Saturday, March 27, 2021

Chapitre XIX. Le double imaginaire. La téléportation. Partie I.

           Valia devina mettre les clés dans sa poche et verrouiller la porte de l'appartement. Elle atteignit le troisième étage, puis jusqu'au palier du grenier. Le grenier fut fermé. "Comme a-t-il réussi à s'éclipser sans bruit comme ça?" Elle ouvrit la porte de propre appartement avec les clés, examina tous les coins et après cela se dirigea au téléphone. Après plusieurs tentatives infructueuses et irritantes, elle réussit pourtant à composer le numéro nécessaire de Moscou.

          -Bonjour, Nadia, c'est toi?

          -Oui, je suis ici.

          -Tu sais quoi? Un mec qui est ressemblé beaucoup à ton Albert, il a passé sous ma fenêtre. Je voulais l'appeler, mais je me suis sentie timide.

          -Mais il est en train de sortir maintenant de la salle de bain. Il y s'allongeait en méditant. Même j'avais peur un peu, comme s'il ne respirait pas, mais j'ai décidé de ne pas le déranger. Oui, voici est-il. Je te passe lui.

          -Bonjour, Valia. C'est moi, Albert.

          Valia a failli laisser tomber le combiné téléphonique. Mais elle se ressaisit rapidement et réussit à prononcer avec une voix sûre:

          -Très bien. Je vois que c'est toi. Pourtant, un type est passé devant ma fenêtre et je viens de croire, si tu avec Nadia, vous vous êtes venu chez moi à deux.

          -Ça arrive parfois, des personnes très semblables l'un l'autre, même des sosies. 

          -Quant à toi. Y a-t-il parmi ceux qui connais-tu, quelqu'un comme ça?

          -Je ne tels me souviens pas, je ne sais pas pourquoi. D'ailleurs, pourquoi ça te trouble?

          -Parce qu'il est ressemblé à toi et il n'était pas seul à la fois, mais avec las salauds locaux. Je les connais tous. Deux d'eux sont libérés de prison récemment. Ils peuvent commettre quelque chose de mal et tu deviendrais un des coupables, - Valia mentit.

          -Maintenant, tu peux être sûre. J'ai un alibi, - Albert éclata de rire, en méditant en esprit: "Comme elle ment! Quelle tâche ai-je donné à elle! comme une équation avec plusieurs variables". 

          -Ne t'inquiète pas. Je vais bien. Je suis chez moi. Je te passe à Nadia. Conversez.

          Valia changea la conversation de l'autre sujet et les amies conversaient pendant dix minutes encore. Une d'eux sentit une horreur plus en plus.

          Elle ne croyait pas en merveilles. Donc ... Oh mon Dieu! Elle ne sait pas à qui s'est-elle donnée! Ce n'était pas Albert! Bien, s'il a été un coquin ordinaire. Néanmoins, ce type faisait semblant d'être Albert si habilement, même il admettait d'être imposteur et cela n'a fait qu'augmenter sa confiance en énorme mensonge. Après tout, qui était-ce?

          Des superstitieuses pensées furent ajoutées à sa peur qu'il faillit être le diable soi-même qui eut visité. Les pensées pareilles envahissaient malgré la logique et accroissaient sa crainte.

          "Mon Dieu. Qui était-ce?" Valia se souvint avec peur que cet "Albert le Deuxième" bien connaît Albert réel, il connaît aussi sa femme, sait qu'ils sont chez soi maintenant et même il sait qu'Albert est en train d'être à la salle de bain maintenant. C'est donc qu'Albert doit le connaître. Il cache quelque chose. Il y a un secret dans tout cela. Peut-être, les deux épouses savent ce secret, peut-être, il est seul. Mais ils ne diront rien. Sveta, cette rêveuse qui ne pense que sur elle-même, son amant et son amour, elle ne verrait rien qui se passe sous son nez. Soudain, sa peur superstitieuse commença à transformer en curiosité du plus haut degré. C'était juste une obsession. Il fallait faire un coup de fil à Moscou de nouveau, rien à faire.

          Elle composait avec irritation le numéro à travers "8" de nouveau, après quoi il y avait toujours "occupé". Enfin, les sons prolongés retentirent et on répondit à l'autre bout de fil.

          -Valia, est-ce toi? - la voix endormie de Lena dit.

          -Lena, comment as-tu deviné?

