Wednesday, April 28, 2021

Chapitre XXI. Tu es suivi. La téléportation. Partie I.

           -Mon amour, tu es venu! J'étais en train de t'attendre. Que ce soir soit le nôtre. Combien de temps peux-tu être chez moi?

          -Deux heures, en dernier recours trois.

          -C'est insuffisamment, mais peu importe. Car nous ne rencontrons pas en dernière fois. Tu peux voir que je n'ai pas te dupé. Pas de voisins, pas de bagarres. Je ne suis plus une prude stupide. Veux-tu que je sois à l'égard de tu une fille courage, coquine et disponible?

          Les mots derniers qui furent prononcés dans le contexte d'excitation augmentante, ils viennent d'amener son obsession passionnée jusqu'à limite possible. Il ne sauta sur Lena comme un tigre sur sa proie qu'en raison de prolonger le plaisir. Il s'assit sur le divan et ordonna:

          -Viens vers moi, fille.

          Lena vint de la manière obéissante. Il mit la main sous la jupe et commença à tripoter les plus intimes parties. Lena commença à respirer avec force, ferma fort les yeux. Il n'y avait ni culottes ni maillot sous la jupe. On pouvait voir qu'elle s'est préparé pour la rencontre. Elle le laissa en fait faire tout, en appuyant ses paroles de sa disponibilité de par des actes.

          Soudain, elle sourit et le pointa du doigt de la manière badine et dit:

          -Quelle personne espiègle tu es! Tu es venu dans le même pyjama et à la fois es-tu en train de nier que se soit tu qui était venu chez moi la dernière fois. Tu fais semblant de ne savoir ce, dont je parle. C'était toi. Personne que toi. J'en ne doutais pas.

          -Même si comme ça, quel est problème? - Albert prononça pas en disant mais en chantant ces mots d'Herman de la septième scène de "La dame de pique".

          -Tu sais qu'on peut recevoir le plaisir de cette affaire dix fois plus que d'habitude? Mais la plupart des gens ne le savent pas. Leur fantasme est mal développé. Si quelque chose de pareil est venu en leur esprit, cela ne resterait rien de plus qu'un fantasme. Tu peux faire avec moi tout que te plaît. Après tout, je suis ta débitrice, c'est pourquoi je te permets tout et je tolérerai tout sans offense.

          Elle commença à déshabiller avec ces mots et dans une minute, elle était en train d'être debout devait lui toute nue.

          Albert se souvint Sveta. Il sortit une cigarette de la poche et l'alluma. Sans interrompre le regard fixé sur la jeune fille rousse et nue qui était debout devant lui, il prononça:

          -Je veux éteindre la cigarette à l'aide de tes fesses.

          Lena pâlit mais dit:

          -Je ne dois pas refuser tes désirs, - après avoir le dit, elle ouvrit la petite porte de l'armoire et sortit un tissu blanc et pur. - Fais un bâillon le mets me dans la bouche, car je peux crier si ne je ne le supporte pas.

          La main tendue avec le tissu tremblait violemment. Albert comprit qu'elle n'est pas une masochiste, mais essaye d'être à son goût.

          -J'ai changé d'avis. Je n'aime pas causer une douleur aux filles.

          -Tu me testes?

          -Masturbe-toi devant moi jusqu'au premier orgasme.

          Lena jeta à côté le tissu commença à travailler par doigts dans l'entrejambe. Elle gémit voluptueusement bientôt, s'en tortillant et en mettant la tête en arrière.

          -Dis-moi, comment tu voudrais? - elle dit enfin. - Je veux que tu sentes bien avec moi et je suis prête d'accepter tout, tu le sais.

          Soudain, Albert se revint les mots qui l'ont excité et il les répéta à elle:

          -Je veux que tu sois avec moi une fille courage, coquine et disponible.

          Sans être timide, elle vint, saisit l'objet de la passion de lui, s'assit sur lui et commença à rebondir.

          -Est-ce que je ne suis pas courage? Est-ce que je ne suis pas une coquine? Est-ce que je ne suis pas disponible? - elle répétait à travers de la dyspnée. - Ah!

          Les deux sont gelés dans une position et il leur paraît aux deux qu'ils s'avérèrent dans autre dimension. Le monde terrestre est devenu le paradis.

