Wednesday, December 23, 2020

Chapitre VIII. La technique de sécurité. La téléportation. Partie I.

           Après avoir pensé un peu, le vieillard Paul continuait:

          -Donc, écoute- moi. Je vais à commencer par les choses secondaires. En possédant une capacité comme ça, il est nécessaire d'éviter de se saouler ou se droguer de n'importe quelle autre manière. C'est ce qui m'est arrivé une fois récemment. Tout s'est bien terminé, sinon je ne serais assis maintenant devant toi.

          Il m'est arrivé de visiter le Kamtchatka dans la jeunesse. J'ai visité plusieurs volcans dans l'époque-là, y compris l'Avachinsky qui est situé relativement près de la ville Petropavlovsk-kamchatsky. Certains d'entre eux étaient en condition active mais pas fortement. Je me le rappelle comme maintenant, un mur vertical m'a fait une impression indélébile. J'étais debout en haut. Il faisait le crépuscule du soir, contre lequel avait la lave qui bouillonnait en bas, l'air relativement brillant, et une forte chaleur venait de là. C'était terrifiant et amusant à la fois. La beauté d'enfer. Un genre de la sensation sublime qu'il est difficile de l'expliquer. Et il m'est arrivé de me saouler il y a deux ans en été. J'ai senti que j'ai pris trop, néanmoins je ne suis pas déjà un garçon; le cœur peut marcher d'une façon incorrecte ou quelque chose encore qui est important pour la vie. Je me suis le rendu compte de ça à travers l'enivrement, mais c'était bien qu'il faisait temps d'été. J'ai décidé d'aller à la taïga à passer la nuit en plein air. C'est moins nocif que dormir soûl dans la chambre, même si elle est bien ventilée. J'ai pris avec moi la boussole, les allumettes au cas où, même je n'ai pas oublié le remède contre les mosquitos. Après être passé plus profondément dans la forêt à peu près deux kilomètres, je m'ai tartiné avec le remède et me suis allongé sous le sapin. Et je me rappelais dans le même temps la jeunesse, les voyages. "Maintenant je vais à dormir un peu, - je pensais, - puis voyagerai n'importe où. Il faut plus souvent utiliser les cadeaux que Dieu a donnés". Je me suis réveillé. La nuit. Je suis soûl encore. Et cela s'est produit soudain instantanément, automatiquement, sans concentration ni méditation. Il y avait un casual mouvement et soudain il avait fait la journée ensoleillée et la chaleur comme au sauna. Je suis debout sur la corniche étroite du même mur vertical, il y a l'abîme sous moi, la lave en bas et les fumées sulfureuses m'atteignent. Il faudrait me concentrer et retourner. Mais au lieu de ça, après avoir vu qu'il y avait beaucoup de rebords à s'agripper ou mettre le pied, j'ai commencé à escalader le mur, quoique je ne sois jamais un alpiniste. Le plus loin, c'était le plus difficile à monter, il était déjà impossible de descender et jusqu'à haut il y avait comme jusqu'à cinquième étage, à peu près vingt mètres. Et il y avait les premiers signes de la gueule de bois, les mains tremblaient et le cerveau ne marchait pas comme d'habitude, c'était probable à cause des fumées sulfureuses. Il ne fallait pas me dépêcher, car on pouvait tomber à bas. Mais il ne fallait pas m'arrêter aussi, puisqu'on pouvait être gazé. C'est pourquoi il fallait escalader plus vite. "Soi tranquille, - j'ai dit à moi-même, - s'il y a tel mur en endroit sans danger et pas en hauteur, pourrais-je l'escalader? Bien sûr, malgré toutes les difficultés. Je me dépêchais, je m'en consolant toujours et continuais d'escalader. J'ai marché sur une pierre qui dépassait du mur, mais elle a tombé du mur et j'ai commencé à tomber aussi directement au lac de feu. Je ne peux pas me rappeler de quoi j'ai réussi alors à réfléchir. Une sorte d'énergie est entrée en moi. Je ne suis pas tombé encore jusqu'à bout, mais j'ai senti la brûlure. Est-ce la fin? Je me suis secoué et soudain je me suis avéré dans un office. À table, un homme d'âge moyen était assis dans un costume avec une cravate et écrit quelque chose. Il y avait des tableaux, des livres aux titres latins devant il sur la table. C'est naturel que cet employé ait fixé les yeux à moi, la bouche ouverte, et les yeux étaient en condition de sortir de leur orbite. Je le comprends. J'avais l'air effrayé, tout pâle, et les jeans fumaient dans certains endroits. C'est probable qu'il m'a considéré comme un démon de l'enfer. Il n'y avait rien plus encore pour avoir peur. Je me suis mis en rire de bon cœur, m'a concentré et suis revenu à l'endroit, où j'étais allé à passer la nuit. Il n'est que commencé à faire de la lumière de l'aube là-bas et, malgré les nuits froides de Sibérie, je n'ai pas immédiatement ressenti la fraîcheur. C'était une drôle aventure, mais malheureusement, les aventures comme ça ne se terminent pas toujours bien. C'est pourquoi, si nous possédons une capacité inhabitude, nous ne devons pas même toucher quelque chose de stupéfiant.

