Monday, March 1, 2021

Chapitre XIV. Manteau et le truc de poignard. La téléportation. Partie I.

           Un major-général de contre-espionnage, Paukov Innocent Nikolaevich était en train d'être assis sur son lieu de travail à l'office décoré dans le confort sévère. Le confort fut sévère, car le luxe ne sautait pas aux yeux et s'on ne prêtait pas attention, par exemple, à l'ordinateur cher sur la table, à la communication vidéo interne à l aide de laquelle il pouvait observer les actions de ses subordonnés, s'on ne connaissait le prix des appareils téléphoniques de dernière génération, à première vue pouvait-on croire, comme si cette grande chambre avait l'air assez ascétiquement. Il faisait la chaleur de June dehors et les passants frappaient paresseusement sur l'asphalte chaud, mais il faisait l'air frais dans l'office, car les climatiseurs marchaient. Les fenêtres qui donnaient à sud, étaient couvertes par les rideaux. La lumière de soleil qui pénétrait à travers ces rideaux, n'était pas assez apparemment, c'est pourquoi les tubes au néon montés au plafond directement au-dessus de la table servaient de l'éclairage additionnel. Contrairement aux lampes pareilles quelque part à un atelier de couture, ces lampes fluorescentes ne clignotaient ni bourdonnaient, mais la lumière venue d'eux était constante, en peu agréable et légèrement chaude. Les fenêtres toujours sont couvertes par les rideaux dans les institutions pareilles, cette coutume est partout dans le monde et on peut le comprendre, pour cacher les secrets des yeux indiscrets. Les rideaux d'habitude protègent de la chaleur aussi, mais dans ce cas, sauf tout ça, les rideaux exécutaient une function additionnelle: ils aideraient à cacher de vue le piédestal, d'où l'idole était jetée vers le bas il y a presque deux ans. Pourtant, cette idole était en train de regarder au général depuis le portrait qui était mis au mur au-dessus de la porte maintenant, donc un visiteur pouvait rater de le voir, mais quant au maître de l'office soi-même, il est probable qu'il reçut des forces supplémentaires à l'aide de cet "art".

          Oui. Il déjà est presque il y a deux ans, quand beaucoup de titres et appels étaient jetés à la poubelle de l'histoire avec Félix de fer. Même cette institution était renommée de nouveau, mais personne n'aurait le courage de nommer le général "monsieur". Pour la majorité des collègues était-il camarade, bien sûr, général. Quant au sens de ce mot "camarade" en Russe, depuis l'invasion des hordes de Gengis Khan était le sens suivant: camarade (товарищ) est un ami au troupeau de bétail qui est formé spontanément, mais qui n'est point formé des intérêts pareils. Pour peu de collègues plus proches était-il encore Innocent Nikolaevich. Et quant à les plus proches collègues, non d'emploi mais de relation formée, la familiarité souhaitable était permise à eux, afin que le nommer "oncle Kecha".

          Bien connue face dodue de Kovalev apparut sur l'écran, c'était le chef d'un département qui exécutait un travail assez délicat, c'est-à-dire, à contrôler presque tous les collègues de cette institution sérieuse.

          -Camarade général, permission de parler, j'ai une information intéressante, mais je ne dois pas agir sans consulter avec vous.

          -Et quoi, est-ce que ça ne peut pas attendre? Y a-t-il une question de secondes? Est-ce que les gens peuvent périr? Y a-t-il la possibilité de la fuite de l'information stratégique? A lieu quelque chose de susmentionné?

          -Non rien, camarade général.

          -Arrête avec ce "camarade général" et viens chez moi ici une heure avant de la termination du jour de travail, et nous converserons.

          -Ce sera fait.

          Ce que paraît considérablement aux débutants et aux collègues plus zélés, mais pour le général était tout ça un combat de ce pays contre tout le reste du monde qui était étiré pendant des décennies. Si "les leurs" ont donné un coup aux "nôtres" aujourd'hui, puis "les nôtres" auront donné un coup "aux leurs" demain. Soit nous avons une fuite de l'information, soit "ils" ont une fuite de l'information. Soit certains agents passent de "nous" à "eux", soit certains agents passent "d'eux" à "nous". À l'échelle des grands États était-ce des petites choses, comme un échange de piqûre d'épingle, même on commençait à s'ennuyer. Il y avait des coups plus graves parfois, presque des knock-outs, comme le cas concernant Pegnkovsky il y a beaucoup d'années, mais les échecs pareils avaient lieu rarement à l'autre côté aussi. On ne pouvait qu'à l'échelle du demi-siècle se rendre compte plus clairement qui prenait le dessus finalement, et il était peu probable que ces bonnes chances et mals chances fugitives pussent aider à se débarrasser changements qui approchaient lentement et implacablement.

