Friday, December 24, 2021

Chapitre II. Dans le rôle d'un spectre nocturne. La téléportation. Partie II.

           Albert est émergé à un quartier de Moscou qui est situé proche de sa maison et au-delà immédiatement de contournement qui divise conditionnellement l'énorme métropole en région et le centre régional. Il n'y avait personne parmi ses amis ni amies dans ce quartier et ils peuvent le suivre partout mais pas dans ce quartier. Il se mit en marche à pied. Le vent du jour s'est calmé, mais on sentait la fraîcheur après New York, néanmoins, ce n'oppressait pas mais n'était qu'excitante. D'ailleurs, la délocalisation instantanée du midi clair à l'obscurité d'automne toujours sans neige de la ville nocturne, tout ça ajoutait une sorte du fabulosité à tout l'environnement. Il était en train de regarder au monde ordinaire et bien connu par une sorte des yeux neufs. Tout avait l'air en partie su et tout était en partie vu comme en première fois. Dans les instants pareils, des idées sont générées et des plans sont faits facilement qui sont réalisés après non si facilement. La chose principale maintenant est à l'atteindre la maison et s'il est suivi, il les faut laisser voir qu'il est arrivé à pied on ne sait pas d'où, du plus proche quartier de Moscou. Donc il les faut laisser résoudre un casse-tête qui habite le quartier près de la station de chemin de fer "Los'', si c'est une amante ou des amis, ou des parents éloignés qui jusqu'à présent toujours ne sont pas comptabilisés par l'institution secrète. Et après arriver chez soi, on peut voyager encore, car il ne voulait dormir du tout, et les heures du jour étaient sombres mais n'étaient pas encore tardives.

          Après avoir arrivé chez soi, il fourra toute de suite les papiers qu'il a reçus du vieillard dans un tas de linges sales qu'étaient prêts à la lessive. Il n'alluma pas la lumière prudemment. Tandis qu'il absentait, l'appartement pouvait être équipé de caméras cachées. Sans déshabiller, il se dirigea aux toilettes, enferma. Un instant passa, et il vient d'apparaître aux toilettes de l'appartement de Sveta. Des voix calmes d'hommes qui venaient de la chambre firent clairement comprendre qu'il ne faut pas sortir, mais écouter.

          -...réellement... sans problème... Que pourra-t-elle faire? Les filles plus cools qu'elle, étaient faites. Même elle n'aurait besoin d'être faite.

          -Garçons, frappe-moi, j'ai oublié, comment s'appelle-t-elle?

          -Est-ce que tu as la sclérose? Elle est Sveta. Izmailova. Bois la bière! Chacun de nous a déjà bu, mais tu es assis toujours et n'as qu'une gorgée. La bulle est presque pleine. Pas vessie mais la bouteille. Tu mouilleras le cerveau et il commencera à travailler. Et étant sèche, ma balle, c'est-a-dire tête, coincera aussi. Donc... je parle... la fille est la nôtre. Mityay, si elle ne va pas à ton goût, le reste pour moi et Lekha sera plus grand, ne nous blâme pas. L'appartement est le nôtre aussi. Non. Je ne parle pas comme si je vais le prendre. Nous trouverons l'argent après. Nous avons appris à faire quelque chose de Colonel. Il s'agit du fait que nous pouvons toujours venir ici et nous réchauffer dans n'importe quel sens. Et simplement être assis et se cacher quand il faut. Il n'interfère qu'une chose.

          -J'en sais. L'objet que les agents de KGB ont mis en œuvre. Apparemment ce nerd ici séjourne souvent, mais il ne faut pas toucher. Partons. Comme un acteur défunt dit: nous irons tous (à la prison).

          -Donc, pensez, frérots, que faut-il faire pour qu'il ne traîne pas ici? Nous le ne pouvons pas toucher. Il ne reste que faire telle manière qu'elle-même le refuse. Le premier, nous la pouvons intimider, mais c'est une mauvaise méthode.

          -Pourquoi?

