi s'il est vrai? Je sens bien avec chacun de vous d'une manière particulière.

          -Sinon ne peut pas être. À travers nous es-tu en train de connaître l'Existence, l'Univers. Ce qu'un ne te peut pas donner, un autre peut le donner. Il n'y a personne qui pourrait te donner tout, de la même façon qu'il n'existe pas telle fenêtre, de laquelle pourrait-on observer en toutes les quatre directions, à différentes distances également clairement à la fois, y compris au-delà de l'horizon. D'ailleurs, n'as pas tu essayé de faire l'amour avec tes amies? Si c'est comme ça, cela serait un bon exemple, comme deux choses peuvent donner la joie, mais des manières différentes.

          -Non. Je ne suis pas une lesbienne. Pourtant, j'avais Serge avant de Tolik, n'est-ce pas que Nadia t'ait  parlé de cela?

          -Non.

          -Il me pinçait toujours pendant cette affaire. Parfois, il me cautérisait par cigarettes.

          -Est-ce que tu veux dire qu'il était un scélérat?

          -J'aimais lui. Je l'aimais beaucoup! Parfois, il me permettait de cautériser par cigarettes à lui-même. Je le faisais d'habitude, c'est pourquoi je ne me considère comme une victime.

          -Alors, qu'est-ce que vous manquiez? Pourquoi n'êtes-vous pas ensemble maintenant? Es-tu fatiguée de ses jeux cruels?

          -Je t'ai dit que je me sentais bien avec lui. Néanmoins, il fumait la marijuana. Un jour, il a disparu. Tous les proches le cherchaient, mais c'était moi qui première a trouvé lui. Les pieds, comme s'ils sont mêmes qui m'ont menée à ce sous-sol de l'immeuble à cinq étages. Il était en train de pendre là-bas. Il s'était défoncé et s'était pendu, il est mort pour rien... Puis on l'enterrait. J'étais hystérique. Mais dans deux mois ai-je fait connaissance avec Tolik et compris que la vie continue. Maintenant, tu es. Et tu n'es pas normal. Tu as besoin de plusieurs filles. Si la fille est seule, il ne suffit pas à toi. C'est possible, que je sois la même que tu es. Peut-être pire. Écoutez-moi, Alik. Pince mon dos, ou plus bas, - Sveta sentit après avoir dit ces mots qu'elle est en train de rougir, mais au crépuscule de la pièce, bien sûr, Albert n'a pas vu cela. 

          -Pourquoi?

          -Si la fille te prie. Est-ce que c'est difficile à faire?

          -Cela n'est point difficile à faire, pourtant ne te sois pas vexée après.

          -Moi? Contre toi? Être vexée? Jamais dans la vie! Je te pardonnerai tout. Mais si tu ne le fais ce que j'ai dit, puis je serai vexée.

          "Maintenant, je la punirai pour qu'elle ne demande pas des bêtises", - Albert réfléchit et il pinça de toutes ses forces la petite mais bombée fesse d'elle. Sveta se redressa, pencha la tête en arrière, gémit voluptueusement et se précipita vers Albert avec les embrassades, en disant:

          -Je veux plus! Je veux de nouveau!

          Le comportement de la partenaire comme ça, était en train d'exciter lui beaucoup, et ils sont réunis immédiatement l'un l'autre de nouveau.

          Quand il est revenu à l'aide de sa "méditation" dans le bain, bien sûr, Nadia ne remarqua rien et c'était impossible qu'elle puisse croire en téléportation. Son jeune corps a pu vite retrouver les forces dépensées et après ce qui est arrivé, sa propre femme commença à paraître encore plus belle et plus désirable.

          -Qu'est-ce que tu as fait, dont j'étais en train de jouir comme jamais auparavant? - elle questionna après s'est donnée à lui.

          -Je ne sais pas. C'est probable à cause du changement du temps bientôt varient les sensations.

          Maintenant, il avait deux femmes en fait, mais personne ne le savait sauf Sveta et Albert. Il fut assez content de la situation pareille et il se rendait compte aussi que cela soit bien à l'ajouter Valia à tel "amour de trois". Il se rendait compte aussi que tôt ou tard il rêvera de ça de la même manière, comme il rêvait encore au printemps, quand il ne possédait que seule femme. Cela semblait étrange, Sveta n'était pas du tout intéressée par la façon, dont son amant neuf pouvait être dans deux endroits à la fois et pourquoi il vient en pyjama et avec les cheveux humides, comme s'il viendrait de se sortir de la salle de bain. Apparemment, même elle ne le savait, parce qu'elle ne s'intéressait point quels mythes inventait Albert pour sa femme légitime et sous quel prétexte quitte-t-il la maison lorsqu'il vient chez elle.

          Chacun vécut sa propre vie et presque personne ne remarquait l'épaississement des nuages orageux à l'horizon politique. Contrairement à d'autres, Albert ne réagissait pas à cause d'une autre raison. Il comprenait desquelles forces possède-t-il maintenant. Malgré le fait qu'il n'a pas été élevé comme un ninja, possible au contraire, et il s'intéressait de yoga déjà en étant adulte et mature, néanmoins, il dépasserait même Goemone avec les capacités neuves qui sont venues comme si de nulle part. Et la chose principale qu'il pouvait faire maintenant, cela n'avait rien à voir avec un intérêt sportif. Il pouvait protéger tous les proches d'une nouvelle vague de totalitarisme, si elle aurait lieu: protéger les parents, l'épouse, Sveta, Valia et Olesya. La dernière doit apparaître dans demi-an après la mort de Paul, c'était leur accord.

