Saturday, March 13, 2021

Chapitre XVI. Après la joie, les ennuis. La téléportation. Partie I.

           L'automne est arrivé. Albert réussissait chaque fois plus souvent à obtenir ces déplacements voulus à travers l'espace. Il devait aussi commettre plus souvent des petits voyages pour de mémoriser plus des lieux clés, soit où pourrait-il se déplacer et "apparaître" en cas de nécessaire, soit près d'une grande ville, de laquelle aura-t-il besoin dans l'avenir, par exemple, de la même manière comme Paul une fois avait-il eu besoin de la ville Grozny. Aussi pour visiter beaux endroits, en général dans la région de Moscou ou dans les régions situées à la proximité relative. Il n'oubliait pas aussi d'utiliser les visites avec sa femme chez les amies d'elle, en mémorisant les détailles de leurs appartements. Ni Nadezhda, ni ses amies ne suspectaient rien. Le vieillard rappelait parfois son existence, en mettant 100-200 dollars sur la page 343.

          Nadezhda supposait que le mari ait trouvé maintenant un travail neuf et ne parlait pas lequel. Peut-être, y a-t-il quelque chose qui ne va pas? Maintenant voyageait-il ou séjournait-il au camping tout seul plus souvent et elle supposait qu'il transportait on ne sait pas quelles marchandises d'une ville à une autre. Le vieillard a cessé soudain de visiter eux aussi. Néanmoins, quelque chose la consolait et elle ne savait pas quoi. La plus probable, c'était une joie, comme il paraît à elle, sans raison, la confiance d'Albert en soi et absence des craintes qui suivent d'habitude les gens qui jouent à des jeux impurs ou sont témoins les meurtres et mutilation des autres.

          Une fois le matin, il sortit un manuel vieil de géographie qui était resté depuis l'enfance. Albert disait à elle, quand il étudiait à l'école, il l'avait sorti ce manuel pendant n'importe quelle leçon et l'ouvert sur la page, où il y a une image en noir et blanc de basse qualité de New York, vue de la mer. Il pouvait être en train de dévisager cette image pendant longtemps, en cessant d'entendre et voir ce qui passe autour de lui. C'est possible, quelqu'un sexuellement préoccupé dévisage sa pornographie préférable de la même manière. Bien sûr, il n'y avait rien de sexuel, mais c'était une autre chose de tout. Cela ne pas était passé seulement avec lui. L'Amérique incarnait la liberté dans la conscience et le subconscient des gens, la liberté, de laquelle ne pouvaient pas les gens même rêver dans ce trou soviétique. Quelqu'un qui est empoisonné au monoxyde de carbone à cause du poêle défectueux dans la maison verrouillée, il cherche de la même manière fente sous la porte et s'attache à elle avec passion à inhaler l'air frais, dont il a tel grand besoin. Et aussi quelqu'un qui a perdu de l'eau dans le désert et il a trouvé heureusement une source de l'eau, il avale de la même manière chaque goutte précieuse avec les larmes de joie aux yeux, sans se soucier par la réflexion philosophique que ce n'est que l'eau. Même l'eau ordinaire peut être telle désiré et merveilleuse.

          Maintenant était la liberté ici, quoiqu'elle n'était pas complète, quoiqu'elle était avec des impuretés sales, mais c'était la liberté malgré tout. Après avoir survécu trente années, l'America était attractive, mais déjà pas dans telle mesure. Et l'intérêt à l'égard des autres pays n'était pas encore perdu aussi. Il se rendait compte que tout ils sont en train de vivre comme au pied d'un volcan qui peut-être inactif pendant plusieurs siècles encore ou peut-être se réveillera demain et les avalera. On peut s'attendre n'importe quoi de la part de cet État monstrueux. L'Ouest était attractif encore pour lui, mais une grande partie de l'intérêt pragmatique était ajoutée à l'intérêt romantique.

