Sunday, February 7, 2021

Chapitre X. Une fosse aux serpents. La téléportation. Partie I.

           Après être réveillé, le vieillard était assis sans sommeil à peu près d'une heure. Quand il est devenu assez léger dans la chambre, il a commencé à distribuer toutes les choses à leurs appropriées places, un travail qui a pris beaucoup de temps aussi. Enfin, tout était fait et on pouvait s'aller. Immédiatement, le vieillard est revenu à sa propre maison campagne en région de Krasnoïarsk. Sur l'écran du téléviseur avec son gang frimait le maître d'appartement que le vieillard vient de quitter. Olesya ne dormait pas mais était assise toute pâle en regardant la télé. Les larmes roulaient sur les joues.

          -Tu sais? Ils l'ont tuée. Ils l'ont forcée de creuser la tombe pour soi-même puis l'ont tuée par quelque chose de lourd à la tête. Peuvent-ils te tuer? Il n'y a personne avec moi sauf toi. Personne d'autre ne me comprendra. Personne ne me fera ce que tu fais.

          Ça le flattait. Cette fille-là qui était la période de temps fantastique plus jeune qu'il, c'est-à-dire, quatre-vingts ans plus jeune, ne pouvait pas vivre sans lui. C'était la vérité. S'il est mort, elle sera abandonnée toute seule, tête à tête avec ce monde méchant et extérieur. Elle n'est pas prête. Elle peut s'avérer cassée. Il doit prendre soin d'elle. Pourquoi perdait-il cela de vue jusqu'à présent?

          -Est-ce que tu, Olesya, as-tu vu peu du mal dans la vie? - enfin, le vieillard a répondu. Pourquoi es-tu surpris?

          -Oui, j'ai vu beaucoup du mal, mais comme ça... Personne n'a été tué devant moi! Je n'ai vu jamais autant de sang!

          -C'est peut-être un film? Les acteurs jouent? Non. Pas acteurs. C'est vrai. Regarde le toi-même.

          -Alors le regardons et récrivons. Puis faut-il remettre la cassette.

          Le vieillard a rembobiné la bande au début et l'a appuyé sur play. Au début tout avait l'air comme un film érotique. Les hommes de main attiraient de manière drôle des jeunes filles dans la voiture, parfois ils les traînaient par force. Ce qui passait après, peut difficilement être considéré comme un traitement psychologique. Certaines jeunes filles qui étaient capables d'insulter un garçon timid, même de l'emprisonner pour viol qui n'avait eu point lieu en fait (les occasions communes dans ce pays), mais ici comportaient-elles comme si ces types seraient leurs amis vieux. Ou au moins faisaient-elles semblant comme si se serait comme ça. Gentiment, de la même manière comme avec l'amant bien connu, en résistant un peu pour ne pas paraître une putain, chaque fille passait à travers la copulation ordinaire, puis orale et anale. Après cela elle était comme d'habitude assise à table, ils donnaient à manger et prendre du vin à elle, parfois donnaient-ils à elle un peu d'argent de 1000 roubles (en 1993) jusqu'à 10 dollars, chacun d'eux pouvait dans ce cas prendre l'initiative librement. Après tout ça elle fut accompagnée ironiquement, en disant "Bienvenue à rendre visite à nouveau" et elle devait dire devant la caméra quelque chose de "Merci, garçons. C'était drôle avec vous". Un des cons essaya de jouer de la trompette "Adieu d'une Slave" de la façon assez discordante. Ainsi, une scène régulière finissait, autre commençait. 

          L'érotique a laissé la place enfin aux scènes d'affaire, si peut-on les nommer comme ça. Des truands avec ses chefs persécutaient les coopérateurs, les entrepreneurs individuels et en général tous les travailleurs indépendants. Si le film était muet, on pourrait croire que ce fussent les conversations d'affaire. C'était la technique de faire du chantage qui fut élaboré en avance. Cela passait sans crier, même dans les limites de la décence, mais trop monotone, et devenait ennuyeux à regarder. D'abord ils s'insinuaient dans le champ d'attention de la victime, en essayant débarrasser ce champ des objets étrangers pour que rien ne distrait, pour que toutes les choses, si possible, s'aillent aux arrière-plans, et qu'au premier plan ne resterait rien que les maîtres puissants et invincibles. Après cela essayaient-ils de prouver à l'aide de la logique qui paraissait irréprochable à première vue, pourquoi ne faut-il agir que de cette manière et pas d'une autre. Et maintenant l'accent était mis sur la "normalité" du compromis proposé et qu'"on ne fait pas" autrement.

