Saturday, December 19, 2020

Chapitre VII. L'arme secrète en action. La téléportation. Partie I.

           Près de l'an 1960 se réunirent-ils autour un physiquement fort voyou surnommé Balda qui était vingt cinq ans. Grâce à mes évasions à la taïga, l'habitude de me persécuter ne se forma pas encore par les gredins locals. Ils me considéraient, en riant, comme un être curiosité et excentrique. Néanmoins, ce type accorda une attention particulière à moi. Est-ce que le diable lui-même le pointa en silence vers moi, mais je crois qu'il même n'aurait pas pu expliquer ses actions de manière cohérente, même sous la torture, pourquoi avait-il tel grand besoin de me détruire.

          Il avait des connexions avec les matons des camps voisins de prisonniers, où les habitants plus buveurs et agressifs du village étaient emprisonnés de temps en temps. Il avait des connexions aussi avec les flics locals. Bien qu'il eût non seulement l'air de sot, mais il était débile d'esprit en fait, cela ne l'empêchait pas de plaire à ceux, dont lesquels il avait besoin et dominer et subjuguer le reste.

          Balda avait un copain surnommé Noir. Les gens l'avaient surnommé comme ça à cause de la couleur de cheveux. Balda était un blond. Balda était un surnom de village, néanmoins "Noir" était un surnom de prison. Il avait dix ans de plus que Balda et plusieurs fois avait été déjà au camp de prisonniers. Il était un inférieur à Balda dans la capacité de se battre, mais cela était compensé par son autorité de prison, bien qu'il était considéré comme un moujik qui ne méritait pas encore d'être un "voleur dans la loi". Ce fait avait lieu plus probablement à cause de qu'il avait été une fois suspecté d'être un rat, c'est-à-dire, celui qui vole des copains. Noir méprisait les flics contrairement à Balda. Il faisait semblant dans le meilleur des cas, comme s'il ne les remarquait pas. La différence entre eux en grande partie ne les pouvait pas transformer d'abord des amis en rivals, puis en ennemis cachés et enfin en ennemis ouverts. On pourrait comparer la "lutte pour le pouvoir" entre eux aux tragédies de Shakespeare à condition si soustraire d'eux tous le reste de la dignité. Les habitants locals souffraient de leur deux et souffraient-ils non seulement de leurs poings. C'est une longue histoire, néanmoins, plusieurs hommes avaient été mutilés, plusieurs d'eux encore ont ruiné leurs vies des autres manières, en général à cause de la prison. Il y avait des cas des divorces et de la déception dans la vie, y compris avait eu lieu même un suicide.

          Le père de Balda est de mon âge, en époque de Stalin était-il un dénonciateur de NKVD. Il est probable que le fils s'en sortait souvent, à cause du souvenir de ces connexions du père. Il avait aussi une passion encore: à l’accumulation d’argent. Il y avait tel résultat de ça: Balda ne buvait pas tout ce qu'il gagnait, comme Noir le fait, mais épargnait une partie de l'argent et aimait de s'habiller chèrement. En raison de leur stupidité, Balda et son père n'ouvraient pas de compte d'épargne. La stupidité était une conséquence de leur confiance, comme si n'oserait personne entre les gens locals, même Noir, faire quelque chose contre eux. Noir savait, si quelque chose passe, il serait le premier suspecté, à cause de sa réputation douteuse. C'est pourquoi il essayait de se tenir plus loin de la maison de Balda, même lorsqu'ils étaient amis. Peut-être, en avant peur, caressait-il une pensée séduisante, mais il hésitait. Ce serait une stupidité, car il ne pourrait pas dépenser de l'argent en secret grâce à son caractère, car il ne pourrait trouver autre application à l'argent, sauf l'ivrognerie.

          La relation de Balda et Noir ressemblait à un abcès mûr qui allait à éclater. Non seulement moi, mais beaucoup des gens locals sentaient que bientôt quelque chose allait à passer. J'ai décidé d'accélérer les événements, en montant ceux gredins l'un contre l'autre et profiter de l'occasion à la fois. Je n'avais plus d'argent de la maison vendue et je gagnais maintenant qu'accidentellement. Je ne volais jamais avant, mais ne considérais pas l'action honteuse à voler des gredins. J'avais joué au théâtre Robin Hood depuis longtemps et sympathisais à personnage comme ça.