          Albert a été chez elle moins que trois heures, mais il a réussi à connecter avec elle trois fois pendant ce temps. Lena était belle et exceptionnelle à sa propre manière.

          -Je te voudrais demander d'une faveur, - il dit à elle un peu avant de s'en aller. Il a déjà réussi à "rentrer" chez lui cinq fois de la manière imperceptible et secrète. - Laisse Nadia habiter chez toi plusieurs jours. Cela me serait plus calme. Un jour je te raconterai, pourquoi j'ai besoin de ça.

          Il fut assez surpris, en voyant qu'elle est contente de la proposition pareille.

          -Vous pouvez arriver même demain. Bien.

          -Elle viendra demain. Je ne viendrai qu'à l'accompagner.

          Cette nuit, son épouse constata en esprit de nouveau qu'elle fut sentie avec le mari plus agréable que d'habitude. Et aussi il lui-même fut plus heureux et plus joyeux que toujours. Et elle était beaucoup surprise, quand Albert donna la nouvelle à elle que le meurtre de Tolik, dont elle avait appris de Lena, peut leur regarder jusqu'à tel degré que continuer à vivre chez soi peut être dangereux même pour elle.

          -Laissera Lena m'y habiter? Je ne la demandais jamais. Ça ne m'est pas venu à l'esprit que ce cas peut nous concerner de quelqu'une manière.

          Au lieu de répondre, Albert se leva et composa le numéro. Il était près de trois heures du matin, c'est pourquoi une dizaine de longs bips furent sonnés avant que Lena vint au téléphone.

          -Pardon me que la nuit. Ici Alik. Te souviens-tu hier quand je suis allé à la boutique et je t'ai rencontré quand tu étais en train de revenir de nous? Je t'ai dit que ce soit bien si on habite plusieurs jours chez toi et tu étais d'accord. Confirme-le à elle, car elle doute. Je te la passe, - après avoir le dit, Albert a passé sa femme. Les amies ont bavardé un peu.  

          -Bien, Lena. D'accord. Nous arriverons demain à onze heures. Au revoir.

          Albert avait peur un peu que Lena parle quelque chose de la date d'aujourd'hui ou fasse une allusion, mais Nadezhda ne montrait des signes ni de jalousie ni de méfiance après cette conversation. Au lieu de cela, il y avait un sentiment d'alarme à cause d'Albert qui resterait chez soi et il ne pouvait pas en aucune façon expliquer à elle que c'est au moins cent fois plus sûr pour lui que pour elle. Parler de la téléportation serait simplement inadmissible.

          Ils réglèrent le réveil à huit heures, se réveillèrent à temps et prirent un petit déjeuner. Albert décida à l'accompagner jusqu'à l'appartement de Lena pour être calme après. À neuf heures du matin, ils se mirent en marche, mais quand ils vinrent de sortir de l'entrée d'immeuble, deux hommes en civil ont bloqué leur chemin. Et quelque chose de police pouvait-on sentir de toute une apparence d'eux. Albert était en train de marcher en premier pour de ne pas exposer l'épouse sous un tir probable. Et sauf ces deux qui demandèrent à montrer les papiers d'une manière polie mais fortement, plus loin pouvait-on voir une dizaine des hommes dans l'uniforme de camouflage tacheté et  les masques noirs. Trois types dans les vestes de cuir étaient allongés sur l'asphalte, les mains derrière les dos, et les hommes étaient en train de menotter ces types à cet instant. Les armes automatiques étaient pointées du haut dans leur direction pour l'assurance. Un peu plus loin y avait-il un "Corbeau noir" (On nomme comme ça dans la Russie les autos dans lesquels on transporte des détenus). Albert, en étant sûr que ce soit l'OMON, il ne fit aucune attention à ce que fût écrit sur les certificats des personnes en civil. Ils comprirent cela. Observant ce qu'avait lieu dans la cour, Albert ne remarqua qu'après avoir ouvert seulement la première page du passeport, l'agent jeta à lui un regard fixé, en examinant lui avec une grande curiosité, comme à un objet très intéressant pour leur service qui soudain est tombé sous les yeux, et il avait dans ce regard quelque chose de prédateur et méprisant à la fois. Aussi Albert ne vit pas que le deuxième agent poussa légèrement le premier dans le dos et seulement après cela le deuxième agent tourna son regard au passeport de nouveau, le ferma, dit sèchement: ""Pardon" et rendit le passeport à son possesseur. Quoique Albert ne fût pas très étourdi, mais maintenant il constata avec grand surpris ce qu'il resta sans attention dans le premier instant. C'était une inscription "pain" sur l'auto qu'il fut considéré comme le "corbeau noir". Et cet étrange moyen de transport différait assez peu d'un camion de pain ordinaire. Les détenus après les avoir fouillés s'ils auraient des armes, menottés et sous les armes automatiques étaient mis dans ce camion. C'était le matin du dimanche, et il y avait peu de monde dans la rue. Les passants n'étaient pas laissés s'approcher de tout ça.

