Sunday, January 30, 2022

Chapitre VII. Olesya. La téléportation. Partie II.

           Le lendemain, le jour de quatre-vingt-quinzième anniversaire de l'ami de tel grand âge, tout le monde était en train de se reposer, de boire du thé et de la bière, d'écouter la music, de regarder des films de videocassettes. Albert réussit à "voler" aller et retour en New York la nuit à l'acheter la fraise. Olesya mangeait la fraise et était surprise: où a-t-il trouvé la fraise au coin perdu de la région de Krasnoïarsk en novembre? Elle déjà croyait sérieusement que son vieil amant était un magicien. Elle se souvint sans savoir pourquoi, qu'un jour Jésus-Christ avait nourri d'une manière merveilleuse cinq mille personnes. Le vieillard racontait déjà sincèrement et sans timide à Nadejda et il avait dit à l'Albert plusieurs jours avant qu'il fouettait son Olesya presque chaque jour. Outre d'un certain divertissement, cela favorisait à l'apprentissage réussi de la jeune fille.

          Le vieillard avait fait la connaissance avec elle dans la rue en été de l'année dernière. Il faisait froid et elle avait été assise triste dans une cour d'une petite ville située à l'Abakan branche du chemin de fer.

          -Alors, malicieuse fille, veux-tu recevoir d'une fessée avec ceinture? - il avait plaisanté de la façon, comme d'habitude plaisantait-il avec des filles rencontrées par chance. À la fois, il examinait toujours leur réaction à ses mots. Cette fois, cela avait l'air comme s'il avait fait mouche.

          -Si tu me nourris, tu peux me fouetter autant que tu veux et il n'y a qu'une seule condition: je dois être attachée. N'est-ce pas que tu vois qu'il fait froid et je suis fatiguée? 

          -À recevoir cela, tu devras aller par train longtemps et après secouer en bus pendant six heures.

          -Peu importe où aller. Emmène-moi loin d'ici.

          Comme d'habitude, il était étrangement habillé. Voyager avec jeune fille, en avant une apparence pareille, cela pouvait éveiller les soupçons.

          -Dans ce cas, attends près de cette entrée, mais n'entre pas au-dedans.Je me changerai, sortirai et nous nous mettrons en chemin. Dans une heure et demie, un train local ira à Krasnoïarsk.

          -Pourquoi ne peux-je pas entrer, même sur l'escalier? J'ai très froid.

          -Sois patiente encore cinq minutes. C'est nécessaire. Et l'appartement ne m'appartient pas. Comme peut-ce être? Tu n'as pas peur de ceinture, mais tu as peur de froid.

          -La fessée et le froid, c'est des choses assez différentes. Il serait mieux que je sois fouettée trois fois par jour, pourvu que ces gredins ne soient pas près de moi.  

          -Pourtant, je supposais que tu t'es enfuie de chez toi, car on t'a fouetté.

          -Je n'ai pas des parents. Je suis d'un orphelinat.

          -Attends. Je reviendrai tout de suite? Tu pourras raconter sur ça après. Paul entra dans l'entrée en courant, après abandonner la fille seule dans la rue froide, téléporta vite chez lui, se changea et retourna aux étages supérieurs du même escalier. Son amie neuve sanglotait cachant son visage au radiateur du chauffage qui ne fonctionnait pas en été froid.

          -Eh bien, qu'es-tu? Tu pensais que j'aie trompé?

          Elle se tourna à lui, sourit à lui à travers ses larmes, prit lui dans ses bras et commença à l'embrasser et sanglota de nouveau. Fais-moi tout que tu veux, pourvu qu'emmène-moi de ce lieu. As-tu vu? - elle soudain cessa de pleurer. Je te n'ai pas obéi et suis entrée à l'immeuble contre ton ordre. Fouetteras-tu moi pour ça?

          -Oui, si tu le veux.

          -Je veux que tu m'emmènes et caches.

          -Dans ce cas, allons à la gare.