          En mai 1960, j'ai dépensé derniers pennies à louer une datcha dans la région de Moscou à Kratovo. Bien sûr, tu te rends compte que je n'ai besoin d'aucun transport à se déplacer immédiatement de la taïga de Krasnoïarsk près du village à Moscou ou à la région et à retourner de la même manière. J'ai choisi le jour de paie pour effectuer l'opération. Il y avait deux semaines j'avais montré à tout le monde de la manière démonstrative, comme si je quitterais le village comparativement pour longtemps, c'est-à-dire, pour plusieurs mois.

          Avant cela, j'avais commencé à mettre près de la maison de Balda les bouteilles de vodka. En première fois ils avaient tous les deux peur, si c'était un poison. D'abord ils ont goûté un peu avec précaution, puis allaient au magasin pour acheter la deuxième, puis la troisième, après ça ils ont bu toute une bouteille que j'avais mise jusqu'à bout. Dans plusieurs jours ils ont baissé leur garde après la troisième bouteille que j'eus mise. À rendre ivre Noir au bon moment et au bon endroit, cette tâche était plus légère, car il méprisait une chose telle que la précaution. 

          En ce jour-là j'ai excité tous les deux dès le matin à l'aide de la plantation secrète des bouteilles comme ça. Comme tu sais maintenant, les grandes distances n'existent pas pour moi. À six heures de soir quand il est deux heures de l'après-midi à Moscou étaient les deux, c'est-à-dire, Balda et son père, soûls complètement. Ils n'avaient même pas assez d'esprit de cacher la grosse somme d'argent en plusieurs places. Les billets enveloppés dans du papier journal étaient justes là à la boîte sans verrou, entre les vêtements et les autres choses inutiles. En tout cas je les trouverais aussi. Comme si par accident, j'ai  laissé tomber la carte syndicale de Noir qui était resté du travail, d'où Noir était renvoyé à cause de l'ivrognerie. Il y avait aussi une vieille lettre de la cousine de Noir de Krasnoïarsk.

          -Qui est là, salope, sans demander? - la voix soûle de Balda a retenti. - Tuerai! Sur ces mots, il est sorti dans le couloir, où j'étais debout.

          Je me suis précipité à la très petite chambre, dont la porte donnait dans le même couloir, mais à l'autre côté. Dieu merci, il y avait une barre que j'ai verrouillée immédiatement, mais il a eu assez du temps pour me voir et reconnaître.

          -Pourquoi ne pouvais-tu pas disparaître dès instant qu'il a commencé à bouger dans sa chambre? - Albert questionna.

          -J'ai déjà dit, dans cette époque-là, lorsque la capacité n'était pas encore développée jusqu'à l'automatisme, j'avais besoin de me concentrer et imaginer clairement la place, où je vais à me déplacer. Maintenant imagine-toi, quand soit un non formé mais furieux et grand type court vers toi, comment pourrait-on se concentrer? Néanmoins, j'ai réussi à fixer mon attention et faire un lancer. Est-ce que tu crois qu'à Moscou? Non. Chez Noir.

          Noir dormait sur le plancher. Il y avait une bouteille de gnôle près d'il, et la bouteille n'était pas encore bue jusqu'à bout. J'ai mis une liasse d'énormes billets de cette époque-là avec Lenin au poche de veston, dont il ne se séparait jamais. Après cela j'ai dévissé l'agrafe de crochet qui verrouillait la porte de l'intérieur. Et tout d'un coup je me suis rappelé que parfois j'avais visité le grenier de la maison de Balda. Il ist impossible inventer un endroit mieux pour recueillir des informations. Bien sûr, je pénétrais là-bas toujours de la même façon inhabitude. En imaginant clairement cet endroit, je me suis avéré là-bas.