          Dans les années 80, le général constata avec amertume que la propagande "d'eux" n'avait aucun besoin de mentir du tout, mais il serait assez à parler la vérité connue de tout le monde sauf "les nôtres" gens ordinaires qui sont plus stupides et plus oppressés. Pourtant la propagande de "nôtres" ne pouvait que se justifier par les arguments assez douteux comme le "droit au travail" et la possibilité de prendre le métro pour 5 kopecks. Et il sentait que bientôt ils n'auront rien que dire sauf une bêtise, comme, par exemple, le radio de l'Albanie socialiste une fois dit avec fierté: "maintenant y a-t-il une lampe électrique qui brille dans chaque maison de notre pays".

          Néanmoins le général KGB qui savait penser de la manière sobre et pratique, il devait être chagriné pas pour longtemps. Il observait le tourbillon des changements avec méfiance et quand comme si la fumée de l'environnement troublé s'est dispersé et il a compris que "Nuremberg-2" n'aurait pas lieu, il s'est rendu compte aussi que l'État sans lequel ne pourrait-il exister, n'irait nulle part et son service d'autant plus. Et alors, le département qui exécutait la fonction de la secrète police politique, a été dissous, et quoi? La configuration de son institution natale a changé, mais l'institution elle-même est tout fort comme auparavant, beaucoup de départements travaillent sous son commandement comme avant, même s'il fallait quelque part changer la façon du travail, quant à personnellement pour lui, ce n'était aucune tragédie à cause de cela. La seule chose qu'il fallait faire, c'était l'exécution monotone de son travail, savoir mettre approprié "B" en réponse à chaque "A". Bien sûr, il ne fallait pas fermer les yeux sur les évènements différents sans réaction, mais l'agent expérimenté de contre-espionnage ne devait pas réprimer des émotions maintenant, parce qu'il n'avait plus la raison d'apparition d'émotions.

          Malgré son âge de soixante ans, il faisait des exercices le matin, courait quelques kilomètres, c'est pourquoi même s'il était un peu en surpoids, mais alerte et agile. Sans uniforme de général, de laquelle ne se séparait-il jamais, on pouvait le considérer comme un employé de bureau ordinaire à cause de son calme. Les subordonnés marchaient toujours en civil et ne mettaient l'uniforme que dans des cas particuliers.

          Au temps fixé, Kovalev s'est venu devant la porte, a rajusté sa cravate, a toussé une fois à correcter la voix et a frappé.

          -Entre, Gricha. Ne sois pas timide.

          -Innocent Nikolaevich, - Kovalev vient de commencer, mais l'omnipotent chef a l'interrompu immédiatement:

          -Jusqu'à quand dois-je expliquer? Appele-moi oncle Kecha, assieds-toi et parle calmement, que-ce que tu as, et je vais écouter. Ne sois pas timide, c'est intéressant. C'est très intéressant.

          Kovalev s'est senti comme un chat qu'on vient de caresser. Il dépendait complètement du général omnipotent et il n'avait aucun critère de vérité sauf, "oncle Kecha", autres critères ne pouvaient exister. Son humeur dépendait inséparablement de relation du patron à l'égard d'il. Et tout le reste, la famille, la vi privée n'était que les choses de second rang. Aussi maintenant, la timidité s'est disparu it il a commencé à raconter:

          -Bien, oncle Kecha, je gardais longtemps silence, car on doit travailler par soi-même, sinon qui un travailleur s'il a besoin de l'aide à chaque instant. Pourtant, l'affaire commence maintenant à prendre une ampleur considérable. Connaissez-vous Kashine?

          -Bien sûr, je le connais. Quelle est la question? - "oncle Kecha" répondit avec étonnement. - Son département suit les personnes étrangères, effectue parfois une surveillance secrète de personnes avec l'immunité diplomatique. Alors, parle.

          -Il a obligé son adjoint à faire presque tous le travail. Bien sûr, il est content de servir, car il s'attend à un bénéfice dans l'avenir, notamment si son chef perdrait sa place.

          -Ça veut dire que le patron a surchargé son adjoint de travail, tandis qu'il lui-même va à bars pour rencontrer des femmes, n'est-ce pas?