          -Attends un peu, je vais à revenir tout de suite, - Albert dit et sortit vite puis revint à la cuisine avec un stylo et papier. Il s'assit et dessina deux rectangles, prit une pièce et la mit sur un des rectangles.

          -Regarde là, supposons que ces rectangles soient des chambres, des cellules ou coffre-fort, c'est-à-dire n'importe quoi. Supposons que ce papier soit habité par des êtres à deux dimensions et il n'y a que les deux dimensions de ce plan leur sont disponibles. Les côtés des rectangles soient un obstacle insurmontable pour eux, comme sont les murs pour nous. Maintenant, la monnaie est là-bas. Les êtres supposés la considèrent comme une balle à deux dimensions qui est le cercle pour nous.

          Albert prit la pièce et l'apporta dans l'autre rectangle fermé, en expliquant: 

          -Maintenant, ils considéreraient cela comme la disparition de la "balle", et les habitants de l'autre rectangle comme l'apparition d'une manière inconnue et supernaturelle pour eux.

          -C'est exactement ce qui se passe.

          -Néanmoins, de cette manière peux-tu t'évader de n'importe quelle prison ou entrer au coffre-fort de n'importe quelle banque... - Albert regarda au vieillard d'un air interrogateur.

          -Bien sûr. Et quoi? Après avoir appris à faire ce que je fais, est-ce qu'immédiatement attaqueras-tu la plus grande et riche banque? Après tout, je ne vous blâmerai pas. Il ne serait aucun péché à cambrioler l'État qui est comme ça pour plusieurs milliards dollars. En tout cas serait utilisé cet argent à nourrir toute une armée des gros lards, chacun d'eux occupe un poste élevé, mais à la fois est-il en dessous de nous dans la capacité intellectuelle en 99 cas sur 100. Et nous ne pouvons que joindre les deux bouts. En ayant une formation universitaire et érudition admirable, tu dois vendre les journaux. Mais ils n'ont terminé qu'IVVS: Institut de la Vilenie de la Vie Soviétique. De quelle façon encore peut cet argent être utilisé? À brouiller les radiodiffusions des pays libres? À étirer mille kilomètres encore du fil barbelé? Oui, maintenant il y a la démocratie, mais est-elle pour long temps? Le peuple est esclave, le peuple est un bête, le peuple est une racaille, car il se rebelle contre la liberté. Il veut retour à l'esclavage. À faire la queue pour acheter la saucisse pourrie pour 2.20 et à glorifier Lenin. De la même façon comme il y avait les rébellions contre annulation du servage au siècle dernier, maintenant se rassemblent des nuages ​​orageux à l'horizon. Le bétail veut le retour à la stalle. Alors vas-tu à cambrioler les banques?

          -Cela a l'air comme si tu me donnes une tâche délicate, avec une astuce.

          -C'est déjà plus proche. Allons, réfléchis. Tu es un homme intelligent.

          -Cela provoquera la panique. Des indignations indésirables dans certains cercles.

          -Plus proche encore. Bravo!

          -Tout le KGB s'inquiétera ... comme il s'appel maintenant? Quoique ce ne soit pas une chose importée, quel est nom.