          - ... Soit je sois une salope, mais je l'ai vu, comme je te vois maintenant. Il est du même côté que Noir! Son surnom est Artiste. Ses copains de prison sont les mêmes voleurs dans la loi. Ils ne volent pas de copains pour ne pas devenir un rat méprisé. Mais nous sommes des "frayers" à l'égard d'eux, c'est-à-dire, les victimes, tu te rends compte? Je vais à casser leurs côtes!

          -Oh, sot! Est-ce que tu crois comme si je ne me sens pas désolé? Je le gagnais toute ma vie. Tu veux simplement montrer ta sottise. Mais j'ai les connexions avec la milice. Ils battront ceux types de telle manière, comme tu ne pourrais pas. Et ils rendront tout. Quant à cet Artiste, il n'est pas du tout notre homme. On l'a vu dans la taïga. Il était assis sur le sol comme un non vivant avec les jamber croisées, comme un Turc. Ils l'emprisonneront et il ne reviendra pas vivant, mais tu veux te salir les mains.

          -Tu vis encore en 1937. Qui l'emprisonnera? Le chauve pédéraste, Khrouchtchev, salaud - il a laissé aller tout le monde à vivre comme ils veulent! Quant à Noir, la prison est une maison natale pour lui. Il ne soucie pas de ça. Mais après moi ne travaillera-t-il qu'acheter des médecines, en crachant de sang! Je le battrai comme une salope à mort! Je le battrai comme une salope à mort! Deux fois est assez pour lui!  Deux fois est assez pour lui! - ces mots étaient criés par il déjà dans la rue.

          -Imbécile! N'y allez pas! - le père a hélé d'une voix rauque, en suppliant. Il n'avait pas apparemment la force non seulement pour arrêter son "enfant" éperdu, lais il ne pouvait pas même sortir du lit.

          Je pouvais à peine retenir un rire. Néanmoins, les circonstances ne me laissaient pas voir ce spectacle jusqu'à bout. Je  me suis concentré et avéré au grenier d'une ancienne maison de cinq étages. Personne ne m'a vu. J'ai descendu l'escalier en silence, suis sorti dans la cour et passé autour l'immeuble. Dans la façade d'immeuble y avait-il une banque d'épargne que j'avais planifiée auparavant. La pause-déjeuner était déjà finie. Après avoir fait la queue pendant une demi-heure, j'ai ouvert un compte, en mettant presque tout l'argent sur le dépôt.

          Maintenant j'avais l'alibi impeccable. Il y avait la date écrite au livret et bien sûr au compte qui prouvait sans doute l'impossibilité de mon apparition à la fois si loin, c'est-à-dire, à la région de Krasnoïarsk. Néanmoins, ça m'a paru pas assez. Balda m'a vu. Mais qui croirait en çà? De quelle façon pourrait quelqu'un s'avérer dans sa maison loin qui à la fois ouvrait un compte dans la banque d'épargne à Moscou? Néanmoins ... 

          Une solution du problème m'est venue à l'esprit immédiatement. J'ai acheté une bouteille de vodka au magasin de la même maison, pour tout aurait l'air naturel. Quinze minutes plus tard, j'étais déjà de très bonne humeur dans une voiture de métro. Toute timidité a déjà disparu, et j'ai chanté une chanson de débauche pour toute la voiture: 

Je suis tombé amoureux de Khrouchtchev,

Et je vais à marier avec lui, 

Mais j'ai peur qu'à lieu de la chose

Il y a un épi de maïs.

          Les gens ont commencé à me tirer sur la manche, en m'appelant à venir à l'ordre, mais en addition ai-je commencé à danser et continuais à chanter des obscénités différentes pour tout le monde. Quelqu'un riait de bon cœur, en regardant à moi, quelqu'un souriait, secouant la tête et retenant à peine un rire.

          -Comme est le vieillard soûlé!

          -Enfin, fermez sa bouche!

          -Est-ce que vous ne voyez rien? L'homme est malade mental.

