Monday, December 28, 2020

Chapitre IX. L'espionnage privé. La téléportation. Partie I.

           Albert et Tolik ne se sont appréciés pas l'un l'autre depuis la première rencontre, mais tous les deux ne l'ont pas montré. Il ne s'agit pas qu'ils pussent devenir des rivals à cause de Sveta d'un jour à l'autre.  Seul Albert le savait, néanmoins était-il irrité grâce à la raison complètement différente. La nature de Tolik, était-elle complètement étrangère à l'égard de lui. S'ils étaient dans la même école ou dans l'auberge étudiante, c'est assez probable qu'ils puissent devenir des ennemis irréconciliables, parce que Tolik était un homme typique de troupeau, c'est-à-dire, un homme typique du monde soviétique qui n'aimerait pas l'individualisme et son isolement. En esprit, il le considérerait comme un "intelligent" et tout le monde sait que ce mot est presque un juron dans la Russie. Quoiqu'il ne fût pas un débile d'esprit, néanmoins, son esprit assez primitif n'était pas capable de voir qu'Albert peut être beaucoup plus raide qu'il, mais seulement dans les cas quand il faut, pas pour vernis primitif. En étant semblable à un homme qui se noie attrape une paille, il attrapait n'importe quelle possibilité de désamorcer la situation, en centre de laquelle sentait-il soi-même de la manière exagérée, mais en fait, c'étaient les gens de sa "toit", c'est-à-dire, les racketteurs par consentement mutuel qui se trouvaient au milieu épouvantable des circonstances. Il se consolait par une idée comme si ce nerd ne serait qu'un intermédiaire qui transférerait les informations à quelqu'un ami raide ou à des amis raides et il serait assez déçu s'il voyait le vieillard Paul. Le jeudi, cette information était déjà dans la poche du vieillard. Mais avant de la mettre dans la poche, Paul la examinait longtemps et avec attention, d'abord en conseillant à l'Albert d'utiliser le temps pour observer la nature et essayer de se sentir comme une partie d'elle. Enfin il dit:

          -Même, si je ne réussis à faire tout dans ce court laps de temps, laisse Anatoly payer les deux aux uns et aux autres, je donnerai l'argent pour ça.

          Ce jour, il expliquait à l'Albert la technique de concentration, y compris, la valeur de la capacité de garder une pensée sur un objet.

          -Crée mentalement un monde imaginé et fais là-bas tout que tu veux. Essaye de le faire plus clair, plus exact, laisse les événements passer tour à tour, non de la façon confuse, comme en rêve. Apprends aussi à entrer et séjourner consciemment au rêve. Entraîne cela chaque fois, quand tu te couches, sans omettre. Que ce ne soit pas un rêve qui te serait arrivé, mais que tu contrôles les rêves, que tu sois un maître d'ils, mais pas un morceau de bois qui suivent le courant de la rivière. Et aucun transport, ni trains locals, ni l'autobus. Il ne faut aller nulle part, car tout est proche et accessible.

          Déjà après midi avant que dire au revoir, Albert questionna:

          -Si ce n'est pas un secret, as-tu déjà décidé que faire?

          -Non, c'est mon ami cadet qui occupe avec ça.

          -Quoi?

          -Mon subconscient.

          Après a serré la main, le vieillard a disparu, en faisant un pas à la direction qu'il a choisie. Pendant plusieurs secondes tenait Albert le vide avec sa main par inertie, puis il s'est dirigé vers la plate-forme dans ses pensées.

          Comme est-il connu, chaque "toit" a son chef. Il dirige les actions des gens subordonnés, mais il ne décide pas, où faut-il se diriger et de qui faut-il demander de l'argent. Ce sont les supérieurs plus haut que décident cela.