          C'est pourquoi du 3 octobre jusqu'au soir, quand le second putsch, dirigé par Routskoi, éclata comme un feu, il ne suivit les évènements qu'à la télé. Quand l'écran s'est éteint, il téléporta à l'Ostankino. Il était difficile à comprendre qui tire sur qui. Il y avait une fusillade chaotique, et la seule action utile que pouvait-on faire, c'est sauver soi-même d'une balle perdue. On peut blesser ses alliés, en agissant sans connaissance comment aider à eux. Il ne pouvait pénétrer dans l'intérieur de la tour à la cause assez simple. Il n'a été jamais là-bas, donc il ne connaissait rien qui est au-dedans.

          Le matin, Albert avec la hache dans son sein et les couteaux et sprays au poivre dans les poches, il a téléporté à Moscou. Ce que les communists sont vaincus, il a l'appris de dernières nouvelles. La seule chose qu'il a réussie, c'est atteindre jusqu'un toit, puis téléporter dans les limites de ce toit pour n'être pas remarqué par l'ennemi, c'était un tireur qui était prêt à tirer sur les passants. Il se faufila vers le tireur et l'assomma à l'occiput par le côté arrière de la hache. Après cela il essaya de prendre le carabine avec lui. Mais il ne réussit pas et il le jeta du toit. Il fit tout cela avec des gants. Il regrettait, car il n'était pas prêt aux actions des communists et fascists qu'il n'était pas difficile à prévoir. Il fallait revenir à la vie personnelle, car apparemment, la paix dans le pays s'est installé comparativement pour longtemps.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/12/the-teleportation-part-1-chapter-17.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/26/738

Saturday, March 13, 2021

Chapitre XVI. Après la joie, les ennuis. La téléportation. Partie I.

           L'automne est arrivé. Albert réussissait chaque fois plus souvent à obtenir ces déplacements voulus à travers l'espace. Il devait aussi commettre plus souvent des petits voyages pour de mémoriser plus des lieux clés, soit où pourrait-il se déplacer et "apparaître" en cas de nécessaire, soit près d'une grande ville, de laquelle aura-t-il besoin dans l'avenir, par exemple, de la même manière comme Paul une fois avait-il eu besoin de la ville Grozny. Aussi pour visiter beaux endroits, en général dans la région de Moscou ou dans les régions situées à la proximité relative. Il n'oubliait pas aussi d'utiliser les visites avec sa femme chez les amies d'elle, en mémorisant les détailles de leurs appartements. Ni Nadezhda, ni ses amies ne suspectaient rien. Le vieillard rappelait parfois son existence, en mettant 100-200 dollars sur la page 343.

          Nadezhda supposait que le mari ait trouvé maintenant un travail neuf et ne parlait pas lequel. Peut-être, y a-t-il quelque chose qui ne va pas? Maintenant voyageait-il ou séjournait-il au camping tout seul plus souvent et elle supposait qu'il transportait on ne sait pas quelles marchandises d'une ville à une autre. Le vieillard a cessé soudain de visiter eux aussi. Néanmoins, quelque chose la consolait et elle ne savait pas quoi. La plus probable, c'était une joie, comme il paraît à elle, sans raison, la confiance d'Albert en soi et absence des craintes qui suivent d'habitude les gens qui jouent à des jeux impurs ou sont témoins les meurtres et mutilation des autres.

          Une fois le matin, il sortit un manuel vieil de géographie qui était resté depuis l'enfance. Albert disait à elle, quand il étudiait à l'école, il l'avait sorti ce manuel pendant n'importe quelle leçon et l'ouvert sur la page, où il y a une image en noir et blanc de basse qualité de New York, vue de la mer. Il pouvait être en train de dévisager cette image pendant longtemps, en cessant d'entendre et voir ce qui passe autour de lui. C'est possible, quelqu'un sexuellement préoccupé dévisage sa pornographie préférable de la même manière. Bien sûr, il n'y avait rien de sexuel, mais c'était une autre chose de tout. Cela ne pas était passé seulement avec lui. L'Amérique incarnait la liberté dans la conscience et le subconscient des gens, la liberté, de laquelle ne pouvaient pas les gens même rêver dans ce trou soviétique. Quelqu'un qui est empoisonné au monoxyde de carbone à cause du poêle défectueux dans la maison verrouillée, il cherche de la même manière fente sous la porte et s'attache à elle avec passion à inhaler l'air frais, dont il a tel grand besoin. Et aussi quelqu'un qui a perdu de l'eau dans le désert et il a trouvé heureusement une source de l'eau, il avale de la même manière chaque goutte précieuse avec les larmes de joie aux yeux, sans se soucier par la réflexion philosophique que ce n'est que l'eau. Même l'eau ordinaire peut être telle désiré et merveilleuse.

          Maintenant était la liberté ici, quoiqu'elle n'était pas complète, quoiqu'elle était avec des impuretés sales, mais c'était la liberté malgré tout. Après avoir survécu trente années, l'America était attractive, mais déjà pas dans telle mesure. Et l'intérêt à l'égard des autres pays n'était pas encore perdu aussi. Il se rendait compte que tout ils sont en train de vivre comme au pied d'un volcan qui peut-être inactif pendant plusieurs siècles encore ou peut-être se réveillera demain et les avalera. On peut s'attendre n'importe quoi de la part de cet État monstrueux. L'Ouest était attractif encore pour lui, mais une grande partie de l'intérêt pragmatique était ajoutée à l'intérêt romantique.

          Il était toujours en train de regarder à cette page jaunie avec l'image de New York, puis fermait les yeux et s'imaginait soit devant la Statue de la Liberté, soit à Wall Street, suit sur la cinquième Avenue. Mais il n'a rien encore réussi, et Nadezhda ne pouvait pas comprendre, qu'est-ce qu'il lui arrive.

          "C'est probable qu'il y a une grande partie des conjectures dans mon imaginaire New York", - Albert a conclu. Il a compris qu'il n'avait pas écouté Paul en vain, qui avait conseillé au lieu d'examiner les images, de regarder les films avec les images du terrain souhaité.

