Saturday, January 15, 2022

Chapitre V. Sauveur et trompeur à la fois. La téléportation. Partie II.

           Nadejda toujours n'était pas habituée au lieu neuf. S'ils sont invités simplement, peut-être elle ne le sentirait. Néanmoins, l'information de ce qu'ils avaient quitté la place de laquelle s'était-elle habituée et ils sont devenus maintenant des migrants forcés à la Sibérie, tout ça la dérangeait. Dans une semaine, elle remarquait qu'une sorte de partie d'elle est en train d'accepter ce qui est arrivé et que les conditions de la vie et lieus différents ressemblent aux décors dans un théâtre qui toujours changent, mais l'observateur reste le même. Est-ce que l'être humain s'habitue à toutes les choses de telle manière? Elle ne savait pas.

          Malgré le fait qu'ils habitaient tel coin perdu où les gens soviétiques étaient privés presque de tout, Albert et le vieillard possédaient d'argent. Dans le grand village qui était en train de mourir, il n'y en avait pas de kiosque alimentaire privé même au milieu de la libéralisation de l’économie. Les kiosques alimentaires comme ça n'étaient que sept kilomètres d'ici, c'est-à-dire, dans ce village-là où ils étaient arrivés en premier en bus. Et le choix de marchandises y était bien plus maigre que près de Moscou. Lorsque Nadejda a lit des inscriptions sur les paquets avec attention, il est avéré que presque toutes ces gourmandises étaient faites aux États-Unis. 

          Olesya pouvait cesser de se cacher maintenant. Quoique le vieillard ne fût pas communicatif avec voisins, pourtant, il raconta à eux comme si en passant qu'il ait des locataires maintenant: une femme, le mari et sa nièce et qu'ils tous soient de Krasnoïarsk, néanmoins, ils sont originaires de l'Ouest. On nomme comme l'Ouest en Sibérie, quand on parle de la partie européenne de l'Union Soviétique.

          À cause de leur pauvreté, les voisins aussi voulaient mettre des locataires aussi, mais ils doutaient que quelqu'un veuille s'installer à la sauvage région comme ça. C'est pourquoi ils demandaient le vieillard de trouver ceux qui sont prêts s'installer ici. Une fois le vieillard passait le village avec Albert et ils virent un autre vieillard qui était debout près du portillon. Il était tout chauve et souriait sans raison vue. Il ressemblait à un acteur fameux Leonov mais plus grand. Ils dirent bonjour, parlèrent un peu et le vieillard lui promet de trouver une seule jeune femme locataire ou deux amies.

          -Comment est-il pour toi? - le vieillard demanda l'Albert lorsqu'ils s'éloignèrent.

          -Quoiqu'il soit un peu dupe, mais il est religieux et il a bon cœur et c'est le point principal. 

          -C'est Balda. Tu peux voir sa foi, à quel bon point ça a fonctionné pour lui.

          -Dieu merci.

          -Quand je me suis rendu compte que sa foi est sérieuse, le premier enfant était né dans leur famille. C'était un garçon. D'ailleurs, il a vingt cinq ans maintenant. Il s'est marié, et maintenant travaille-t-il et habite Krasnoïarsk. Alors, j'ai mis un mot lui "ton bonheur est entre trois arbres". J'ai dessiné un schème et j'ai écrit les distances jusqu'à ces arbres et j'ai écrit, où sont ces arbres situés. Il n'a compris rien, mais sa femme est avérée plus intelligente et elle a tiré au claire tout ça, donc je ne devais pas mettre le mot en deuxième fois. Malgré les difficultés, elle a trouvé et déterré le "trésor" que j'y ai mis secrètement. L'argent y était dans une boîte en fer-blanc.  La somme était à peu près la même celle-là que j'avais volée d'eux depuis longtemps.

          -Bien sûr, c'est tout à ton honneur, - Albert dit, - il n'était pas donné à tout le monde à rendre volontairement ce qu'il a volé.

          -Ne me loue pas prématurément. Et quoi si tu décevras après? Mais en fait commence-je à croire que tu ne seras pas déçu de moi. Parce que je suis sûr que tu défends la liberté des mœurs non pas en paroles mais dans les faits. Olesya est crevée d'un désir d'une certaine chose...

          -Pourtant, tu disais qu'elle ne plaît pas des jeunes hommes.

          -Je vais à te raconter ce qu'elle plaît.

          Le vieillard emmena son héritier au-delà de bord du village, où la forêt commençait et énonça à lui son plan drôle.