          Pour ne pas aller trop loin et ne pas mener les clients au désespoir, ils faisaient croire comme si la compassion serait une partie de leurs intentions, c'est-à-dire, ils pourraient agir beaucoup plus cruellement et injustement, mais ils sont des "êtres humains" aussi et sont capables de "comprendre tout" et c'est naturel qu'ils exigent de la compréhension mutuelle. Néanmoins, dans le même temps exigeaient-ils de refuser de la manière sévère aux personnes du "toit" de gangster qu'ils paient constamment, ce qui était au-delà de l'acceptable. En même temps ils promettaient d'aider contre eux, en affirmant que les gangsters à qui ils payaient jusqu'à présent ne sont que des pitoyables nullités et candidates mortuaires, où ils, en étant omnipotents, les enverront, s'ils osent bouger ou s'en prendre. Les clients devaient rester moralement battus et dévastés après "conversation" pareille. Soit les maîtres nouveaux sont omnipotents en fait, soit ils les piègent pernicieusement, mais ils n'avaient le choix. La voie proposée était limitée très durement, le long de laquelle il fallait aller, sans dévier d'un petit peu ni à gauche ni à droite, indépendamment de que ça plaisait ou non. L'ancienne vie libre qui n'était limitée que le paiement du tribut, est devenu un rêve chimérique.

          -C'est strange, pourquoi comportent-ils comme il ne faut pas? - le vieillard a pensé à voix haute. - Laissons ça. Démêlerons après.

          Les offices sont remplacés par la ville. Moscou. Centre-ville. Il paraît que c'est près du Goum. Une jeune fille qui est debout aux cheveux sombres mais pas noirs sous le foulard. Elle a l'air que n'est pas locale. Il y a beaucoup de choses près d'elle, les valises, les malles. C'est probable qu'elle est restée sur les à garder un oeil. Des mains fortes l'ont attrapée soudain par-derrière et elle s'est avéré comme prise en étau. Il n'est passé que quelques secondes et deux dos larges aux costumes chers ont bloqué l'image. Il paraît que l'objectif de la caméra était avec distance focale changeable, parce que toute la compagnie s'est déplacée vite, sans secousses, en devenant quatre fois plus loin.

          -Bonjour, Tanika! Tu es incroyable! Nous te cherchons à travers toute Moscou pendant toute la journée. Allons avec nous ensemble. Il te versera un verre en prime...

          À regarder de l'extérieur, cela avait l'air d'une scène des aventures d'une compagnie soûle et gaie, mais on ne sait pas pourquoi, les regards de passants ont tourné à la direction opposée. Quelqu'un qui filmait cette vidéo, maintenant il a tourné l'objectif dans la même direction.

          Soudain, Olesya a appuyé la "pause" et rembobiné un peu la cassette en arrière, puis elle a appuyé "play" et cette fois a-t-elle appuyé la "pause" à temps, quand la fille "provinciale" a apparu sur l'écran de nouveau, après d'être bloquée par les types vêtus en suits. Le vieillard a presque commencé à gronder sa fillette élève aimée, mais il a prononcé au lieu de cela:

          -Quelle réaction! Voilà, c'est la jeunesse. Je l'ai presque perdu de vue.

          -Elle est  inconsciente ou presque comme ça et ils l'amènent comme une soûle, en badinant gaiement. Quelqu'un des types en suits a étourdi la fille par frapper.

          On pouvait voir clair sur l'instantané que les types ne menaient plus la fille, mais ils la supportaient pour qu'elle ne pas tomberait sur les jambes pliées.

          Olesya laissa aller la cassette de nouveau, et de nouveau ont les passants commencés à se tourner à la direction "incorrecte". Maintenant, on pouvait voir comme deux jeunes types cheveux courts qui combattaient entre eux à l'autre côté de la ruelle. Le combat s'accompagnait d'obscénités, de menaces et d'insultes mutuelles, pour lesquelles pourrait-on être tué au camp de prisonniers. Néanmoins, il y avait dans ce combat quelque chose d'ostentatoire. Malgré le sang du nez qu'un d'eux déjà avait, il y avait beaucoup de sauts complexes et mots forts. 