          Dans ce monde de la mafia, il y a un pouvoir au-dessus de chaque individu. Le pouvoir est cruel et loin d'être toujours juste. Si quelqu'un peut prendre l'initiative, il ne le peut que dans le cadre très limité. Le vieillard déjà savait le nom du coupable de la situation formée. L'éclaircissement du prénom et patronyme n'était pas grand travail. Il ne faisait qu'a téléphoné à plusieurs endroits sous prétexte qu'il serait impoli à s'adresser à la personne comme ça seulement par nom de famille et c'est pourquoi voudrait-il savoir son prénom et patronyme. Il ne travaillait actuellement ni dans le ministère de l'Intérieur ni dans les autres services specials, c'est pourquoi dans le bureau de renseignements a-t-on donné l'adresse sans entrave, dont avait-il grand besoin. Le renseignement donné au guichet du bureau menait à la ville qui avait été nommée d'après le célèbre concepteur de vaisseaux spatiaux, mais la station du chemin de fer, où il fallait descendre du train à visiter cette ville, avait réussi à garder le nom historique "Podlipki".

          De nombreux coins et recoins de cette ville avaient été déjà familiers au vieillard, et il est téléporté à l'un d'eux. L'immeuble était trouvé bientôt, mais l'entrée s'est avérée codée. Paul n'était pas particulièrement embarrassé par ceci: il a attendu lorsqu'on s'en est sorti, c'était une femme avec enfant, et il est entré à la porte ouverte qui s'est fermée lentement après il. Son âge avancé aida d'être passé à l'intérieur d'immeuble sans provoquer les soupçons des passants. Il allait à pénétrer dans l'appartement de la façon déjà bien connue: sonner à la porte et quand le maître ouvre la porte, inspirer lui à l'aide de l'hypnosis, comme s'il n'y aurait eu personne et au même instant se glisser dans l'appartement. Il ne pouvait pas téléporter dans l'appartement, dont il n'avait vu encore ni décor ni meubles. Mais il ne s'est approché pas encore la porte, un fort aboiement du chien en colère a retenti au derrière elle. D'après la voix grave, le chien était assez grand.

          -C'est naturel, - Paul pensa. On ne peut pas être chanceux tout le temps. Maintenant, il faut bifurquer vers la surveillance extérieure qui est longue et ennuyeuse.

          Avec cette pensée a-t-il monté les escaliers et après avoir atteint le palier du grenier, il se concentra, en absorbant tous les détails de ce coin tranquille pour pouvoir l'imaginer exactement et quand il a besoin d'apparaître ici, sans passer l'entrée devant les coups d'oeil indiscrets. L'expérience pluriannuelle a le fait capable d'absorber vite l'intérieur nécessaire pour le souvenir. Après une courte méditation, Paul s'est avéré immédiatement dans un recoin abandonné et revenait à pied, puis il a trouvé un point discret de surveillance.

          Dans trois heures de la même entrée s'est sorti un homme qui déjà était en train du commencement à devenir chauve, mais ne vieux pas encore. Il était avec un rottweiler en laisse. Le chien s'est mis en ses occupations de chien, en flairant le sol et parfois en regardant autour d'il. Mais l'homme essayait de toute son apparence de montrer son importance. Il n'y avait personne autour de lui et apparemment que c'était l'habitude qui avait lieu. La vanité comme ça ferait rire un Américain, mais entre les Slaves pourrait-ce causer en partie l'obéissance, en partie l'admiration obséquieuse. Le vieillard Paul bien savait que dans l'États-Unis peut-on voir rarement les grimaces comme ça et si on les voit malgré tout, alors il s'avère souvent que leurs porteurs sont arrivés du monde soviétique qui était maltraité de façon permanente par les propriétaires d'esclaves des siècles passés et par les communists dans le siècle actuel. Quand les gens pareils marchent dans la rue, ils sont comme un trou noir, en capturant les âmes des passants sous leur influence, en ajoutant la confusion dans leurs esprits, c'est-à-dire, ils les embarrassent et étouffent leur volonté, en devenant rechargés par leur énergie psychique. Les victimes sont en partie aussi coupables, puisqu'ils sont mêmes croyants en importance des "as arrogants" comme ça. En Angleterre considérerait-on les comme des rustres et péquenauds insolents, même sans les regarder. Sa voiture Mercedes et sa l'aisance financière qui n'était pas grande trop de la mesure occidentale, ces choses n'impressionneraient personne.