          Une fois pendant deux jours fut-il assis au même cinéma, en regardant le même film documentaire, où plusieurs images montaient un lieu animé à Broadway. La femme travaillant comme un inspecteur de billets du cinéma, elle déjà l'a remarqué et commencé à le considérer comme un fou: personne ne regarderait si beaucoup de fois un film qui n'est pas intéressant pour le grand public. C'est possible qu'elle fût en train de sentir mécontentement, parce que les temps avaient changé et on ne pouvait pas maintenant appeler le service psychiatrique à cause pareille et interner à l'asile psychiatrique une personne qui comporte de quelque chose d'incompréhensible. Le spectateur étrange vint au troisième jour aussi. Elle commença à l'observer. Il était assis à la dernière rangée comme d'habitude et regardait à l'écran avec grande attention.

          Soudain, il vient de disparaître sous les yeux d'elle. Il était et il n'est pas maintenant, comme s'il n'existait jamais. L'ouvreuse fermait et ouvrait de nouveau les yeux. Non. Le spectateur étrange a disparu en fait. Elle passa aux rangées dernières, se pencha, en regardant au plancher entre les rangées, comme s'elle cherchait quelque chose. Après avoir atteint deux jeunes hommes qui étaient assis devant lui et n'ont donc rien remarqué, elle chuchota:

          -Les gars, n'ont pas fumé quelqu'un ici? Ne venez-vous pas de remarquer quelque chose de pareil?

          -Vraiment? - chuchota un d'eux. Et les deux ouvrirent les palmes vides. - Il n'y a pas une fumée, ça veut dire, il n'y a l'aucun feu.

          Elle vient de se rendre compte qu'il sera mieux de ne parler jamais à personne de ce spectateur qui est soit fou, soit n'existant jamais. Puis dans le cas dernier, elle soi-même serait considérée comme un fou.

          Dans ce temps, Albert marchait dans la rue de matinal New York avant l'aurore, et les émotions de la joie sont à leur paroxysme. Il a réussi immédiatement quand il vient de se souvenir, quelle l'heure est-il à New York maintenant. Comme a-t-il pu perdre de vue le fait que l'heure à New York a 8 heures de retard sur l'heure moscovite!

          Il se sentait plein de joie. Pourtant un léger désagrément se mêlait, parce qu'il fallait un peu travailler: choisir et souvenir plusieurs endroits où pourra-t-il téléporter après. Quoique ce travail soit même un peu agréable. À installer les "points d'apparition" partout dans les États-Unis, partout dans l'America, d'Alaska jusqu'à la Terre de Feu, partout dans l'Europe, partout dans le monde. À cause de la joie voulait-il chanter les chansons. Selon la vieille habitude soviétique, il se retenait, mais il n'y avait besoin de cela. Sa chanson ne troublerait personne dans le contexte du bruit d'énorme ville qui était en train de se réveiller. Les gens qui dépêchaient au travail ne feraient grande attention et même s'ils la feraient, cela ne provoquerait pas leur désir de détruire sa joie incompréhensible. En marchant, ils croiraient qu'il comme s'il a gagné à la loterie et l'oublieraient après avoir passé une centaine des pas.

          -Are you happy? - Albert a entendu d'un policier qui marchait devant lui.

          -Yes, I do. Very much, - et la conversation était terminée comme ça.

          Même s'il a prononcé cette phrase en anglais un peu avec accent, même un policier ne serait pas surpris de cela, parce que New York est plein des étrangers. Et un homme qui a une joie sincère, sans faire semblant, il ressemble à un criminel dans une moindre mesure. Albert a compris qu'il faut ici bien essayer pour d'être détenu au poste de police à cause d'une suspicion. On parle comme si la police est pire ici qu'à Stockholm ou à Copenhague, où il n'a pas encore voyagé. Peut-être. Néanmoins, ce n'est pas la Russie, et la police locale attrape les criminels au lieu de cracher dans l'âme des passants qui ont osé se distinguer des autres par quelque chose.

          Le soleil s'est levé déjà haut et Albert s'éloignait toujours plus loin de Broadway. Les terrains vagues de pierre qui étaient pleins des déchets industriels, devenaient plus en plus inanimés. Il s'arrêta près bâtiment bas en béton armé, soit en construction, soit en ruine graduellement. C'était déjà le soir à Moscou maintenant, entre 20 et 21 heures, le temps à revenir. Il sentit quelque chose de méchant à droit côté de lui. Deux types noirs étaient en train de s'approcher de lui et il était clairement que leurs intentions étaient agressives. Il jeta un coup d'œil à gauche. Il y avait deux types aussi, noir et blanc. Ils s'approchaient aussi, sans se dépêcher. Tous d'eux tenaient les mains dans les poches. Il n'y a pas de nécessité d'être un Américain et savoir anglais, mais il était assez de regarder pour de se rendre compte que c'est des voyous et leurs intentions ne pouvaient promettre rien de bon. Albert téléporta immédiatement à Kalistovo. Il était baigné par la fraîcheur du soir, et l'éclairage avant du coucher du soleil parut très rouge. Il essaya de téléporter retour. Il réussit. Dans le contexte après le silence de la nature, les voix méchantes parurent plus fortes, et l'éclairage en plein jour parut très bleu après la soirée.

          -Fuck you! I've seen him as you. Just he was here. (Merde! Je l'ai vu comme je vois toi maintenant. Il vient d'être ici).

          Et soudain a-t-il crié de toutes ses forces:

          -Look! He's here again! Catch him! (Regarde! Il est apparu de nouveau! Attrape-lui!)