          Il était toujours en train de regarder à cette page jaunie avec l'image de New York, puis fermait les yeux et s'imaginait soit devant la Statue de la Liberté, soit à Wall Street, suit sur la cinquième Avenue. Mais il n'a rien encore réussi, et Nadezhda ne pouvait pas comprendre, qu'est-ce qu'il lui arrive.

          "C'est probable qu'il y a une grande partie des conjectures dans mon imaginaire New York", - Albert a conclu. Il a compris qu'il n'avait pas écouté Paul en vain, qui avait conseillé au lieu d'examiner les images, de regarder les films avec les images du terrain souhaité.

          Une fois pendant deux jours fut-il assis au même cinéma, en regardant le même film documentaire, où plusieurs images montaient un lieu animé à Broadway. La femme travaillant comme un inspecteur de billets du cinéma, elle déjà l'a remarqué et commencé à le considérer comme un fou: personne ne regarderait si beaucoup de fois un film qui n'est pas intéressant pour le grand public. C'est possible qu'elle fût en train de sentir mécontentement, parce que les temps avaient changé et on ne pouvait pas maintenant appeler le service psychiatrique à cause pareille et interner à l'asile psychiatrique une personne qui comporte de quelque chose d'incompréhensible. Le spectateur étrange vint au troisième jour aussi. Elle commença à l'observer. Il était assis à la dernière rangée comme d'habitude et regardait à l'écran avec grande attention.

          Soudain, il vient de disparaître sous les yeux d'elle. Il était et il n'est pas maintenant, comme s'il n'existait jamais. L'ouvreuse fermait et ouvrait de nouveau les yeux. Non. Le spectateur étrange a disparu en fait. Elle passa aux rangées dernières, se pencha, en regardant au plancher entre les rangées, comme s'elle cherchait quelque chose. Après avoir atteint deux jeunes hommes qui étaient assis devant lui et n'ont donc rien remarqué, elle chuchota:

          -Les gars, n'ont pas fumé quelqu'un ici? Ne venez-vous pas de remarquer quelque chose de pareil?

          -Vraiment? - chuchota un d'eux. Et les deux ouvrirent les palmes vides. - Il n'y a pas une fumée, ça veut dire, il n'y a l'aucun feu.

          Elle vient de se rendre compte qu'il sera mieux de ne parler jamais à personne de ce spectateur qui est soit fou, soit n'existant jamais. Puis dans le cas dernier, elle soi-même serait considérée comme un fou.

          Dans ce temps, Albert marchait dans la rue de matinal New York avant l'aurore, et les émotions de la joie sont à leur paroxysme. Il a réussi immédiatement quand il vient de se souvenir, quelle l'heure est-il à New York maintenant. Comme a-t-il pu perdre de vue le fait que l'heure à New York a 8 heures de retard sur l'heure moscovite!

          Il se sentait plein de joie. Pourtant un léger désagrément se mêlait, parce qu'il fallait un peu travailler: choisir et souvenir plusieurs endroits où pourra-t-il téléporter après. Quoique ce travail soit même un peu agréable. À installer les "points d'apparition" partout dans les États-Unis, partout dans l'America, d'Alaska jusqu'à la Terre de Feu, partout dans l'Europe, partout dans le monde. À cause de la joie voulait-il chanter les chansons. Selon la vieille habitude soviétique, il se retenait, mais il n'y avait besoin de cela. Sa chanson ne troublerait personne dans le contexte du bruit d'énorme ville qui était en train de se réveiller. Les gens qui dépêchaient au travail ne feraient grande attention et même s'ils la feraient, cela ne provoquerait pas leur désir de détruire sa joie incompréhensible. En marchant, ils croiraient qu'il comme s'il a gagné à la loterie et l'oublieraient après avoir passé une centaine des pas.

          -Are you happy? - Albert a entendu d'un policier qui marchait devant lui.

          -Yes, I do. Very much, - et la conversation était terminée comme ça.