          -S'il va comme ça, je ne serais pas venu à vous, nous l'arrangerions entre nous, sans vous déranger. Mais le vin et les femmes ne sont pas sujets de son passe-temps. À dire plus exactement, il s'intéresse aux femmes, mais avec l'autre intention du tout. Bref, il est en train de construire son propre réseau d'intelligence. Il a deux collègues fidèles à lui, les subordonnés de son département, c'est-à-dire, nos travailleurs qui sont aux postes médiocres. Peut-être a-t-il réussi à les attirer par la promesse d'une perspective joyeuse. Ils recrutent les gens de la rue. On n'a pas réussi encore à définir, de lequel critère sont choisis ces gens, néanmoins, il y a beaucoup de femmes entre eux qui cherchent des adventures d'amour. Presque toutes d'eux ont été dans son lit. Les femmes sont une partie du réseau qui exécute le travail principal. L'autre partie du réseau les finance. C'est un groupe mafieux qui n'est pas grand et ce groupe est recruté à l'aide d'il. Le groupe profite de privilèges, y compris, des certificats de notre Service de Sécurité qui sont donnés à eux illégalement. Cela facilite grandement le processus de gagner de l'argent à eux. Certainement, ils considèrent qu'avoir nos employés au-dessus d'eux au lieu des "brigadiers" ordinaires est une chose plus agréable. Ils n'aggravent pas trop la situation dans la dimension criminelle, c'est possible grâce à l'influence de nôtres. En général, ils gagnent à l'aide de rackets et l'affaire pareille passe assez paisible dans notre temps. Les hommes d'affaires payent volontiers, parce qu'ils se sentent avec ils en sécurité. Cette attitude ne pourrait passer sans accord avec les autorités criminelles, et une vérification a confirmé que tel est le cas. La fuite des informations ne peut pas être à cause d'eux, parce qu'ils ne savent rien. Cette partie, je le répète, n'est créée qu'à financer le réseau qui effectue le travail principal. Quant au travail principal, c'est la collecte d'informations sur phénomènes anormaux, et cette partie principale du réseau est enseignée de nos méthodes de renseignement. En général, à collecter les informations, la surveillance, les arts martiaux, mais le dernier n'est qu'un peu. Parfois, ils leur donnent une tâche de suivre quelqu'un qui ne représente rien en fait. Les tâches comme ça servent à l'entrainer et vérifier les capabilités. Leur travail n'est pas payé cher, mais les gens qui ont vécu dans la pauvreté, ils le considèrent de l'autre manière. Il paraît qu'ils considèrent Kashine comme un type assez généreux. Après être attirés par l'argent, ils sont soumis à une intimidation légère et prudente, pour ainsi dire. On peut voir la façon principale ici: personne ne dit à eux par texte ouvert, mais comme s'ils devinaient eux-mêmes qu'en cas de la désobéissance ils peuvent être éliminés avec une forte probabilité.

          -C'est intéressant, intéressant... Est-ce qu'ils gèrent à trois comme ça?

          -Non. Parfois ils utilisent nos collègues qui ne suspectent rien. Après tout, ils ne sont pas mis toujours en courant de ce quoi se représente cette personne qu'ils doivent suivre. Il est ordonné et ils observent l'objet. Qui est l'objet, c'est l'affaire des chefs, ils savent mieux. Néanmoins, ils associent nos employés non informés à ses affaires quand ils manquent de personnel ou quand ils ont besoin d'utiliser l'équipement et les autos. Curieusement, Kashine sait organiser de telle manière que cette activité suspecte ne parasite pas du tout au fonctionnement de notre Comité. C'était déjà observé, quand ils reçoivent des tâches sérieuses, il est capable interrompre soudain tout le travail de sa "tirelire personnelle" et passer à ce que le Service exige de lui. C'est juste un virtuose.

          -Oui. Il faut donner une grande prime pour le travail comme ça, - le général sourit ironiquement. Alors, continue.

          -C'est clairement que l'activité est élevée, mais qu'en est-il de la direction de cette activité? Il est dangereux. Il est dangereux à l'égard de tout le Service.

          -Dangereux à cause de quoi? De fuite d'information?

          -Bien sûr.

          -Est-ce que tu as réfléchi. Il possède une information confidentielle comme n'importe quel autre chef et chacun d'eux a la possibilité de donner sa connaissance au renseignement étranger et cela ferait un impact tangible après lequel nous ne nous remettrions pas vite. Il y avait les cas comme ça, mais d'habitude, ceux qui nous ont trahis, ils ne jouaient pas jeux bizarres avec une telle impudence. S'il veut servir pour nous, c'est très original. Et nous ne pouvons pas nier son talent. Et si nous tuerons la poule qui est fixant tous les œufs d'or? Quoi, Gricha?

