Friday, February 12, 2021

Chapitre XI. Le linge sale. La téléportation. Partie I.

           Les cataclysmes sanglants des années trente et quarante qui frappaient presque tout le monde comme les épidémies de peste au moyen Âge, maintenant ils sont devenus silencieux, en partant, ont-ils clignoté comme deux soleils mortels au-dessus du Japon. La glace froide sans vie a gelé le soi-disant le camp socialiste. À première vue parfois pouvait-on voir des gens dans la rue qui souriaient, même riaient et parlaient vif. Néanmoins, c'était des zombies. Ils réfléchissaient d'identique manière, ils étaient habillés de la même manière, ils aimaient (comme si) les chansons et films identiques, même des partenaires sexuels choisissaient-ils aux critères identiques. Quant à ceux qui ne pouvaient pas ou ne voulaient pas d'être identiques, on les anéantissait, mais maintenant on le faisait de l'autre façon et discrètement.

          Le harcèlement à l'école, le harcèlement à l'armée, la perte d'emploi, le lancement eux jusqu'aux échelons les plus bas de l'échelle sociale, les conflits accidentels et fatals, les maisons de fous, les concentrations camps qui distribuaient l'homosexualité avec l'hostilité; la mentalité et l'opinion publique qui prônait en fait l'impiété, l'ivrognerie, l'agression et le suicide en cas de certaines sortes des échecs dans la vie. Tout cela fonctionnait comme les pièges bien mises pour ceux qui ont osé exprimer une dissension. Après avoir mis les pièges, le chasseur peut mettre son fusil de côté et se reposer.

          Comme un faisceau de petite lanterne dans l'obscurité totale, il ne fait que souligne cette obscurité, de la même manière le dégel de Khrouchtchev, a-t-il servi comme le même contraste, en soulignant la fermeté et inviolabilité de l'ordre public corrompu et glacial. Le mal apocalyptique a fait l'échange. En faisant certaines concessions, il a reçu en retour "la paix et l'ordre". Beaucoup de gens dupés croyaient comme si cet ordre serait à jamais. Beaucoup d'entre eux aussi croyaient comme si les gens vivent de cette façon partout et les pays ne sont que rivals qui reprochent l'un l'autre en détails, en étant identiques en fait. En réalité, cet équilibre ampoulé était comme une souche pourrie. Et voilà enfin, grace à les presque imperceptibles mouvements de la vie qui ne peut pas s'arrêter, cette "souche" a commencé à se ruiner. 

          La respiration fraîche de la vie se précipitait dehors et était-elle en train de casser les obstacles anciens comme l'herbe de printemps casse l'asphalte. C'était la fin de désespoir et de désolation! Enfin, on peut vivre comme on lui plaire; on peut aimer comme il est propre à la nature personnelle d'individu; acheter et vendre librement; faire affaire librement, ouvrir une entreprise propre et n'être pas considéré à cause de cela, comme un criminel. Assez beaucoup de gens exprimaient les plus brillants espoirs et c'est naturel. De la même façon au printemps, lorsque la température atteigne 5 dégres au-dessus de zéro, il paraît que l'été est en train de commencer. De la même façon quelqu'un qui a reçu un bon prix, il se sent comme s'il deviendrait Rothschild.

          Le mal ne voulait pas s'aller. Tandis que beaucoup étaient heureux grâce aux changements et commerçaient librement où qu'ils soient, le mal recherchait frénétiquement les moyens nouveaux de séjour dans cette partie de la terre. Il n'y avait pas difficultés avec ça, parce qu'il y avait eu assez des exemples de la prospérité du mal en condition de l'entreprise occidentale libre, y compris, en Sicile et dans les plus arriérés quartiers nationals de New York. Sur le territoire de l'ex-URSS, l'essence humaine en étant bien corrompue par l'esclavage et le rouge fascisme, elle s'est avérée très convenable pour les expériences neuves. Tous d'un pays transformait graduellement en similitude d'un quartier arriéré. Il y était en train d'avoir une division du territoire. Tous ceux qui faisaient des affaires, ils devaient maintenant payer soi-disant "toits de gang", dont représentants étaient en fait les soldats des formations illégales qui exécutaient si nécessaire des fonctions de sécurité et si nécessaire des fonctions punitives. Il y avait au-dessus d'eux des fonctionnaires corrompus locals et des employés anciens des dissous départements du KGB qui ont commencé à servir des admirables instructeurs de la violence et des actions punitives, car ç'avait été leur spécialité.

