Thursday, June 21, 2012

Chapitre V. "L'enleveur énigmatique".


    -Ce n'est pas moi qui ai inventé cela, - l'étrange professeur poursuivait. - Deux sciences anciennes sont connues pendant plusieurs millénaires, c'est elles qui confirment que la CONNAISSANCE DE TOUT ce cache à l'intérieur de notre substance. C'est la Divinité qui est cachée à l'intérieur de chacun de nous. Il ne faut que se souvenir d'Elle, ôter tous les obstacles, se préparer accueillir la Réalité en face et être capable y supporter. Et c'est la société qui est le premier obstacle entravant la route. Tu es capable déjà de faire quelque chose juste maintenant, - il ralentit le rythme de conversation. - Si tu ne ruses pas avec soi-même, tu distinguerais toujours et sans faute où tu es heureuse d'où tu n'en es pas.
     -Et si ce bonheur n'est pas normal, eh bien? Je parle franchement. Dans ta captivité quelques fois je me sentais heureuse aux situations dans lesquelles un homme normal ne peut-il pas éprouver un bonheur. Je me trouve sous ta domination, tu as la force, mais tu me demandais d'être franche envers toi. Tu m'as asservi et j'en peux devenir folle. Chaque jour je me sens telles choses qui ne pouvaient venir à l'esprit autrefois. Si je raconterais cela a quelqu'un... En gros, je ne sais pas de quoi, ou bien de ce que tu fesse-moi chaque jour, ou bien de ce que tu m'influences à l'une autre façon, toutefois je sens que bientôt en étant avec toi je deviendrai folle. Est-ce que ton but est de me faire folle? Pour je deviendrai folle, finie?
     -Je parierais ma propre vie que tu n'es pas menacée d'une folie réelle. Ce que tu commences à découvrir à l'intérieur de l'âme, cela y séjournait toujours. Tu n'en pourras jamais débarrasser, par ailleurs tu ne pourras jamais acquérir ce que tu n'avais pas. Tu vivais dans l'obscurité et pratiquement ne te connaissais point. Il était interdit pour toi d'user de la lumière de ta propre connaissance, de la lumière de ta propre observation, de la lumière de ta propre compréhension. Et voilà: mon choix est tombé sur toi, et avec l'aide de moi tu viens de se trouver loin des gardiens de ton ignorance. En scrutant avec précaution, tout de même tu as osé éclairer craintivement avec l'aide de cette lumière sa propre essence et maintenant tu sais un peu plus de toi. Si tu éclaires plus fortement, tu apprendras de toi plus encore.
     -Et quoi si j'apprends ce qu'il serait mieux de ne savoir point? Si dans la profondeur de ma propre essence un désir s'ouvrira de tuer moi-même ou l'autres? Qu'est-ce que t'en me parles?
     -J'en ai quelque chose à parler et j'attendais longtemps cette question. Ces occasions ont lieu très rare, mais il ne faut pas, il ne les faut point à retrancher du compte. Tu dois t'assimiler tout que je vais dire. Je même ne te donnerais si beaucoup de l'alimentation pour méditation à la fois. Néanmoins, je vois que ton intérêt vient de s'échauffer ainsi que tu n'a pas peur d'être fessée si tu oublierais quelque chose que je dise. Et s'il y a l'intérêt vif à certains sujets, alors ce sujet serait mieux assimilé. Ainsi, écoutes-moi avec attention!
      Il y a deux voies vers Dieu, c'est deux sciences anciennes: le Yoga et le Tantra. Ce n'est pas des religions. Ce sont les sciences. Ce sont des théories qui fonctionnent bien. Un yogi peut être soit un hindou, soit un chrétien, soit un musulman. On peut dire de même sur Tantra. Le but principal de chaque être humain est l'éclaircissement. Les Hindous cela nomment le Samadhi et Jésus cela nommait la Naissance de nouveau. Jusqu'à ce que tu l'obtiennes, que n'importe quel bonheur soit arrivé chez toi, malgré tout tu manquerais on ne sait pas quoi. Tu auras envie de quelque chose plus et attendras demain avec impatience. Si tu atteints le Samadhi, tu serais heureuse dans n'importe quelles circonstances, même dans la solitude absolue, même dans l'enfer, à vrai dire nulle part et rien ne soit un enfer envers à toi.