          Albert a vu soudain un poteau métallique et fin à peu près une dizaine de mètres de haut. Il s'est excité comme depuis longtemps, lorsqu'il n'était qu'un garçon. Il attrapa le poteau, commença à faire des tractions et monta dessus, prenant de l'altitude assez rapidement. Un des adversaires osa le suivre sur le poteau. Les autres commencèrent à jeter des pierres, mais rataient la cible chaque fois. Albert avait un désir de les taquiner avant disparaître. Après avoir atteint presque jusqu'en haut, il prononça ce qu'est venu en esprit, en chantonnant:

          -Just I've gone from the hell. I shall go back. Then I'll return again and kill you all! I shall kill you all! (Je viens d'arriver from l'enfer. Je vais retourner-là. Puis je reviendrai de nouveau et tuerai vous tous. Je tuerai vous tous!) - Et il rit, en imitant Fantômas.

          Les pierres ont été lancés de tous les côtés et le persécuteur sur le poteau essayait d'attraper ses pieds. Soudain devant eux, Albert sauta à bas et téléporta en pleine chute à Kalistovo, sans "émerger" en haute, mais près de la terre, comme d'habitude. Néanmoins, pendant une partie de seconde avant sa disparition à New York, une petite pierre le frappa sous l'œil gauche, et il agrippa l'œil déjà à Kalistovo, se rendit compte qu'il viendra chez soi avec le bleu, mais il éclata de rire malgré tout. Après avoir calmé un peu, pour de ne pas choquer les voisins avec son air joyeux et fou (il ne s'en trompait), Albert téléporta à un terrain vague à la proximité de son logement et regarda autour de lui à s'assurer que personne n'a vu son "émergence de rien". En entrant chez soi, il mit immédiatement les bras autour sa femme, s'en l'embrassant sur la bouche.

          -Qu'est-ce qui t'est arrivé? Les yeux brillent, je vois un bleu sous l'œil. Avec qui as-tu battu? Laisse-moi aller. Es-tu soûl ou défoncé?

          -Pourtant, mon amour, tu sais que je ne bois que le thé.

          Cela passait dans la cuisine. Albert continuait à étreindre l'épouse par une main et l'autre main s'est étirée à l'interrupteur et a éteint la lumière. Ainsi, elle s'est donnée à lui, en étant debout. Puis ils vinrent au lit, où il l'a possédée en deuxième fois. Après cela ils se sont allés à souper. Elle remarqua, quelle faim avait-il. Après avoir soupé, il s'endormit immédiatement.

          -Tu as parlé en anglais dans ton rêve, - Nadia remarqua le matin, en souriant. - Même, je me suis souvenu de plusieurs mots: "Fuck you! I'll kill you all!"

          -Je suis fatigué et je ne vais nulle part aujourd'hui, - dit Albert.

          -Il est grand temps pour se calmer. Tu es en train de jouer comme un garçon. Qui t'a frappé dans l'œil hier? Est-ce probable qu'ils t'attaqueraient en deuxième fois?

          -Non. C'est exclu. Ils habitent très loin.

          -Toujours en voyage. Tu es de plus de trente ans.

          -J'ai déjà dit que je ne vis pas selon un horaire.

          Albert se rendait compte que c'est difficile à persuader l'épouse de refuser les opinions conventionnelles. Ça veut dire qu'il serait plus difficile à l'accoutumer à l'amour libre sans jalousie. Que ce soit un secret, mais il faut essayer une des amies d'elle. Albert décida de commencer avec rousse Lena. Après ils ont pris le petit déjeuner, une pluie battante commença. Albert prit un journal, mais au lieu de le lire, il construisait un plan d'action.

          Lena habitait au quartier Kuntsevo à Moscou qui se trouvait plus loin que les habitations des autres amies. Albert se souvint le faible d'elle pour un feuilleton mexicain. Malgré son travail à la cantine, elle n'a toujours pas pris de poids, mais restait svelte, comme ses amies. Elle gagnait peu d'argent, mais le travail n'était pas lourd et le petit salaire était compensé par des repas gratuits. Quant à sa connexion avec les hommes, elle n'a pas toujours dit même à Nadezhda et si elle le disait, alors à contrecœur. Il paraît qu'elle fût timide de la moindre manifestation de sa sexualité. Et en même temps, en étant en colère contre quelqu'un ou contre quelque chose, au moins dans le cercle des amies était elle capable de dire une grande quantité de malédictions sexuelles contre les circonstances ou contre leurs coupables. C'est probable que cette mauvaise habitude mit dans la subconscience d'elle le blâme du sexe malgré la nature qui l'exigeait. Ainsi, ce conflit intérieur corrodait sa personnalité. Elle le savait et essayait de se manifester de moins degré. Certains le considéraient comme une aura de mystère qui est attractif, les autres le considéraient repoussant et elle paraît à eux comme vide et ennuyeuse. Il y a des clés qui conviennent et qui ne conviennent pas à l'égard de chaque verrou.

          Ce n'est pas important que quelqu'un dirait, Albert avait une expérience particulière dans les relations avec les femmes et il avait confiance en cette expérience. Gentiment, c'est-à-dire, sans résistance feinte il ne réussissait qu'à persuader très peu des femmes, seulement les plus faciles. La fermeté, l'insistance, même une petite agression, tout ça bien augmentait la probabilité de recevoir ce qu'il voulait. Et les plus réussis résultats étaient reçus à cause du comportement qui quoique ne franchît pas la frontière de la légalité mais qui est situé proche de cette frontière, au-delà de laquelle pourrait être considéré le comportement comme un crime. Albert ne viola jamais cette frontière, mais même dans la loi ne pouvait-on manifester toujours l'insistance. Cette qualité que les femmes aiment, avait un revers qui donnait ou facilitait la possibilité de calomnier un candidat à l'amant qui est obstiné et insistant. Ce pays distinguait juste par un désir répandu de ses citoyens de faire de la méchanceté à son voisin, même sans aucun avantage pour soi-même.

