Friday, March 19, 2021

Chapitre XVII. L'amour et la guerre. La téléportation. Partie I.

           Pendant à peu près de semaine était Albert en train de se sentir déprimé, et cela le faisait ne ressemblant pas à soi-même. C'est pourquoi, quand Lena, est elle venue ches eux, elle est devenu plus doutant qu'Albert qui l'avait attaqué chez elle, fût Albert réel. Elle a essayé prudemment de renseigner de Nadia, où ils ont été le soir-là, et Nadia, sans suspecter de rien, a raconté à elle qu'elle a regardé cette série à la télé aussi, le mari alla à l'être dans le bain pendant deux heures, mais il en est sorti dans une heure et vingt minutes. Un aller simple jusqu'à Lena occuperait une heure et demie. Tout était favorable à la version d'un sosie.

          Albert était en fait attristé par le décès probable de son ami âgé, avec lequel ils avaient compris parfaitement l'un l'autre, malgré le fait que l'ami était assez âgé pour être son arrière-grand-père. Nadia se rendait compte de cela et elle ne pouvait pas deviner que vers la perte principale était ajoutée une tristesse à cause d'échec à l'égard de la tromper avec cette amie timide et taciturne. Albert répondait à la présence d'elle de la même manière comme auparavant, en rassemblant toutes ses forces pour que personne ne devine sur des changements dans les relations. Néanmoins, quand était-il sûr que personne ne le voit, il examinait par-derrière du corps d'elle par regard d'un prédateur affamé et en colère, il était en train de la déshabiller et la violer en esprit de la manière malveillante. S'elle se tournait, il baissait les yeux immédiatement et appelait aider des premiers chiffres qui étaient venus en esprit, il les multipliait ou élevait au carré, ou effectuait des autres opérations arithmétiques. Cela lui donnait un air calme et réfléchi. À cacher la condition de son âme quand il faut, il était sans égal dans cette capacité.

          La propriété de l'être humain et c'est probable aussi de n'importe quel être vivant, c'est chérir dans l'imagination un fruit interdit, se sentir nostalgique à cause de quelque chose qu'on ne peut pas prendre et utiliser directement ici et tout de suite. Cette propriété ne faisait aucune exception dans le cas donné aussi. Lena paraît à lui maintenant encore plus attractive. En abordant le problème avec le bon sens, il se rendait compte que ce problème n'a aucune valeur en comparaison avec la perte de tel homme, comme le vieillard Paul. Néanmoins, la partie inférieure de la conscience rebellait, en le déclarant un malchanceux, comme une hallucination nierait à l'aide de sa propre présence tous les raisonnements de bon sens. La subconscience essayait maintenant d'imposer une idée contre le bon sens, comme s'il serait devenu maintenant moins attractif pour toutes les femmes, comme si toutes elles seraient devenues moins disponibles et c'est elles maintenant qui ont commencé à paraître à lui plus attractives. Cela ajoutait à sa fantasie une partie de l'agression et de l'irrespect à l'égard d'elles. Néanmoins, dans une semaine, le bon sens commença à vaincre et il s'est fortifié de nouveau. Mais deux amies restées continuaient à paraître plus souhaitables qu'auparavant, cela a inspiré sa décision et c'est probable qu'a joué un rôle positif dans les évènements suivants. C'était Sveta qui devait devenir la "victime" suivante. La réussite avec elle était plus probable. Quant à Valia, on ne savait pas que peut-on attendre d'elle, et il ne voudrait vraiment pas échouer en deuxième fois.

          Cela peut sembler paradoxal, néanmoins, l'existence de Tolik n'empêchait pas l'affaire, mais au contraire. Il y a assez grande partie des femmes pour lesquelles la présence du mari ou de l'amant ne fait que provoquer le désir les à tromper, le désir des scènes de lit et cela les fait plus disponibles qu'auparavant, lorsqu'elles étaient seules. Comme d'habitude, elles sont candides avec cela, elles ne sont pas assez prudentes, parlent de superflu souvent et endurent les coups et déshonneur des jaloux hommes enragés. On les abandonne; rarement, mais on les tue parfois, malgré le fait qu'elles sont inoffensives, presque comme les enfants, et elles méritent de la compassion et de la compréhension, contrairement aux complaisantes viles qui méritent une punition en fait et appartient à une catégorie de personnes complètement différente qui n'ont rien à voir avec ces agneaux qui quoique soient lascives, mais innocentes.