          -Passez, citoyens. Ce n'est pas un cinéma pour vous! - Albert i Nadezhda, ils entendirent à leur endroit. - C'est la détention ordinaire des criminels. Rien d'intéressant.

          Ils s'allèrent. Le dimanche et une petite quantité du monde dans la rue, tout ça fut favorable à eux. D'abord, ils arrêtèrent une voiture privée, en levant la main, puis ils arrêtèrent un taxi déjà à Moscou. Grâce aux rues désertes, il fut facile de se convaincre qu'il n'y eut aucune surveillance.

          À ce moment-là, le camion "de pain", dont nous connaissons déjà, il fut en train de se précipiter le long de rues de Moscou, s'en approchant du centre. Une demi-heure ne passa pas encore, tandis que la garde menait les types détenus de la voiture jusqu'aux portes massives, ils ont réussi à se rendre compte que c'est la Loubyanka, c'est-à-dire, l'immeuble de KGB, où on les a emmenés.

          Après les avoir amenés à l'immeuble et avoir échangé quelques mots avec la garde locale, on les menait le long de couloirs complexes et enfin on les simplement poussa dans une porte avec une inscription assez étrange pour leur situation, c'est-à-dire, "salle de cinéma". "OMON" resta dans le couloir et deux hommes en civil qui les accompagnaient, sont entrés après eux et ont proposé de s'asseoir sur un banc. 

          -Maintenant garçons, nous allons à montrer vous un film très intéressant, et vous le regarderez. Nous ne vous conseillons pas de faire des bêtises, mais nous le disons au cas où. Nous croyons que vous n'êtes pas stupides jusqu'à tel degré.

          Les détenus virent sur l'écran la rue de la ville Mytichtchi bien connue à eux. Mais aussitôt qu'ils viennent de voir leur victime, cet homme sain et sauf encore qui avait été allé le long de la rue, ils ont pâli immédiatement tous les trois et il y avait la raison de ça.  Quand ils ont vu eux-mêmes approchants de leur victime de trois côtés avec les pistolets aux mains, leurs genoux et mains tremblèrent. Ils essayaient de ne pas montrer leur peur par apparence, néanmoins, un d'eux qui ne pouvait pas cacher son visage dans ses mains à cause des menottes, il se plia le visage contre sol et ferma les yeux.

          Un des gens en civil appuya sur un bouton et une image fut fixée sur l'écran, où leur victime, Tolik déjà est tout ensanglantée s'allongeait sur l'asphalte.

          Les maîtres des destinées de ces assassins ne s'avèrent pas sans humour. 

          -Maintenant, garçons, dites nous, comment peut-on nommer ce que nous venons de voir sur l'écran? - questionna un agent avec accent sur le mot "nommer". Soyez plus courageux! Voilà quels cools êtes-vous sur l'écran, mais maintenant avez caché vos langues dans les culs? Parlez donc, sinon nous nous offenserons, et il est très défavorable dans votre situation, si nous nous offenserons. C'est toi qui as failli ramper sous le banc, comment on nomme ce que nous avons vu dans le film? Réponds me vite, sans tirer le chat par les couilles!

          -On le nomme un meurtre. - le type à qui la question fut posée prononça à peine audible après avoir pris la position ancienne, mais il continuait encore à regarder au sol.