          -Si ce subject-objet voudrait montrer ses manières chevaleresques, alors que faire? Après tout, nous ne pouvons pas l'attaquer.

          -Es-tu sûre? Après tout, il est un nerd, un étudiant...

          -Souviens-toi de ce que Colonel disait. Aussi on parle: il faut se méfier de l'eau qui dort. Le KGB est engagé avec lui, est-ce que pour les beaux yeux? "Notre objet. Nous travaillons avec lui". Est-ce que tu as écouté cela?

          -Cette phrase se dresse dans mes oreilles jusqu'à présent.

          -Personnellement, j'ai quelque chose qui se dresse à cause de Sveta. Mais assez plaisanter. Pourquoi il vient toujours ici? Est-ce qu'ils jouent aux échecs? Néanmoins, il est marié. Voilà le chemin deuxième: à informer sa femme.

          -Donc s'approcher de lui de nouveau, malgré l'interdiction?

          -Pas nous. Faire pour que vieilles femmes, ces potinières raconteraient à elle que son mari traîne chez Sveta Izmailova. Tout ça est une question de temps et de technique. Colonel, que parlait-il à faire dans les cas pareils? Trouver un garçon local, à montrer lui que nous, en étant des bandits, nous le respectons. Il fera tout possible pour que les vieilles femmes le potin répandent. Sinon, ces retraitées s'ennuient. Avant tout le monde avait peur d'eux au temps du pouvoir soviétique, mais maintenant on les ignore et bannit, en jurant. Et soudaine, une opportunité apparaît à faire du mal, à commencer une intrigue: ouvrir les yeux à la femme au comportement immoral de son mari. En dernier recours peut-on soudoyer une commère qui est plus active.

          -Tu es tant besoin de cet appartement?

          -Qui a dit que c'est si coûteux? Tous ils sont indigents. Ils sont prêts à danser pour n'importe qui pour dix dollars. Néanmoins, bois la bière. Oh, tu as déjà bue toute une bouteille! Laissons ouvrir des bouteilles encore. En tout cas, nous ne ferons des bêtises après la bière.

          -Ouvrons, ouvrons! - les voix d'approbation retentirent.

          Puis un bavardage ordinaire continuait, qui ressemblait à des potins quotidiens des simples gens. Les mains d'Albert démangeaient à prendre sa revanche. Il était prêt à l'apparaître et fusiller tous les bandits avec "Walter" qu'il sentait dans sa poche avec un sentiment joyeux, mais on ne pouvait maintenant ce faire qu'à cause de manque d'intelligence. Il n'avait pas ce manque d'intelligence, malgré la négligence des derniers mois. Dans ce temps-là, il simplement avait désactivé sa vigilance et discrétion. Néanmoins, les datas qu'il avait reçu de son vieil ami à New York, les le forçaient de tenir ces qualités à fleur de peau.

          Une comparaison intéressante est venu à l'esprit. Des alpinistes dans les montagnes peuvent se soulever à l'aide de mains ou pieds. Néanmoins, si quelqu'un se soulève à l'aide de mains, il se fatiguerait vite après avoir perdu les forces. Aussi lutter seul contre tout le monde peut on comme un soldat, chevalier, c'est-à dire, un samouraï. Mais on peut agir comme un espion, c'est-à dire, un ninja. Lutter contre le monde de la façon de samouraï est un suicide. La majorité des gens sont guidés par l'opinion de la foule, en disant: "on ne peut rien faire contre eux, car ils disposent du pouvoir. Mais en outre, à cause de leur simple esprit qui n'a pas reçu un développement comme il faut à cause de telle éducation que nous pouvons observer, ils ne devinent pas que sauf le style de samouraï, il y a encore le style de ninja, lorsque même un seul peut être un combattant. Cette circonstance réfute catégoriquement le cri du poète Maïakovski: "un solitaire est nul". Non. Un solitaire qui est capable de penser peut avoir des forces épouvantables, même s'il ne possède pas la capacité de téléportation.

