Wednesday, January 5, 2022

Chapitre III. Une course d'obstacles. La téléportation. Partie II.

           Albert se réveilla à huit heures de matin après avoir donné au sommeil tant du temps qu'il avait besoin, mais comme d'habitude ce passe, on se sent plus fatigué après long sommeil. 

          Comme c'est bon d'être capable de téléporter! Sinon, il ne pourrait pas même penser à passer la nuit chez soi après avoir fusillade dans l'appartement de Sveta qu'était commis par lui. Ils savent sûrement qui a tiré et aussi ils savent sûrement que c'est impossible l'arrêter, c'est pourquoi ils ne viennent pas. Non seulement cela. À gagner le secret de lui, ils sont prêts à laisser aller une centaine des criminals, pourvu qu'obtenir ce qu'ils veulent. Après tout, ce n'est pas un service mais une affaire illégale. Néanmoins, c'est une raison, de laquelle peut-on attendre plus de cruauté et désordre que des personnes officielles. D'ailleurs, c'est assez possible que les collègues supérieurs déjà ont appris ces machinations et les observent, afin qu'intercepter à temps des informations qu'ils obtiennent. Il faut à tout prix éviter cela. Ce serait une perte, une défaite à cent pour cent. Perdre, en possédant des capacités comme ça, ce serait l'infamie devant soi-même.

          Albert était en train de se détendre et de faire massage des jambes, mais il ne pas pouvait le faire mieux qu'il savait faire. Il  ouvrait imperceptiblement les fenêtres à se rafraîchir avec les courants automnes-hivers d'air, prenait du thé fort. Et dès que l'intérêt pour les documents obtenus par le vieillard fut augmenté jusqu'à maximum, il les commença à les examiner.

         Kashin et ses deux assistants qui étaient mis au courant de l'affaire, tous les trois habitaient le même immeuble de Moscou, près de l'Avenue Koutouzov. La plus proche station de métro était "Stoudentcheskaya" (D'étudiants). Il était paru de tous les signes qu'il y avait eu une protection du Kashin, dont ces deux avaient réussi à obtenir un emploi au KGB. En 1959 étant en bas âge, Kashin avec les parents avait été déménagé dans cet immeuble qui fut venu d'être bâti. À dire de la couleur de cet immeuble, soit il était jaune, soit rose, les deux variantes ne seraient pas exactes. Dans cette époque bâtissait-on à l'URSS des immeubles de cette couleur indéterminée comme ça. Le métro était bâti à proximité dans la même année. Quant à Skolopendrin et Batogov, les deux étaient nés dans cette maison, l'un dans deux ans, l'autre dans les quatre. Kashin se souvenait toujours la maison dangereuse à s'écrouler en bois dans les ruettes quelque part à peu près de la rue Sretenka.

          Il y avait des photos jointes de tous les trois. Albert a reconnu deux d'eux. Batogov avait examiné le passeport d'Albert, quand il sortait de l'entrée avec sa femme et Kashin était debout près de lui. Albert supposa qu'il ne vît pas encore Skolopendrin, car il n'avait pas remarqué ce soir-là, quand le premier rendez-vous avec Lena était en plan, en téléportant à l'escalier de la maison d'elle, comme les deux regardaient à lui des ténèbres. Dans l'apparition de Skolopendrin sur la photo, il serait très difficile à trouver quelque chose "de police", contrairement à deux autres. On le pouvait prendre pour quelqu'un qui exécute un travail analytique, un mathématicien, un professeur du corps professoral où Albert étudiait et avait l'expérience de communication avec les gens des professions pareilles. Il y avait plusieurs adresses des planques qui étaient installées par la Service, y compris par Kashin personnellement. Les informations des derniers appartements, il y avait deux, apparemment devaient être cachées des autres collègues, y compris de Lena. Quant aux racketteurs que Kashin présentait comme ses informateurs personnels, ils utilisaient deux appartements près de la Ligne Filiovskaya de métro. Un appartement où les femmes qui recueillaient des informations, venaient, était situé à la proche partie de l'Outre-Moscova dans la ruelle Arsenievski, l'autre était situé près de métro "Novye Tcheryomushki". Ces trois organisateurs utilisaient des autos de service et aussi des voitures personnelles. Batogov et Skolopendrin avaient "Jigouli" du sixième modèle dans les garages privés. Kashin avait le modèle neuvième et il rêvait d'une voiture étrangère. Il investissait dans l'aventure presque tous l'argent gagné illégalement, surtout maintenant, lorsque la chance presque était obtenue. Il n'y avait plus des doutes que "l'objet" possède la précieuse capacité de téléporter, mais malheureusement, cette capacité elle-même a donné lieu à un problème de le détenir et le soumettre à leur volonté.

          Albert bien se rendait compte que les poursuivants l'essayeront de ne pas effrayer, néanmoins, il y aura un instant, quand ils devront s'ouvrir et alors ils agiront d'une manière déterminée, rapide comme l'éclair et sans pitié. Quand se passera cela? Il ne faut pas les laisser le devancer. Le plus tôt évacue-t-il la femme, il sera le mieux. Aussi il devra réfléchir, comment protéger les autres amies, mais on peut après faire ça. Malgré le fait qu'ils savent à l'aide de Lena et les mouchards que toutes les trois femmes sont ses maîtresses, mais il ne leur viendra pas à l'esprit de capturer quelqu'une d'eux plus tôt que son épouse légale. Pour lui, ce serait pénible également à perdre n'importe qui de ces quatre maîtresses, soit légale, soit illégale, mais les poursuivants toujours ne savent cela. Albert regrettait maintenant de n'avait pas accepté de se rencontrer avec le vieillard à New York nocturne, ils auraient y dû rencontrer en six heures de matin, tandis qu'il est deux heures de midi à Moscou. N'importe quoi peut arriver pendant ce temps. Non. Il est nécessaire de procéder à l'évacuation déjà aujourd'hui à tout prix.

