Saturday, December 18, 2021

Chapitre I. Des nouvelles inquiétantes. La téléportation. Partie II.

           Albert a décidé de se reposer seul dans l'appartement, d'être assis, d'être rêvant. D'abord il avait pensé comment s'habillerait-il pour qu'apparaisse sur Broadway. Mais toute de suite il s'est souvenu que à tout moment à l'outre povait-il s'envoler chez soi à se changer. Maintenant, soit-ce New York ou le Kamtchatka, tout ça est plus proche d'il que la cuisine, à condition qu'il se rende jusqu'à la cuisine à pied, mais pas à l'aide de cette manière merveilleuse. Il semblait qu'il longtemps fût en train d'être assis sur le divan, une pensée changeait l'autre. Le ciel qui était couvert d'un voile le matin, se devenait de plus en plus sombre, mais malgré cela, il se sentait le cœur léger. La probabilité que Nadia est en sécurité, est plus que 99%. L'ami qui était comme si péri, il est trouvé maintenant, et aujourd'hui, sans quitter cet endroit, il se dirigera chez il, à grande cité qu'il déjà a aimée et de laquelle il rêvait dès l'enfance, dès l'âge de onze ans. En accumulant l'expérience de la vie, Albert plus ça va, plus détestait-il les cités millionièmes et si quelqu'un lui a dit-il y a un an qu'il aspirerait à visiter une ville pareille comme un garçon voudrait arriver au parc avec les meilleurs manèges, il n'aurait cru point. C'est pourquoi le ciel sombre et gris avec les nuages lourds d'hiver qui flottaient dans il ne pouvait pas assombrir son bon état de son âme. Il en a eu marre d'être assis dans la même place. Il jeta in coup d'œil à la montre. Il ne passa qu'une heure.

          Albert canalisa ses pensées, fit un mouvement presque imperceptible et sorti comme si à travers une porte invisible à l'appartement de Valia. L'appartement était vide. Il n'y avait personne que Sveta à visiter. Il téléporta à l'escalier et sonna à sa porte. Elle ouvrit la porte, tout en larmes.

          -Comme c'est bonne que tu es arrivé! Je suis si triste!

          -Je te comprends. Bien sûr, c'est pitoyable. Ce maudit pays. Un être humain entre dans les affaires russes comme un papillon de nuit dans le feu.

          -Je n'irai pas à l'enterrement. Ses parents regardent à moi de haut et avec méprise. Il sera mieux si nous irons après sur sa tombe avec les amies ensemble ou avec toi à deux. Dur de croire. Je n'ai personne, de nouveau.

          -Il y a moi que tu as. Simplement, nous ne le devons pas maintenant. Ce serait le péché. Il faut attendre au moins quarante journées.

          -Tu es marié. Tu avec Nadia, vous querellerez à cause de moi.

          -Est-ce toi qui raconteras à elle? Non. Si on peut garder le secret pendant un jour, on le peut garder cent ans. Toutes vous ne pouvez pas comprendre qu'on peut vivre dans l'amour et l'harmonie non seulement par les deux personnes. C'est la raison à cause de laquelle doit-on faire de cachotteries.

          -À quoi bon cela? Si tu es mon mari qui s'est allé à l'autre femme, je te perdrais.

          -Presque tout le monde refuse de comprendre. À quoi bon le dilemme comme ça "avec ceci ou avec cela"? C'est l'ordre de qui? Qui a osé interdire de vivre à trois, à quatre? Les gens sont des imbéciles et c'est leurs préjudices. Je pourrais aussi te questionner: "à quoi bon cela qu'on te pince, on te cautérise?" Néanmoins, je te comprends.

          -Cela n'est pas si visible. C'est plus légèrement à cacher.

          -Quelle est leur affaire, de ces mesquines gens avec l'intellect de singe, qui à qui va? Qui a quelle porte sonne? Ne sois pas sincère avec personne et arrête d'avoir peur d'eux. - Albert allait à dire quelque chose encore, mais la cloche sonna.

          -Ne va pas. C'est moi qui ouvrirai.