          Il faisait du matin. Il n'arriva avec son amie neuve qu'en pleine nuit.  En étant faim comme un loup, elle dévorait des spécialités américaines avec passion et s'endormit directement à table. 

          Le lendemain, pour des raisons de sécurité, il ne la emmena pas au bain, mais après avoir chauffé de l'eau à l'aide d'elle directement dans la maison, il la baigna.

          -Maintenant, habille-toi. Sois un peu comme ça, un peu après, je te donnerai des fringues neuves.

          -Après tout, tu as promis.

          -Quoi?

          -De fouetter-moi.

          Paul n'avait jamais supposé qu'après la téléportation, le destin puisse le gratifier si largement en deuxième fois. Enfin, il réussit à se rendre compte que la fille ne plaisante pas, quoiqu'elle essaye de représenter tout ça dans la forme badine.

          -Alors attends-moi un peu. Je viendrai tout de suite.

          Après être sorti au-delà de la porte, il téléporta immédiatement au centre local et y acheta la corde à sauter. Il revint si vite que la fille toujours ne mit pas les culottes après bain. 

          -Oh, tu as la corde à sauter! Dans l'orphelinat on nous emmenait pour les fautes différentes à la salle des professeurs et fouettait par la corde à sauter pareille.

          -Et tu as fui à cause de ça, n'est-ce pas?

          -J'ai fui... je te raconterai après.

          -N'as-tu pas peur?

          -Un peu.

          -Allonge-toi sur le lit. Pour que tu saches mieux que peut-on demander et qu'on ne peut pas.

          Olesya baissa la tête et s'approcha lentement du lit, se laissa lier avec obéissance. Le vieillard la fouettait longtemps, mais pas très fort. Quand elle commençait à crier fort, il s'arrêtait et exigeait pour prendre l'oreiller dans la bouche. Puis il enleva tout son vêtement et la posséda sans la libérer des cordes. Le vieillard en âge presque un siècle, tomba amoureux d'une fille de quinze ans comme un garçon. Qu'est-ce qu'est le plus précieux qu'il pourrait perdre dans cette vie? Il n'y a que cette maison. Car si elle court maintenant à l'appeler les voisins, la Milice, il devrait parcourir le monde et ne revenir jamais dans cette région. Il planifiait auparavant de trouver un asile quelque part dans un pays chaud où il n'y a jamais d'hiver et passer là-bas le reste de la vie. Il ne perdra rien. Mais il a commis un péché, voilà ce qu'est le pire. Ce problème est bien plus difficile à la résoudre.

          Mais dès qu'il l'a délié, elle commença à lui avouer son amour si expressivement et pathétiquement que tous les doutes disparurent. Il n'y a l'aucun péché. Cela n'avait été que l'amour. L'amour réel! Le cadeau de Dieu et ce serait le péché de le refuser. Olesya était  très heureuse, surtout lorsqu'elle apprit que maintenant pouvait-elle habiter la maison de son amant neuf et réel, longtemps sans limite. Elle essayera d'étudier bien. Elle la punira souvent et douloureusement. Elle sera sa maîtresse en même temps. Avant, elle ne pouvait que rêver d'une vie comme ça.

          Quant à ses parents, elle ne les se souvenait que vaguement. Une sorte de chambre. Une balançoire avait été pendue sur le pas de la porte entre deux chambres. Une fois petite Olesya tomba d'elle, avait pleuré et eu peur et solitaire. Et toute de suite, une femme gentile était venue en courant, Olesya la nommait "maman". Elle la prit, caressa, consola et tout devint si bien et heureusement! Cette vie-là devint comme un vague rêve qu'elle avait vu depuis longtemps. Elle ne vit plus les gens gentils comme ça. Il n'y avait plus rien de gentil et agréable que le soleil au printemps, l'herbe verte en été et les arbres au parc où elle venait d'habitude à pleurer comme devant un ami. Elle croyait qu'il y a une sorte de grand Ami au-delà de tout ça, un seul Ami qui l'entend et comprend. Il est gentil et bon comme la maman du "rêve" enfantin et maintenant loin. Il est désolé quand elle fait quelque chose d'incorrect et tôt ou tard aidera-t-il à quitter la maison sans bonnes personnes où il n'y a que des ennemis et sots. Bien sûr, c'est impossible de voir cet Ami, mais Olesya ne doutait pas qu'il existe.