          Sa réflexion était interrompue par le verrou qui a cliqué et la porte d'entrée qui a ouvert. Deux hommes en uniforme de camouflage entrèrent à la chambre sans se cacher, sans l'intention d'être inaperçus. Ils allumèrent la lumière sans ménagement et entrèrent à la chambre. Les copains un peu soûls s'apaisèrent effrayés.

          -Il semble, on vous a prévenu que vous n'approximiez pas à notre objet. À quoi bon êtes-vous entré à l'appartement qui n'est pas le vôtre?

          -Ce n'est pas lui. Il n'habite pas ici. Une nana habite cet endroit et elle nous plaît. Nous n'avons rien volé, vérifiez nos poches, s'il nous plaît.

          -Nous savons sans cela que vous avez les pistolets TT dans les poches que vous ne voliez pas, mais les portez sans autorisation. À brièvement dire, cet appartement, ne le visitez pas non plus. Vous savez que l'objet le visite parfois, mais vous êtes venus malgré ça. Vous n'osez point d'être proche de n'importe qui des connus de lui! Maintenant, mettez tout de l'ordre, comme si vous n'étiez jamais et sortez.

          Une pensée impulsive était née dans l'esprit d'Albert. Il ne réfléchit que quelques secondes. Le scénario avait l'aire immaculée. Il avait déjà marre de ces trois types. Le matin pouvaient-ils tirer lui, tirer sa Nadia, effrayer et insulter Svetlana si douce et inoffensive, comme un enfant. Et quoi de ceux deux tachetés diables? Comme y a-t-il beaucoup d'eux maintenant! De toutes sortes, de toutes les couleurs. Combien fois les types pareils lui a extorqué de l'argent, quand il vendait les journaux. Il ne s'agit pas de petite monnaie, ils ont besoin de laisser quelque chose de dégoûtant dans l'âme. Les salops pareils sont capables de fusiller des femmes et des enfants dans un point chaud quelque part, puis revenir et faire semblant comme des heroes. Maintenant, il va faire deux coups d'une pierre, il fusillera ceux tachetés et aura piégé les bandits à la fois.

          Albert retira le "Walter" de la sécurité et sortit des toilettes. Deux coups de feu de tonnerre forcèrent deux autorités d'abord de se tordre, puis de tomber. Les bandits épouvantés regardaient à l'Albert et immédiatement des coups ont retenti qui secouaient la porte et des exigences menaçantes de la ouvrir.

          -N'ayez pas peur et ne m'empêche, - Albert avait le temps de dire, mais ses mots ont été etouffés par les sons des coups forts à la porte et cris:

          -Ouvrez-le maintenant! Nous avons des fusils d'assaut! Ouvriez et à terre!

          Albert ouvrit la porte du balcon. Il pouvait téléporter tout de suite, mais il ne devait pas montrer sa capacité devant des témoins probables. Après avoir vu un tuyau de descente, il vint prudemment vers lui deux pas sur une corniche et commença à descendre le long de lui.

          -Ne tirez pas! Nous n'avons fait rien! C'est lui... l'objet...

          -Salauds! Tout le monde à terre! - Il semblait que ces cris effrayants déjà sonnaient dans l'appartement.

          Albert continuait à descendre, mais le son de verre cassé avec les fûts d'armes retentit dans quelques secondes et les gens avec fusils d'assaut sont apparus sur le balcon. Il n'y était reste à faire que téléporter à une forêt, se calmer et réfléchir.

          Un craquement retentit dans la forêt, mais Albert se rendit compte après un instant que par son émergence soudaine effraya-t-il une grande bête, soit un sanglier, soit un orignal. Le craquement s'éloignait et bientôt le silence nocturne de la forêt régna qui ajouta à son humeur une sorte d'une nuance romantique comme jamais auparavant.