      La plupart d'ayant atteint s'avançaient selon la voie du Tantra. Le Tantra prédomine dans la doctrine du Christ, quoiqu'il y ait un peu du Yoga aussi. Le Tantra renseigne d'accepter le monde tel qu'il est, y compris soi-même; il part de l'état dans lequel la personne est. Ainsi le Tantra part du commencement, et le Yoga part de la fin, c'est-à-dire, de l'état dans lequel la personne séjournerait où le voile d'un dernier obstacle serait tombé. Ceux qui sont enclins à tuer soi-même ou l'autres et non étant à la station de guerre avec ces autres à la fois, ils doivent suivre selon la voie du Yoga. Si ce fait est publié, beaucoup de vies seraient sauvées. Les maniaques tuant ne doivent pas suivre selon la voie du Tantra en recevant soi-même tel qu'il est. En suivant selon leurs penchants, ils produiraient des problèmes plus que résolvent, et avec cela pour eux-mêmes en premier tour. Néanmoins, il serait mieux à suivre selon la voie du Tantra pour tous les autres. Il mènera au but plus vite, quoique le Yoga soit attrayant pour la majorité du peuple qui sont enclins à satisfaire leurs egos, mais cela est en dehors de notre sujet d'aujourd'hui.
      Sache donc assimiler l'essentiel! Jusqu'à ce que tu ne sois pas encline à ruiner sans cause toi-même ou l'autres, tu es parfaite telle que tu es. Si tu suis avec plus grande concordance avec ta propre essence, alors tu serais plus parfaite et plus belle. Et l'opinion du monde ne doit pas t'intéresser plus que l'opinion des singes au parc zoologique. Hier tu as reconnu avec tristesse que le bonheur et la société ne sont pas compatibles. En quoi est le problème donc? Jette dehors la société comme on jette une petite pierre empêchant à marcher de la bottine!
     -Est-ce que tu proposes que je sois seule contre tout le monde? De même comme Tchatskiy? Est-ce que tu estimes que finalement je serais une triomphatrice?
     -Conformément à la conception de Griboiédov, Tchatskiy a dix-huit ans. N'avant pas de l'expérience de la vie, n'apprenant pas au total qu'il a l'affaire, on dirait, avec robots programmés à certains comportements; il espère aussitôt qu'il leur donne une simple formule de la vérité, ils le écouteraient toute de suite, et le monde se renverserait en bon sens; que de tout soit mis chacun à sa place. Mais rien ne vient d'arriver et il est déçu. Il bien ne sait pas que cette tentative est condamnée à l'échec par avance. Il est écrit donc à l'Évangile: "ne jetez pas vos perles devant les pourceaux", mais il n'en vient pas de tenir compte. Faire changer d'avis de ce peuple est de même qu'on renseigne un chien à parler langue humaine. Il vient de tenter, on dirait, de réparer une machine détraquée désespérément et le mécanisme de laquelle n'est pas su. Non, cela n'est pas à quoi je te renseigne. Je te renseigne que tu fasses ton affaire silencieusement et n'admettes pas des étrangers au "sanctuaire" de la vie privée. Malheureusement, dans cette société gâteuse c'est l'usage parfois, quoique au figuré, à faire irruption à l'un chez soi et fouiller au linge ou demander un rapport de la vie privée. La retenue est une sédition. En ce cas il faut être prête à résistance qualifiée et je t'en renseignerai.
