Monday, December 7, 2020

Chapitre III. Visite. La téléportation. Partie I.

           Par le mouvement brusque tourna Albert la porte. Il n'y eut aucun complice. L'inconnu franchit le seuil, en prononçant sûrement et clairement:

          -La paix soit à votre foyer. Puis s'inclina-t-il légèrement, mit sa canne au coin et le téléphone portable abaissa-t-il à la poche vaste de la robe bleue. Je vais immédiatement me présenter: vieillard Paul. Vous pouvez me nommer simplement "Paul". Je vais à parler tous vous en tutoyant et vous pouvez parler moi de la même façon. Est votre coutume à enlever les chaussures, en arrivant de la rue?

          -Pas nécessaire. Il fait sèche et purement dehors. Passez simple, - Nadezhda dit puis regarda à son mari et sourit:

          -Alik, n'oublie pas de proposer la chaise au visiteur. Sinon ressemble-t-il comme si tu te sentes flotter quelque part entre les nuages, - la femme se réjouissait, parce que au lieu de toutes les terribles choses qui apparaissaient dans son imagination, le visiteur ne ressemblait à aucune d'entre eux.

          Néanmoins, Albert était surpris encore plus et voilà pourquoi: Il n'y avait aucun doute qu'il a parlé au téléphone exactement avec ce vieillard et personne d'autre, la voix est la même, c'était clairement. Mais c'était la chose la plus incroyable que cet inconnu qui était visible si dépassé, comme si soit arrivât-il de l'autre temps qui ressemble, on ne sait pas pourquoi, au XIX siècle, il tel bien comprenait le langage d'Albert, quoique ce langage était en partie contemporain et compliqué, en partie intelligent et un peu d'argot et pendant ce temps-là aussi était-il capable de répondre si convenablement toujours. Quant à niveau de conversation du vieillard, il dépasserait non seulement ses contemporains, mais aussi les gens du même âge qu'Albert. Cela bien contrastait, c'est possible, avec la plus stupide part de la population de l'Union Soviétique, qui avait survécu le Grand Terror à un âge conscient. Le vieillard comprenait Albert déjà au téléphone, tandis que pour les gens du même âge devrait-il tout simplifier, "déchiffrer", expliquer chaque phrase. Ils pouvaient se fourvoyer même entre telles notions comme à droite et à gauche. Simultanément, l'apparence de l'inconnu ne contenait aucun signe du vernis de la bureaucratie de partie. Il s'intégrerait harmonieusement dans beaucoup des paysages de la nature terrestre. Il paraîtrait naturellement sur le fond des forêts, des champs, des montagnes, passant la nuit près du feu, marchant le long d'une route sinueuse et très longue, de la même longueur, comme toute sa vie, priant ou méditant de temps en temps. Mais au bureau de n'importe quel établissement soviétique aurait-il l'air plus drôle qu'un ours polaire dans la Méditerranée. Ses mouvements étaient jeunes et sûrs, son regard était expressif et vif. Si teindre ses cheveux et éliminer ses rides, peut-être paraît-il, comme s'il ait quarante ans. Néanmoins, sans orner semblait-il qu'il eût surpassé la marque de soixante ans depuis longtemps.

          -Alors, assieds-toi, vieillard Paul, sois mon invité, - prononça Albert aimablement et sans aucune ironie, en tendant la chaise, après passant la cuisine. Il a décidé d'abord à accepte le jeu que proposait ce vieillard étrange et ensuite agira-t-il selon les circonstances.

          -Je suis venu intentionnellement en présence de la maitresse, - le voyageur commença à parler, en hochement à la direction de Nadia. Car si je viens, lorsque tu es seul, ça pourrait sembler comme si nous planifiions quelque chose de douteux, en cachant d'elle. Je peux raconter quelque chose en présence d'elle, mais pas tout.

          -Je ne tiens pas secret d'elle.

          Le vieillard a fait lui savoir à l'aide du regard qu'il n'a pas cru lui. Nadezhda n'a remarqué rien, parce qu'il l'a fait prudemment et vite. Son visage est revenu à son expression précédente immédiatement.

          -Il faut garder quelque chose en secrète pour la propre sécurité d'elle.

          -Pardon je vous interromps, - Nadia commença à dire soudain, sans encore oser tutoyer avec vieillard. - Est-ce que ça concerne mon amie Sveta ou l'entreprise de son copain d'une manière quelconque?