          De plus, les coups de feu qu'il a tirés hier, il paraissait, comme s'ils ne feront rien de mal, en réalité, c'est peut maintenant accélérer le courant des évènements, ce que soit contre l'intérêt de lui. Maintenant à la réunion, Paul lui dira qu'il ne faut pas prendre des décisions vite sans nécessité absolue. Bien qu'il en ait déjà compris. Il n'avait aucune nécessité hier, simplement avait-il envie de tirer et, en examinant rapidement des conséquences probables, tout paraissait irréprochable. Après tout, il avait contenu sa pulsion de s'allonger entre deux femmes aimées. Il fallait s'abstenir dans cette affaire aussi. Maintenant partout et toujours doit-il se comporter comme éclaireur, non comme un profane oisif ou petit escroc. Tout est bien plus grave.

          Après avoir été assis avec les documents une demi-heure de plus, en essayant de mémoriser autant que possible, puis, comme son ami s'exprimait, il "grimpa" au palier de grenier à l'immeuble de Lena, puis descendit l'escalier jusqu'à l'appartement nécessaire et sonna. Les deux ont étés surprises de son apparition inattendue, quoiqu'il n'ait appelé ni hier, ni aujourd'hui.

          Pendant le thé, tandis que la femme légale ne remarquait pas, Lena essayait de faire les yeux doux à lui. Il détournait les yeux et il n'y était qu'une fois, quand on pouvait être sûr que Nadejda ne verrait rien, il sourit, posa l’index sur les lèvres, puis menaça du doigt et montra le poing par plaisanterie. En saisissant un instant, Albert, en agissant, comme par dépit à Lena, il commença à l'accoster son épouse de la façon d'un voyou de rue. Il la souleva de la chaise, commença à l'embracer, à soulever sa jupe.

          -As-tu folle envie de cela directement maintenant? Est-ce que la place est appropriée pour ça? Arrête de devenir fou. Tu ferais mieux d'avoir honte devant mon amie... Quel impatient es-tu... Nous n'avons pas pris encore le thé jusqu'à bout.

          Lena toujours regardait à eux. Néanmoins, elle se rendit compte vite que sa situation est assez embarrassante, en regardant à deux amants qui sont en train de s'embrasser. Elle détourna vite et sortit. C'était ce de quoi Albert avait besoin. Il prudemment murmura à l'oreille à elle les mots déjà préparés:

          -Nous devons partir. Il est plus dangereux d'être chez Lena que chez nous. Elle nous a trahi. Ne le montre pas, sinon tu tout gâcheras. Nous avons l'argent et lieu à nous cacher. Nous avons toutes les chances à nous sauver. Il n'y a qu'une chose de l'abîmer tout. Ce serait ta désobéissance.

          Au lieu de réponse, c'était un regard interrogatif qui suivit.

          -Est-ce que tu crois, comme si c'est une plaisanterie? Aujourd'hui dans la nuit, à l'aide de ce joujou, - Albert prudemment, pour que quelqu'un s'il entre, ne verrait rien, il a montré le pistolet à elle, - de ce joujou, j'ai fait tomber des deux hommes. Je ne sais pas, s'ils resteront vifs. Il n'y a qu'une chose de toi qu'est nécessaire: pendant à peu près de quinze minutes être assise pour avoir l'air que tout aille, puis partir poliment et tranquillement. N'est-ce pas difficile? Il est temps de partir.

          Les mots derniers "temps de partir", Lena entendit, tandis qu'elle entra de nouveau. Alors, après fut sortie, elle devina qu'Albert pût jouer cette scène avec sa femme avec intention, afin qu'il chuchote à elle quelque chose. Ses chefs ont dicté les leçons de trucs pareils dans les planques.

          -Néanmoins, tu es une sorte de fou, - Nadejda prononça déjà à haute voix. Elle a failli dire: "Qu'est-ce que tu as fait?" Mais une sorte de sentiment, on ne le peut pas expliquer, l'arrêta à temps et elle pensa qu'il soit raisonnable à se taire.

          -Lena, nous allons, - Albert annonça soudain en se tournant à elle. Il devina qu'elle eut entendu la fin de leur dialogue.

          -Alik, allons nous asseoir pendant quinze minutes.

          Albert regarda à la pendule. Il était une heure et cinq.

          -Non. Il vaudrait mieux partir maintenant, sinon nous serons en retard, - il répondit. 

          -Qu'est-ce lieu où vous dépêchez?

          -Nous reviendrons et raconterons le soir.

          -Est-ce que je doive rouler ici et là avec toi?

          -Je t'expliquerai tout après. Nous devons retourner.