          -Non seulement KGB. Tous les intelligents services du monde s'inquiéteront et non seulement ils. Tous les clans mafieux, les barons de la drogue, y compris les chercheurs solitaires des aventures et d'argent facile, des kamikazes, fanatiques. Il y aura entre eux les types, avec lesquels lutter serait-il très difficile, même malgré les super pouvoirs. Ce n'est pas quelque chose comme l'hypnose ou télépathie. Ces choses peut-on voir souvent. C'est assez à avoir une voix puissante et un regard sûr et sans aucun clignoter, peut-être un peu de l'imagination et de la fantasie encore. Aussi après avoir vécu plus longtemps pourras-tu tout de suite sentir, comme te considère l'une ou l'autre personne. Même s'il parle un autre lange, tu pourrais résumer bien en tes propres termes en russe, comment te traite-t-il, pas littéralement, mais assez correctement. Mais c'est quelque chose de l'autre. Ce n'est ni hypnosis ni télépathie, dont n'avais-je peur de parler en présence de ta femme. C'est la TÉLÉPORTATION! As-tu remarqué que j'utilise ce mot en première fois? Et soi sûr qu'à la dernière. Et je ne te conseille pas non plus. Est-ce que tu crois, comme si j'habitais très longtemps le coin perdu de la Sibérie et comme si ce serait pourquoi je parle le mot "monter" au lieu de... - le vieillard s'est mis à chuchoter, - "téléporter"?

          -Néanmoins, qui croirait en cela? La majorité des gens le considèrent comme les délires d'un fou.

          -Pas dépêche mais réfléchis. Je sais, tu te rendras compte, mais si je dis, ce sera plus vite. Il y a des départements dans les services spéciaux ou certains gens qui s'intéressent tout, jusqu'à quoi la science n'a pas encore atteint. Et ils bien savent qu'entre millions délires et superstition un jour peut-on telle grande chose trouver! C'est comme une chasse de trésor. Et ils devinent qu'une découverte occasional peut avoir lieu qui n'a besoin des grands laboratoires et un cher équipement. Et malgré ça, telle découverte est capable de renverser le monde. Ou même, il est un seul chercheur des trésors et des aventures et il a un dispositif acoustique directionnel dans sa poche. Tu sais, dans notre temps il n'y a aucune nécessité de laisser un microphone dans l'appartement de quelqu'un pour espionner. Un type comme ça promène les rues et pointe son dispositif vers les fenêtres des appartements, s'en amusant et écoutant, où qui de quoi parle. Une fois quelque part et quelque chose de délicat peut-il entendre. L'un d'eux peut l'utiliser pour le chantage ultérieur, l'autre il même prit plaisir de ça et à la fois fait-il une tâche ou veut-il se faire bien voir ou gagner d'argent. Et çà et là y a-t-il un bavardage ennuyeux d'habitude. Puis là-bas y a-t-il quelque chose plus intéressante: le mari est à la mission du travail et un voisin a visité. Dans l'autre appartement peut-on écouter, comme un chef de département de l'usine secrète laisse échapper un peu d'information secrète, en buvant avec quelqu'un une bouteille de cognac. Il faut faire une note sur ça. Un jour, si ce type entend, comme deux amis bavardent sur les anomalies ou l'OVNI, ne doute pas qu'il revienne vers cette fenêtre plus encore à vérifier, si c'est un délire. Oui, c'est la plus probable que c'est un délire, mais quoi s'il y a soudain un grand profit de ça? Et si le grand profit a lieu, celui qui est stupide, il se dépêchera de rapporter. Ces gens-là feraient semblant de l'ignorer, mais en effet connecteraient des gens très dangereux aux affaires qui sont nettement plus cool que les racketteurs ou ceux qui ont un plan à l'égard de la coopérative d'ami de Sveta. Quant à celui-ci qui a rapporté, s'il fait quelque chose contre eux, ils ne le tueront même pas. Ils trouveront un article pour il dans le Code Pénal et l'emmèneront à l'asile de fous. Et ils essayeront que tout ça aurait l'air très naturel. Celui-là qui est plus sage, il sait déjà à qui et de quelle manière faut-il rapporter, mais malgré cela ce serait un risque. S'il est chanceux, il se pourvoira pour la vie et vers la vieillesse deviendra-t-il fat, en scintillant avec les épaulettes du général... Mais l'affaire continuera à marcher. Dans le renseignement, ce n'est pas important, s'il est interne ou externe, il y a toujours une fuite d'informations. C'est pour les gens ordinaires comme quelque chose que n'existe pas en effet, comme une anecdote, mais un homme qui peut quelque chose réfléchir, il est capable de se rendre compte que ce sont les organisations réelles et elles existent non seulement à frotter les pantalons sur les chaises. Parfois telles passions y sont déchaînées qui ne viendraient ni à l'esprit ni en rêve. Les intérêts de tous les puissants de ce monde y se croisent dans les combinaisons les plus bizarres et les plus inattendues. Il y a un duel de machines infernales, qui briseraient un destin humain comme un tank à une tortue. Il y a des gens là-bas qui ne reculeront devant rien. Le destin ou la douleur de quelqu'un d'autre n'a aucune signification pour eux, tandis que dans l'intérêt de la cause, certains d'eux sont capables de jeter soi-même sous un tank ou dans cette lave à Kamtchatka, Dieu merci, où je n'étais pas tombé.