          -Le son est comme d'interurbain. Il n'y a personne avec la connexion pareille, sauf toi.

          -Lena, quant à l'Albert, a-t-il un frère jumeau très ressemble à lui? 

          Il y avait du long silence à l'autre bout de fil.

          -Lena, es-tu en train de m'entendre?

          -Pardon. Une voisine m'a distrait. Elle a sonné à la porte. Ils viennent toujours avec toutes sortes de bêtises. Alors, qu'est-ce que tu questionnes?

          -Je parle d'Albert, a-t-il un double qui très ressemble à lui? Peut-être, c'est un frère jumeau? Même la voix coïncide.

          -Je ne sais rien de pareil. Si je sais, je le dirais à toi. Et alors?

          -Simplement, un mec est passé sous ma fenêtre qui ressemble beaucoup à lui. 

          -Mec? Il est passé sous ta fenêtre? Il ressemble beaucoup à l'Alik de Nadia? C'est très intéressant. Écoute, on m'a donné récemment une bouteille du vin cher et bon. Je ne le veux pas boire seule, mais si nous buvons à quatre, ce ne serait pas assez. Viens demain. Tu me n'as pas visité longtemps. Nous serons assis, bavarderons ensemble. J'ai un jour de congé demain. C'est égal pour toi où voyager. Tu déjà as oublié, comment est-on en train de travailler.

          -Je travaille mentalement.

          -Je sais, je sais, comment mentalement. Il sera meilleur à parler de choses pareilles tête à tête, pas par téléphone. Tu n'es pas offensée?

          -Non, tu sais. Même, je suis heureuse un peu. Au moins, je peux l'admettre. Et toi, peux-toi admettre le même?

          On se tut de nouveau à l'autre bout de fil. Les larmes coulaient des yeux de Lena, dans la gorge le sanglot qui était prêt à éclater, l'empêchait de parler. Mais on ne le pouvait pas voir à travers le téléphone.

          -Tu sais? - elle répondit, en faisant semblant de réfléchir profondément, - ce ne me venait pas à l'esprit en avant. Et maintenant, je viens de jeter un coup d'œil en moi, et j'y ai trouvé soit une peur, soit un mauvais pressentiment.

          -Moins reste seule chez toi aux jours de congé. Bien. Je viendrai demain.

          -Viens. Je t'attendrai. Ne mens pas.

          -Est-ce que je te mentais jamais?

          -Non. Mais ton dernier mec peut venir chez toi.

          -Il ne viendra pas. Il est parti hier vers la Turquie pour les marchandises. On ne peut pas achever les choses pareilles pendant un jour.

          -Alors, je suis contente que tu viennes. Au revoir.

          -Au revoir.

          Dans trois jours le soir, l'imaginaire "double d'Albert" apparut de nouveau dans l'appartement de Valia. Elle l'a remarqué, quand elle s'est passée de la cuisine à la chambre. Il était debout, en souriant.

          -Oh, tu m'as effrayé! Comment es-tu entré? Quel diable es-tu en fait?

          -Ce que je ne suis pas Albert, je t'ai avoué la dernière fois. Si tu suspectes une magique démoniaque en moi, tu peux pratiquer n'importe quel rite chrétien dans ma présence. Je ne ferai que l'accueillir et même j'y suis prêt à participer. Tu peux me faire le signe de croix, tu peux me donner à boire l'eau bénite, mettre des icônes autour de moi...

          -Tu es un trompeur, voici qui es-tu. Pourquoi ne veux-tu pas parler sincèrement que signifie tout ça? Es-tu son frère? Êtes-vous des jumeaux?

          -Laisse-l'être de telle façon.

          -Pourquoi laisser l'être? Je dois connaître la vérité! Tu m'as utilisé, mais quel droit avais-tu?

          -J'avais parfaitement le droit. Je le vois maintenant. Parce que tu as senti bien avec moi. Bien jusqu'à tel degré que tu étais prête à le faire malgré l'amie. Et maintenant il faut réjouir. Tu peux être heureuse, sans provoquer une jalousie de n'importe qui.

          -Il m'a rendu heureuse! Quel bienfaiteur! Et si j'appelle à l'aide? Est-ce que tu veux me violer? Tu m'as utilisé une fois, quoique tu n'eusses aucun droit pour ça. Et tu le veux de nouveau.