      Tu as peur d'agir seule contre tout le monde? Il n'en pas besoin. Néanmoins, en cas de la persécution collective, il faut donc, avoir un contrepoison. Et retiens: la force humaine se trouve dans l'intellect. La plus grande chose qu'une forte main puisse faire, c'est à casser un mur de brique. Pendant quelques minutes un fort esprit peut détruire une ville d'ennemi. Une vieille bossue avec bâton, si elle est douée de l'intelligence et si elle a une aiguë envie de vaincre, elle pourrait détruire plusieurs dizaines des moujiks robustes, dont la fantaisie ne traverse pas certaines limites comme, par exemple, casser la gueule à quelqu'un, venir avec racailles ou dénoncer aux flics, mais en fait il y a mille moyens de la lutte. Toute de suite je ne vais pas raconter en détail, nous apprendrons cela plus tard. Retiens le premier: si quelqu'un t'ourdit des intrigues - recueille l'information de lui! Accroche-toi à n'importe quelles nouvelles car la plus innocente information tout à coup peut devenir très utile! Et certes, recherche les faibles lieux à lui! Tu as donc un exemple dans la vie, ton deuxième mec-là: tu as recueillie l'information de lui et tu es devenue plus forte. Si ça va à l'autre façon, peut-être tous le quartier aurait appris quelle tu es en faisant d'amour, comment tu fais ça et en outre avec tous les détails.
      Tout à coup Inga se rappela qu'elle eut oublié de mettre le maillot de bain encore comme hier. Le premier élan fut à se lever brusquement et en se couvrant courir jusqu'à la tente étant tout près et s'habiller là-bas, mais elle comprit à temps que se soit stupidement maintenant et ce serait mieux qu'il admire l'elle. Elle se leva lentement en rapportant doucement: "je vais m'habiller", se tourna harmonieusement, en brillant des traces de la fessée et arriva à la tente, mit le maillot de bain et apparut de nouveau.
     -Maintenant, ma belle, nous allons prendre du thé, et tu me vas raconter tout que tu viens d'assimiler. Je viens de te donner la matière pour l'étude plus qu'il soit assez.- Ils commencèrent à préparer du thé, ouvrirent le poisson en tomate de conserve et sortirent le pain. Le lait condensé qui était eu en réserve déja d'avant d'enlèvement d'Inga, il prenait fin car il était un déficit.
     -Tu peux commencer tout de suite.
     Inga répétait brièvement que la plupart gens du peuple sont stupides selon leur propre choix, que chacun peut être un grand homme à condition qu'il trouve son "riche filon" ou en disant figurément à l'autre façon, à condition qu'il se règle à certaines ondes, qu'en URSS on tente de pousser violemment les gens vers la collectivité pour les détourner de la recherche soi-même; elle se rappela donc encore que "si quelqu'un commence à penser par sa propre tête, il tout d'un coup devient surpassant le monde environnant d'une tête", elle compara les pays anglophones et ceux-ci slaves. Puis elle versa le thé fort en chopes et continuait de répondre la leçon. Elle répéta qu'il soit mieux de ne pas consulter avec n'importe qui, puisque chacun peut trouver la "connaissance de tout" à l'intérieur de son âme. En découvrant soi-même, une personne peut découvrir ce qu'elle ne savait pas de soi d'avant, mais elle en avait chez soi toujours, et si certaines tendances dangereuses pour soi-même ou pour l'autres sont découvertes, alors il serait nécessaire d'aller selon la voie du Yoga, et il est mieux d'aller selon la voie du Tantra en toutes les autres occasions pour accepter et aimer soi-même qu'elle est, accepter le monde tel qu'il est. Et on ne satisfait pas pendant on n'a pas passée la voue jusqu'au bout où on atteindra la condition de Samadhi, c'est-à-dire, de l'éclaircissement ou de la Naissance de nouveau. Et enfin, il faut jeter dehors la société pour être heureuse, non s'armer contre lui, mais faire son affaire silencieusement. Ne permettre à personne de fourrer son nez dans la vie privée, et si on va t'attaquer, il faut préparer la guerre: recueillir toute l'information qui tombe de l'adversaire, en accentuant sur la chose principale, c'est-à-dire, sur ces faibles, néanmoins être forte, au premier tour au détriment de son intelligence.
     -Tu as oubliée une chose: vous n'êtes pas libre...
     -Si vous n'êtes pas libre sexuellement- Inga répondit en précipitant les mots.
     -Parfait! Si après telle réponse il y a envie de te fesser, on ne trouverait pas de quoi.
