Friday, April 2, 2021

Chapitre XX. Au milieu d'un ciel bleu. La téléportation. Partie I.

           Le soleil était en train de passer à travers la constellation de Balance et devait bientôt entrer à la constellation de Scorpion. L'octobre est comme si divisé en deux parties: ces jours, sa partie d'été est en train de terminer la partie d'hiver commence. Ces jours, si on se met en marche à camper de nuit, on peut partir en été et revenir en hiver. Les arbres sont en train d'être privés de sa tenue belle et dernière et dans un instant, la chute de la neige première peut commencer. Il commence à assombrir maintenant plus tôt, et la courbe de la statistique criminelle monte brusquement. Une soirée ensoleillée mais froide et humide était Albert en train de revenir du magasin avec non grande quantité de la nourriture. Dieu merci, il y avait tout aux magasins maintenant et il y avait d'argent aussi.

          Comme d'habitude ces derniers temps marchait-il dans la rue, en étant joyeux, bien qu'il se fût critiqué un peu, car il voyageait beaucoup à l'Amérique, mais s'il faisait à peu près plus chaud dans New York qui est devenu déjà habitué, cette différence n'était pas grande. On pourrait maintenant téléporter aux stations balnéaires de Méditerranéen, mais il n'en avait pas encore non seulement des paysages européens dans son imagination ni au Nord ni au Sud, aussi il n'avait encore dans l'imagination ni de Ceylan ni de Kongo, ni même de tropiques de l'Amérique Latine. Grâce à ce que la différence de fuseau horaire n'est pas grande, comme serait-il bien passer la nuit dans la nature en Europe! Densité de population dans l'Europe est grande et il lisait dans un livre qu'à cause de ça il faut prévenir quelqu'un qui est en charge du territoire que vous allez à passer la nuit là-bas. Mais il pourrait aller même sans formalité pareille. Si quelqu'un très vigilant le voit, il peut disparaître directement devant lui, et même il ne rapporterait à la police, car il ne voudrait pas être considéré comme un fou. D'ailleurs, ces nuits innocentes dans la nature seraient considérées par son épouse comme plus suspectes que sa "méditation" dans la salle de bain qui avait été en fait assez loin d'être innocente. Malgré ça, elle avait toléré ces randonnées en été et même parfois rejoignait-elle à lui.

          Il revenait avec ces pensées, le soleil rougissait près de l'horizon, et une jeune fille était debout loin devant qu'il ne savait pas pourquoi, il avait désir la nommer "fille-automne". Sa coupe de cheveux semblait à celle de Lena, et la couleur de cheveux la même rousse dorée qui ornait son champ visuel au coucher du soleil, en ajoutant cette couleur d'automne qui était déjà en pénurie parmi les arbustes et troncs des arbres rendus nues et orphelins. Les notes nostalgiques se sont mis à sonner dans l'âme à l'égard de cette amie une des quatre, celle-là qu'il n'avait pas obtenue. Néanmoins, n'est-ce pas un rêve? Elle a fait un pas à lui. Elle regardait toujours à lui sans équivoque. Mon Dieu! C'est Lena. Mais il faut immédiatement faire semblant de ne savoir rien du harcèlement.

          -Attends, Alik, - il ne savait pas qu'elle était capable de fixer avec désir comme ça. Il ne savait pas qu'elle était capable de bloquer son chemin avec l'insistance comme ça. - Puis-je te câliner?

          Après avoir dit cela, elle a passé des paroles aux actes, sans attendre la permission.

          -On peut, si tu le veux, - Albert répondit, en prenant l'air surpris et agréable. - Mais qu'est-ce qui arrivé à toi?

          -Pardon moi. J'avais tort. Je suis prête à l'agenouiller devant toi, tu veux? Cette fois-là, je ne t'attendais pas. Je ne pouvais pas comprendre vite que tu es ma destinée, mon amour. Je ne me suis remis qu'après, mais c'était trop tard. Tu ne fais aucune attention à moi dès lors. Tu es très offensé? 

          -Tu me plais, je ne te refuse pas, mais je ne peux pas comprendre que veux-tu dire. Quand as-tu eu tort à l'égard de moi? Pour quel péché dois-je te pardonner?