          -Connard! Assez! les flics viennent!

          Les deux soudain ont cessé de se battre et se sont allés à un rythme rapide et ont disparu dans la foule. Chacun qui a regardé ce film, il comprendrait que ce n'est qu'une distraction ordinaire, mais les passants dans la rue qui sont occupés par ses propres affaires, ils ne pouvaient remarquer que la lutte, à la raison de laquelle ont-ils manqué l'événement principal. Même les flics ne sont pas des surhommes et pourraient manquer l'enlèvement et s'ils auraient remarqué et attraperaient, la compagnie malgré tout avait beaucoup de chance de s'en sortir et de n'avoir que petit chaud aux fesses ou de rembourser.

          Et voilà, il y a la victime enlevée sur l'écran. Elle déjà est expliquée pourquoi est-elle ici. Elle est assise à table. Ses interlocuteurs ne sont pas vus. Elle parle lentement et avec un accent particulier.

          -C'est peut-être comme un jeu pour les filles de votre pays, mais je ne peux pas faire comme ça. Notre coutume l'interdit. Je ne serai pas la même après ça.

          -Est-ce que tu crois que tes sentiments nous inquiètent?

          -Les sentiments ne sont pas seuls. Si vous ne me touchez pas, vous pouvez obtenir dix mille dollars pour moi à condition que je revienne la vierge. Ils n'ont plus d'argent que ça. Si vous avez besoin plus, ma vie est finie. Si vous me touchez, vous n'obtiendrez rien. C'est l'infamie. C'est possible que je meure et personne ne vous donnera de l'argent.

          -Et tu parles sur cela de telle tranquille manière?

          -J'obéis à la volonté d'Allah.

          -En fait. Nous avons quelque chose de réfléchir, - une voix plus sérieuse a déclaré. Nous ne filmons que pour envoyer la cassette à tes proches. Si tu demandes que nous ne te corromprions pas, est-ce que ça veut dire que nous ne t'avons pas touché?

          -C'est vrai comme ça, - la voyageant fille a répondu avec un accent inhabitude sur "a".

          -À quelle adresse faut-il écrire. D'abord, nous avons besoin de connecter avec eux, - le même homme a dit avec pragmatisme dans la voix derrière l'écran.

          -Itchkéria. Il est préférable écrire "la république Tchétchénie", sinon peut-on perdre la lettre... Région de Chatoy...

          -Tu es hors de ton esprit! - la voix d'un voyou retentit de nouveau. Tu sais que... Tais-toi!

          -Oui, je le sais. Et je sais plus que toi, - la voix de "l'homme d'affaires" a prononcé de nouveau. Olesya ne savait pas pourquoi se sentait-elle mal à l'aise à cause de cette voix. -

          -Maintenant, je viens de me rendre compte de ça. Notre Сolonel aime l'exotique.

          -Tu te tairas enfin? - et transforma sa voix immédiatement en gentile et doucereuse: Continuez, s'il vous plaît.

          La jeune fille tentait de se rendre compte de l'idiome russe sur un colonel et l'exotique, mais il paraît qu'en vain. Elle a nommé le village, nom et prénom et dit qu'il faut écrire l'adresse complètement pour que la lettre parvienne. Elle se rendait compte ce que ces gens n'iront pas là-bas à aucun prix, même si leur conscience serait pure devant les proches d'elle. Elle savait leurs habitudes plus qu'ils savaient le caractère de son people.

          -Votre proposition est assez séduisante, et probablement que nous l'accepterons, - enfin a retenti la voix de "l'homme d'affaires". Néanmoins, nous devons vous emmener à l'endroit sûre pour nous.

          Changement de l'image. Apparemment, c'est une datcha.

          -Camarade Colonel. Un trophée précieux est capturé. Une gonzesse. Sais-tu d'où est elle? De la même Tchétchénie! Tu n'as pas eu encore d'expérience avec quelque chose de pareille! - fièrement a rapporté le jeune propriétaire de la voix impertinente. Maintenant, il fut sur l'écran, mince, long, avec petite moustache et presque tous les cheveux sont coupés. Il ne portait aucun uniforme. Son rapport ne vient d'être qu'un bavardage vide.