          Donc, c'est fait. À juger par les balles extraites des chairs des agents juniors du FSB, soit blessés, soit tués, même un enfant comprendrait que les coups de feu ne sont pas faits de pistolets TT qui appartiennent aux bandits. Kashin maintenant doit inévitablement rapporter que c'est un objet suivi qui avait tiré, aussi rapporte la raison, à cause de laquelle on est en train de le suivre. Se signifierait de donner l'objet précieux qui peut téléporter aux mains de quelqu'un d'autre. Ce serait la même chose comme si donner un trésor qu'il vient de trouver lui-même aux mains de quelqu'un premier qu'il a vu dans la rue. Pourquoi agir comme ça? Il continuerait toujours à le suivre, en espérant à tout prix à prendre possession de compétence de la téléportation à son propre avantage, c'est sûre que ce but bien n'est pas inoffensif. Quant aux coups de feu, c'est les bandits qui seront accusés. Les balls de "Walter" seront "perdus", les bandits seront donnés aux flics et emprisonnés. Peu importe qu'ils raconteront sur le FSB aux camps de prison, c'est la mode et personne ne sera surpris. Les criminals, en riant dans la profondeur de l'âme, après les avoir écoutés, croiront que c'est un bavardage ordinaire. La prison est un lieu approprié à mentir, car on ne peut pas vérifier.

          Bien sûr, un part des agents seront mis en très grande colère à cause de ses collègues fusillés, mais qui laissera à eux faire quelque chose? Ils auront une conversation explicative. Les convaincre que toucher l'objet est interdit est une tâche plus facile que convaincre les flics, car la formation et préparation sont différentes. Il n'y a qu'un problème qui est aggravé. Il faut évacuer sa femme instamment.

          Albert téléporta à l'appartement de Lena et écouta. La lumière était éteinte. Il sortit des toilettes prudemment et s'assit par terre dans le couloir près de la porte ouverte de chambre. Deux amies allongeaient au lit large. Il aimerait bien s'allonger au milieu d'eux, caresser les deux, raconter de ses adventures, montrer le pistolet qui avait expulsé récemment son contenu mortel. Mais comme d'habitude, on ne peut pas dans la vie aller directement. Chaque but est réalisable en accord de ses règles. Il n'y a que ces règles à l'aller vers lui. Ici comme dans les montagnes: ceux qui sont séduits aller le long de la ligne droit, se retrouvent souvent sur le fond d'abîme. Albert a décidé d'être assis pendent à peu près dix minutes et partir s'il n'entend rien d'intéressant. Cependant, trois minutes de plus ne se sont pas écoulées, quand sa patience a été récompensée.

          -Nadya, est-ce vraiment que tu as pensé que je sois une lesbienne?

          -Je ne le cacherais de toi. Simplement, j'ai voulu vérifier toi.

          -Je ne cacherais aussi. C'est probable que je suis la première qui te tripoterait, mais ce n'a lieu.

          -Tu pouvais ne pas ce savoir. Est-ce que tu te connais assez bien? Tes inclinations, tes désirs? Tu peux faire sans ouvrir ça devant moi. Ouvre-lui au moins devant soi-même.

          -Et toi, sais-tu toi-même?

          -Avant ne savais-je pas, mais je sais maintenant et suis désolé pour tout le monde, car la grande majorité des gens ne savent à la matière du sex ce qu'ils veulent, car ils ont refoulé et banni ses désirs secrets depuis l'enfance.

          -Et comment as-tu renseigné de toi-même?

          -J'ai lu dans un journal de tout ça, je ne me souviens pas le nom de journal. Il y avait des recommandations très utiles, je n'ai vu plus des choses pareilles ni avant, ni après. On y conseille de jouer en esprit toutes les méthodes de copulation avec des partenaires de toutes sortes du sex et de l'âge, aussi s'imaginer soi-même essayant sur la pratique toutes les perversions qui sont possibles. Et quand tu trouves la tienne, tu le sentiras immédiatement, parce que c'est impossible de rater la chose pareille.

          -L'idée est intéressante. Peut-être, je prendrais un peu du plaisir si tu me baises, mais ce n'est pas de ce que j'ai besoin, ce n'est que substitut.