          Après la nouvelle d'impossibilité du retour, Nadejda était en train de revenir à elle graduellement. Peut-être, il ne vaut pas se désespérer? Peut-être la vie neuve deviendra mieux que celle d'avant? Ils sont en Sibérie, mais leur alimentation n'est pas pire qu'à Moscou. Il n'y a pas des difficultés et soucis quotidiens.

          Après avoir consulté entre eux, Paul et Albert ont décidé de mettre Nadejda dans le secret de leur capacité de téléporter. Parce que les conséquences a cause de la dissimulation de ce secret peuvent devenir pire que de la découverture. Sans savoir, jusqu'à quel degré est-ce sérieux, elle pourrait avoir fait des bêtises et tomber dans les griffes des prédateurs qui se cachent sous les cartes de FSB.

          Après avoir discuté et envoyé Olesya dehors pour une promenade, Albert et le vieillard ont raconté à elle de ce qu'ils sont capables de faire. Elle les écoutait et ne savait pas si croire à ses oreilles. Mais elle le devait.

          -Est-ce que te souviens comme étais-tu indignée quand as-tu oublié ta trousse de maquillage chez nous à Perlovka? Celle auquel tu es si habituée et ne voulais rien au lieu d'elle? Dis où est-elle, et je grimperai à l'apporter.

          -Elle est dans mon sac à main. Le sac à main est soit dans le tiroir du bas de la commode, soit dans le placard.

          Albert disparut tout de suite devant elle. Nadia pâlit. Habitue-toi, - le vieillard dit.

          Elle n'est pas encore remise du choc, lorsque Albert de nouveau apparut de rien, en apportant de là non seulement la trousse, mais aussi tous un sac à main.

          -Tu peux voir quel poisson rouge que Kashin voulait posséder. Et "qu'un poisson d'or lui serve...". Presque comme d'après Pouchkine. Ils te prendraient en otage et me forceraient braquer une banque, partout où ils voudraient. Soit à Moscou, soit en Suisse. Si je n'obéis pas, Dieu nous garde, ils couperaient ton oreille à me montrer. C'est-à-dire, "essaye d'oser n'obéir pas plus encore, en nous ferons pire à elle".

          -Mon Dieu, on ne peut pas croire! Je pensais: "quel jeu stupide des espions?" Même maintenant, il paraît que je suis en train de dormir et que je vois une sorte du rêve étrange.

          -Tu as fouetté ton amie rousse, est-ce qu'aussi en rêve?

          Nadia ouvrit les yeux de surprise jusqu'à limite de capacité. Mon Dieu!

          -Je vais devenir folle maintenant.

          -J'y ai été. À l'instant quand tu pouvais dire trop de lui, - Albert indiqua à Paul, - je vous ai distrait à l'aide du court-circuit.

          -Et quoi, est-ce que tu sautes aux banques de telle façon, au lieu de ces espions du FSB? 

          -Je te disais, si on va comme ça, je posséderais des milliards maintenant.

          -Alors, d'où prends-tu d'argent? Bien sûr, ce n'est pas des milliards, même pas millions, néanmoins, si on va toujours comme ça, nous n'aurons plus de problème d'argent.

          -Imagine-toi l'entreprise de navette, imagine-toi des trains pleins de marchandises qui viennent, par exemple, d'Asie Centrale. Combien d'argent est dépensé pour chemin, pour tribut aux racketteurs, en pots-de-vin aux flics, douaniers, conducteurs, contrôleurs? Et maintenant, imagine-toi: il n'y a aucun chemin. Tout est près. Les distances sont nulles. En effet, il y a des petites distances voila pourquoi: as-tu vu comme ai-je disparu à nulle part et ai-je apparu de rien aujourd'hui? Je ne peux pas faire comme ça chaque fois devant les gens. Certainement, on croirait d'abord que tout ça est tromperie, des contes, un délire. Puis, non seulement Kashin avec Skolopendrin, mes deux chasseront, mais tout le monde aurait envie de saisir et utiliser tel miracle. Pas si mal si Kashin seulement braque une banque. Et qu'est-ce qui se passerait s'il laisserait voler des missiles à ogives nucléaires? C'est pourquoi je dois apparaître et disparaître dans les friches, les greniers et dans toutes sortes de recoins sombres, puis marcher de là un peu à pied. Parfois, on peut plaisanter et montrer aux gens des surprises pareilles. Mais si le faire souvent, tu te rends compte maintenant, quelles conséquences peuvent être provoquées. Te souviens-tu comment m'a-t-on donné un coup sous l'oeil? Sais-tu, où s'est-il passé? À New York!

