Tuesday, January 25, 2022

Chapitre VI. Relations étranges. La téléportation. Partie II.

           Novembre reprenait ses droits de plus en plus. Il n'était toujours que le commencement de mois, mais la région de Moscou déja était toute en neige, comme d'habitude. Albert voyait cela, quand avait-il besoin d'y "grimper" pour quelque chose. Néanmoins, il était ici silence et le gel jusqu'à 10-15 degrés au-dessous de zéro le matin et Paul disait que l'opportunité de cette région toujours n'est pas entière. Il peut être beaucoup plus froid dans cette heure de l'année et quant au temps qui est maintenant, il peut faire le temps pareil, y compris, à Moscou.

          Les nuages gris vinrent que le ciel se couvrit, la neige commença à tomber, mais cela ne chauffa point du tout. Le vent froid pénétrait à travers toutes les fissures comme prés de Moscou au février et quand le silence tomba de nouveau, le thermomètre descendit plus.       

          -Il serait bien à faire du ski maintenant, - Nadia dit une fois, en prenant du thé. La Sibérie, qu'est-ce qu'elle signifie pour nous, tandis qu'il fait presque le même temps à Moscou? 

          -Tu ne dirais comme ça, quand il faisait la température près de moins cinquante degrés.

          -Il faisait une fois moins 54 dans la ville Naro-Fominsk, c'est soixante-dix kilomètres de Moscou.

          -Cela peut avoir lieu là-bas une fois pendant un siècle, il fait comme ça ici beaucoup plus souvent.

          -Je voudrais promener aussi, mais j'ai peur du fait que je ne sais pas, comment faut-il prendre les skis avec soi, - Albert entra en conversation.

          -Les choses longues qu'on peut serrer fermement contre et le long de soi-même, on les peut prendre et c'est simplement,- le vieillard expliqua.

          -Alors, pourquoi étais-tu toujours en train de garder le silence sur ça?

          -Personne de vous ne parlait du ski jusqu'à présent. C'est pourquoi je supposais que ce divertissement est écarté de vous.

          -Non, au contraire. Je et Alik, nous adorons faire du ski. Aussi, il faut acheter des skis aussi pour Olesya. Je le sais, néanmoins, je les préférerais prendre de chez nous, car nous sommes habitués à eux.

          -Fais gaffe à ton dos! C'est probable, il y a des pièges. Ils avaient assez du temps à faire du mal. Si quelque chose ne va pas, retourne immédiatement, - Paul a prévenu. 

          Albert oublia et commença ça à "grimper" dans leur appartement à Perlovka devant Nadia lentement. Une vue terrible l'apparût. En voyant les intestins du mari, comme s'il soit coupé en deux, elle cria fortement. Néanmoins, Albert n'est que penché un peu et recula tout de suite de cette fenêtre d'Univers, c'est-à-dire, de cette partie des surfaces planes que sont cachées partout.

          -Nadia, n'aie pas peur, - il la consolait et à la fois il toussait fortement. - C'est un effet optique. Lorsque nous passons à travers une dimension différente, on peut voir non seulement ce que nous avons dehors, mais aussi ce qu'est au-dedans de nous. Quand je le faisais vite, tu ne pouvais rien réussir à remarquer. Mais maintenant, je l'ai fait lentement et c'était juste. L'appartement est plein du gaz. Maintenant j'y vais marcher là-bas et casser des verres des fenêtres de notre appartement. C'est leur bêtise, apparemment, ils ne savent pas comment me capturer et essayent tous les moyens.

          -Attends-moi un peu seulement. Je vais revenir tout de suite. C'est très important, - le vieillard dit et sortit puis il revint rapidement avec "Walter" de son successeur, le lui remettant en disant:

          -Suis plus prudent, quoique je sois sûr que ses pièges ne sont pas mortels. Quelle est l'odeur de ce gaz?

          -Il ressemble au gaz par lequel les cartouches de gaz sont gonflées, quelque chose de sorte de"Merisier".

          -Ils sont des sots, malgré le fait qu'ils sont du FSB. Néanmoins, je les comprends. Ils t'ont raté. Et si quelqu'un noyant s'accroche à la paille, on ne le considère comme une bêtise.

          -Ah, comme je m’inquiète pour lui! - Nadia s'écria.

