Monday, July 9, 2012

Chapitre VII. L'enleveur énigmatique.


      Le jour suivant passa comme d'habitude, c'est-à-dire, avec rite matinal, avec études, le thé et les conversations longues près du feu. Le sommeil nocturne n'est pas interrompu aussi. Néanmoins vendredi Inga est fouettée cruellement comme jamais auparavant. De même qu'il y a trois jours, la jeune fille obstinée par la passion à son instituteur sévère, à dessein elle provoqua telle assez dure épreuve pour elle. Voilà comment cela passait:
      Pendant la fessée rituelle de matin Inga sépara les doigts à dessein et se jeta sur le bourreau avec embrassades et déclarations d'amour. Il s'embrassa avec elle mais n'approuva pas les prétentions. Maintenant les trente claques menacèrent au lieu de quinze. Lorsqu'il demanda à cesser de polissonner et de prendre la position exigée, elle n'obéit pas en première fois mais courut de lui à travers la forêt en riant. Il l'a fallu bien courir avant qu'il ait réussi à l'attraper. La fille attrapée le gifla, éclata de rire et tenta de se jeter à courir de nouveau. Alors il la saisit par la main, mit la main jusqu'à la nuque si haut qu'elle fit entendre un piaulement de douleur. Cela la dégrisa pour ainsi dire.
     -Voyez-vous quelle vilaine fillette! Maintenant tu vas ronger le sol! - prononça le tourmenteur sévèrement mais en souriant.
      De douleur au bras la jeune fille devint toute rouge et ne rit plus. Donc, il l'emmena, en l'obligeant à se plier jusqu'à tel point que la tête est située plus bas que les fesses nues, décorées par cicatrices de la fessée récente. En la ramenant vers un arbre tombé près de la tente, il la tira les cheveux, les oreilles, douloureusement mais bien pas de toutes ses forces, en craignant de causer un dommage.
     -Ce n'est qu'un avant-goût mais maintenant...
      Inga rougie était debout devant lui, et les larmes roulaient selon deux joues.
     -Je t'aime malgré tout. Je suis prête à passer les épreuves lesquelles tu m'as préparées. Fouette-moi, sans plaindre!
     -C'est maintenant que tu parles comme ça. Et de quoi chanteras-tu où je te fouetterai?
     -Ne fais pas l'attention pour ça qu'on parle sous torture! Il est mieux d'écouter ce que je parle maintenant et parlerai après. Quand en première fois j'ai reçu un savon de toi, très fortement, j'en ai appelé à de la pitié, à de la compassion, j'étais prête à tout pour toi, pourvu qu'éviter la douleur. Maintenant ne me plains pas! Je veux de ton cruel amour. Je glapirai, je demanderai grâce à toi, mais tu ne me plains pas! Sois un bourreau! Jouis des hurlements et des gêmissements, des larmes! Je crierai, mais tu fouette-moi malgré tout, douloureusement, jusqu'au sang! Je t'aimerai plus en plus.
      La jeune fille se jeta à genoux et se mit à embrasser lui sur les jambes poilues.
     -Lève-toi, Inga, - en première fois il s'adressa à lui par son nom. - Elle remarqua qu'il est touché, même les yeux s'humectèrent un peu. - Mais en effet tu es mon rêve! Ton amour est excellent! Et tu es devenue excellente! Tu n'es morte plus! Tu viens de réveiller! Tu viens de réveiller du sommeil profond, le sommeil mortel dont toutes tes connues dorment à Moscou. Ma jolie amie, jolie amie de forêt, de même jolie comme toute la nature, jolie comme la même vie, comme l'amour! Es-tu prête à l'épreuve? Je satisferai ta demande, ma sœurette d'esprit! Apporte les cordes! Je vais t'attacher à cet arbre. Il indiqua à l'un arbre mot, couché sur le sol. - Je vais te conduire aux hauteurs du paradis à travers les profondeurs de l'enfer! - le bourreau devenu désiré maintenant, il acheva la tirade.
      Inga apporta les cordes et lui tendit.
     -Couche-toi, fillette audacieuse, c'est toi!
      Inga se coucha comme si se jetterait à l'abîme. L'horreur se confondait avec extase à la fois. Avec un sourire polisson elle prononça d'une voix traînante comme si elle chanterait:
     -Oh quel savon va m'arriver!