          Personne ne disait à elle sur ses parents. Seulement ces derniers temps, des rumeurs ressemblées à la vérité commencèrent à l'atteindre. Comme si son père fut emprisonné pour "viol l'ordre social". Ces temps-là beaucoup de monde furent emprisonnés pour le "viol l'ordre social" et très souvent injustement. Sa mère bientôt s'est jetée dans la rivière dans un accès de désespoir. Personne ne réussit à la sauver. Aussi elle entendit, comme si son père commis des délits terribles après être sorti de la prison, comme si plusieurs meurtres avec démembrement de cadavres pour venger, néanmoins, peut-être tout ça n'est qu'une exagération.

          Olesya était une élève diligente et douée, mais en étant, y compris, une "malicieuse fille", elle réussissait à mériter parfois une fessée dans la salle de professeurs. D'abord comme tous les enfants, elle avait peur et évitait de cela. Néanmoins, assez vite commença-t-elle à trouver dans châtiments pareils soit quelque chose d'agréable, soit quelque chose de sublime et d'inexplicable. Même une personne adulte ne pourrait pas donner à ce phénomène une explication claire. Elle ne partageait ses idées avec personne et ces idées ne la chargeaient point. En journée, c'était oublié entre les jeux et leçons. Ce n'était que le soir se souvenir agréable, comme elle avait été fouettée il y a un mois, comme elle hurlait de la douleur et demandait pardon. Elle voudrait y compris que le professeur de chant la fouette, mais il n'était jamais chargé avec travail pareil. C'était une femme de ménage, toujours mécontente, à qui donnait-on les ordres de fouetter les enfants délinquants en présence du chef enseignant, c'était une maigre femme à lunettes qui avait autour de 40 ans. Fantasmant le soir au lit sur les sujets pareils, Olesya planifiait, comment mériter une punition neuve.

          Ainsi, elle reprenait souvent la culpabilité des autres, de ses amies et même des garçons. Aussi elle-même violait souvent l'ordre sévère. Il paraît, après avoir acquis une réputation d'une sorte de fille malicieuse, en reprenant la culpabilité des pairs, elle doive être aimée par tout le monde, au moins dans cette classe. Mais il fallait croire que non. Elle a osé différer. Elle a osé fantasmer sur des choses, sur lesquelles le reste ne fantasmait pas. Ce n'étant pas une question de sexe de tout. Elle ne partageait avec personne ses inclinations sexuelles. Elle-même ne pouvait pas comprendre, pourquoi tout le monde la commença à détester depuis l'âge de neuf ans.

          Elle ne remarqua que deux choses. La première: il n'était intéressant du tout à communiquer ni avec garçons, ni avec filles. La deuxième: elle était reprochée constamment qu'elle "ne sait pas vivre en collectivité". Ce qu'ils voulaient d'elle, personne n'expliquait distinctement et clairement jamais. Pourtant, la solution était très simplement: à expliquait cet état de fait distinctement et clairement, personne n'aura le courage de le dire. Si quelqu'un ose, bientôt il s'avérerait en situation non mieux qu'elle était. Tous ils pouvaient sans doute le sous-entendre, mais ils ne le pouvaient pas prononcer à haute voix. Cela sonnerait  ainsi:

