Tuesday, February 23, 2021

Chapitre XIII. Meurtre de vendetta. La téléportation. Partie I.

           Colonel n'était pas un clairvoyant, ça c'est sûr. S'il attendait un danger, puis du côté complètement différent. Deux ses complices, Malingre et Donut, ils avaient toujours les pistolets avec eux et ils ne séparaient jamais d'eux. Le chien de garde, fort et enseigné, était toujours avec il aussi, quoiqu'il aboyât souvent dernièrement sans raison.

          Personne ne voyait le fait qu'un travail était en train de devenir plus actif et quelque chose était en train de préparer. Certains gens étaient en train d'être trouvés qui ne provoqueraient pas suspicion. L'information donnée par un visiteur étrange qui disparut de la même inattendue manière comme il apparut, était en train de vérifier et revérifier.

          Quant à visiteur, tout le monde appris sur il à une vitesse étonnante, d'abord les relatifs et les miliciens de Tchichki à Itoume-Kalé. Il y avait des rumeurs différentes, mais voilà ce qui était connu avec certitude: les signes du vieillard étrange et qu'il ne faut pas enquêter sur cette affaire à l'aide du Département de l’Intérieur et il ne faut pas laisser aller lui au-delà de la gorge d'Argun, mais en cas de la capture le retourner à l'endroit et on déciderait que faire à l'égard d'il. Il ne faut pas le tuer sans cas de nécessité absolue, car cet homme a aidé à quelqu'un, néanmoins, il est une personne contradictoire. Soit il est un homme de la mafia moscovite, soit il est un fou qui a évadé de Bragouny, soit même un extraterrestre d'une soucoupe volante. Les habitants locaux étaient postés comme observateurs à tous les points où le visiteur pouvait passer. Ils se rendaient compte que les compatriots ont des problèmes et il faut aider à eux. Ils faisaient semblant d'être chasseurs ou des gens qui promenaient juste près de leur village. Il paraît que tous les sentiers fussent bloqués et il ne peut qu'un alpiniste avancé avec l'équipement approprié glisser inaperçu à travers tous les observateurs. Personne n'était attrapé. Non seulement l'homme qu'ils cherchaient, mais personne des Russes n'était remarquée du tout. Khalid et les relatifs de la victime étaient perplexes à cause de l'apparition d'une note encore. La note était faite par l'imprimante et mise sur la table dans la cave solidement verrouillée, où il n'y avait eu personne.

          "Khalid, si tu peux, pardon moi pour le souci. Tu apprendrais bientôt, tout que j'ai écrit est la vérité et je suis votre ami. Je veux juste que la justice soit faite. Si je n'avais que besoin d'éliminer l'ennemi filmé, je pourrais aussi le faire de l'autre façon. Mais alors, vous n'auriez pas su ce qu'a été passé en fait. C'est prudemment à détruire cette note".

          Il y avait une carte faite maison du lieu de sépulture de la jeune fille héroïquement décédée sous la note avec une référence géodésique aux points de jonction les plus proches des voies ferrées et des autoroutes.

          Au demain ont-ils apparu les espions ressemblant aux Slaves et ne provoquant pas des suspicions. C'était en général des femmes, y compris, même des garçons. Ils ne parlaient pas beaucoup pour cacher leur accent. Le groupe des exécuteurs - on les nommerait à l'Ouest comme ça - était composé de trois hommes d'âge moyen, habillés de la façon identique, de costumes et de chapeaux gris, avec les moustaches et petits barbes. Ses chapeaux cachaient le fait que tous trois avaient la tête rasée à avoir digne des musulmans dévoués qui considèrent que c'est indécent à montrer les cheveux nus sur la tête. En époque de Brejnev ils seraient détenus et fouillés, mais pas maintenant. Dans le contexte des groupes extravagants de la jeunesse, par exemple les hippies, les punks et les autres, ces hommes avoient l'air non trop étrange. Aux États-Unis seraient-ils considérés comme si des trois frères qui sont arrivée de l'Amérique Latine à faire leurs affaires.