          -Ne t'inquiète pas, - et il ajouta en tournant à l'Albert: - Et tu prends soin de toi-même. Ne vois-tu pas, quelle beauté s'inquiète pour toi? Elle n'est pas seule qui a besoin de toi. On devra sauver toute votre compagnie. En agissant seul, je peux  rater le succès.

          -N'inquiétez pas, vous. Tout dépend de moi en effet. C'est pourquoi je serai prudent. Néanmoins, j'entrerai de la rue maintenant. Donc, je vais m'habiller. Il y fait du froid et d'hiver aussi.

          Après avoir habillé la veste et avoir distribué les armes dans les poches, c'est-à-dire, "Walter" les cartouches de gaz et la hache dans son sein, Albert disparût et apparût dans la région de Moscou devant sa maison. En trouvant les pierres, il les jetait dans les verres des fenêtres de l'appartement et après les avoir cassés, il entra et monta les escaliers et ouvrit la porte de son appartement complètement. Encore une fois, une odeur piquante est venue de là et les yeux le brûlèrent. Sans trouver quelque chose à tenir la porte, il mit la hache sous elle. Le courant d'air maintenant devait accomplir son travail. Albert revint à son abri sibérien. Tout le monde eut un instant de répit.

          -Et comme ça va là-bas? Ce gaz ressemble le CS en effet. J'apporterai les skis après avoir ventilé. Et je vais acheter des skis pour Olesya. Je connais un bon magasin d'articles de sport aux faubourgs de Saint-Pétersbourg sans désordre et des queues à cause de la cochonnerie soviétique. Et le choix est assez acceptable.

          Quand Albert revint dans l'appartement ventilé, un bruit de réprimande venu de l'escalier le fit écouter avec attention.

          -C'est un fou qui habite cet appartement. Il fait des expériences, il a lâché un gaz toxique jusqu'à tel degré que nous devons ouvrir les fenêtres en hiver. Maintenant, il est en train de casser des verres de fenêtres. C'est bien que seulement dans son propre appartement. Dans l'époque du pouvoir soviétique ils l'auraient corrigé. C'est maintenant qu'ils sont libérés! Tout ça est à cause de Yeltsin avec sa démocratie.

          Ce fut drôle à écouter mais pas intéressant. Albert apporta ses skis et ceux de Nadia, chacune paire à son tour. Pour les skis d'Olesya, il les livra après qu'il fut allé et retour  à Saint-Pétersbourg, "en volant à travers des dimensions inconnues". Les skis étaient bien portables à téléporter si les tenir le long de l'axe central, en les serrant contre soi-même. Albert se souvint avec regret qu'il avait une possibilité d'emporter avec lui de la même manière le fusil qu'il avait pris de sniper ennemi qu'il avait assommé sur le toit.  

          Ce fut naturel qu'Olesya ne fût pas chez elle. Elle était en train de se promener à la taïga, pas loin de la maison. Ces derniers temps, elle aimait beaucoup se promener dans la forêt. Quant à raison de ça, il était simple l'expliquer par la réclusion forcée. Dès l'instant de l'apparition des "locataires", son séjour dans la maison de Paul ne pouvait plus provoquer les soupçons. Avant, elle se rendait compte clairement qu'elle devait se cacher pour son propre bien. Maintenant, elle possédait la liberté complète de mouvement et jouissait par cela. Elle vint bientôt de la forêt froide avec visage frais et rose, et toute contente.

          -Ils sont fatigués, les deux. Laissons les être à la maison, tandis que nous marchons à faire une piste de ski. J'ai les skis de chasse dans la grange, je vais les apporter tout de suite. 

          Après ce dire, Paul sortit et revint bientôt avec skis. Nadejda ne voudrait pas aller à forêt avec Paul. Quant à lui-même, elle n'attendait aucune surprise de lui, bien savant, que seulement Olesya le fatigue les nuits. Néanmoins, elle ne pouvait pas être sûre à l'égard de deux restants, et elle avait raison en cela. Mais elle se sentit timide à refuser sans dire la raison, surtout dire de ses soupçons en présence des amis bienveillants. Elle n'a dit que:

          -Il déjà va l'assombrir. Laissons la promenade ne soit pas pendant longtemps. Alik, il même fera la piste pour distance plus lange après. Il est jeune, fort.