          "Dans notre état, tous les gens sont ordonnés d'être identiques. Personne n'ose différer, mais tu as osé. Tu as l'air comme si tu es plus intelligente que les autres, mais tu dois être comme tout le monde. Même si tu es en train de garder le silence, malgré cela peut-on voir que tu diffères d'eux avec quelque chose. Tu dois faire n'importe quoi, pour devenir comme tout le monde, non seulement de dehors, mais aussi au-dedans, car le monde intérieur d'être humain est aussi vu, quoique non toujours puisse-t-il être interprété à l'aide de mots. Comment le faire, c'est ton problème. Si tu le peux, tu vivras comme tous les gens normals. Si tu ne le peux pas, tu périras. Non tout de suite, mais graduellement. D'abord, sans moyens de subsistance et avec mauvaise réputation. Puis parcourras des prisons ou des asiles de fous. Et notre glorieuse collectivité y contribuera."

          Elle retournait tout le temps aux pensées de soi-même, en cherchant avec diligence que fait-elle de mauvais. Elle cherchait, cherchait ce mal au-dedans d'elle et ne trouvait rien. Il n'y avait que celui-là Ami invisible à qui pouvait-elle se plaindre du destin et demander son conseil. Il n'y avait que Lui avec qui pouvait-elle être sincère, même malgré le fait qu'il ne répondait pas à elle, quoique peut-être il répondît à elle en langue inconnue des symboles et destins. Elle toujours n'apprit pas cette langue. Puis elle commença à deviner que cet Ami soit le même Seigneur. Elle priait à Lui. Un jour elle visita l'église, mais fut déçue. Dieu qu'elle s'imaginait était différent du tout contrairement à l'image créée par vieilles femmes locales. Seulement après, dans quelques années, après avoir lu dans l'Évangile de Jean:  "Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître" (Jean 15: 15) - elle sanglota et se repentit. Jésus-Christ, Il fut le même Ami. Elle reconnaît en Lui cet Ami, avec Qui elle essayait de communiquer mentalement. Tout le monde détestait Lui de la même façon. Un des meilleurs amis le trahit pour être crucifié. Et il expliqua à elle quel est son problème, il y a deux mille ans: "Si vous apparteniez au monde, le monde aimerait ce qui est à lui. Mais vous n’appartenez pas au monde, puisque je vous ai choisis en vous prenant dans le monde ; voilà pourquoi le monde a de la haine contre vous". (Jean 15: 19)

          Elle commença à chercher dans l'Évangile la raison de sa passion inhabitude et ne trouva rien. Elle décida qu'elle n'écoutera plus des gens. Néanmoins, elle était intéressée,  son nouvel ami humain, c'est-à-dire, le vieillard Paul, comment répondrait-il sa question?

          -Tu sais quoi, mon amour que Christ a ces paroles : "J'ai beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pourrez pas les contenir." Si tu ne réussis pas à trouver la réponse à une question, n'oublie pas que Christ a une réponse universelle à toutes les questions: "c’est à son fruit qu’on reconnaît l’arbre" (Matthieu 12: 33)

          Alors à la maison d'enfants, Olesya, méprisée et persécutée par tout le monde, sauf la communication mentale avec l'Ami, elle commença à chercher l'amour, dont tant sont dites en poésie et chantés en chansons. Quand sa situation déjà paraissait sans issue, elle commençait à son tour soudain à se rendre compte qu'il n'y a plus que peut-on perdre et maintenant peut-elle faire tout. En quoi consiste l'amour, à l'égard ce sujet, les filles de classe pouffaient et les garçons chuchotaient aux toilettes, en inhalant la fumée des cigarettes bon marché. Il n'y avait aucune possibilité de comprendre quelque chose. On parlait du même sujet comme du plus grand bien et à la fois, comme de la plus grande abomination avec condamnation et gros mots.

          En voilà un jour, l'une des soirées pareilles du sentiment comme s'il n'y a plus que pourrait-on perdre et d'une certaine "omnipotence" à cause de ça, et comme si maintenant peut-on faire tout, elle se donna à un mec de dix-sept ans qui habitait à côté. À ce moment-là, elle n'eut que treize. Cette chaude soirée, à l'accompagnement des moustiques bourdonnants dans le même parc, elle laissa d'abord la caresser et l'embrasser, puis la déshabiller et déflorer. Elle était bien mais elle manquait quelque chose. "Est-ce l'amour?" - questionnait-elle soi-même et répondait: "S'il n'est pas, alors quoi?"