          Un jour qui ne distinguait des autres jours, Malingre est venu chez Colonel. Il y avait quelque chose qui n'allait pas. Seulement dans quelques minutes s'est rendu compte le maître que le chien n'eut aboyé et ni eut couru à la porte, comme il faisait d'habitude. Ils tous deux l'ont trouvé sous le lit dans un état de sommeil profond. Dans la tentative de réveiller lui, le chien ouvrait les yeux, bâillait et immédiatement les fermait de nouveau. Avec les deux complices, Donut allait venir bientôt par sa voiture étrangère, Colonel se sentait en sécurité de la même manière, comme Balda n'avait pas peur de la perte de l'argent déjà depuis longtemps.

          -Appelle un vétérinaire, - ordonna-t-il à Malingre, et Malingre a commencé à appeler, en utilisant son téléphone portable.

          Puis les tous deux discutaient d'un plan d'aujourd'hui. La sonnette à la mode a pépié dans vingt minutes. Colonel alla à ouvrir la porte il même, en frimant son invulnérabilité. Ce serait très vite pour vétérinaire, la plus probable est-ce Donut. Quant au chien, c'est assez passible que quelqu'un des voisins ait joué une blague cruelle. Il a ouvert la porte sans questionner, sans regarder au judas. Donut était debout à l'entrée dans des lunettes noires, comme toujours, mais Colonel qui avait travaillé comme un juge d'instruction dans le passé, il a compris immédiatement que le complice a de gros ennuis. Puis qui est-il qui avait osé déranger la paix du groupe omnipotent et invulnérable? Même les autorités célèbres du monde criminel, bien sûr, ils ne s'inclineraient pas devant lui, mais préféreraient passer poliment devant il sous silence, sans attention grande, et il agirait de la même façon à l'égard d'ils.

          -Qu'est-ce qui ne va pas? Est-ce que tu es drogué? Depuis quand... Il n'a pas fini de dire, quand quelque chose a claqué et la douleur insupportable en genou l'a fait oublier tout. Presque à la fois a retenti le couinement de Donut poignardé par trois couteaux longs.

          Après il vient de ressentir quelque chose de mal, Malingre a saisi son pistolet TT et s'est précipité vers la porte. Il n'est sorti encore de l'appartement, mais tout à coup a étendu sur le sol à cause d'un pied mis habilement. Colonel hurlait et se roulait par terre, en attrapant le genou. Donut était assis dans la flaque de sang, tout pâle, mais vivant encore.

          -Quant à toi, nous n'allons pas toucher toi. Après tout, tu avais dit que ce soit mieux ne pas la tuer, n'est ce pas?

          Malingre leva les yeux. La fille jeune mais déjà formée, habillée en uniforme scolaire et au foulard, elle était en train de regarder directement à lui de la photo noir et blanc. Trois hommes ressemblant l'un l'autre avec petits barbes étaient debout au-dessus de lui armés par pistolets. Un d'eux était en train de tenir la photo directement devant ses yeux. Soudain, il s'est rendu compte tous l'horreur de la situation.

          -Ce n'était pas moi - aaa! - Malingre a hurlé sauvagement. Il sursauta et se précipita n'importe où, plus loin des inconnus terribles, d'abord à la chambre, puis sur le rebord de fenêtre, et avec le bruit de verre cassé a-t-il sauté de la fenêtre, en étant encore en train de crier jusqu'à la rencontre avec asphalte. Colonel habitait le septième étage.

          -Tu, chacal, vas mourir pour notre sœur! - un vengeur prononça tranquillement mais vicieusement, en tournant la photo à Donut qui était assis près du mur.

          Une main forte l'a tailladé sur la gorge par lame de couteau qui était aiguë comme un rasoir. Cela donnait une garantie de mort dans plusieurs minutes. 

          Puis tous trois se tournèrent à Colonel qui était en train de se tordre sur le sol. -

          -Regarde ici, salaud!

          La jeune fille tuée par il regardait maintenant à il de la photo. Il a compris tout et dit, en surmontant la douleur au genou: 

          -Mon désir dernier devant la mort: dites, comment m'avez-vous trouvé? La cassette est ici, personne ne la prenait, il y a des alarmes de porte et de fenêtre.