          -Nous n'allons pas à le faire longtemps. Deux kilomètres pour aller, deux à retourner. Dans une heure nous sommes chez nous.

          Bientôt, ils sortirent. D'abord, Olesya prit un premier livre tombé dans les mains et fait semblant qu'elle soit en train de le lire. Néanmoins, elle bientôt le remit, en expliquant:

          -Alik, tu sais? Je ne sais pas pourquoi, mais je ne veux plus lire. As-tu offensé que je t'ai nommé Alik, pas Albert?

          -Il n'y a pas de grande différence. Tout ça est des préjudices, mais nous sommes des amis.

          -Je vais être sincère avec toi. Comme avec un ami. Tu entends, je et Paul, comme nous faisons du tapage avec Paul dans la nuit sur le lit? Je sais que tu entends. Il est de mon genre, mais je le manque et je ne le veux pas forcer, je m'inquiète pour sa santé. Parce que s'il est mort, je mourrai aussi. Albert bien savait de l'inclination des très jeunes filles à dire des bêtises de sa propre mort pour attirer l'attention. Il savait, comme cette conversation finira et c'était ce qui augmenta son excitation. Dans cet instant Olesya occupa tout son monde intérieur. Toutes ses pensées et rêves n'étaient concentrés que sur elle maintenant. Il essayait de cacher cela.

          -J'ai entendu un jour, tu avec Paul, vous deux discutiez sur la liberté morale. Et je vais à vérifier tout de suite, si es-tu libre en effet ou tu n'es qu'en paroles.

          Après avoir ce dire, elle commença à se libérer graduellement de vêtement. Albert regardait à elle avec attention sans timide, sans détourner le regard.

          -Et quoi? Suis-je belle? - elle questionna après avoir enlevé son maillot vert et moulant de bain.

          -Est-ce que tu en doutes?

          -Attends un, peu, - elle mit le maillot de bain de nouveau, - il me va bien?

          -Dans ton âge, n'importe quel vêtement te va bien.

          Le maillot de bain fut enlevé et mis de côté plus une fois encore.

          -Qu'est-ce que tu penses si je, dans cet état comme ça, je serai en train de regarder à toi dans les yeux? Crois-tu que je suis capable?

          -Regarde.

          Elle le regardait fixement comme un boa constricteur. Cela serait drôlement, néanmoins, on voulait quelque chose d'autre au lieu de rire. Il commença à regarder au racine du nez d'elle.

          -En regardant dans mes yeux, dis: si tu m'aimes?

          -J'aime toutes vous, parce que chacune de vous reflète de l'inimitable manière la beauté de l'Univers, la gloire de création et la gloire de Créateur..

          -Maintenant, je vais le faire de courte distance, - après le dire, elle s'approcha de lui, assit sans ménagement sur ses genoux, directement sur les pantalons. Sa forme était comme celle-là de Sveta, seulement, les seins un peu moins, et il pourrait les prendre l'une pour l'autre dans les ténèbres. Néanmoins, leurs visages et les couleurs des cheveux différaient beaucoup. Cette fille était blonde, aux lèvres charnues et ses gris-blues yeux étaient expressifs.

          -Sais-tu que tu m'as excité beaucoup?

          -Je le sens.

          -Est-ce que tu fais comme ça avec tous les hommes?

          -Non. Seulement avec ceux-là qui sont libres des préjudices. Le reste ne mérite pas de voir mes charmes. Il les faut laisser recevoir selon ceux-là règles, selon lesquelles vivent-ils. S'ils affirment, comme s'ils "n'ont pas du sexe", laissons les vivre sans lui. Ils peuvent même croire comme si je suis une fille modeste. Je me fiche d'eux ou de ce qu'ils pensent. Et quant à toi: soit je dois te violer, soit tu me te donneras toi-même? Qui est l'homme entre nous, toi ou moi?

          -Je supposais que tu n'as besoin que de bavarder. Si ce n'est pas comme ça, donc prends garde.

          -J'en prends.

          Une minute à peine s’était écoulée quand Albert retira tout vêtement. En l'examinant, la jeune fille s'exclama avec admiration:

          -Ça c'est de la chose!

          -Bonne chose, donc viens ici.