          -Bien sûr, je vois maintenant que ce n'est pas le tien, sinon, si c'est ton désir secret, tu ne pourrais le cacher de moi, je le verrais. Néanmoins, je conseille à toi simplement: examine ton essence. Personne ne contrôle tes pensées, et avec soi-même peut-on toujours faire paisiblement. Dans tes fantaisies, tu peux toujours tromper ton mari, copuler avec plusieurs hommes et en général, faire absolument tout.

          -Pourquoi tu si t’inquiètes de mes inclinations, comme si sont cachées?

          -Parce que j'ai commencé à faire ces exercices, j'ai appris de moi-même si beaucoup de nouveautés... non... ce n'était pas un choc mais le grand surpris. Et tout ça malgré le fait que mes inclinations ne vont pas au-delà des choses conventionnelles. Par exemple, j'ai appris que j'aime moi-même harceler les hommes, être la première qui les embrasse, touche, ce m'excite trop. C'est pourquoi j'ai exécuté avec plaisir une tâche... 

          Lena s'arrêta soudainement, s'en rendant compte qu'elle vient de dire trop. Mais dans quelques seconds, elle a trouvé un sujet qui convient.

          -Bien sûr que oui, la tâche. Quand en huitième année d'études, j'étais fait changer le siège situé près de mon amie à un beau garçon, j'avais été la première qui commença le toucher sous la table ...

          "Tu ne pourrais cacher de moi, de quelle tâche s'agit-il. Tu exécutais la mission de Kashin, mais moi, un crétin, croyais comme si c'était l'amour. Pourquoi, garce, j'étais tellement bien avec toi? Mieux que toutes les autres. Et comment faut-il te punir pour ça? - Albert se désolait mentalement. Tu chemines déjà au bord d’un gouffre. Pousser?"

          Mais Albert sentit de cette idée que même si personne n'apprit jamais de ça, il jugera lui-même pendant tous le reste de la vie. Cependant, elle-même, apparemment, n'a pas pleinement compris, en quel danger a-t-elle mis elle-même, s'en séduisant de travailler pour ce département diabolique de Kashin. La conversation de deux amies qui continuait, c'est elle qui a interrompu ses pensées.

          -Tu dis qu'il ne t'est jamais venu à l'esprit de tromper Albert? N'est-il pas venu à ton esprit qu'il lui-même te pouvait tromper et plusieurs fois?

          -Avec qui? Dans la rue, il ne sait pas familiariser. Les garces fuient des intellectuels plus que des clochards. C'est lieu de travail; où on familiarise avec les gens de sa sorte. Mais il ne travaille pas au sens classique, c'est-à-dire au sens soviétique de ce mot. Ce n'est possible que pour l'argent, mais ce n'est pas une tromperie réelle, à nommer. Et il y aurait le vin, toute la situation, je la sentirais.

          -Il ne peut pas. Lis-tu des journaux, sur les phénomènes anormaux? Je ne te croirais, si tu dis que tu n'ais entendu rien de la téléportation. C'est disparition d'une place et apparition à l'autre. Crois-tu que c'est une chose possible?

          -Je ne sais pas... - Nadejda réfléchit. La durée de pause déjà exprimait en minutes. Enfin, elle commença à dire.

          -Quelque part des grands trésors sont enterrés d'une forte somme d'argent. Peut-ce signifier qu'un d'eux est enterré à une profondeur d'un mètre dans la cour de ta maison à neuf étages? Allons creuser?

          -C'est quoi ce délire que tu dis?

          -Et quel délire tu dis? C'est la même chose. Сe n'est pas tout. Si on accuse l'épouse en tromperie, et à la fois allèguent des phénomènes anormaux rares qui soit existent, soit n'existent pas, c'est un signe clair qu'on a perdu les pédales. Peut-être, tu veux que je me querelle avec Albert? Tu pourrais inventer quelque chose de plus judicieuse. Sinon, tu obtiendras que je me querelle avec toi. D'ailleurs, la corde à sauter, est-ce qu'elle est conservée chez toi dès enfance?

          -Oui, elle est posée quelque part, et quoi?

          -J'espère que les cordes à linge y ait-il aussi?