          -Mais il a la possibilité ... - Gricha réfléchit.

          -Non avec plus grande probabilité que quiconque autre.

          -Mais il enseigne ...

          -Et quoi? Des femmes commenceront à utiliser nos méthodes pour suivre ses amants? Pourtant, Il faut les enseigner beaucoup d'années à les faire dangereuse en fait.

          -Mais si?.. Vous vous-même avez dit qu'il est talentueux. S'il découvre quelque chose de tel grand, et soit ils parleront, soit il ...

          -Qui "ils", tous ils à la fois?

          Kovalev vient de sentir qu'il arrête de penser clairement en présence de haute autorité.

          -Oncle Kecha, je n'aurais probablement pas dû vous déranger.

          -Non, non, Gricha. Même tu ne sais pas, comme bien as-tu fait que tu as nous dérangés, - il a fait un accent ironique sur le mot "nous". - S'il découvre quelque chose, il ne sera pas debout à une plaza, en rapportant sur sa découverte devant vieilles illettrées qui sont en train d'aller acheter l'alimentation. Je te voudrais questionner sur l'autre matière. Si tu utilises l'échelle à cinq points comme un professeur d'école, comment estimerais-tu, c'est-à-dire, quelle marque mettrais-tu pour la condition générale tous les départements qui sont dans ta compétence au présent?

          -Je leur mettrais "quatre".

          -Parfait! Tu n'as pas tort dans les choses pareilles d'habitude. Ça veut dire, les personnes et les équipements spéciaux ne sont pas surchargés. Voilà, regarde: Kashine est un hameçon d'appât à qui doit être attrapé un poisson, dont nous avons besoin. Quand le poisson vient d'être attrapé, la pire chose qui peut passer, si quelqu'un d'autre le possède. Le poisson ne doit être que le nôtre. Et ce n'est pas important qu'ils planifient. S'ils travaillent sous notre contrôle tacite, puis ils travaillent en fait pour nous. Tandis que la condition générale de tous les départements qui est dans ta compétence, est estimée encore par "quatre", je te permis à utiliser jusqu'à la moitié des ressources, soit les personnes, soit les équipements, bien sûr, si c'est nécessaire. Aucune conversation entre eux ne doit être manquée, ni du héros de l'occasion, ni entre tous ses subordonnés, y compris, des recrutés par il. S'il y a un petit soupçon du discours allégorique, il faut l'enregistrer et apporter à moi. Tu sais, nous avons des spécialistes de la communication allégorique.

          -Et qu'en est-il de la partie de mafia qui les finance?

          -Nous devons nous assurer sans doute, s'ils soient au courant de quelque chose ou non.

          -J'ose poser une question, dois-je reste sans savoir? Pourquoi faut-il fait beaucoup d'attention à eux comme ça?

          -Cher ami, Gricha. Il y a les considérations économiques en premier lieu. Dans notre temps de la presse sait chaque enfant que nous avions un département comme ça. Et selon toute vraisemblance, il n'était pas en vain. Malgré le fait que tous ces problèmes avec diablerie sont très peu étudiés. Néanmoins, peux-tu t'imaginer, combien un tel département dévore? Tu es bien informé, quel joli sou coûte un tel plaisir. Tandis que vous avez tout est calme, tous vous possédez du temps libre, alors faites-le. Et puis il n'y a aucun besoin d'obtenir du financement et de créer un buzz autour le département exotique, et tout ça ne ferait que contribuer à la fuite d'informations. Et il s'avère: le département nécessaire est, et en même temps il ne l'est pas. Il est comme le moteur perpétuel: il ne consomme rien et les commerçants payent les dépenses en silence, en croyant comme s'ils payent à la mafia. Que cela ne t'embarrasse pas, Gricha, les temps ont changé. C'est un temps de l'approche pragmatique. Et ne t'inquiète pas. Les patriots ne dorment pas, - et il a jeté un clin d'oeil sournoisement à Kovalev.

          -Vous êtes un génie, oncle Kecha!

          Le général était assez flatté à cause telle remarque, même il ne l'a pas essayé de cacher.

          -Simplement, je suis en train d'occuper la place appropriée, - il a répondu avec un sourire fier.

          Les deux se sont séparés en bien humeur.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/11/the-teleportation-part-1-chapter-14.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/21/1277

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