     -Pourquoi pas au lieu de moi tu enlèverais un gaillard? C'est intéressant qui de vous deux serait fessé?
      Inga pensa que toute de suite c'est les menaces qui suivraient, mais son geôlier répondit en souriant:
     -Si j'ai envie de gaillards, je ferais donc comme ça, mais d'abord je me mettrais en forme sportive bien convenable, néanmoins heureusement pour toi ou, si tu veux, malheureusement, j'ai envie de filles?
     -Et spécialement à faire leur mal.
     -Tu es juste et ce n'est pas tout. Mes fantaisies sont bien plus diverses, que tu sais.
     -Oui, spécialement le matin. Est-ce que tu es réfléchi que par hasard les touristes ou les chasseurs aient pu passer? Et que j'aie pu être telle mauvaise fille qui montrerait les traces de ta lubie sur la chair et demanderait leur aide?
     -Je ne t'ai pas prévenu à l'une cause. Je sais ces lieus très bien et je sais que maintenant ici ne va personne. Mais admettons l'incroyable que le miracle se serait donc produit et ils ont apparu. S'ils ne sont pas des bêtes, leur réaction serait comme ça: "Copains, vous-mêmes résolvez vos problèmes et ne nous mêlez pas!" C'est dans les villes où ils sont tels braves. La plupart parmi ceux, lesquels tu estimes pareils aux chevaliers, en fait ils ne sont que capables à quatre ou à cinq battre quelqu'un à seul à terre et non loin de flics. Et si la victime sort une arme, même une arme blanche, alors les "héros" préfèreraient de chercher le soutien chez flics et chez peuple, et encore en prouvant, l'écume à la bouche, qu'ils concordent au total avec standards soviétiques. Mais si tes "sauveurs" passants étaient des bêtes, les remords de conscience t'obséderaient jusqu'à la fin de siècle: je les tuerais, je sais comment faire cela, c'est un secret. Eh grue, il te faudrait m'aider les à enterrer.
     -Mais tu suis tes penchants car tu n'as pas envie de tuer, n'est-ce pas? Est-ce maintenant il est temps à se changer à l'yogi?
     -Ne mêle pas les inclinations d'amour avec guerre. Un certain sage à l'Est avait dit depuis longtemps que la guerre est une voie de la tromperie. Mais les meurtres sont justifiés à la guerre aussi. En présence des ennemies, chez moi l'envie sexuelle disparaîtrait au total, et les jeux connectés avec elle aussi. Si tu ne tues pas, quelqu'un d'autre te tuera. Dans cette soi-disant "terre Sainte" reposent dizaines millions cadavres de personnes tuées par les Soviétiques. Parmi eux auraient pu se trouver moi, auraient pu te trouver toi, tes proches; personne n'est assuré. Ton deuxième mec a failli se trouver parmi eux puisqu'il est arriéré. Être un intelligent était défendu pour lui, sinon ses amis lui ne respecteraient plus; on lui a inspiré que ce soit très terrible être en solitude et se promener à sa guise comme un seul chat. Il est devenu comme tout le monde, peut-être du manque de courage, mais plus probablement de la surabondance de bêtise, est-ce que cela lui a sauvé? Il est, on dirait, "un héros". Il est capable de casser la gueule d'un passant inconnu pour tenir compagnie, de détrousser un magasin sans nécessité absolue, de violer quelqu'un son pareil qui est arrivé d'un quartier éloigné et enfin on lui a traité de même. Cette société lui a déformé moralement, la société qui est intéressée qu'il soit plus de brutes, qu'il soit plus des salauds soûls, puisqu'il est plus légèrement à gouverner les brutes et les salauds. Si la société se compose de peuple libre avec respect de soi, alors tous ces lénines, stalines, molotovs et kaganovitches seraient pitoyables et risibles. Maintenant ils ne tuent pas carrément, quoiqu'il ait lieu comme ça, mais rare. Ton connu qui a failli se pendre, il est un exemple parfait. Soit on te dit comme un avertissement: tu as peur de s'opposer contre tout le monde, mais il a vécu comme tout le monde et aurait péri. C'est un cas heureux que la cousine lui a sauvé. Conclusion? Vivre comme tout le monde, ce n'est pas moins dangereux. Il faut vivre comme il te plaira et savoir se défendre et dans ce cas ne combattre que selon ses propres règles.