          -Et quoi? Quel rapport avec ce que nous venons de parler?

          Un peu plus et Lena devinerait de quoi il va s'agiter, mais Nadia l'a dépassé:

          -Et donc. Allons, je te bien attache, puis je te fesserai avec la corde à sauter comme une chèvre, ainsi que demain fera-t-il mal à t'asseoir. Les inclinations masochistes qui sont cachées dans ta subconscience, et quoi si elles se découvriront en toi?

          -Elles ne se découvriront pas. J'en ai fait déja tout ça en esprit. Cette passion n'est pas la mienne.

          -Il est bon que ce ne soit pas la tienne. C'est ainsi que je traiterais une amie qu'ose séduire à mon mari. À cause de sa tromperie aurais-je enduré une douleur sur le plan moral, alors, il la faut laisser endurer la douleur sur le plan physique. Je serais désolé de tuer ou mutiler mon amie en griffant les yeux, mais je causerais à elle une douleur insupportable sans ce qu'est mauvais pour la santé.

          -Tu m'effrayes? Mais je suis courageuse! Fais ça, sinon je t'empêcherai de dormir.

          -Es-tu sérieuse?

          Au lieu de réponse, Lena alluma. Albert a failli d'être remarque, en changeant le lieu à se cacher. À peu près cinq minutes, elle a trouvé les cordes de linge et à sauter. 

          -Tout prêt, mon amie. Fais ça! Sinon je serai en train de te déranger et te ne laisserai pas dormir.

          -Eh bien, tiens bon ! Et ne sois pas offensé.

          -J'en ai voulu moi-même, - Lena a répondu d'une manière incertaine.

          Albert ne voyait pas, mais entendait ce qui passait assez bien. La préparation durait pendant trois minutes encore. Enfin il entendit la voix de sa femme:

          -N'as pas tu changé d'avis?

          -Je ne fais rien sans penser. Souviens-toi de ça!

          -Bien. Tiens bon alors. 

          Le premier sifflement et une tape au corps nu ont retenti. Puis les tapes suivaient un après autre. À juger de sifflement aigu qui sonnait parmi le silence, Nadia n'avait pas eu pitié de son amie du tout, mais l'amie faisait preuve de la patience spartiate.

          Aussitôt qu'Albert était prêt à évaluer mentalement cette patience, le premier hurlement sonna. Lena qui avait trente ans, elle hurlait et glapissait comme une étudiante d'école sous coups de canne.

         -Assez pour toi. Après tout, tu n'aimes pas cela. Pourquoi as-tu le demandé?

          Lena se tut immédiatement, elle respira profondément plusieurs fois et essuya les larmes. Dès que Nadia l'a détachée, elle commença à examiner attentivement son amie.

          -Quelle agressive es-tu, Nadia! Agressive, mais tu n'es pas une sadique. Simplement, je t'ai mis en colère.

          -Pardon-moi. Qu'est-ce que nous faisons, nous les deux!

          -Assez. Tu as servi moi en accord de ma demande. Il y a une autre raison qui m'inquiète. La punition est d'enfance, mais quel mal avais-je. Et quoi si on moi torture réellement? Je n'aurais enduré. Comme est-il épouvantable à vivre... Si épouvantable!

          -Écoute, tu as besoin de voir un psychiatrist. De quoi as-tu peur? Qui te torturera? Qui a besoin de ça?

          -Est-ce que tu ne vois rien, toi-même? Est-ce que c'est moi-même qui aie inventé l'assassinat du copain de Sveta? De qui est tu en train de te cacher chez moi? 

          -De quelle façon cela te regard?

          -Si tu es menacée, pourquoi je ne pas pourrais tomber en danger? Tu crois en pressentiments toi-même, n'est-ce pas?

          -Tout est bien si tout avec modération, mais tu exagères tout. Qu'est-ce qui se passe avec toi, pendant demi-année déjà? D'une fille timide, tu as transformé en psychopathe. À voir de l'autre côté, c'est l'intelligence, l'érudition qui sautent aux yeux. Avant, grâce à la timidité et modestie, à dire directement, tu étais comme une fille paysanne. Maintenant bientôt pourra-t-on te comparer avec mon Albert. Ce serait bien, mais c'est le mal, la cruauté et la peur qui sont ajoutés. Je les sens en toi. Qu'est-ce qui t'arrive?