          Sveta Izmailova appartenait précisément à cette catégorie. Ce qu'elle faisait des allusions prudentes, en jetant des coups d'œil à lui, n'était pas par hasard. Elle devenait toujours plus libérée non seulement grâce à Tolik, mais aussi à cause d'intérêt de lui pour le passe-temps en buvant d'alcool avec les personnes du même toit de gang, dont la place avaient essayé d'occuper les salauds sous la direction de Colonel. Il considérait comme un honneur à partager la même table avec soi-disant bandits, et ceux-ci dans le contexte de ceux-là de Colonel, lui semblaient presque des anges. Il oubliait la prudence et bavardait avec ils de tout. Il n'y avait rien d'insultant à l'égard des bandits dans ce bavardage, c'est pourquoi rien de terrible n'arrivait pour le moment. Néanmoins, il y avait quelqu'un, pour qui l'information parlée par Tolik soûl, s'est avérée assez précieuse. Cet homme après avoir s'est mêlé dans le cercle, il faisait tout pour que les buveries pareilles soient favorisées.

          Albert a déjà appris la régularité d'absence de Tolik, et ça suffirait aussi de téléporter aux toilettes ou sous le lit dans l'appartement de Sveta, s'il découvre la présence de Tolik, il pourrait téléporter immédiatement en retour sans problème.

          Ce jour est venu en commencement du septembre. Le refroidissement est fini et il faisait bon temps, comme en été, ensoleillé et chaud. Selon les calculs d'Albert, Tolik devait aujourd'hui s'amuser en compagnie des amis imaginés et des verres sonnants. Albert s'est téléporté chez Sveta sous le lit. Elle était ennuyeuse et en train de s'allonger sur ce lit et de tenir aux mains un roman policier contemporain. Albert a disparu sous le lit et apparu en haute d'escaliers, au palier près du grenier. Puis il a descendu prudemment à travers plusieurs étages jusqu'à l'appartement nécessaire et a sonné à la porte connue. Il entendit les pas et Sveta ouvrit.

          -Oh, Alik, c'est toi.

          -Es-tu sûre que je suis Alik?

          -Assez badiner, entre. Et pourquoi es-tu seul? Tout va bien chez vous?

          -Comme si.

          -C'est probable, tu veux prendre du thé?

          Elle portait la robe d'été de couleur verte clair. Les courbes de son corps pouvait-on bien observer à travers le tissu léger.

          -Je veux toi, - Albert répondit et la serra aussitôt dans ses bras contre lui, en pressant d'une main le bas de son épine dorsale. Elle haleta prolongement, mais sans résister.

         -Oh, Alik, que fais-tu! - Sveta lamenta en chuchotant. - Comment pourrai-je après regarder dans les yeux de ta femme?

          -Demande-la le matin, et elle te dira qu'Albert n'est pas sorti de chez soi dans cet instant. Je suis son double.

          -Assez jouer le fou, comme si je ne verrais pas. Laisse-moi aller. - Avec indignation, mais en chuchotant encore prononça telle proche et telle désirable sa maîtresse, de quoi il ne doutait plus. Il enfila insolemment sous sa robe d'été avec sa main et baissa la culotte. Sa constitution fut belle mais subtile et malgré son âge de 29 ans, dans les ténèbres  pouvait-on la considérer comme une fillette qui a quatorze ans.

          -Oh, Albert. Qu'est-ce que tu es en train de me faire ?! Si Nadia l'apprendra. Laisse-moi aller, s'il te plaît. Je te prie.

          -Je ne suis pas Albert. Nomme-moi comme tu voudrais, mais je ne te laisserai pas aller. Je suis prêt à tout faire pour ne pas te laisser. Obéi-moi. C'est le destin. Tu ne peux pas s'aller de lui.

          Elle commença soudain à se débarrasser de tout son vêtement et resta debout devant lui toute nue, avec l'air condamné et exprimant l'accord.

          -Que peux-je faire contre toi? Seulement, ne parle pas à Nadia et à Tolik.

          -Tu toi-même ne le bavarde pas.

          Sveta est devenue toute molle dans ses bras. Ils ne se souviennent pas comment ils se furent avérés sur le lit et lorsqu'il entra en elle, elle enroula ses jambes autour de lui.