          -Assez bouffonner, connard! - la voix de "l'homme d'affaires" a retenti. Il-même enfin a apparu au champ de vue. C'était un homme d'âge moyen, dans des lunettes de soleil à la mode et bien nourri comme un chat gros.

          -Colonel. Sans blague. Je prendrais garde au cadeau pareil. Ils sont capables de pourchasser pire que la police criminelle.

          -Il ne possède personne que moi ici la voix décisive, - le Colonel dit et il même enfin est tombé dans l'image.

          -C'est-il lui, - c'était le mot qui du vieillard s'est échappé. Il regardait à l'écran, ayant l'air menaçant, et continuait:

          -Ça veut dire que ton surnom est Colonel? Je crois que tu ne devras pas commander longtemps après ça. Olesya, est cette jeune fille de Tchétchénie qu'ils ont tuée?

          -Oui, Paul. C'est terrible! Quelque temps a passé dès qu'a-t-Olesya appuyé "la pause". Le vieillard n'était pas contre et continuait la conversation:

          -Je sais, tu n'as traité jamais ça. Tchétchènes sont un peuple admirable, bien sûr, si peut-on parler comme ça de n'importe quel peuple de tout. Encore dans l'époque de Staline ont-ils sauvé des vies de beaucoup de dissidents. Ils les cachaient et ainsi de suite. Soljenitsyne a écrit de ça. Ils n'ont pas l'habitude de maltraiter quiconque sans raison. Pour ça ont-ils la coutume de venger. S'ils sont vindicatifs, je suis le même. Je ne peux pas oublier certaines faces du camp de prisonniers. S'il y a un désir, je suis capable de les tuer tout de suite. Es-tu surpris que je dis les choses pareilles, en étant un chrétien.

          -Explique.

          -Le Seigneur pardonne les gens qui viennent de se repentir. Mais ne se repent presque personne. Par exemple, je pardonne à Balda pour tout, car il est mon frère de la foi, malgré le fait qu'il est un baptiste. La chose principale que je sais, sa repentance est sincère. Tu le sais. Il habite ce village.

          Olesya hocha. Elle connaissait tous les habitants du village, laisser les la voir serait un risque. Le village était en voie de disparition, car il y ne reste que les vieillards et vieilles. Les autres se sont allés aux villes. Olesya laissa aller le bouton de "pause" qu'elle avait appuyé en commencement de la conversation avec Paul.

          Colonel regarda à la fille Tchétchène sévèrement et méprisant. Quant à "l'homme d'affaires, son surnom s'avéra "Donut", il ne retira encore ses lunettes jusqu'à présent. Il s'approcha de Colonel, se leva la pointe des pieds et chuchota à lui quelque chose à l'oreille. Le regard de Colonel  devint plus maléfique. Enfin prononça-t-il:

          -Tu entends, bête? Nous n'avons pas besoin de ton argent! Deshabille-toi!

          Il paraît que la fille obéissante commença à déboutonner sa robe en haut. Soudain, elle sortit un grand couteau du sein et frappa Colonel dans l'abdomen, néanmoins l'acier brillante cogna quelque chose de dur. C'était un gilet pare-balles situé sous la veste en jean. Elle a réussi à frapper en deuxième fois, mais elle manqua le but et au lieu du cou frappa le couteau dans un os en haut de la poitrine. Elle n'avait assez de force à percer l'os. En même instant, la fille attaquante fut faite tombée par Donut. Il la frappa à coup de pied dans le plexus solaire presque de toutes ses forces, mais cri aigu de Colonel "Arrête!" le mit dans un état second et le coup s'est avéré doux.

          -Je viens de vouloir de mieux, prononça le type dans lunettes, avec l'air coupable. - Elle te pouvait blesser gravement.

          Colonel déboutonna la chemise en haut. Le sang suintait un peu de la blessure fraiche.

          -C'est vous, deux pigeons qui ont manqué la fouiller. On pouvait voir que Donut était prêt à se mettre à genoux. - Eh bien. Les balafres ornent. Allez, Donut, appelle Malingre, - ordonna le colonel.

          -Malingre! Malingre! - Donut cria de toutes ses forces jusqu'au degré qu'il est rougi.

          Malingre est venu en courant avec grand bruit, à en juger par le son, il vient de monter l'escalier de telle manière, en respirant difficilement.