          Si tu réfléchis, tu verras tu même qu'il y a ces choses, pour lesquelles on peut se sacrifier, non comme un soldat qui serait soûlé par vodka, mais en étant sobre et s'en rendant compte, pesant tout, additionnant tous les avantages et inconvénients. Pourquoi millions des gens sont passés à travers enfer qui faisait rage pendant tout le vingtième siècle? Car il n'y avait pas un héros qui posséderait l'information nécessaire et aurait mordu dans l'œuf la propagation de la contagion rouge-marron. Et s'il y avait un homme qui posséderait de l'information, comment étrangler dans l'œuf le totalitarisme rampant et qui se rendrait compte de la signification et l'échelle à laquelle cela se produit et à la fois la possibilité de changer tout ça, il y a assez de chance qu'il aurait fait n'importe quoi, jusqu'à sacrifice de soi.

          Le danger principal n'est pas pour nous deux. Nous pouvons nous protéger avec les capacités pareilles, car je suis sûr que tu pourras bientôt "monter" de la même façon. Avant tout, se serait inacceptablement si quelqu'un à part nous peut le faire, tu sais de quoi je parle. Si la liberté et dignité sont les choses principales pout toi, si tu n'es pas un esclave de l'état, c'est bien, néanmoins tu peux être tenté et donner cette grande découverte à l'Ouest. Néanmoins, il ne faut pas le faire aussi et je crois que tu peux comprendre pourquoi. Allons nous nous souvenir la première prolifération nucléaire. En 1945, les États Unis ont utilisé l'arme nucléaire, mais déjà en 1949 jouaient avec ce "joujou" Beria et Kourtchatov. Il n'y a ni service de renseignements ni cellule de prison qui pourrait être assuré contre gonfleurs. Malgré le danger mortel, mais le jeu vaut la chandelle et il y a des gens qui acceptent de jouer à ces jeux potentiellement mortels. Notre avantage principal est ce que nous sommes deux. La deuce est le groupe le plus fiable et le plus stable. Savais-tu qu'entre les tueurs sont les groupes à deux hommes les plus répandus?

          -J'en entends en première fois.

          -Tu peux voir que le proverbe "un esprit est bien, mais deux sont meilleurs" est vrai. Tu m'enseignes quelque chose et je t'enseigne aussi. Je t'instruirai en mesure complète de mes connaissances. Beaucoup de choses que je parle, déjà sont connues à toi, mais je crois que ce soit plus préférable parler de tout, au lieu de parler en arrachant les parties qui tu sais de ma connaissance. Même si tu entends de moi quelque chose de connue, ce n'est qu'utile. Ne néglige jamais de la répétition.

          Ainsi, le groupe à dix hommes serait peu fiable, lourd et avec les fuites d'information. Mais la deuce est forte, mobile et cachée. Comme tu déjà as compris, il faut mettre toutes nos ressources ne pas cambrioler les banques, mais à garder le sécrète. Il ne faut pas laisser quelqu'un nous suivre. S'ils suivent, il faut être capables de les faire tomber, mais il serait meilleur éviter la situation pareille. Notre invention s'apparente à l'invention des armes nucléaires. Rends-toi compte quelles opportunités peuvent être découvertes par cette invention! Et c'est dangereux. C'est dangereux pour toute l'humanité. Certains essayeront d'obtenir la domination du monde. Les autres se défendront. Les "défenseurs" auront un prétexte d'avoir le pouvoir illimité et on ne sait pas qui d'eux sera le pire. Ce n'est pas tout encore. Que dirais-tu à l'égard de l'accès au bouton nucléaire? Ce serait beaucoup pire qu'un coffre-fort avec argent. Et qu'est-ce qui se passerait si les forces de l'États-Unis et de Saddam Hussein deviennent égales? Tout cela n'est qu'à première vue.

