Thursday, December 3, 2020

Chapitre II. Coup de fil. La téléportation. Partie I.

           Rien d'inhabituel ne se produisait au cours des deux semaines suivantes. Albert se levait tôt de la même manière quatre fois par semaine et partait pour le travail, où il était son propre patron et subordonné à la fois. Sa femme le salua de la même manière joyeusement à son retour et parfois il trouvait chez lui une, moins souvent deux ou trois des amies constantes d'elle, que nous connaissons déjà, et nous connaissons aussi comment elles lui impressionnaient. Une fois pendant ce temps ils sont allés tous les deux chez ses parents dans une maison située dans une région voisine dans un village à 200 kilomètres de Moscou. Les parents avaient acheté cette maison à temps à bas prix au tout début de la perestroïka, en laissant à leur fils l'appartement des deux chambres dans la ville Mytichtchi près de la station ferroviaire des trains locals Perlovskaya (14 km de la gare Yaroslavsky de Moscou - auteur).

          Albert lui-même n'était pas indifférent à ce cas dans le métro. Il considérait ce fait avec curiosité soit d'un aventurier ou chercheur que l'autre jour il a dû devenir non seulement un témoin, mais aussi un participant d'un paranormal de lesquels les journaux différents écrivaient si souvent dernièrement. Néanmoins, il y a beaucoup d'inventions et exagérations aux journaux à cause du désir de faire sensation, mais ici le fait avait eu lieu. Il ne l'a raconté ni à sa femme, ni à ses parents, car il savait à l'avance, il y aurait beaucoup de questions qu'il même ne soit pas capable de répondre, malgré toute son érudition. Ils le connaissent très bien, c'est pourquoi ils ne douteraient pas de sa santé mentale.

          L'autre jour il y avait un refroidissement. On parle de ce que l'arbre dernier bourgeonne à ce temps à la région de Moscou, c'est le chêne. Il y avait tout trop habituel autour de lui et il oubliait le cas étrange au métro toujours involontairement. Notre protagoniste devait confesser à soi-même seulement par un raisonnement logique sans émotions que ce fait a eu lieu. Ce fait a eu lieu quels que soient ses désirs et son attitude face au fait incroyable et il est impossible de nier ce qui était. Bien sûr; on peut essayer d'oublier, faire semblant comme s'il n'y ayant eu rien, mais pourquoi doit-il tromper soi-même? Si on compare petites choses ordinaires de la vie courante avec une chanson bien connue, seulement une note dans la chanson a sonné comme une dissonance qui fait mal aux oreilles, mais la chanson continue comme si de rien n'était. Néanmoins, il est impossible de supprimer la note de la chanson.

          Malgré d'appliquer toutes les capabilités afin de résoudre cette énigme, les questions étaient laissées sans réponse, mais il y avait un fait curieux à la première place. Tous les passants dans métro ont laissé cette boîte non seulement sans attention, mais même ne l'ont vu pas. La version d'hallucination était exclu d'emblée par Albert et il avait raison. Même si une maladie mentale commence comme ça, les hallucinations continuèrent et augmentèrent.  Sa passion pour les exercices de yoga et son désir de s'améliorer ont créé une habitude depuis longtemps ont créé l'habitude d'observer soi-même et sa santé. Non. Il n'y avait pas changements et cela veut dire qu'il  ne faut que chercher les bizarreries à l'extérieur, pas à l'intérieur Il n'y avait aucune différence à la manière de penser, ni avant, ni après, si ne faire pas attention à ce qu'il médite maintenant sur l'événement étrange décrit aux journaux, mais au lieu de cela il médite sur l'événement pareil auquel il est un participant direct et peut-être même que le participant principal.

          L'appel téléphonique sonna si inopinément qu'Albert sursauta, ce qui ne lui est pas arrivé auparavant. La pensée première était: "Qui ce pourrait être? Il est possible que par erreur".

          Il sauta du lit. L'horloge indiquait un peu plus de dix heures du matin. Il est temps de prendre du thé matinal. Pendant il allait vers le téléphone, le son d'appel coupa le silence du matin plusieurs fois encore.