          -L'avoine ne vient pas au cheval.

          Albert fit un mouvement à la direction d'elle, mais elle commença à courir de lui dans toute la maison, en riant joyeusement.

          -Et qu'est-ce qui se passerait si Paul revient plus tôt?

          -Il ne te fera rien.

          -Néanmoins, quoi quant à toi?

          -Tu le verras.

          -As-tu peur?

          -J'en ai et n'ai pas à la fois. Enfin, il l'attrapa et serra dans les bras. Ils s'embrassaient sur les lèvres avec passion. Il la serrait, comme s'il essayait de la mettre vers son intérieur, et bientôt retentit déjà connu ''Aie!" Toute légère, elle était en train de se donner à lui suspendue et serrée par les mains fortes comme par un anaconda. Très bientôt  cet "Aie!" achevant l'action retentit.

          Après avoir dépensé les forces, les deux s'assirent sur le lit, où prévoyante Olesya déjà auparavant mis un drap plié en quatre. Pendant à peu près cinq minutes étaient-ils en train d'être assis relaxés. Olesya fut la première qui rompit le silence.

          -Vous me plaisez aussi, chacun de vous à sa propre manière, pourtant le vieillard plaît plus. Je suis d'accord que chacun de vous aussi reflète de l'inimitable manière la beauté de l'Univers et la gloire de Créateur, néanmoins, non seulement ceux qui sont observés possèdent une beauté différente, mais aussi les observateurs ont les yeux différents. Chacun ne voit qu'une partie étroite du spectre. Il n'y a pas sauf Dieu des observateurs qui pourraient embrasser tous le spectre complètement. Seulement son étroite partie. Tes yeux ne voient pas la beauté des gens vieux, surtout ceux-là qui sont bien conservés et il y a quelque chose d'autre qu'ils ne voient pas. Mais mes yeux ne voient ce que tu vois. Nos parties du spectre qui se croisent des côtés différents, ils forment une bande étroite et nous ne pouvons trouver quelque chose en commun qu'au-dedans de cette bande. Néanmoins, ce qu'il y a à l'extérieur, il est compréhensible et acceptable pour l'un et ne peut pas être compréhensible et acceptable pour l'autre. Je crois que tu sois beau, mais mes yeux presque ne te voient pas. Ils verront ta beauté complètement, lorsque tu griseras et seras couvert par les rides. Dont ceux-là qui ne préfèrent qu'un seul partenaire, ils ne sont pas nécessairement des monogames.

          -Tu es une fille intelligente. Malgré le fait que cette théorie n'est pas la tienne, je sais d'où est elle venue, mais c'est une leçon que tu l'as appris bien, si bien appris qu'il faudrait mettre "cinq" pour elle.

          -Néanmoins, je lui mettrais "un" pour le comportement d'elle! - sonna la voix agacée de la femme d'Albert. - Je vais te traîner par les cheveux tout de suite.

          -Nadia. Reste ça à moi, - Paul l'accompagnant intervint. - Je la vais punir sévèrement. Tu es en colère comme s'il fait mal pour elle à cause de ça, mais tu bientôt auras pitié d'elle et essayeras de m'arrêter. Ce n'est pas seulement toi qui as perdu à cause de ça que tu nommes trahison. Moi aussi. Hé! Salut beauté, ne cache-toi pas! Reste comme tu es et vins ici pour le châtiment. Sans couvrir tes charmes!

          Olesya trembla et rougit, baissa la tête. Ainsi, elle vint en revue de tout le monde, sans monter les yeux.

          -Tu avoues être coupable?

          -Oui.

          -Tu sais ce qui est prescrit pour ça?

          -Oui. Ainsi, va et apporte toutes les choses qui sont nécessaires dans le cas pareil.

          Olesya est sortie, toute nue directement à la véranda froide. En première fois elle apporta un banc long. En processus de la deuxième sortie, la porte du porche s'ouvrit et il fut entendu un bruit de l'eau déversée. Après cela, Olesya apporta une auge couverte avec une feuille de contreplaqué. Nadia déjà commença à deviner ce qui va se passer maintenant. Olesya sortit plus une fois et apporta plusieurs morceaux de corde un peu plus épaisse qu'une corde à linge. La tête d'Olesya était toujours abaissée, la rougeur toujours ne disparaissait pas du visage, mais Albert bien informé, en regardant attentivement, il remarqua qu'elle cachait un sourire sournois et heureux sur le visage. Le vieillard enleva la feuille de contreplaqué. Nadia ne fut pas surprise, parce qu'elle vit dans l'auge ce qu'elle eut attendu à voir. Il y avait des tiges bien mouillés de bouleau à fouetter. Olesya s'allongea sur le banc avec soumission et s'est laissé lier les mains et les pieds. Il était vu que les mains d'elle un peu tremblaient.