          -Ne fais pas semblant. Je t'ai banni. J'ai monté contre toi le voisin milicien avec son frère. Je veux se racheter ma culpabilité. Je veux être méritée de ton amour. Invite-moi dans n'importe quel point perdu, y compris à la forêt, et je te suivrai. Je t'aime, mais je ne l'ai pas compris immédiatement. Tu aurais raison à me tuer pour ça et je ne résisterais, parce que la vie sans toi n'est aucune vie. J'ai un pressentiment très mauvais et il serait mieux à mourir de ta main. Je suis prête à l'accepter tout de toi...

          -Néanmoins, je ne vais pas à te tuer et ne comprends pas de quoi tu parles. Apparemment, tu es fatiguée et mélanges un rêve avec la réalité.

          -Laisse l'aller comme ça. Mais si j'ai vu un rêve pareil, cela dévoile quelle gredine suis-je. Donc je réfléchissais en rêve comme ça. Aimes-tu moi-même un peu? Tu m'as dit que tu ne me refuse pas et que je te plais - est-ce vrai?

          -Oui, c'est vrai, mais je ne veux pas l'exposer ici. Il n'y aura aucun péché dans notre amour, si tout passe sans mauvaises conséquences. Personne ne doit se quereller avec personne à cause de ça, sans parler de la jalousie, les bagarres et la divorce - c'est ma seule condition. Mais si nous faisons quelque chose de pareil dans ce quartier, Nadia peut le savoir. J'espère que tu ne veuilles pas que ton amie souffre de jalousie? Tandis qu'elle ne sait rien, il ne sera pas pire mais mieux pour elle à cause de mes "adultères". D'ailleurs, j'aime vous toutes, - ces mots lui ont échappé à la fin du monologue par inadvertance. Lena ne réussit que jeter un coup d'œil à lui, il commença à l'embrasser ses lèvres, sa main libre de sac passa le long de l'épine dorsale d'elle jusqu'au coccyx et il la sentait à travers le manteau, et il était en train de la serrer dans ses bras.

          -Je peux arriver chez toi maintenant, mais tandis que tu es en train de revenir, tu peux changer tes idées.

          -Je ne les changerai pas. Quant à rencontrer chez moi, se serait commodément vraiment.

          -Et pourquoi es-tu arrivée dans notre quartier? Est-ce que tu vas à venir chez nous ou es-tu déjà sortie de nous?

          -Je viens d'être sortie de ta femme.

          -Néanmoins, je suis sorti récemment. Est-ce que tu n'as parcouru cette distance qu'à bavarder pendant quelques minutes?

          -C'est toi dont j'ai besoin. Je suis venue chez elle pour avoir un prétexte pour apparaître ici. J'ai visité aussi Sveta. Elle est perturbée. Tolik est assassiné.

          -Quand?!

          -Hier. Ils l'ont fusillé des pistolets directement dans la rue et ont fui. Nadia raconterait les détailles à toi. De quoi réfléchis-tu? Cela ne nous regard certainement pas. Nous exprimerons nos condoléances à elle, en étant assis et triste, comme il faut...

          -Hum, ça ne nous regard pas... - prononça Albert dans une manière pensivement. Il a compris que c'est une vengeance par un menu fretin. Les grands membres du gang furent tués par Tchétchènes.

          -Réveille-toi enfin! Est-ce comme si "je me suis allé et je ne reviendrai pas bientôt"? - après ces mots, Lena commença embracer avec lui, presque en pendant à lui. Cela le força oublier le danger pour une minute. L'amour fut en train de vaincre.

          -Tu vas chez toi maintenant? - il questionna. - Si tu m'aimes comme ça en fait, j'arriverai chez toi dans trois heures.

          -Je ne te refuserai jamais. Je suis prête même à ne pas aller au travail demain. De toute façon, ils y payent une misère.

          -Ces sacrifices ne serviraient à rien, - Albert répondit et pensa: "Elle commence à comprendre. Qui a aidé à elle? Qui? Comment est-il arrivé qu'elle est devenue telle désirée, telle proche? Elle est devenue vraiment différente maintenant!"

          Plus temps était-il debout avec elle ensemble, moins suspectait-il qu'elle fait semblant. Si elle ne fait que faire semblant, cela deviendra clair déjà aujourd'hui. Il ne pardonnera jamais telle vile blague. Mais son instinct le disait qu'elle veut de la manière assez sincère se donner à lui complètement.