          Albert, après retourner de Moscou, il toujours n'enleva pas l'imperméable où il avait les couteaux et les cartouches à gas dans les poches. En prévoyant la possibilité d'une attaque avec pistolets, il était armé complètement. Sans prendre le risque pour les yeux, il ferma le trou de judas par un doigt de la main gauche. Aucun coup de feu n'a pas suivi. Il a ouvert la porte brusquement et soudainement. Un mec était debout à l'entrée en blouson de cuir, sa coupe de cheveux était comme celle de bandit, mais on ne pouvait sentir aucune agression de lui. Il semblait qu'il ait timide ou a peur de quelque chose.

          -Ah, c'est encore vous, - il dit et baissa les yeux dans la confusion.

          -Que signifie "encore moi"? Chez qui viens-tu de t'arriver?

          -Chez Sveta... une affaire... Néanmoins, si vous êtes en train de séjourner ici, je reviendrai une autrefois.

          Albert voulait dire: "maintenant je séjournerai ici pour toujours", mais il s'arrêta à temps, après comprendre qu'il peut attirer très mauvais visiteurs par cela à l'appartement d'elle.

          -Sveta, c'est un visiteur à toi.

          Elle a regardé dehors. En voyant son regard, il a compris que ce mec n'est pas familier à elle. Albert regardait les mains du mec pour l'arrêter à temps, mais il n'y avait aucune attaque.

          -Je viens du travail de Tolik. Sveta, irez-vous à l'enterrement?

          -Pardon, mais il y a une raison, à cause de laquelle, personne ne doit savoir qui, quand et où ira. Premièrement, sa mort a été violente. Deuxièmement, OMON a attaché des trois types près de ma maison aujourd'hui, dans les vestes pareilles et avec les coiffures de la même manière. Les flics ont beaucoup de travail et ils sont prêts à accuser des crimes n'importe qui. Donc abstenez-vous de visiter cet appartement et dites à tous les autres de ne pas déranger. Si elle a besoin, elle-même appellera ou viendra à votre travail. 

          -Alors, je me vais. Pardon de vous déranger. Soyez heureux de rester. 

          Et après entendre en réponse: "Bon voyage", le visiteur suspect commença à descendre les escaliers. Albert ferma la porte.

          -Fais du thé tandis que je me vais aux toilettes.

          Sveta prit la théière et Albert téléporta à l'appartement de Valia. Cette fois elle était chez soi.

          -Oh! Tu me viens d'effrayer. Est-ce que tu as un passe-partout? - cria la maitresse de l'appartement en sortant de la chambre après entendre un bruissement dans le couloir. 

          -Je me suis entraîné d'être un ninja. C'est une science pour savoir agir furtivement. J'ai été ici il y a une demi-heure et il n'y avait personne. Il ne s'agit pas de l'amour: Sveta est en danger. Va vers elle et amène-la ici. Ils chassent pas elle mais Albert. Il est venu chez elle à la consoler, néanmoins, il a beaucoup de l'autre affaire. Et tu mieux réussiras en cela.

          -Est-ce que je t'appellerai toujours Albert Deuxième?

          -Appelle-moi Rénald.

          -Mon Dieu. Partout étrangers. J'espère que ce soit le nom réal, n'est-ce pas?

          -Quelle est différence? Quand se va le train local.

          -En 14.23. Prendre en 13.50 est impossible déjà.

          -Va plus vite. Et je dois courir aussi. Je l'expliquerai après. Appelle-la et dis que tu arriveras.

          -Alors allons-y ensemble.

          -Je ne peux pas, je dois courir, désolé. Au revoir, mon amour!

          -Néanmoins, tu es un aliéné en effet.

          -Qu'il en soit ainsi. Au revoir.

          -Au revoir.

          Albert descendit les escaliers en courant, de la même manière, comme dernière fois et après devenir sure que personne ne le voit, il téléporta aux toilettes. On frappait fortement à la porte.

          -Est-ce que tu es y pendu? - Sveta criait déjà agacée.