          -Tu as réussi ma belle, n'est-ce pas? - le vieillard dit. -Allons, Nadia. Donne-lui vingt coups de tige et elle recevra de moi le reste.

          Nadia prit une tige longue et sans réfléchir trop elle donna un coup sifflant à la rivale prise dans le péché. Olesya serra les lèvres et un peu frisonna, mais fut silencieuse.

          -Ce n'est que commencement, - l'épouse offensée grinça entre ses dents. - Tu bientôt chanteras pour moi, - et une tige flexible immédiatement fendit l'air trois fois. Après le quatrième coup un "Aie!" long enfin rompit le silence de la même manière comme pendant les plaisirs d'amour. Olesya tournait la tête à droite et à gauche, c'est probable que son corps cherchait sans compréhensible la sortie d'un piège cruel et inconnu. Après avoir rencontré avec regard de la rivale, le regard brûlant et plein de colère, elle posa le visage sur le banc de nouveau.

          -Et quoi? Est-ce dur? Maintenant, tu vas devenir rayée comme une zébra. Reçois de plus.

          Après ces mots, la tige était en train de siffler dans un contexte du silence total, en notant ses visites avec les rayures lumineuses de son dos au niveau de ceinture jusqu'aux jambes sveltes au niveau de genoux. Le long cri "Aie!" avec expiration répétait maintenant après chacun coup, et à l'inspiration fut ajouté un son neuf, aussi ressemblant un cri. Le corps beau d'Olesya, en étant empêtré dans des cordes, sursautait de plus en plus fort, mais en vain. Elle était attachée honnêtement. Le vieillard fit un signe avec main après le vingtième coup à l'arrêter.

          -Ce n'a été que les accords d’introduction, ma belle, et maintenant, c'est moi qui vais s'occuper de toi.

          Olesya respira profondément et jeta son coup d'œil plein d'amour à son exécuteur neuf.

          -Je sais que tu es belle, et il faut fouetter les jeunes filles pareilles plus souvent, pour qu'elles deviennent plus belles encore.

          Le vieillard monta la main, et Olesya s'enfonça le visage dans le banc plus encore et toute tassée. Elle se rendait compte que maintenant c'est un expert qui prit les tiges aux mains. Il donna plusieurs fouets à elle, et au lieu de cri érotique "Aie!", un gémissement de souffrance sonnait chaque fois, malgré le fait que les coups n'étaient pas plus forts. 

          -Regarde, Nadia. Tu as été pleine de colère, tu montais la main haut, néanmoins, il ne faut que savoir quelques secrets simples. Tes tiges tombaient parallèlement à la surface du corps. Mais les extrémités de mes tiges comme s'ils "tournent le coin". Je suis debout de ce côté et toi, contourne à regarder de position de l'autre côté.

          Nadejda contourna à l'autre côté et vit la différence immédiatement.. Les cicatrices créées par elle étaient rouges régulièrement, du commencement au bout, mais les cicatrices créées par vieillard n'étaient pas longues, même au commencement plus pâles, mais à la direction plus proche au bout, elles devenaient plus épaisses, plus rouges et finissaient avec des points rouges, presque sanglants. Malgré le dialogue qui eut interrompu la punition, Olesya tournoyait, gémissait et serrait les dents.

          -Assez faire semblant d'être une actrice plus tôt que ça commence. Nous allons avoir tout de suite l'amusement admirable. Après avoir le dire, le vieillard diligemment et vite a donné lui cinq coups de tige, presque au même endroit. Olesya hurla. Après avoir attendu un peu, il a choisi comme but autre endroit, et bientôt cinq zébrures furent marquées là-bas qui faillirent être fusionnées et un peu saignaient aux bouts. Après deux quintuples de plus comme ça, Olesya hurlait comme une fille d'école qui a onze ans. Le vieillard la fessait, en changeant les tiges souvent sans faire attention aux hurlements d'elle. Puis soudain s'arrêta-t-il.