          -Vous deux, la surveillez. Je me vais à me panser. Vous devrez travailler, comme un châtiment pour ce que vous avez manqué de la fouiller.

          Maintenant, la fille se leva.

          -Allonge-toi! - Colonel et Donut ont crié à la fois.

          -Ne la frappez pas. J'ai besoin d'elle fraîche. Elles sont toutes vierges là-bas, même lorsqu'elles ont 18, si ne sont pas encore mariées. Si elle résiste, mettez ses deux bras derrière dos et jusqu'à la nuque et la laissez m'attendre.

          -Peut-être nous la laissons aller? - Malingre a prononcé de la manière obséquieuse et implorante. - S'ils nous trouveront, qui ira se passer ensuite? Ils sont pire que les flics, vengeront. On désolera pour la jeune fille.

          -Quand as-tu appris à désoler? Peut-être veux-tu te justifier devant la caméra? Fais pas ta fiotte. Malgré le fait que je tiens des cassettes pareilles, il y a l'alarme. Tous les flics sont nôtres. Les voleurs me connaissent et ne risqueront pas. Peut-être les humanoïdes arriveront-ils à voler la cassette puis moucharderont à son aoul montagnard? Je vais à revenir et nous la mènerons en excursion, - Colonel a souri vicieusement et est sorti.

          Il y a eu changement de l'image. C'est comme si un souterrain. C'est probablement dans un une cave équipée de la manière particulière. La jeune fille est encore habillée, même dans le foulard. Il y a une grille très épaisse et un jeune homme au-delà de la grille. C'est terrible à regarder à la face, toute bleue et avec les écoulements du sang desséchés. Un œil est fermé et dépassé comme une boule. Le deuxième est regardant sans aucune émotion.

         -Bonjour, nullité. Oh non. Votre majesté. Comment avez-vous dormi? Comment les mouches n'ont pas chié sur vous? Je vois que l'œil n'est pas crevé, - Colonel se tourna à Malingre. - le boxeur es-tu médiocre, -   puis au prisonnier de nouveau. - L'œil pourrait guérir, mais tu ne survivras pas jusqu'à ça. J'ai amené la femme à toi. Nous marierons vous deux aujourd'hui, postmortem. Est-ce que tu avais besoin de deux yeux, si tu n'étais pas capable de voir que personne que moi est le pouvoir ici? On t'a prévenu que cet endroit est le mien maintenant, - après dire cela il se tourna à la fille.

          -Colonel, dis à elle plus lentement, elle n'est pas capable de comprendre russe assez bien.

          -Est-ce que tu as un désir de voir telles choses qui ne peuvent d'habitude d'être vues même au cauchemar? Non. Nous ne te toucherons pas mais te mettrons sur une chaise et attacherons. Et tu verras tout, comme au théâtre au premier rang. As-tu vu jadis comme un être humain brûle vif? Ou comme on insère un fer à souder ardent au cul de quelqu'un? Ou par exemple, comme on force à manger propre main coupée avec garniture? - Il disait ces choses terribles de telle façon et intonation, comme si demanderait-il sur les voyages: "Avez-vous été en Floride. Avez-vous été aux Îles Canaries? Est-ce que vous a visité Rio de Janeiro? Puis Colonel continuait:

          -Ici c'est moi qui suis le pouvoir. Et le pouvoir doit être cruel et horrible, sinon ce n'est pas de pouvoir.

          -Mais qu'en est-il du président des États Unis? Il ne tue personne et ne brule, - l'inconnue fille malheureuse commençait à ouvrir les yeux dans la situation extrême.

          -Ca c'est une putain! De quoi dit! Tous vous regardez là-bas. Traitres. C'est juste qu'on vous a expulsé. Mon grand-père au NKVD travaillait. Il cassait les gueules à tels traitres en 1937 et après. Il les accrochait par les cheveux, forçait à être debout pendant deux semaines. Si tu résistes, nous torturons horriblement cette bête qui est au-delà de barreau et ne le laisserons mourir deux heures et tu regarderas à tout ça.

          -Néanmoins, vous nous tuerez malgré tout.

          -Si tu obéis, nous ne vous deux que fusillerons tranquillement et c'est tout.

          Elle enleva son foulard ostensiblement.