          Albert se sentait soulagé, en racontant ses secrets qu'il n'avait plus besoin de cacher de sa femme.

          -Ainsi, tu pouvais légèrement fuir d'eux. Même après être capturé par Kashin et ses salauds, tu pouvais disparaître et apparaître déjà ici ou à New York. Tu essayais de me sauver, tu essayais POUR MOI. Quelle sotte suis-je, parce que je te grondais en esprit, quand étions-nous en train de courir à travers la forêt. Donc... après tout, tu m'aimes. - En ce disant, Nadejda s'approcha d'Albert à embrasser après avoir essuyé les yeux qui commencèrent à se mouiller. 

          -En remerciement, je ne te demande qu'une grâce, - disait Albert, en l'embrassant et caressant en réponse. - N'essaye pas de revenir chez soi. Ne fais pas de bêtises, malgré n'importe quoi. Ce serait équivalu à un suicide. Notre tâche principale maintenant, c'est aller à l'étranger. Pourtant, Olesya et toutes tes amies doivent partir avec nous. S'ils ne me capturent, ils ne laisseront personne en paix.

          -Lena aussi? Après tout, elle nous a trahi.

          -Elle a fait une erreur et maintenant elle est en train de repentir, d'ailleurs, assez sincèrement, tu l'as entendu, moi aussi. Tu sais maintenant de laquelle cocaïne s'agissait-il. Elle était informée de la téléportation, donc elle sera éliminée, quand ils n'auront plus besoin d'elle. D'abord elle considérait l'espionnage comme quelque chose de romantique, aussi l'argent, et en plus ce sexe instructeur Kashin. Elle a une chance de devenir notre amie de nouveau. Elle toujours n'est pas allée trop loin. Tu essayes de la juger, mais on ne sait pas quelle sorte des tournants peut avoir lieu dans la vie. S'en agaçant, on peut avoir fait un tort, et si quelqu'un est en train de commettre des vilenies, il peut devenir tel gredin que rien que la mort le peut rééduquer, mais même cela n'a pas lieu toujours.

          -Que veux-tu dire? Si un gredin a choisi son chemin il même, pourquoi corrigera-t-il quelque chose?

          -Tous les gens ont des amis et amies, même des épouses. Mais en fait ce n'est pas qu'une apparence. Ils sont aliens l'un à l'autre et dans leur société l'un domine l'autre toujours. Ils peuvent partager un déjeuner entre eux pour l'apparence. Néanmoins, si on donne un morceau de l'argent métallique, ils ne le partageront pas équitablement. Quant à l'or, on peut comprendre sans parler, il les transformera en ennemies. L'or ne fera le bonheur à personne dans la société comme ça. Je n'ai besoin de cette apparence trompeuse, c'est pourquoi j'ai refusé tous soi-disant amis. Néanmoins, ton cas est unique. À première vue, rien de spécial. Mais en fait, il a lieu très rarement comme ça. Personne ne domine personne. Vous êtes indépendants l'un de l'autre et à la fois n'avez-vous pas peur d'être sincères entre vous. Ces mots qui sonnent de la façon ordinaire, ils réfléchissent des faits qui sont discrets par eux-mêmes, mais ils brillent comme une lumière brillante dans le contexte de l'obscurité, dans laquelle est mise la société. 

          Albert remarqua que l'épouse ne l'entend plus, parce qu'il paraît qu'elle est tournée vers elle-même involontairement et profondément. Néanmoins, que c'était ce qui était en train d'arriver dans l'âme d'elle? D'abord, elle fut émue aux larmes à cause de son mari qui montra le soin à la sauver, cela attisa ses sentiments. Mais elle se souvint soudain comme Lena parlait de l'opportunité d'adultère d'Albert avec les amies d'elle, et comme si cette opportunité apparaîtrait grâce à la téléportation. Cette idée a eu un effet sur elle comme un seau de l'eau froide versée sur la tête. Elle ne prêtait pas attention avant, mais maintenant vient-elle de se souvenir que son mari regard à l'Olesya parfois, quand elle se balade en jupe courte dans la maison.

          -De quoi es-tu attristée, ma beauté? - il parlait à ce moment-là. - Je vais apporter une surprise pour toi tout de suite.