          -Voilà. Tu as reçu une vingtaine coups de Nadia, puis quarante coups de moi. Maintenant va te reposer. Et je te donnerai puis la deuxième partie, quarante coups encore.

          Olesya arrêta de hurler tout de suite, mais la partie du banc contre son visage déjà était mouillée à cause de les larmes.

          -Écoute-moi, vieux diable. Peut-être assez tourmenter la fille? - Nadia se révolta.

          -Ne mêle pas. C'est leur amour qui est cruel comme ça, - Albert dit en faveur du vieillard.

          -Bon sang! Appeler cela comme l'amour?

          -L'amour toujours a raison! L'amour toujours est beau! Juste nos yeux ne sont pas assez perfects, afin que nous reconnaissions cet aspect de l'amour.

          -Est-ce possible un amour comme ça?

          -Oui. Jusqu'à ce qu'on commence à ruiner l'un l'autre, tout ça est l'amour. As tu lu quelque chose sur Héloïse et Abélard?

          -Non.

          -C'est un fait historique, - le vieillard prit part à la conversation. - Onzième siècle.

          -Allons à la chambre à nous reposer un peu.

          Tout le monde alla à la chambre et s'assit sur les chaises. Olesya était en train d'allonger sur le banc silencieusement. À peu près dix minutes tous les amis vinrent vers elle.

          -Et quoi, mon amour. Es-tu tourmentée?

          -Tu sais? - la victime répondit de la manière inattendue à l'égard des amies. - Il me faut fouetter et le faire plus souvent.

          -Alors, allons continuer.

          Et les tiges flexibles chantaient de nouveau, s'enfonçant savoureusement dans le corps d'Olesya, jeune et élastique. Et le cri de fille de nouveau résonnait les murs de vieille maison. Lorsque tout eut été fini, le vieillard la libéra des cordes vite, Olesya se comporta de la manière inattendue encore. Elle bondit à la vitesse de l'éclair, se jeta au cou de son tourmenteur, en s'exclamant:

          -Merci pour la leçon, mon magicien, mon bien-aimé! Je t'aime, je t'aime!

          Ils s'étaient embrassés avec passion, comme des amants ordinaires, il dans son vêtement, elle toute nue et fouettée était prête à pendre à lui. Ils étaient des amants en effet.

          -Tu te souviens, ma chérie Olesya, demain j'aurai quatre-vingt-quinze ans?

          -Oh, j'ai oublié du tout et je ne t'ai préparé rien pour offrir.

          -Le mieux cadeau à moi n'est que toi, - le vieillard ne dit pas mais chanta en imitant un acteur célèbre d'un dessin animé..

          -Non, il ne faut pas le laisser comme ça, - Nadia dit sûrement qui il y a quinze minutes était prête à battre avec héros de la fête.

          -J'ai assez d'argent. Je moi-même peux donne à moi n'importe quoi.

          -Ce n'est pas une question d'argent. Au moins, il faut remettre quelque chose comme symbole. Je vais grimper à Moscou et retour tout de suite, - Albert dit.

          Olesya était toujours debout toute nue sans timide de tout et essayait de regarder derrière elle le plus loin possible pour examiner des marques des tiges. Enfin, elle s'habilla. Albert s'habilla pour sortir dans la rue froide pour qu'Olesya ne voie pas comme il disparut. Dans demi-heure il retourna avec le sac rempli et il remit au vieillard la videocassette "l'histoire d'O" avec des mots de félicitations. Puis, il sortit du sac trois petites tortes, le saucisson, le fromage et le thé de Ceylan de la plus haute qualité.

          Et dans demi-heure de plus, tout le monde était assis à table, prenait de thé et regardait le film. Le monde inventé par Pauline Réage ne pouvait pas être considéré comme si sans problème, mais en comparaison avec la vie réelle, les problèmes étaient assez simples, et cela ne qu'embellissait l'intrigue romantique. L'accompagnement musical bien composé montrait plus une fois que l'amour est beau, même celui-là qui n'est pas compréhensible à tout le monde.