          -Allô.

          -Salut, Alik.

          Ne le nommait personne comme ça, sauf les parents, sa femme et les amies d'elle. Il avait abandonné tous les amis il y a quelques ans, car avait compris que n'avait plus besoin d'eux.

          -Qui dit ça?

          -Mon nom ne te parle rien, aucune chose nouvelle, - prononça voix sûre et vive, mais pas jeune.

          Et voilà! Il a composé le numéro correctement, m'a nommé correctement, néanmoins, je ne le connais point!

          -Mais avec qui je parle maintenant? 

          Albert savait le prix d'information et la règle d'or des gens intelligents de ne la donner pas à tout le monde. Cela serait la même chose, comme si donner l'arme contre soi-même à l'ennemi à la guerre.

          -N'aie pas peur. Je te connais si bien, si je veux faire tort à toi, je l'aurais fait déjà depuis longtemps.

          -Pourquoi j'aurais peur, si je suis même capable d'effrayer à chaque personne? - L'habitude de parler décemment y compris avec les ennemies a empêché à lui d'ajouter deux mots: "bouc vieil".

          -J'ai un bon conseil pour toi. Quand tu es en colère, imagines-toi, quoi tu ferais avec Sveta si on te donne le droit de faire tout que tu veuilles. Crois à moi, s'il te plaît, que ce serait mieux que compter jusqu'à dix ou même jusqu'à cent.

          -Avec quelle Sveta s'agit-il? - demanda Albert en faisant semblant de ne comprend pas.

          -Avec Izmailova qui est une amie de ta femme.

          -Connais-tu, par hasard, mon adresse personnelle?

          En réponse a dit l'inconnu clairement l'adresse personnelle d'Albert.

          -Alors, avant d'apprendre de tels détails, il faudrait apprendre le fait, malgré je gagne relativement beaucoup d'argent, c'est moins qu'une somme critique d'argent, en commençant de laquelle vos gens pourraient faire attention à moi.

          -Oui, si la convertir en dollars, ce serait environ deux cents dollars par mois. Je suis d'accord avec toi, fils. La mafia ne fait pas attention à tels revenus, malgré beaucoup des oisifs t'enviraient. Pourtant je connais des moyens, comme gagner dix fois plus, même cent fois plus. Et tu peux le profiter. Mais ce n'est pas essentiel.

          -Et vous devriez aller encore plus profond dans mon âme pour apprendre que je suis un très inadapté individu pour votre travail. Il y a une idée bien connue: "L'argent n'est pas une chose principale et il les faut gaspiller pour secouer l'imagination du bétail environnant, à revêtir cher choses de mauvais goût, à faire semblant un type cool", tandis qu'il y aura le pouvoir de dix mecs sur moi qui sont plus cool et je devrai les obéir, ramper devant eux, en avant peur pour mes proches et moi-même. Bien sûr au commencement donnerez-vous à moi l'occasion de gagner argent, par exemple, en transportant la marijuana de la vallée du Tchoui quelque part à Samara. Et vous croyez, comme si je sauterai de la joie et courrai au resto à boire la fausse vodka et de pied en cap m'habillerai les vêtements Adidas qui seront faux probablement aussi. Est-ce que vous n'ayez pas pensé ce que vous sonniez à la mauvaise porte de quelqu'un qui malgré l'envie de gagner, n'échangera jamais sa liberté et l'indépendance pour rien au monde. Pas pour argent, pas pour vêtement. Même le pouvoir soviétique n'a pas pu me capturer à la collectivité. Ma conclusion finale que la société est un bétail, est devenu contre eux. Et s'il n'y avait pas la perestroïka, j'irais maintenant aux prisons et asiles de fous de notre "Patrie". Est-ce que vous cherchassiez intentionnellement la plus inadaptée personne pour votre soi-disant travail? Vous pouvez voir partout grand nombre de gens lâches et avides, qui ne sont pas contents, parce qu'ils ne trouvent pas après disparition de la pouvoir Soviétique, dont cul à lécher. Même pour mes deux cents dollars ils serviraient à vous comme des chiens fidèles. Même à vendre les journaux ont-ils créé leurs stupides brigades, en mettant en place les mêmes pourries relations, qui avaient lieu dans les collectifs soviétiques. Par exemple, à notre chemin de fer, s'en limitant à la voie de Moscou à Mytichtchi, ils croient au mythe qu'ils eux-mêmes ont inventés, comme si je gagne moins, car je travaille entre Mytichtchi et Alexandrov et non seulement là-bas. Je travaille le long de toutes onze directions de mon choix, mais ils sont attachés comme des chiens à leur section du chemin et y ont rongé dessus entre eux comme des chiens. Et comme ils ont peur de votre mafia! Si je tiens une tente nourriture ou coopérative, je payerais le tribut dans des limites raisonnables et plus rien. Au bout du compte suis-je sûr que ce système de racket est créé par notre État natal de merde. Néanmoins je ne laisserais me forcer d'être un esclave. Même si vous me détruisez seul, j'aurais le temps de détruire plusieurs dizaines de vous. C'est n'est pas rentable à s'énerver sur moi, car il y aura plus de problèmes que de revenus.

