Tuesday, February 16, 2021

Chapitre XII. Itchkérie. La téléportation. Partie I.

           Le vieillard Paul n'était jamais dans la Tchétchénie montagnarde, mais il était à Grozny plus d'une fois. Directement de la taïga a-t-il téléporté à une des ruelles sombres de cette ville. Cet endroit était proche de la gare routière. Il y a quelques jours, il déjà a été ici pour apprendre l'horaire. Il était encore tôt le matin. Le seul autobus vers Shatoy devait se mettre en marche dans démi-heure. Paul a acheté un billet de bus et essayait de rester plus imperceptible. Il ne prenait jamais le passeport avec il, ce n'était que des exceptions rares, sinon Albert juste ne croirait pas quel âge a-t-il et il passerait devant l'ami neuf pour un menteur et par conséquent comme un homme pas assez intelligent. Même maintenant dans l'époque démocratique pouvaient-ils le détenir à milice sans raison, juste par vieille habitude, notamment sans passeport. Néanmoins, il serait pire avec passeport, parce que là-bas il est écrit, qui est cet homme et d'où est arrivé celui-ci qui est capable de disparaître de la cellule de telle façon merveilleuse. Ils emporteraient les preuves qui sont recueillies contre gang de Colonel, y compris la cassette, et il devrait travailler de nouveau et puis aller à travers ce point plus encore. En addition, sa personne intéresserait les autorités compétentes plus que tous les crimes de la "fosse aux serpents" ensemble.

          Tout a passé bien et dans demi-heure était-il assis sur le siège arrière de l'autobus près de la fenêtre. La ville bientôt était quittée en arrière et l'autobus roulait maintenant à travers la steppe un peu vallonnée et monotone et la petite diversité était ajoutée par les villages avec petites maisons blanches en briques de l’adobe.

          La vue de fenêtre a changé immédiatement dans le grand settlement Tchichki. Encore en avant d'arriver à ce village, des pentes herbues de petites montagnes ont paru au-devant qui étaient couvertes par endroits par les arbres, peu ressemblaient et ces collines peu ressemblaient aux collines de la Sibérie orientale. À Tchichki déjà étaient debout les montagnes de tous côtés. Beaucoup de monde sont descendus de l'autobus, autres gens sont entrés. Ils parlaient beaucoup entre eux en langue qui la prononciation de laquelle semblait dure mais belle, avec les inhabitudes intonation et rythme. Il semblait que personne ne faisait attention au vieillard, mais ce n'était pas en fait comme ça.

          Sur le chemin plus loin, la gorge a commencé à se rétrécir vite. Au lieu des pentes avec l'herbe verte claire les murs sévères de pierre étaient debout maintenant, parfois presque verticals, parfois plus hauts que l'Empire State Building à New York. La route bien serpentait au bord de l'abîme et on pouvait entendre comme la rivière Argun rugissait en profondeur près de soixante-dix mètres malgré le bruit de moteur. Çà et là pouvait-on voir les pierres des tombes avec inscriptions en arabe. Parfois pouvait-on voir plusieurs tombes ensemble. C'était donc que plusieurs victimes d'accident de voiture ont trouvé sa fin ici. Le vieillard regrettait qu'il n'eût été ici avant. Teberda où il avait voyagé est une chose et ceci en est une autre. Chaque région est belle de sa propre manière. Toute la Terre est belle et variée. Il avait eu tort quand depuis longtemps après avoir visité Teberda, il avait cru, comme s'il connaît bien maintenant tout le Caucase.

          Néanmoins, il fallait réfléchir sur l'affaire aussi. Il savait depuis longtemps que le peuple vit ici de l'amiable manière et ne laisserait  pas offenser à ses voisins du village, mais malgré cela ne voulait-il pas que quiconque sauf les plus proches relatifs de fille périe voie les documents qu'il transportait avec lui. C'est pourquoi quand il est descendu de l'autobus, il essayait de ne parle avec personne et de ne questionner, comment se rendre jusqu'au village, dont il avait besoin. Il savait approximativement le chemin sans questions, car le village souhaité se trouvait sur la carte.