          -Je te jure qu'en aucune manière. Ce dont tu as peur, c'est une bagatelle qui peut être vaincue aussi facilement, comme un moustique ennuyeux.

          -Néanmoins, en conversant avec vous, Albert a prononcé le nom de Sveta.

          -Voilà ce qui se passe. Laissez-moi, c'il vous plaît, raconter tout à tour de rôle. Je suis venu ici non pour prendre quelque chose, mais vice-versa: je vais à donner quelque chose. Je suis malade d'une maladie incurable et mortelle que tôt ou tard tous vous serez malades.

          Les auditeurs sont devenus méfiants et tendus.

          -On nomme cette maladie la vieillesse.

          Le soupir de soulagement a résonné. Albert s'est rendu compte que le vieillard a raison. Il est devenu un peu insatisfait de soi-même, parce qu'il n'avait deviné jamais à considérer l'existence de ce paradoxal et à la fois assez correct point de vue.

          -Que la maitresse ne pense pas que j'évite de répondre. Le tour de Sveta viendra. D'abord parlons sur la vie, la vie terrestre. Bien sûr, j'ai appris beaucoup des choses pendant la vie, mais ce n'est pas assez pour le niveau de Bouddha. C'est assez possible que mon attitude à l’égard de la vie diffère de votre une, mais il y a une chose que nous sommes pareils: LA VIE TERRESTRE ENCORE CONTINUE NOUS À INTÉRESSER. Les plus expérimentés professeurs spirituels recommander à majorité des gens de ne faire semblant d'être Bouddha ou Christ prématurément, mais s'en tenir à ce niveau de développement sur lequel ils sont.

          Quant à moi, la vie terrestre m'attire comme un spectacle qui est le plus intéressant. Par exemple, je considère le suicide comme un jet des pièces d'échecs du plateau au moment du jeu qui est le plus intéressant. Il semble que Seigneur ça considère de la même façon. Le suicide ne serait pas un péché, si Créateur ne veut pas continuer le jeu intéressant. Si j'emporte les connaissances que j'ai acquises si durement, retour à l'éternité, au champ d'information, sans les laisser se manifester sur la Terre, ce grand spectacle perdra quelques mouvements intéressants du jeu. La conclusion est simple: je dois transmettre mes connaissances à quelqu'un. 

          Est-ce que Seigneur nous a donné l'esprit si merveilleux, la intuition, afin de nous après trouver ce trésor inestimable qui est capable se transformer en l'arme terrible en mauvaises mains, donnerions à n'importe qui?

          Alors, maitresse, tu peux être fière de ton mari. Il s'est avéré seul de grand nombre des gens, le plus convenable pour ça. Il s'est avéré seul de très grand nombre des gens, qui est digne de devenir mon successeur à qui je peu transmettre cette grande doctrine secrète. À faire telle conclusion, je devais d'abord apprendre très beaucoup de choses sur lui. Il est possible qu'il fallait apprendre sur il plus qu'il-même sais sur soi. Et savoir sur lui, ça veut dire savoir de tous son environnement, d'abord de toi, de ses parents, de tes amies. Je connais Sveta basané, Valia avec gros yeux, Lena avec beaucoup d'éphélides. Je sais qui se passe dans la coopérative de Tolik, ami de Sveta, et j'aiderai à résoudre ce problème. Quant à la doctrine secrète, elle peut être comparée avec la bombe atomique. Il porte à la fois une puissance immense et un danger énorme s'il n'est pas manipulé avec soin.

          -Quand a tu trouvé le temps à vérifier cet énorme nombre des gens? - Albert a posé question.