          Ils se sont habillé dépêchant. Nadejda ne se calmait pas, mais continuait à grogner de plus en plus. À l'instant lorsqu'ils sortaient de l'entrée son indignation atteignit le maximum, mais Albert murmura à l'oreille d'elle:

          -Nous ne devons pas retourner ici. Souviens-tu, comme dans notre cour les trois types furent capturés? Et j'ai un pistolet "Walter" dans la poche. D'ailleurs, Lena a peur de quelque chose. Elle a un pressentiment de mort. Tout ça est connecté réciproquement. Je plaisante pas, je ne joue pas.

          -Et quoi. Est-ce que tu es en train de contacter avec des trafiquants de drogue, comme Lena a fait? Tu es arrêté de vendre les journaux, mais il y a d'argent de plus en plus? Est-ce que tu crois comme si je ne vois rien?

          -Je gagne cet argent honnêtement. Si je commence à voler, j'aurai des milliards. C'est la raison de laquelle on chasse à nous. Ils ne me peuvent capturer. Ils toujours ne devinent pas que nous nous enfuyons. Sinon, ils te prendraient en otage, afin que me capturer. Si je te dis, pourquoi ils ont besoin de moi, sais-tu, comme peuvent-ils regarder dans les yeux, faire effets sur l'état psychologique? Ils devineront que tu sais trop. Es-tu informée qui d'habitude arrive-t-il à ceux qui savent trop? Je ne veux pas te perdre. Pour cette raison, fais tout que je dirai. Tout de suite, nous prenons le métro. Je dois voir un certain ami. Je descendrai avant, mais tu atteindras la station Taganskaya, sortiras et quoi qu'il arrive, attends-moi là-bas.

          Il disait à elle tout ça dans une rue déserte qui emmenait à la station de métro. Ils marchaient vite.

          -Si ç'avère une blague stupide, je ne vivrai plus avec toi.

          -Soit nous vivrons et prospérons en sécurité, soit périr ensemble, dans les deux cas apprendras-tu que ce ne soit pas une blague. Final de cette comédie dépend de toi à 99%. Il y avait assez des histoires belles et tristes dans le monde, lorsque des amants préféraient à mourir ensemble. Je crois qu'il vaut mieux ne pas augmenter leur nombre.

          Puis il montra prudemment à elle des photos de trois poursuivants possibles. Il l'enseigna que faut-il dire si on essaye de la détenir, il écrivit plusieurs noms et numéros de téléphone pour que les mentionner si c'est nécessaire.

          Toujours taisant, ils roulaient dans le métro  pendant longtemps et avaient un peu temps à changer à la ligne circulaire. Albert jeta un coup d'œil à la montre. Il était deux heures moins cinq. Il ne pouvait pas continuer la route.

          -Je descends ici. Je ne sais pas, pendant quel temps y devras-tu être debout m'en attendant, mais attends, sinon on est foutu. N'importe de quel trou j'apparais - courez immédiatement vers moi. Ce n'est pas important, quelle décente apparence ces personnes auraient, ils sont pires que tout l'environnement bandit de défunt Tolik et il y a une chose qui me console. Ils sont un peu plus intelligents, prévisibles et ont peur de leurs chefs. J'essayerai plus vite.

          Il descendit à une station, attendit que le train s'éloignât. Avant de l'entrée dans le tunnel sombre, il y avait une porte étroite qui était couverte de peinture argentée. Il y avait une inscription rouge sur la porte: "Dangereux. Interdit à l'entrée". Albert s'approcha, enjamba la porte du côté droit au-dessus des rails, en tenant cette porte et disparut aux ténèbres.

          Nadejda descendit deux stations plus loin, comme convenu. Elle était mal à l'aise, inquiète et à la fois voudrait-elle apprendre que signifie tout ça et comme finirait. Si c'est une absurdité, peut-il être que le pistolet à la poche du mari soit une absurdité aussi? Et ces gens sur les photos? Elle a vu déjà quelqu'un d'eux, mais ne pouvait pas se souvenir où. Et quoi quant à cette mention du général Paukov du FSB? Peut-il être qu'un général vendrait-il de la cocaïne? Une sorte de diablerie, mais tout ça n'est pas une connerie finie. C'est une partie de la vérité, quoiqu'elle soit très étrange.

          Elle s'approcha d'un kiosque à journaux. Faut-il acheter "Affaires criminelles" ou pas? Il ne manque pas des propres problèmes. Il faut réfléchir tout cela plus une fois encore, sans distrait. Néanmoins, s'il ne vient pas pendant longtemps? Peut-être vaut-il s'occuper de la lecture?

          -Vous ennuyez-vous? Je peux raconter à vous une chose intéressante sans "Affaires criminelles".

          -Il paraît, nous ne connaissons pas l'un l'autre. Regardez à moi plus attentivement. On dit, il y avait un film ancien "Nous avons rencontré quelque part", quand je toujours n'étais pas né.

          Nadejda jeta un coup d'œil involontairement à l'inconnu ennuyeux. C'était un homme d'une photo que le mari a montré et il était l'un de ceux qu'elle a vu quelque part.

          -Je vous rappelle: j'ai vérifié les documents de votre mari avec mon collègue hier le matin, quand vous êtes sortis à deux de l'entrée de votre maison.

          Il ne mentit pas. Elle l'a reconnu. Quelque chose de dégoûtant y avait-il sous les traits de cet homme, malgré sa manière irréprochable.

          -Quel rapport avec nous peut-il être le cas que passait près de notre immeuble? 