          Même s'il a prononcé cette phrase en anglais un peu avec accent, même un policier ne serait pas surpris de cela, parce que New York est plein des étrangers. Et un homme qui a une joie sincère, sans faire semblant, il ressemble à un criminel dans une moindre mesure. Albert a compris qu'il faut ici bien essayer pour d'être détenu au poste de police à cause d'une suspicion. On parle comme si la police est pire ici qu'à Stockholm ou à Copenhague, où il n'a pas encore voyagé. Peut-être. Néanmoins, ce n'est pas la Russie, et la police locale attrape les criminels au lieu de cracher dans l'âme des passants qui ont osé se distinguer des autres par quelque chose.

          Le soleil s'est levé déjà haut et Albert s'éloignait toujours plus loin de Broadway. Les terrains vagues de pierre qui étaient pleins des déchets industriels, devenaient plus en plus inanimés. Il s'arrêta près bâtiment bas en béton armé, soit en construction, soit en ruine graduellement. C'était déjà le soir à Moscou maintenant, entre 20 et 21 heures, le temps à revenir. Il sentit quelque chose de méchant à droit côté de lui. Deux types noirs étaient en train de s'approcher de lui et il était clairement que leurs intentions étaient agressives. Il jeta un coup d'œil à gauche. Il y avait deux types aussi, noir et blanc. Ils s'approchaient aussi, sans se dépêcher. Tous d'eux tenaient les mains dans les poches. Il n'y a pas de nécessité d'être un Américain et savoir anglais, mais il était assez de regarder pour de se rendre compte que c'est des voyous et leurs intentions ne pouvaient promettre rien de bon. Albert téléporta immédiatement à Kalistovo. Il était baigné par la fraîcheur du soir, et l'éclairage avant du coucher du soleil parut très rouge. Il essaya de téléporter retour. Il réussit. Dans le contexte après le silence de la nature, les voix méchantes parurent plus fortes, et l'éclairage en plein jour parut très bleu après la soirée.

          -Fuck you! I've seen him as you. Just he was here. (Merde! Je l'ai vu comme je vois toi maintenant. Il vient d'être ici).

          Et soudain a-t-il crié de toutes ses forces:

          -Look! He's here again! Catch him! (Regarde! Il est apparu de nouveau! Attrape-lui!)

          Albert a vu soudain un poteau métallique et fin à peu près une dizaine de mètres de haut. Il s'est excité comme depuis longtemps, lorsqu'il n'était qu'un garçon. Il attrapa le poteau, commença à faire des tractions et monta dessus, prenant de l'altitude assez rapidement. Un des adversaires osa le suivre sur le poteau. Les autres commencèrent à jeter des pierres, mais rataient la cible chaque fois. Albert avait un désir de les taquiner avant disparaître. Après avoir atteint presque jusqu'en haut, il prononça ce qu'est venu en esprit, en chantonnant:

          -Just I've gone from the hell. I shall go back. Then I'll return again and kill you all! I shall kill you all! (Je viens d'arriver from l'enfer. Je vais retourner-là. Puis je reviendrai de nouveau et tuerai vous tous. Je tuerai vous tous!) - Et il rit, en imitant Fantômas.

          Les pierres ont été lancés de tous les côtés et le persécuteur sur le poteau essayait d'attraper ses pieds. Soudain devant eux, Albert sauta à bas et téléporta en pleine chute à Kalistovo, sans "émerger" en haute, mais près de la terre, comme d'habitude. Néanmoins, pendant une partie de seconde avant sa disparition à New York, une petite pierre le frappa sous l'œil gauche, et il agrippa l'œil déjà à Kalistovo, se rendit compte qu'il viendra chez soi avec le bleu, mais il éclata de rire malgré tout. Après avoir calmé un peu, pour de ne pas choquer les voisins avec son air joyeux et fou (il ne s'en trompait), Albert téléporta à un terrain vague à la proximité de son logement et regarda autour de lui à s'assurer que personne n'a vu son "émergence de rien". En entrant chez soi, il mit immédiatement les bras autour sa femme, s'en l'embrassant sur la bouche.

          -Qu'est-ce qui t'est arrivé? Les yeux brillent, je vois un bleu sous l'œil. Avec qui as-tu battu? Laisse-moi aller. Es-tu soûl ou défoncé?