          -Où est la cassette?

          -Voilà, elle est dans le placard. Il y a un peignoir gris, la cassette est dans la poche du haut.

          -Soi prudemment, une bombe peut être là-bas! - un d'eux a crié en russe et ajouté soudain:

          -Il faut plus vite, je vais moi-même...

          Il se précipita au placard et trouva la cassette vite. Aucune explosion ne suivit. 

          -Nous la prenons avec nous.

          -Néanmoins, dites, s'il vous plaît, comment avez-vous renseigné cela?

          -Un vieillard étrange a apporté la cassette à nous dans l'Itchkérie, c'est probable que c'est une copie. Et il a donné une lettre à nous, de quelle manière peut-on te trouver avec tes chacals. Après ça, il a disparu de la chambre verrouillée. Tu sais mieux, à qui encore as-tu chié jusqu'à tel degré qu'ils voulaient te tuer par nos mains. Peut-être, t'étais-tu querellé avec les soucoupes volantes, car ton ennemi disparaît de la chambre verrouillée sans enfoncer la porte?

          La peur mystique saisit le condamné à mort. Ce qu'aucune pitié ne serait pas à l'égard d'il, il ne doutait pas. Il y a beaucoup de temps depuis, il avait lu Shakespeare avec passion. Dans la société pleine de la cochonnerie et absence de spiritualité avait-il oublié ça complètement. Et on ne sait pas, de lesquels coins perdus de sa conscience troublée viennent d'émerger les lignes: 

                   "Si la terreur de quelque chose après la mort,

                    Contrée inexplorée dont, la borne franchie,

                    Nul voyageur ne revient, ne déroutait la volonté,... "


          Soudain vient-il de prendre conscience le point principal. La vie pouvait être si belle sans ce désir de pouvoir, sans ces gueules stupides et détestées, soit au travaille Département de l’Intérieur à Saransk, soit au gang près de Moscou, soit dans les offices des puissants de ce monde! Il s'est souvenu qu'il sentait et connaissait cette beauté de la vie. Mais il étouffait tous les sentiments beaux à chaque instant de leur apparition dès la jeunesse. Il refoulait toutes les joyeuses expressions de son âme, même il se moquait d'elles mentalement. Il vient de se souvenir: il y avait des moments, d'habitude en été ou au printemps, lorsque la vie de la nature montrait soi-même surtout expressivement, et il avait un désir de remercier quelqu'un, il ne savait pas qui fallait-il remercier pour cette joie procurée, la raison de laquelle n'était pas connue à lui. Et il s'imaginait immédiatement, comme les camarades d'école se moqueraient de lui et de son élan des sentiments, et il avait décidé qu'il faut devenir un "gars normal", comme tout le monde. Non, il faut bannir cette faiblesse (comme il paraît à lui) à une mauvaise mère, bannir à bas cette folie exaltée! Donc il la bannissait et il avait réussi cela. Rien de saint ne resta plus pour il. La seule chose qu'il se permettait de respecter, c'étaient lois non écrites du gang, les "comme il faut" orales de tous les niveaux du peuple stupid, avec lesquels faut-il traiter. Il croyait comme s'il dominait ces bastards, mais comme il vient de se rendre compte maintenant, c'était ils qui programmaient toujours tous son comportement, ce qui devrait-il être et comment devrait-il vivre, de quoi et comment penser, qu'il faut faire et qu'il faut ne pas faire, qui est normal et qui n'est pas normal. Tout le monde était coupable: les parents, les professeurs, les camarades d'école, les collègues, les gens du gang. Il fallait être une autorité et il s'est devenu une autorité, Il fallait être une brute et il s'est devenu une brute, Il fallait être un cool et il s'est devenu un cool. La société tirait ses ficelles toujours et il obéissait, il obéissait avec mention. Et maintenant est-il fort, cool et avec connexions, mais ceux-là qui sont venus à le tuer, ils ne donnent aucune importance à son pouvoir, à ses forces et connexions. Néanmoins tout pouvait passer de l'autre façon. S'il préférait ne pas bannir, mais développer ces sentiments de joie qui le visitaient, tout fût allé de l'heureuse manière. Rien de terrible ne serait arrivé alors. Après tout, il pouvait faire les siennes en silence, sans discuter et sans querelles? Ainsi même s'il devait mourir aujourd'hui, la courte vie serait vécue heureusement. Mais tout était au contraire. Il était très misérable en fait et c'était son propre choix. Il soi-même est ordonné comme ça. Il ne voulait pas, quand il fallait, écouter sa voix intérieure, utiliser sa propre tête, et en voici le résultat! Non. Ce n'est pas la mort qui est si mal, mais la vie misérable et sans sens!