          -Hier n'a pas de rapport, mais aujourd'hui vous l'avez. La nuit, votre mari a pénétré dans l'appartement de votre amie Sveta Izmailova d'une façon que nous ne savons pas, et comme les analyses donnent, c'était un pistolet "Walter" à l'aide lequel a-t-il blessé deux nos collègues. Les deux sont dans l'hôpital, un d'eux se trouve dans un état grave. Maintenant votre mari était avec vous au métro, il a descendu à la station "Dobryninskaya" et a essayé d'entrer dans le tunnel, où les trains passent, mais les gens normals ne passent pas. Nous devions le détenir et mettre lui des menottes. Si vous êtes en train de l'attendre, c'est en vain. Vous pouvez être debout ici jusqu'à demain le matin. Mais voilà, j'ai vous attrapé! Vous venez de me croire. Vous venez de me croire que votre Albert a tiré sur les gens avec une arme. Donc il dit sincèrement avec vous de ses affaires. Pourtant, vous pouvez aider à lui, en étant sincère avec nous.

          Soudain, Nadia vient de se souvenir les mots d'Albert: quoi qu'ils te disent là-bas, somme s'ils m'ont détenu, arrêté, tué, ce ne serait ni 90%, ni 99%, mais tous les 100% du mensonge. Gagne du temps. Quant à Kovalev, le général Paukov - c'est des atouts qu'on peut montrer dans une situation extrême.

          -Pourquoi devrais-je vous croire? Que faisaient vos collègues dans l'appartement de l'amie Izmailova?

          -Votre amie n'y était pas. Elle est parti à Valentina Joutchenko à Zavety Ilyitcha. Vous pouvez voir, nous savons tout. La façon n'est pas connue, de laquelle y ont pénétré les vendeurs de la cocaïne avec votre mari, - Batogov mentit sur les bandits qui n'étaient pas des vendeurs. - Et lorsque nos gens les ont essayé de détenir, votre mari les a tiré et est évadé, en descendant le long d'un tuyau. Puis il a pris un taxi et croyait qu'on le ne captura jamais. Est-ce que vous croyez réellement comme s'il a réussi à s'évader, surtout dans le métro? Le métro est un piège. Toutes les sorties étaient bloquées. Quant à tunnel, même un homme avec brillante réputation serait arrêté là-bas. Il y a toujours nos gars de la section antiterroriste et toutes les entrées là-bas sont vues par des caméras vidéo. Est-ce que vous croyez en contes? Je vous conseille d'aller avec nous et témoigner dans le calme.

          -Vous n'avez ni mandat, ni citation à venir, ni assignation.

          -Tout ça sera assez bientôt. Quant à votre mari, on va à l'interroger maintenant. Et c'est notre volonté, dans quelles mains tombera-t-il. Si je ne reçois de vous ceux-là information que j'ai besoin, je le remettrai aux mains des camarades de ceux collègues sur qui a-t-il tiré. Ils rêvent le recevoir. Est-ce vous êtes capable de vous imaginer qu'ils peuvent faire de lui, quand ils seront en train d'arracher des témoignages de lui?

          -De quelle sorte d'informations avez-vous besoin?

          -À propos de tous ses amis et connexions ces derniers temps. Ce n'est pas lui qui nous intéresse mais certains autres. Tous les gens normals ont des amis. Néanmoins, nous sommes informés que votre mari a rompu toutes les connexions passées. S'il est sincère avec vous a un tel degré que vous savez de son délit nocturn...

          -Je n'ai pas le dit!

          -J'ai compris que vous savez. D'ailleurs, vous auriez été emprisonnée avant pour non-dénonciation de délit. Vous pouvez affirmer votre version, mais je suis au courant des évènements. Il ne peut pas être qu'il ne vous dit jamais sur ses amis, connexions, intérêts.

          -Je n'ai entendu jamais de lui les mots: les drogues, la cocaïne.

          -Ce n'est pas la cocaïne de quoi je suis en train de vous interroger.

          -Chez nous, il n'y avait personne, si l'on ne prend pas en compte un vieillard étrange que n'est plus vivant. Ce ne peut point vous intéresser.

          -Nous sommes intéressés de tout. Quel âge a-t-il?

          -Plus de soixante apparemment. Pas plus que soixante-dix.

          -Son nom? Quel l'air a-t-il?

          -Albert a dit quelques fois qu'il est péri dans circonstances de quelles il ne sait rien. 

          -Est-ce que vous l'avez vérifié?

          -Vu le cadavre? Ne vérifiais, ni voyais.

          -Donc: votre mari a inventé cette histoire de la perte. Il est probable, il a emmené ce type chez vous, toute de suite après avoir fait la connaissance. Quand ils ont été devenus pleinement opérationnels et il s'est rendu compte, avec laquelle merde devait-il faire face, il a décidé de cacher de vous la poursuite des contacts avec lui.

          -Je ne pas encore comprends, pourquoi avez-vous besoin d'un vieux vagabond qui est bizarre et croit en Dieu, et aime raisonner. Cela a l'air comme si vous êtes occupe une affaire qui n'a rien à faire avec votre profession.

          -Comme venez-vous de dire? Un vieux vagabond qui est bizarre et croit en Dieu? Aussi, il aime raisonner, donc philosopher. Néanmoins, la milice le cherche et nous en savons. C'est assez possible qu'il est le même. Vous avez dit "bizarre". La bizarrerie est une chose qu'on peut voir rarement. Est-ce que vous voies beaucoup de philosophes vieux qui vaguent dans la rue? Après tous, Il ne ressemble pas à un clochard ordinaire, n'est-ce pas?