          -Désolé, je me suis endormi.

          -Bonne nuit!

          -Je vais à sortir maintenant.

          Il froufrouta avec papier, tira la chasse d'eau et sortit après une minute. Le téléphone sonna. Sveta décrocha. C'était Valia. Elle dit qu'elle arrivera dans une heure. Questionna, si Sveta est seule. Albert était ici en effet.

          Valentina est arrivée à trois heures et demie. Albert dit à elles agir plus vite. Les amies étaient perplexes et s'il n'y avait pas du fait de la mort d'Anatoly, il est possible qu'elles ne lui aient pas obéi. Chacune d'elles était en train de garder le secret de son amour soit avec lui, soit avec le double de lui. Chacune d'elles soupçonnait que cet homme soit au courant de certains évènements secrets et pour être hors du danger, ce sera mieux ne pas contredire les conseils de lui.

          Ils sont arrivés au settlement déjà familier tous trois, allaient jusqu'au lieu à pied. Albert dit au revoir à elles près de l'entrée de l'appartement de Valia. Elle était sûre qu'il a certaines affaires secrètes avec son double Renald, comme si c'est son frère jumeau, et c'est possible que cette affaire soit associée à la substitution des doubles l'un pour l'autre.

          "Ne sont-ils pas substitués l'un pour l'autre quand Renald me fait l'amour? - Valia "comprit" vaguement soudainement. - Il faudra un jour marquer ce Rénald". 

          Quand Albert s'est séparé des amies, il était déjà cinq heures et la sixième a commencé. Si quelqu'un le poursuivit, il faut amener les espions plus loin d'ici. Il faut les laisser perdre sa trace plus proche de Moscou. Il a déjà "calculé" le lieu à Broadway. Il a réussi à l'atteindre jusqu'à la station "Losinoostrovskaya". Il entra à la première entrée en courant, en contrôlant son esprit de l'invisible manière et il est apparu sur le Broadway proche du lieu. Après Moscou où déjà il y avait des ténèbres, la brillante lumière de matin frappa les yeux. Il est déjà arrivé au lieu, néanmoins, il était forcé toujours de couvrir le visage par les mains.

          -Are you all right, sir? - Il entendit une voix familière.

          -Hello, my dear friend! I'm very glad to see you alive.

          -Hello, Аlik! N'ai pas peur de parler russe. Il y a beaucoup d'étrangers ici.

          -Eh bien tu sais. Je voudrais être un 100% Américain.

          -Nous pouvons jouer aux Américains après. Il y a beaucoup d'informations. Ta situation est grave mais nous les battrons.

          -Qui allons-nous à battre?

          -Je vais l'expliquer à toi. J'ai déjà les jetons. Nous devons passer quelques stations par l'underground, le métro local. Puis nous sortirons dehors et il y a un banc et on peut bien voir autour. La chose principale, les compatriotes ne devraient pas entendre notre conversation. Tu comprends, le sujet est délicat.

          -Allons.

          Le métro était à proximité et dans quinze minutes ils déjà marchaient au banc.

          -Quel genre d'affaire mortelle as-tu commise?

          -Je n'ai commis rien. Désolé pour la blague cruelle que j'ai jouée à l'égard de toi, mais je sais maintenant que j'ai été raison. Oh, quelle droite raison ai-je eu! Néanmoins, j'ai commis quelque chose en effet. Avant le putsch, des armes étaient distribuées. Je crois, tu lis les journaux. Cela a commencé par le fait que j'ai fait semblant un salaud bolchevique et après recevoir l'arme j'ai grimpé à travers l'étendue. Après cela, il y avait un arrangement assez compliqué, J'ai failli devenir une victime de tromperie, mais du fait de ces efforts j'en ai eu deux pistolets "Walter", un de lesquels toute de suite vais-je à donner en cadeau à toi. Le mécanisme est fiable, crois-moi, et confortable à porter dans la poche.

          -Je rêvais d'arme depuis longtemps. Merci d'avance!