          Il s'est souvenu de Raskolnikov, le protagoniste du roman d'après Dostioevsky. Non. Il n'avait pas besoin maintenant du meurtre de vieille usurière à éclaircir s'il est Napoléon ou un pou. Il avait été libre à choisir comment être, complètement libre, et il a choisi: devenir un pou grand, dégoûtant et malodorant. Toute sa vie est une faute. Tragique faute!

          La crainte s'est allé et il était même joyeusement, car tout ça était en train de finir et car il est en train de payer ses dettes complètement. Après être violé par l'éducation athée, il ne comprenait pas maintenant qu'il est en train de passer à travers LE VÉRITABLE REPENTIR. 

          Dans les premières secondes n'a-t-il senti pas comme on eut poignardé le couteau aiguisé dans l'abdomen. Néanmoins, le vengeur après avoir poignardé le couteau, il a commencé à le tourner dans le sens antihoraire. La douleur insupportable a fait lui déjà à la deuxième fois oublier tout, et quand cette terrible douleur a pris sa retraite et tout est devenu facile et très facile, la dernière chose de laquelle il a réussi à réfléchir dans ce monde, c'était la libération de la terrible dette, et il ne savait pas d'où est venue certitude à l'il a reçu une leçon précieuse et qu'il a appris quelque chose de très importante. Un jour il reviendra sur la Terre avec cette connaissance nouvelle, avec les yeux ouverts à tout, mais il est temps maintenant d'aller chez Professeur qui a donné cette leçon.

          Les vengeurs ont achevé leur travail, en exécutant la partie détestable et lourde: ils ont coupé la tête de l'ennemi tué et l'ont mis à l'évier dans la cuisine. Ils étaient dégoûtés jusqu'à la nausée, mais des principes inconnus l'exigeaient. Ils n'ont pas remarqué comme dans la porte qui était imprudemment laissée ouverte, le vétérinaire vient d'entrer qui était appelé chez le chien, et il est en train de les observer avec horreur. Ils n'ont pas remarqué aussi, comme il vient de sortir, en tremblant à la cause de la crainte. Mais quand est-il descendu et sorti et s'est dirigé au téléphone, une femme qui allait devant il comme si accidentellement, soudain a-t-elle fixé à lui. "C'est probable que j'ai l'air étrange après ce que j'ai vu", le vétérinaire a pensé. Maintenant, la passante s'est arrêtée et était en train de le fixer, sans cacher ça du tout. Quelque chose d'attractive était en elle, quelque chose d'inconnue qui n'est pas local. Il est devenu embarrassé, sans savoir que dire et soudain le jet du poivron rouge a frappé les yeux.

          -Pendant un heur ne peux-tu pas appeler nulle part ni parler à personne de rien, sinon tu seras mort. Il est exécuté le châtiment juste et tu ne dois pas interférer, - la voix de l'inconnue rusée avec accent qui n'est pas d'ici a expliqué à lui.

          Pendant ce temps, les trois vengeurs se trouvaient encore dans l'appartement. Ils ont examiné toutes les chambres. Il y a eu un grand silence, dans le contexte de lequel pouvait-on entendre un ronflement de quelqu'un.