          En disant cela, Batogov a sorti les écouteurs d'une petite serviette et les a mis sur lui-même, mais pas directement sur ses oreilles, mais à côté d'eux. Après ça, il a sorti un tube oblong de destination inconnue.

          -Savez-vous qu'est-ce que c'est? C'est un appareil à paralyser. Si je le pointe à vous et l'appareil fonctionne, vous perdrez la conscience et vous réveillerez à une place que n'est pas assez confortable et il y a des gens qui déjà ne parleront avec vous poliment comme ça. Je suis sûr que vous n'avez dit guère quelque chose jusqu'à bout. 

          -Et vos hauts chefs, par exemple, le même général Paukov, comment considérait-il cela?

          -Qui vous laissera entrer vers lui?

          -Si je disparais, il y a des autres certains gens qui téléphoneront à lui et s'il n'est pas là pour un moment, ils diront à Kovalev. Chacun d'eux serait ravi de recevoir des informations des affaires que vous occupez avec Kashin et Skolopendrin. Ainsi, ils me laisseront entrer vers lui à bras ouverts. Donc, ne vous y trompez pas, monsieur... oh, pardon, camarade Batogov.

          Batogov devait appliquer toutes ses connaissances, pour cacher sous quel choc resta-t-il à cause des propos de la cliente rebelle, mais il ne pouvait qu'en partie cacher sa condition mentale. La tentative de désactiver tous les canaux émotionnels a donné un effet de stupéfaction. Nadejda a vu que les atouts donnés à elle par Albert, viennent de marcher bien. Cela lui a ajouté de l'assurance.

          -Je n'exige de vous qu'une chose: ne pas limiter ma liberté de déplacement.

          -Et comme longtemps allez-vous à l'être debout ici? Maintenant, il fait froid, nous sommes debout déjà presque une heure. Je ne vais pas à limité la liberté de vous. La liberté de déplacement de votre mari déjà est limitée. Personne ne vient, pourquoi comme ça?

          -Si vous avez froid - allez vous réchauffer. Je vais suivre de sages conseils. 

          Après avoir dit cela, Batogov se dirigea à la porte de métro, mais sans l'atteindre, il sortit un talkie-walkie de la poche et déplia l'antenne télescopique.

          -Ici Lédon, ici Lédon. Aigle et Éclair, répondez, - après avoir entendu la réponse, il continua:

          -Objet-2 connaît le Maître et Pivert, je répète: objet-2 connaît le Maître et Pivert. Cela a l'air, comme si elle attend l'objet-1, pour échapper avec lui. Il faut engager tous les groupes à les suivre. Nous ne pouvons pas les laisser fuir. Répondez. 

          Ici Éclair, - Batogov entendit la réponse. - À joindre tous les groupes à nous, ce n'est pas possible. Je n'ai pas le droit d'interrompre leurs missions. Ce sera moi qui devrai répondre devant le tribunal dans ce cas, pas à toi. Il faut essayer de réussir par le seul groupe libre. Comment sais-tu qu'ils sont en train de fuir? Répondez.

          -Elle sait du tir nocturne, mais elle sait mal le reste. Je suppose qu'il ait montré le pistolet à elle. Sinon elle pourrait ne pas croire. Quand j'ai commencé à la demander et provoquer, elle vient de nommer correctement le Maître, le Pivert et les numéros de leurs téléphones. Répondez

          -Ici Éclair. C'est la dernière chose dont nous avons besoin. J'emmène tous le groupe pour aider. Ils nous conduiront à l'objet du degré suivant, c'est probable qu'ils ont des laboratoires. Avec patience. C'est mal que tout dépend du seul objet. Il faut que tous les autres soient découverts. Répondez.

          -Ici Aigle. Éclair et Lédon, écoutez avec attention. Je sens qu'ils aillent fuir le long de direction à Kazan ou Gorki. Je vais à Perovo. Il y a une petite station Tchukhlinka, là-dessous. Les deux chemins de fer y se croisent. S'ils utilisent un train local, je les suivrai et vous informerai de leur route. Répondez.

          -Ici Éclair. J'ai vous compris. Je félicite votre plan, Aigle. Allez agir.

          -Ici Lédon. Un message supplémentaire: au printemps un vieillard a été chez l'objet. Les signes de ce vieillard coïncident avec témoignage d'un flic à trois gares. Avez-vous compris? Répondez.

          -Je vous ai compris bien. C'est bien pour toi, Lédon. Je vais aider. Y a-t-il des questions? La fin de connexion.

          -J'ai compris, - Batogov répondit à voix bas et mit le radio dans la poche. Puis il s'approcha de Nadia qui devint immobile dans une longue attente et prononça, en triomphant:

          -Il semble, que votre mari ne pas vienne déjà longtemps. Longtemps trop.

          -Qui a dit à vous, comme si c'est lui que j'attends?

          À ce moment, la monotonie du bruit des autos était violée. En hurlant par pneus, une voiture "Volga" s'approcha du trottoir à haute vitesse. La porte de voiture s'ouvrit immédiatement. Un homme portant des lunettes noires qui était assis près de cette porte, cria à foule:

          -Nadia, viens ici, plus vite! - s'en relevant un peu, il ouvrit la porte arrière, où elle devait s'asseoir, il courut à la porte arrière lui-même, après avoir fermé la porte dentrée. Puis il tourna vers chauffeur et ajouta à voix bas:

          -Comme on a dit, à Novo-Guireevo.