          Il déjà a passé Chatoy. La route se sépara de la gorge et maintenant passait à travers du terrain accidenté. Les pentes herbues approchaient de la route parfois s'en rompant abruptement, parfois doucement et devenaient la pelouse plate, comme près de Moscou. Les arbustes se tenaient parfois sur les côtés, et il serait difficile à les traverser. La forêt parfois aussi pouvait-on voir sur les montagnes, mais loin. Après avoir marché près de six kilomètres, Paul est entré de nouveau au grand village.

          Les passants que le voyaient au village, le regardaient avec curiosité. Après avoir passé le centre du village, il s'arrêta, en essayant d'incarner l'endroit dans la mémoire au cas où, à téléporter ici immédiatement, sans faire un détour long à travers Grozny. Trois garçons qui avaient environ dix ans coururent devant il et ils questionnèrent non assez correctement en russe:

          -Tu vas sur montagne?

          -Oui, - Paul répondit seulement, car il ne savait parler tchétchène.

          Il alla plus loin et passants le suivaient par des regards surpris. Il comprenait, s'il parfois avait provoqué l'étonnement des gens à Moscou, dans cet endroit avait-il l'air notamment comme un corbeau blanc et la milice peuvent s'intéresser à lui. Il alla plus vite et quand sortit du village, il s'arrêta. Il était en train d'être debout pendant environ cinq minutes en apprenant le paysage pour téléportation de nouveau.

          En risquant de répéter tous le voyage long, il téléporta à un endroit de nocturne New York qu'il connaissait bien. Il ne pouvait s'habituer tout de suite à ténèbre et marchait presque aveuglément et bientôt sortit à Broadway et il y avait eu autour de lui des tours, des grands immeubles, des magasins, des boutiques, des offices fermés et des paroles anglais malgré l'heure tardive. Le bruit l'inattendu de beaucoup de voitures frappa les oreilles. Tout ça l'excita un peu et quand il téléporta en retour, en couvrant les yeux par les mains, afin de ne pas réduire la vue à cause de la lumière soudaine du jour, il fut heureux, parce qu'il a réussi à revenir à l'endroit nécessaire, en dépit du fait que les paysages inhabituels étaient plus difficiles à mémoriser. Il faillit continuer de marcher avec sourire contente, mais il se rappela qu'il ne pouvait pas avoir l'air heureux, en portant le message tel terrible. Il s'arrêta, pria et continua son chemin.

          Il restait trois kilomètres à marcher, de plus en plus près. Au bord du village où il vint, il y avait quatre hommes qui avaient environ de trente à quarante ans. Ils étaient debout et parlaient en leur langue. Le vieillard Paul s'approcha d'eux et prononça lentement et clairement:

          -J'ai besoin des proches de la jeune fille Souleymanova.

          Tous ils se figèrent comme sur commande et le regardèrent comme si en questionnant. 

          -J'ai besoin des très proches relatifs de Souleymanova, - le vieillard répéta lentement et clairement, - de la même fille qui s'est allée à Moscou et n'est revenue pas.

          Maintenant ils parlaient vite, comme si s'interrompant l'un l'autre. Enfin ce qui était le plus âgé, il cria brusquement quelque chose puis il prononça un monologue incompréhensible. Après cela se tourna-t-il au vieillard par dire:

          -Tu dois aller avec nous ensemble.

          Tous ils l'ont entouré et se sont dirigés, d'abord au centre du village. Le vieillard ne parlait rien contre cela.

          -Est-elle vivante? - questionna un d'eux.

          -Non. Néanmoins, je sais qui a commis cela. J'ai toute l'information avec moi. Je suis venu pour raconter et montrer. Mais d'abord est-ce les plus proches relatifs qui devaient être informés plus tôt que les autres.

          -Nous sommes tous proches relatifs d'elle et tu vas avec nous, où il faut.

          Tous ils ont froncé les sourcils et ont parlé tchétchène de nouveau. Il y avait le seul homme qui eut parlé avec Paul, ça voulait dire qu'il parlait russe mieux que les autres. Maintenant autre d'eux prononçait une longue tirade, comme s'il serait en train de jurer de quelque chose et à la fois regardait-il à Paul comme à un cafard. Il paraissait que les autres le maintenaient dans le calme.