          Malgré le risque d'aggraver la situation, le vieillard immédiatement a téléporté a la palier du grenier et descendu à l'étage nécessaire et il a sonné à la porte. Il n'y a retenti aucun aboiement du chien. Après long silence enfin cliqua le verrou et ouvrit la porte une femme avec un air rustique, c'était possible qu'elle fût une ménagère. En haussant les épaules, toute perplexe, car il lui sembla qu'il n'y eut personne, elle ferma la porte, mais le vieillard eut réussi en cet instant à se glisser dans l'appartement. Elle alla à la cuisine et le vieillard alla aux toilettes, parce que c'est juste ici il serait mieux d'apparaître soudain. Maintenant il fixait la vue à l'intérieur des toilettes, en prenant en compte qu'il devra monter à travers l'espace exactement ici et il est assez probable qu'à plusieurs reprises. Puis il est sorti sans bruit au couloir, puis il a grimpé le placard, où le vêtement était suspendu, de la même manière sans bruit. Il ne devait pas attendre longtemps. Paul a entendu, comme on ouvrait la porte de l'appartement.

          -Zina, commençons les préparatifs d'un petit voyage, nous allons à la datcha vers ma femme et à la fois j'ai besoin de rencontrer les copains, mais ce ne sera pas long.

          -Je dois avertir ma famille que je pars.

          -Quel est le problème? Voilà le téléphone. Appelle-les.

          -Combien de temps devrais-j'y séjourner?

          -Non moins que deux jours. Tu nous aideras avec les travaux ménagers, comme d'habitude. Qu'est-ce qui ne va pas? Est-ce que je te paye pas assez?

          -Il ne s'agit pas de ça. Quelqu'un a sonné. J'ai ouvert. Rien, personne.

          -Ce n'est pas grave. J'étais dans la cour avec chien. Ils ne sont passés dans l'entrée que les gens ordinaires qui revenaient chez soi après le travail. Je suis sûr que c'étaient les enfants qui faisaient la bêtise.

          -Mais si?..

          -Un tueur? - Le maître a ri aux éclats. - Personne n'oserait. Et il me déjà fusillerait dans les escaliers. Ou je lui...

          Soudain, le fort aboiement de chien a retenti et on n'entendait plus qu'il.

          Le vieillard était prêt pour ça et téléporta immédiatement au recoin préparé, alla à pied vers la station du chemin de fer, attrapa une bouchée, en achetant un hot-dog et un verre de café. Il faisait un soir doux et agréable, comme il y a beaucoup d'années. La terre continuait encore de vivre, fleurir. Les saisons changeaient encore de la même façon. Comme dans la jeunesse, il voudrait voyager loin. Néanmoins, tout était proche. Soit New York où maintenant faisait-il midi, soit Krasnoïarsk où le minuit est déjà venue, soit les forêts autour de Moscou qu'il était passé en long et en large depuis longtemps et tous les coins sont devenus connus.

          Le vieillard grimpé sous la plate-forme pour personne ne verrait et a téléporté à une des forêts préférables. Il a sorti les allumettes. Le feu de joie s’alluma vite. Les étoiles premières ont apparu dans le ciel. La vie continuait toujours de réjouir. En quatre-vingt-dix cinquième fois voyait-il, comme la nature du climat tempéré a changé la blanche colère d'hiver en blue verte bienveillance et caresse.

          Il était le temps à revenir. Paul étouffa le feu soigneusement, en portant plusieurs fois dans les paumes l'eau du ruisseau proche. Est-ce qu'il souvient l'intérieur des toilettes bien? Il se précipita là-bas. Il a réussi, mais maintenant se trouvait-il dans les ténèbres. Il aboya comme chien plusieurs fois au cas où. Ne suivit aucune réponse. Il sortit et regarda à la chambre. La vue depuis la fenêtre a dissipé tous les doutes. C'était le même appartement. Il possédait beaucoup du temps, néanmoins, il fallait agir soigneusement, en remettant toutes les choses après les avoir examinés, aux mêmes endroits, où elles ont été avant. Le maître ne devrait rien soupçonner. Quant au chien, en tout cas ne racontera-t-il, pourquoi avait apparu ce grand désir d'aboyer among la paix commune et le silence général.