          -Appelle-les. Je m'irai sans laisser de trace, et tu auras l'air de sotte. Ce serait la même bêtise, comme si crier "au feu!" tandis qu'il n'y a aucun feu. Pourquoi se comporter de la manière stupide? Tu n'es pas une de ceux, des habitantes de Zavety Ilyitcha. Tu dois me soumettre.

          Après avoir dit cela, il a saisi le poignet d'elle par deux mains et a ramené sa main derrière son dos. Elle se pencha en avant. Il commença à soulever l'ourlet de sa robe et à l'enlever la culotte. Valia essaya de résister, mais il prononça de la manière menaçante:

          -Sinon tu rongeras le sol maintenant, il ramena la main d'elle plus haut et elle faillit pousser un cri.

          -Laisse-moi aller, je suis d'accord.

          -Néanmoins, sans bêtises, sinon regretteras.

          Elle commença à déshabiller complètement, en disant:

          -Qu'est-ce que je pourrais faire contre toi, chaud lapin. Est-ce possible de te vaincre?

          -Être un chaud lapin vaut mieux qu'un impuissant ou ivrogne. À genoux, ma beauté! Quelle es-tu belle! Tu es juste mon rêve.

          En entrant en elle de derrière, il la tenait par tresse longue et était en train de la tirer vers soi, malgré le fait qu'elle soi-même toute se tortillait, en respirant péniblement à cause de la passion, sans être capable de cacher cette circonstance-là, comme bien sentait-elle avec lui.

          Après qu'ils ont fini et revenu à la raison, soudain elle le prit dans ses bras et prononça avec les larmes aux yeux:

          -Ne fais jamais mal à moi, tu promets? Je n'aime pas ça et ça me blesse.

          -Et tu m'aimeras?

          -Ne vois pas tu?

          -Fera tu bêtises?

          -J'en ne ferai pas. Ce n'est pas bêtises. Je ne sais pas, qui es-tu. Même je ne sais pas, comment t'appelles-tu. D'où es-tu venu? D'où connais-tu ton double Albert?

          -Le nom ne change presque rien, ce n'est qu'une étiquette. Tu peux n'importe quelle étiquette sur la bouteille, mais le contenu ne changera jamais à cause de cela. Si tu fais toujours la tentative de découvrir un secret, un jour tu finiras par trouver certaines choses, à cause de quelles fera-t-il mal pour tout le monde, en premier lieu pour toi. Découvrir le secret n'est pas dangereux pour moi, mais c'est dangereux pour toi et dans une certaine mesure, pour toutes tes amies. Veux-tu apporter un désastre pour toi et pour toutes?

          -Peut-être, j'avais tort. J'essayerai, comme tu dis, de ne pas faire bêtises. J'en promesse.

          -Puis je ne te ferai jamais mal aussi. Une seule chose, si tu es en train d'aimer, n'aie jamais honte, mais sois fière de ça.

-Je t'aime.

          Après l'avoir prononcé, elle le regarda dans les yeux et il lit dans ses yeux le désir et prière.

          -Dis que tu as le désir de te donner à moi.

          -J'ai le désir de me donner à toi.

          -Alors libérons-nous du vêtement?

          -De quelle façon ferons-nous le faire?

          -Nous allons à inventer.

          Ce jour-là, ils se sont séparés heureux. Albert fit semblant de dépêcher vers le train local qui en fait devait s'arrêter bientôt à la station. Néanmoins il n'atteignit pas le train. En prétendant comme s'il va pisser, il traversa les deux voies du chemin de fer et se cacha dans les arbustes. Après avoir été sûr que personne ne le voyait, il téléporta immédiatement chez soi au bain.

          L'amour aux trois beautés ne l'épuisa pas. Aussi il ne les visitait pas très souvent, en tout cas non chaque jour. Cela ne faisait qu'aidait à lui à devenir plus actif et tout son activité était visée aux voyages qui se sont devenu si disponibles maintenant. Il bien connaissait déjà  une partie de New York et était en train d'apprendre les autres villes des États Unis.

          Le monde entier était ouvert devant lui, tandis que les soucis quotidiens le dérangeaient de moins en moins. Même dans Amérique, les personnes inconnues le considéraient comme un étranger heureux qui est arrivé on ne sait pas d'où et qui a eu bonne chance de recevoir un gros héritage.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/12/the-teleportation-part-1-chapter-19.html?zx=5912f1134ecbb480

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/26/1192

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