          Il a immédiatement refusé d'une apparition soudaine dans les appartements d'autres personnes. En tout cas, soit il se sortirait des toilettes ou soudain ramperait-il hors de sous le lit, la maitresse de l'appartement peut devenir effrayée presque à mort. C'est dangereux même pour une personne à qui le cœur est en bonne santé. Et pourquoi faire comme ça? Lena le bien connaît et s'il sonne à la porte, elle l'ouvrira immédiatement après avoir regardé à travers le judas. Il y avait plusieurs ans il a lu dans un revu "Science et religion" sur un expérimentateur qui se couchait dans le bain après avoir éteint la lumière et pris soin du silence autour de lui, et la température de l'eau avait été réglée à + 34 °C. Comme si cela développerait la perception mystique, des super-capacités. Albert l'avait essayé. Il n'y avait rien de supernaturel, mais quelque chose pouvait-on observer. S'il dort, les rêves devenaient plus clairs et plus cohérents que d'habitude. La chose principale, cela donnait le repos et la facilité de recueillir des pensées. Quoique l'épouse ne le fît pas, néanmoins, elle n'était jamais opposée à l'expérience qui ne faisait un tort ni à personne, ni à quelque chose. S'il se va à la salle de bain pour deux heures aujourd'hui et dit ne pas le troubler, elle ne serait pas surprise.

          Et il fit ainsi une heure avant du feuilleton préférable de Lena. Après s'être allongé au bain pendant dix minutes, il s'est habillé, s'est essuyé un peu, a trouvé un fond de teint dans la ténèbre pour cacher le bleu sous l'œil et a téléporté aux toilettes de son appartement qui se trouvait à au moins trente kilomètres. Il n'y avait pas de lumière ni dans les toilettes ni dans l'appartement. Il a décidé d'attendre, s'est sorti de l'appartement obscur, en fermant la porte sans bruit et a descendu les escaliers jusqu'à l'entrée. Soudain s'est ouverte la porte de l'entrée, est celle-ci, à laquelle il s'est venu pour la chasser, elle s'est avérée tête à tête avec lui.

          -Pourquoi es-tu seul, sans Nadia? Est-ce que quelque chose est arrivé chez vous?

          -Rien de spécial n'est arrivé, mais nous avons quelque chose à parler.

          Lena a monte les escaliers sans rien suspecter et a ouvert la porte avec une clé. Albert la suivit et ferma la porte. Lena alluma la lumière et regarda d'un air interrogateur au visiteur. Il était en pyjama de chez soi, avec une tête mouillée et légèrement lissée, mais pas peignée, et ne lui ressemblait donc pas un peu.

          -Le fait principal est que je ne suis pas Albert, - il a dit avec la voix un peu changée.

          -Assez jouer le fou. Pourtant, où est Nadia? questionna-t-elle avec son intonation habituelle pour les cas pareils, mais en fait commença-t-elle à sentir que quelque chose ne va pas. Et si ce n'est vraiment pas Albert? Mais il ressemble trop à lui.

          -Albert est chez soi avec sa femme. Je ne suis que son double et il paraît, il ne sait rien de lui-même. Laisse-les!

          Lena regarda à lui dans les yeux. Elle a vu qu'il la regarde comme un chat regarde de la viande. Elle sentit un peu de peur et un peu de honte. Elle rougit. Puis elle pâlit. La scène muette ne continuait pas longtemps, néanmoins, accablait elle beaucoup.

          -Pourtant, de quoi as-tu besoin? - On pouvait entendre un frisson perfide dans la voix.

          -De toi! - En ce disant, Albert se précipita à elle et la serra fort dans ses bras. Soudain, elle essaya de se cramponner lui à la main avec ses ongles peints et longs. Il ne fallait pas laisser le faire à tout prix. Les coups de griffes sur les mains prouveraient que c'était lui-même et il n'était aucun son sosie. Il n'y avait qu'une seule issue. Soudain, il la saisit son poignet gauche par deux mains, tordit la main d'elle et la ramena derrière son dos. Lena hurla.

          -Comporte-toi bien, ma beauté, puis je serai gentil avec toi et je t'aimerai. Et n'ose pas rayure, sinon je ramènerai ta main jusqu'à la nuque. 

          En étant déjà excité, se pressa fort contre elle par-derrière. Soudain, elle a crié de toutes ses forces:

          -Aider! Au feu! Nous sommes en feu!

          Il ne croyait pas que celle-ci qui a l'air d'une fille silencieuse, est capable de crier si fortement. On pouvait entendre comme s'ouvraient les portes des autres appartements. Des pas ont été entendus, la cloche a sonné.

          -As-tu réussi? Ils vont te saisir comme un garçon. Ce le voisin qui travaille dans la milice et son frère avec lui. Ils ont des grands poings. Ils te casseront la gueule et ajouteront déjà dans la milice.

          -Quelle racaille es-tu! - Albert chuchota.

          -Et tu, chien, croyais qu'on te laisse tripoter et insulter tout le monde?

          -Cherche un impuissant, il ne t'insultera jamais.

          -Mais maintenant c'est ils qui vont t'insulter.

          Avec ces mots, en voyant qu'Albert n'est plus en train de la tient plus, elle alla pour ouvrir la porte. Albert se lança sans bruit aux toilettes. La porte d'appartement s'ouvrit.

          -Lâche sournois! Il a tordu mes mains et il est en train de se cacher de vous maintenant aux toilettes.

          Deux hommes forts se tenaient dehors en fait.

          -Pas lâche mais un con, - un d'eux dit en colère. Et les deux se sont dirigés de la manière décisive aux toilettes.