          -Correctement! C'est un meurtre! avec la voix joyeuse confirma l'agent. Du côté, il eut l'air comme un professeur dans l'école qui vient d'expliquer un thème intéressant et après avoir questionné quelqu'un du thème, comme s'il vient de recevoir une réponse correcte. - Et quant au meurtre, chers garçons, on emprisonne pour lui. Et vous ne pourriez jamais vous débarrasser de ça, si c'est nous qui exigeons qu'on vous condamne. Dans quelle année seriez-vous laissés aller, vous-mêmes pouvez le calculer. Mais croyez-moi. Le plus chanceux de vous, il ne sera sorti que dans huit ans. Néanmoins, si l'on considérait ...

          -Pardon, - le type qui était plus courage l'interrompit. Pourquoi c'est KGB qui mène cette affaire au lieu de la police criminelle? Après tout, c'est une affaire criminelle. 

          -Premièrement, ce n'est pas KGB, mais FSB. Deuxièmement, je viens de vouloir le dire, mais vous m'avez interrompu. Allons regarder la suite du film.

          La victime tuée sous la grande quantité des balles fut sur l'écran plusieurs secondes encore et disparut.

          -Maintenant, c'est la deuxième série du film. Nous la venons de recevoir.

          La "deuxième série" était sonore. Les trois détenus sont apparus de nouveau sur l'écran. Ils conspiraient et attribuaient des rôles, discutaient mais pas longtemps, après quoi, la scène de leur détention suivit. La porte de l'entrée de l'immeuble s'ouvrit, un homme est sorti et s'est approché immédiatement, en occupant toute l'image et une belle femme sortait derrière lui. La vérification de document de l'homme suivit, il lève les yeux et il paraît qu'il est en train de regarder directement ici, c'est-à-dire, à la salle de cinéma. La "pause" est appuyée de nouveau. 

          -L'appétit vient en mangeant, n'est-ce pas? Un meurtre n'est pas assez et vous vouliez un de plus? Mais cette fois vous êtes échoués. Voulez-vous sortir libres?

          Silence.

          -Voulez-vous sortir libres? Il semble que se soit vous à qui je demande.

          -Est-ce possible? - un d'eux questionna.

          -C'est aussi possible que nous vous remettions aux flics maintenant, non dans cette ville, mais à ceux qui sont subordonnés à l'administration régionale. Alors, ils vous mettront dans la cellule de détention provisoire locale et après cela à la prison Butyrskaya de Moscou. D'ailleurs, il y a un petit espoir, mais vous devez être très sincères avec nous. Pourquoi avez-vous tué le premier?

          -À cause de lui, notre protecteur était tué, avec qui notre vie était mieux. Je crois que les détailles ne soient intéressants pour vous.

          -Pourquoi vous alliez à tuer le deuxième?

          -Ils sont deux sont coupables dans cette affaire. Le premier a recueilli le linge sale contre notre chef et il l'a donné au deuxième. Le deuxième l'a donné quelque part ailleurs.

          -Où? - maintenant deux agents déjà s'approchèrent d'eux et regardaient dans les yeux de chaque d'eux. Sans l'habitude, c'était difficile d'endurer les regards comme ça et ils tournaient au côté contre leur volonté. Enfin, un d'eux comprit:

          -Nous découvrirons. Si vous en avez besoin, nous le découvrirons. Après tout, vous n'allez pas nous faire de trahir nos amis, car nos amis ne peuvent pas être vos clients. Ces pigeons ne sont pas les nôtres, c'est pourquoi si on donne l'information sur eux, ça ne serait rien de mauvaise chose. Si vous avez besoin, nous vous aiderons, néanmoins, de quelle manière pourrions-nous le faire en Boutyrka prison?

          -Savez-vous, pourquoi votre victime est morte?

          -L'ambulance est arrivée très tard. Il a perdu beaucoup de sang.

          -Pas exactement.

          -Est-ce parce que nous l'avons tué?

          -Je ne le doute point, mais ce n'est pas principal.

          -Il parlait trop, quand il était en train de soûler avec les types de son toit.

          -Est-ce que vous vous rendez compte quoi peut passer, si nous vous laissons aller et vous parlerez trop? Cette affaire est beaucoup plus sérieuse que vous croyez.

          -Nous vous pouvons aider.