     -Tu as les réponses à toutes les questions. Tu me renseignes, fouettes, enseignes les leçons d'autoflagellation, comme tu parles. Pourquoi ne pas si toi comme un professeur à moi comme à l'une écolière, tu me montrerais un exemple sur toi-même. Je m'intéresse à ta propre capabilité à supporter la douleur.
     -No problem! Il y a longtemps que j'avais l'intention de te mettre cela en évidence et maintenant c'est à propos comme jamais d'avance.
      Ce fut en première fois: il enleva le slip en présence d'elle, en décrochant du slip la cravache de fil électrique. Inga vit de ses propres yeux comme il fut excité. Elle examina la chair de l'inconnu avec un sourire de joie. Elle vit y compris ce qu'elle n'avait pas vu auparavant. La passion l'arrêta la respiration. Il sembla que l'air de l'outil de torture à la main augmenta cette passion.
     -Tu peux courir autour, regarder bien en face, bien au profil. Mais tiens-toi de la sécurité car si tu t'attires sous la claque - ne fâche-toi pas contre moi, - tout cela il prononça à voix basse comme un conspirateur. Ce fut possible que la passion l'étouffât aussi.
      Le premier sifflement retentit. Inga regarda charmée et ne crut pas ses yeux. Après sixième son excitation fut neutralisée de douleur, néanmoins il continua de se flageller comme si de rien n'était, même en comptant les claques à mi-voix. Inga courut en arrière de lui. Les cicatrices fraîches devinrent vermeilles sur les fesses musculeuses et ces raies furent terminées par gouttes du sang. Puis les égratignures neuves apparurent sur les cuisses et sur le dos. L'objet de l'attention fixe d'Inga acheva le compte jusqu'à trentaine.
     -Et puis la main commence à bousiller. C'est possible que le corps rapporte lui une protestation, on ne sait pas à quelle façon, et la main obéit. Je te donne la cravache. Fouette-moi trente fois plus encore, et soit aucune claque fausse! Je vais vérifier.
      Ce drôle homme donna lui l'outil de torture et tourna le dos de nouveau.
     -Et comment tu vas établir la différence entre mes et tes traces?
     -Fouette-moi sur le dos plus haut que cette ligne soit, - il passa la main une ligne imaginaire, après quoi s'accrocha à l'une branche de bouleau, debout en face de lui.
      Aux premiers instants Inga tâchait de ne pas gâcher son travail, puis ça la excita, néanmoins elle avait peur de surpasser la mesure.
     -Et comment apprendre, qu'une claque n'est pas démesurée?
     -Il ne faut pas que le sang soit étendu le long de toute une cicatrice, mais n'être vu qu'au bout d'elle.- répondit enleveur, en respirant péniblement. 
      Sa voix coptant les claques un peu changea, mais il même supporta la fessée jusqu'au bout tranquillement, seulement en se tordant un peu.
     -Est-ce que tu ne m'ailles pas venger? Je ne suis pas une coupable. C'est toi-même qui m'as ordonné cela. Désobéir à toi, c'est quelque chose de coûteux. 
      Elle s'approcha de lui par-devant, en lui tendant la cravache, mais il debout, détournant du monde, l'expression de la joie aux yeux, et il fut vu que son excitation sexuelle augmenta vite. 
     -Venger? À toi? Je suis donc heureux que telle beauté m'ait fessé! Voilà nous venons de faire la connaissance encore plus intime.
      Inga sentit que détourner le regard ce soit au-dessus de ses forces. Elle sourit avec joie.
     -Il s'est trouvé, tu te plais qu'on te donne le fouet. 