          Néanmoins, Batogov réussit à fixer le tube étrange à des fils qui venaient des écouteurs et le pointa le tube à la voiture qui soudain vient d'apparaître on ne sait pas d'où. C'était le même tube, avec lequel il avait effrayé Nadejda. Nadya a reconnu Albert malgré les lunettes noires, mais les tout premiers instants ne l'a-t-elle reconnu qu'à la voix. Elle entra en courant dans la voiture en ferma la porte, et la voiture s'est éloignée brusquement.

          -Alik! Il veut tirer à nous par quelque chose!

          -Non, - Albert répondit à voix bas et mit son doigt aux lèvres.

          Le cri d'elle comme si poussa le chauffeur. Et voilà, la chaussée vient de devenir libre de tout le transport. Il l'utilisa, en violant toutes les règles, se précipita à l'autre côté de la place pour rouler dans la direction opposée. Selon les règles, il fallait rouler le long de ce côté jusqu'au lieu où le virage à retourner soit autorisé. Albert n'expliqua que quand la voiture tourna à la Chaussée des Enthousiastes:

          -Ce n'était pas une arme, mais un dispositif à écouter.

          -Salaud, il m'a effrayé par ce dispositif et je devais présenter tous les atouts! 

          -Maintenant, ils nous suivront plus activement. Pourquoi n'as-tu deviné pas qu'on ne joint aucune arme aux écouteurs?

          -Il tenait le tube aux mains simplement, sans le joindre aux écouteurs, malgré le fait qu'il les avait mis avant.

          -Les gars, n'est-ce pas que vous êtes en train de cacher de la milice? - le chauffeur interféra. - Dans ce cas, ils me peuvent convoquer pour interrogatoires, est-ce que j'ai besoin de ça?

          -Nous nous cachons d'une organisation criminelle, quelque chose de sorte de mafia mais pire.

          Après ce dire, il sortit de la poche un horaire des trains locaux, regarda sa montre et à la rue qui se ruait à leur rencontre. Maintenant était-il sûre, quand il laissa entrer sa femme dans la voiture, Batogov a entendu "Novo-Guireevo". Il y avait le reste de trois minutes à rouler jusqu'aux compliqués couloirs souterrains. Albert décida d'essayer de "conduire" le chauffeur sans pistolet. C'était vu maintenant de toute évidence que le chauffeur avérait un salaud ordinaire que Paul nommait les gens de cette sorte "les mouchards soviétiques". Dans le cas d'adoucir la conversation,  cela donnerait plus de temps à se tenir sur la route. L'aggravation de la conversation mènerait à la querelle avec exigence à payer et quitter la voiture immédiatement.

          -Personne ne dirait de mal de lui-même, répondit le chauffeur des mots d'Albert que ce n'est pas la milice qui chasse à eux. - Néanmoins, si creuser plus profondément, on peut trouver quelque chose pour laquelle vous seriez emprisonnés pour la moitié de votre vie.

          -Est-ce que deux cents dollars ne sont pas assez pour vous?

          -Je ne me vends pas et je ne rends pas services aux criminels. Si je savais avant à qui j'ai affaire, je déjà t'aurais emmené à la milice, devant laquelle nous sommes passés, pas à Taganka.

          -Vous dites et ne croyez pas en ce que dites vous-même. Parce que si vous croyez, vous auriez peur de dire des choses pareilles aux criminels.

          -Je suis un mec fort et travaillant. C'est vous, les intellectuels qui sont lâches. 

          -Dites ça à ton chef au travail.

          -Ce n'est pas tes affaires, où et que je dis. Et avec quelqu'un comme toi, je peux gérer ça. Directement maintenant allons dehors et je te casserai la gueule.

          -Je ne suis pas un chien de combat à faire des bêtises pareilles. Si vous ne me touchez pas, je passerais devant vous comme passerais devant un tas de merde, - et Albert changea soudain le ton, s'en transformant immédiatement. - Mais si te me touches, bouc, je te couperai les intestins et les enroulerai autour de la main. As-tu compris?

          -Quoi?!

          -Tiens le volant si tu n'as pas désir de percuter quelque chose.

          Le chauffeur en colère commença à bifurquer dans les files de droit et bientôt s'approcha de trottoir.

          -Ainsi écoute-moi, fils d'un gâfe, - Albert continuait à dire. - Je parle avec toi en ton argot sale de criminels pour que tu comprennes mieux. En tout cas je te battrais, car tu es un imbécile, et il y a toujours une opportunité de préparer n'importe quelle surprise pour l'imbécile. Même si j'avère plus faible, je te vaincrais à l'aide de ma détermination que tu ne possèdes pas et je pourrais te poursuivre pendant des années pour que t'attraper un jour et te faire saigner! Je suis un ami du peuple tchétchène et je considère leur coutume de la vendetta assez acceptable, surtout contre des pareils rustres comme toi. Et je suis plus dangereux à l'égard de toi qu'un Tchéchène, car je ne suis pas limité par les autres coutumes et préjugés. Je suis un guerrier, pas un criminel. Et je chasserai à votre sorte, c'est-à-dire, à bâtards bolcheviques pendant que je suis vivant!