          La disposition des objets dont le vieillard pourrait oublier plus tard, il l'écrivait sur une feuille séparée en chiffre que personne ne comprendrait, sauf il même. Il serait une tâche impossible de parcourir toute cette documentation ici et maintenant. Un gros boulot avec l'information l'attendait. Heureusement, il déjà n'était pas un débutant dans cette affaire. Il fallait photocopier tout, après remettre à sa place et plus tard examiner les photocopies. Les fenêtres donnaient au Nord à cette heure-ci, c'est pourquoi faisait-il un peu plus clair et cela donnait l'occasion de se guider dans l'appartement sans allumer la lumière.

          Petit à petit fouilla-t-il tous les meubles dans les trois pièces, y compris fouilla-t-il à la cuisine et à la salle de bain. Il ne s'intéressait que l'information. Il fallait renseigner sur cet homme autant que possible, car il paraît qu'il ne fût que sa propre initiative de faire tout ça. Le vieillard s'est levé même sur le rebord de fenêtre et a dévissé avec un tournevis les bouts de la barre des rideaux. Le rideau était attaché à la barre par anneaux et ouvert. Le maître avait oublié ou ne voulait pas le fermer. Paul éclaira avec lanterne au-dedans de la barre canalisable. Rien. Parmi les livres y avait-il une cachette dans l'un d'eux. Une pile épaisse de billets de cent dollars était cachée là-bas. Il l'a mis à place, elle ne disparaîtra nulle part. Cela n'est pas encore tout. Il a aussi la datcha.

          Il paraît que le travail fût exécuté. Il n'y avait que le placard en reste. En palpant les vêtements, il sentit quelque chose de dur. C'est bizarrement. Une robe de chambre qui comme si ne serait pas neuve, il y avait une poche au niveau de poitrine et il y avait quelque chose de rectangle dans la poche, soit un livre, soit une vidéocassette. Néanmoins, il y avait beaucoup de cassettes dans l'appartement, en général les films policiers et d'horreur. Elles gisaient toutes dans des boîtes avec gros titres. Mais celui-là était mis pour certaines raisons à l'endroit inhabitude. Paul a décidé de la voir, s'il aurait besoin, la réécrire et mettre retour. Il fallait aussi tous les papiers photocopier et mettre retour. Le plus vite sera le mieux.

          Il faisait la nuit. Comme tout le monde sait, en nuit sont tous les services de photocopie fermés. Paul s'est concentré et trouvé dans l'intérieur de la vieille maison en bois. Olesya qui avait quinze ans, était en train de dormir profondément, comme on dort d'habitude dans la jeunesse. Le vieillard mis la cassette sur la table, se concentra de nouveau et apparut à Petropavlovsk-Kamtchatski. Dans ce coin perdu, deux clochards l'accompagnèrent des regards de surprise. Il déjà faisait pleinement jour ici. C'était l'heure de pointe de matin. Le vieillard trouva la photocopie vite, mais elle devait s'ouvrir dans quinze minutes. Il fallait attendre. Dans une heure tout fut fait. Le premier client s'est avéré profitable. Après avoir reçu les copies des papiers, le vieillard revint chez soi à la Région de Krasnoïarsk, mis toutes les photocopies parmi les livres et téléporta dans le même appartement plus encore. Il faisait sombre, mais il paraît comme s'il serait plus sombre après le matin ensoleillé au Kamtchatka. Le vieillard décida de se reposer sur la chaise et dormit à peu près d'une heure. Il dormait légèrement et s'il y avait quelque chose d'imprévu, il se réveillerait et réussirait à disparaître à temps. Il était vu qu'il y a l'alarme non seulement à la porte, mais aussi aux fenêtres. Néanmoins, cette alarme ne marchait que contre les intrus qui pénétreraient à travers les fenêtres ou la porte. Telle merveilleuse voie d'intrusion comme la téléportation n'était pas prévue.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/10/the-teleportation-part-1chapter-9.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/10/679

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