          Souleymanov, le frère de la fille tuée, entra dans la chambre où on peut entendre la respiration, et regarda sous le lit. Le rottweiler était en train de dormir, sans réveiller. D'abord par la main sanglante toucha-t-il la patte de chien, puis caressa la tête, en disant en russe approximatif avec l'accent:

          -Pauvre bon chien, il a pris de sodium barbiturique et dort. Il se réveillera et hurlera, car il n'y a pas le maître. Les chiens servent aux gens et ne peuvent comprendre que le maître peut s'avérer un salaud. Il ne sentait pas avoir assez des putains moscovites et déshonora et tua ma sœur, - après le dire, Souleymanov horrifié sentit que les larmes vont à monter aux yeux. Après tout, le montagnard courageux ne doit pas pleurer. Il a pris une profonde inspiration et étouffa ce désir. Deux autres vengeurs exigeaient en tchétchène, durement et de la manière imposante, mais sans insult, à être prêt à partir plus vite, sinon non seulement il même, mais tous le groupe peut s'avérer exposé.

          Tous leurs costumes étaient tachés du sang, néanmoins c'était prévu auparavant. Ils sortent un grand sac plastique d'une valise apportée du palier et les costumes neufs, cette fois les costumes de sport. Il n'y a eu pas encore cinq minutes, ils ont se sont changés pour les vêtements neufs et ont lavé toutes les armes blanches et les costumes sanglants étaient mis dans le même sac et couverts par un journal lu. En fait fallait-il se dépêcher. Heureusement pour eux, fenêtre de laquelle Malingre s'est sauté ne donnait pas au sud à la cour, où il y a des entrées dans l'immeuble, mais au nord, comme nous déjà savons, où la cour était séparée par une clôture, et les clochards visitaient souvent cet endroit à pisser. Après s'être écrasé gravement de la chute du septième étage, Malingre est mort dans l'hôpital dans plusieurs heures, sans reprendre conscience.

          Trois vengeurs ont claqué la porte et ont descendu les escaliers, en courant. La dette était remplie, justice a été rendue. Néanmoins, Suleimanov commençait à se sentir déçu. Ils se sont avérés capables de tuer les ennemis forts et vils. Mais ils ne pourront jamais faire ça qu'il puisse voir sa sœur cadette de nouveau dans cette vie, pour il parlerait avec elle, jouerait avec elle. C'est impossible pour n'importe quel argent. Aucune force ni aucune arme n'aiderait à faire comme ça. Mais il croyait qu'elle est vivante. Simplement, elle est parti au pays très éloigné et elle attendra là-bas lui et les parents, et les autres frères et sœur. Et s'il ne provoque la colère d'Allah, un jour, il soi-même partira dans ce pays et là verra tous les gens qu'il a perdus dans ce monde.

          Beaucoup de voisins se rendaient compte qu'il a passé quelque chose de terrible. Tout le monde savait que dans cet appartement rassemblent les mafieux, mais jusqu'à aujourd'hui il était tranquillement. Et voilà enfin, c'en est fini mal. Les certains des voisins ont regardé à travers le judas après entendre la course dans les escaliers. Trois hommes avec petits barbes et vêtus identiquement ont été entrevu vite, soit Caucasiens, soit Ukrainiens. Équipe d'enquête n'a pas réussi à créer un portrait-robot. Les vengeurs sont montés sans obstacles dans un taxi qui les attendait près de l'entrée. Une femme était assis sur le siège arrière, c'était comme si une passagère passante. Ils n'avaient rien contre le fait que le chauffeur l'avait laissé entrer quand elle debout faisait du stop sur l'autoroute d'Iaroslavl, et elle aussi n'avaient rien contre le fait que ces trois passants d'affaires iraient chez leurs pendant vingt minutes à changer le vêtement.

          Le chauffeur ne savait pas que cette "provinciale" a un pistolet Walther dans sa poche, plusieurs pulvérisations de gaz et téléphone mobile. Il ne devinait pas aussi que tous les quatre sont une seule équipe. Tous ils conduisaient la voiture en silence. Les trois, soit des amis soit des frères, ils voulaient arriver à Bolchevo, la femme allait le long du même chemin mais un peu plus loin: à Voronok. Quand les trois hommes sont descendus et le chauffeur a roulé demi-kilomètre encore, elle a sorti le téléphone du sac à main et composé un numéro nécessaire et a prononcé:

          -Quel bon temps fait-il aujourd'hui! - c'était un sign.