          L'une phrase inattendue après l'autre, elles retardaient le dénouement, en forçant l'ennemie pendant plusieurs secondes se figer sur place, soit à cause d'étonnement, soit à cause de réflexion. Cela ne correspondait pas à l'expérience de ses querelles dans le passé. Enfin il crut que ce soit un poseur et psychopathe, un de ceux-là qui cherche la bagarre de la manière imprudemment et présomptueuse et il prend toujours sur la gueule ou tombe en prison.

          Le chauffeur se retourna, leva la main à battre et... demeura figé, en voyant un canon de pistolet pointé à lui. Cependant, il n'y avait aucune hésitation sur la face de l'homme qui était en train de tenir l'arme par la manière de poigne implacable. C'était la joie d'un chasseur qui a trouvé enfin un butin dont il avait besoin.

          -Que fais-tu? Pourquoi s'échauffer comme ça? Nous venons de converser comme d'homme à homme. J'ai dit à toi, tu as dit à moi... Beaucoup de monde autour nous... Pourquoi s'énerver? Quel chaud es-tu!.. Tu n'as pas compris une plaisanterie...

          En réalité, Albert n'a pas perdu son sang-froid. Il était bien capable de conduire la bête qui est à l'intérieur de chacun de nous. Quand les circonstances cela exigeaient, il la gardait en laisse courte, mais quand ils ont atteint une place contre la station des trains locaux "Novaia", il l'a lâché, sans oublier de regarder à montre. Il ne fallait qu'arrêter seulement ici, et le reste de temps était assez à marcher jusqu'à la station et pour cette dispute.

          -Il ne s'agit pas de moi. Je peux passer sans être offensé. Il s'agit du fait que tous les régimes, soit communistes, soit fascistes, ils comptent sur le soutien des gens pareils, comme tu es. Si votre sorte disparaît, peut-être cela ne fera pas un paradis sur la terre, mais la vie sera devenue normale comme dans les pays d'Ouest. Et pendant que tu es vivant, tu as toutes les chances à te changer. Je pensais à ne te payer rien après ça, mais ainsi soit-il. Je te mets cent dollars sur le siège, c'est assez. Malgré tout, quant à moi, je les gagne plus facilement que tu conduirais dix kilomètres. Si tu veux vivre, mets les mains et la tête sur volant et plus vite! Je t'ai arrêté à l'aide de mes mots au même lieu, dont j'ai eu besoin. Quant à Novo-Guireevo, c'était une connerie. Ici je ne suis pas seul. Suis assis tranquillement jusqu'à ce que les flics ou mes persécuteurs arrivent. Sinon n'apprendra jamais qui t'aurait tiré. À Dieu.

          Nadejda écoutait et fut surprise. Elle sentait des sentiments contradictoires. Comme peu connaît-elle son mari avec qui passa-t-elle trois ans ensemble! Maintenant elle vient de voir un côté fort de lui, à cause de lequel était-il effrayant. Une froideur de tombe menaçante soufflait de lui. Oui, il était une personne plus forte qu'elle supposait avant. Il peut défendre elle, il peut défendre soi-même, s'il avère vaincu, il vengera. Elle ne pouvait pas de se rendre compte, pourquoi cela ne réjouissait pas son cœur. Le fait fut qu'il n'était pas un prince d'un conte sur le cheval blanc, mais un guerrier réel de la vie contemporaine assez réelle. Pour être guerrier, ce n'est pas une chose nécessaire à vaincre trois ou quatre ennemies à l'aide d'un seul coup. Il est assez à posséder un esprit guerrier. Et comme est-il écrit dans l'Écriture: "leurs pieds sont rapides quand ils vont répandre le sang". Le guerrier émane de la guerre, dont il n'a rien de romantique. La Faucheuse la suivit toujours ou quelqu'un peut avoir des autres images qui provoquent la même condition de l'âme. Maintenant Nadejda ne voulait pas que son mari tue quelqu'un, surtout devant elle. Peut-être ils ont raison, car ils sont en train de fuir? Si est-ce pour longtemps?

          Deux voitures avec des équipes tactiques par ordre de Kashin déjà se précipitèrent le long de Chaussée des Enthousiastes à rencontre des fugitifs. Batogov déjà fut rapporté le numéro de "Volga" de couleur grise. Plusieurs fois, de l'une voiture ou de l'autre remarquèrent-ils les voitures de la couleur pareille. Sans réussir à lire le numéro, ils faisaient un demi-tour, en violant les règles, ils de la manière merveilleuse parfois faillaient provoquer un accident, poursuivaient des voitures grises, mais le numéro et passagers n'étaient pas ceux-là, dont ils avaient besoin. Par hasard, ils ont vu une fois la voiture nécessaire garée près du trottoir. Le chauffeur était assis, en mettant la tête et les mains sur le volant. D'abord, il était effrayé puis il s'indignait et menaçait à l'égard des "objets", même il proposa son aide à les détenir, mais ils ne l'écoutaient plus, mais ils se précipitèrent à la station "Novaia". Un train vient de partir en direction de la station "Kourovskaya". Immédiatement, Skolopendrin vient d'être informé de cela et il se précipita de Tchukhlinka à Perovo en haut. Un employé junior mal informé, c'est-à-dire, son partenaire était là-bas en train de l'attendre. Il avait une expérience sportive du demi-fond.