          Tandis qu'ils allaient jusqu'aux toilettes, ils avaient assez du temps pour avoir peur. Le même mot "con" les a fait penser que c'est un danger. Sur quoi a compté le malfaiteur, s'il n'est pas un con? Il n'est pas les années 70 maintenant, mais c'est l'an quatre-vingt-dix troisième et il y a beaucoup de types avec pistolet dans la poche. Néanmoins, ils avaient honte à montrer sa peur devant la jolie maitresse de l'appartement. Un d'eux a ouvert brusquement la porte des toilettes et les deux ont reculé, puis ils ont regardé là-bas encore, puis à la maitresse de l'appartement. 

          -Mais il n'y a personne.

          -Néanmoins, il vient d'être ici. Il m'a harcelé, tordu ma main, presque la cassée, et j'ai vu clairement qu'il s'est allé aux toilettes.

          Deux voisins ont examiné soigneusement tout un appartement. Les fenêtres furent fermées, personne ne se cachait ni sous le lit, ni dans le placard.

          -Nous allons-nous, Victor, - un d'eux prononça avec amertume à la voix blessée.

          -Je voudrais vous conseiller de prendre quelque chose de somnifère ou de nerfs apaisant, - dit l'autre, s'en tournant à la maitresse de l'appartement. - Vous dérangez les gens en vain.

          Les deux se sont sortis. Lena a allumé la télé, et les problèmes des protagonistes sur l'écran l'ont distrait complètement de l'occasion. Elle se sentit très embarrassée à cause du cas et elle a décidé de ne dire rien aux amies, encore moins à l'Albert.

          Quant à l'Albert, il était en train de s'allonger dans le bain maintenant, en réfléchissant ce qu'est arrivé. L'échec l'a chagriné et irrité. Ce n'était que mauvaise humeur qui empêchait à lui de téléporter chez Lena encore et de tenter sa chance en deuxième fois. Et quand il s'est essuyé et sorti de la salle de bain, a ouvert le livre nécessaire après, il n'y avait ni dollars, ni notice. Le dernier bilet à cent dollars notifiant d'existence de lui, il a été il y avait trois semaines. Cela l'a fait conclure que le vieillard Paul a péri dans circonstances inconnues à lui.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/12/the-teleportation-part-1-chapter-16.html

Le texte original en russe:  https://proza.ru/2010/01/26/738

Saturday, March 6, 2021

Chapitre XV. Séparation. La téléportation. Partie I.

           Le commencement du juillet. La journée s'est avérée nuageuse, sans pluie - c'était la météo préférée de vieillard Paul. C'était naturel qu'il fût dans une excellente humeur aujourd'hui. Toutes les ténèbres avec lesquelles devait-il connecter récemment, devenaient involontairement oubliées. La bonne humeur comme si soulignait les évènements heureux passés et récents à travers lesquels était passé son chemin de la vie inhabituellement long et inhabituellement vallonné.

          Il avait appris sur Tolik auparavant encore et avant du commencement de collecter d'informations sur Colonel et son gang savait-il déjà que cet homme ne mérite pas d'être aidé. Néanmoins, cette circonstance n'annule pas la lutte contre mal, deuxièmement, il voulait faire quelque chose d'agréable aux personnes qui avaient à voir avec son successeur Albert.

          Le dernier donnait grand espoir et il fut dit à lui aujourd'hui qu'il a réussi le soir hier en première fois: il s'est téléporté chez soi, en étant de son appartement à peu près demi-kilomètre, après quoi devait-il sortir inaperçu, pour que sa femme ne devinerait pas des capacités qu'il possède maintenant. Puis il s'est sorti inaperçu, puis est venu comme d'habitude, en utilisant la clé. Nadezhda n'a remarqué rien.

          Paul l'a rencontré à Kalistovo aujourd'hui, comme d'habitude. Encore auparavant, il l'avait emmené à cet endroit-là, où il s'était reposé, quand il traquait l'appartement de Colonel à Podlipki. Ils avaient accepté aujourd'hui que le vieillard téléporte à cet endroit et l'attendrait pendant une heure. Albert pendant cette heure essayerait de pénétrer ici. L'heure arrivait à sa fin. Ce n'est pas grave, la première crêpe est grumeleuse. Enfin, le temps est écoulé. Le vieillard est revenu immédiatement à l'endroit, où il avait quitté Albert, mais il n'y a eu personne. Puis il a téléporté à l'escalier à Perlovka qu'il bien connaît, monta à quatrième étage et sonna à la porte. Nadezhda ouvrit, Albert anxieux était debout derrière elle, il vit Paul et réjouit tout de suite.

          -Bonjour.

          -Bonjour. Il paraît que vous, amis, ayez perdu l'un l'autre.

          -Oui. Nous avons accepté de se rencontrer et je suis arrivé trop tard, il y avait des affaires, - le vieillard mentit.

          -Mieux prenons-nous du thé ensemble?

          Le vieillard fut d'accord et ils bientôt conversaient à la cuisine, en buvant du thé fort. Quand Nadia est sortie à la chambre, le vieillard remarqua:

          -C'est comme si tu te transformes à la condition nécessaire, tout est correct avec cela, mais tu ne te souviens pas bien des endroits. C'est naturel que tu ne te sois souvenu que de ton appartement. Mais quoi s'il y avait un piège chez toi? Comme peux-tu voir, il faut travailler avec la mémoire visuelle. No pense pas qu'il faut se souvenir tout absolument, je ne pourrais pas non plus faire cela. Simplement, essaye d'être sans grossières erreurs. Un exemple. Supposons que tu aies besoin d'apparaître sur une plate-forme à la région de Moscou où les trains locaux circulent. Il n'y a l'aucun besoin de mémoriser la quantité des tiges métalliques dans la clôture de la plate-forme, leur diamètre et longueur avec une précision de millimètre, il ne le faut point. Néanmoins, si la clôture est composée des tiges métalliques qui sont peintes en jaune, mais tu te l'imagines en béton et blanche tu n'y arriveras pas. La chose principale, si tu as réussi une fois, ça veut dire, tu peux maintenant l'apprendre jusqu'à bout tout seul, parce que tu as compris l'idée principale. Et j'ai une conversation que nous ne pouvons continuer que dehors, mais maintenant ai-je remarqué chez toi un livre intéressant, c'est "Tantra, le livre des secrets". Je sais que dans se livre sont écrits des lectures qui étaient déclarées par grand prédicateur de notre siècle agité, d'Osho Rajneesh. Apporte s'il te plaît, le volume troisième à moi.