          -Telles victimes ne serviraient à rien, - répéta-t-il. Tu me plais depuis longtemps et je ne vais ni te tuer, ni te faire perdre le travail. Simplement, j'arriverai dans trois heures et je veux te voir obéissante et que tu te me donnes, car tu me plais. Lorsque tu étais debout en étant en train de m'attendre, j'ai pensé: "Quel genre de fille-automne y a-t-il?" Tu t'intégrais si parfaitement dans ce paysage d'automne à la couchée du soleil! Malgré le fait que je ne suis pas un peintre, c'était charmant. J'arriverai chez toi. Si c'est une tromperie, je te détesterai pour toute la vie.

          Elle sourit, lorsqu'elle entendit ces compliments, des étincelles malicieuses jaillirent dans ses yeux.

          -Je t'attends. Viens. Je cours au train.

          Elle embrassa ses lèvres et courut, elle regarda en arrière une fois et cria: "J'attends" et elle continua à courir. Bientôt le bruit de train s'arrêtant fut entendu. Elle doit réussir à prendre le train à temps.

          Quand il vient d'entrer chez soi, Nadia fit le savoir la nouvelle, dont il déjà savait. Sa première pensée fut de ce qu'elle n'est point pire que Lena et il se rendait compte, si la dernière était sa femme, il ferait l'adultère avec Nadia et les autres amies de la même manière? Chacune d'elles était belle de sa propre façon. Elles ne rivalisaient pas entre elles, mais bien se complétaient et une connexion d'amour seulement avec une d'elles, en excluant complètement toutes les autres, bien appauvrirait l'existence. Il ne pouvait qu'à travers toutes elles connaître la Beauté et l'Amour universels.

          Néanmoins, une minute ne vient pas encore de passer, il était forcé de changer le sujet de réflexion sous la pression d'une réalité impitoyable, dont l'épouse vient de parler à lui. Tolik fut fusillé ouvertement, en plein jour. La rue de la ville Mytichtchi où cela avait lieu, n'était ni déserte ni très animée. Les témoignages étaient très maigres à l'égard de l'enquête criminelle officielle. Personne ne voulait avoir une connexion avec une autre confrontation sale. D'un autre côté, les rumeurs répandues dans la ville et un peu hors de la ville, décrivaient l'incident de la façon assez détaillée, quoique peut-être l'exagèrent. L'histoire du crime composée de ces rumeurs était comme ça:

          Comme si Tolik s'était venu à son office dans un état de gueule de bois sévère, comme d'habitude dernièrement. Habituellement, dans les cas pareils envoyait-il quelqu'un ses subordonnés à l'acheter la bière. Mais ce jour sentit-il qu'il fait étouffant dans l'office et il décida de marcher par lui-même pour respirer l'air frais qui soulagerait sa condition.

          Il ne réussissait qu'un quartier à passer. Soudain comme de nulle part, trois typez apparurent dans des vestes en cuir qui avaient eu l'air identiques, les maxillaires étaient couverts par grands collets des pull-overs simples sous les vestes de la manière identique, tous ils étaient avec les cheveux courts. En dégageant des regards malveillants, par lesquels ils avaient effrayé les témoins en addition, avec les pistolets TT aux mains, ils s'étaient approchés du malheureux homme d'affaires qui avait été pris de court, et avaient ouvert le feu sans discernement. Il n'y avait aucune arme restée à la scène de crime. Le tir mortel à la tête n'avait pas eu lieu aussi. Généralement, les tireurs s'avèrent ineptes, car malgré la grande quantité des balles tirées, il n'y avait eu point des tirs mortels. La victime était morte à cause de la grande perte de sang et aussi parce que l'ambulance n'est pas arrivée au temps. Si cela ne regardait pas Albert, on pourrait ne pas réfléchir sur le cas du tout. Mais si ça le concerne, c'est quoi alors? Bien sur, c'est une vengeance des salauds maladroits qui ont perdu ces places bien rémunérées sous la protection du gredin Colonel. Il y avait beaucoup d'eux qui avaient été debout près de la clôture d'usine dans celle-là terrible vidéocassette. Après la perte du chef, chacun d'eux partit de son propre côté. Les autres qui avaient réussi à survivre après ces events-là, ils s'avérèrent plus chanceux ou moins vindicatifs.