          Une partie des gens resta à examiner le quai, si l'objet apparaîtrait avec sa femme. Chacun d'eux avait des photos d'eux. Ils allaient à examiner les trains locaux à destination et en provenance de Moscou. L'autre partie du groupe revint aux voitures. Une voiture se précipita à Novo-Guireevo au cas où, et il y avait Kashin au-dedans. Une autre voiture se précipita vers Taganka à recevoir Batogov puis éloigna avec lui le long de Ryazanskoe shaussée plus loin du centre. Ceux qui restèrent dans les voitures, les deux étaient en train d'attendre avec impatience des rapportes d'observateurs des chemins de fer. S'il n'y a rien des rapports, il ne resterait qu'attendre le retour des "objets" tôt ou tard à l'une des adresses connues. Et tout le problème était qu'il paraît comme si "l'objet" séjournât dans l'ignorance complète et personne n'était prêt à ses actions inattendues. Les voitures libres étaient très loin au moment de sa probable évasion, c'est pourquoi ils ne réussirent ni le détenir, ni le suivre.

          Skolopendrin alla et retourna le long de son train. Il reconnaîtrait chacune personne poursuivie et ce n'est pas important, si elle a mis les lunettes noires ou non. Après tout, Albert n'avait mis les lunettes noires à Taganka que pour gagner quelques secondes, peut-être une fraction de seconde. Néanmoins, il n'y avait pas d'eux dans le train local.

          -As-tu vérifié des toilettes au milieu du train, - Skolopendrin a entendu à la radio. 

          -Nous n'avons pas de clé spéciale. Maudit! Déjà Lyubertsy.

          -En direction de Riazan, tous les trains déjà sont vérifiés. Les camarades avèrent plus prévoyants que toi. Ils ont pris les clés avec eux et ils ont vérifié tout.

          Skolopendrin se sentit offensé par le reproche, mais maintenant décida-t-il d'agir sans  distraire.

          -Peut-être, il serait mieux à quitter ce train? Néanmoins, je peux emprunter la clé de conducteur de train.

          -Ne quitte pas. Agis. Vérifie tout. S'ils ont besoin de la direction Kourovskaya, c'est le seul train local, par lequel ils peuvent fuir. Le train suivant mettra beaucoup de temps à s'y éloigner.

          Skolopendrin parlait à la radio, en étant dans le tambour vide de train, en sortant l'antenne dehors de la petite fenêtre du train. Le collègue junior qui savait bien courir, il regardait à lui, en attendant d'autres instructions. S'il ne regarde pas à lui, mais à tous les côtés, il verrait comme de verre de la porte que menait à l'autre wagon, d'abord une femme, puis un homme, ils jetèrent un coup d'œil à lui, chacun à son tour, et après avoir reculé, les deux coururent à travers un wagon au wagon suivant verrouillèrent la porte par la propre clé.

          -Nous devons atteindre la petite station "'41 kilomètre". Ils donneront à lui soit le signal de retraite, soit la tâche de vérifier toutes les toilettes. Tu peux voir que c'est impossible de me capturer, même dans le tunnel de métro. Je n'ai badiné point lorsque j'ai le dit. Pourquoi comme ça, je ne te le peux dire maintenant. Je vais à me cacher. Pour que tu ne sois pas remarquée, rejoins à n'importe quel groupe des gens, soit à un groupe des femmes, soit aux touristes, soit même aux joueurs de cartes à la rigueur. Si tu n'es pas seule, ils ne s'approcheront, ils simplement suivront où iras-tu. S'ils t'essayent de détenir, appelle à l'aide de passagers, gagne du temps. Le temps marche contre eux. Dans ce cas casse le verre de fenêtre dans l'arrêt premier. Cela sera un signal à moi. Mais ne casse le verre que dans la station. Pas entre les. Simplement, je ne veux pas fusiller dans le train. D'autant plus, plus tôt que nécessaire. Si tu atteins "41 km", ne descends qu'à l'instant quand les portes commenceront à se fermer. Et cours, cours en avant, à la direction du train. Nous avons peu de temps.

          -Tu vas faire quoi? Tu vas à pendre dehors du train? Tu peux tomber! Tu seras électrocuté sur le toit! C'est terrible! Ne me quitte pas!

          -Je n'essaye que pour toi. Si je suis seul, je n'aurai besoin de ce train. Si un jour apprends-tu toute la vérité, tu comprendras que j'ai raison. Ce devil à Taganka, qu'est-ce qu'il était en train de te dire? Malgré ça, nous avons vaincu! Dans ce cas nous vaincrons aussi. Il serait mieux si tu dis ce que viens-tu de comprendre? Dis plus vite.

          -Je dois rejoindre à un groupe des gens de toute urgence. S'ils me dérangent, il faut casser le verre de fenêtre du train à la première station. Si tout est bon, descendre le train à '"41 km" à l'instant de fermer les portes et courir avant, le long de la direction du train. 

          -Tu es intelligente, super! - Avec ce mot, Albert l'embrassa sur les lèvres et courut à travers tous les wagons au côté opposé de Skolopendrin.

          Dans demi-heure, le train a passé le quai de "41 km" avec tous les verres intacts. Et dans un quart d'heure de plus, un coup de feu retentit dans la forêt à peu près trois kilomètres de la station.


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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/01/534

Le chapitre suivant: https://la-flagellation.blogspot.com/2022/01/chapitre-iv-evacuation-jamais-la.html

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