          Après avoir obtenu ce que voulait, son "amoureux" rapporta vite de la nouvelle "victoire" aux canailles connus. Ils se furent moqués de lui: "Tu as contacté avec une folle. Après tout, elle est loufoque!" Néanmoins, il eut de la rancoeur non envers eux, mais envers elle, et un jour de rendez-vous vint-il soûl et emmena des soûls amis avec lui. Lorsqu'elle se rendit compte de tout, il déjà fut tard. Il déjà fut impossible s'enfuir. Ils la violèrent, chacun à son tour, mais quand ils commencèrent à mettre la bouteille au-dedans d'elle, elle-même ne se souvient de quelle façon réussit-elle à casser la bouteille et couper la gorge d'une des canailles. Il faillit mourir à cause de saignement abondant, l'ambulance vint à temps.

          Les relations anciennes aidèrent au fils d'un ancien boucher du magasin d'alimentaires à n'être pas emprisonné. Aussi Olesya ne fut pas accusée pour la tentative du meurtre, sinon ils seraient forcés montrer cette affaire devant tout le centre régional Abakan. L'affaire fut simplement étouffée. La tentative d'envoyer Olesya à l'hôpital psychiatrique aussi ne fut pas réussie. Il y avait des rumeurs comme si à l'égard de tout qui fut arrivé, un bien connu local défenseur des droits de l'homme a dit quelque chose publiquement à cause de quoi le local psychiatre fut au courant, s'il déclare cette fille schizophrène, il pourrait avoir l'aire ridicule et il décida de ne pas risquer. Elle n'était plus punie à la salle de professeurs. Les adultes arrêtèrent de faire attention à elle du tout. Les filles plusieurs fois l'attrapèrent et battirent, mais pas fortement, seulement pour l'insulter. Les adultes ne voulurent rien même entendre sur elle.

          Avant même de faire connaissance avec celui-là canaille, Olesya économisa un peu d'argent de poche et acheta la corde à sauter. Rarement réussissait-elle à se cacher et s'amuser avec corde, en se fessant. Un jour apprit-elle sur François d’Assise qui avait fouetté soi-même jusqu'à sang, puis mélangeait le sang avec la neige, sculptait des bonshommes rouges de neige et disait: "voilà mes enfants".

          "Cest probable qu'il fut comme moi", la jeune fille pensait. Après ce cas-là, quand les gredins la souillèrent, elle décida qu'elle ne sera contente d'amour que comme ça: fouetter soi-même en souffrant et jouissant à la fois.

          Un jour, une éducatrice l'attrapa par surprise en train de faire ça et à sa grande surprise, elle non seulement la resta sans punition, mais même resta cette affaire sans rendre public devant les pairs. Bien sûr, l'administration, les autres éducateurs et professeurs étaient informés. Ils chuchotaient entre eux d'habitude, à l'instant de l'apparition d'elle, ils se tournaient à elle, en regardant fixement et ostensiblement avec les yeux écarquillés, comme s'ils regardaient à une bête sauvage, puis chuchotaient de nouveau. Quel répugnant air avaient-ils, s'en comportant de manière comme ça! Ils ressemblaient aux pires protagonistes et personnages qu'ils jugeaient mêmes, en regardant les séries des soaps à la télé, ils ne le réfléchissaient jamais. S'ils se rendent compte complètement de leur essence sale, peut-être quelqu'un d'eux se pendrait à cause de répugnance à l'égard de soi-même.

          Un jour les mots de chef enseignant atteignirent ses oreilles: "ce serait si bon si elle se va de nous plus vit! Comme à l'époque de Staline: "il n'y a d'homme - il n'y a pas de problème". Elle serait à l'endroit approprié, au camp de prisonniers. À l'époque de Brejnev - à l'asile de fous. Mais maintenant devons-nous travailler!