          Albert sentait qu'à l'autre bout du fil écoutait-on avec attention.

          -Et quoi? Êtes-vous déçu maintenant? Êtes-vous devenu capable comprendre que vous ne gagneriez rien avec moi?

          -Non. Je ne suis pas déçu, mais ravi. Tu es le même dont qui j'ai besoin. Je n'ai pas eu tort! Je n'ai pas perdu mon temps vainement! Il semblait que la joie sincère sonnât à la voix, comme la joie d'enfant.

          -C'est intéressant à savoir, par quel moyen pourriez-vous me forcer travailler pour vous.

          -Non, cher ami. Tu travailleras pour tu, comme avant.

          -Vous pouvez vous offusquer ou ne vous offusquer pas, néanmoins, de quoi peux-je penser encore? Est-ce que vous êtes un adepte de l'amour homosexuel et mon personnage coïncide avec votre script sexuel personnellement?

          -Tout d'abord, je te dis assez sincère que je ne m'offusque, parce que je ne blâme les gens pareils. Deuxièmement - non et je peux répéter "non" plus encore. Troisièmement, j'ai une amante à la Krasnoïarsk région, je l'appelle "coquine". Si tu appris, quel âge avons-nous, elle et moi, tu t'évanouiras. Et ma relation avec elle est assez étrange. Ainsi ta version est injustifiée.

          -Est-ce que tu ne pourrais pas trouver une jeune fille plus proche?

          -Il ne me coûte rien à m'envoler aller-retour.

          -Mais si le temps est inapproprié à voler?

          -Pour moi est temps approprié à voler toujours.

          -C'est que vous frimez déjà.

          -Au fil du temps tu l'apprendras. On ne peut pas tout à la fois.

          La voix se tut, mais on ne raccrochait pas. Albert réfléchit. La tâche ne résolvait pas. Si suivre la logique simple, il ne resta qu'une chose: une certaine intelligence service veut le recruter. Bien qu'on pense, comme telles choses n'ont lieu qu'au cinéma, elles peuvent être dans la vie réelle aussi. Néanmoins, quelle information a-t-il? Toutes les usines et unités militaires autour sont sus à chaque chien. Tout ça est filmé des satellites terrestres depuis longtemps. Quant à sa position politique, en particulier l'anticommunisme, maintenant c'est à la mode et personne ne sera surpris. Peut-il être que c'est à la cause de sa capabilité de voir ce que les autres ne voient pas? Là-bas au métro? Et si ces salopes voulaient l'utiliser comme cobaye? Testent-ils une nouvelle arme psychotronique sur lui? Ainsi pourquoi ont-ils commencé à contacter, à parler? Ils pouvaient l'observer sans communication. Néanmoins, si c'est une intelligence service, Albert ne croyait pas, comme si le monde soit divisé en riches et pauvres. Même n'est-il divisé pas en pays différents. De point de vue d'Albert, le monde est divisé en ces qui considèrent le collectif plus haut qu'un individu et ces que croyent vice-versa, c'est-à-dire, ces qui considèrent un individu plus haut que société. Il y a les uns et les autres à chaque pays. Ces derniers seraient ses hommes pour lui, et il ne refuserait pas à aider à eux, il est peu importe, sous lequel drapeau agissent-ils.