          Après avoir dit ça, il disparut directement devant elle, à cause de quoi elle fut distraite des réflexions. À quoi d'autre pensait-il? Il paraît à elle comme si elle devait attendre longtemps, mais en fait il ne passa que quinze minutes.

          -N'est-ce pas dangereux? - elle questionna Paul.

          -Ne pas plus que passer d'une pièce à l'autre. La chose principale est de laquelle pièce s'agit-il. Même dans ce cas il n'y a pas de grand danger, car il a assez du temps à retourner presque toujours.

          Albert apparut de la même manière étrange comme il fut disparu. Cette fois, il fut tout trempé, et avec une expression faciale d'un vainqueur, il remit à Nadia bouquet de fleurs qui étaient en valeur sur le marché et ne furent pas locaux.

          -D'où es-tu arrivé cette fois? Tout trempé.

          -De Yalta. Il y a l'averse maintenant et à peu près dix degrés au-dessus de zéro. J'ai couru jusqu'au quai de la mer et encore deux cents mètres le long du quai jusqu'au fleuriste. Mais pour que retourner, j'ai disparu insolemment devant la vendeuse des fleurs. Je crois qu'elle ne veut pas être tenue pour une folle et sera silencieuse, mais elle aura maintenant la matière à réflexion assez pour longtemps.

          -Est-ce que tu as raconté à elle de ton premier voyage à New York? - le vieillard entra en conversation.

          -Je n'ai réussi à l'apprendre qu'il a reçu là-bas un coup sous l'œil. Raconte à elle, Alik, cela n'aura point l'aire ennuyante.

          Albert vient de raconter à elle de sa première téléportation à l'Amérique, à la plus grande cité. Cette histoire avec tous les détails l'a distrait tout de suite des pensées négatives.

          Les premiers jours, Nadejda était gêné de faire l'amour avec son mari et elle était surprise que Paul ose le faire avec son Olesya de telle manière que malgré le fait qu'elle ne voit rien, quand la lumière est éteinte, mais on peut entendre tout. Elle d'habitude entendait que chaque fois que la fille elle-même prend l’initiative première, elle grimpe pour embrasser, chuchote à Paul quelque chose à l'oreille, en général, elle l'excite par tous les moyens, obtient toujours ce, dont elle a besoin, et ils après respirent tous les deux passionnément pendant à peu près dix minutes et le lit ancien les accompagne rythmiquement avec grincement. En les observant, Nadia devenait graduellement plus libre st aussi se donna volontiers à son Albert, de moins en moins avant peur des bruits d'accompagnement et bientôt elle cessa de faire attention à eux. Et les mots dits hier par Olesya après avoir éteint la lumière ont éveillé sa curiosité:

          -Quand aurons-nous cela?

          -Quoi, tu as hâte de faire ça? Et qui va hurler?

          -Mais ne l'entends pas. Sois plus sévère avec moi. Après tout, tu sais que j'aime ça. 

          -Les amis sont chez nous, c'est embarrassant.

          -Néanmoins, ils y habitent pour longtemps. Est-ce que nous allons à continuer à scier comme ça? C'est insipide...

          -Si nous montrons tout d'un seul coup, ils seront choqués. Il faut graduellement... s'accoutumer... - puis inaudible.

          -Quelles belles en faire? Je suis en train de deviner.

          -Dans tel cas, j'augmenterai la quantité et qualité.

          -Je ne serai pas effrayée.

          -Tu ne le parle que maintenant... Alors, ne me blâme pas après...

          -À blâmer toi? Aie! - Olesya commença à gémir. Leur acte de la connexion d'amour toujours commencé par cet "Aie!" À la fin, cet "Aie!" répétait mais déjà plusieurs fois et plus fort.

          Le matin d'habitude, cette paire étrange s'asseyait pour étudier. En général, le vieillard l'enseignait les maths et l'anglais. Un jour pendant le cours, Paul était agacé avec fait qu'Olesya ne comprend pas jusqu'à maintenant le point d'une matière nouveau. 

          -Néanmoins, je penserai de quel moyen peux-je t'affecter.

          -Peu importe combien tu penses, tu ne peux penser à rien de mieux qu'on déjà avait inventé dans le début de l’histoire humaine.

          Cette conversation avait lieu il y a plusieurs jours. Et hier, après le dialogue dernier, Nadia commença à deviner de quoi s'agit-il, et elle était intéressée à savoir, si cette supposition confirmerait. Bientôt, sa curiosité était destinée à être satisfaite.


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Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/02/06/764

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