          L'État s'est lavé les mains. Il pouvait maintenant être considéré comme celui-ci démocratique, considéré comme un pays qui permet d’espérer qu'il s’améliorera devant les pays occidentaux avancés, pour obtenir plus les prêts occidentaux et d'autres avantages des relations internationales qui sont en train de s'améliorer. Et le sale boulot, à cause de lequel le pays ne pourrait pas s'approcher du monde civilisé, maintenant était exécuté par les mêmes "toits de gang". Non seulement l'argent allait aux mains en haut avides grâce à ces groupements. Les gangs aidaient au pouvoir à garder toute l'entreprise sous contrôle. C'est ce qui est très important pour les coutumes de l'esclavage féodal de ce pays, où les gens libres avec le respect de soi étaient toujours détestés et considérés comme effrayants. Ces gens pourraient créer beaucoup de corporations indépendantes, sans saleté traditionnelle de l'entreprise russe qui est un grand obstacle du développement économique. Grâce à l'absent de la saleté réussiraient-ils beaucoup et les idiots arrogants seraient abandonnés sur la touche, comme la risée du monde entier. Mais les gens qui ne sont pas paresseuses qui sont prêtes à travailler bien, ils vivraient sans doute dans le contentement et la prospérité. Ce serait la fin pour les "rois" locaux, c'est pourquoi les idées contre l'Ouest étaient mis en tête aux hommes ordinaires.

          Les initiatives les plus brillantes et les plus avancées de l'Ouest, après avoir atteint les frontières de la Russie, subissaient une transformation monstrueuse, en devenant des caricatures déformées au-delà de la reconnaissance de soi-même. Un exemple avec "Herbalife" est assez. C'est évidemment si comparer combien des gens avaient été qualifiées dans les États Unis, en Allemagne et en Israël et personne en Russie. (Selon les données du revu "Herbalife to-day" en 1995)

          Voilà pourquoi on jouait la carte patriotique si passionnément. Les communists qui ont adoré en premier lieu l'idole de la "Mère-Patrie" et en deuxième lieu l'idole de Lénine, ils non seulement n'ont pas été exposés à la "chasse aux sorcières", mais il n'y avait eu aucun procès à la Nuremberg contre eux, pour mettre au pilori la diabolique science de Marx à jamais, car le fruit de cette science a été devenu le génocide inouï.

          Le mal apocalyptique en l'URSS ancien avait besoin de deux conditions: 1)Que la communauté globale le tolérerait. 2)À garder le plus de ses postes possible. Comme en 1956, de la même manière en 1991 devait ce mal faire des concessions qui n'étaient pas petites. Et la soi-disant démocratie, malgré toutes ses difformités était-elle bien meilleure que l'injustice ancienne du pouvoir soviétique. C'était encore loin de "l'été", néanmoins, "l'hiver" déjà s'est fini. La plus probable que ce fût "le début du printemps".

          La guerre qui n'était pas trop perceptible entre les "toits gang" pour les sphères d'influence, allait terminer. Qui devait être au-dessus de ces "brigades", c'était décidé "en haut". Le groupe qui oserait menacer sans accord "du haut", elle serait anéantie par l'OMON immédiatement. Le destin de chaque son membre ne distinguerait pas du destin d'un petit voleur qui est arrivé à la ville inconnue et a essayé de faire les poches et est attrapé.

          Colonel travaillait à l'époque de Brejnev en Mordovie comme un investigateur, au rang de capitaine de la milice. Sa passion maniacal de devenir un colonel, a été la raison du surnom qui n'est pas si rare. Il avait sur les bras beaucoup de victimes innocentes, beaucoup de personnes qui étaient emprisonnées sans être coupables et beaucoup d'années que ces gens avaient y souffert. Beaucoup de ceux qui ne voulaient pas avouer les crimes qui avaient été commis par les autres, étaient-ils mutilés par il avec ses collègues. Cela aidait à ressentir lui la puissance, à se délecter d'elle. Cela aidait lui aussi à lutter pour plus de puissance. Cette passion étouffait en lui tout le reste d'humain. À cause du mode de vie comme ça ne pouvait-il pas faire sans attaques du mal de quelque chose d'inexplicable. Parfois, il réussissait à neutraliser partiellement ces attaques de la dépression à l'aide de la démonstration du pouvoir sur les prévenus et suspects. Malgré sa vanité et son catissage brillant, il était très malheureux et rendait kes autres malheureux.