     -Tu aimes ça aussi. J'y ai remarqué plus tôt que toi. Pour le moment tu ne t'es pas orientée en soi-même, néanmoins je m'oriente bien aux choses pareilles. Est-ce que tu m'oses à mentir que deux journées dernières tu prends la pose de punition avec grand plaisir? La douleur diminue ta passion qui après revient plus forte. Donc, il devrait l'être! J'ai de la chance! Dieu merci!- J'ai de la chance! Tu es telle que je suis, et ce n'est pas par hasard qu'il m'attire à toi. 
     -Je vais te dire franchement, tu aimes donc la franchise. Dans cette position j'avais une envie de me donner à toi hier et aujourd'hui. Néanmoins cela ne signifie point que je sois de même détraquée comme tu es.
     -Si tu n'aimes pas qu'on te donne le fouet, à ce moment-là tu n'aurais pas rêvé du sexe. Est-ce que tu croies que les masochistes ne crient pas de la douleur? En fait, la passion peut neutraliser au total la douleur, mais elle le ne peut qu'à l'instant de l'orgasme. Vérifions! Enlève ton maillot de bain, et je te donne une seule claque de fouet assez forte. Tu même vas voir, quoique tu viennes de s'exciter, mais alors tu vas exciter plus fortement.
      Inga enleva le maillot de bain et le jeta sur l'herbe, mais dans l'esprit elle eut les intentions entièrement autres. Elle écarta les rondeurs ornées des cicatrices.
     -Tiens! Fouette! Pas la première fois.
      Il lui donna une claque avec plaisir. Le sifflement connu, et puis la douleur augmentant directement en milieu, près de la fente séparant les fesses. Inga sans gêne saisit la main sur la zone touchée, en frottant.
     -Eh bien! Observe-toi! Est-ce que ta passion est renforcée, fillette?
     -Alors, plus vite! Fais ça! Ne te gêne pas!
     -Je ne me gêne pas. Je veux ce qu'il soit de mieux.
     -Ne tortures pas toi et moi!
      Inga se tourna à son amant prochain et vit à ses propres yeux que l'excitation atteignit le maximum. Elle saisit la main sur le point crucial de la passion de lui et sentit qu'elle-même finissait.
     -Voilà, joue avec! Il serait mieux que tu te calmes.
     -J'ai déjà fini, néanmoins ce n'est pas assez.
      La jeune fille tourna le dos à lui et se pencha, en essayant d'introduire le pénis à ses entrailles brûlant d'impatience. Le drôle homme lui donna un coup de fouet sur les reins.
     -Ne polissonne pas, grue! Sinon tu seras fessée cruellement.- Le pénis fut pris de convulsions. Inga possédée par la passion ne sentit guère le coup de fouet, et son partenaire finissait en respirant péniblement, en se tordant.
     -Alors, pourquoi tu m'as enlevée? Pour torturer et bourrer le crâne par la philosophie délirante?
     -Bien sûr, tu ne sais pas qu'on puisse recevoir de cette affaire le délice à dizaines fois plus grand. Si je te raconte tous les détails à la fois, ce ne serait pas intéressant. Sache! Le grand amour existe! Et le grand bonheur existe dont tu n'as point rêvé. Pas seulement un court-circuit et la délivrance de l'énergie superflue. Bientôt tu t'en aurais assez de tout cela; bientôt ce sera ennuyeux. Ceux deux types avec lesquels tu étais, ils ne pouvaient rien. Et tu ne savais pas donc soi-même jusqu'à la rencontre avec moi. Même maintenant tu ne se connais pas jusqu'àu bout. Attends un peu à cueillir le fruit pendant il est vert! Soit il mûrit. Alors nous arrangerons la grande fête sexuelle!
     -Je veux avec toi toute de suite. Il y a deux journées je méditais que je n'aurais jamais le courage de le dire comme ça, et maintenant si quelqu'un entend cela, on me mettrait à l'asile d'aliénés avec toi ensemble. Je le sais, néanmoins je me laisse prendre à n'importe quoi. Allons, je vais te fesser par osier, et alors t'en pourras encore: tu aimes donc cela. Ou tu fesse-moi! Par osier et non fortement. Cela va t'exciter, et à quoi bon dissimuler: moi aussi. Ce n'est pas que tu ça demandes de la "grue de forêt" mais elle en demande de toi.