          Albert réfléchit profondément. D'abord, il était choqué heureusement de telle nouveauté, mais maintenant a-t-il vu la face arrière d'elle. Le vieillard a raison. Ce miracle n'est pas du tout mieux que l'arme nucléaire.

          -Et maintenant tu es allé à l'autre extrême. Je vois que tu es en condition de me conseiller d'emporter cette découverte dans ma tombe. N'est-ce pas?

          -Je suis désolé pour ça, vraiment désolé! Néanmoins, peut-être serait-il meilleur comme ça?

          -Tu es en train d'essayer encore de trouver la réponse de la tâche sans la résoudre. Tu es intelligent. Tu la résoudras et trouveras la réponse correcte. Mais pourquoi attendre longtemps? Surtout pourquoi attendre lorsque je déjà ai la réponse. Je suis capable de gérer ce phénomène dès l'an 1957. Quel an est maintenant?

          -Quatre-vingt-dix troisième. Est-ce qu'ont emmené mes capacités au désastre mondial?

          -Je n'observe rien comme ça.

          -Tu n'es donc pas sûr de toi-même?

          -Au contraire. Peut-être que je suis sûr trop de moi-même. Sais-tu, pourquoi je n'aime pas aller par avion? Parce que si je même le pilote, je me sentirais bien meilleur.

          -Tu ne t'inquiéteras pas non plus pour moi, car j'ai passé la période probatoire de trente-six ans. On n'aurait pas raison de me douter après cela. Il ne reste que tu seul, mais tu es sûr de toi. Je ne t'ai pas décrit l'horreur du devenir de cette invention hors de contrôle pour que tu la refuserais avec grand regret. Alors ce serait plus correct de ma part à cacher ça de toi. Simplement, je voulais exposer à toi, dans quel degré est la technique de sécurité importante et considérable. Tout dépendra de toi. Garde à l'esprit un point important encore. Si quelqu'un des gens très cool veut faire révéler l'information de mes et plus tard de tes "voyages" des personnes proches de vous, avant que les torturer, ils seraient capables de reconnaître par leur apparence, s'ils savent quelque chose ou non. Voilà pourquoi sont ces informations dangereuses pour tes proches gens, et il serait meilleur s'ils ne savent rien. Les espions ne sont pas des sadiques et les tortures inutiles seraient pour eux, comme vendre les journaux sans profit pour toi.

          -Néanmoins, comment je m'entraînerai? Je dois travailler, vendre. Sinon j'échouerai.

          -Tu prendras avec toi le sac à dos et un sac, comme d'habitude. Mais au lieu de visiter Moscou, tu visiteras les autres endroits. Tu t'entraîneras de telle manière avec moi. Tu reviendras chez toi au temps, en apportant l'argent que je te donnerai.

          -Mais je ne veux pas avoir de dettes envers personne. Est-ce possible avoir des dettes envers celui qui t'a donné une tasse d'eau? Pour moi, gagner cet argent n'est pas plus difficile. Quant à moi, à gagner cent dollars, un travail comme ça n'est pas plus difficile que tu ferais le thé.

          -Tu viens de me donner une bonne idée, - avec ces mots, Albert a versé l'eau dans la théière et déversé le contenu dans la cuvette. Ensuite il a allumé un brûleur sur la cuisinière et a mis une bouilloire dessus, y ajoutant de l'eau. Le vieillard a sorti de la poche une pile de billets de cent dollars.

          -Je pourrais donner tout ça à toi, mais les gens autour comprendraient apparence à cause de ton apparence que se passe quelque chose d'inhabitude avec toi. Tu ne pourras cacher cela. Il faut payer pour tout et je crois que s'abstenir de recevoir tout l'argent à la fois, cette paie n'est pas très grande pour les perspectives qui s'ouvrent devant toi.

          -Bien sur non.