          À l'époque de la perestroïka, lorsqu'on a commencé à l'appeler un chat un chat d'abord timidement puis à la manière assurée, il était démasqué soudainement pour lui-même. Pendant le travail en Ministère de l’Intérieur a-t-il réussi à voler beaucoup et encaisser des pots-de-vin et aussi à obtenir des connexions qui se sont avérées maintenant très utiles. Mais la plus importante aide que les protecteurs puissants pouvaient apporter à lui, ce n'était que le débarrasser de l'emprisonnement prolongé aux camps. Il ne se rendait compte qu'après quelque temps que la proposition de partir de son propre fait et de partir de Mordovie à jamais avait été la plus grande aubaine pour lui. Néanmoins il l'a compris comparativement vite. Y compris, un homme de ses amis de haut rang, dont le grand-père a été un bourreau dans la Loubianka aussi, ils étaient à table tous deux avec une bouteille de cognac et cet homme ont expliqué à lui ce qu'il même déjà commençait à comprendre:  le retour ce qu'il a été avant la perestroïka n'est pas possible. Même s'il est possible, il ne sera rien qui ressemblerait au passé. Il faut chercher sa place jusqu'à ce qu'il ne soit pas trop tard, c'est-à-dire, à occuper sa propre niche dans la situation qui s'est changée.

          Après avoir  vendu l'appartement à Saransk, Colonel a acheté une datcha près de Moscou. Il immédiatement était mis comme le brigadier d'un des "toits de gang", bien sûr, une aide "du haut" a eu lieu. Après avoir reçu cette place en fait bien rémunérée, il a fait des économies pour l'appartement à Podlipki et il s'est installé fermement dans la région de Moscou, en enlevant des meilleurs morceaux un par un des autres hommes d'affaires. Les protecteurs l'arrêtaient d'habitude, quand il allait au‐delà des mesures, ils lui faisaient des allusions, où on peut et où on ne peut pas, et il avait appris à comprendre ces allusions bien. À son tour essayait-il d'être utile à ses maîtres, mais l'intuition leur suggérait même sans ce fait qu'il est l'homme qui appartient à leur cercle. Il se rendait compte bien que presque tout est permis à lui. Il n'y avait qu'une line qu'il ne fallait pas traverser; c'était la perturbation de l'opinion publique, mais il n'avait aucun besoin de cela. Quant aux fusillades tandis qu'il y a la division de territoire, tout le monde y est déjà habitué. S'il même ou les gens de son gang "s'amusaient" avec les jeunes filles, les victimes étaient choisies selon certains few signes et le principal d'eux était le fait que la victime elle-même voudrait faire comme s'elle serait invitée à venir et est venue ici grâce à sa propre initiative, parce qu'elle était sans préjugés et choisissait une option raisonnable, après de laquelle le loup est repu et la brebis est indemne, et elle se rendait compte que résister ou plaindre serait impensable et inutilement. À objectivement le regarder, il ne serait pas correctement, si le considérer comme un crime grave, parce que la plupart des victimes ne sentaient qu'un petit malaise moral. Très différent si la victime considérait que sa vie est ruinée après cela. Comme d'habitude c'étaient les filles qui sont venues des campagnes lointains différents. En cas comme ça, ils la faisaient de boire de la vodka ou des drogues bon marché et les poussaient hors de la voiture sur la route loin de leurs repaires. Quand une jeune fille de la nationalité qui est capable de se défendre était attrapée, Colonel a décidé d'agir sans céder. Ce ne l'a que provoqué. À montrer à tout le monde, y compris, en premier tour à soi-même qu'il n'y a rien qui pourrait être exception à l'égard de son pouvoir. Afin de ne pas créer un problème inattendu, il a tué la victime et un concurrent désobéissant avec elle, au cas où.

          En travaillant avec les documents volés, Paul est arrivé à conclusion que l'initiative de capturer des points rentables allait en général de Colonel qui avait le soutien des personnes assez influentes du ministère de l'Intérieur. Bien qu'ils ne se soucient pas de l'ordre dans lequel les dollars ont été mélangés ci-dessous, néanmoins, ils ne voulaient laisser être offensé leur chien fidèle qui les avait bien servis. Si leur enfant emporte des jouets où il ne sera pas des conséquences indésirables, laisse le s'amuser.

          Paul se rendait compte, comme grand chanceux a-t-il été, mais regrettait à cause de très lourd prix que certains gens avaient payé: la vie de la victime innocente est perdue. Il pourrait éliminer cet homme sans cela, monter les salauds l'un contre l'autre, comme avait fait-il dans le passé plusieurs fois. Également regrettait-il, car il comme si tire sa poudre aux moineaux. Seulement, lorsqu'il avait eu soixante-dix, il a compris que la profession d'un éclaireur, c'est-à-dire, de l'agent secret serait pour il plus préférable que celui-là de l'acteur. Il se rendait compte que selon sa vocation serait-il mieux pour il de naître au Japon médiéval, par exemple, en clans Iga ou Koga, où il pourrait devenir un ninja de haut degré. Néanmoins, Seigneur a décidé de l'autre manière et ça signifiait que ce destin est mieux pour il, cette expérience est plus utile pour il que n'importe quelle d'autre qui paraît que plus séductive et à première vue plus convenable. Néanmoins, c'était un peu ennuyeux malgré tout, car où est-ce qu'il pourrait être un professionnel et obtenir un résultat similaire les mains vides, mais au lieu de cela devait-il appliquer un outil si puissant, à l'aide de lequel pourrait-on renverser le monde.