          -Préparez la chambre pour nous.

          -Que veux-tu dire?

          -Retirez de vue tous les objets perforants et coupants.

          Il y a le changement de l'image encore. La même scène érotique puis suivait, néanmoins sans le sex oral, parce qu'on pouvait attendre n'importe quoi de cette fille des montagnes.

          -Filmez, filmez-le sans timide, - la victime disait avec un accent particulier et elle comme si regardait directement dans les yeux du vieillard et d'Olesya.

          On ne pouvait pas le nommer un jeu d'amour. Même ce n'était aucune pornographie. C'était un crime qui méritait en fait de la vendetta. En savant ce qu'avait eu avant et ce que va suivre, c'était impossible de se distraire devant ces images.

          Voilà une image neuve. La lisière de la forêt. De gens scintillent dans la forêt, néanmoins, c'est la bande de Colonel. On peut voir assez loin à travers le champ. La fille est habillée de nouveau et creuse la terre avec la pelle. Elle a l'air triste mais sans pleurer. Comme si elle creuse la tombe en fait, mais pas pour soi-même mais pour quelqu'un de proche. Colonel a sifflé. Donut et Malingre sont sortis de la forêt.

          -Est-ce que vous souvenez ma promesse de vous charger par un travail comme un châtiment?

          Les complices viennent de faire attention et de rester immobiles, en attendant un ultimatum sévère.

          -Tout est assez simple. Elle ne peut pas s'enterrer avec ce con ensemble. Vous êtes ceux qui les enterreront.

          Un soupir de soulagement retentit immédiatement. Leurs visages et corps tendus devinrent vifs de nouveau.

          -Est-ce que vous voyez quel gentil suis-je aujourd'hui? Même j'essayerai de causer la mort légère à eux, - Colonel dit pointant à la jeune fille.

          Puis la caméra a pris le même type avec le visage cassé qui a été derrière la grille. Il fut couché dans l'herbe haute partiellement attaché.

          -Je vais aussi à expresser l'humanité à l'égard de ce type. S'il est battu je laisse travailler la fiancée au lieu d'il. On parle de ce que les spectres viennent pendant quarante jours. Tu, ami, viens chez moi à raconter, comme passerait votre nuit de noces chez vous dans l'autre monde. Tu promets?

          Le prisonnier taisait. Colonel cracha à lui avec méprise et s'écarta. Apparemment, la fille creusait longtemps et la caméra ne fixait que petite partie du travail. La fosse assez profonde fut bientôt montrée.

          -Bien joué, fiancée! Avant la mort as-tu travaillé bien. Ce sera estimé dans l'autre monde. Acceptes-tu de donner une interview avant la mort?

          Elle ne s'est pas figée, mais immédiatement en rassemblant son courage, encore avec le même accent, mais clairement a-t-elle exprimé:

          -Je ne sais pas si les gens me jugeront, peut-être, Allah me punira ou pardonnera. Il est miséricordieux. Je peux faire des erreurs, mais je crois que j'ai agi correctement. J'ai commis honte afin que sauver un être humain des terribles tourments.

          Olesya regardant tout cela avec attention, elle a éclaté en sanglots en deuxième fois, elle a tombé la tête sur la table et a bloqué le visage par les mains.

          -Tu es impressionable, c'est bien, reste comme ça, mais essaye d'être aussi robuste. Pas sans cœur, mais sensible et robuste à la fois. La chose comme ça est possible.

          Voilà les prisonniers sont tous les deux à genoux. Colonel est apparu en derrière. Il tient le pistolet Makarov à la main.

          -Je suis votre pouvoir, votre juge et votre bourreau, - Colonel prononça solennellement. Il était bien remarquable qu'à l'égard de mot "pouvoir" n'était-il point indifférent. Ce n'était ni sadisme ni simple mal cruel, mais c'était la soif de pouvoir sans mesure qui l'avait fait comme ça. Ce n'était que cette corde que le diable jouait, en anticipant de recevoir l'âme d'il.

          On leur a montré devant de nouveau. L'homme taisait triste, comme une idole mutilée et dépressive et la jeune fille eut mis les mains en prière et chuchotait quelque chose en langue natale et ses épaules tremblaient.

          Et de nouveau la vue de la derrière. Un coup de feu a sonné. L'homme tomba sur le côté avec un trou dans la nuque.