          -Pourtant, mon amour, tu sais que je ne bois que le thé.

          Cela passait dans la cuisine. Albert continuait à étreindre l'épouse par une main et l'autre main s'est étirée à l'interrupteur et a éteint la lumière. Ainsi, elle s'est donnée à lui, en étant debout. Puis ils vinrent au lit, où il l'a possédée en deuxième fois. Après cela ils se sont allés à souper. Elle remarqua, quelle faim avait-il. Après avoir soupé, il s'endormit immédiatement.

          -Tu as parlé en anglais dans ton rêve, - Nadia remarqua le matin, en souriant. - Même, je me suis souvenu de plusieurs mots: "Fuck you! I'll kill you all!"

          -Je suis fatigué et je ne vais nulle part aujourd'hui, - dit Albert.

          -Il est grand temps pour se calmer. Tu es en train de jouer comme un garçon. Qui t'a frappé dans l'œil hier? Est-ce probable qu'ils t'attaqueraient en deuxième fois?

          -Non. C'est exclu. Ils habitent très loin.

          -Toujours en voyage. Tu es de plus de trente ans.

          -J'ai déjà dit que je ne vis pas selon un horaire.

          Albert se rendait compte que c'est difficile à persuader l'épouse de refuser les opinions conventionnelles. Ça veut dire qu'il serait plus difficile à l'accoutumer à l'amour libre sans jalousie. Que ce soit un secret, mais il faut essayer une des amies d'elle. Albert décida de commencer avec rousse Lena. Après ils ont pris le petit déjeuner, une pluie battante commença. Albert prit un journal, mais au lieu de le lire, il construisait un plan d'action.

          Lena habitait au quartier Kuntsevo à Moscou qui se trouvait plus loin que les habitations des autres amies. Albert se souvint le faible d'elle pour un feuilleton mexicain. Malgré son travail à la cantine, elle n'a toujours pas pris de poids, mais restait svelte, comme ses amies. Elle gagnait peu d'argent, mais le travail n'était pas lourd et le petit salaire était compensé par des repas gratuits. Quant à sa connexion avec les hommes, elle n'a pas toujours dit même à Nadezhda et si elle le disait, alors à contrecœur. Il paraît qu'elle fût timide de la moindre manifestation de sa sexualité. Et en même temps, en étant en colère contre quelqu'un ou contre quelque chose, au moins dans le cercle des amies était elle capable de dire une grande quantité de malédictions sexuelles contre les circonstances ou contre leurs coupables. C'est probable que cette mauvaise habitude mit dans la subconscience d'elle le blâme du sexe malgré la nature qui l'exigeait. Ainsi, ce conflit intérieur corrodait sa personnalité. Elle le savait et essayait de se manifester de moins degré. Certains le considéraient comme une aura de mystère qui est attractif, les autres le considéraient repoussant et elle paraît à eux comme vide et ennuyeuse. Il y a des clés qui conviennent et qui ne conviennent pas à l'égard de chaque verrou.

          Ce n'est pas important que quelqu'un dirait, Albert avait une expérience particulière dans les relations avec les femmes et il avait confiance en cette expérience. Gentiment, c'est-à-dire, sans résistance feinte il ne réussissait qu'à persuader très peu des femmes, seulement les plus faciles. La fermeté, l'insistance, même une petite agression, tout ça bien augmentait la probabilité de recevoir ce qu'il voulait. Et les plus réussis résultats étaient reçus à cause du comportement qui quoique ne franchît pas la frontière de la légalité mais qui est situé proche de cette frontière, au-delà de laquelle pourrait être considéré le comportement comme un crime. Albert ne viola jamais cette frontière, mais même dans la loi ne pouvait-on manifester toujours l'insistance. Cette qualité que les femmes aiment, avait un revers qui donnait ou facilitait la possibilité de calomnier un candidat à l'amant qui est obstiné et insistant. Ce pays distinguait juste par un désir répandu de ses citoyens de faire de la méchanceté à son voisin, même sans aucun avantage pour soi-même.