          -Je te questionnai: "Est-elle vivante?" Tu répondis: "Non", mais tu sais qui le fit. Ça veut dire, tu arrivas non demander d'argent, mais tu veux dénoncer à nous ceux qui le firent. Sont-ils tes ennemis? Est-ce que tu étais la mafia, puis as-tu une querelle avec eux? Tu voulus que nous vengions?

          -Il n'y a rien de mauvais que je vais raconter et montrer la vérité à vous. Mais d'abord, c'est les plus proches relatifs d'elle qui doivent être conscients de ça. Ils peuvent ne pas avoir désir de le montrer aux autres habitants du village. Elle est périe. Ils ont mal. Et tous le village le verrait.

          Celui-ci qui était au lieu de traducteur, il se tourna à celui-là qui était le plus agressif. Le regard méprisant, bien qu'il était encore sombre, mais maintenant, il vient de devenir interrogatif. Le traducteur se tourna au vieillard de nouveau:

          -Pourquoi dis-tu "montrer"? Pourquoi "tous le village verra"? Tu as une cassette vidéo? Donne-la à nous, n'aie pas peur. Je ne plaisante pas et ne te triche pas. Cet homme, - il toucha par palme l'homme qui était en train de regarder à Paul, - il est le frère d'elle. De quel relatif proche encore peux-tu avoir besoin?

          Paul s'est rendu compte que même les Russes dans cet état de choses, c'est la plus probable qu'ils s'abstiennent de tricher et de canular. Il a tendu au frère de la victime la cassette et plusieurs feuilles de papier reliés par trombone. Il y avait toute l'information qui aiderait à pénétrer "au-delà des lignes ennemies". Les habitudes et inclinations des complices probables étaient ici décrites. Y comprises, tous les détails, même les codes des entrées des immeubles nécessaires, les schémas des appartements, les numéros de téléphone et adresses, les plus probables endroits des séjours de chaque complice certains jours de la semaine.

          -Ici, tout est filmé qui s'était passé vraiment. Et ici, j'ai réussi à rassembler toute l'information pour les trouver et les attraper.

          -Es-tu sûr que nous vengerons?

          -S'elle était ma fille ou ma petite-fille, je même vengerais pour elle. Vous verrez que j'appris tout sur eux et c'est la tâche plus difficile que les tuer. Je-même pourrais le faire, mais d'abord faut-il apprendre la vérité.

          Il était visiblement qu'ils ont aimé ce que le vieillard a dit. Celui-ci qui était au lieu de traducteur, il a dit leur quelque chose, c'est probable qu'il ait traduit les mots de Paul. Ils parlaient longtemps et le traducteur enfin se tourna au vieillard.

          -Je m'appelle Sultan. Je suis désolé, néanmoins tu nous as dit telles choses, nous devons vérifier et apprendre tout mieux, c'est pourquoi nous te ne pouvons laisser aller. Jusqu'à l'instant quand nous saurons tous les faits, tu dois séjourner chez nous. Nous n'allons pas rapporter de toi à milice, mais tu n'essaye pas de t'évader. Celui-là que te gardera, il s'appelle Khalid. Si tu tentes de courir, il tira. Si tu es un homme honnête, nous te laisserons aller après tout. Si ce que tu as écrit ici et as dit soit la vérité, nous pouvons même aider à toi. La milice te cherche?

          -Non. Mais cet homme qui a commis cela, il a les connexions avec hauts patrons dans la milice. Ici, il est écrit tout, - le vieillard pointa aux papiers pliés en deux que le frère de la fille tuée tenait dans la main gauche.

          -Nous avons nos propres connexions. Ses connexions n'aideront pas à lui.

          -Tu évadais de la clinique psychiatrique qui est située dans la ville Bragouny? - le frère de la victime a posé la question de la manière inattendue. Il était vu qu'il ne blague pas, mais se raccroche à n'importe quelle version, comme ceux que se noient, ils se raccrochent à une petite herbe. Parce que si tout cela est délire d'un fou, puis sa sœur peut être vivante.