          Néanmoins, d'où pouvaient-ils ça connaître? Même si le vieillard Paul serait vivant, même s'il s'avérait un génie du mal qui faisait semblant d'être un Angel, malgré tout il ne le trahirait à une simple raison. Ses actions étaient toujours cohérentes et bien explicables. Il ne détruirait personne qu'il avait enseigné avec des difficultés, parce que sinon il enterrait la téléportation avec lui. La version des tortures est exclue complètement, car il téléporterait de n'importe quelle chaise de torture. L'homme possédant les capacités pareilles ne pourrait être tué qu'à l'aide d'un tir soudain de la distance courte. Il y avait une version encore de la prise Olesya en otage, mais après avoir réfléchi un peu, Albert l'a exclu aussi, s'en rendant compte que cs serait un miracle. À deviner que le vieillard a telle chère maitresse, à préciser les lointaines coordonnées d'elle, cette tâche ne serait que pour les clairvoyants célèbres comme Messing ou Vanga. Aussi Albert savait que lui-même et Olesya étaient égaux pour Paul et aucun accord à "l'échange" n'aurait été possible. Et enfin, de quelle façon auraient-ils été informés sur le vieillard avant que sur lui-même? Il n'y avait que les trois hommes avaient eu connaissance de la transmission de l’information: le vieillard, lui-même et Tolik. Comme parlait Sveta de ça, le dernier buvait et parlait trop avec son "toit" constamment. C'est plusieurs personnes. Tout est clair! Imbécile! Il bavardait afin qu'on le tue. Si c'est comme ça, il a exposé non seulement soi-même, mais lui aussi. Donc ils savent que Tolik a donné lui une information et que lui-même a transmis cette information quelque part à l'une "incertitude" et après cela les vengeurs tchétchènes ont apparu de cette "incertitude" qui ont gâché tout pour eux et disparu, s'en dispersant aux montagnes, où c'est possible que ni KGB ni CIA ne les puissent trouver.

          "Alors je suis le dernier lien dans la chaîne pour eux, mais ils ne savent rien de la téléportation et ils sont des tireurs ineptes, ils ne réussiraient qu'à blesser. S'ils avaient un fusil de sniper, Tolik aurait été fusillé à l'aide de lui. Malgré tout, maintenant il ne faut laisser trouver aucune tache blanche autour de moi, aucune "incertitude", au moins, plus proche que vingt mètres. Il serait bien de renseigner tout sur eux, leurs adresses du domicile, à voler leurs armes. Nadia doit être protégée qu'elle deviendrait à l'abri fiable des attaques ou de l'enlèvement. Il faut le faire dans les jours à venir. Non. Dans les heures à venir".

          Le mode opératoire des criminels le consolait un peu. Il est clair de tout qu'ils préfèrent agir sans compliquer l'opération. Il est beaucoup plus simple pour eux de vider toute la cartouche sur lui directement dans la rue, au lieu de pénétrer à l'appartement, de maltraiter les proches, prendre des otages, etc. Néanmoins, il faut les assurer malgré tout. Si ses proches deviennent des victimes, il est peu probable qu'il puisse jamais pardonner lui-même pour ça. Et il est particulièrement dangereux pour eux, si les bandits ne réussissent pas à fusiller lui dans la rue. Quant à la tentative pareille, elle n'avait pas lieu encore. Il a promis à Lena d'arriver dans trois heures. Quarante minutes déjà se sont passées. Quels sentiments a-t-elle éveillé en lui! Il ne voudrait ni manquer l'opportunité, ni duper Lena. Puis, tout à coup il s’est rappelé qu'il peut téléporter chez soi toutes les cinq minutes, même se sortir de la salle de bain tout nu et demander, si tout va bien.

          À l'heure prévue, Albert a l'apparu aux escaliers d'immeuble de jeune femme qui va devenir déjà la quatrième maitresse. Ici à Moscou, où il s'est trouvé après avoir sauté instantanément la distance de trente kilomètres, il se sentait parfaitement en sécurité. Personne n'y fusillera sur lui, et quant à ceux-là voisins, ils ne sont pas plus dangereux qu'une vipère qui rampe et siffle plusieurs mètres de lui. Personne ne fusillait sur lui en fait et il n'y avait pas autour lui des voisins embêtants. Il ne remarqua pas que deux paires des yeux un étage au-dessus étaient en train d'observer avec attention son apparition de rien. Propriétaires de ces regards indiscrets n'exposaient pas des émotions, mais ils se comportaient de la manière sobre et rationnelle, comme des matures savants au laboratoire. Albert sonna. Lena toute joyeuse ouvrit la porte. "Les yeux" n'avaient rien de contre.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/12/the-teleportation-part-1chapter-20-bolt.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/30/244

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