          -Il ne s'agit pas des rêves, ni de chevalerie, ni de bravade. La situation est grave en effet et si être en train d'un gobe-mouche, elle deviendra assez  dangereuse, comme aujourd'hui.

          -Et quoi s'est produit aujourd'hui?

          -Qu'en penses-tu même? Y avait-il quelque chose d'inhabitude autour de toi? 

          -Seulement, OMON a capturé de certains types dans notre cour, et quand je et ma femme nous avons été en train de sortir de l'entrée, des flics en civil ont vérifié nos documents.

          -Comment étaient habillés ceux qui ont été détenus?

          -En vestes de cuir, coupes de cheveux courtes, cols de pulls relevés.

          -C'était ceux qui sont arrivés afin que te tuer, - le vieillard Paul dit sévèrement. 

          -Sont-ils ceux qui m'avaient suivi?

          -Ceux qui t'avaient suivi, ils ont te sauvé d'attentat.

          -Pourquoi y a-t-il telle grande attention à moi? Je ne sais pas un cas que les flics eussent travaillé si bien.

          -Ils ne sont pas des flics, mais les types d'un département parallèle.

          -Je viens de comprendre... Néanmoins, comment ils ont su?

          -As-tu une idée de la valeur qu'ils t'accordent?

          -Je comprends. Je vois maintenant, ils ne pouvaient pas les laisser tirer à moi. Tu "grimpais" cent fois plus que moi. Où ai-je gaffé jusqu'à tel degré?

          -Tu as gaffé dans la position de la vie. Tu vivais heureusement, tu t'amusais de la vie et ignorais le fait que notre monde est à la condition de guerre. La guerre n'a pas commencé ni fini. Elle continue toujours. Et lorsque nous parlons sur le commencement d'une certaine guerre, ce n'est qu'un passage de la forme cachée à l'explicite. Il y a des lignes intéressantes dans le folklore tchétchène. Ils disent dans une de leurs légendes qu'ils ont crû sur les pierres, c'est-à-dire, dans les conditions sévères, et ils ne pourront pas semer les champs et faire paître des moutons, mais au lieu de ça seront-ils forcés de se battre. Et cette permanente préparation à la guerre donnait victoires à eux plusieurs fois. Tu as oublié où tu es. Je respecte ta liberté, tu avais raison quand tu t'amusais et connaissais le bonheur avec les belles amies de ta femme, néanmoins, tu devais n'oublier pas de vérifier à l’arrière-garde.

          J'agissais comme un parent prudent qui a laissé aller son petit enfant de la maison pour arriver au magasin et faire des achats à travers les rues d'une ville assez dangereuse. L'enfant croyait comme s'il était seul, mais le parent le suivait pour le défendre et soutenir. Et voilà un instant, quand le kid, en étant debout, calculait des corneilles, dire au sens figuré, une voiture est apparu du coin, et ce parent a réussi à l'arracher son enfant devant du malheur imminent.

          Quant à la raison de laquelle tu as fait l'erreur, c'est arrivé, car en possédant un trésor inestimable, tu sais de quoi s'agit-il, tu parcourais ce monde et calculais des corneilles. Si tu étais un soldat, pour négligence pareille aurais-tu pu affronter une cour martiale. Mais tu n'es pas un soldat et je ne suis pas un commandant méchant. Tu es mon successeur et mon devoir de prendre soin de ta sécurité. Tu étais en train de calculer des corneilles et c'est raté soudainement: une des amies, je suppose, tu l'as plu plus que les autres, elle s'est avérée très étrange dans ses actions, mais tu as ignoré cela.

          -Rousse Lena?

          -Elle-même. Il y a quelques mois, elle était recrutée dans un département illégal de renseignement qui recueille des informations sur les phénomènes paranormals. Ce département était créé par un aventurier qui travaille au FSB et profite des opportunités de son poste officiel.

          -D'où as-tu su tout ça?