     -Attends un peu! Il va arriver toute de suite.
      Il la lia longuement et avec zèle. La cravache de fil électrique se mit à siffler brusquement et sans pitié, sans arrêter. La jeune fille déjà gémissait et pleurnichait plaintivement.
     -Voilà quinzaine. Il aurait été la fin, mais maintenant ce n'est que commencement.
      Vers claque cinquante elle cria déjà des lamentations comme alors à l'enfance, sous la corde à sauter de mère. Les hurlements augmentaient toujours. Elle sentit que ses fesses, il ne la fouettait que sur eux, on dirait, s'engourdirent et la douleur n'est plus telle poignante. Sur l'herbe plusieurs petites gouttes du sang scintillaient déjà. En glapissant plaintivement et en sanglotant, Inga sentit une onde agréable et douce se répandait en chair. Le mot "euphorie" aurait été le plus convenable à cet état d'âme. Elle finissait. Puis il y fut la douleur insupportable plus encore. Et encore les hurlements s'augmentant et l'euphorie de nouveau - Inga finissait en deuxième fois. Encore quelques sifflements et claques déchirant la chair.
     -Maintenant, tu es vraiment fouettée comme une chèvre. Es-tu contente?
     -Oui, - Inga tenta de sourire mais toute tressaillait. - Combien tu m'a donné?
     -Cent cinquante, néanmoins ce n'est pas tout.
     -Mais je ne pourrai pas me mouvoir!
     -Qui dit que j'aille te fouetter.
     -Et qu'est que tu vas faire, brûler?
     -Non, grue polissonne. À saler, - il sourit.
      Tout à coup le sens des mots atteignit elle. Inga effraya pas en vain. Son bourreau puisa une poignée du sel et le mouilla un peu avec l'eau de la gourde, puis il y frotta les places fouettées pas fortement mais soigneusement.
     -Aïe! Aïe! Aïe! Aïe! Que fais-tu?! S-s-s, - elle s'efforce de tolérer, rougit, enfin ne put se retenir et sanglota. Il commença à la délier.
     -Peux-je aller à la rivière? - La jeune fille le demanda, tout en larmes.
     -On peut.
      Inga arriva au rivage, longtemps descendait jusqu'à l'eau, y entra, tenta de passer la main à faire tomber le sel et poussa un cri. Elle eut mal à toucher les fesses. Alors elle était debout en eau à peu près cinq minutes. Le courant de rivière à tout probable dut laver le sel. Elle alla en clopinant en arrière, une fois oublia, s'assit sur la souche et toute de suite bondit avec glapissement. Son bourreau frotta avec précaution les cicatrices par l'onguent qu'il sortit de la trousse de médicaments. Cette fois Inga fut fouettée dans les règles classiques, avoir mal à toucher, jusqu'au sang, avec traitement par sel. On ne pouvait regarder aux fesses qu'avec peine: elles furent enflées, les rouge-violet taches un peu saignèrent çà et là.
     -Habille-toi en fuseau sportif, ne mets pas le maillot de bain car il peut s'enfoncer en cicatrices.
     -Est-ce que je suis fouettée dûment aujourd'hui, comme une chèvre? Vraiment?
     -Oui, ma chevrette désobéissante, qui tu es.
     -Est-ce la dernière épreuve?
     -Il reste une encore. D'abord il faut te reposer quelques jours; soit que les traces se guériraient. Ton cul est en relief, attrayant, sans dire. Néanmoins, si on te fessait à l'enfance plus souvent, c'est précisément que tu sois une reine de beauté. mais n'ennuie-toi pas! Je t'aime malgré tout.
     -Quant à me fustiger, est-ce que tu le feras sur les mêmes points sensibles encore?
     -Non. Beaucoup des claques seront régulièrement sur toute la chair, sauf la face et les seines.
     -Tu as raison. Il faut essayer tout. Et si je ferai polissonner avant la guérison?
      En réponse, il la gifla sur les points déjà sensibles.
     -Aïe! - la jeune fille poussa un cri fort et long, elle renversa sa tête en arrière -. M-mm, aïe, comme ça fait mal! S-s-s.
     -Eh bien, est-ce que tu as envie de faire des bêtises?
