Tuesday, December 1, 2020

Chapitre I. Au métro. La téléportation. Partie I.

           C'est bon, quand on sent bien. On attend toujours quelque chose plus grand, sans être content des instants pareils, ensuite il se souvient d'eux, en les considérant comme décoration de sa propre biographie. 

          Aussi Albert, en alarmant un peu les compatriotes par son nom, qui n'est pas russe, comme d'habitude traversait-il la vie par une démarche de sautillements, aussi maintenant au sens propre de la même manière marchait-il après descendre du train matinal. Il allait le long de l'itinéraire bien connu, qui commence à Moscou dès la descente sous la terre au métro. Ça n'a pas d'importance, que le ciel de printemps, qui comme si promette tellement de bien, va à disparaître pour vingt minutes. Est-il même heureux? Néanmoins, quels doutes peuvent être à cet égard? Maintenant il vendra les journaux aux itinéraires, qu'il même choisira. C'est bien, que les trains locals vont de Moscou le long de onze directions, et les passants achètent ses journaux de "Moskovski Komsomolets" à "SIDA-info".

          N'importe pas à la fin qu'il n'a aucun besoin d'appliquer connaissances qu'il a reçues à l'Université de Moscou à la faculté de physique et de mathématiques. Seulement en vendant des journaux, il est capable de nourrir soi-même et son épouse jeune Nadia, avec laquelle il s'est marié il y a trois ans. Elle était jeune, belle et svelte, aussi capable voir, qu'il a choisi une stratégie correcte dans la vie au même apogée des changements en 1990. Il était un adversaire féroce des avortements, mais il ne s'agitait point de cela. En étant proche d'elle, il s'est adapté à cycles mensuels d'elle de telle manière à éviter une grossesse. Comme tous les jeunes mariés, ils se disputaient souvent, mais n'y allaient jamais trop loin. Ils faisaient paix vite et réconciliation se transformaient d'habitude en passionnés exercices d'amour.

          Il n'avait pas une propre voiture. Les deux n'avaient pas propre datcha. Néanmoins, Albert se souvenait souvent, comme à l'année dernière après généreusement payer au chauffeur se précipitaient-ils devant les queues géantes, qui étaient debout dès 6 heures du matin pour acheter l'alimentation. Cette fois-là ils ont presque eu été en retard au train Moscou-Simféropol. Leur route finissait à Yalta, qui est telle habituelle et telle exotique à la fois. Il paraît que les montagnes se fussent levés comme un énorme mur intentionnellement pour défendre ce coin de paradis du froid et toutes les autres adversités du pays malchanceux qui est la Russie.

          Mais toutes les malchances passaient devant Albert sans le toucher. Dès qu'il a commencé à suspecter sur l'essence satanique de l'État soviétique, il s'est effondré. Lorsque Yeltsin a été arrivé au pouvoir, il n'y a plus besoin de dissidence. Mais l'être humain est fait ainsi qu'il  manque quelque chose toujours.

          Sa femme avait trois belles amies. Lena était rousse avec beaucoup des taches de rousseur. Valia avec les grands yeux expressifs. Sveta avec traits du visage orientaux. Quelle grande envie avait-il de baigner dans l'amour de toutes les quatre! De presser Lena timide quelque part dans un coin sombre. De pincer les fesses élastiques de Valia, pour qu'elle se précipiterait vers lui, en faisant de l'œil. D'enrouler la tresse de Sveta autour de la main et posséder d'elle, en la mettant à genoux et en la faisant se pencher docilement. Et de laisser sa femme légale participerait activement en tout cela. De laisser qu'ils soient tous en paix l'un avec l'autre et toutes les quatre puissent prendre du thé avec il, en étant toujours heureuses, sans jalousie et sans conflit entre eux.

          Néanmoins, il comprenait que ce ne serait pas bien à exiger tant du poisson d'or de la fortune. Ce ne serait pas bien d'être tant avide et provoquer la colère de Dieu à cause de cela, à Qui pensait-il souvent  ces derniers temps. Il faut Le remercier parce qu'il est vivant, en bonne santé et plein de force. Aussi il Le faut remercier pour tous les changements de ces dernières années ont été en sa faveur. Maintenant personne ne l'appellera un spéculateur, parasite ou oisif. Par la volonté du destin est-il devenu nécessaire à la société, qui éprouvait la famine d'information et son travail était payé généreusement.

          Il est descendu avec ça en tête vers la plus célèbre station de métro, qui aussi était la plus utilisée par le peuple local et aussi par les visiteurs extérieurs. Mais quelque chose inhabitude l'a forcé à s'arrêter dans ce couloir sali et carrelé de marbre et ça a renversé tout son destin futur.

          Entre les vendeurs et mendiants réguliers, qui étaient bannis souvent par les flics, y avait-il une boîte en bois avec une inscription, qui d'aucune manière n'était appropriée aux marchés spontanés et contemporains, malgré toute leur barbarie: "mettez ici un billet de 1 à 100 dollars et soyez heureuses."

          Cela n'a pas pu passer sans attirer l'attention d'Albert, qui s'intéressait à tout. Outre cela il a eu de la chance qu'il est arrivé dix minutes plus tôt que prévu et pendant ce temps pouvait-il observer tout qu'il avait lieu, mais... vainement.

          Deux flics sont passés devant ça. Beaucoup de monde sont passés aussi. Personne d'eux ne faisait d'attention à la boîte, comme si elle n'existât pas. Un nouveau riche passant qu'on appelait maintenant "nouveau russe", il a mis le billet 100 dollars. Plusieurs personnes ont mis sans hésiter les billets avec George Washington et continuaient machinalement leur chemin. Et l'image d'Abraham Lincoln ne s'est évadé pas sans entrer à cette boîte étonnante. Le plus surprenant, c'était que personne n'a prêté attention au caractère inhabituel de la proposition.