          -Venir à ton sens! Allah te punira! - la condamnée à mort a crié soudain. Olesya a éclaté en sanglots de nouveau. La fille périssante était du même âge.

          Coup de feu encore. Deuxième, troisième... Le chargeur déjà est vide, mais la fille continuait de prier, en pleurant. En rechargeant le pistolet, Colonel a crié avec frustration: 

          -Quelqu'un de vous! Apporte le pied-de-biche!

          Il a vidé le chargeur encore, mais la fille, en étant aux genoux, priait encore. Il était un bon tireur, mais il paraissait que les balles s'écartassent de la trajectoire prédéterminée. La colère et l'horreur superstitieuse et inconsciente l'ont dominé. Il a arraché le pied-de-biche des mains de Donut qui vient d'arriver, est couri à la victime et l'a frappé sur la tempe du côté droit. Il était entendu clairement comme quelque chose a craqué, un faible cri et le sang, beaucoup de sang...

          Un gros plan du visage affole du coupable principal de la tragédie qui vient d'arriver, est apparu sur l'écran.

          -Chacun et chacune qui est contre nous, ils finiront de la façon pareil, car nous sommes le pouvoir! Le pouvoir! Le pouvoir! il répétait frénétiquement comme un orateur naziste.

          Donut et Malingre, ils jetèrent les cadavres à la tombe qui vient d'être creusée. Ils étaient comme si des maisons avec foyers qui ne se sont refroidis encore, les maîtres de lesquelles viennent de se mettre en voyage inconnu. Un jour reviendront-ils dans ce monde à étudier la science éternelle de la vie, mais dans l'instant donné ont commencé à tomber des mottes de terre sur eux. Deux complices nivelaient soigneusement ce point de terre perturbée à la fin du travail. Ils faisaient le gazon qui ne distinguerait pas de l'environnement et l'ont arrosé. Dans quelques jours, il ne restera aucune piste de la tragédie, mais un simple ramasseur de champignons qui marcherait ici par hasard, il essayera de passer cet endroit plus vite, sans savoir pourquoi.

          Colonel est apparu sur l'écran de nouveau près d'une clôture de pierre au-delà de laquelle les cheminées d'usine fumaient. Il y avait une quinzaine des hommes du gang avec il. C'était une bravade devant la caméra sous la forme du rapport sur les "prouesses" de la bande criminelle. Ils parlaient sur des morceaux friands qu'ils avaient réussi à arracher dans les trois arrondissements. Comme il est apparu, le jeune homme qui est fusillé à l'orée de la forêt, il était un chef d'une "toit" de gang. Il se précipita à monter l'escalier social par la voiture d'enfer comme un papillon de nuit au feu et il était écrasé par cette voiture. Ils gardaient prudemment le silence sur la fille Tchétchène. Un des salauds se sépara du groupe et prononça brusquement, en regardant directement dans les yeux des spectateurs.

          -Nous sommes le pouvoir et ils doivent avoir peur de nous. Nous promettons que la série deuxième sera plus horrible. 

          -Je vais essayer que la série deuxième ne sorte jamais, salauds! - Paul prononça avec la haine dans la voix. En première fois le vit Olesya fâché comme ça. Il se rendait compte que ce serait une bêtise mais il avait désir à jeter quelque chose de lourde à l'écran.

          -Est-ce en fait que tu es capable les vaincre?

          -Je te déjà dis que je suis un magicien et on peut les vaincre facilement si on agit correctement.

          -Et quel magicien es-tu, méchant ou bon? - Olesya questionna de la manière séduisante.

          -Je tellement veux être bon! Mais je ne sais si je pourrais, - le vieillard répondit. - Alors, je vais me reposer, quant à toi, récris la cassette. Les leçons et tout d'autres sont annulés aujourd'hui. Parce que tu as reçu une grande leçon! Elle est plus importante que toutes les autres!

          Après avoir réfléchi un peu encore, Paul a résumé ce qu'il avait vu:

          -Je ne voulais qu'aider les amis de mes amis et j'ai telle fosse aux serpents, J'AI DÉTERRÉ TELLE FOSSE AUX SERPENTS!

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/11/the-teleportation-part-1-chapter-10.html?zx=1215def6e24a8f1e

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/17/1172

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