          Il sentit le souffle de quelqu'un en arrière et regarda autour. Il tenta de sourire à Nadia qui s'était approchée par-derrière, mais elle avait l'air anxieux et préoccupé.

          -J'ai entendu que Sveta vient d'être mentionnée dans votre conversation.

          -Est-ce la jalousie?

          -Tu bien sais, son ami tient une coopérative. L'autre jour avait-il eu un problème avec la mafia. Est-ce que c'est ils qui appellent?

          -Tu-même as parlé de ce qu'il y a le toit de gangster au-dessus de lui et il paye à eux. 

          -C'est les autres. Une guerre est planifiée entre eux et son toit. Il vont à divider le territoire. Et ils peuvent entraîner lui dans leur confrontation. Sveta est proche de lui et aussi peut être forcée à participer.

          -N'est-ce pas que tu inquiètes trop tôt?

          -Alors c'est ils qui appellent probablement? À fouiner, n'est ce pas? Qui t'appelle?

          Il voudrait crier: "les espions!", mais il s'arrêta à temps. Nadezhda le considérerait comme une tentative maladroite de tout transformer en blague. Peut-être c'est ses amis d'avenir et même s'il ne leur ferait pas de mal par tel texte ouvert, mais il les peut décevoir en soi à cause d'exclamations pareilles. Il ne pouvait comprendre jusqu'ici, qu'est-ce que cet appel signifie, mais il était sûr déjà que ce n'est aucune mafia. Soudain il s'est souvenu que l'inconnu écoute, attend et ne raccroche pas. 

          -Néanmoins, qu'est-ce que vous voudriez? Quel est votre but à cause duquel vous appelez?

          -Je suis ton ami et c'est nécessaire de se rencontrer et converser. Tu dois savoir tout.

          La voix était gentille jusqu'à tel degré qu'on ne voudrait point soupçonner son propriétaire d'intentions hostiles. Et si ces gens s'avèrent lui nuire, quels sont-ils salauds et hypocrites!

          -Combien y a-t-il de vous?

          -Je suis seul comme en dernière fois. Je suis seul toujours, mais maintenant nous deviendrons à deux.

          -Quelle est la "dernière fois"? Il n'y avait aucune "dernière fois".

          -Je veux rencontrer afin que tu saches tout, sans être tourmenté par des conjectures.

          -Où et quand?

          -Directement toute de suite, chez toi. Je suis seul. Va jusqu'à la porte et regarde à travers le judas.

          Albert mit une veste, cacha la hache sous elle. Aux poches du pantalon cacha-t-il deux cartouches à gaz et un couteau qu'on peut ouvrir en appuyant sur le bouton. C'est très peu probable, mais on peut faire feu en judas. Il faut faire un périscope de petits miroirs dans l'avenir, pour observer du coin - c'est simple et bon marché. Mais maintenant peut-on avoir risqué une fois. Qui craint les animaux, ne va pas en forêt. 

          Mais dès qu'il a regardé à travers le judas, il a compris immédiatement qu'il s'était armé vainement. La solution de cette tâche difficile demandait à entrer chez lui littéralement. Il y avait le même vieillard-"pèlerin" du métro étant debout près de la porte, mais ne tenait pas la boîte avec l'inscription étrange à la main, mais un téléphone portable, à l'aide duquel il vient de parler avec lui.

The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/10/the-teleportation-part-1-chapter-2.html

The original Russian text: https://proza.ru/2010/01/07/233

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