     -Mon apprentie me doit comprendre à demi-mot, mais nous répétons la même chose, et je sens qu'il faille t'expliquer le même jusqu'à l'infini. Ce n'est pas toi qui peux ressembler à l'une chipie! Ou bien, soumets-toi! Ou bien je vais te fouetter plus fortement qu'il a été le matin!
     -Fouette-moi!
     -Apporte les cordes! Je vais t'attacher à l'arbre.
      Il vit à sa grande surprise qu'Inga alla dans la tente humblement, sans dire. Les contradictions internes la divisaient. En étant troublée de la discussion, jusqu'à présent elle ne se rendit compte, quelles épreuves elle a attirées sur soi-même. Y compris Inga sentit qu'elle a certaines envies d'être une victime, éprouver les souffrances, la douleur jusqu'aux larmes, elle en commença à trouver quelque chose de sublime, inexplicable. Elle sut que bientôt regretterait cela, néanmoins elle laissa aller devenir liée, en sentant la joie.
     -Combien de claques vas-tu donner à moi?
     -Soixante-quinze claques te feraient contente, ma belle?
     -Alors, pour l'évasion, combien tu m'as données.
     -Il y avait une centaine.
     -En ce cas les soixante-quinze ne sont qu'un rien.
     -On va voir.
      Le sifflement connu. La douleur connue.
     -Maintenant je vais souffrir, - prononça la jeune fille tout bas, en devenant s'enhardir.  .
       Elle s'imagina soi-même à temps du moyen Âge à la place publique. La foule pousse des ho et des ha, certains plaignent, les autres se réjouissent de son malheur, et un bourreau impitoyable au chaperon rouge, il la fouette selon toutes les règles. Elle gémit doucement de douleur, se tord joliment, en augmentant certains nombres des admirateurs, des sympathisants, des gens extasiés, ceux qui sont séduits, ceux qui sont bouleversés.
     -Ouille... ouille... ouille, - Inga gémit déjà en réalité qu'on entend à peine.
      Le sexe s'alla, l'obsession s'allait, la douleur resta. Cela n'est pas dangereux, cela même n'est pas offensant, cela est pénible, il faut tolérer. La jeune fille en s'efforça, se tordit, la face rougit. La douleur devenait pénétrante, impitoyable, insupportable. Le visage devenait baigné de larmes.
     - Aïe! Aïe! Aïe! Ne fais plus ça! - elle cria à tue-tête.
      "Oh, comme il est difficile de souffrir dûment", - la pensée traversa l'esprit.
     -Est-ce que tu vas obéir, grue?!
     -J'ai mal donc! Assez! Aïe!- Tout en larmes. - Aïe! Que fais-tu! Je n'en peux plus! J'ai ma-al! 
     "Il ne passe pas fièrement et joliment, - fusa une pensée encore. - Je manque à tolérer".
     -A-a-a-a!
      Il n'y a plus de sifflement. Est-il possible que ses souffrances ont pris fin?
     -A-aïe, - les cris et les hurlements changent à gémissement ressemblant à celui-ci pendant l'orgasme. Inga se tord de nouveau.
     -Quoique, délie les mains, toi! - elle parla à voix suppliante. Voilà les mains furent déliées. Il la regarda avec enthousiasme et douceur. Il la embrassa sur les yeux pleins de larmes, en disant:

-Je te félicite! Tu as reçu ces tourmentes à l'intention de l'Amour! 


7 comments:

  1. Thanks very interesting blog!

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  2. Inspiring quest there. What happened after?
    Good luck!

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    1. What happened after? Read, please, the chapters 6-9 in the same blog.

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    3. https://la-flagellation.blogspot.com/2012/06/chapitre-6-lenleveur-enigmatique.html

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    4. https://la-flagellation.blogspot.com/2012/07/chapitre-7-lenleveur-enigmatique.html

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    5. https://la-flagellation.blogspot.com/2012/08/chapitre-9-dernier-lenleveur-enigmatique.html

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