          Il était clair que le film plut à vieillard. À juger de son apparence, tandis qu'il le regardait, il était claire qu'Albert eut atteint le cible à l'égard du cadeau. Dans une mesure encore plus grande plut le film à Olesya et cela était remarquable aussi. Tout immobile et partie complètement en sujet, il paraissait que ce soit elle qui fouette son amie Ivonn avec passion perfide et que se soit elle qui tout heureuse se promène en bateau avec sir Stefan et se soit elle qui apprête autre amie Jacqueline à l'emmener à Roissy.

          Il n'y eut rien qui pourrait être un surpris pour Albert. Quoiqu'il ne connût pas les inclinations sadomasochistes, il comprenait les personnages du film "en théorie". Il les non seulement tolérait, mais aussi les approuvait et accueillait en esprit, il les considérait plus haut que les autres, pour ce qu'ils suivaient sincèrement leur nature.

          La music plaisait à Nadejda. Elle regardait le film comme un conte, sans oublier que le sujet est inventé et c'est des acteurs jouent des rôles. Néanmoins, après la fin du film, une pensée est venue à l'esprit d'elle que tout le monde qui se trouvait dans cette chambre avec elle, personne entre eux n'est acteur. Ils sont des gens réels de la vie réelle. Pourtant, qu'est-ce qu'ils faisaient récemment? Comme si elle était en train de voir un rêve assez étrange, dont elle ne pouvait pas apprendre l'intrigue de la façon cohérente.

          Ils sont des réfugiés en fait, mais ils vivent mieux que le reste, et le reste les envierait. Si gentil vieillard Paul, gentil et sage, il croit en Dieu, il a passé telle école de la vie... et soudain il avère un méchant qui couche avec et torture la fille qui a l'âge d'être son arrière-petite-fille. Mais tout à coup il s'avère que cette fille elle-même soit prête à tuer chacun qui oserait toucher son tourmenteur, sans qui elle ne peut pas s'imaginer la vie. Si simple et conviviale, soudain elle essaye de séduire son mari et réussit en cela, il n'était assez que sortir pendant une heure. Ce qu'il paraît impossible de connecter l'un avec l'autre, soudain s'avère connecté, liés ensemble. Il se produit ce qui ne doit pas être produit selon les lois connues à elle. Même les inébranlables lois de la physique ont l'air d'être violées. Comme si elle est jetée à l'univers dans laquelle elle toujours ne peut pas s'orienter.

          Albert l'aime et la sauve des ennemies et le même Albert commet l'adultère. Les gens normals dans les cas pareils se révoltent, refroidissent, séparent, parfois commettent un délit. Néanmoins, Albert est devenu plus proche, plus cher après cela. El sent qu'elle l'aime plus fort maintenant. Elle a blâmé Olesya, lorsqu'elle est entrée et a vu l'adultère, mais elle se rend compte que cela n'était que faire semblant. Elle indignait, parce qu'il est accoutumé d'indigner aux cas pareils. En effet, elle se rendait compte qu'Olesya toujours continue d'être son amie avec qui elle peut sympathiser et elle était prête à la défendre du châtiment. Il n'y a aucun désir de faire du mal à elle, même ni s'offenser ni faire la moue. Maintenant, il se rendait compte qu'elle ne peut pas comprendre non seulement les circonstances extérieures. Elle ne pouvait pas comprendre même soi-même.

          -Je sais tes difficultés, - le vieillard dit soudain en se tournant à elle. - Comme à tout lo monde, on t'imposait dès la jeunesse la conception comment le monde est organisé. Tout ça s'est avéré un mythe. Et ce que tu considères comme un mythe, c'est la vie réelle en effet. La vie réelle sans masques, sans hypocrisie, sans exagération.

          -Justement à cause de cette dernière circonstance, notre association de nous quatre ici et aussi le reste de trois à Moscou est unique. Simplement, tu t'es habituée au monde des hypocrites morts. Maintenant, ta tâche est à t'habituer au monde des vivants. Accepte lui, habite lui, apprends-lui et tu verras à quel point est-il mieux. Et il ne peut séjourner sans être mieux. Parce que celui-là monde a été un monde des morts. Et maintenant, le monde de vivants est en train de s'ouvrir devant toi, - Albert fit la conclusion.


The texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/13/1234

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