          -Merci. Une fois vous nous avez failli "aider". Vous n'êtes pas des professionnels et avez tort, si croyez comme si nous recrutons de vous des mouchards. Quant aux flics, peut-être pourriez-vous être utiles pour eux. Même vous n'avez pas compris encore, pourquoi êtes-vous ici. Nous connaissons la première votre victime, c'est le premier maillon de chaîne. Ce qu'on peut voir sur l'écran, c'est le deuxième maillon de chaîne. Mais ce qu'il y a ensuite, même nous ne le savons pas encore. Et vous avez failli détruire ce deuxième maillon de chaîne, vous avez failli abîmer tout, dont nous avons besoin. Est-ce que vous croyez, comme si nous avons besoin de travailler avec vous, de vous emprisonner et prendre les problèmes des flics?

          -Ils ont tout compris, - le deuxième agent a interrompu.

          -C'est, - continua le premier, en montrant sue l'écran - notre objet. Nous travaillons avec lui. Et voilà avez-vous interféré à cause de vos chamailleries. Nous n'allons pas à rapporter à vous, pourquoi avons-nous besoin de lui. Et il ne nous faut pas aider, car nous pouvons le gérer nous-mêmes.

          -Nous ne le savions pas. Est-ce que nous oserions interférer?

          -Vous nous empêcheriez beaucoup, même si vous l'observez de loin. N'osez pas même penser sur lui! Vous avez tué l'un d'eux et vous n'êtes pas satisfaits? Néanmoins, dans ce cas vous serez forcés de faire d'exception. Maintenant tous vous êtes en état de dépendance de nous. Si quelque chose ne va pas, nous vous donnerons aux flics, avec l'information sur vous, quels "bons" vous êtes.

          -Est-ce que vous nous laissez aller?

          -Oui. Néanmoins, ce serait très tôt d'être content. Bientôt, vous serez emprisonnés pour longtemps.

          -Pourquoi? Est-ce que vous ne nous laissez aller que temporairement? Parce que si quelqu'un de vous soûle et parle trop, vous tous trois serez emprisonnés.

          -Non. Nous nous tairons comme les poissons. Et laisse mourir celui qui bavarde. Nous-mêmes... - en train de parler, il vient de faillir dire "tuerons", mais s'arrêta à temps. - Et nous ne sommes pas des bavards comme ça. Nous savons qu'en parlant trop, on peut rester sans tête. Ainsi, nous avons certaines habitudes utiles et savons quelque chose.

          -Est-ce possible que quelqu'un sauf vous, sans se rendre compte, il s'approche de notre objet avec un couteau ou avec un pistolet, ou avec quelque chose de pareil? - l'agent qui était plus âgé, a questionné.

          -Non. Ce fil ne mène nulle part sauf nous. Seulement à travers le premier maillon de chaîne.

          -À travers celui que vous avez tué?

          Le bandit hocha la tête au lieu de réponse.

          -Maintenant, vous êtes assignés la responsabilité de la sécurité de l'objet. Nous ne plaisantons pas.

          -Et quoi si quelqu'un d'un maillon supérieur l'attaque, dont personne ne sait pas, ni nous, ni vous?

          -Nous le distinguerons immédiatement. Vous ne répondez pas de celle-là direction. Mais vous êtes responsables de tous ceux, avec qui votre "ami" décédé soûlait et bavardait. Savez-vous tous d'eux?

          -Oui, tous. Et des visiteurs n'ont pas besoin de votre objet.

          -Je ne parle pas des visiteurs. Tu te rends compte assez bien qu'il s'agit des serviles de soi-disant Colonel qui est mort maintenant.

          -Je connais tous d'eux. Personne sauf nous ne le ferait. Vous pouvez voir jusqu'à quel degré sommes-nous sincères avec vous. Si quelqu'un decide d'attaquer ce nerd, nous le saurons tout de suite et nous le réglerons d'une manière ou d'une autre.

          -Nous espérons. Sinon nous vous ne laisserions pas aller. - Après ce dire, l'homme en civil sortit de l'armoire un petit sac noir, puis il s'approcha de la porte et appela deux gardes en camouflage sans insignes.

          -Libérez eux des menottes, et quant à vous, définissez, quelle chose est la vôtre.

          -Ils nous ont retourné même les pistolets, - un d'eux informa ses complices avec joie mais en chuchotant.