          Cela a fini de telle manière que plusieurs hommes m'ont pris par les bras et mené à la milice, dont j'avais besoin. Je n'étais laissé aller que quinze jours plus tard. Maintenant rien ne pouvait hésiter mon alibi. J'ai dit à la maitresse de la datcha qu'a reçu un télégramme la poste restante et j'ai voyagé Saint-Pétersbourg à voir ma sœur malade. En général, je faisais lui une bonne impression et si elle voit le "concert" que j'ai mis à exécution au métro, je suppose qu'elle s'évanouisse à cause de surprendre. Je continuais à me reposer à la datcha, comme un vieillard culturel et honnête, j'allais à la forêt cueillir des champignons et à la plage, quand il faisait bon temps. Je suis revenu chez soi en Septembre par train.

          -Quant à bagarre celui-là, comment est-elle terminée? - Albert questionna.

          Les vieilles locales m'ont raconté cela. De la manière comme j'espérais, Balda avait fait une irruption chez Noir et l'a commencé à battre. Noir l'a soudain frappé et sorti le couteau. Balda s'est mis à en courir. Noir avait le temps une fois le frapper avec un couteau, mais en passant, légèrement. Balda attrapa la première chose que soit lui tomber sous la main, c'était une pelle à baïonnette, et il a frappé Noir à la tête. Celui-là est tombé. L'imbécile devait s'aller, mais au lieu de ça a-t-il frappé Noir en deuxième fois, quand il s'était déjà allongé. C'était le même coup qui s'est avéré mortel. Puis il a bu encore de gnôle, et les flics le traînaient dans la voiture déjà ivre-mort.

          -Pour combien d'ans était-il emprisonné?

          -Il insistait si fortement qu'il m'eût vu qu'enfin était-il déclaré fou et irresponsable, après quoi était-il emmené à l'hôpital psychiatrique spécial à Kazan. Sais-tu qu'il y a des asiles de fous avec des gardes armés?

          -Oui, j'en sais.

          -Cinq ans plus tard était-il laissé aller. Et bientôt son père est mort. S'il est mort un peu avant, Balda resterait dans le lit éternel. Après la mort du père, il était au bord du suicide. Puis les baptistes l'ont trouvé, et dès lors il est devenu méconnaissable. Il est devenu un croyant, d’autant plus très actif. Il tentait même de convertir moi. Il s'est marié enfin une baptiste. Maintenant cet homme est complètement différent. Néanmoins, ce cas était unique, lorsqu'un ennemi a cessé d'être l'ennemi. Lorsqu'un homme corrompu a changé. Le seul cas!

          -N'avais-tu eu pas tort que ne l'as pas suivi?

          -Cela s'est avéré pour lui une promotion vers l'avant, c'est à- dire, vers la perfection en fait. Mais pour moi serait-ce un recul.

          -Pourquoi?

          -Parce que je suis au courant de la situation réelle dans une plus grande mesure. Je crois en Dieu. Mais je n'ai confiance ni en églises, ni en n'importe quelles autres foules humaines et j'ai des raisons pour ça. Je ne peux pas devenir un croyant d'église. Je ne peux que faire semblant d'être lui, mais ça veut dire une hypocrisie, une tromperie. Ce serait un péché plus grand encore. La Vérité est beaucoup plus belle que les foules stupides l'imaginent.

          -Néanmoins, n'est-ce pas que tu pèches plus? Et quoi si on considérerait l'église comme quelque chose qui retient des péchés?

          -Bien sûr, je suis loin d'être un ange. Peut-être, je suis plus péché que tous ces baptists. Mais il y a quelque chose que je sais exactement.

          -Et qu'est-ce que c'est?

          -Je ne serais jamais du côté de la foule qui crucifiait Christ.

          Il y avait une longue pause. Enfin le vieillard l'a interrompue:

          -Je me suis éloigné de notre sujet principal, néanmoins, nous ne pourrions point faire sans ce que j'ai raconté. Je me rappelle que tu as très bien compris la théorie, mais quelque chose n'ai-je pas dit jusqu'à bout.

          Ils ont tous deux réfléchis profondément, et bientôt Albert se souvint:

          -Tu n'as pas encore parlé sur la technique de sécurité.

          -Exactement!


The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/10/the-teleportation-part-1-chapter-7.html?zx=d2e8f0b43f8f7632

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/10/679

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