          Il a immédiatement refusé d'une apparition soudaine dans les appartements d'autres personnes. En tout cas, soit il se sortirait des toilettes ou soudain ramperait-il hors de sous le lit, la maitresse de l'appartement peut devenir effrayée presque à mort. C'est dangereux même pour une personne à qui le cœur est en bonne santé. Et pourquoi faire comme ça? Lena le bien connaît et s'il sonne à la porte, elle l'ouvrira immédiatement après avoir regardé à travers le judas. Il y avait plusieurs ans il a lu dans un revu "Science et religion" sur un expérimentateur qui se couchait dans le bain après avoir éteint la lumière et pris soin du silence autour de lui, et la température de l'eau avait été réglée à + 34 °C. Comme si cela développerait la perception mystique, des super-capacités. Albert l'avait essayé. Il n'y avait rien de supernaturel, mais quelque chose pouvait-on observer. S'il dort, les rêves devenaient plus clairs et plus cohérents que d'habitude. La chose principale, cela donnait le repos et la facilité de recueillir des pensées. Quoique l'épouse ne le fît pas, néanmoins, elle n'était jamais opposée à l'expérience qui ne faisait un tort ni à personne, ni à quelque chose. S'il se va à la salle de bain pour deux heures aujourd'hui et dit ne pas le troubler, elle ne serait pas surprise.

          Et il fit ainsi une heure avant du feuilleton préférable de Lena. Après s'être allongé au bain pendant dix minutes, il s'est habillé, s'est essuyé un peu, a trouvé un fond de teint dans la ténèbre pour cacher le bleu sous l'œil et a téléporté aux toilettes de son appartement qui se trouvait à au moins trente kilomètres. Il n'y avait pas de lumière ni dans les toilettes ni dans l'appartement. Il a décidé d'attendre, s'est sorti de l'appartement obscur, en fermant la porte sans bruit et a descendu les escaliers jusqu'à l'entrée. Soudain s'est ouverte la porte de l'entrée, est celle-ci, à laquelle il s'est venu pour la chasser, elle s'est avérée tête à tête avec lui.

          -Pourquoi es-tu seul, sans Nadia? Est-ce que quelque chose est arrivé chez vous?

          -Rien de spécial n'est arrivé, mais nous avons quelque chose à parler.

          Lena a monte les escaliers sans rien suspecter et a ouvert la porte avec une clé. Albert la suivit et ferma la porte. Lena alluma la lumière et regarda d'un air interrogateur au visiteur. Il était en pyjama de chez soi, avec une tête mouillée et légèrement lissée, mais pas peignée, et ne lui ressemblait donc pas un peu.

          -Le fait principal est que je ne suis pas Albert, - il a dit avec la voix un peu changée.

          -Assez jouer le fou. Pourtant, où est Nadia? questionna-t-elle avec son intonation habituelle pour les cas pareils, mais en fait commença-t-elle à sentir que quelque chose ne va pas. Et si ce n'est vraiment pas Albert? Mais il ressemble trop à lui.

          -Albert est chez soi avec sa femme. Je ne suis que son double et il paraît, il ne sait rien de lui-même. Laisse-les!

          Lena regarda à lui dans les yeux. Elle a vu qu'il la regarde comme un chat regarde de la viande. Elle sentit un peu de peur et un peu de honte. Elle rougit. Puis elle pâlit. La scène muette ne continuait pas longtemps, néanmoins, accablait elle beaucoup.

          -Pourtant, de quoi as-tu besoin? - On pouvait entendre un frisson perfide dans la voix.

          -De toi! - En ce disant, Albert se précipita à elle et la serra fort dans ses bras. Soudain, elle essaya de se cramponner lui à la main avec ses ongles peints et longs. Il ne fallait pas laisser le faire à tout prix. Les coups de griffes sur les mains prouveraient que c'était lui-même et il n'était aucun son sosie. Il n'y avait qu'une seule issue. Soudain, il la saisit son poignet gauche par deux mains, tordit la main d'elle et la ramena derrière son dos. Lena hurla.