          -Nous n'avons enlevé rien de vôtre et ne vous avons pas détenu. Oubliez ça, - dit l'agent qui était plus âgé, en souriant avec dérision. - C'est simplement. Pour de n'être pas emprisonné pendant très longtemps, il faut se comporter très bien, et j'espère que vous sachiez de quelle manière. Si vous ne l'avez pas compris encore, votre carrière sera finie par cela. Accompagnez eux jusqu'à la sortie, sinon ils se perdront, - termina-t-il son discours, en s'adressant aux gardes.

          -Au revoir. Merci à vous.

          -Pas de quoi. Il serait mieux pour vous - adieu pour toujours, - puis il ajouta tranquillement à lui-même après leur départ: pour nous cela sera mieux aussi.

          À ce moment-là, Albert avec sa femme, en traversant la partie de Moscou qui n'était pas encore construite dans la voiture, demanda le chauffeur d'arrêter au terrain dégagé, où la route fut bien visible de loin et les voitures passaient assez rarement. Cette partie de la nature qui n'était pas encore touchée, mais assiégé de tous côtés par l'énorme cité, attendait l'exécution des peines des créateurs urbains: d'être rayée de la carte et asphaltée et pénétrée par les réseaux enterrés, trouée par les fondations des boîtes à plusieurs étages. Tandis qu'elle restait comme une oasis dans le désert, les champs ennuyeux, quoiqu'ils fussent comme ça, mais ils faisaient plaisir aux voir, et dans le contexte d'une fourmilière humaine à plusieurs millions, ces champs laissaient obtenir un peu d'intimité et reposer l'âme.

          Nadia déjà commençait à murmurer à cause d'ils sont en train d'aller toujours et n'arrivent pas encore.

          -Rends-toi compte enfin, je t'ai amené ici pas pour te détendre. Il y a des endroits bien meilleurs à se reposer. Simplement, je veux diminuer la probabilité d'être suivis. À la diminuer jusqu'à la limite possible, peux-tu le comprendre? - Albert se justifiait. Et malgré le mécontentement exprimé par l'épouse, il attendait pendant presque une heure, comme il avait projeté. Après cela, il arrêta une voiture qui allait dans la direction opposée, mais le chauffeur pour un bon prix accepta-t-il de revenir et il les livra directement à l'entrée. Nadezhda était surprise. Quoiqu'il eût peur d'être suivi, et à la fois planifiait-il de rendre visite ici souvent.

          Lena ouvrit la porte pour eux vite. Son comportement à l'égard d'Albert ne distingua en rien de l'habituel. Il a compris qu'elle ne parlerait trop selon toute probabilité et il n'a pas eu tort. Tous trois étaient assis à la table pendant près de quarante minutes. En connaissant les coutumes des invités, Lena fit du thé fort pour eux. Enfin Albert promit d'arriver demain le soir, y compris, il dit qu'il prendrait maintenant le métro et irait à pied jusqu'à la station près de trente minutes à se promener. Après avoir tourné le coin dans l'un des cours, il entra dans la première entrée vue, et après s'assurer que personne n'était autour lui, il téléporta directement chez soi.

          Albert remarqua assez vite que la tasse du thé qui n'était pas bue jusqu'au bout, était sous la table. Il la toucha. Le thé était encore chaud. Un reflet de joie lui vint à l'esprit. Il sortit le troisième volume du "Tantra" presque immédiatement et ouvrit la page 343. Une note était mise là-bas:

          "Tu as fait une erreur et tu es suivi. Il nous faut rencontrer à New York le 2... octobre, 18 heures, heure de Moscou, aussi 10 heures, heure de New York, au coin de Broadway et N avenue. Si tu ne peux pas venir à temps, attends le prochain message. La carte de New York est mis dans le livre "Aérodynamique". Détruis cette note immédiatement. Ton ami qui est sain et sauf. Tu le dois deviner".

          2... octobre était aujourd'hui. C'était midi. Il restait six heures jusqu'à la rencontre. Il n'existe pas avion qui le pourrait rattraper. Albert brûla la note sur la cuisinière à gaz. Le reste carbonisé il frotta au-dessus des toilettes, tira la chasse d'eau et lava les mains. Dans six heures il rencontrera l'ami qu'il considérait comme péri.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/12/the-teleportation-part-1-chapter-21-tail.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/01/330

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