          -Tu me demandes comme en interrogatoire, me je moi-même toujours ne peut pas me comprendre.

          -En tant qu'amie, je te conseille de contrôler ta psyché. Je ne peux pas te conseiller d'une manière sérieuse de voir un psychiatre. Ils sont des cordonniers de la pouvoir soviétique. Ils ont brisé tant destinés! Néanmoins, fais quelque chose toi-même. Prends des médicaments contre l'anxiété. Viens à nous voir plus souvent.

          Lena savait que ce n'est aucune maladie mentale qui est en train de la menacer, mais c'est la peur assez réelle qui est provoquée par assez réelle raison. Elle déjà commença à deviner qu'elle "sait trop". Trois hommes encore le savent, c'est Kashin, Skolopendrin et Batogov, néanmoins, ils l'ont appris d'elle. Elle a trahi Albert qu'elle aimait avant. Elle l'a trahi une fois plus, quand elle a lancé ses voisins contre lui. Maintenant elle est en train de trahir toutes les amies, en rapportant tous les tenants et aboutissants à leur sujet, toutes leurs inclinations et pensées secrètes. Elle fera tout qu'elle peut, elle sera bientôt épuisée complètement et ils n'auront plus besoin d'elle. Et ils la tueront. De quelle façon? Si la punition pour enfants l'a forcé pour crier de douleur, comment affrontera-t-elle la mort?

          Au prix de la douleur de la fessée avec corde à sauter, Lena tentait d'être sûre si son amie possède une inclination sadique. L'amie va bien. Mais quant à elle?.. Elle avait été surprise, comme peut-on trouver un plaisir en çà? Quoique ces derniers temps ait-elle commencé à se rendre compte de la nature, sa grande diversité et les exigences mutuellement exclusives des sortes différentes des êtres vivants: ce qu'est bien pour un, peut s'avérer la mort pour un autre. La peur et pressentiment de la mort n'ont qu'augmenté à cause de la fessée avec corde à sauter. La perte d'une petite quantité des cellules et des signaux de panique à ce sujet au cerveau, les signaux qui s'interprètent comme une douleur, cela lui a rappelé lui d'assez probable mort bientôt de tout le corps, il est possible, y compris, de l'âme. Elle a mérité tout ça. Comme Judas, elle a  trahi les amies et l'homme aimé, elle lui-même les a condamné on ne sait pas à quoi. Seigneur a vu tout et le châtiment n'est pas loin. Mais Il est miséricordieux. Elle entendait cela. Il peut pardonner.

          L'abcès de l'âme qui était en train de déborder, il s'est crevé enfin. Lena sauta du lit, tomba sue les genoux, en hurlant et répétant de la manière hystérique:

          -Mon Dieu! Pardonne-moi! Pardonne-moi qui ne mérite pas de ça. Mon Dieu. Fais quelque chose. Dis-moi que faire. Montre me le chemin correct. Enseigne-moi, comment vivre.

          Nadejda sauta en la suivant à la calmer. Les épaules de Lena frémissaient en sanglots. Elle ne faisait pas attention à l'amie, mais se lamentait fortement et essayait maladroitement de prier. Elle avait un désir de confesser aux amies et Albert de tout, mais ce n'était pas un tour d'ivrognerie. Son esprit était clair et elle savait que leur conversation est entendue avec grande probabilité et elle bien se rendait compte si les amies savent trop, ces types peuvent les tuer aussi. Quand elle se calma, mais toujours était aux genoux, la voix de Nadejda d'abord l'effraya puis faillit faire rire elle et Albert qui toujours se cachait et entendait tout.