          -Il est encore plus surprenant que tu n'as le su pas jusqu'à présent. Rappelle-toi comment ai-je trouvé un objet dangereux, c'est Colonel, et je l'ai éliminé par les mains des autres. J'agissais dans ce cas de la même façon, mais tu ne faisais rien. Le fait que tu courais les filles, n'est pas ta faute. Je ne peux que l'approuver. Il faut connaître le bonheur de la vie. Quant aux malheurs, ils nous trouveront eux-mêmes. Tu pouvais être en train de t'amuser, mais à la fois observer, quoi se produisait autour de toi. Néanmoins, tu continuais à jouer toujours comme un petit enfant, en calculant des corneilles. Si je réussissais à l'avoir su tout ça de quoi je te parle maintenant, donc tu pourrais avoir su tout ça aussi. On peut jouer, même il faut jouer, mais il faut vérifier pendant le jeu, si quelqu'un est en train de te cibler d'un coin? Tu veux devenir un bon amant, sois alors un bon agent de contre-espionnage à la fois. Ça n'interfère pas.

          -Oui... La psyché humaine est paradoxale. Je suis sûr que je ne suis pas un imbécile, et tu es sûr de ça aussi. Néanmoins, comme on parle, je n'ai pas aperçu un éléphant.

          -Cela aurait pu arriver à un génie aussi. Je crois en cela, tu diffères de l'imbécile, parce que tu es capable d'apprendre de tes erreurs. Comme tu penses? Que faut-il faire maintenant?

          -Sont-ils sûrs fermement que je possède la capacité pareille?

          -Maintenant, écoute. Quand Hélène t'a invité en première fois et tu es arrivé ponctuellement, comme un Allemand, pas à l'appartement mais sur l'escalier, leurs observateurs étaient debout un étage au-dessus et avaient vu de leurs propres yeux, comme tu as apparu de rien. Cette data est d'une conversation que j'ai surprise. Je pénètre chez leurs établissements parfois de la manière secrète et ma mémoire tient quelques dizaines très délicates intérieures. Lena était devenue recrutée il y a une demi-année avant que tu as fait irruption chez elle en première fois. Kashin, c'est lo nom aventurier principal, il est le chef du département illégal. Il est venu à elle d'abord comme un amant et il est un maître de grande classe au lit. L'argent était ajouté, c'est une séduction en outre. Les cadeaux, puis les frais des services secrets avaient lieu. Puis elle a vu un certificat du FSB, néanmoins, ce ne l'a arrêté, mais au contraire. En comprenant des conversations que j'ai réussies à surprendre, elle a commencé à se rendre compte qu'elle avait fait une connerie. Mais ce temps-là avant, avait-elle besoin du vendeur de journaux Albert, tandis qu'elle s'imaginait une étoile de l'espionnage?

          -Mais elle continuait toujours à être amie avec tout nous.

          -À quoi bon elle se querellerait avec vous? Elle recueillait des informations partout où cela est possible. Les phénomènes paranormaux sont des phénomènes extremely rares, et il faut sonder des millions de personnes avant que quelque chose serait trouvé. Si nous ne sommes que deux sur Terre, donc la probabilité de notre capacité pareille est une chance sur trois milliards. Une seule personne ne peut pas sonder une quantité suffisante des gens, même s'il a une centaine de conversations en jour qu'est impossible. On besoin de beaucoup d'agents qui ne sont pas informés, mais simplement assignés la tâche de recueillir des n'importe quelles informations sans expliquer pourquoi. Maintenant, peux-tu t'imaginer, quel trésor Kashin a-t-il trouvé en toi, après Lena lui avait rapporté le fait, comme tu avais disparu dans les toilettes chez elle? Il était au courant ce que passait dans ton quartier, par cette partie de la mafia qui finance le département illégal. Anatoly ivre bavardait qu'il avait transmis des informations à toi, et tu es un chaînon dernier que le FSB sait. Et voilà ces informations est transmis au chaînon suivant et Colonel est tué, soit par des Tchétchènes, soit par des Ingouches. Le chaînon suivant, c'est-a-dire moi, et que représente-t-il, ils ne peuvent que deviner. Peut-être, il y a tout un foyer de super-capacités, qui sait? Néanmoins, même si le chaînon suivant est inatteignable, ils déjà ont un moineau à la main, c'est toi. Et maintenant apprennent-ils que quelqu'un va à tuer Tolik, puis à toi. Ils les laissent faire la première chose et les garçons sont tenus après ça. Mais les laisser tuer toi? Ce serait comme jeter des diamants du pont à la rivière. C'est pourquoi ils les ont détenus dans ta cour.