          -Néanmoins, en présence de ta femme et ses amies et tes parents serait-il mieux, si tu caches le fait que ton humeur a changé. Lorsque la joie des changements heureux t'envahit, essaye de penser sur les côtés négatifs d'eux. Et au contraire aussi. Rappelle-toi leurs avantages si tu t'inquiètes à cause d'eux d'un cauchemar que tu as dessiné dans ton imagination. Maintenant essaye de réfléchir à ce que la marche, la course, le transport - tout ça est une stupidité. Ne serait-il pas stupidité à atteindre cette cuisinière à gaz par un chemin à cinquante kilomètres? Ou de Mytichtchi à Moscou aller à travers le pôle Nord, l'hémisphère occidental, l'Antarctique, Crimée, Kharkiv et enfin Serpoukhov et Podolsk? Néanmoins, tout le monde fait comme ça dans la vie quotidienne. Souviens-toi et n'oublie pas comment au temps Médiéval utilisait-on des copeaux, des bougies, même des torches, mais il n'y avait ni lamps ni lanternes électriques. Ce n'était pas à cause des difficultés technologiques, mais à cause de l'ignorance. Mais maintenant tu sais et tu l'as vu. Il faut le voir beaucoup de fois encore.

          Au milieu du thé, la cloche sonna.

          -Je t'ai tout dit et je vais à être assis une demi-heure encore, c'est pour l'apparence. Puis je m'irai comme d'habitude,  sans trucs, - le vieillard a dit après Albert qui s'était levé à ouvrir la porte.

          Nadia entra seule, sans Sveta.

          -Bien, je vois que vous deux vous êtes faits des amis complètement, - c'était la première chose qu'elle dit.

          Puis une conversation de la manière décontractée avait lieu dans la cuisine. Il était vu que Nadia essayait de rapprocher la conversation au thème de l'hypnosis, télépathie et en général des phénomènes inhabitudes. Au milieu de la conversation a-t-elle questionné comme si accidentellement:

          -Est-ce en effet que vous pouvez régler cette question là-bas... dans la coopérative?

          -Cela se réglera de la manière indépendante. Moins soucies-tu de ça, c'est mieux. Si chaque cas pareil se termine par un dénouement sanglant, les cadavres seraient allongés partout et ce serait la guerre de tous contre tous. Il y a quatre-vingt-dix pourcents que tout se réglera même si n'intervient personne.

          -Est-ce que vous allez à les hypnotiser en effet? Pardonnez-moi pour la question sans tact.

          -Je suis spécialiste dans mon domaine, - le vieillard a répondu strictement et clairement.

          Nadia a compris que d'autres questions auront non seulement l'air sans tact, mais aussi seront inutiles. Le visiteur, comme il avait promis, il s'est assis une demi-heure encore et a commencé à se mettre en route, disant au revoir à ses nouveaux amis. Albert s'est levé à l'accompagner jusqu'à la porte.

          -Jeudi, plate-forme Kalistovo, neuf heures du matin; jeudi, plate-forme Kalistovo, neuf heures du matin, - le vieillard a répété deux fois à son oreille, en chuchotant. - J'ai besoin de toute une information sur les types qui veulent posséder la coopérative sans suivre les règles. Même un petit détail peut s'avérer précieux. À cause de cela, laisse-le m'apporter toutes choses qu'est-il possible, jusqu'à petits détails, plus à renseigner sur eux. Surtout sur leurs chefs, car les brutes ne font rien sans ordres venus d'en haut. À bientôt.

          -Au bientôt.

          -Es-tu sûr qu'il ne participe pas en affaires obscures? - Nadia questionna, quand Albert fut revenu à la cuisine.

          -Il faut apprendre l'arbre par son fruit. Quant à moi, j'ai besoin de voir le copain de Sveta dans le futur proche. Au fait, comment s'appelle-t-il?

          -Il semble qu'Anatoly. 

          Soit il me donne tout qu'il sait sur la "toit" sans invitation, tout jusqu'à petits détails. C'est très important. Il faut que je le voie dans une place ouverte. Laisse lui m'écrire toutes les informations nécessaires, pour n'oublier rien. Je le réécrirai de ma propre main. Après cela on pourra détruire ses notes.

          -Si je ne te savais, je croirais que tu as peur. Néanmoins, je vois que tu simplement veux jouer aux espions.

          -Si quelqu'un n'aime pas la manière de mes actions, je peux refuser, mais si je fais quelque chose, je ne la ferai que de la manière préférable de seulement mon point de vue, - Albert a répondu durable. - Et j'ai besoin de le voir dans les deux prochains jours.

          Nadezhda voulait disputer contre lui, mais elle s'est abstenue cette fois de cela.


The same in English: https://la-flagellation.blogspot.com/2017/10/the-teleportation-part-1-chapter-8.html

Le texte original en russe: https://proza.ru/2010/01/10/679

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