          Ils ont quitté la route il y avait longtemps et ils marchaient maintenant le long du sentier qui sinuait d'une façon compliquée parmi les arbustes. Ils ont atteint le haut, mais il vient de devenir clair que ce n'est pas un point haut, mais une diminution de la déclivité. La montée toujours continuait et est devenue bientôt escarpée plus que qu'elle était avant. Ils continuaient à monter le sentier jusqu'à ce qu'ils se sont tournés à gauche et leur chemin est devenu comparativement horizontal.

          Après avoir entendu leur conversation, un homme à la barbe noire sortit à la rencontre. Il était habillé en camouflage et portait le papakha malgré l'été.

          -As-salaam alaikum.

          -Wa alaikum as-salaam.

          La conversation continua de courte durée. L'homme barbu se tourna au vieillard: 

          -Maintenant, tu vis chez moi. Je m'appelle Khalid. Ici, tu t'alimenteras normalement. Tu visiteras aussi la toilette comme d'habitude. Mais n'ose pas fuir, - et il pointa à l'étui latéral, puis à l'escalier, lequel le vieillard devait descendre.

          Il le descendit. La porte était ouverte. Avant être entré, il se tourna à Khalid et dit: 

          -Tu n'auras pas à tirer, parce que je te le jure que je n'évaderai pas à travers la porte. J'évaderai à travers le mur.

          -Il y a dix mètres de la roche de pierre. Tu la rongeras par dents ou gratteras par ongles? Après l'avoir dit, Khalid éclata de rire d'une voix tonitruante, mais s'arrêta soudain. Tous les quatre hommes qui l'accompagnaient, ils le regardaient et il a compris qu'on ne peut pas rire maintenant. Seulement, ils n'ont pas encore dit à lui qui s'est passé à Moscou.

          -Ne laissez qu'un stylo et une feuille de papier à moi, - le vieillard demanda, quand ils le fouillaient.

          -Tu veux écrire des mémoires? - Khalid questionna. - Même tu n'as pas l'arme? 

          -Je suis arrivé non faire la guerre, mais à raconter la vérité, c'est-à-dire ce qui s'est passé.

          Après avoir fouillé Paul, Khalid parla en tchétchène de nouveau avec les accompagnateurs. Après avoir parlé un peu, il se tourna au vieillard, en disant:

          -Il y a le repas dans la table de nuit. Voici la couchette. Il y a une toilette au-delà de cette porte. S'il est nécessaire nous appeler, appui sur ce bouton. Voilà un interrupteur à s'allumer la lampe. Ne casse rien. Sinon tu devras travailler à compenser le dommage. Nous allons te traiter bien, car nous croyons que tu es innocent. Néanmoins, pas de mauvais tours.

          Khalid parlait russe avec grand accent, mais plus correctement que Sultan.

          -Néanmoins, je m'irai à travers le mur, parce que je ne suis pas un être complètement humain. Un homme ordinaire ne pourrait pas voler cette cassette de la mafia.

          -Ce serait bien si tu es un fou que se soit évadé de Bragouny. Puis pourrait-on espérer que sa sœur soit vivante, - Sultan dit de la manière triste, en pointant Souleymanov.

          Tous ils sont sortis de la cave à l'escalier et seulement maintenant remarqua-t-il que ce que se fermant derrière lui est la porte lourde avec un judas comme en prison. 

          Il fut assis à table, sortit le stylo et un morseau de papier qu'ils laissèrent à lui. Il essayait d'écrire en lettres d’imprimerie le long des lineas. Le feuill était arraché du cahier quadrillé.

          "Chers amis. Je ne voulais qu'aider à vous. Quand vous le vérifiez, vous verrez que tout ça est la vérité. Puis vous comprendrez que je suis votre ami. Ne reprochez pas à Khalid, car même un régiment de soldats ne me pourrait pas garder, parse que je suis un extraterrestre. Allah suit avec vous! Pardon et au revoir à jamais!"

          Un seul mouvement et il est dans la taïga. La nuit est comparativement lumineuse.

          -Hey! Olesya! Olesya! - Il cria de toutes ses forces.

          La voix répondit faiblement. Olesya était à portée de voix, mais assez loin. Il se mit en marche à la direction de la voix et bientôt ils réunirent.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/11/the-teleportation-part-1-chapter-12.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/17/1172

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