          Quant à fait, si sont-ils fermement surs, juge toi-même. Tu as apparu chez Lena en première fois, quand elle t'a rejeté, c'est-à-dire, le témoin est leur agent ordinaire. Kashin a deux assistants fidèles, Skolopendrin et Batogov, qu'il mit au courant, y compris de tes capacités. Tous les autres dans l'état et hors de l'état, ils ne sont qu'exécutants aveugles qui ne savent rien. Et donc, en deuxième fois, deux hommes t'ont vu. Kashin lui-même et Skolopendrin qui est sa main droite. Et Valia a été chez Lena et a raconté à elle comme si tu as un frère jumeau que tu caches. Bien sûr, Lena a compris quelque chose, mais ses chefs ont compris mieux encore.

          -Je l'ai nommé Renald.

          Le vieillard rit.

          -Et donc, je suppose, - Albert continuait, - avant que se mettre à la besogne à pleine puissance, ils voudraient vérifier plus une fois définitivement, pour dissiper tous les doutes sur moi. Ils auraient besoin de me capturer, n'importe comment, sous quel prétexte et de quelle manière. Ils peuvent faire semblant d'être n'importe qui: soit flics, soit voyous, soit bandits. En captivité, ils essayeront de créer des conditions insupportables, à me forcer appliquer mes capacités inhabitudes directement devant eux.

          -Et quoi diras-tu? Après tout, tu es capable de te débarrasser de n'importe quel piège.

          -Dans ce cas, ils agiront de telle façon que je moi-même désirais de retourner vers eux. Ils n'ont pas opportunités sauf prendre ma femme en otage. Voilà mon point faible! Il faut l'évacuer instamment.

          -Tu as raison. Et il faut faire ça, avant qu'ils s'assureront complètement de tes capacités. Maintenant dis-moi, tu avec ta femme, où vous dirigiez vous, quand le groupe de capture travaillait dans votre cour et ils ont vérifié vos documents?

          Albert considérait superflu à le questionner, d'où le vieillard a-t-il le sait. Il raconta, comment passa-t-il aujourd'hui, avec tous les détails. Il raconta d'hier aussi. 

          -Pourquoi n'as-tu suspecté rien, lorsqu'elle a grimpé sur toi littéralement après qu'elle t'avait rejeté de telle infâme manière?

          -Le comportement irrational des femmes peut-on observer plus souvent que des hommes.

          -On pouvait penser comme ça quand tu n'avais rien sauf diplômé de l'Université d'État de Moscou. Si une femme te rejette d'abord, puis se jette au cou après, ce serait une folie la suspecter, comme si elle est une figure active dans les passions d'espionnage autour de votre personne. Ce serait une folie à cette époque-là, mais pas maintenant. Ils la enseignaient à l'agir contre un homme qui pense de la manière ordinaire et qui ne serait pas expérimenté dans l'affaire de renseignement. Si elle jouait de telle façon avec quelqu'un qui a fait son apprentissage dans une école de l'espionnage, les siens la disqualifieraient au mieux, et les ennemies, soit l'élimineraient après torturer à l'apprendre le but de la mission, soit ils ne la demanderaient rien, mais mettraient en scène un accident tranquillement et soigneusement.

          Quant à l'évacuation de ta Nadia, je suis d'accord complètement. Je t'ai rencontré pour suggérer exactement cela, mais tu l'as deviné toi-même. Néanmoins, vous tous ne devez point parler à voix haute. Ton appartement et tous les appartements de tes amies seraient pleins de mouchards je serais très surpris si ce n'a pas lieu. Il serait mieux si vous délibérez au milieu de la nature, dans un champ par exemple, dans lequel tout est clairement visible, où aucun diable ne pourrait grimper à un arbre et se cacher entre les branches, pour vous cibler par quelque chose de vous écouter ou regarder. Puisqu'il y a des cas, ils embauchent des sourds-muets qui sont capables comprendre une conversation à l'aide de voir le mouvement des lèvres.