     -Non, vraiment.
     -Il la claqua par paume avec la même sonore. La fille poussa des cris perçants, s'inclina, s'accroupit, rougit.
     -Et maintenant je vais te claquer une fois par cravache, veux-tu?
     -Non! J'en peur!
     -Tu te conduiras comme un agneau, grue?
     -Comme un agneau, vraiment! Demain, je t'en prie, ne me fustige plus sur les fesses!
     -Si tu te comportes bien, je fouetterai sur les autres places.
      Inga apprit qu'il soit mieux ne pas faire des bêtises, quoique pendant plusieurs jours.
     -Maintenant va te reposer. Nous supprimons les études pour aujourd'hui.
      Cette journée parfois pendant conversation en plaisantant il la claquait par paume sur le cul et chaque fois cela provoquait les cris d'elle, les cris douloureux et protestants. Tout à fait elle ne pouvait pas s'asseoir. Néanmoins ce jour et demain, chaque rappel qu'elle est bien fouettée procurait à l'Inga le sentiment de la félicité. Elle approuva en esprit qu'elle ne peut être dûment heureuse qu'ici avec cet inconnu énigmatique qui réunissait en soi les attributs, il parait, incompatibles: un moujik grossier vêtu presque en natte, un inquisiteur raffiné, un philosophe et un poète à la fois.
      Dans une semaine Inga plus encore provoqua "les tourmentes pour l'amour", après cela toute la chair est fouettée régulièrement, même les bras. Il n'y eut pas d'orgasmes car c'est les points qui ne sont pas touchés autrefois, ils recevaient les coups de cravache, c'est pourquoi il ne s'engourdissait rien, il ne perdait rien la sensibilité à douleur. La douleur était pénétrante, il y avait assez des hurlements, des larmes et des lamentations. Il y avait des claques de même cent cinquante, mais il ne souffrit rien après cela. Quand elle fut déliée, sa passion enflammée du jeu cruel, comme il l'avait nommé: le jeu en "glapissements et sautillements", cette passion atteignit son apogée. Son partenaire du jeu fut excité pas moins. Inga fut sûre qu'il tient son mot.
      En étant déliée, toute de suite elle prit la pose d'une female désirante. Cette fois il n'y eut pas de besoin de le supplier. Il entra en elle harmonieusement et profondément. Inga hurla du plaisir en mesure de ses secousses. Ce lui semblais que la forêt et la terre chancellent-elles de concert avec eux. Tout changea alentour. N'importe quel détail ne signifiant rien, maintenant il recevait une grande signification, la signification du triomphe de la Vie et de l'Amour. N'importe quelle vétille: soit c'est un feuillet pendu d'érable qui se trouva sous les yeux par hasard, quelque bruit de forêt ou même une odeur - dans l'avenir lointain en étant tirée de la réserve de mémoir cette vétille brillerait tout à coup de la lumière éclatant en éclairant et en ornant la gris quotidienneté de la vie courante et alors chaque d'eux sans preuves mais avec assurance et sans aucun doute pourrait-il répondre à n'importe quel pessimiste ou sceptique à question du sens de la vie que sens de la vie est l'Amour. Et au présent chacune telle vétille fut une note concordante avec les autres celles en harmonie de la grande liesse de la Vie et de l'Amour. Tous les deux, en étant abasourdis par finals accords de cette symphonie, pendant quelques minutes ils ne purent pas reprendre ses sens en se figeant dans la même position dans laquelle ils eurent fini.
      Enfin Inga sauta sur ses pieds et tourna la face en lui. Ils s'enfoncèrent en lèvres l'un avec l'autre et ne purent se séparer longtemps. Transportés de passion ils pincèrent l'un l'autre jusqu'aux bleus sur les dos et ne remarquèrent cela.
     -Reposons-nous un peu, puis continuons! - ce fut la jeune fille qui  première proposa cela.
      Il accéda à la proposition, et tous les deux allèrent à la tente, puis ils s'habillèrent un peu et étaient couchés pendant une heure.
     -Eh bien, ma belle; qu'est-ce que nous allons faire avec toi? - il fut le premier qui coupa le silence.
     -Bravo! Tu as rétablies tes forces rapidement comme un à l'âge dix-huit ans! Sais-tu? Je suis telle perverse! Je suis telle chienne! J'ai telles envies honteuses!