          Ils étaient heureux à deux. Personne ne l'apprit bientôt. Si quelqu'un apprit, il serait irrité en vain. Ni Albert, ni Sveta ne voudraient personne ni irriter, ni tromper. Ils ne voudraient qu'éprouver le bonheur et ils étaient en train de le faire.

         -Tu m'aimes?

          -J'aime tout vous et, c'est naturel, toi aussi.

          -Tu n'es pas normal. Ça n'arrive pas.

          -Tu as besoin de l'apprentissage long et l'acquisition une grande expérience de vie pour comprendre que ça n'arrive que comme ça presque toujours. Et s'il est arrivé de telle manière, puis garde silence sans bavarder de cela, et alors ce sera  bien pour tout le monde.

          -Je n'en parlerai à personne.

          -Quant à Valia et Lena, n'en parle pas avec eux aussi.

          -Je le promesse. Sinon Tolik tuera moi et il peut t'attaquer aussi.

          -Est-ce après ce que j'ai fait pour lui? Bien. Ne pense-il pas qu'il peut arriver d'une manière opposée? - Après Albert vient de ce dire, il s'est rendu compte qu'il dit trop. Il avec le vieillard, ils sont deux avaient réussi donc à représenter cette chose devant tout le monde, comme si tout se serait passé spontanément, c'est-à-dire, quelqu'un entre les autres avait tué les chefs du gang hostile. Personne ne savait sauf Tolik, quelle information était possédée par Albert. Mais s'il parle trop de ça, il sera le premier tué pour cela. Consciemment, il ne le fera jamais même s'il découvre la tromperie de Sveta, parce que cela serait sa fin.

          -Alik, et quoi s'il est vrai? Je sens bien avec chacun de vous d'une manière particulière.

          -Sinon ne peut pas être. À travers nous es-tu en train de connaître l'Existence, l'Univers. Ce qu'un ne te peut pas donner, un autre peut le donner. Il n'y a personne qui pourrait te donner tout, de la même façon qu'il n'existe pas telle fenêtre, de laquelle pourrait-on observer en toutes les quatre directions, à différentes distances également clairement à la fois, y compris au-delà de l'horizon. D'ailleurs, n'as pas tu essayé de faire l'amour avec tes amies? Si c'est comme ça, cela serait un bon exemple, comme deux choses peuvent donner la joie, mais des manières différentes.

          -Non. Je ne suis pas une lesbienne. Pourtant, j'avais Serge avant de Tolik, n'est-ce pas que Nadia t'ait  parlé de cela?

          -Non.

          -Il me pinçait toujours pendant cette affaire. Parfois, il me cautérisait par cigarettes.

          -Est-ce que tu veux dire qu'il était un scélérat?

          -J'aimais lui. Je l'aimais beaucoup! Parfois, il me permettait de cautériser par cigarettes à lui-même. Je le faisais d'habitude, c'est pourquoi je ne me considère comme une victime.

          -Alors, qu'est-ce que vous manquiez? Pourquoi n'êtes-vous pas ensemble maintenant? Es-tu fatiguée de ses jeux cruels?

          -Je t'ai dit que je me sentais bien avec lui. Néanmoins, il fumait la marijuana. Un jour, il a disparu. Tous les proches le cherchaient, mais c'était moi qui première a trouvé lui. Les pieds, comme s'ils sont mêmes qui m'ont menée à ce sous-sol de l'immeuble à cinq étages. Il était en train de pendre là-bas. Il s'était défoncé et s'était pendu, il est mort pour rien... Puis on l'enterrait. J'étais hystérique. Mais dans deux mois ai-je fait connaissance avec Tolik et compris que la vie continue. Maintenant, tu es. Et tu n'es pas normal. Tu as besoin de plusieurs filles. Si la fille est seule, il ne suffit pas à toi. C'est possible, que je sois la même que tu es. Peut-être pire. Écoutez-moi, Alik. Pince mon dos, ou plus bas, - Sveta sentit après avoir dit ces mots qu'elle est en train de rougir, mais au crépuscule de la pièce, bien sûr, Albert n'a pas vu cela. 

          -Pourquoi?

          -Si la fille te prie. Est-ce que c'est difficile à faire?

          -Cela n'est point difficile à faire, pourtant ne te sois pas vexée après.

          -Moi? Contre toi? Être vexée? Jamais dans la vie! Je te pardonnerai tout. Mais si tu ne le fais ce que j'ai dit, puis je serai vexée.