          Elle commença à commettre évasions. Elle vaguait et cueillait des bouteilles à recevoir un peu d'argent de poche. Un jour, près de la gare, elle fit connaissance avec un homme d'affaires de passage et se donna à lui pour cinquante dollars. Mais après cela, des locales prostituées de la gare chassaient à elle le long de toute la ville et elle réussit à fuir de persécution avec peine. Ce jour-là elle s'alla à Novossibirsk, mais elle manqua d'argent pendant longtemps. Après avoir acheté le remède contre les mosquitos, elle habitait en pleine nature et était heureuse, en essayant des branches flexibles des arbres différents et l'ortie à se fouetter dans la nuit. Puis la fin de l'argent est arrivée et elle devait revenir.

          L'évasion suivante et enfin trouva-t-elle l'ami entre des êtres humains, un étranger du siècle dernier qui possédait des capabilités magiques, inconnues pour elle. Mais la chose principale, il était de son genre, il possédait la même passion étrange, il était le premier ami réel entre les gens et il ouvrit devant elle tant des choses nouvelles, si comparer, avant, elle ne savait pas une dixième partie de ce qu'elle savait maintenant. Si elle reste seule, avec la connaissance pareille toutes les chances a-t-elle de survivre même à la Russie. Quant à survie aux États-Unis ou dans les autres pays libres, on peut n'inquiéter pas du tout: elle est garantie. Néanmoins, à cet instant inquiétait-elle non de soi mais de son amant de l'âge presque de siècle. Même les épouses jeunes n'inquiètent pas de ses maris jusqu'à tel degré comme elle. Elle était prête de se consoler avec main beaucoup de fois et ne se donner à lui que rarement, pourvu que ne pas nuire à la santé précieuse de lui. Et il connaissait bien le prix des cadeaux pareils de destin. Presque personne n'eut autant de chance parmi tous ceux qu'il connaissait. Même dans l'âge de quarante ans déjà n'avait personne autant de chance. Et en plus avait lieu telle combinaison harmonieuse de leur fantasie! Et il aussi savait que malgré le fait qu'il est un vieillard, il est un cadeau précieux pour elle. Les gens simples après les avoir vus comme un couple amoureux, personne d'eux ne croirait en désintérêt matériel de l'amour d'Olesya. S'il croit, il collerait mentalement sur elle tout de suite une étiquette de folle personne. Seulement Albert admirait et était capable les de comprendre. Même Nadia déjà commençait à comprendre quelque chose et regardait à eux de plus tolérable manière qu'hier. Elle ne pourrait pas expliquer, pourquoi comprenait-elle ça, mais elle savait qu'Olesya préférait en effet le vieil Paul à jeune Albert. Si elle séduit à nouveau son mari, alors seulement pour qu'elle soit fouettée pendant longtemps et douloureusement.

          Elle essaya de s'imaginer comme si Albert a couché avec toutes ses amies, s'il déjà grimpait sur la jeune fille de quinze ans, pourquoi sera-t-il timide à séduire les femmes adultes. Elle essaya de s'imaginer comme si Albert l'abandonne après être tombé amoureux d'une des rivales potentielles. Elle n'a pas réussi à s'imaginer une chose pareille. Ce ne serait pas lui.

          Et le télépathe vieil, tout de suite dit-il sur le sujet des idées d'elle.

          -Nadia, calme-toi. Il ne t'a trahi pas. Ce n'a été aucun adultère. Il n'est pas adultère mais un essayeur. Il a besoin de palper tout, de goûter tout. Souviens-toi comme à l'enfance avait-il mis une pince à épiler en prise électrique.

          Tous sourirent.

          La fête d'anniversaire s'approchait à sa fin. Il restait un travail pour demain: à vérifier comme vont les autres amies et l'espionner les "espions".


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