     -Est-ce que je ne te disais pas auparavant que les envies sexuelles sont sacrées où elles ne sont pas dangereuses? Je te fouetterais car tu oublies les leçons, mais toute juste je suis trop paresseux pour le faire.
     -Je voudrais que tu me viole la deuxième virginité, - tout bas et avec l'air de conspiratrice la fille prononça et les yeux espiègles lancèrent des éclairs de passion. Il comprit mais à tout hasard il questionna:
     -Qu'est-ce que cela signifie?
     -Que tu es peu sagace! Le matin, où tu me touches avec doigt à la rivière? Voilà, tu as eveillées telles envies en moi. Je sais que ça fait mal mais je n'ai pas besoin de m'habituer, - elle passa au chuchotement et ses yeux s'enflammaient passionnément. - J'ai envie d'être empalée. Tu te couches sur le dos et je m'assiérai sur cette chose du haut à la pose d'écuyère et sauterai.
     -Eh bien, ma belle, aujourd'hui il est ta fête. En passant les souffrances tu as le droit au choix. A vrai dire, j'ai envie de même, - il sortit de la trousse de médicaments le même onguent et sortit de la tente. - Faisons cela ici, sur l'herbe!
     -Faisons! - la jeune fille répondit tout bas, avec passion.
      Il enduisit de l'onguent l'objet qui s'augmenta jusqu'à ses limites de nouveau, et se coucha sur le dos. Inga, toute tremblante, enjamba le partenaire couchant ainsi que les deux pieds se trouvèrent de différents côtés de celui-ci, et tourna vers lui, s'accroupit, prit son outil aux mains et commença à s'asseoir sur lui.
     -Aïe!-  En se mordant la lèvre ou bien de la douleur, ou bien de la passion, elle se mit en mouvement, d'abord lentement et doucement, mais peu à peu plus fort et plus rapide et à la fois elle gémissait au même rythme. Avant qu'il finit, elle réussit à finir plusieurs fois et en dernière celle-ci où ils finirent à la fois, les gémissements rythmiques se transformèrent en cris avec lamentations: "Moi, donc moi, la vilaine grue, déchire-moi!.." En entendant de loin et sans voir cela qui passait, on aurait cru qu'elle soit fouettée de nouveau. Au sommet de la volupté elle hurla et rugit comme un être sauvage. Bientôt ils allèrent vers la rivière à se laver.
     -Maintenant sens-tu qu'il y a trois semaines que tu habitais un monde entièrement autre, mort celui-ci? Que pendant ces semaines tu as fait le grand saut du monde mort et gris en celui-ci vivant et pittoresque?
     -Comme si cela aurait un sens de questionner!
     -Eh bien, alors... N'oublie pas cette journée et ne reviens jamais là-bas. Là-bas il y a une obscurité, un enfer. Là-bas sont la mort, le cancer, alcoolisme.
     -Est-ce que tu as envie que je reste avec toi à la forêt à jamais?
     -Malheureusement, ce n'est pas possible et il s'agit de l'autre chose. C'est simplement: en se trouvant physiquement dans leur monde, reste dans ton propre! En faisant semblant d'être de même comme ils sont, reste soi-même. Même pour un instant n'oublie pas qui tu es. Envers eux tu es comme un agent d'ennemi qui ne doit pas se découvrir mais en aucun cas se ranger de leur côté. Sinon, tu trahirais ton essence et il ne serait mal que pour toi, pas pour moi. Quoique envers moi tu est une esclave, une grue de forêt que je fesse et fesserai chaque jour; mais envers tous eux tu es une princesse, et ils sont des plébéiens, nullités qui ont méconnu les talents donnés leur du ciel. N'oublie jamais ni les connaissances-la, ni le bonheur-là que tu as trouvé ici.
      Et le soleil se déplaça au-delà du ravin et s'inclina au coucher, en jetant des longues ombres. Tous les deux s'embrassaient, parlaient et chantaient des chansons près du feu. La nuit approchait, et bientôt elle se donna à lui encore.

Au chapitre suivant: http://la-flagellation.blogspot.ru/2012/07/chapitre-8-lenleveur-enigmatique.html

7 comments:

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