          Mais il était consolé à cause des tâches plus difficiles qu'il même a inventées et avait à accomplir. À enseigner Albert non seulement la téléportation qui était comparativement facile, mais aussi faire de lui un agent du monde vif et à infiltrer lui en ce monde des gens stupides et méchants. Aussi quant à Olesya. Même souvenant le nom d'elle, il se sentait plus jeune. Pendant un certain temps, il ne faut pas l'enseigner la téléportation, mais après la mort d'il doit-elle être capable de se défendre. Elle devra réussir à trouver autre amant, soit il sera vieil s'elle aime tels amants, mais soit il ne sera ni idiot ni traitor.  À tout prix, pendant il est vif, il faut faire d'elle une citoyenne des États-Unis. Néanmoins, il n'est capable téléporter que seule. Le vieillard ne savait pas de manière approfondie l'essence du mécanisme de la téléportation qu'il utilisait. C'est probable que l'aura environnante lui emporte avec elle le vêtement qu'il porte et toutes les choses qui sont dans ses poches grandes, y compris même la hache. Mais il ne pouvait pas prendre les autres gens avec il, même en étant câlinés. Il ne pouvait pas prendre avec il une grande valise aussi. En dernier recours pouvait-il par exemple téléporter à New York en restant la main qui est en train de tenir la valise en région de Krasnoïarsk, puis laisser la valise et sortir la main ou revenir entièrement sans lâcher la valise de la main. On ne pouvait pas téléporter avec des personnes et grandes choses.

          Le vieillard réfléchissait de tout ça, en accomplissant un travail monotone. Basé sur les matériaux collectés, il était en train de rédiger un texte qui aiderait aux proches de la tuée fille Tchétchène à exécuter l'acte de juste rétribution. Le texte sur lequel y avait-il beaucoup de ses empreintes digitales, il a photocopié et ne touchait qu'à travers des gantés ou plus souvent à travers d'autres papiers. Il a déjà récrit plusieurs fois cette vidéo sinistre. La cassette originale déjà est remise à sa place depuis longtemps. Quand tous les matériels étaient prêts à transférer, il allait comme d'habitude à dire au revoir à Olesya et auparavant avait dit qu'il parte et reviendrait à minuit. Elle ne savait rien pour la téléportation et croyait que le vieillard va à la taïga personne ne sait pa pourquoi. Elle croyait que toute cette "fosse aux serpents", comme le vieillard l'avait intitulé, se trouve à Krasnoïarsk. Néanmoins, s'il se rendrait à Krasnoïarsk par transports en commun, en étant sorti de la maison tôt le matin, ce serait un problème de réussir à revenir à minuit de la même journée. C'est probable qu'il fait de l'auto-stop pour l'argent. Le cool vieillard-amant d'elle ne cachait pas le fait qu'il a beaucoup de dollars dans les poches. Les paysages du film ne la faisaient pas suspecter comme si Paul parte lointain et rapidement. Les mêmes bandits avaient pu visiter les villes éloignées, en premier lieu à la Capitale, où ils avaient enlevé la jeune fille. À la fin, le vieillard pouvait influencer la situation par l’intermédiaire d’amis qu'elle ne savait pas.

          Elle-même ne pouvait pas s'exposer devant les habitants du village. Ils pouvaient connecter avec la milice et elle pourrait être ramenée de force à l'orphelinat où ceux salauds-là la maltraiteraient de nouveau. Sans désir rester chez soi quand il fait tel bon temps, elle a demandé à se promener dans la taïga. Le vieillard l'a amené à travers le passage secret. La clôture séparait de la forêt la partie arrière de la cour. Il y avait une porte discrète dans la clôture. Elle a vu que les poches de vieillard étaient remplies à la limite. Après être marchés un kilomètre et demi, ils ont dit au revoir et le vieillard a interdit strictement à elle de lui suivre. Il y a cinq minutes, comme il s'est allé et, néanmoins, elle a décidé de le suivre. Elle a couru sans bruit au côté où il pouvait se trouver, mais Paul comme s'il soit tombé dans l'oubli.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/11/the-teleportation-part1-chapter-11.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/17/1172

No comments:

Post a Comment