          Ce n'est pas en vain on parle: "tous les nuages sont bordés d’argent". Ce que tu te tenais légèrement ces derniers temps, cela a un certain grand avantage. Comment penses-tu, pourquoi ça?

          -Ce peut rendre leur vigilance baissée. Ils agiront comme si contre un gogo qui serait simple d'esprit.

          -Et comment penses-tu, qui est venu à Sveta aujourd'hui?

          -Je suppose, c'était un de ces trois qui avaient tué Tolik. Comme on parle: "on peut prendre au moins un morceau de laine de la brebis galeuse". Si l'affaire de me tuer est interdite, on peut au moins à baiser Sveta. D'abord un d'eux est venu à renseigner, si peut-on s'amuser avec elle de la manière paisible pour après ça la donner aux autres.

          -Certes. Et c'est ce qu'il faut que tu aies l'emmenée à Zavety. Ils ne viendront jamais à la région des autres. Aucun grand malheur ne serait s'ils utilisent une de tes femmes une fois seulement. Mais on ne sait pas de quelle manière peut-ce finir. N'oublie pas ce que c'est une partie du gang inachevé de Colonel, des gredins qui sont capables de faire n'importe quelle vilenie. Quant à Kashin et la compagnie, nous sommes plus forts qu'eux. Seulement, il ne faut plus faire grosses fautes et calculations mals. Et alors, après essayer de t'avaler, ils avaleront un crochet pointu, avec lequel ils s'étoufferont.

          Et maintenant, c'est au cas où, si la police nous dérange, grimpons à deux au vide appartement de Sveta.

          Albert a été surpris de ces mots, mais n'a demandé rien. Le vieillard, en regardant autour, plongea la main dans la poche. Le plus imperceptiblement possible, il donna à l'Albert d'abord le pistolet, puis deux sachets cellophanes pleins des papiers. 

          -Le pistolet est chargé, mais la sécurité est activée. Appuie cette chose, puis on peut tirer. Le mécanisme est bon et compact. Fait en Allemagne. Presque sans raté. Quant aux sachets, ils contiennent le dossier de nos "pêcheurs", je les nommerai comme ça. Il s'agit de Kashin, Skolopendrin, Batogov et certains d'autres encore. Tout est écrit d'eux ici. Élimine mes commentaires après mémoriser. Le reste, cache-le de mieux façon. As-tu déjà décidé, comment évacuer Nadejda?

          Albert exposa son plan. Le plan a plu au vieillard.

          -Une chose la plus difficile, c'est la persuader. Elle ne croira pas et pensera, soit je sois devenu fou, soit je la dupe, en faisant semblant.

          -Montre à elle tout l'argent que tu as gagné, puis le pistolet. Laisse à elle se rendre compte de l'ampleur de ton activité. Si ce n'aide pas, tu devras démontrer à elle ta capacité de "grimper".

         La conversation continuait. Les amis ont discuté de l'heure et du lieu de la réunion pour l'évacuation de Nadejda. D'accord avec le plan d'Albert, ils ont discuté des détails.

          -Comment tu penses? - demanda Paul. - Vont-ils à laisser en paix le reste des amies si vous deux disparaissez? Et s'ils ne les laissent pas en paix, à qui menace danger le plus grand?

          -À Lena.

          -Tu penses correctement. Essaye agir de la même manière. Nous devons voir l'un l'autre chaque jour, à correcter le plan si nous avons un besoin comme ça. On ne sait pas quelle surprise peut-elle avoir lieu.

          Ils ont accordé le lieu et temps des réunions à venir et ont numéroté les points qui tous étaient en USA, puis, après se cacher des passants, ont disparu, chacun d'eux à sa direction.



Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/01/379

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