          Albert alla à la chambre vers l'étagère. Les trois volumes du "Tantra" étaient cachés au milieu de la multitude des autres livres avec des titres qui diraient à un homme ordinaire, mais quant à curieux Albert, le contenu des étagères le pourrait attacher à eux pour tous d'un an au moins. Albert sortit de la manière habituelle le troisième volume et revint à la cuisine.

          -La troisième puissance de sept, combien est-elle?

          -343 et quoi?

          -Ouvre le livre sur la page 343.

          Albert ouvrit le livre dans une couverture brune sur la page demandée et le remise à Paul.

          -Non. Pas à moi. Tu toi-même souviens-toi, - puis il tendit ses oreilles, regarda autour et chuchota dans l'oreille d'Albert:

          -Cette page sera notre cache. Par exemple, je monte ici, - le vieillard pointa au côté de la chambre, - je sais quand elle n'est pas chez soi, - en bref, quand est-elle absente, je monterai et mettrai sur cette page quelque chose. Ce peut être l'argent, bien sûr, en dollars, car tu ne pourras gagner d'argent que quand tu apprendras à grimper avec assurance. Ça peut aussi être des notes, s'il faut donner à toi une information urgente. La situation peut changer vite dans le contexte du calme général, et tu peux n'être pas informé encore, c'est pourquoi ne dors pas, vérifie. Ne te vexe pas, si je mis sur la page quelque chose, mais tu ne le prends pas en premier jour, puis je ferai un petit gâchis dans l'appartement, soit renverserai des chaises, soit casserai un petit verre - ce sera un signal d'alarme.

          -Pourquoi toi-même tu ne peux pas apparaître devant nous?

          -Ils peuvent nous suivre, je n'ai pas vérifié encore. Nous avons à converser sur le reste dehors.

          À peu près dans vingt minutes sont sortis les deux de l'entrée d'immeuble. Tandis qu'ils marchaient à pied, la pluie goutta un peu et cessa bientôt. Paul interrompit le silence:

          -D'ailleurs, je sais dans quel champ vas-tu utiliser tes capacités nouvelles, - il a dit avec un sourire sournois.

          -Et dans lequel?

          -Si je suis un sultan, j'aurais trois femmes, - doucement, presque en chuchotant chanta-t-il deux lignes bien connues d'un vieux film de comédie.

          -Bien sûr. Tu es un télépathe. C'est probable que tu me blâmes. Tu crois que je vais à faire des bêtises. Ce probable que tu considères qu'en agissant de la façon comme ça, je créerai un danger; tu sais de quoi je parle. À dire sincèrement, je suis choqué du jour hier, bien sûr, dans le bon sens. Je ne sais pas, comment te remercier! Mais tu vas à demander un sacrifice qui n'a pas de valeur pour toi, mais elle serait une perte assez tangible pour moi. C'est-à-dire, ne pas utiliser ton cadeau à des fins privées. Et je devrai obéir, parce que sinon je ne pourrais pas respecter moi-même après.

          -Mais tu n'as pas deviné! Qui craint les animaux ne va pas en forêt. Ce serait en fait une bêtise pour Jésus-Christ ou pour Bouddha, mais pas pour toi. Ça signifie beaucoup pour toi, car tu es l'un des seuls qui peuvent comprendre qu'est-ce que l'amour. Un de ceux qui peuvent même aimer quatre beautés à la fois. Qui parle, comme s'il faut n'aimer qu'une d'elles? Est l'opinion de la foule une autorité pour toi?

          -Je lui crache dessus, à cette opinion! Ça m'a manqué, à demander permission des gens soviétiques, comment peux-je baiser!

          -Tu as un bon livre, le même qui est avec notre cachette. Si tu le lisais complètement, mais seulement une fois, ce serait comme si tu ne l'aurais pas lu du tout. Ce grand professeur écrivait qu'en faisant l'amour, nous faisons l'amour avec l'Existence. La partenaire sexuelle n'est qu'un intermédiaire. Ce n'est qu'une fenêtre, à travers laquelle regardons-nous au jardin fleuri de l'Univers, le grand jardin fleuri et plein de la vie. Et bien sûr, tu apprendrais ce paysage mieux, si tu regards de plusieurs fenêtres. Et pour elles es-tu la même "fenêtre" qui donne sur l'Univers. La jalousie, la rivalité, l'origine de tout ça n'est que l'égoïsme. Non, au niveau du développement où tu es, l'amour est beaucoup important pour toi, c'est pourquoi n'écoute pas des gens stupides et ne néglige pas l'amour. Je n'ai pas le droit de te l'enlever pour des raisons de la sécurité. Simplement, sois prudent, c'est la seule chose qu'est exigée de toi. Je devais parfois aussi manifester à contrecœur cette capacité. Plusieurs fois disparaissais-je de telle manière de la milice. Mais je vais bien. Quant à moi, je ne suis pas surveillé par KGB. Je l'ai vérifié et revérifiais encore.

          -Franchement, je suis juste heureux. Je ne sais pas juste ce que pourrais-je faire pour toi en réponse. Comme si des ailes que j'avais depuis la naissance, étaient coupées et tu as les me restitué, et un monde merveilleux s'est ouvert devant moi, dont je ne devinais pas encore!