          -Tu et aussi quelques personnes encore  étaient capables de réussir assez simple test: MON HYPNOSE N'A PAS FONCTIONNÉ SUR VOUS. J'ai réussi à instiller à tout le reste du monde, comme s'il n'y ait ni moi, ni boîte. Les gens qui mettaient l'argent, ils faisaient cela d'une manière spontané, mécaniquement, et les sommes d'argent étaient telles, puis disparition desquelles ils ne marqueront pas. Je sais et possède beaucoup de moyens plus efficaces à gagner d'argent, mais j'avais la tâche principale cette fois de tester énorme nombre des gens pendant une semaine leur capacité de résister à l'hypnose. Être capable de résister à la suggestion est qualité très précieuse. Si tout le monde la possède, ne serait pas possible ni communisme, ni fascisme. Même ils ne pourraient crucifier le Christ, car dans ce cas sauraient-ils clairement ce qu'ils faisaient et les initiateurs de l'exécution s'avéreraient en minorité. Néanmoins, réellement ne savaient-ils pas ce que faisaient, mais au lieu d'eux ça savait quelqu'un d'autre. Les foules étaient en tous ces cas dans la condition d'hystérie collective. On inspirait à eux et on inspire à eux maintenant les perceptions erronées de la réalité. Mais ce n'est pas pratiquement possible de suggérer quelque chose à toi.

          -Mais pourquoi j'ai perdu la connaissance?

          -J'ai éteint ta connaissance. C'est plus légèrement à faire cela, au lieu d'inspirer une bêtise. Je devais t'arrêter, sinon tu bouleverserais tous mes plans et une publication apparaîtrait dans la presse sur le phénomène anormal dans le métro. Ce serait très inapproprié.

          -Mais quoi si le flic me mutilerait par la matraque?

          -En glissant, il ne tomberait pas assez bien. Sans mutiler, mais il ne pourrait pas se lever pendant longtemps.

          Alors, tu possèdes un grand talent. C'est impossible d'inspirer une bêtise à toi. En le possédant, tu deviens digne de posséder autres talents, qui donnent la puissance. Tu n'accepteras pas cette puissance sous l'influence de quelqu'un, mais uniquement de ta propre initiative. Ainsi ne pourra personne t'utiliser à leurs propres fins comme une arme.

          -Et qu'en est-il des autres? Il y avait un peu encore des personnes qui étaient capables de résister contre l'hypnose.

          -Deux d'eux étaient déséquilibrés. Ils pourraient faire assez de mal dans un accès de passion. Le troisième n'est pas assez intelligent. Quant à quatrième, j'ai aussi un plan pour lui. Ce n'est pas exclu qu'un jour ou l'autre il deviendra ton successeur. Il se montre prometteur, mais il est très jeune et pas expérimenté. La vie l'enseignera pendant longtemps, jusqu'à l'atteindre de même niveau que tu as, et alors on pourra commencer à travailler avec lui.

          Nadezhda prenait du thé pendant cette conversation et écoutait avecattention et surprise. Elle a déjà versé le thé fort aux tasses pour trois personnes et enfin demandé: 

          -Alik, pourquoi tu ne me disais rien sur le métro?

          -À te laisser dans des pensées douloureuses, suis-je un fou ou suis-je un contact on ne sait pas avec qui?

          -Enfin, au moins graduellement, pour je pourrais saisir l'essence un peu.

          -Il-même encore commence à saisir, - le vieillard s'est intervenu. 

          La sonnette a retenti soudain.

          -C'est Sveta. Le matin elle a promis à venir.

          -Pour l'affaire, pour qu'elle ne me voie pas avant dont on en avoir besoin, je vais à me cacher dans la salle de bains. Y a-t-il quelqu'un contre cela? - le vieillard demanda.

          -Non. Pas contre.

          Le vieillard saisit la canne, alla à la salle de bains et ouvrit l'eau, mais ne verrouilla pas la porte. 

          -Comment peut-on se cacher comme ça! - Albert chuchota avec irritation.

          Enfin la porte était ouverte. C'était Sveta en fait. L'expression de son visage était inquiète.

          -Salut! Je viens de glisser mal et de salir les mains. Je vais les à laver, - avec ces mots se dirigea-t-elle à la salle de bain.

          Il était trop tard pour l'arrêter. Ils déjà accusaient l'un l'autre en esprit que ne l'ont pas envoyé à la cuisine où il y avait un robinet d'eau aussi. Les deux se précipitèrent en suivant d'elle comme par inertie. Sveta lavait les mains comme d'habitude et a jeté à eux coup d'oeil avec surprise. Il n'y avait personne dans la salle de bain sauf d'elle. Et trois tasses du thé étaient debout sur la table à la cuisine. Nadia déversa discrètement le contenu de l'une d'elles et mit la tasse avec soucoupe au placard de la cuisine.


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Le texte russe original: https://proza.ru/2010/01/07/233

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