          -Excusez-moi s'il vous plaît, - Albert s'est adressé à une femme âgée, avec laquelle a l'intuition lui dit qu'un contact productif serait possible. - Cette inscription sur la boîte, n'est-ce pas qu'elle paraît trop bizarre?

          L'intuition le n'a pas trompé.  L'âgée et honnête en apparence femme a acceptée volontiers d'aider à résoudre ses problèmes. Elle regardait longtemps cet endroit où la boîte se trouvait, puis aussi longtemps regardait à l'Albert et a finalement prononcé:

          -Jeune homme, quand avez-vous bu la dernière fois?

          -Je ne bois pas.

          -Mais excusez-moi. Si vous aviez été soûl jusqu'à frénésie il y a quatre jours, je serais facile expliquer tout. Il n'y a aucune boîte. Faites vous-même la conclusion s'il vous plaît. Je suis une infirmière à la clinique psychiatrique. Je donne ma parole que je n'y vois aucune boîte, - et elle s'est dépêchée à bas après avoir ça parlée.

          "Bien, - pensa Albert. - J'emporterai maintenant votre trésor et il sera intéressant à observer, comme vous réagirez."

          Il vint à la boîte et essaya de la saisir. Tout à coup il avait eu grand vertige et la dernière chose qu'il se rappelait, c'était un gentil mais perçant regard d'un vieil homme qui était debout près du mur opposé.

          Albert revint à soi à cause de pas trop dur coup de matraque de policier. 

          -Pourquoi vautres-tu ici? Ce n'est pas un village. Va dormir là où tu as bu. C'est quoi ce bordel, es-tu arrivé à Moscou avec telle face?

          -J'habite aucun village mais la ville Mytichtchi. Deuxièmement vous ferez mieux de vérifier les papiers de ce vieil homme, - Albert dit, en pointant du doigt au bizarre vieil homme, qui était debout près de la boîte, qui n'était pas moins bizarre.

          De toute évidence ce vieillard, dans une robe inhabitude, sombre et bleue, et qu'on voudrait nommer "un pèlerin", il avait relation la plus directe avec la boîte et il regardait maintenant Albert avec son regard pénétrant. Tout à coup Albert sentit remords, car comme s'il eût balancé sur ce vieillard, qui ne convenait point au rôle d'un héros négatif et il ajouta:

          -En fait, très probablement, il n'y a pas de vieillard ici, et je me sens juste mal, je suis tombé malade et j'ai des hallucinations.

          -Dans ce cas je te dessoûlerai vite, - en brandissant la matraque, marmonna le compagnon de flics qui était plus agressif.

          -Attends, Ivan, - le deuxième a interrompu et continué déjà à voix basse: Est-ce que tu ne vois pas? L'homme est malade mental. Il a besoin d'aller à psychiatre. Hey, mec! - le flic fit signe de la main à son compagnon d'arrêter et s'adressa à Albert: 

          -Voilà le numéro. À parler franchement, je n'aime pas aussi ce qu'il y a une diablerie qui passe ici. Si tu vois, entends ou apprends quelque chose inhabitude, je serai reconnaissant si tu m'en signales.

          -Vous cherchez un miracle, mais il est devant vous. Est-ce que ne voyez-vous vous pas la boîte de bois et un vieillard heureux près d'elle?

          -Néanmoins, cher ami, il n'y a qu'un mur de marbre, mais j'ai besoin des faits. Ainsi ça veut dire qu'il n'y a ni le vieillard ni la boîte avec inscription: "mettez ici un billet de 1 à 100 dollars et soyez heureuses"?

          L'adjudant-chef de police se pencha et parla à voix bas directement dans l'oreille:

          -Si tel miracle a lieu, est-ce que tu crois comme si nous eûmes raté une chance à l'utiliser à notre but? Tu as besoin d'être traité en effet. Si tu es plus jeune, j'aurai cru que tu fais semblant de fou à ne pas aller à l'armée. Cependant, c'est une adresse postale. Écris tout en détail qu'il avait lieu ici et n'envoie pas une carte mais une lettre à cette boîte postale. Écris sur le vieillard, sur la boîte avec un tas de dollars, écris sans hésiter. Quant à toi, qu'est que tu fais?

          -Je vends des journaux.

          -Ça veut dire tu vas à la rue de 1905?

          -Je ne sais pas les autres places. Bien. Comme on parle: "cause toujours". Néanmoins, sois sympa, appel si tu vois que quelque chose encore paraît étrange dans notre station.

          -Bien sur, - Albert répondit, mentalement s'en indignant à la situation.

          S'en allant, il pensa: "enfin j'ai débarrassé de ce frai bolchevique". Puis il essaya de souvenir quels journaux et combien va-t-il à acheter et à quel prix va-t-il à les vendre. Ce n'était pas trop difficile d'en souvenir et le revenu d'aujourd'hui a été dix pour cent de plus que d'habitude. Il n'était aucun embarras de revenir chez soi à la belle femme. Il voudrait oublier sur l'évanouissement matinal et ne le souvenir plus. Il paraît que l'événement matinal n'a pas du tout touché la quotidienneté heureuse de la famille jeune sans enfants.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/09/the-teleportation-part-1-chapter-1-metro.html

The original Russian text: https://proza.ru/2010/01/07/233

No comments:

Post a Comment