          -J'ai compris de quoi s'agit-il. Tu as connecté avec dealers de drogue. Et tu non seulement vendais, mais tu as essayé quelque chose des drogues à cause de la curiosité. Maintenant tu es en train de souffrir de manque, c'est-à-dire, les symptômes d'abstinence. Qu'est-ce que tu manques? D'ailleurs, c'est probable qu'il est interdit d'en dire.

          -C'est cocaïne que je manque.

          -C'est mieux que l'héroïne ou la morphine. J'ai entendu quelque part comme si laisser tomber les dérivés de l'opium c'est une chose presque impossible.

          -No t'inquiète pas de moi. Seigneur m'aidera. Même si je ne sais pas de quelle façon agira-t-il, mais je dois croire.

         -Je m'inquiète d'Albert et je suppose qu'il fasse de même. La quantité d'argent est en train d'augmenter toujours et il ne prend avec lui le sac à dos qu'en voyage loin, en général aux villes. 

          -Quelles?

          -Différentes. Il dit qu'il a visité beaucoup de villes en parte européen de la Russie. Je ne vois pas de différence, s'il part à Voronej, soit à l'Arkhangelsk. Et je suppose que tu ne vois la différence d'autant plus.

          -Bien sûr, il a des amis neufs. A-t-il jamais emmené quelqu'un chez soi?

          Il y a deux minutes avant, Albert avait senti qu'il est probable qu'il bientôt devra interrompre cette conversation de toute urgence. Plusieurs fois il changeait le lieu de la cachette et maintenant dans la cuisine s'est-il caché. il y avait une pince à épier sur la petite table avec un miroir ancien. Cette pince à épier rappela lui un événement de son enfance lointaine. Une prise électrique qui était située près, elle s'est avérée très utile.

          -Cela dépend de ceux qui sont appelés des amis. Ceux qui vendaient des journaux avec lui ensemble, ils ne sont pas venus ni une fois. Quant à des anciens amis, il les ignore maintenant, car il est déçu ...

          Un craquement fort retentit à cet instant et beaucoup d'étincelles jaillirent dans l'appartement. Les amies se turent, mais dans une minute, la voix de Lena expliqua: 

          -Nadia, n'aie pas peur. C'est un court-circuit. Je changerai les plombs du câblage demain. Si on court-circuite de nouveau, j'appellerai un électricien. Dormons maintenant.

          -Je veux dormir aussi. Bonne nuit.

          -Bonne nuit.

          Dans quelques minutes, après s'assurer que les amies fatiguées viennent de s'endormir, Albert de nouveau téléporta à l'appartement de Sveta. C'était une surprise, mais tout était en place, à l'exception des verres cassés de la fenêtre du balcon. Pas des signes de lutte. La porte d'entrée n'était pas cassée aussi. Donc les bandits ont ouvert la porte et laissé entrer les tireurs de bon gré. Il voudrait voir la porte de l'autre côté, si elle est cassée, mais en regardant à travers le judas, il a vu deux agents en civil avec les écouteurs et antennes.

          Bien sûr, ce qu'ils écoutent, n'était pas le heavy métal ni quelque chose de pareil. Albert a décidé de partir et la raison principale de ça, pour ne pas donner trop d'informations à l'ennemie.

          Dans l'appartement de Valia, la maîtresse et son amie invitée, les deux dormaient pudiquement aux lits différents. L'alarme des documents quittés le saisit, mais après apparaître dans la salle de bain chez lui, il s'assura que tout est en place. Il n'y avait aucun agent ni dans l'appartement, ni dehors de lui. Ce n'est que maintenant qu'il se sentait, comme forte est son envie de dormir. Après avoir mis les documents aux poches de nouveau, Albert s'allongea sur le canapé directement en imperméable et il n'a enlevé que les chaussures. Il s'endormit bientôt. En rêve tua-t-il des ennemies, sauva des gens innocents et atteignait une victoire après l'autre.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2018/01/chapter-2-in-role-as-night-ghost-part-2.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/01/524

Le chapitre suivant:  https://la-flagellation.blogspot.com/2022/01/chapitre-iii-une-course-dobstacles-la.html


No comments:

Post a Comment