          -Je n'ai rien besoin. Je ne te demanderais que de ne pas quitter ma petite coquine. Mon amie ancienne, avec laquelle nous vivions ensemble et comprenions l'un l'autre, elle est mort de vieillesse dans la huitième décennie. Mais cette fille est jeune, elle est une adolescente encore. Je l'aime aussi. Je sais qu'elle peut périr dans ce monde méchant sans moi. J'ai juré que je ferai tout pour qu'elle se trouve à l'étranger, dès que possible, il serait mieux en USA. Nous apprenons l'Anglais ensemble maintenant. Si quelque chose m'arrive, sauve elle. Je ne te demande rien de plus.

          -Comment peux-je la trouver? Tu n'as pas me donné l'adresse à Krasnoïarsk. 

          -S'il le faut, elle-même te trouvera. Sois prêt qu'elle est étrange un peu. Réalise toutes les fantaisies d'elle qui ne te valent rien à réaliser. Elle ne te demandera jamais de faire ce qui est difficile pour toi. Il n'y a qu'une seule difficulté, il faut faire tout, pour qu'elle parti pour l'Amérique pour toujours et s'y installe, s'il est possible, puis mieux légalement.

          -Je ferai tout que je peux. Et j'augmenterai mes possibilités, y compris, pour devenir utile à toi, ça veut dire à elle aussi. Comment s'appelle-t-elle?

          -Olesya. Et ne sois pas timide. Elle peut devenir la cinquième amante dans ton "harem". Elle ne te refuserait pas.

          -Pourquoi es-tu sûr comme ça? Et quant à toi?

          -Tu es en train d'être surpris, car tu ne sais pas ses inclinations, ses désirs, ses principes. Mais je la sais jusqu'à tel degré, je serais surpris, s'elle te refuse. Il est permis ce qu'elle s'amuse et nous ne le considérons pas comme une trahison. Tandis que je suis vivant, elle ne me quittera pas. Cela n'est pas imposé à elle de l'extérieur. C'est ses propres principes et elle les accomplit avec plaisir. Tu ne croirais pas, mais je suis presque un idéal d'elle, bien sûr s'un idéal est possible dans notre vie réelle. Si je péris, elle ne pourra que s'amuser avec toi, mais rien de plus. Son idéal est un mentor vieil et sage, sévère et bien conservé et qui est capable de bien comprendre n'importe quelle expression inhabitude de la nature humaine personnelle, l'accepter, être en paix avec ça. Ce sonne d'une manière paradoxale, ton désavantage principal pour elle est ta jeunesse. C'est pourquoi t'aimer complètement elle ne pourra avant que tu auras cinquante.

          -Tu parles, comme si tu pars quelque part loin. Tu viens de deviner. Maintenant, je n'apparaîtrai pas si longtemps, si j'apparaîtrai du tout. La probabilité de rester vivant après l'affaire que je vais organiser, est moins que 50%.

          -Comment je l'apprendrai?

          -Si ne sera aucune information de moi plus que deux semaines.

          -Pourquoi as-tu un besoin pareil? Tu as d'argent. Est-ce que tu veux changer le monde? Si vaut-il d'interférer?

          -Tu as raison. Je ne suis pas le Seigneur, pour arranger l'ordre dans tout le monde. Ce serait telle absurdité, comme si ta femme déciderait de faire un nettoyage général non seulement dans le propre appartement, mais dans tous les appartements de votre immeuble à neuf étages. Néanmoins, dans les endroits que j'ai passés, j'ai un désir de nettoyer et orner mon chemin. Je m'occupe de ça depuis le moment, quand la Terre est devenue commensurable avec l'appartement pareil pour moi.

          Ma dernière mission, tu le sais, c'était la liquidation Colonel par les mains des gens de la Tchétchénie. C'était sans danger absolument pour moi, néanmoins, l'opération était assez inhabitude, sais-tu pourquoi? J'ai vu tels salauds, quels je n'avais pas vu depuis très longtemps. Je suis sûr maintenant que Colonel soi-même cherchait sa mort. Même il la voulait inconsciemment. Simplement, j'ai accéléré le processus. J'ai une entreprise plus dangereuse est planifié à l'avance, au cours de laquelle est-il possible que le Seigneur me prenne chez Il, si je n'ai rien de plus à faire dans ce monde. J'ai déjà conféré le don à toi. Tu n'es pas moins intelligent que moi et tu déjà es entraîné mieux à cette escalade que j'étais pendant le même temps après le massacre terrible là-bas dans la baraque du camp, quand j'avais réussi de la manière spontanée, sans savoir l'existence d'une capacité comme ça. Alors, un peu temps encore, et tu pourras grimper de telle façon partout, où tu voudrais. Et Olesya ne sera pas perdue, je te crois. Tu ne le laisseras pas.

          Comment utiliser le don que je t'ai conféré, c'est toi seul qui décides. Et ne laisse pas sonner dans ta conscience les voix des autres, lorsque tu prends une décision.

          Enfin, n'oublie pas ta propre sécurité, vérifie toujours, si quelqu'un te suit. Je te déja l'avais dit et je te rappelle plus encore le fait que ces gens seraient prêts à tout pour qu'ils possèdent ton don. Si tu ne prends pas soin de toi, prends soin de ceux qui sont proches et chers à toi.

          Maintenant, adieu! Prie pour moi. S'il m'arrive quelque chose, surtout ne me déifie. Je ne fais que viser la perfection, mais je suis un pécheur comme les autres. Peut-être, il faudra beaucoup de temps avant que nous verrons l'un l'autre, mais c'est mieux à compter sur pire, pour n'être pas attristé trop après. C'est pourquoi pas au revoir, mais adieu pour toujours!

          -Adieu, Paul! Néanmoins, essaye de retourner.

          -J'essayerai. Adieu, Alik!

          Paul se réfléchit après dire ces mots, comme s'il se distrayait complètement et disparut immédiatement.

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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/21/1277