          "Maintenant, je la punirai pour qu'elle ne demande pas des bêtises", - Albert réfléchit et il pinça de toutes ses forces la petite mais bombée fesse d'elle. Sveta se redressa, pencha la tête en arrière, gémit voluptueusement et se précipita vers Albert avec les embrassades, en disant:

          -Je veux plus! Je veux de nouveau!

          Le comportement de la partenaire comme ça, était en train d'exciter lui beaucoup, et ils sont réunis immédiatement l'un l'autre de nouveau.

          Quand il est revenu à l'aide de sa "méditation" dans le bain, bien sûr, Nadia ne remarqua rien et c'était impossible qu'elle puisse croire en téléportation. Son jeune corps a pu vite retrouver les forces dépensées et après ce qui est arrivé, sa propre femme commença à paraître encore plus belle et plus désirable.

          -Qu'est-ce que tu as fait, dont j'étais en train de jouir comme jamais auparavant? - elle questionna après s'est donnée à lui.

          -Je ne sais pas. C'est probable à cause du changement du temps bientôt varient les sensations.

          Maintenant, il avait deux femmes en fait, mais personne ne le savait sauf Sveta et Albert. Il fut assez content de la situation pareille et il se rendait compte aussi que cela soit bien à l'ajouter Valia à tel "amour de trois". Il se rendait compte aussi que tôt ou tard il rêvera de ça de la même manière, comme il rêvait encore au printemps, quand il ne possédait que seule femme. Cela semblait étrange, Sveta n'était pas du tout intéressée par la façon, dont son amant neuf pouvait être dans deux endroits à la fois et pourquoi il vient en pyjama et avec les cheveux humides, comme s'il viendrait de se sortir de la salle de bain. Apparemment, même elle ne le savait, parce qu'elle ne s'intéressait point quels mythes inventait Albert pour sa femme légitime et sous quel prétexte quitte-t-il la maison lorsqu'il vient chez elle.

          Chacun vécut sa propre vie et presque personne ne remarquait l'épaississement des nuages orageux à l'horizon politique. Contrairement à d'autres, Albert ne réagissait pas à cause d'une autre raison. Il comprenait desquelles forces possède-t-il maintenant. Malgré le fait qu'il n'a pas été élevé comme un ninja, possible au contraire, et il s'intéressait de yoga déjà en étant adulte et mature, néanmoins, il dépasserait même Goemone avec les capacités neuves qui sont venues comme si de nulle part. Et la chose principale qu'il pouvait faire maintenant, cela n'avait rien à voir avec un intérêt sportif. Il pouvait protéger tous les proches d'une nouvelle vague de totalitarisme, si elle aurait lieu: protéger les parents, l'épouse, Sveta, Valia et Olesya. La dernière doit apparaître dans demi-an après la mort de Paul, c'était leur accord.

          C'est pourquoi du 3 octobre jusqu'au soir, quand le second putsch, dirigé par Routskoi, éclata comme un feu, il ne suivit les évènements qu'à la télé. Quand l'écran s'est éteint, il téléporta à l'Ostankino. Il était difficile à comprendre qui tire sur qui. Il y avait une fusillade chaotique, et la seule action utile que pouvait-on faire, c'est sauver soi-même d'une balle perdue. On peut blesser ses alliés, en agissant sans connaissance comment aider à eux. Il ne pouvait pénétrer dans l'intérieur de la tour à la cause assez simple. Il n'a été jamais là-bas, donc il ne connaissait rien qui est au-dedans.

          Le matin, Albert avec la hache dans son sein et les couteaux et sprays au poivre dans les poches, il a téléporté à Moscou. Ce que les communists sont vaincus, il a l'appris de dernières nouvelles. La seule chose qu'il a réussie, c'est atteindre jusqu'un toit, puis téléporter dans les limites de ce toit pour n'être pas remarqué par l'ennemi, c'était un tireur qui était prêt à tirer sur les passants. Il se faufila vers le tireur et l'assomma à l'occiput par le côté arrière de la hache. Après cela il essaya de prendre le carabine avec lui. Mais il ne réussit pas et il le jeta du toit. Il fit tout cela avec des gants. Il regrettait, car il n'était pas prêt aux actions des communists et fascists qu'il n'était pas difficile à prévoir. Il fallait revenir à la vie personnelle, car apparemment, la paix dans le pays s'est installé comparativement pour longtemps.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/12/the-teleportation-part-1-chapter-17.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/26/738

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