          -Comporte-toi bien, ma beauté, puis je serai gentil avec toi et je t'aimerai. Et n'ose pas rayure, sinon je ramènerai ta main jusqu'à la nuque. 

          En étant déjà excité, se pressa fort contre elle par-derrière. Soudain, elle a crié de toutes ses forces:

          -Aider! Au feu! Nous sommes en feu!

          Il ne croyait pas que celle-ci qui a l'air d'une fille silencieuse, est capable de crier si fortement. On pouvait entendre comme s'ouvraient les portes des autres appartements. Des pas ont été entendus, la cloche a sonné.

          -As-tu réussi? Ils vont te saisir comme un garçon. Ce le voisin qui travaille dans la milice et son frère avec lui. Ils ont des grands poings. Ils te casseront la gueule et ajouteront déjà dans la milice.

          -Quelle racaille es-tu! - Albert chuchota.

          -Et tu, chien, croyais qu'on te laisse tripoter et insulter tout le monde?

          -Cherche un impuissant, il ne t'insultera jamais.

          -Mais maintenant c'est ils qui vont t'insulter.

          Avec ces mots, en voyant qu'Albert n'est plus en train de la tient plus, elle alla pour ouvrir la porte. Albert se lança sans bruit aux toilettes. La porte d'appartement s'ouvrit.

          -Lâche sournois! Il a tordu mes mains et il est en train de se cacher de vous maintenant aux toilettes.

          Deux hommes forts se tenaient dehors en fait.

          -Pas lâche mais un con, - un d'eux dit en colère. Et les deux se sont dirigés de la manière décisive aux toilettes.

          Tandis qu'ils allaient jusqu'aux toilettes, ils avaient assez du temps pour avoir peur. Le même mot "con" les a fait penser que c'est un danger. Sur quoi a compté le malfaiteur, s'il n'est pas un con? Il n'est pas les années 70 maintenant, mais c'est l'an quatre-vingt-dix troisième et il y a beaucoup de types avec pistolet dans la poche. Néanmoins, ils avaient honte à montrer sa peur devant la jolie maitresse de l'appartement. Un d'eux a ouvert brusquement la porte des toilettes et les deux ont reculé, puis ils ont regardé là-bas encore, puis à la maitresse de l'appartement. 

          -Mais il n'y a personne.

          -Néanmoins, il vient d'être ici. Il m'a harcelé, tordu ma main, presque la cassée, et j'ai vu clairement qu'il s'est allé aux toilettes.

          Deux voisins ont examiné soigneusement tout un appartement. Les fenêtres furent fermées, personne ne se cachait ni sous le lit, ni dans le placard.

          -Nous allons-nous, Victor, - un d'eux prononça avec amertume à la voix blessée.

          -Je voudrais vous conseiller de prendre quelque chose de somnifère ou de nerfs apaisant, - dit l'autre, s'en tournant à la maitresse de l'appartement. - Vous dérangez les gens en vain.

          Les deux se sont sortis. Lena a allumé la télé, et les problèmes des protagonistes sur l'écran l'ont distrait complètement de l'occasion. Elle se sentit très embarrassée à cause du cas et elle a décidé de ne dire rien aux amies, encore moins à l'Albert.

          Quant à l'Albert, il était en train de s'allonger dans le bain maintenant, en réfléchissant ce qu'est arrivé. L'échec l'a chagriné et irrité. Ce n'était que mauvaise humeur qui empêchait à lui de téléporter chez Lena encore et de tenter sa chance en deuxième fois. Et quand il s'est essuyé et sorti de la salle de bain, a ouvert le livre nécessaire après, il n'y avait ni dollars, ni notice. Le dernier bilet à cent dollars notifiant d'existence de lui, il a été il y avait trois semaines. Cela l'a fait conclure que le vieillard Paul a péri dans circonstances inconnues à lui.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/12/the-teleportation-part-1-chapter-16.html

Le texte original en russe:  https://proza.ru/2010/01/26/738

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