          -Oui, c'est temps le plus convenable à aller à la plage, mais on doit travailler, - répondit le chauffeur du taxi qui ne soupçonna rien.

          Ainsi, il n'a appris rien. La passagère est descendu à Voronok, en payant d'argent, comme convenu, et dit presque dans un murmure "merci".

          Et au moment quand elle a fait un coup de fil et a dit du bon temps, une voiture "Lada" de neuvième modèle est arrivé vers les arbustes à Bolchevo. Les trois hommes sont sortis des arbustes et montés dans la voiture. Il y avait déjà leur homme infiltré au volant. Ils se sont débarrassés des preuves incriminantes sur le chemin, en jetant le sac avec les vêtements sanglants à une poubelle dans une cour parmi bâtiments à plusieurs étages quelque part à Pouchkino. Puis ils roulaient le long de la route de contournement d'abord à Morozki, puis à Povarovo. Là-bas ont-ils dit au revoir à leur chauffeur. Maintenant, jusqu'au soir fallait-il atteindre par trains locaux jusqu'à la ville Vyshny Volochek, où des parents éloignés les déjà attendaient.

          L'équipe d'enquête avec les témoins officiels, ils ne sont arrivés que dans plusieurs heurs dans l'appartement. D'abord, ils allaient à questionner les habitants de l'appartement à cause du jeune homme qui s'est jeté par la fenêtre, mais personne n'ouvrait la porte.

          L'enquêteur principal doutait d'abord de l'exactitude de sa version et faisait des coups de fil à plusieurs collègues à s'assurer. Il n'a pas eu tort. C'était la vendetta. Ça voulait dire que c'était inutile à chercher. Les auteurs de l'infraction sont partis on ne sait pas à quelle république ensoleillée, et ils y seront perdus. Même s'ils seront trouvés, tout aura l'air comme si de rien n'était, car les preuves seront disparus ce temps-là. D’ailleurs, leurs amis et relatifs les cacheront, et tout le monde local ne permettra pas à un enquêteur en visite d'agir trop activement, en enfreignant la loi. Les temps ont changé. L'enquêteur se rendait compte que c'est une affaire bien insoluble. La seule chose qui le consolait, c'était que les chefs étaient bien informés des situations pareilles, c'est pourquoi ne chicaneront-ils là-dessus pas trop. Plus tard, un expert qui avait l'expérience y compris avec les affaires de la vendetta, il a suggéré comme si la probability de ce que les auteurs de l'infraction fussent des habitants de la Tchétchène-Ingouchie au Caucase, est près de 70%. Il n'a pas expliqué, d'où il a pris ce chiffre. L'utilité du message comme ça, était pratiquement nulle. Il y avait aussi une étrangeté dans cette affaire. Rien de choses n'est disparu que l'argent dans la cachette d'un livre épais. Les Tchétchènes et Ingouches ne volent rien, lorsqu'ils sont en train de venger, et généralement, avec mépris du vol, ils préfèrent piller à la manière ouverte, c'est-à-dire, "pour ne pas être lâche". Enfin, le maître assassiné de l'appartement, il pouvait soi-même sortir son propre argent de la cachette.

          Deux journées avant de la date désignée, Albert a donné à Sveta le nécessaire montant d'argent en dollars, afin que Tolik peut payer au "toit" de gang neuf et autoproclamé.

          Tolik attendait penant tous un jour, mais personne n'est venue. Au demain, Sveta retourna l'argent à l'Albert, en lui disant à retenir temporairement l'argent au cas où.

          Après la mort de Colonel, il y avait beaucoup de fusillades de rue et des meurtres sans arme à feu aussi. Seulement pendant quelques jours, la moyenne annuelle "norme" statistique fut dépassée. Le gang autoproclamé fut dispersé violemment. Seul Albert savait qui a "aidé" à cela que s'est produit. Il expliquait à tout le reste comme si tout ça s'est produit d'une manière spontanée.

          The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/11/the-teleportation-part-1-chapter-13-act.html

          Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/21/1277

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